13.07.2015
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contexte où nous observons également des « prises de conscience » effectuées par lesconsultants au cours du dialogue avec le conseiller.Les travaux de Clot qui se sont centrés sur la dimension du dialogue nous semblentégalement intéressants à explorer dans la perspective de l’entretien d’orientation. Ilspourraient nous permettre de décentrer notre attention de l’expression même du consultantpour la resituer dans le cadre du dialogue qui se construit avec le professionnel. Les dispositifsmis au point par Clot sont eux aussi susceptibles d’inspirer les pratiques en orientation. Ilinsiste par ailleurs sur la dimension subjective du sens que le sujet donne à l’action qu’ilentreprend dans son travail. La clinique de l’activité cherche d’autre part à favoriser le« pouvoir d’agir » du sujet dans son activité professionnelle. Tous ces éléments, ainsi qued’autres, nous ont incité à approfondir notre interrogation des notions développées par Clot envue d’enrichir la perspective d’une clinique en orientation.Les trois prochains chapitres exposent successivement les domaines que nous venonsd’évoquer succinctement, partant de la tradition clinique que nous compléterons, concernantnotre activité, par les contributions de Vermersch et de Clot. Chacun des chapitres se conclutpar les apports que nous pouvons retenir dans le champ même de l’orientation et qui viendrontenrichir, sous différents angles, nos analyses ultérieures des accompagnements. La secondepartie s’achève sur une reprise sous forme synthétique des principaux éléments participant àl’esquisse d’une clinique en orientation.Numér
3. Les références cliniques en sciences humaines.La clinique médicale se constitue au tournant du XVIII e au XIX e siècle en s’appuyantnotamment sur l’anatomie pathologique. La dissection des cadavres effectuée (ouvertement etnon de façon dissimulée comme le présente, d’après Foucault, la médecine) dans la deuxièmemoitié du XVIII e siècle a participé à préparer un savoir médical, jusqu’à ce qu’il fût « admisque les lésions expliquaient les symptômes, et que l’anatomie pathologique fondait laclinique » (Foucault, 1963, p.127). C’est en modifiant son rapport à la mort que la médecineparvient à progresser. « Pour Cabanis comme pour le XVIII e siècle […], la connaissance de lavie s’appuyait de plein droit sur l’essence du vivant. […] Avec Bichat, la connaissance de lavie trouve son origine dans la destruction de la vie. […] La nuit vivante se dissipe à la clartéde la mort » (ibid., p.148-149).La clinique subit plusieurs renversements dont la transformation du symptôme ensigne. « Etablir ces signes, artificiels ou naturels, c’est jeter sur le corps vivant tout un réseaude repérages anatomo-pathologiques […] ; la séméiologie ne sera plus une lecture, mais cetensemble de techniques qui permet de constituer une anatomie pathologique projective »(ibid., p.166, souligné par l’auteur). L’approche médicale transforme son regard, la« médecine des maladies » cède la place à « une médecine des réactions pathologiques,structure d’expérience qui a dominé le XIX e siècle et jusqu’à un certain point le XX e » (ibid.,p.196). Foucault développe et illustre sa thèse : la clinique s’est développée non seulement parson empirisme, sa modestie, le glissement de son regard et le silence de tout discoursperturbateur, mais du fait « qu’elle est une réorganisation en profondeur non seulement desconnaissances médicales, mais de la possibilité même d’un discours sur la maladie. Laretenue du discours clinique (proclamée par les médecins : refus de la théorie, abandon dessystèmes, non-philosophie) renvoie aux conditions non verbales à partir de quoi il peutparler : la structure commune qui découpe et articule ce qui se voit et ce qui se dit » (ibid.,p.XV, souligné par l’auteur).Le terme « clinique » provient du grec klinè, « le lit », et désigne l’examen pratiqué« au lit du malade » qui favorise l’observation « à mains nues », le palper, l’ausculter ; il viseégalement à qualifier l’enseignement médical donné au chevet du malade (Bénony,Chahraoui, 1999, p.11). On considère que Freud a introduit une rupture dans la pratiqueNumér
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production d’ « outils » mis à
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L’orientation des demandeurs d’
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Première partie :Cadre général d
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1.1.1. Le lien entre l'école oblig
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Tous les orienteurs ne sont pas alo
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formation des choix professionnels,
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tout au long de son article. Les de
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Le rôle des conseillers profession
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1.4.2. Trois pratiques : économiqu
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Boursier affirme toutefois la néce
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des demandeurs d’emploi. Elle a r
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l’autonomie : « une société au
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Ne pas être uniquement technicien
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médecins. C’est dans ce contexte
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prévaloir longtemps une attitude a
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La clinique mène en définitive à
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ares, et de nombreuses contribution
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de méthode des histoires de vie, c
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positive, empathie, etc.). Or, Roge
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La psychothérapie se réfère, rap
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s’instaure entre le conseiller en
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Son travail de « formateur clinici
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débouchant sur un « impérialisme
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La profession de conseiller en orie
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fort qui les rapproche est celui de
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3.5.2. Le transfert.Le concept de t
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occupe toujours une place centrale.
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Devereux avance que dans les scienc
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l’orientation s’inscrit par son
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Alto, par la PNL (Programmation Neu
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seule » (ibid., p.110). Dans cette
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d’explicitation opère à partir
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des opérations est remémoré et e
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La seconde partie donne du temps à
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couleur, etc.) ; éviter la recherc
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L’interviewer doit pouvoir repér
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gagne en visibilité, comme si on l
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deux zones de développement, de l
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hâtives, ce qui les empêcherait d
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5.5.1. Le réel.La conception du r
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5.5.5. Fonctions de l’expression.
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chose. […] former, donner ou cré
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Troisième partie :Méthodologie.
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Si donc la pratique nécessite de f
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essentiellement des OPI (Objectifs
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moments de silence favorisent pour
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7.3.2. Conséquences et limites.Ce
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perche qui lui est tendue, mais jam
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7.4.1. Une analyse de discours.Mon
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histoire sociale telle qu’elle s
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Marthe se reconvertit suite à une
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d’une expression. Cette ambivalen
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8. Bernard : « le cas classique du
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Nous nous renseignons sur les forma
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indiquera, avant de conclure, quelq
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émunération n’était pas à la
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Bernard ne se présente pas à notr
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parents, par exemple. D’autres co
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Il s’est vu refusé également po
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[Nous nous saluons en riant et il o
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9.4. Conclusion.Le travail mené av
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10.2. Chronologie des entretiens.1
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elle, « c'est vrai qu'il y a des c
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10.3. Analyse.L’entrée en matiè
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de ses propos, on voit ici, ainsi q
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(elle) prend les choses plus tranqu
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l'utiliser ». Elle a travaillé po
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Au cours de notre 4 e entrevue, Mar
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- Il faut que je vous dise : après
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dimensions sont travaillées altern
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Cette liaison ne semble pas plaire
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Il est malade deux semaines de suit
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J’indique qu’il recherche un CE
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entretien). Lorsque la justice veut
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parce que « les garçons la battai
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11.3.2. L’accompagnement de la «
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m'avaient dit à l'ANPE que vous al
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Les expressions d’une violence di
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etourner son histoire sans parvenir
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à fournir « des justificatifs, de
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la complexité de leurs fonctions e
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Si « les mots font l’amour », c
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12. Patricia : « on ne passe pas s
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elie ces techniques anciennes à l
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Elle s’excuse en arrivant : sa s
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obtenir la licence, et elle aurait
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dans son entourage y ont probableme
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sens, celui de vendeuse n’en véh
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ainsi replacer Patricia face à la
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- C'est intéressant ce que vous di
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- Finalement, ça ne m'étonne pas
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Cette attitude de dénigrement alli
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elle « pourrait » se « débrouil
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leur intégrité ? Sans que la rép
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parler d’elle-même. Cette réali
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et le transfert sur le conseiller s
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13. Jeanne : « je n'ai plus rien
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totalement aberrant. Elle a bien «
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elle ne les a pas envoyées, par ex
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lequel elle a discuté dans le trai
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elle pourra apporter un contrat de
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discutaient « comme si elle était
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délégué « qui s’occupe des te
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« je me [sic] perçois très bien
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Je dois à d’autres moments m’i
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pour pouvoir décider de partir, av
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tension qui en résulte a le mérit
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cours des rencontres précédentes,
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l’autonomie d’un mouvement impu
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maintenant et supporter son refus p
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13.4. Conclusion.L’analyse propos
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14. Philippe : « je suis trop dans
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Je lui suggère que c’est peut-ê
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Il acquiesce en confirmant qu’à
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de rencontres n’est pas défini,
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personnes entreprendre elles-mêmes
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Il me fait part de son appréhensio
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cependant pas une « lecture "horiz
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J’ai été contraint de lui tél
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à partir de signifiants propres qu
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s’utiliser dans l’entretien d
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paperasse. Ça ne doit pas être fa
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- Bof ! Pas grand chose ! Elle a qu
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autrement, si elle s’était occup
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- Ah, c'est très bien, vous avez d
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demeure contenue par toutes ces acc
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L’attachement est encore percepti
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Les notions proposées par Vermersc
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15. Conclusion des analyses et ouve
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On observe par ailleurs que d’aut
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15.2. Questions à reprendre.• L
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On rencontre dans la littérature s
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Il semblerait que soit à l’œuvr
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précis, d’un recours précieux.
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Huteau, M. (1999). Pour éclairer l
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ANNEXE 1 :Sept entretiens.
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ça fait tourner leur économie. J'
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[Il pose les fiches métiers devant
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55 ans, elle a 15 ans d'expérience
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Il a deux enfants dont il s'occupe
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Elle a travaillé dans des organism
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Nous mettons au point une stratégi