13.07.2015
•
Views
tout au long de son article. Les deux autres points ici mis en avant (travail en milieu naturel etautonomie comme conquête progressive) réapparaîtront lorsque nous évoquerons la démarcheclinique.1.3. L'orientation dans la formation d’adultes : une pratique dubilan.Les pratiques d’orientation des adultes ont été très diverses au cours du XX e siècle,mais elles s’intègrent globalement dans une évolution identique à celle des jeunes. Ledéveloppement de tests d’aptitudes et de tests psychotechniques vise, le plus souvent, àsélectionner les candidats les plus aptes au poste, mais également, dans certains cas, àaméliorer les situations de travail pour les adapter au mieux aux caractéristiques despersonnes. Les études, par exemple, menées par J.M. Lahy dans l’entre-deux-guerresdébouchent sur des applications pratiques avec le contrôle des employés de la S.T.C.R.P., lestransports parisiens, dont les agents sont soumis à divers examens relatifs aux temps deréaction, à la suggestibilité motrice, à l’attention diffuse, à l’estimation des vitesses et desdistances, etc. Ces travaux de J.M. Lahy inspireront la prévention des accidents du travailaprès 1945, à partir d’échelles statistiques mettant en évidence des profils d’aptitudesdéterminant des dispositions à être victime des situations à haut risque.Numér
Ces pratiques d’expertise cèdent progressivement la place à une orientation éducativedans laquelle on se préoccupe de « donner un rôle plus actif aux individus, et plus de place àleurs processus de décision » (Magnier, Werthe, 1999, p.125). Le contexte social etéconomique se modifie cependant considérablement dans les années soixante-dix, puis lesannées quatre-vingt. Les objectifs de la loi de 1971 sur la Formation Professionnelle Continuedans le cadre d'une Education Permanente (avec notamment un volet concernant la PromotionSociale) seront peu à peu oubliés dans la recherche de solutions à la crise de l'emploi, etl'esprit initial de cette loi se diluera au fil du temps dans l' « approche compétences » (Terrot,1997). Les mouvements de restructuration qui secouent l'économie française dans les annéessoixante-dix entraînent l’orientation des adultes vers des développements à destination desdemandeurs d’emploi. Une circulaire du 21 juin 1977 institue une collaboration entre lesservices d'information et d'orientation et les agences locales pour l'emploi (Danvers, 1988,p.222).Les modifications qui affectent les métiers et leurs formes d'exercice même, lamodernisation, puis les délocalisations et, enfin, la « mondialisation » complexifient lastructure des métiers d'avenir et en réduisent progressivement la visibilité pour de nombreuxadultes mal préparés à se projeter dans de nouvelles activités. De plus en plus de personnessouhaitent ou se voient contraintes de se remettre en cause dans l'exercice de leur profession ;nombreux sont les jeunes en échec scolaire qui, refoulés du marché du travail, viennent à unmoment de leur parcours chercher une solution de qualification qui leur serait accessible. Laréflexion s'engage généralement par l’intermédiaire de l'élaboration d'un bilan (de parcours, decompétences, …) qui intègre le consultant en tant qu'acteur de son orientation.Les pratiques de bilan s'étendent et s'institutionnalisent au cours des années quatrevingt,avec la création des Centres Interinstitutionnels de Bilans de Compétences (CIBC) en1986, la loi sur le crédit formation individualisé pour les jeunes en 1989, puis pour les salariésen 1990, et la loi de 1991 sur la formation continue qui affirme le droit au bilan decompétences. Cette loi énonce que ce bilan doit permettre à l'intéressé d'évaluer sesexpériences (personnelles et professionnelles) et, en les confrontant à son environnementprofessionnel, « de mieux utiliser ses atouts dans des choix de carrière, donc de gérer aumieux ses ressources personnelles ». Une circulaire de la Délégation à la formationprofessionnelle en précise, en 1993, les objectifs : « Le bilan de compétences doit permettre àun salarié de passer en revue ses activités professionnelles dans le but : de faire le point surses expériences personnelles et professionnelles ; de repérer et évaluer ses acquis liés autravail, à la formation, à la vie sociale ; de mieux identifier ses savoirs, compétences, aptitudesNumér
-
Page 10:
production d’ « outils » mis à
-
Page 14:
L’orientation des demandeurs d’
-
Page 18:
Première partie :Cadre général d
-
Page 21:
1.1.1. Le lien entre l'école oblig
-
Page 24 and 25:
Tous les orienteurs ne sont pas alo
-
Page 26 and 27:
formation des choix professionnels,
-
Page 28 and 29:
autonomie dans la vie professionnel
-
Page 32 and 33:
; de déceler ses potentialités in
-
Page 34 and 35:
Le rôle des conseillers profession
-
Page 36 and 37:
1.4.2. Trois pratiques : économiqu
-
Page 38 and 39:
Boursier affirme toutefois la néce
-
Page 40 and 41:
ce que par les informations sur les
-
Page 42 and 43:
des demandeurs d’emploi. Elle a r
-
Page 44 and 45:
« La poièsis concerne la producti
-
Page 46 and 47:
que tout ce qui est réel doit êtr
-
Page 48 and 49:
divergentes. L’acceptation de la
-
Page 50 and 51:
l’autonomie : « une société au
-
Page 52 and 53:
imaginaires sociales. Au niveau de
-
Page 54 and 55:
l’achèvement à l’inachèvemen
-
Page 56 and 57:
elle permise de faire semblant, év
-
Page 58 and 59:
sentiment de menace aura disparu. A
-
Page 60 and 61:
Ne pas être uniquement technicien
-
Page 62 and 63:
(tant sur un plan psychique que sur
-
Page 65 and 66:
L’orientation s’est construite
-
Page 67 and 68:
3. Les références cliniques en sc
-
Page 69 and 70:
médecins. C’est dans ce contexte
-
Page 71 and 72:
- les rapports avec la psychanalyse
-
Page 73 and 74:
prévaloir longtemps une attitude a
-
Page 75 and 76:
défensif d’un excès de technici
-
Page 77 and 78:
accompagner et prolonger les change
-
Page 79 and 80:
La clinique mène en définitive à
-
Page 81 and 82:
travail de groupe, biographie, etc.
-
Page 83 and 84:
ares, et de nombreuses contribution
-
Page 85 and 86:
3.3.1. Repères historiques et déf
-
Page 87 and 88:
de méthode des histoires de vie, c
-
Page 89 and 90:
positive, empathie, etc.). Or, Roge
-
Page 91 and 92:
(cité p.213). Niewiadomski se dém
-
Page 93 and 94:
la démarche clinique. On verra que
-
Page 95 and 96:
thérapie, du moins d’élucidatio
-
Page 97 and 98:
La psychothérapie se réfère, rap
-
Page 99 and 100:
s’instaure entre le conseiller en
-
Page 101 and 102:
choses ont un sens » (Castoriadis,
-
Page 103 and 104:
les entretiens recueillis et retran
-
Page 105 and 106:
parfaitement acceptable par des nat
-
Page 107 and 108:
Son travail de « formateur clinici
-
Page 109 and 110:
débouchant sur un « impérialisme
-
Page 111 and 112:
La profession de conseiller en orie
-
Page 113 and 114:
fort qui les rapproche est celui de
-
Page 115 and 116:
cherche à ce que le sujet puisse s
-
Page 117 and 118:
3.5.2. Le transfert.Le concept de t
-
Page 119 and 120:
consolider, et son expertise (conna
-
Page 121 and 122:
occupe toujours une place centrale.
-
Page 123 and 124:
Devereux avance que dans les scienc
-
Page 125 and 126:
collègue. Il devra, quoi qu’il e
-
Page 127 and 128:
elève du monde du travail, alors q
-
Page 129 and 130:
toutefois pointer ces expressions e
-
Page 131 and 132:
là de la tradition de l’interven
-
Page 133 and 134:
L’écoute se trouve ainsi centré
-
Page 135 and 136:
par rapport aux situations habituel
-
Page 137 and 138:
l’orientation s’inscrit par son
-
Page 139 and 140:
Alto, par la PNL (Programmation Neu
-
Page 141 and 142:
(ibid., p.18). Pour la faire accéd
-
Page 143 and 144:
seule » (ibid., p.110). Dans cette
-
Page 145 and 146:
d’explicitation opère à partir
-
Page 147 and 148:
des opérations est remémoré et e
-
Page 149 and 150:
La seconde partie donne du temps à
-
Page 151 and 152:
L’entretien d’explicitation ne
-
Page 153 and 154:
couleur, etc.) ; éviter la recherc
-
Page 155 and 156:
4.3.1. Initialiser.La difficulté
-
Page 157 and 158:
L’interviewer doit pouvoir repér
-
Page 159 and 160:
Deux cas ont retenu l’attention d
-
Page 161 and 162:
en mots directement » (Vermersch,
-
Page 163 and 164:
5. Apports de la clinique de l’ac
-
Page 165 and 166:
le voit » (ibid., p.32, souligné
-
Page 167 and 168:
pas assez » (ibid.) à ceux qui y
-
Page 169 and 170:
5.1.4. Une activité dirigée.Le ge
-
Page 171 and 172:
immédiatement convaincu qu’il n
-
Page 173 and 174:
gagne en visibilité, comme si on l
-
Page 175 and 176:
nécessaire, car l’action renvoie
-
Page 177 and 178:
deux zones de développement, de l
-
Page 179 and 180:
hâtives, ce qui les empêcherait d
-
Page 181 and 182:
trouver sous l’influence des atte
-
Page 183 and 184:
5.5.1. Le réel.La conception du r
-
Page 185 and 186:
différents ? En partie, cela sembl
-
Page 187 and 188:
5.5.5. Fonctions de l’expression.
-
Page 189 and 190:
que c’est par le détour d’autr
-
Page 191 and 192:
Nous reviendrons brièvement sur ce
-
Page 193 and 194:
l’expression du consultant, d’i
-
Page 195 and 196:
chose. […] former, donner ou cré
-
Page 198:
Troisième partie :Méthodologie.
-
Page 201 and 202:
Si donc la pratique nécessite de f
-
Page 203 and 204:
essentiellement des OPI (Objectifs
-
Page 205 and 206:
moments de silence favorisent pour
-
Page 207 and 208:
7.3.2. Conséquences et limites.Ce
-
Page 209 and 210:
perche qui lui est tendue, mais jam
-
Page 211 and 212:
7.4.1. Une analyse de discours.Mon
-
Page 213 and 214:
histoire sociale telle qu’elle s
-
Page 215 and 216:
évidence des éléments ainsi mis
-
Page 217 and 218:
Marthe se reconvertit suite à une
-
Page 219 and 220:
d’une expression. Cette ambivalen
-
Page 221 and 222:
8. Bernard : « le cas classique du
-
Page 223 and 224:
Nous nous renseignons sur les forma
-
Page 225 and 226:
indiquera, avant de conclure, quelq
-
Page 227 and 228:
émunération n’était pas à la
-
Page 229 and 230:
• Une « configuration » d’él
-
Page 231 and 232:
Bernard ne se présente pas à notr
-
Page 233 and 234:
parents, par exemple. D’autres co
-
Page 235 and 236:
La rédaction d’un CV ciblé sur
-
Page 237 and 238:
Il a postulé, au début de sa pér
-
Page 239 and 240:
cela. Il confirmera la fois suivant
-
Page 241 and 242:
Il s’est vu refusé également po
-
Page 243 and 244:
avec ses expériences antérieures
-
Page 245 and 246:
seulement dans un domaine précis,
-
Page 247 and 248:
apidement. Sa formation en électro
-
Page 249 and 250:
[Nous nous saluons en riant et il o
-
Page 251 and 252:
9.4. Conclusion.Le travail mené av
-
Page 253 and 254:
10.2. Chronologie des entretiens.1
-
Page 255 and 256:
elle, « c'est vrai qu'il y a des c
-
Page 257 and 258:
10.3. Analyse.L’entrée en matiè
-
Page 259 and 260:
de ses propos, on voit ici, ainsi q
-
Page 261 and 262:
(elle) prend les choses plus tranqu
-
Page 263 and 264:
l'utiliser ». Elle a travaillé po
-
Page 265 and 266:
Au cours de notre 4 e entrevue, Mar
-
Page 267 and 268:
- Il faut que je vous dise : après
-
Page 269 and 270:
dimensions sont travaillées altern
-
Page 271 and 272:
Cette liaison ne semble pas plaire
-
Page 273 and 274:
Il est malade deux semaines de suit
-
Page 275 and 276:
J’indique qu’il recherche un CE
-
Page 277 and 278:
entretien). Lorsque la justice veut
-
Page 279 and 280:
parce que « les garçons la battai
-
Page 281 and 282:
11.3.2. L’accompagnement de la «
-
Page 283 and 284:
m'avaient dit à l'ANPE que vous al
-
Page 285 and 286:
Les expressions d’une violence di
-
Page 287 and 288:
etourner son histoire sans parvenir
-
Page 289 and 290:
à fournir « des justificatifs, de
-
Page 291 and 292:
la complexité de leurs fonctions e
-
Page 293 and 294:
Si « les mots font l’amour », c
-
Page 295 and 296:
12. Patricia : « on ne passe pas s
-
Page 297 and 298:
elie ces techniques anciennes à l
-
Page 299 and 300:
Elle s’excuse en arrivant : sa s
-
Page 301 and 302:
obtenir la licence, et elle aurait
-
Page 303 and 304:
dans son entourage y ont probableme
-
Page 305 and 306:
sens, celui de vendeuse n’en véh
-
Page 307 and 308:
ainsi replacer Patricia face à la
-
Page 309 and 310:
- C'est intéressant ce que vous di
-
Page 311 and 312:
- Finalement, ça ne m'étonne pas
-
Page 313 and 314:
Cette attitude de dénigrement alli
-
Page 315 and 316:
elle « pourrait » se « débrouil
-
Page 317 and 318:
leur intégrité ? Sans que la rép
-
Page 319 and 320:
parler d’elle-même. Cette réali
-
Page 321 and 322:
et le transfert sur le conseiller s
-
Page 323 and 324:
13. Jeanne : « je n'ai plus rien
-
Page 325 and 326:
totalement aberrant. Elle a bien «
-
Page 327 and 328:
elle ne les a pas envoyées, par ex
-
Page 329 and 330:
lequel elle a discuté dans le trai
-
Page 331 and 332:
elle pourra apporter un contrat de
-
Page 333 and 334:
discutaient « comme si elle était
-
Page 335 and 336:
délégué « qui s’occupe des te
-
Page 337 and 338:
« je me [sic] perçois très bien
-
Page 339 and 340:
Je dois à d’autres moments m’i
-
Page 341 and 342:
davantage à le rassurer lui-même
-
Page 343 and 344:
pour pouvoir décider de partir, av
-
Page 345 and 346:
tension qui en résulte a le mérit
-
Page 347 and 348:
cours des rencontres précédentes,
-
Page 349 and 350:
l’autonomie d’un mouvement impu
-
Page 351 and 352:
s’apercevoir que ce n’est pas c
-
Page 353 and 354:
- J'arrivais chez elle, "ça va ?"
-
Page 355 and 356:
maintenant et supporter son refus p
-
Page 357 and 358:
13.4. Conclusion.L’analyse propos
-
Page 359 and 360:
14. Philippe : « je suis trop dans
-
Page 361 and 362:
qu’il fallait dissocier les deux.
-
Page 363 and 364:
Je lui suggère que c’est peut-ê
-
Page 365 and 366:
Il acquiesce en confirmant qu’à
-
Page 367 and 368:
de rencontres n’est pas défini,
-
Page 369 and 370:
personnes entreprendre elles-mêmes
-
Page 371 and 372:
auprès de nombreux interlocuteurs,
-
Page 373 and 374:
Il me fait part de son appréhensio
-
Page 375 and 376:
suivi et les difficultés rencontr
-
Page 377 and 378:
cependant pas une « lecture "horiz
-
Page 379 and 380:
J’ai été contraint de lui tél
-
Page 381 and 382:
à partir de signifiants propres qu
-
Page 383 and 384:
s’utiliser dans l’entretien d
-
Page 385 and 386:
paperasse. Ça ne doit pas être fa
-
Page 387 and 388:
- Bof ! Pas grand chose ! Elle a qu
-
Page 389 and 390:
autrement, si elle s’était occup
-
Page 391 and 392:
- Ah, c'est très bien, vous avez d
-
Page 393 and 394:
demeure contenue par toutes ces acc
-
Page 395 and 396:
L’attachement est encore percepti
-
Page 397 and 398:
Les notions proposées par Vermersc
-
Page 399 and 400:
15. Conclusion des analyses et ouve
-
Page 401 and 402:
On observe par ailleurs que d’aut
-
Page 403 and 404:
15.2. Questions à reprendre.• L
-
Page 405 and 406:
On rencontre dans la littérature s
-
Page 407 and 408:
Il semblerait que soit à l’œuvr
-
Page 409 and 410:
précis, d’un recours précieux.
-
Page 411 and 412:
CONCLUSION.L’ensemble du travail
-
Page 413 and 414:
Il reste que, sur le plan de la pra
-
Page 415 and 416:
Clot, Y. (1999/2002). La fonction p
-
Page 417 and 418:
Huteau, M. (1999). Pour éclairer l
-
Page 419:
ANNEXE 1 :Sept entretiens.
-
Page 422 and 423:
commission. Ce n'était pas très i
-
Page 424 and 425:
- Oui. D'ailleurs, j'ai été très
-
Page 426 and 427:
Nicolas.38 ans, Moldave, célibatai
-
Page 428 and 429:
[Il me soumet des lettres et CV qu'
-
Page 430 and 431:
- Non, je veux dire améliorer à l
-
Page 432 and 433:
Marthe.54 ans, divorcée- Alors, l'
-
Page 434 and 435:
- Oui, oui, tout à fait. Elle éta
-
Page 436 and 437:
j'ai aussi ma vie, et puis je vais
-
Page 438 and 439:
Rémi.45 ans, veuf, 3 enfants.- Vou
-
Page 440 and 441:
- Pourrait-il travailler dans le se
-
Page 442 and 443:
Il me téléphone au moment du rend
-
Page 444 and 445:
quarantaine ou la cinquantaine, je
-
Page 446 and 447:
du travail, il y a quelque chose, m
-
Page 448 and 449:
ça fait tourner leur économie. J'
-
Page 450 and 451:
- Je me rends compte que j'ai des e
-
Page 452 and 453:
- Oui, mais il n'est pas marqué di
-
Page 454 and 455:
travailler, mais là, pour l'instan
-
Page 456 and 457:
des anciens amis, ceux de l'époque
-
Page 458 and 459:
quand même quitter la région. En
-
Page 460 and 461:
proprement. Elle a vendu récemment
-
Page 462 and 463:
elle. Elle est très bien, il faut
-
Page 464 and 465:
- Parce le système d'autoformation
-
Page 466 and 467:
façon, la vie est un rouleau compr
-
Page 468 and 469:
Philippe.24 ans, célibataire, nive
-
Page 470 and 471:
[Il pose les fiches métiers devant
-
Page 472 and 473:
- ça va ?- Bof ! Moyen !- Oh là !
-
Page 474 and 475:
- Des anesthésistes.- Ah, oui. Nou
-
Page 476 and 477:
autre. Je pourrais téléphoner pou
-
Page 478 and 479:
- C'est très bien ça ; s'il dit q
-
Page 480 and 481:
votre semaine de stage, il nous res
-
Page 483 and 484:
ANNEXE 2 :TRAJECTOIRES.
-
Page 485 and 486:
dans une entreprise de transport, p
-
Page 487 and 488:
notaire et que je fasse des études
-
Page 489 and 490:
- Vous connaissez la comptabilité
-
Page 491 and 492:
- On apporte quelque chose, ce n’
-
Page 493 and 494:
heures d'accalmie. La douleur, disa
-
Page 495 and 496:
41 ans, un enfant.Fiche 6.Elle pren
-
Page 497 and 498:
- En fait, j'ai fait en France l'é
-
Page 499 and 500:
2 e entretien.[Elle arrive avec son
-
Page 501 and 502:
Fiche 10.25 ans, 2 enfants, elle vi
-
Page 503 and 504:
- Pourquoi vous ne faites pas Assis
-
Page 505 and 506:
33 ans, marié, 1 enfant, une maiso
-
Page 507 and 508:
Fiche 14.41 ans, 3 enfants, niveau
-
Page 509 and 510:
Fiche 16.27 ans, mariée, 1 enfant,
-
Page 511 and 512:
Fiche 18.Nerveux, il m'explique tou
-
Page 513 and 514:
38 ans, célibataire, sans enfant,
-
Page 515 and 516:
56 ans, il a tenu, durant 30 ans, l
-
Page 517 and 518:
55 ans, elle a 15 ans d'expérience
-
Page 519 and 520:
Il a deux enfants dont il s'occupe
-
Page 521 and 522:
Elle a travaillé dans des organism
-
Page 523 and 524:
Nous mettons au point une stratégi