AUTOROUTE DE MENTON
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Les essais d'identification Y = 2 t/m : 'Y D ~ 1,73 t/m 3(matériau dense) W1 (consistance>dure) et les essais de cisaillement non drainé montrentque la valeur de cette cohésion est bien supérieureà ces valeurs et est de l'ordre de 10 à15 t/m 2 .Cela explique que les premiers désordres aient intéresséle talus d'éboulis de la fouille.A long termeLe calcul a été conduit en admettant pour les limonsmarneux les caractéristiques mécaniques suivantes := 0 = 30°et en tenant compte des forces de pesanteur et desforces d'écoulement. Faute d'observations suffisantessur les conditions réelles de l'écoulement, on asupposé que la nappe était parallèle au plan deglissement DE et l'écoulement rectiligne uniforme.On a alors déterminé la hauteur minimale de lanappe H au-dessus du toit des limons pour obtenirun coefficient de sécurité égal à 1 (F = 1). Lesrésultats obtenus ont été les suivants (fig.23 et 2A).Ces hauteurs sont relativement importantes. Ellesconfirment le rôle primordial des précipitations dansl'apparition du glissement. Une telle remontée de laProfil c' ?' F H71 0 30° 1 5,3 m72 0 30° 1 3,7 mnappe ne paraît pas impossible compte tenu descaractéristiques de la zone intéressée :— présence d'un surcreusement, constituant un véritablethalweg, comblé d'éboulis ;— ruissellement faible à nul sur les éboulis perméableset déjà fissurés antérieurement au glissement;— alimentation par la falaise calcaire fissurée,jouant le rôle de réservoir ;— débouché vers l'aval relativement restreint.Dans ces conditions les dispositions suivantes ontété adoptées :— renoncer à l'exécution d'un coin frottant ;— contrôler les variations de la nappe par la posede plusieurs piézomètres, en vue de décider del'exécution éventuelle d'un drainage par drains subhorizontaux;— achever les terrassements en réalisant éventuellementun masque drainant pour la protection dutalus ;— relever périodiquement un profil en travers duglissement dans la zone centrale pour être alertéen cas de reprise des mouvements.97
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Les essais d'identification Y = 2 t/m : 'Y D ~ 1,73 t/m 3(matériau dense) W1 (consistance>dure) et les essais de cisaillement non drainé montrentque la valeur de cette cohésion est bien supérieureà ces valeurs et est de l'ordre de 10 à15 t/m 2 .Cela explique que les premiers désordres aient intéresséle talus d'éboulis de la fouille.A long termeLe calcul a été conduit en admettant pour les limonsmarneux les caractéristiques mécaniques suivantes := 0 = 30°et en tenant compte des forces de pesanteur et desforces d'écoulement. Faute d'observations suffisantessur les conditions réelles de l'écoulement, on asupposé que la nappe était parallèle au plan deglissement <strong>DE</strong> et l'écoulement rectiligne uniforme.On a alors déterminé la hauteur minimale de lanappe H au-dessus du toit des limons pour obtenirun coefficient de sécurité égal à 1 (F = 1). Lesrésultats obtenus ont été les suivants (fig.23 et 2A).Ces hauteurs sont relativement importantes. Ellesconfirment le rôle primordial des précipitations dansl'apparition du glissement. Une telle remontée de laProfil c' ?' F H71 0 30° 1 5,3 m72 0 30° 1 3,7 mnappe ne paraît pas impossible compte tenu descaractéristiques de la zone intéressée :— présence d'un surcreusement, constituant un véritablethalweg, comblé d'éboulis ;— ruissellement faible à nul sur les éboulis perméableset déjà fissurés antérieurement au glissement;— alimentation par la falaise calcaire fissurée,jouant le rôle de réservoir ;— débouché vers l'aval relativement restreint.Dans ces conditions les dispositions suivantes ontété adoptées :— renoncer à l'exécution d'un coin frottant ;— contrôler les variations de la nappe par la posede plusieurs piézomètres, en vue de décider del'exécution éventuelle d'un drainage par drains subhorizontaux;— achever les terrassements en réalisant éventuellementun masque drainant pour la protection dutalus ;— relever périodiquement un profil en travers duglissement dans la zone centrale pour être alertéen cas de reprise des mouvements.97