Prix n° ] + 4 : Déblai dansle rocher2X 0,10 = 0,75 m''7,60 + 6,23X 0,65 =26,23 + 5,59X 1,85 =24,46 itï-10,93 nï226,00 Plate.forme226,005,59 + 3.60X 1,70 = 7,81 m-23,60 + 1,90X 1,70 = 4,67 m-21.90 + 1,48Volume30.48X3,759,90X1.10 J Xr = 37,620 m10,00X1.10-Xr = 38,000 m := 189,920 m :Prix no 7 : P.V. pour puits233.40 — 216,10 = 17,30228,00 — 216,00 = 12,007b) 12,00X1.10-Xr=45,600 rrï7c) 17,30X1,10=xr=65,740 m :Fig. 7 - Gorbio, pile 1.Profil n° 4 de mesure, longueur d'application 7,50 m/2 = 3,75 m.Fig. 8 - Au premier plan, stockage d'armatures refusées.preneur et les heures de présence par qualification,les quantités de matériaux mises en œuvre, lesstocks réceptionnés, les incidents de chantier etobservations dignes d'intérêt notamment sur lesmatériels. C'est un document contradictoire qui permeta posteriori de retracer le déroulement du chantierau jour le jour ;— des attachements en quantités pour tout ce qui nepeut être vérifié après exécution, allant du simplecertificat de conformité à un plan d'exécutionapprouvé (ferraillage de tablier par exemple) jusqu'aurelevé détaillé (par exemple, démolition d'ouvragetrouvé dans les fouilles, niveau du rocher, heuresd'engins en régie, etc.).Des imprimés, différenciés par couleur, ont été misau point pour recueillir ces constats.Ce surveillant, déchargé des contrôles topographiquesessentiels comme cela a déjà été dit, n'enutilise pas moins le niveau de chantier et la chaîned'arpenteur, ne serait-ce que pour relever les profilsavant et après une fouille, lorsque la section topographiquen'a pas relevé le sol en place avantexécution. 370 000 mètres cubes de terrassementsde tous ordres ont été pris en attachement (fig. 7).Sa tâche ne se limite pas à cela, car il doit veillerà la bonne exécution des ouvrages ainsi qu'à laqualité des matériaux avec l'aide des agents dulaboratoire. Il n'a pas pouvoir de décider d'une modificationou d'arrêter un travail non conforme maisil en avise immédiatement son supérieur (fig. 8).Pour 91 000 m" de bétons de toutes natures mis enœuvre, le poids des aciers pour armatures (saufprécontrainte) atteint 6 000 000 kg.Enseignements et conclusionsLa tâche la plus écrasante pour la maîtrise del'œuvre, pendant toute la durée du chantier fut lacoordination des travaux des trois groupements d'entrepreneursdifférents, travail qui affectait chaquesubdivision puisqu'aucun échelon n'y était exclusivementconsacré (fig. 9).Les chantiers confiés à chaque groupement, furenten effet ouverts simultanément de façon à gagnersur le coût et le délai globaux de l'opération en lesrendant alternativement tributaires les uns desautres. Ainsi se faisaient les plates-formes en terrepour le lancement des viaducs, tandis que ces derniers,associés aux tunnels, simplifiaient, une foisconstruits, les mouvements des terres, cependant quel'énorme réseau de desserte du chantier était communà tous. Si bien qu'en cas de retard sur certainestâches de l'un des plannings, les doléancess'adressaient au maître d'oeuvre, et l'occasion étaitparfois belle pour tenter de lui faire endosser lesconséquences financières des habituelles sujétionsde voisinage entre entrepreneurs différents.Les économies escomptées par la simultanéité destravaux étaient sans commune mesure avec le coûtd'un échelon de coordination qui, pourtant, faute demoyens, n'a pu être mis en place. Ou bien alorsfaut-il penser que, malgré les grandes différencesde qualifications réclamées par des terrassements,tunnels et viaducs de cette importance, la solution166
Fig. 9 - Sur une plate-forme de 50 m de long, les trois spécialités se rencontrent : tunnels, terrassements, viaducs.était dans un découpage du chantier en lots géographiques,la coordination devenant alors affaire d'entrepreneurs? Cela se pratique sur des chantiersautoroutiers classiques mais l'avantage est, dans lecas qui nous préoccupe, loin d'être démontré. Lesaccès exceptionnellement difficiles et leur entretienfort coûteux seraient restés communs aux diverslots. On peut aussi penser à un lot unique.Dans les deux cas, la mise au point du marchéeut été des plus compliquées. Si de telles questionsne trouvent pas encore réponse, c'est parce que l'ontermine tout juste les premiers kilomètres d'autorouteen site montagneux, longueur infime du réseauclassique sur lequel l'attention a tout naturellementété concentrée jusqu'à présent.Le retard dans la mise en place des services desurveillance et leur sous-équipement a eu, entreautres, la conséquence suivante sur le fonctionnementde la subdivision. Le début du chantier, c'est-àdirel'époque des fondations, réclamait le plus grostravail de métrés, or il fut matériellement impossiblede les rendre définitifs au fur et à mesure de l'avancement.Ce retard initial ne fut comblé que très lentement,en l'absence d'un métreur attaché à lasubdivision.Les situations mensuelles quittaient la subdivisionsensiblement quinze jours après la fin de chaquemois de travail. Elles étaient établies d'après métrésprovisoires serrant la réalité au plus près, mais necomportaient pas de travaux terminés, faute demétrés définitifs.Plus tard, lorsque l'on régularise, il y a d'une partaccumulation de travail, d'autre part risque de dépensessupplémentaires puisque les conditions économiquesvarient avec le temps constamment dansle sens de la hausse. Cela valait certainement lapeine de faire la dépense d'un métreur.Les convictions suivantes, acquises à l'occasiond'une réalisation importante confiée, selon les modalitésclassiques d'un marché, par un maître d'ouvragefinançant les travaux, à un entrepreneur les exécutant,serviront de conclusion.167
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x Sondage électrique• Sondage di
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