≡ Édito - FSE Académie de Paris

Lettre FSE n° 3Janvier-février 2011________________________________________________________________________________________________≡ ÉditoM. Claude Michellet a rappelé dans sondiscours d’ouverture que l’académie de Paris étaitengagée et mobilisée dans la mise en œuvre de laProgrammation « Compétitivité régionale et emploi ».Il a ajouté que le FSE constituait ainsi un enjeustratégique pour l’académie et a signalé la nécessité dedévelopper de nouvelles actions FSE en formationinitiale et continue – et ce d’autant qu’il reste desmoyens financiers.Cette Lettre FSE est entièrement consacréeaux échanges, témoignages et propositions faites lorsde ce séminaire. Nous vous donnons ainsi la restitutiondes trois ateliers. Nous savons désormais que la valeurajoutée du FSE est bien connue de la communautééducative, notamment comme levier financier en appuides stratégies académiques. Un effort reste cependant àfaire pour l’accompagnement des publics fragilisés telsMonsieur Claude Michellet, directeur de l’académie de Parisles élèves handicapés.Le séminaire organisé par la cellule d’assistance En attendant la future programmation 2014-2020 et lestechnique FSE (Fonds Social européen) du GIP-FCIP simplifications demandées pour le montage et le suivi(Formation Continue Insertion Professionnelle) de des dossiers, je vous invite à contacter la celluleParis et intitulé « Les projets FSE de l’académie de d’assistance technique FSE, qui est prête à soutenirParis : réalisations et perspectives » s’est tenu le 8 l’émergence de nouveaux projets et à les accompagnerdécembre 2010 à l’École Nationale de Commerce et a dans leur réalisation.marqué un temps fort dans notre calendrier.Sylvie KorbDirectrice du GIP-FCIP, déléguée académique adjointeformation continue________________________________________________________________________________________________≡ Questions à… Claudine CrinonResponsable de la cellule FSEPourquoi ce séminaire en cette fin d’année 2010 ?Nous sommes à la mi-temps de la programmation 2007-2013, « Compétitivité régionale et emploi ». Il nous adonc semblé nécessaire de faire le point et decommuniquer sur les projets qui ont été réalisés ces troisdernières années, mais aussi sur les projets en cours.Nous avions de même organisé un séminaire en janvier2007 à l’issue de la précédente programmation, « Objectif3, se former tout au long de la vie » (2003-2006).Les priorités du séminaire étaient de mettre en valeur laplus-value apportée par le FSE dans les projets, defavoriser les échanges entre les porteurs et de mesurerl’apport du FSE pour les publics cibles. Nous avonspensé que le format « atelier » était propice à uneparole libre et aux échanges constructifs.Il était essentiel que soient présentés lors de ceséminaire des projets concrets, afin de ne pas voir leFSE sous un jour contraint et administratif.Quelles leçons tirez-vous du séminaire ?Déjà une première satisfaction : plus d’une centaine depersonnes ont en effet affronté la tempête de neige ence mercredi 8 décembre pour venir à l’École Nationalede Commerce prendre part à ces échanges. Autresatisfaction : la diversité des participants. Nous avonspu ainsi échanger avec des porteurs chevronnés et desnouveaux, des partenaires extérieurs à l’éducationnationale, des inspecteurs, des responsables demissions académiques, des chefs d’établissement, desformateurs…1

À travers la richesse des contenus - et toutparticulièrement dans les ateliers - nous avons constatéà quel point les acteurs des projets ont besoin de serencontrer.Le prochain séminaire qui devrait se dérouler en fin deprogrammation 2013 sera certainement plus ouvert surles perspectives de la politique européenne.Il pourrait être organisé par les cellules FSEde Paris, Créteil et Versailles pour unerencontre interacadémique.D’ici là, nous envisageons des tables rondesthématiques ouvertes à tous les acteurs.Après ce séminaire, quelles sont lesperspectives pour le FSE dans l’académiede Paris ?Nous espérons que le FSE fera des émuleset que le séminaire suscitera de fortesmotivations pour utiliser cet instrumentfinancier.Comme l’a fait remarquer M. ClaudeMichellet, directeur de l’académie de Paris,des champs d’action doivent être davantageexplorés, d’autant plus que des fonds relatifsà la programmation en cours restent sous-utilisés.À ce sujet il est indispensable de travailler sur l’axe 3et sur la mesure « Lutter contre les discriminations ».M.Michellet a ainsi préconisé de monter des projets endirection des élèves handicapés.De même, il y aurait tout intérêt à travailler davantageavec les GRETA autour de thèmes comme « Alternance», « Vieillissement actif » et « Ressourceshumaines ».Bien entendu nous suivons attentivementl’ensemble des projets de laprogrammation en cours. J’en profitepour rappeler à tous les futurs porteursque la cellule d’assistance technique est àleur disposition pour les aider à monterles projets et pour les accompagner toutau long de la réalisation.Sachez que l’après 2013 se prépare déjàet que les négociations sont en cours pourdéfinir les grands axes de laprogrammation 2014-2020.Claudine Crinon, responsable de la cellule FSEPropos recueillis par Aïcha Kherroubi etJean-Claude Arrougé, chargés de mission (FSE)________________________________________________________________________________________________≡ « Renouer avec la réussite scolaire »Cet atelier témoignait des différents dispositifs relevantde l’axe 3 du Programme opérationnel « Compétitivitérégionale et emploi » du FSE, « Renforcer la cohésionsociale, favoriser l’inclusion sociale et lutter contre lesdiscriminations » − et notamment de la sous-mesure 2-2 : « lutter contre le décrochage et l’abandon scolaireprécoce ». L’axe 3 mobilise près de 40 % des créditsalloués par le FSE, tant sur le plan national queparisien.Peggy Colcanap (DGESCO) et Francis Alin, IA-IPRPlusieurs établissements relevant des Réseaux ambitionréussite (RAR) et des Réseaux réussite scolaire (RRS)ainsi que des services académiques du Centreacadémique pour la scolarisation des élèves nouveauxarrivants et des enfants du voyage (CASNAV), de laMission académique éducation prioritaire (MAEP) etde la Politique de la ville, réalisent des projetsrépondant à ces priorités. Certains dispositifs existentdepuis plusieurs années − ainsi le Dispositif desocialisation et d’apprentissage (DSA), spécificitéparisienne initiée en 2005 par Mme Vassilieff, IENchargée de l’information et de l’orientation. Celui-cipermet aux établissements ayant un grand nombred’élèves en difficultés de mettre en place un projet surplusieurs sessions annuelles pendant lesquelles cesélèves bénéficient d’un programme éducatif avecaccompagnement individualisé. Pour contribuer à laréalisation de ces dispositifs, les établissementsvolontaires sont dotés par l’académie de 12 heuressupplémentaires-année. Le FSE, quant à lui, apportedes moyens qui permettent la participation dans leDSA de prestataires extérieurs (arts et culture, sport,santé, secourisme, psycho-ethno…). Comme lesouligne Mme Vassilieff, « ces actions conjuguées fontdu DSA un laboratoire d’innovations ». Actuellement25 DSA sont mis en place essentiellement par et dansdes établissements en éducation prioritaire, dontplusieurs bénéficient d’une aide du FSE.Le Programme opérationnel a facilité une rechercheactionsur l’absentéisme conduite sous la houlette deFrancis Alin, IA-IPR, associant chercheurs, servicesacadémiques et une dizaine d’établissements. Lespréconisations émanant de cette recherche ont donnéaux responsables des établissements et aux équipespédagogiques des pistes de travail pour mener desactions préventives contre l’absentéisme.2

L’utilisation des fonds FSE favorise d’autres projetsd’envergure. Ainsi le projet « Élèves en rupture…Reconstruire sa posture d’élève pour renouer avec laréussite », initié par le service dela MAEP, concerne 23établissements de 4 arrondissementsde Paris (10 e , 11 e , 19 e ,20 e ). Ce dispositif basé au 172rue Pelleport (Paris 20 e )accueille, comme le souligne M.Lefeuvre, IA-IPR, responsabledu CASNAV et de la MAEP, des« élèves en situation d’exclusionscolaire sans être passés par leconseil de discipline ».Les actions menées concernentl’anticipation et la prévention, leraccrochage scolaire avecremobilisation des élèves et modalités de retour enclasse. Le cofinancement du FSE permet, lui, d’innoveret de monter des actions au « carrefour de prestationsscolaires, sanitaires, sociales, psychologiques,sportives, de loisirs, sans omettre la médiationparentale ».Le collège en RAR Georges-Clemenceau (18 e ),représenté par son principal Daniel Tarragon et lacoordinatrice du RAR, Christiane Merle, s’est lancédepuis la rentrée 2010 dans « Savoirs Oral Attitude »,un projet FSE original et constructif. « SOA » concerneun nombre restreint d’élèves (environ 12) bénéficiantde 3 ateliers de remédiation sur toute l’année scolaire.Avant l’intervention du FSE, ces ateliers nes’adressaient qu’à desélèves du niveau 5 e et neproposaient que des activitéspurement scolaires.Quel est l’apport spécifiquedu FSE dans ce projet ?- d’une part le dispositifconcerne dorénavant deuxniveaux 5 e et 4 e ;- d’autre part des ateliersculturels (théâtre et vidéo),donc une pratique artistiqueencadrée, contribuent àremobiliser les élèves surles apprentissages.Les discussions qui ont suivi ces témoignages ont misl’accent sur l’intérêt pour les équipes éducatives departiciper à des projets FSE : les enseignantsapprennent en effet à mieux travailler ensemble,s’ouvrent sur des partenariats extérieurs. Les porteursde projets soulignent que le FSE contribue à créer denouveaux outils et à faire évoluer les pratiquespédagogiques.Restitution : Aïcha Kherroubi et Jean-Claude Arrougé, chargésde mission FSE________________________________________________________________________________________________≡ « Compétences et savoirs »Cet atelier présentait un ensemble d'actionscomplémentaires destinées à des publics trèsdifférents. Le champ des compétences et savoirs a étéabordé, tant au niveau de l'ingénierie pédagogique quepour ses applications directes vers les publicsbénéficiaires.• Élaboration, adaptation et insertion des compétencesclés dans l’offre de prestation du réseau des GRETA deParisSelon le cadre de référence européen, ce projet a pourobjectif de développer une ingénierie pédagogiqueinnovante par l'approche de compétences-clés dans lecadre des GRETA (Groupement d'établissementspublics locaux d'enseignement).Charles Recio, chef de projet FSE (Cafoc)Les huit compétences-clés constituent un ensemble deconnaissances, d'aptitudes et d'attitudes nécessaires àtout individu pour son épanouissement, sondéveloppement personnel, sa citoyenneté active, sonintégration sociale et professionnelle.Un partenariat avec les entreprises, les OPCA(Organisme paritaire collecteur agréé), apporte unenouvelle réponse formation adaptée aux emplois et auxpersonnes.Les compétences-clés répondent à un besoin bienidentifié et sont aujourd'hui partie intégrante de toutcursus vers l'employabilité ou le maintien dansl'emploi.• Corinthe, parcours professionnalisant, compétences etreconnaissance des travailleurs handicapés desÉtablissements et services d’aide par le travail (ESAT)Anne Verger, Conseillère en formation continue, Greta des métiersde la santé et du social (M2S)Les bénéficiaires de ce projet FSE sont des personnesatteintes de tous types de handicaps et travaillant dansun ESAT. Les actions se sont réalisées sur trois années,avec une courte visite aux Pays-Bas.« Corinthe » vise la reconnaissance professionnelle dece public et passe par l'élaboration d'un portefeuille decompétences. Ce portfolio permet un positionnement et3

pour certains un accompagnement dans le parcoursd'une VAE (Validation des acquis de l'expérience).La professionnalisation de ces travailleurs handicapéss'effectue aussi par l'acquisition de nouvellescompétences. Après évaluation, un ensemble demodules de formations techniques professionnalisantesont été organisés.Cet accompagnement à l'insertion vers le « milieuordinaire » concerne deux métiers : les espaces verts[CAP Agricole] et la restauration collective APR(Agent polyvalent de restauration [CAP E.N.]). De2008 à 2010, 23 personnes ont constitué leurportefeuille de compétences.Un outil multimédia à destination des ESAT et destravailleurs handicapés a été réalisé dans le cadre duprojet « Corinthe ». Il rend compte de la démarche duGRETA (portfolio, formation des moniteurs) et donnedes informations sur les différentes étapes d'une VAE.La seconde partie destinée aux travailleurs handicapésest également un outil de perfectionnement etd'approfondissement utilisable à leur rythme.• Approfondir ses compétences linguistiques pour mieuxréussir dans la voie professionnelle18 lycées professionnels de l’académie de Paris se sontinvestis dans ce projet. L’objectif est de répondre auxGisèle Letoulat, IEN-ET lettres, et Brigitte Rebmeister,conseillère Délégation académique à la formation (DAFOR)difficultés scolaires rencontrées par les jeunes lycéens,dont les lacunes dans la maîtrise de la langue française,risquent d’entraîner l’échec ou la rupture dans leparcours scolaire.Ce projet a permis la création d’outils spécifiques,l’accompagnement des élèves avec un repérage très findes difficultés rencontrées ainsi que la formation desenseignants-formateurs et accompagnateurs.En 2009, 320 élèves de première année des classes deCAP, BEP et bac pro ont été pris en charge sur 1666testés.•Action d’accueil et de rescolarisation, Cycle d’insertionprofessionnelle par alternance (CIPPA linguistique)Le CIPPA linguistique vise à préparer à une insertionscolaire et professionnelle des jeunes de 16 à 18 ans,sortant de classe d’accueil ou banale sans orientationou exclus de leur établissement d’affectation. Leursdifficultés sont essentiellement dues à une maîtriseinsuffisante de la langue française.Nora Bouhali, coordinatrice Mission générale d’insertion (MGI)Les cours sont centrés sur l’apprentissage de la langue,mais l’objectif est également de rendre l’élève apte àfaire « quelque chose » à l’aide du français. Il ne s’agitpas seulement d’amener l’élève à connaître la languefrançaise. L’enjeu est aussi pour ce public decomprendre les cours, les consignes et le vocabulairede la classe, afin d’intégrer un établissementprofessionnel ou de signer un contrat d’apprentissage.Après des sessions d’information et d’orientation, lesélèves sont intégrés dans les ateliers de rescolarisation.La phase de formation, avec une consolidation et unrenforcement des savoirs de base, des savoirs faire etdes savoirs être, se déroule d’octobre à juillet, avec desentrées permanentes.La MGI propose un rattrapage individuel aux élèvesayant manqué un cours et un accompagnementpersonnalisé à ceux qui en ont besoin. Les cours defrançais sont dispensés en fonction du niveau desélèves puis répartis en quatre compétences(compréhension orale, expression orale, compréhensionécrite, expression écrite).Enfin, la MGI propose une phase d’accompagnement àl’insertion dans un parcours qualifiant et diplômantdans un emploi.Restitution : Jean-Pierre Martinet, chargé de mission (FSE)4

________________________________________________________________________________________________≡ « Du parcours personnel à l’insertionprofessionnelle »Le GIP-FCIP de l’académie de Paris initie etaccompagne des projets qui vont « du parcours personnelà l’insertion professionnelle ». Quels sont les projetscofinancés par le FSE sur les mesures prioritaires desaxes 1 et 3 du Programme opérationnel national ?• Actions d’accueil et de rescolarisation, Lieu d’accueilcommun (LAC)Intervenante : Lilia Akkari (MGI)Piloté par la Mission générale d’insertion, le LACs’adresse à des jeunes de plus de 16 ans en difficultés,des classes de troisième ou de seconde professionnelle.Ce projet se caractérise par la mise en place d’un lieud’accueil commun au sein duquel les élèves suiventleur cursus scolaire individualisé et participent à desactivités diverses (photo, escalade, etc.) encadrées pardes équipes éducatives et des partenaires extérieurs.Les effectifs des classes sont limités et le contenu desprogrammes adapté. Ces approches favorisent larescolarisation des élèves et l’obtention d’un diplôme.• Parcours d’orientation en classes d’accueilCe projet vise à accroître les missions du CASNAV(Centre académique des nouveaux arrivants et des gensdu voyage) dont le rôle est d’évaluer, dès son arrivée,les acquis de l’élève en français et en mathématiques(dans sa langue natale) afin de l’intégrer dans uneclasse accueil (CLA) et de l’orienter vers une formationdiplômante.Nadine Croguennec et Cécile Massard, formatrices CASNAV• Renforcement des prestations Validation des Acquis etde l’Expérience (VAE) pour les demandeurs d’emploiLaurence de Lavau, responsable du DAVAPartant du constat que l’accès à la VAE est souvent uneprocédure difficile pour les demandeurs d’emploi, leDAVA (Dispositif académique de validation desacquis) de Paris a monté un projet visant à renforcerl’accompagnement des demandeurs.À cet effet le FSE intervient encomplément du dispositifchéquier VAE financé par laRégion Ile-de-France enproposant des prestationscomplémentaires au parcoursde 12 h du chéquier VAE.L’apport du FSE consiste en unatelier d’aide à la constitutiondu dossier administratif (livret 1), un entretien de suiviindividualisé, un atelier de préparation à l’entretiendevant le jury, un entretien conseil post-jury en cas devalidation partielle. Ces prestations ont pour objectif desécuriser le parcours d’accompagnement VAE etd’améliorer les conditions de réussite des candidats.À l’issue de l’année 2009, le cap des 200 demandeursd’emploi ayant bénéficié de ce dispositif a été atteint.• Renforcement du pôle sanitaire et socialVéronique Dalles (CFC-Greta M2S) et Jean Toussaint(président de l’association Coup d’main)Le financement du FSE pour le renforcement du pôleVAE sur la période 2008-2009 conforte au sein duGRETA M2S une politique VAE active. Encollaboration avec l’association Coup d’main, leGRETA a conçu, en direction des demandeursd’emploi, un dispositif de VAE dans le secteursanitaire et social, dont les perspectives de travail sontnombreuses. Le projet a consisté en unaccompagnement renforcé de plus d’un an. Le tempsconsacré a servi à dispenser des formations adaptéesaux besoins de ces publics (alphabétisation…).La première campagne FSE lancée en 2007 a permis uneamélioration des tests initiaux, notamment des testsmathématiques, ainsi que du centre de ressources.Un nouveau projet intitulé « parcours d'orientation pour lesélèves de classe d'accueil » a été déposé par le CASNAVpour la période 2010/2012 dont les objectifs sont de réussirl’insertion scolaire, sociale et professionnelle des élèvesnouvellement arrivés, puis de construire un parcoursd’orientation individualisé en mutualisant les ressources desétablissements et du territoire.Des outils d'accompagnement seront créés : unebrochure/DVD d'une heure comprenant des vidéos etdes fiches de mise en situation de recherche de stage etdes documents pour l'orientation ; un site dédié àl'orientation sur le portail de l'académie de Paris ; desenregistrements d'émissions radio sur la découverte desmétiers.• Dispositif d’accompagnement vers l’insertion professionnelledes personnels en contrats aidés de l’académiede Paris (CAE)Thierry Marcel et Brigitte Lacombe (Greta tertiaire)Piloté par le CAFOC, en collaboration avec le GretaTertiaire Paris-Centre, ce projet vise l’insertionprofessionnelle durable des contrats aidés del’académie de Paris.Les personnes concernées par ces contrats ont accès àun accompagnement personnalisé assuré par desconseillères : construction de leur projet professionnel,formations individualisées en fonction des profils etdes projets de chacun, le tout cofinancé par le FSE.Depuis sa création, ce dispositif accompagne, chaqueannée, près de 700 personnes dont 77 %de femmes,toutes tranches d’âge confondues.Restitution : Brice Lamenie, chargé de mission (FSE)5

Contacts de la cellule du FSEClaudine Crinon - Responsable de la CelluleTél. : 01 44 62 39 15 - Courriel : claudine.crinon@ac-paris.frCéline Arnaud - Chargée de missionTél. : 01 44 62 35 27 - Courriel : celine.arnaud@ac-paris.frJean-Claude Arrougé - Chargé de missionTél. : 01 44 62 35 03 - Courriel : jean-claude.arrouge@ac-paris.frAïcha Kherroubi - Chargée de missionTél. : 01 44 62 39 14 - Courriel : aicha.kherroubi@ac-paris.frBrice Lamenie - Chargé de missionTél. : 01 44 62 35 27 - Courriel : brice.lamenie@ac-paris.frJean-Pierre Martinet - Chargé de missionTél. : 01 44 62 44 07 - Courriel : j-pierre.martinet@ac-paris.frSophie Prade - Chargée de missionTél. : 01 44 62 39 54 - Courriel : sophie.prade@ac-paris.frZohra Ajem - Gestionnaire FSETél. : 01 44 62 35 18 - Courriel : zohra.ajem@ac-paris.frElisabeth Godefroy - AssistanteTél. : 01 44 62 39 36 - Courriel : elisabeth.godefroy@ac-paris.fr≡ Les dossiers des projets peuvent être déposés tout au long de l’année auprès de la cellule FSE.Ils font ensuite l’objet d’une instruction par la cellule avant le passage en Commission Technique Académique. DesCTA ont lieu environ tous les deux mois.Projets retenus lors de la CTA du 18 janvier 2011Ils concernent :l’axe 1 : Adaptation aux mutations économiques- « Mieux accompagner l’alternance pour sécuriser les parcours de professionnalisation » (CAFOC)etl’axe 3 : Cohésion et inclusion sociale, lutte contre les discriminations- « Maîtriser la langue et développer sa culture pour prévenir et éviter le décrochage scolaire » du collège Marie-Curie (Paris 18 e )- « Varèse Innovation Plurielle (VIP) » du collège Edgar-Varèse (Paris 19 e )- « Dispositif d’accompagnement vers l’insertion professionnelle des personnels en contrats aidés CUI-CAE del’académie de Paris » (CAFOC).Cellule d’Assistance Technique FSE du GIP-FCIP,44, rue Alphonse-Penaud – 75020 Paris℡01.44.62.39.36 – 01.44.62.39.51 http://gipfse.scola.ac-paris.frSiret : 18751265200012 – NAF 8559ADéclaration d’activité enregistrée sous le numéro 11753771575Cet enregistrement ne vaut pas agrément de l’ÉtatLa Lettre du Fonds Social Européen est une publication du GIP-FCIP de ParisResponsables de la publication : Sylvie Korb, Claudine Crinon.Rédacteurs : Jean-Claude Arrougé, Aïcha Kherroubi, Brice Lamenie, Jean-Pierre Martinet. Photographies : Sophie PradeCollaboratrices : Zohra Ajem, Elisabeth Godefroy.6