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BombasEjemplo de cálculo:¡Para la prevención de incrustaciones, los medios bombeados quecontienen sólidos deberán tener por lo menos las velocidades deflujo siguientes!AYUDASDE CÁLCULOAgua de contaminación normalAgua con arena (partículas de arena < 0,1 mm)Agua con arena (partículas de arena < 0,6 mm)Agua con gravaAgua con grava gruesa1,0 m/s1,5 m/s2,5 m/s3,5 m/s4,0 m/sALTURA DE PRESIÓN TOTALMetrosPS2 1503PS2 2203PS2 3703PS3 1503PS3 2203PS3 3703PS4 370335302520151050l/min 0 250 500 750 1000 1250 1500


APPELS À COMMUNICATIONSL’APPRÉCIATION LANGAGIÈRE DE LA NATURE : LE NATUREL,LE TEXTE ET L’ARTIFICEXXIIe Colloque de l’ Asociación de Profesores de Francés de la Universidad Española(APFUE), Université de Jaén, du 24 au 26 avril 2013 à l’Université de JaénDate limite: 9 janvier 2013Lignes thématiquesa) Aspects littéraires-La Nature dans les textes, les textes de la Nature (l’intériorisation de la poésie, description et rôle dupaysage, réalisme ou symbolisme, les formes fuyantes), l’expression symbolique de la Nature, les mythesde la Nature, le corps, la Nature comme voie escarpée vers la grâce (les pèlerinages), le voyage et ledébordement de la localisation géographique (études coloniales et postcoloniales), l’appel du bout de laterre, l’ancrage biographique dans la Nature, les risques du sublime dans la Nature, la lumière, la Nature etles sens, le mythe du sauvage, etc.-Les enjeux théoriques et leurs implications méthodologiquesb) Aspects linguistiques-Linguistique française et contrastive-Applications de la linguistique : les représentations linguistiques de la Nature, la Nature innommée, lesrythmes.-L’humain et le langagec) Traduction-Traduction et traductologie-Histoire de la traduction (traduction des textes clés sur l’appréciation littéraire de la Nature) et réception-Traduction des textes scientifiquesd) Aspects didactiques-Enseignement de la langue et la littérature françaises-Approches plurilingues-Français sur objectifs spécifiquese) Culture française et francophone-Le cinéma et les arts, la Nature dans les musées-Contacts entre cultures, patrimoine naturel en commun-Histoire, politique, société (la Nature en ville, villes portuaires, villes jardins, fleuves en ville, le texte et larevendication du pays)-Nature et CultureConférences plénièresMichel Collot (U. Sorbonne Nouvelle-Paris 3)Fidel Corcuera (U. de Zaragoza)Àngels Santa (U. de Lleida)ComitésComité scientifique :Lorraine Baqué (U. Autónoma de Barcelona), Manuel Bruña (U. de Sevilla, Président de l’APFUE), MichelCollot (U. Sorbonne Nouvelle – Paris 3), Fidel Corcuera (U. de Zaragoza), Francisco Lafarga (U. deBarcelona), Philippe Merlo (U. Lumière-Lyon 2), Àngels Santa (U. de Lleida), Ana Clara Santos (U. doAlgarve), Marta Segarra (U. de Barcelona), Ouidad Tebbaa (U. Cadi Ayyad, Marrakech), Alicia YlleraFernández (UNED).<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 3 sur 25


Comité organisateur :Manuela Ledesma Pedraz, Encarnación Medina Arjona, Manuela Merino García, Maribel Olivares Palacios,Mª José Sueza Espejo, Mª Luisa Torre Montes, Emma Vacher Olivares.Calendrier26 novembre 2012 : Ouverture de la réception des propositions de communication (site du colloque :http://www.ujaen.es/congreso/apfue).9 janvier 2013 : Date limite de réception des propositions de communication.28 janvier 2013 : Notification de l’acceptation des propositions.29 janvier-11 février : Paiement de l’inscription, le cas échéant. Gratuite pour les membres de l’APFUEinscrits à l’Association avant le premier janvier 2013. Non membres : 50 euros.24-26 avril 2013 : XXIIe Colloque de l’APFUELangues du colloqueFrançais et espagnolModalités de communication :A. Communication individuelle à un ou plusieurs auteurs dans une des lignes thématiques du colloque.B. Panel ou table ronde autour d’un sujet en rapport avec les lignes du colloque, composée de 3-4communications.Renseignements :Pour tout renseignement complémentaire, veuillez consulter le site du colloque ou nous contacter parcourriel à l’adresse suivante : apfue@ujaen.esL’ENSEIGNEMENT DU TEXTE LITTÉRAIRE À L’UNIVERSITÉ ENALGÉRIE. RÉALITÉ ET PERSPECTIVESColloque international, UNIVERSITE SETIF 2, Faculté des Langues et Lettres, Départementde Langue et Littérature françaises, 16 et 17 avril 2013Date limite : 20 janvier 2013ArgumentaireLe texte littéraire où se joue l’heureuse rencontre du plaisir et de la culture a suscité des réflexions qui ontmené à la grande diversité d’approches analytiques et didactiques tant pour parfaire sa lecture que sapédagogie.Objet vivant et palpable, et parce que doublement constitué : «en tant que discours, il est parole sur lemonde ; par sa forme, il se donne à lire comme une réalité visuelle et sonore dont le pouvoir expressif vabien au-delà de la fonction référentielle» (Peytard, 1982), il est pris alors comme artéfact culturel, dans lesdeux sens de culture (la culture «cultivée » et la culture anthropologique) et se présente comme un lieuprivilégie pour la rencontre avec l’Autre (Porcher, 1987), qu’il serait un outil incontournable dans l’éducationinterculturelle des apprenants de la langue étrangère.Or de nos jours, tous les biens fondés de la littérature se retrouvent «détournés», éloignés de leur objectif auprofit d’un enseignement à peine initiatique et très loin des réels débats et analyses que mérite et nécessiteun texte littéraire.Le but de ce colloque appelle à la réflexion sur cette situation de l’enseignement du texte littéraire en déclinà l’université et dont les raisons sont certaines. Le constat le plus évident est le désarroi des enseignantsconfrontés à un auditoire d’apprenants démunis tant de la langue que de sa littérature, heurtés au problèmemajeur de la non maîtrise de l’outil d’expression auquel se rajoute la non motivation pour la lecture. Arrivésà l’université, de leur côté, ces apprenants découvrent un nouvel enseignement du texte littéraire, de<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 4 sur 25


nouvelles approches, ils sont de fait confrontés à leur tour à la difficulté de lire et d’écrire.Cette situation doublement problématique nous interpelle en tant que didacticiens sur le déclin del’enseignement de la littérature et nous interroge sur notre rôle et sur la finalité de notre mission : Que faire ?Comment faire ?Pour orienter la réflexion quelques axes proposés :- Que veut dire enseigner un texte littéraire de nos jours ?- Quelle valeur et quelle importance de la littérature à l’ère des nouvelles technologies ?- Comment justifier autrement la littérature comme objet d’enseignement et de recherche à l’université ?- L’enseignement du texte littéraire dans ses réalités : des savoirs aux compétences et des compétencesscientifiques aux compétences sociales.- Le texte et la langue.- Le texte littéraire et ses dimensions : esthétique, culturelle, interculturelle, idéologique…Format des propositions :Les propositions de communication (des résumés de 300 mots) accompagnées de mots clefs, quelquesréférences bibliographiques et aussi des informations pratiques (nom, prénom, institution, adresse postale,téléphone et adresse électronique) doivent être envoyées avant le 20 Janvier 2013, à l’adresse suivante :boudjadja19@gmail.comPrincipales échéances :Date limite de la soumission des résumés : 20 janvier 2013Réponse du comité scientifique : 05 février 2013Date prévue pour le programme définitif : 10 avril 2013Président d’honneur :Pr Kheir GUECHI Recteur de SETIF 2Président du colloque :Dr Salah- Eddine ZARAL Doyen de la Faculté des Lettres et des LanguesCoordinateur : Dr Mohamed BOUDJADJACOMITÉ SCIENTIFIQUE :Pr Hadj MILIANI Université de Mostaganem, ALGERIEPr Yamina Chafia BENMAYOUF Université Constantine I, ALGERIEPr Samir ABDELHAMIDUniversité Batna, ALGERIEPr Zoubida BELAGHOUEG Université Constantine I, ALGERIEPr Abdelouahab DAKHIA Université de Biskra, ALGERIE<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 5 sur 25


Pr Fouzia BENDJELID Université d’Oran, ALGERIEPr Said KHADRAOUI Université de Batna, ALGERIEPr Marc GONTARD Université Rennes II, FRANCEPr Anne ROCHE Université Aix-Marseille I, FRANCEPr Martine MATHIEU JOB Université Bordeaux III, FRANCEPr Nacer IDRISSI Université Ibn ZOHR Agadir, MAROCDr Abdelghani BARA Université Sétif II, ALGERIEDr Fouzia REGGAD Université Sétif II, ALGERIEDr Chahrazed MOUDIR DAHER Université Sétif II, ALGERIEDr Mohamed BOUDJADJA Université Sétif II, ALGERIEDr Boubakeur BOUZIDI Université Sétif II, ALGERIEResponsable : Faculté des Lettres et des Langues, Université Sétif 2 /AlgérieAdresse : Faculté des Lettres et des Langues Sétif 2 ElHidhab, Sétif / AlgérieCROISEMENTS, RUPTURES, PARTAGES, CONFLITSQUELLES APPROCHES DIVERSITAIRES POUR LA DIDACTIQUEDES LANGUES ?Colloque international co-organisé par L’Université Normale de Chine du Sud (Canton,Chine)&L’EA 4246 PREFics –Dynadiv – Université F. Rabelais (Tours, France)27-29 novembre 2013Université Normale de Chine du Sud (Canton, Chine)Avec le soutien de l’<strong>AUF</strong>Date limite : 18 février 2013Le terme diversité est largement circulant dans le champ socio-politique mondial actuel, ce qui a desrépercussions importantes en didactique des langues (désormais DDL) où il se décline sur plusieurs plansinter-reliés : linguistique, culturel, formatif notamment. La diversité linguistique et culturelle est en effet aucœur de discours politiques volontaristes qui, à la fois, influencent les travaux de recherche relevant de cedomaine et se fondent sur ceux-ci. Ces discours thématisent principalement la nécessité d’une part de« préserver » la diversité, identifiée comme en danger dans un monde globalisé uniformisant (cf. parexemple les déclarations de l’UNESCO) et, d’autre part, de la « promouvoir » en ce qu’elle serait,intrinsèquement, porteuse de valeurs comme le partage, la tolérance, l’ouverture à l’autre, l’empathie, etc.De même, l’importance des travaux actuellement effectués sur les cultures d’enseignement et/ou les culturesd’apprentissage s’inscrivent massivement dans la reconnaissance de la diversité « formative », i.e. de ladiversité des usages de transmission et d’appropriation des langues.<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 6 sur 25


Toutefois, la notion de diversité reste peu conceptualisée et, de ce fait, donne lieu à des travaux qui, enmajorité, consistent essentiellement en un inventaire de ressemblances / différences juxtaposées et donc enune analyse réifiante des formes de diversité étudiées. Cette faible conceptualisation de la notion, qui sedouble d’un usage massif et non interrogé du terme, élude singulièrement le potentiel de conflit dont celui-cipourrait pourtant être porteur, si on décidait de l’investir comme tel.Entre 2011 et 2013, des chercheurs / professionnels de l’enseignement du français issus de cinq paysdifférents (Afrique du Sud, Cameroun, Chine, France, Mexique) ont travaillé sur ces questions au sein duprojet Didactique du français, formation et diversité/altérité en contextes universitaires : pratiques,représentations et évolutions dans différents environnements (désormais DIFFODIA – projet financé parl’<strong>AUF</strong>). Ils se sont ainsi plus particulièrement intéressés aux modalités de prise en compte (ou non) de ladiversité / altérité / pluralité – linguistique, culturelle et formative – telle qu’elle est perçue et interprétée dansdifférentes formations de français en contextes universitaires et aux conséquences potentielles de cette(non) prise en compte sur l’enseignement / apprentissage des langues, la formation professionnelle àl’enseignement des langues et la recherche relative à ce domaine.Ce colloque cherchera à approfondir ces réflexions, en les croisant / confrontant avec d’autres, autour de laquestion des enjeux et des effets didactiques et épistémologiques d’une conception « autre » (i.e. nonessentialisante et non lénifiante) de la diversité – linguistique, culturelle, formative – pour la DDL et pour lesrecherches relatives à ce domaine. Il s’agira ainsi de s’interroger sur les processus et les modalités deconstruction des catégorisations et des interprétations produites, et notamment sur le traitement (plus oumoins explicite / explicité) du caractère pluriel, voire contradictoire de celles-ci.Les réflexions se structureront autour des axes suivants :Axe 1 – Histoires, traditions, modernités en didactique des langues : entre continuités et ruptures ?Les pratiques didactiques et/ou les méthodologies sont souvent interprétées sous l’angle de la rupture entredes courants envisagés comme clairement distincts les uns des autres, se succédant de manière linéaire,l’histoire de méthodologies étant alors présentée comme allant dans le sens d’un « progrès », conçu commeprocessus continu, cumulatif et universellement partagé.Quelles sont les origines de cette construction de la DDL et qu’implique-t-elle tant au plan des pratiquesd’enseignement / apprentissage et de formation professionnelle qu’au plan de la recherche ? Quels enjeux ya-t-il à construire l’histoire / les histoires de la DDL et des méthodologies sous l’angle de la rupture ou de lapermanence ? Quelle est alors la pertinence des notions de tradition, modernité, progrès en DDL ? Quelssont les enjeux et les conséquences des catégorisations ainsi opérées, notamment sur les définitions de ladidactique des langues aujourd’hui ou encore sur les modalités de construction des articulations entrethéorisations et interventions ?Axe 2 – Circulations, partages, hiérarchisations des usages de transmission et d’appropriationLes progrès technologiques ont facilité les mobilités (physiques ou virtuelles), entrainant une intensificationdes circulations des langues-cultures dont les individus sont porteurs, mais aussi des pratiques et desreprésentations de l’enseignement et de l’apprentissage de celles-ci, qui de fait se rencontrent,s’entremêlent, s’inter-influencent, voire se contredisent. Ces processus engendrent une diversification de lademande, à laquelle doit s’adapter l’offre de formation en langues, et ce d’autant plus que l’enseignementdes langues s’est progressivement constitué en marché, dont les enjeux ne sont pas uniquementéconomiques et commerciaux, mais aussi diplomatiques, géostratégiques et politiques.Dans ce contexte économique, politique et sociétal renouvelé, quelles places – plus ou moins hiérarchiséesvs négociées – pour les différentes langues, leur enseignement, leur apprentissage ? Dans quels types dedispositifs didactiques ? Que penser de la notion de contextualisation : rencontre et partage entre des offreset des demandes ou, à l’inverse, instrument déguisé du soft power, fondé sur une hiérarchisation implicite etinexprimée ? Quelle légitimité des pratiques d’enseignement et d’apprentissage locales et des discours surces pratiques ? Quelles influences sur l’identité professionnelles des enseignants de langues et plusparticulièrement de français ? Quels concepts pour rendre compte de ces phénomènes de « rencontre » etd’inter-influence (hybridation ? circulation ? vernacularisation ?...), pour quelles zones de pertinence ? Enfin,quels effets de l’internationalisation / mondialisation sur la recherche : quelles modalités (épistémologiques,méthodologiques, glottopolitiques) de construction de réseaux scientifiques internationaux ? Peut-on parlerde partage ou de hiérarchisation ? Dans quels types de recherches et à quelles conditions ? Quels enjeux etconséquences pour la formation à la recherche ?Axe 3 – Enseignement et recherche en didactique des langues : Comparaisons, croisements,<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 7 sur 25


confrontationsLes activités didactiques aussi bien que les recherches en DDL s’appuient fréquemment sur des démarchesde type comparatif (comparaison de langues, de cultures, etc.). Celles-ci procèdent essentiellement d’uneconception homogénéisante, juxtapositive et différentialiste de la comparaison, dans la mesure où il s’agitd’isoler des catégories pensées comme homogènes afin de les différencier les unes des autres (voire de lesopposer les unes aux autres). Quelles sont les conséquences d’une remise en question des postulats aufondement de cette conception de la comparaison ? On s’intéressera ici à l’analyse critique (méthodologiqueet épistémologique) de démarches de comparaison mises en œuvre dans l’enseignement / apprentissagedes langues et dans la formation professionnelle à l’enseignement : comparaison entre les langues, entre lescultures, dispositifs didactiques dits plurilingues et/ou interculturels, pertinence des notions de cultured’enseignement, culture d’apprentissage, culture éducative, etc.On s’intéressera également à la théorisation / conceptualisation des démarches de recherche comparatives :comment les concevoir, les mettre en œuvre, en rendre compte, les écrire ? Quels peuvent être les apportsdes autres champs disciplinaires sur la question (histoire, droit, sociologie, sciences de l’éducation, etc.) ?Pourquoi et comment intégrer la pluralité des interprétations dans une démarche comparative ?Axe 4 – Approches diversitaires de la didactique des langues et de la didactique du/des françaisLes enjeux et problématiques évoquées précédemment supposent de ne plus penser l’enseignement /apprentissage des langues comme un enseignement / apprentissage de langues prises isolément, mais dele penser comme fondamentalement altéritaire, i.e. comme un enseignement / apprentissage de langues /cultures / traditions en croisement, partage et/ou conflit avec d’autres langues / cultures / traditions. Ceconstat, si on le prend au sérieux, invite à revisiter un certain nombre des notions qui sont au fondement dela DDL. Ainsi, dans ce cadre, qu’est-ce qu’apprendre des langues, tant en présence, qu’à distance ou dansdes dispositifs hybrides ? Comment travailler autrement la compréhension ? … et la production ? Comment(re)considérer la question de l’interculturel ? Quelle(s) place(s) pour le langagier et le littéraire ou encorepour le communicatif et le culturel ? Comment penser des formations professionnelles à l’enseignement quiintègrent cette dimension altéritaire ? Enfin, quel(s) rôle(s) le(s) français et l’enseignement du/des françaispeuvent-ils ici jouer ?Proposition de communication et calendrierLes propositions de communications devront être envoyées à dynadiv@univ-tours.fr au plus tard pour le 18février 2013.Les propositions de communication comporteront, dans un fichier au format Word ou Open Office :- Titre- Nom et prénom de l’auteur / des auteurs- Adresse électronique de l’auteur / des auteurs- Mots-clés (5 maximum)- Axe(s) choisi(s)- Résumé (3000 signes maximum, espaces inclus)- Références bibliographiques essentielles (8 maximum)Deux modalités différentes de communication sont possibles :des communications scientifiques « individuelles » (présentées par une ou plusieurs personnes, maiscomposant une seule intervention)des communications scientifiques regroupées en fonction d’une thématique commune ou en débat, pourconstituer un symposium ou une table ronde (4 interventions maximum, dont possiblement un discutant).Langues de communicationLes communications se feront principalement en français. Des communications dans d’autres langues sontenvisageables, sous réserve que le/la communicant(e) indique explicitement dans sa proposition decommunication ce qu’il compte mettre en œuvre pour que son propos soit accessible à un publicfrancophone.Les décisions des comités scientifiques et d’organisation seront diffusées en juin 2013.Les textes finaux soumis pour publication (avec sélection du CS) devront être remis dans un deuxièmetemps, au plus tard courant avril 2014.<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 8 sur 25


Frais d’inscriptionTout public : 80 € / 650 ¥ (RMB)Etudiants : 30 € / 250 ¥ (RMB)D’autres informations suivront à propos des modalités pratiques concernant le paiement des droitsd’inscription, les repas et les possibilités d’hébergement. L’ensemble de ces frais ainsi que les transportssont à la charge des participantsComité d’organisationResponsablesDavid BEL, Université Normale de Chine du Sud (Canton) / Université de MontréalEmmanuelle HUVER, Université François-Rabelais de Tours, EA 4246 PREFics-DYNADIVMembresMarc DEBONO, Université François-Rabelais de Tours, EA 4246 PREFics-DYNADIVValentin FEUSSI, Université François-Rabelais de Tours, EA 4246 PREFics-DYNADIVCécile GOÏ, Université François-Rabelais de Tours, EA 4246 PREFics-DYNADIVLIANG Minyi, Université Normale de Chine du Sud (Canton), EA 4246 PREFics-DYNADIVMAO Rongkun, Université Normale de Chine du Sud (Canton), EA 4246 PREFics-RennesCéline PEIGNÉ, Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines, EA 4246 PREFics-Dynadiv / EA 2450SUDSClaudia TORRES, UAEM (Mexique), EA 4246 PREFics- DYNADIVSecrétariatChristine CLIMENT, Université François-Rabelais de ToursLI Jing, Université Normale de Chine du Sud (Canton)Comité scientifiqueVasumathi BADRINATHAN, Université de Mumbai, IndeJoël BELLASSEN, INALCO, FranceHenri BESSE, Ecole normale supérieure de Lyon, FrancePhilippe BLANCHET, Université Rennes 2, FranceBeatrice BLIN, Universidad Nacional Autónoma de México, MexiqueEmmanuelle CARETTE, Université de Lorraine, FranceVéronique CASTELLOTTI, Université F. Rabelais de Tours, FranceDaniel COSTE, Ecole Normale Supérieure de Lyon, FranceChristine CUET, Université de Nantes, FranceFred DERVIN, Université d’Helsinki, FinlandeVanessa EVERSON, Université du Cap, Afrique du SudFU Rong, Université des Etudes étrangères de Beijing, ChineClaude GERMAIN, Université du Québec à Montréal, CanadaMylène HARDY, Université d'économie et de commerce de la Capitale, Beijing, ChineGuy JUCQUOIS, Université Catholique de Louvain, BelgiqueEstella KLETT, Université de Buenos Aires, ArgentinePatricia LAMARRE, Université de Montréal, CanadaLI Keyong, Université des Etudes internationales du Sichuan, Chongqing, ChineSilvia LUCCHINI, Université Catholique de Louvain, BelgiqueDenis C. MEYER, Université de Hong Kong, ChineAuguste MOUSSIROU MOUYAMA, Université Omar Bongo, Libreville, GabonDanièle MOORE, Université Simon Fraser de Vancouver, CanadaNobutaka MIURA, Université Chûô, Tokyo, JaponPU Zhihong, Université Sun Yat-Sen, Canton, ChineValérie SPAETH, Université Paris 3 Sorbonne, FranceKhaoula TALEB IBRAHIMI, Université d’Alger, AlgérieRada TIRVASSEN, Mauritius Institute of Education, MauriceVO VAN Chuong, Université de Cantho, VietnamAdelina VELASQUEZ HERRERA, Universidad Autónoma de Querétaro, MexiqueMonica VLAD, Universitatea Ovidius, Constanta, RoumanieWANG Wenxin, Université des Etudes internationales de Shanghai, ChineXIE Yong, Université des Etudes étrangères du Guangdong, Chine<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 9 sur 25


RÉSEAU FRANÇAIS DE PHONOLOGIE (RFP)Colloque organisé par le Laboratoire de Linguistique (Lling/EA3827, Université de Nantes),Nantes du 1er au 3 juillet 2013Date limite : 1er mars 2013Après les rencontres qui se sont tenues à Orléans 2010, Tours 2011 et Paris 2012, le Réseau Français dePhonologie (RFP) lance un appel à communication pour un colloque organisé par le Laboratoire deLinguistique (Lling/EA3827, Université de Nantes), en collaboration avec le FoReLL (Université de Poitiers)et la MSH-Ange Guépin, qui se tiendra à Nantes du 1er au 3 juillet 2013.Conférenciers invités* Phillip Backley (Tohoku Gakuin University, Sendai, Japon).* Didier Demolin (GIPSA Grenoble / UMR 5216, France).* Andrew Nevins (University College London, Royaume-Uni).* Bert Vaux (King’s College Cambridge, Royaume-Uni).* Sophie Wauquier (Université de Paris 8 / UMR 7023, France).* Leo Wetzels (Vrije Universiteit Amsterdam, Pays-Bas).Session principaleToutes les écoles et tous les courants de la phonologie sont invités à participer. Les problèmes traitéspeuvent concerner la phonologie générale comme l'analyse phonologique d'un phénomène linguistique oud'une langue particulière. Seront prises en considération les soumissions concernant l’analyse du signal, laperception, l'acquisition, la diachronie, la dialectologie, les formalismes, l'épistémologie et toutes lesquestions qui s’inscrivent explicitement dans le domaine de la phonologie et de ses interfaces.Sessions thématiquesNous encourageons particulièrement cette année les communications portant sur les thèmes de l’Acquisitionde la phonologie, ainsi que celles portant sur l’Harmonie.AcquisitionCette session a pour objectif d’aborder les recherches récentes dans les domaines de l’acquisitionphonologique ou de l’apprentissage de la phonologie d’une langue première ou seconde. Elle vise à mettreen avant des données, souvent non attestées dans la langue adulte, qui questionnent les modèlesthéoriques développés en phonologie.Les propositions attendues peuvent porter, sans limitation aucune, sur les unités minimales (traits, éléments,segments), sur les niveaux syllabiques ou prosodiques, sur les processus, en production ou en perception(notamment sur le lien entre ces deux modalités). Quel que soit le cadre théorique retenu, lescommunications proposées pourront porter sur une langue particulière ou s’inscrire dans une perspectivetypologique.HarmonieL’harmonie, un processus largement répandu à travers les langues du monde, peut se définir comme unchangement syntagmatique à travers lequel un segment assimile les qualités d’un élément situé dans lemême domaine. Locale (contiguïté stricte), étendue à un domaine particulier (syllabe, pied, mot ou syntagmephonologique), l'harmonie, vue comme une assimilation à distance, peut concerner aussi bien les voyelles(harmonie vocalique) que les consonnes (harmonie consonantique). Si la localité apparaît cruciale dans ladéfinition du phénomène, l’harmonie répond souvent à des contraintes de directionnalité. Un ensemble desegments, intervenants dans le domaine harmonique, semble soit bloquer l’harmonie, soit être transparent :ces derniers sont-ils vraiment inertes ou participent-ils, d’une quelconque manière, au phénomène ? Ceprocessus résulte-t-il de principes phonétiques (hypothèse de la phonologisation d’un processus de<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 10 sur 25


coarticulation) ou de principes strictement phonologiques (hypothèse d’une computation reposant sur uncorps restreint de principes) ?Cette session est ouverte aux propositions relevant de la phonologie proprement dite mais aussi à cellesaxées sur les relations harmoniques dans la production et la perception de la parole, la prosodie, dansl’acquisition, le développement et l’apprentissage, dans la structuration du lexique, dans les domaines de lareconnaissance automatique de la parole et de la synthèse vocale (liste non limitative).Format de soumission et sélectionLes propositions de communication, rédigées en français ou en anglais, seront présentées sous forme d'unrésumé de deux pages maximum (format A4, police Times taille 12), incluant les éléments essentiels debibliographie, et soumises anonymement à l'adresse suivante :https://www.easychair.org/account/signin.cgi?conf=rfp2013. Les propositions seront transférées pourévaluation à deux rapporteurs et la sélection finale fera l'objet d'une discussion collective.Calendrier* Appel à contributions : 15 décembre 2013* Envoi des contributions avant le 1er mars 2013* Retour des avis aux auteurs : 15 avril 2013* Colloque : du 1er au 3 juillet 2013OrganisationLes communications seront de 30 minutes, dix minutes de discussion incluses.Comité de lectureJ.-P. Angoujard (U. de Nantes), S. Bendjaballah (U. Paris 7), G. Bergounioux (U. d’Orléans), J. Brandao deCarvalho (U. Paris 8), Ph. Carr (U. de Montpellier), C. Dugua (U. d’Orléans), J. Durand (U. de Toulouse), S.Ferré (U. de Tours), J.-M. Fournier (U. de Tours), S. Herment, (U. d’Aix-Marseille), M. D’Imperio (Aix-Marseille), M. Lahrouchi (U. Paris 8), B. Laks (U. Paris 10), J.-L. Léonard (U. Paris 3), J. Lowenstamm (U.Paris 7), N. Nguyen (U. d’Aix-Marseille), R. Noske (U. de Lille), C. Patin (U. de Lille), A. Rialland (U. Paris 3),R. Ridouane (U. Paris 3), M. Russo (U. Paris 8) , P. Sauzet (U. Toulouse), T. Scheer (U. Nice), Ph. Ségéral(U. Paris 7), A. Tifrit (U. de Nantes), N. Vallée (U. de Grenoble), S. Wauquier (U. Paris 8).Comité d'organisationJ.-M. Beltzung, E. Caratini, O. Crouzet, A. Tifrit<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 11 sur 25


APPELS À CONTRIBUTIONSVOIX PLURIELLES 10.1 (2013)Date limite : 1er mars 2013Voix plurielles, revue de l’APFUCC, lance un appel d’articles libres pour son numéro de mai-juin 2013. Lesujet peut être littéraire, comparatif, (socio-)linguistique ou socioculturel et porter sur des aspects variés dansles domaines français et francophones, ainsi que dans celui des langues de France.Le tapuscrit doit être rédigé en français (longueur : 15-18 p., double interligne). Veuillez consulter le site de larevue pour vous informer du format employé. Les articles seront soumis à Catherine Parayre, Directrice derédaction (cparayre@brocku.ca), sous Word ou en RTF au plus tard le 1er mars 2013.Comptes rendus – Si vous souhaitez écrire le compte rendu d’un ouvrage récent, veuillez prendre contactdirectement avec la Directrice de rédaction. (Merci de ne pas envoyer de compte rendu sans accordpréalable.)Numéros thématiques – Finalement, la revue serait heureuse d’accueillir des numéros thématiques ou desactes de colloques dans les prochains numéros et vous prie, le cas échéant, de bien vouloir signaler votreintérêt.Voix plurielles est accessible sur www.apfucc.net ainsi qu’à l’adresse suivante :http://brock.scholarsportal.info/journals/voixpluriellesLA LANGUE FRANÇAISE N’EST PAS LA LANGUE FRANÇAISEAppel à contribution de LHT (Littérature Histoire Théorie), numéro dirigé par Samia Kassab-Charfi et Myriam SuchetDate limite : 15 mars 2013« La langue française n’est pas la langue française : elle est plus ou moins toutes les langues internes etexternes qui la font et la défont » (Abdelkébir Khatibi, « Bilinguisme et littérature », dans Maghreb pluriel,Paris, Denoël, 1983, p. 188)La lecture des textes francophones s’est trouvée renouvelée par les études dites « postcoloniales » au-delàdes résistances institutionnelles et des barrières disciplinaires. Qu’on lise une pièce de théâtre québécoise,une oeuvre-palimpseste du Maghreb, un roman des Antilles, des Afriques ou d’ailleurs, on y entend des voixd’une tessiture inouïe, qui infléchissent la langue jusqu’à ce qu’elle ne soit plus ni tout à fait la même ni tout àfait une autre.Ce numéro invite à explorer l’étrangeté familière du français dans des textes littéraires habités parl’imaginaire de toutes les langues du monde. Aussi est-ce peut-être la désapparition (Glissant) de la languefrançaise qui est à interroger ici ; non sa disparition mais sa diffraction féconde. Assurément, l’idée de lalangue comme bloc monovocal, renvoyant à un univers de connaissance à peu près homogène ou perçucomme tel, est contestée dans ces littératures. Non que la langue française, dans un contexte deglobalisation effrénée, soit condamnée à s’éclipser face à l’anglais ou à l’espagnol. Mais il y a lieu, à unmoment où l’on ne peut plus envisager la langue comme véhicule universel, d’étendre ces langues quis’infiltrent sous la langue d’écriture et en modifient le profil. Les procédés d’hétérolinguisme, d’effacement,d’emphase, de dédoublement, de pseudo-traduction, de polyphonie, pour n’en citer que quelques-uns,nécessitent d’être examinés comme des modes de transformation menant à une pluralisation de la normelinguistique et ainsi à l’apparition d’une langue singulière.<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 12 sur 25


On pourra se poser les questions suivantes, qui n’ont pas prétention à l’exhaustivité :- Selon quelles modalités et par quels procédés l’écriture en langue française fait-elle cohabiter les idiomesen elle ? Cette hospitalité en fait-elle une « langue-monde » ?- Comment concevoir qu’une langue souterraine travaille en résistance dessous la langue d’écriture ? Parquelles stratégies l’opération de lecture peut-elle la rendre « reconnaissable », en identifiant son degré deprésence par-delà son incorporation dans la langue d’écriture ?- De quelle manière peut-on rendre intelligible au lecteur le dialogisme actif qui s’établit entre les languesdans la langue ?- Quelle est la fonction jouée par la (non)traduction dans l’avènement d’une langue différemmentaccentuée ?- Peut-on déplacer le lexique de l’« appropriation » pour se dégager de la logique qui fige les langues enbiens patrimoniaux ? Un tel déplacement conduit-il à reconfigurer les tracés identitaires entre « soi » et «l’autre », à penser autrement qu’être ?- Est-il possible de rajouter aux niveaux déjà existants de l’analyse stylistique d’un texte un niveau nonimmédiat, où l’intonatif par exemple – ce que Colette Fellous appelle la matière de la langue – serait àprendre en compte ?- Dans quelle mesure la pluralisation de la norme linguistique fonctionne-t-elle comme le tissu conjonctif d’unnouveau mode de récit – « Un mot, déjà deux, déjà un récit » (Abdelkébir Khatibi, Amour bilingue - 1983) ?D’un point de vue méthodologique, on acceptera aussi bien des approches monographiques quecomparatistes, en privilégiant les analyses de détail qui feront ressortir des effets de contraste entre unereprésentation du « génie » du français et un imaginaire ouvert de la langue. Les outils employés pourrontrelever de la linguistique, de la théorie de l’énonciation ou de la stylistique comme de la théorie et del’histoire littéraires au sens large, le principe étant de déjouer les perspectives prescriptives et normativespour s’intéresser à la matérialité des formes et esquisser des pistes interprétatives sur les oeuvres.Les articles proposés sont à faire parvenir avant le 15 mars 2013 à Samia Kassab-Charfi(samiakassab@yahoo.fr), Myriam Suchet (myriam.suchet@univ-paris3.fr) et Jean-Louis Jeannelle(jeannelle@fabula.org) : ils seront soumis, anonymement, selon le principe de la revue, au comité de lecturede la revue.CONTRÔLE VS AUTONOMIE EN DIDACTIQUE DES LANGUESDate limite : 30 mars 2013N° 22 d’Études en Didactique des LanguesLorsque l’on prononce le mot « contrôle » en didactique des langues, aussitôt viennent à l’esprit les notionsd’évaluation des compétences des apprenant-e-s, de test, d’examen, le plus souvent accompagné d’unenote chiffrée.Le présent numéro s’intéressera à d’autres formes de contrôle qui s’exercent, plus ou moins ouvertement,dans l’enseignement, à tous les niveaux, sous différentes formes :- idéologique (programmes et contenus, institutions religieuses, enseignant-e-s « engagées », etc.) ;- économique (établissements plus ou moins bien lotis, droits d’inscription, accès à des cours privés,influence du tissu économique, etc.) ;- technocratique (procédures à observer, contrôle des présences, informatisation, etc.) ;- psychologique (autorité, intimidation, harcèlement moral et sexuel, chahut) ;<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 13 sur 25


- institutionnel (note administrative, évaluation par les supérieur-e-s et instances d’évaluation) ;- exercé par les apprenant-e-s ;- pédagogique (imposition de méthodes pédagogiques, de méthodes d’évaluation, de configuration declasses, etc.) ;Toutes ces formes de contrôle des un-e-s sur les autres et des autres sur les un-e-s, plus ou moins fortesselon les lieux, constituent le socle sur lequel est basé le système éducatif. Dans le cadre de la profondemutation du paysage universitaire, quelle autonomie est alors possible pour un-e enseignant-e dans un telcontexte ? Quel « espace de liberté » lui est permis ? Quel espace peut-il-elle prendre ? Cette autonomie,tant prisée à l’université est-elle une fiction qui permet aux enseignant-e-s de fonctionner ?Le sujet est vaste mais doit inciter les chercheur-e-s intéressé-e-s à explorer les pistes de recherchesuivantes dont la liste n’est pas exhaustive.1. Épistémologiques- Contenu du discours scientifique relatif à la didactique : le discours universitaire, le discours institutionnel.- Lien entre contrôle, efficacité et performance (d’un point de vue social, politique).- Rôle de la mondialisation, des institutions supranationales2. Didactiques- Problématisation du concept de « fiction de classe » ;- Étude de manuels, méthodes et autres documents de classe.- Contrôle et cadre institutionnel : Influence de la mise en place d’objectifs administratifs et pédagogiques enfonction de grilles d’évaluation (le CECRL).3. Économiques, sociales et culturelles- Tentatives de prise de contrôle d’un secteur lucratif : éditeurs, certifications privées.- Monde socio-économique.- Influence des TICE.Toute proposition d’article sera à envoyer à lairdil@lairdil.org avant le 30 mars 2013.Laboratoire LAIRDIL- IUT - Université Toulouse III, 115 B route de Narbonne, 31 077 TOULOUSE Cedex 4, France- http://www.lairdil.orgL’INVENTION D’UNE LANGUE LITTÉRAIRE DANS UN MILIEUPLURILINGUESOCLES- Revue de SOCiolinguistique et de sociodidactique des LanguES du Laboratoirede Sociolinguistique et de Sociodidactique (LISODIP) de l’ENS de Bouzaréah, ALGER, appelà contribution pour le n°2 , à paraître en juin 2013Directrices de publication : Pr. Attika-Yasmine Abbès-Kara et Pr. Malika KebbasDate limite : 31 mars 2013ArgumentaireRéfléchir sur l’usage de la langue française chez les écrivains algériens n’est pas une question nouvelle pourtout chercheur s’intéressant au domaine de la littérature francophone. Le sujet suscite toujours autantd’interrogations. Comment ne pouvons- nous pas revenir sur un tel sujet si l’écrivain algérien francophone lepose lui-même ? Ce dernier se trouve ainsi au coeur d’une problématique qui n’est pas des plus faciles àsaisir, celle qui s’interroge sur la définition même du sujet bilingue. Qu’est-ce qu’un sujet bilingue ? Il est clairque nous ne pouvons pas donner une réponse définitive à une telle question. Bien des recherches ont étémenées par des spécialistes, que ce soit dans le domaine de la linguistique ou celui de la littérature, dans le<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 14 sur 25


ut de rendre claire la notion du sujet bilingue. Mais aucune n’est arrivée à en donner une définitionconcluante. Au contraire, les différentes recherches soulignent plutôt l’ambiguïté d’une telle notion, encherchant non pas à la définir mais à rendre compte de tout ce qu’elle engendre comme interrogations.Edouard Glissant formule ainsi la problématisation du sujet bilingue : « Comment être soi sans se fermer àl’autre et comment consentir à l’autre, à tous les autres sans renoncer à soi ? »L’écrivain algérien, dit d’expression française, répond en quelque sorte à la question telle que posée parEdouard Glissant. Il est sujet bilingue mais pas n’importe lequel ; il est désormais un écrivain et est par làmême considéré comme un être à part. Un être qui par son écriture est à la recherche d’un quelque chosequ’il ne peut définir. Ce quelque chose qui le fait vivre parce qu’il lui permet d’écrire. « Quand on vit, il fautcréer », écrit Mohammed Dib. Il ne s’agit pas pour nous ici de définir ce qu’est l’écriture mais nous soulevonscette question car nous pensons que nous ne pouvons réfléchir sur l’écrivain algérien, en tant que sujetbilingue, si nous ne nous intéressons pas à lui, avant tout, dans son travail d’écrivain. Nous pensons mêmeque si nous voulons comprendre la situation de tout sujet dit « bilingue », nous devons particulièrement nousintéresser à tout ce qui fait de son texte un texte littéraire.En d’autres termes, notre intérêt n’est pas tant de voir pourquoi l’écrivain algérien francophone écrit dans lalangue française mais plutôt ce que cette langue représente dans l’oeuvre tout en étant imprégnée d’unelangue autre, la langue « maternelle ». Nous ne pourrons répondre à une telle question si nous ne nousappuyons pas essentiellement sur le texte dans toute sa littérarité. L’écriture dite bilingue paraît dans unecertaine mesure « double » mais elle n’appartient qu’à un seul être : l’écrivain.Nous dirons donc que la question du bilinguisme concerne de nombreuses personnes en Algérie ; mais cettesituation se présente de manière très particulière en ce qui concerne l’écrivain qui utilise la langue pour larecréer, la réinventer en quelque sorte. On pourrait ainsi faire une part à la création d’une langue littéraire,commune ou individuelle, qui s’écrirait dans le code de la langue générale, française, arabe, amazigh… Celapermettrait de sortir un peu des questions ressassées. Quelle est la ou les langues littéraires qui s’invententdans un contexte de bilinguisme ? Il serait intéressant de voir comment les romanciers algériensfrancophones se situent par rapport à cet héritage français et comment ils inventent leur propre languelittéraire.Axes de recherche :-L’écriture comme quête de soi au coeur de la problématique de la littérature algérienne francophone.-Langage littéraire/persité langagière.-Le bilinguisme d’écriture : une nécessité ou un choix.-Ecrivain bilingue et auto-traduction.-Peut-on parler de l’invention d’une langue littéraire, c’est-à-dire d’un code commun aux écrivains de languefrançaise ? Ou doit-on au contraire valoriser les procédés stylistiques de chacun ?Modalités de soumissionLes propositions d’articles seront d’une longueur maximale de 35 000 caractères-espaces (bibliographecomprise), police Times New Roman 11 pts, texte justifié à droite et à gauche, interligne simple, marges à 2cm de chaque côté de la page (feuille de style intégrée dans le présent fichier) et doivent être envoyées,avant le 31 mars 2013, à l’adresse électronique suivante : enslabo@yahoo.fr<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 15 sur 25


L’ÉCRITURE DE L’ESPACE ET ESPACE DE L’ÉCRITURE DANS LESLITTÉRATURES FRANCOPHONES ET MÉDITERRANÉENNESDate limite : 30 juin 2013Appel à contribution pour un ouvrage collectifPNR : Les représentations linguistiques et socioculturelles des imaginaires méditerranéensL’écriture de l’Espace et espace de l’Écriture dans les littératures francophones et méditerranéennesArgumentaireSi le terme « écriture » est inhérent à la réflexion sur la littérature depuis son antique institutionnalisation [Cf.passage de l’oral à l’écrit], le concept « espace » demeure une exhortation assez particulière pour la relancede l’activité « lectorale » de l’« Imaginaire », qui s’explique par la prospection liminaire de l’activité «scriptorale » de l’objet littérature, d’où l’affrontement perpétuel du couple Ecrivain-Lecteur selon lesstratégies de l’intangible et du stéréotype.Formellement, les hypothèses les plus admises sur la notion d’« espace » réfèrent non seulement au corpsdes textes répartis sur l’in-folio des oeuvres scripturaires, avec tout leur cortège de syndromes de « pageblanche », mais aussi à l’élément extra-textuel concrètement observable, qui fascine les écrivains.Cette réflexion sur l’« écriture » et l’« espace » qui s’inscrit doublement dans le cadre de l’analyse littérairerejette toute restriction et ne se limite pas à la simple élucidation du processus de composition d’un texte.Dans cette perspective, deux axes d’étude y affèrent :1ère : elle devrait, outre nos interrogations sur la forme du récit, porter sur les éléments spécifiques,inhérents aux affects et à la curiosité du lecteur qui appréhende le fait littéraire comme une activité aussibien ludique que culturelle et symbolique ;2ème : elle nous permettrait, postérieurement à une approche systématique de l’énonciation, de pénétrerdans l’espace de la langue en emploi selon des procédés sociologiques et / ou anthropologiques.L’invitation au débat sur cette problématique qui anime la controverse universitaire, implique aussi bien lesenseignants que les jeunes chercheurs.Les collègues désireux de participer sont priés d’envoyer leurs propositions avant le 30 juin 2013 à l’adresseélectronique suivante : ataladz@yahoo.frAPPELS D'OFFRESPOSTE EN LITTÉRATURE CONTEMPORAINE ET EN THÉORIELITTÉRAIREDate limite : 7 janvier 2013Department of French, Spanish and Italian, University of ManitobaLe Département de français, d'espagnol et d'italien de l'Université du Manitoba sollicite des candidaturespour un poste au rang de professeur(e) adjoint(e), menant à la permanence, en littérature françaisecontemporaine. Une spécialisation en littérature contemporaine franco-canadienne ou québécoise, desconnaissances approfondies en théorie littéraire et un intérêt pour les études interdisciplinaires seraient des<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 16 sur 25


atouts. Le / La candidat(e) sélectionné(e) doit posséder les qualifications suivantes : de très bonnesévaluations dans l’enseignement de cours de langue, une maîtrise parfaite du français, une bonneconnaissance de l’anglais et un dossier de recherche et de publications prometteur. Le/la candidat(e)choisi(e) aura à mener des recherches et à publier dans son domaine de spécialisation, à assumerl'enseignement de cours aux premier, deuxième et troisième cycles aussi bien que la direction de thèses demaîtrise et de doctorat, et à participer à l'administration. La date d'entrée en fonction est le 1er juillet 2013.Le/la candidat(e) sélectionné(e) doit être détenteur/détentrice d'un doctorat dès l'entrée en fonction, le 1erjuillet 2013.L'Université du Manitoba est l’institution post-secondaire qui offre le plus de programmes d’études dans laprovince du Manitoba. Plus de 29,000 étudiants de toute provenance sont inscrits présentement à sesnombreux programmes en sciences, sciences humaines, beaux-arts, ou à ses programmes professionnels.La recherche est une priorité à l’Université du Manitoba, et le succès de ses membres dans l’obtention desubventions de première importance sur les plans national et international en témoigne. L’Université duManitoba encourage toute candidature provenant de femmes et d’hommes qualifiés, y compris les membresde minorités visibles, les autochtones, les personnes handicapées, les personnes de toute identité ouorientation sexuelle, et tout(e) candidat(e) contribuant à la diversité de l’université. Tou(te)s les candidat(e)squalifié(e)s sont encouragé(e)s à postuler pour cet emploi ; toutefois, la priorité sera accordée auxcitoyen(ne)s et aux résident(e)s permanent(e)s du Canada.Toute demande doit inclure une lettre de candidature et un curriculum vitae accompagnés de deuxéchantillons de publications récentes, des échantillons de plans de cours et trois lettres d’appréciationconfidentielles envoyées directement par les personnes concernées avant le 7 janvier. Veuillez indiquer lenuméro du poste sur tous les documents soumis.Prière de faire parvenir la demande et les lettres d’appréciation à l’adresse suivante :Dr. Enrique Fernandez, Président du Comité de sélection pour le poste en français, Département defrançais, d´espagnol et d´italienUniversité du ManitobaWinnipeg, Manitoba Canada R3T 2N2.Pour de plus amples renseignements sur le département, veuillez consulter notre site web au:http://www.umanitoba.ca/fsiCourriel : Enrique.Fernandez@ad.umanitoba.caLes dossiers reçus pour ce concours seront gérés selon les dispositions de la Loi sur l’accès à l’informationet la protection de la vie privée du gouvernement du Manitoba.POSTE DE FORMATEUR EN FRANÇAIS LANGUE ÉTRANGÈREDate limite : 7 janvier 2013Université de Cergy-PontoiseLe CILFAC (Centre International Langue française et action culturelle) recrute un formateur en françaislangue étrangère à l’Université de Cergy-Pontoise afin d'ouvrir la seconde promotion du DUFLES (Diplômeuniversitaire de français langue étrangère et de spécialité).ProfilCe formateur devra attester d'un niveau Master 2 en didactique du FLE/S et de 5 ans d'expérienced'enseignement du français langue étrangère en France et à l'international.Il devra conduire un groupe de 15 étudiants sinophones du niveau B1 à un niveau B2 en 408 heures (6mois).<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 17 sur 25


Autres tâches : Coordination administrative avec le secrétariat du DUFLES et coordination pédagogique dudiplôme en équipe : avec la Directrice du CILFAC et le Responsable du DUFLES.PublicÉtudiants chinois en médecine traditionnelle. Suite à l'obtention du DUFLES, les étudiants seront accueillisen 1ère année de licence de Biologie à l'UCP.Dates et lieu de la formationDates de la formation : du 4 février à la mi juillet 2013.Durée de la formation : 408 heures de français (20 semaines). Soit 320 heures à assurer par le formateur àraison de 16 heures par semaine auxquelles s'ajoutent les tâches administratives et de coordinationpédagogique.La formation se déroulera à l'Université de Cergy‐Pontoise 33 bd du Port 95011.RER : CERGY‐PREFECTURE.Salaire mensuel (net) : 1928 €ModalitésLes candidats doivent fournir un CV et une lettre de motivation.Ils doivent les adresser pour le 7 janvier 2013 à muriel.molinie@u‐cergy.fr et à laurent.hermeline@u‐cergy.frLes entretiens se tiendront à l'Université de Cergy‐Pontoise le 23 janvier 2013 à partir de 9h.Les cours commenceront le 4 février 2013.Université de Cergy-Pontoise33 bd. du PortF-95011 CERGY-PONTOISEINFORMATIONS – RESSOURCESVOIX PLURIELLES EN LIGNERevue de l'Association des Professeur-e-s de Français des Universités et CollègesCanadiens (APFUCC)Adresse : http://brock.scholarsportal.info/journals/voixpluriellesVol. 9, No 2 (2012)SommaireÉditorialIn memoriam : Alexandre AmprimozCatherine ParayreLangue et littérature haïtiennes, en hommage à Pierre Vernet (Dir. Frédéric Torterat)Notice bio-bibliographique de Pierre VernetFrédéric Torterat<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 18 sur 25


Althusser en Haïti. De Port-au-Prince au polderMarie-Anne PaveauHaïti : les pouvoirs de l'art dans Le Sang et la Mer de Gary Victor et La Belle Amour humaine de LyonelTrouillotOdile GannierAgglutination déterminativo-nominale en créole haïtienRenauld GovainUne description philologique de quelques mots du français régional haïtienRoberson Pierre, Frédéric TorteratLe créole haïtien et les créoles des Petites Antilles et de la GuyaneRobert DamoiseauDéterminants et actes de détermination en créole guadeloupéenJuliette Facthum SaintonVariaUn siècle d’aviation féminine : évasion, conquêtes et survol du continent africainJean-Marie VoletLes choix des créatrices de bande dessinéeSylvain RhéaultLa métamorphose du célibataire chez RachildeVicky GauthierL’enfant et l’adolescente chez les romancières « beures »Anne Marie MiragliaL’écrivain juge Paris : Au bonheur des dames (1883) d’Emile Zola et Boumkœur (1999) de Rachid DjaïdaniClaudia MansuetoIncidences de la comparaison parallèle chez Du Bartas dans la réécriture de la GénèseLeila LajevardiPrix de la meilleure communication par un/e étudiant/eLa réception de la littérature en Acadie : sur quelques débats autour de la critique dans L’Évangéline etL’Acadie NouvelleDavid BélangerEntretien d'auteur-eHabiller le vécu de mots et d’images: le projet de Kim Thúy. Entretien avec Kim Thúy, le 20 juillet 2012,Toronto, Ontario, CanadaValérie Dusaillant-FernandesCréationChinookMarie Christine BernardCourtiser SardyMichèle VinetComptes rendusHuynh, Sabine, Andrée Lacelle, Angèle Paoli et Aurélie Tourniaire, dirs. Pas d’ici, pas d’ailleurs : anthologiepoétique francophone de voix féminines contemporainesGabrielle BonifaciSavoie, Paul. Bleu bémol<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 19 sur 25


Armand FalqKhordoc, Catherine. Tours et détours : Le mythe de Babel dans la littérature contemporaine.Julie TennierBeggar, Abderrahman. Ethique et rupture bouraouïennesGabrielle BonifaciVitali, Ilaria, Dir. Intrangers (I). Post-migration et nouvelles frontières de la littérature beur. Intrangers (II).Littérature beur, de l’écriture à la traductionClaudia MansuetoGonzález, Nicolás Jiménez et Araceli Cañadas Ortega. Sar san ? ¿ Cómo estás ?Catherine ParayreLES FRANCOPHONIES ET FRANCOGRAPHIES AFRICAINESFACE A LA RÉFÉRENCE CULTURELLE FRANÇAISEPublication du n. 2 (premier volet) de la revue Repères-Dorif, coordonné par CristinaSchiavoneLa revue est en libre accès à l'adresse http://www.dorif.it/ezine/index.phpCristina SCHIAVONE, Les francophonies et francographies africaines face à la référence culturelle française1. ENJEUX LINGUISTIQUES ET IDENTITAIRES EN TENSION DANS LA LANGUE DU QUOTIDIENAmélie HIEN Michel GIROUX, Le français au Burkina Faso: usages multiples et rapports socio-affectifscomplexesJean-Benoît TSOFACK, Valentin FEUSSI, Dire / Montrer/Construire une identité culturelle par des mots àtravers la nomination et le discours commercial au CamerounDaouda NDIAYE, La difficile cohabitation du français et des langues africaines dans l’espace urbain africain :le cas de DakarFouzia BENZAKOUR, Le français au Maroc. De la blessure identitaire à la langue du multiple et de la «copropriation »2. ENJEUX LINGUISTIQUES ET IDENTITAIRES EN TENSION DANS LA LANGUE LITTÉRAIREMichel BENIAMINO, Langue, littérature, francographieOusmane NGOM, Militantisme linguistique et initiation littéraire dans Doomi Golo – roman wolof de BubakarBóris JóobAnna ZOPPELLARI, Le Maghreb : de l’exil linguistique à la littérature-monde?3. ÉCRITURE DANS L’ENTRE-PLUSIEURS-LANGUES-CULTURES ET QUÊTE DU SOI-ÉCRIVANT ENTENSION.Koulsy LAMKO, La disparition de la mèreBoubacar Boris DIOP, Écrire entre deux langues. De Doomi Golo aux Petits de la GuenonAbdourahman A. WABERI, Afrique des langue prêtées, Afrique des langues mêléesKangni ALEM, La langue littéraire, le Français et l’expérience de l’écritureAli CHIBANI, « Une langue âme/ Dans une langue corps ». La Francographie: un héritage parmi d'autres?4. VERS DE NOUVELLES LECTURES DE LA FRANCOPHONIE ?Robert CHAUDENSON, Prolégomènes à une approche de la francophonie africaineAlain RICARD, Sur la Francophonie, vrai (mais inavouable) héritage positif de la colonisation ?Pierre MARTINEZ, Un barbare en francophonie<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 20 sur 25


OMAGGIO A FONAGY - IN RICORDO DI PAOLO BOLLINIDanielle LONDEI, OuvertureEnrica GALAZZI, Primo interventoPaolo FABBRI, Secondo interventoMagda INDIVERI, Terzo interventoLaura SANTONE, Quarto interventoEt tout le reste est littérature...Samir MARZOUKI, FrancophoneLaura SANTONE, Pierre Léon - Notice biographiquePierre Léon, Aïe CoucouPierre LEON, Pluie de grenouilles et lunaparPierre LEON, Les copains et les turbulences du Quartier LatinPONTI/PONTS. LANGUES LITTÉRATURES CIVILISATIONS DESPAYS FRANCOPHONESParution du dernier numéro de notre revue Ponti/Ponts. Langues littératures civilisations des Paysfrancophones, spécialement consacrée aux régions de langue française hors de France.La revue est disponible en ligne, à l'adresse http://www.ledonline.it/Ponts/.ÉditorialPouvoirs de la paroleVirginie Brinker«Un destin dont l’absurde cloue d’aphasie?». Le génocide des Tutsi au Rwanda, entre parole et silenceMaria Benedetta ColliniLe cri, le silence, la parole: la trilogie africaine de Léonora MianoMartin MégevandSoyinka, Senghor: retour sur un différendFrancesca ParaboschiCouleurs des mots, pouvoirs de la parole, emprises des langues chez Raphaël ConfiantÉtudes linguistiquesFouzia BenzakourLe français au Maroc. Une variété occultée en quête de légitimitéDominique RanaivosonÉcrire en français la parole performative: avatars du kabary malgacheInéditsJacqueline De ClercqLe dit dans l’oreille de l’écritNotes de lecture<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 21 sur 25


Études linguistiques - dir. Cristina BrancaglionFrancophonie européenne - dir. Gian Luigi Di BernardiniFrancophonie du Maghreb - dir. Daniela MauriFrancophonie de l’Afrique subsaharienne - dir. Liana Nissim, Maria Benedetta ColliniFrancophonie du Québec et du Canada - dir. Alessandra FerraroFrancophonie des Caraïbes - dir. Marco ModenesiŒuvres générales et autres francophonies - dir. Silvia RivaLETTRE D’INFORMATION N°48 DE L’OBSERVATOIREEUROPÉEN DU PLURILINGUISME (NOVEMBRE-DÉCEMBRE2012 )1) Conclusions des Assises à RomeLes 3e Assises européennes du plurilinguisme se sont tenues à Rome à l’Université La Sapienza du 10 au12 octobre 2012, organisées conjointement par l’Observatoire européen du plurilinguisme et l’associationEurolinguistica-Sud, sur le thème général « Langues sans frontières, le plurilinguisme » et sous laprésidence d’honneur du prof. Tullio de Mauro. Elles ont montré que le plurilinguisme, par ses dimensionsinter et transculturelles, est le garant de la diversité linguistique, de la créativité sous toutes ses formes et dela paix.Les Assises aboutissent à des conclusions générales et des conclusions particulières couvrant les champsde l’éducation, de l’économie, de la politique dans ses dimensions nationale et internationale et de la culture.Conclusions généralesIl convient de commencer par un constat : bien que l’idéologie monolingue apparaisse comme unesimplification inacceptable à tous points de vue, elle reste encore aujourd’hui l’horizon culturel et politique dela plupart des pays européens, qu’il s’exprime par des dynamiques qui peuvent aboutir à des replisidentitaires ou par l’hégémonie linguistique d’une langue, l’anglais. Les arguments avancés aujourd’hui pourle plurilinguisme et la défense de la diversité culturelle par des économistes, des juristes, des linguistes, despsychologues, etc., ne touchent qu’une élite. Nos sociétés restent sous l’emprise d’une représentationmonolingue tenace, liée historiquement à la constitution des états-nations — que démentent les exemplesde l’Antiquité et de nombreux pays du monde— et que renfor ce la crise économique qui a installé unelogique comptable allant jusqu’à entraîner la réduction/disparition des enseignements linguistiques.À l’heure de la mondialisation et de l’émergence d’un monde multipolaire, notamment en raison de la montéeen puissance de pays tels que le Brésil, la Chine et l’Inde, la solution d’une lingua franca unique fait de plusen plus apparaître à la fois ses limites et l’importance capitale du plurilinguisme dans le monde d’aujourd’hui.Des actions s’imposent dans plusieurs directionsDans le champ sociétal : faire évoluer les représentations en sensibilisant l’opinion publique, les éducateurs,les médias, sans attendre les décideurs. Dans la société civile, il y a des petites pépinières d’où sortent desprojets porteurs ;Dans le champ de l’éducation et de la rechercheMaintenir et développer les chantiers de recherche et d’action pluridisciplinaires en interaction avec leterritoire et diffuser les résultats de façon capillaire ;<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 22 sur 25


Militer pour une linguistique d’intervention qui ait un impact sur la qualité de la vie et sur le développementsocio-économique ;Décloisonner les disciplines et interpeller les enseignements de langues, et de didactique des langues, pourqu’elles proposent davantage des chemins alternatifs efficaces pour la formation et pour la recherche ;Promouvoir une éducation plurilingue et interculturelle à tous les niveaux des systèmes d’enseignement, dela maternelle à l’enseignement supérieur ;Inviter les gouvernements à diversifier l’offre d’enseignement linguistique dès l’école primaire et à faire ensorte que cette diversité de choix soit utilisée ;Inviter les gouvernements à honorer leur engagement pris au Conseil européen de Barcelone en 2002 dedeux langues étrangères obligatoires à la fin du second cycle du second degré ;Inviter la Commission européenne à proposer des mesures permettant un retour aux publicationsscientifiques dans d’autres langues que l’anglais ;Inviter les universités à mettre en œuvre de véritables politiques linguistiques, qui ne devraient pas se limiterà consolider le niveau d’anglais des étudiants, mais être aussi la poursuite de l’apprentissage de la LV2 oumieux celui d’une LV3 non apprise au lycée.Dans le champ de l’économieLa diversité linguistique et les compétences en langues sont et doivent être considérées comme uneressource pour l’emploi et la compétitivité, et le traitement des langues comme une dimensionincontournable du management des entreprises internationales ;Le principe du droit de travailler dans la langue du pays d’accueil doit s’appliquer à titre général et lesbesoins linguistiques adaptés aux nécessités stratégiques des entreprises.Des actions doivent être entreprises dans chaque pays afin de diffuser les résultats de la recherche et lesbonnes pratiques dans le tissu des entreprises par les voies des revues professionnelles, de la formationinitiale et de la formation continue.Dans le champ politiqueLes pays européens doivent relever le défi des migrations qu’elles soient internes à l’Europe ou externes, etmaîtriser les processus d’intégration dans le reconnaissance des identités plurielles comme valeur pour lespersonnes migrantes et pour les sociétés qui les accueillent.L’Union européenne doit réaffirmer son plurilinguisme comme le fondement de la citoyenneté européenne, eten tirer les conséquences ;L’OEP appelle à une Initiative citoyenne au sens du Traité de Lisbonne afin de renforcer les fondementsjuridiques du plurilinguisme dans le fonctionnement des institutions.Dans le champ de la cultureOn ne saurait apprendre toutes les langues, c’est pourquoi la traduction joue un rôle aussi fondamental dansles transferts culturels et scientifiques. Le phénomène n’est pas nouveau : il n’est pas exagéré de dire que lacivilisation occidentale est née de la traduction. A cet égard, la science dite « occidentale » ne serait pas cequ’elle est sans l’apport de l’Inde, de la Chine, du monde arabe. Au moment où il est question dedésoccidentalisation du monde, la traduction occupe donc, plus que jamais, une position centrale. A l’heureoù bien des langues sont menacées, la traduction devient une forme d’oxygène indispensable à leur survie.Les langues, loin d’être des copies conformes les unes des autres, sont autant de sources d’imaginationcréatrice. C’est vrai dans le domaine des arts et des lettres, mais également dans celui des sciences del’Homme et de la Nature. Loin d’être de simples instruments de la pensée, elles la façonnent.<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 23 sur 25


Sans le recours au plurilinguisme et à la traduction dans le plus grand nombre de langues possible, il n’estpas de véritable circulation des savoirs, des idées et des imaginaires ni, par conséquent, de compréhensiondu monde contemporain et passé dans toute la richesse de sa diversité.Dans le domaine de la création cinématographique et audiovisuelle, les politiques néolibérales conduites parde nombreux gouvernements depuis les années quatre-vingt n’ont eu comme seul résultat que d’affaiblir lacréation. Il convient de promouvoir des politiques nationales coordonnées avec les politiques européennespermettant une renaissance de la production audiovisuelle et des cinémas européens.- Conclusions pour la culture- Conclusions pour la politique- Conclusions pour l’économie- Conclusions pour l’éducation2) Parmi les plus récentes mises à jour du site- L’Italie obtient gain de cause en matière de droits linguistiques- The internet is becoming more multilingual : Study- Višejezinost : od politike EU-a do uionica (Konferencija) - Zagreb, 23.studenog 2012- Sauver les langues de l’extinction numérique (Courrier international)- Educar para a diversidade, a interculturalidade e a paz- Une langue, une histoire en partage- Meertaligheid en diversiteit (Taalprofs.com)- Le mauvais tour de Babel (AgoraVox)- La intraducibilidad (¿ ?) de los grupos sociales- Colloque "Traduction des dialectes" 7-8 déc.- Plurilingualism by Robert Scarcia- Studie : Das Internet wird zunehmend mehrsprachig- Circulaire sur la politique des langues AEFE : pour une éducation plurilingue- Plurilingualism (Robert Scarcia)- EURid et l’UNESCO dressent le bilan du multilinguisme en ligne- Interpretazione dialogica : aspetti teorici, didattici e professionali- Le plurilinguisme vu et vécu par Migrilude- Ces mots qui meurent. Les langues menacées et ce qu’elles ont à nous dire- Falar mais de uma língua é uma questão de sobrevivência- Le CSA épingle les médias pour mauvais usage de la langue française- Het belang van meertaligheid (Taalpeil)- Les bonnes pratiques linguistiques dans le monde du travail- Cas d’application de la loi Toubon- Mujeres, identidad y bilingüismo- Libye : Langues étrangères et dictature ne font pas bon ménage- Mehrsprachigkeit : Von der EU-Politik ins Klassenzimmer- Ces mots qui meurent, les langues menacées et ce qu’elles ont à nous dire- Signs of life for foreign-language films in the U.S.- Abkhazia : io, preoccupato per la legge sulla lingua- Les pratiques théâtrales dans l’apprentissage des langues- Multilingual Individuals and Multilingual Societies (New publication)- Uma Internet cada vez mais multilingue (Relatório EURid/UNESCO)- Dictionnaire des écrivains migrants de langue française (1981-2011)- Ronde Tafel over de status van de taalprofessional- ¡En Alemania se habla Spanisch ! (Deutsche Welle)- III Symposium internat. "Le multilinguisme dans le cyberespace"- Publication "Traduire les droits" (Dir. Christine Pagnoulle)- A Berna si parla inglese...è la fine della Svizzera !- La Fabrique européenne des traducteurs : aider les jeunes- OIF defends Qatar’s admission to French-speaking club- Unioeste lança Fórum das Línguas Brasileiras de Imigração- Ordonnance de référé CGT contre Danone pour application de la loi Toubon- Logopedie bij meertalige kinderen : meertalige logopedie ?- L’apprentissage de "l’autre langue" est-il devenu un choix de raison ?- Vortrag zum Thema „Mehrsprachigkeit und Wirtschaft“ in Bozen- A écouter sur France Culture : Le Haut Elfique de Tolkien- Meertaligheid steeds belangrijker voor carrière<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 24 sur 25


- Ecología Lingüística (Observatorio Atrium Linguarum)- Sénégal : De la nécessité d’une politique plurilingue- Zweisprachigkeit : Leben in zwei Welten- Une loi pour rendre obligatoire la VO sous-titrée à la télé- I giovani europei e il multilinguismo (Cittadino europeo)- Estados Unidos y el plurilingüismo (video)- Un rapport révèle les faibles revenus des traducteurs en Europe- Defensor del Pueblo critica falta de multilingüismo de la Comisión para consultas- L’apocalypse linguistique aura-t-elle lieu ? (La Voix de la Russie)- Assise europee del plurilinguismo all’Università “La Sapienza” di Roma- Sapienza, tutela dei diritti linguistici "Risorsa per uscire dalla recessione"- Jugement du TGI de Vienne opposant Danone à la CGT3) Soutenir la plurilinguisme et la diversité culturelle en adhérant à l’OEP4) Un mouvement culturel aux États-Unis : les 3%Nous partageons avec notre partenaire le LEAP (Laboratoire européen d’anticipation politique), le souci derechercher les informations autant que faire se peut, à la source, localement. Nous savons que les scienceshumaines, jugées non rentables, sont à la dérive dans les universités étasuniennes, et européennes parconséquent, ces dernières étant totalement hypnotisées par le modèle d’Outre-Atlantique. D’où lamultiplication des masters entièrement en anglo-américain dont les seuls motifs sont la concurrence entreuniversités pour attirer les étudiants. La qualité de l’enseignement n’est pas un critète de choix, les destinsde toutes ces formations, c’est l’alignement sur la médiocrité. Un sujet de cette importante mériterait uneréflexion stratégique hélas introuvable, mais que n ous appelons de nos voeux. L’OEP a publié deux articlesà ce sujet qui interpellent (Claude Truchot fr et de, et Pierre Frath).Simple association d’idée : 3%, c’est le nombre de publications aux Etats-Unis qui sont des traductions.C’est dire le nombrilisme qui règne dans cette partie du monde, pour combien de temps encore ? Cenombrilisme, et le suivisme européen, sont un des aspects du déséquilibre du monde actuel.Dans cette partie du monde, dominée par la révolution conservatrice et l’ultralibéralisme depuis les années80, on racontait, il n’y a pas si longtemps, que la crise économique n’était plus possible, et certainsperroquets européens parlaient de "mondialisation heureuse" et décrétaient dès 2008 que "la crise estderrière nous", alors qu’elle ne faisait que commencer.Par rapport à cette situation, les sciences de la Nature ne sont évidemment d’aucun secours. Les sciencesde l’Homme non plus, tant elles sont anéanties. Pourtant, c’est d’elles seules que peut venir l’éclairage quifait aujourd’hui défaut. Rétablir la fonction critique et l’esprit d’analyse dans nos sociétés est la chose la plusurgente dont nous ayons besoin, le souffle culturel dont nous sommes privés aujourd’hui. Et bon courage au3% à qui nous tendons la main.5) Annonces et parutionsPour Lire la lettre de l’OEP sur le site de l’OEP<strong>FRAMONDE</strong> - 19 décembre 2012 - page 25 sur 25

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