Tartuffe - La Strada et compagnies

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Dossierde presseChâteau de GrignanFêtes nocturnesdu 6 juillet au 22 août 2009TARTUFFE - MOLIÈREMise en scène Brigitte Jaques-WajemanContacts pressePascal Zelcer06 60 41 24 55Catherine Guizard06 60 43 21 13

Dossierde presseChâteau de GrignanFêtes nocturnesdu 6 juill<strong>et</strong> au 22 août 2009TARTUFFE - MOLIÈREMise en scène Brigitte Jaques-WajemanContacts pressePascal Zelcer06 60 41 24 55Catherine Guizard06 60 43 21 13


SommaireL’édition 2009 des Fêtes nocturnes : <strong>Tartuffe</strong> 3<strong>Tartuffe</strong> / distribution 4<strong>Tartuffe</strong> à Grignan par Brigitte Jaques-Wajeman 5Repères biographiques / m<strong>et</strong>teur en scène 7Repères biographiques / équipe de création 8Repères biographiques / les comédiens 9<strong>La</strong> Compagnie Pandora 12L’Atelier du Rhin & Les Fêtes nocturnes 13Autour de <strong>Tartuffe</strong> 14Tarifs, modalités de réservation & calendrier 15L’été des Châteaux de la Drôme 16Contacts 19Contacts presse nationale/régionalePascal Zelcer 06 60 41 24 55 / pzelcer@wanadoo.frCatherine Guizard 06 60 43 21 13 / lastrada-cguizard@wanadoo.frContacts presse locale<strong>La</strong>urent Gremaud 06 73 27 74 88 / lgremaud@ladrome.fr


L’édition 2009 des Fêtes nocturnes : <strong>Tartuffe</strong>Depuis plus de 20 ans, le Départementde la Drôme produit, au château deGrignan, un spectacle de théâtre présentédevant la magnifique façade duchâteau, pendant deux mois. Un trèsnombreux public, constitué de touristes,d’habitants du pays, d’amateurs d<strong>et</strong>héâtre se presse chaque soir dans lesgradins dressés dans ce site exceptionnelpour découvrir chaque été unenouvelle création théâtrale.Après Shakespeare <strong>et</strong> <strong>La</strong>biche, fortbien reçus par 27 000 spectateurs quiont trouvé le chemin du château les étésderniers pour applaudir Mesure pourmesure <strong>et</strong> <strong>La</strong> Cagnotte dans des misesen scène d’Adel Hakim, c’est Molière quisera joué en 2009 à Grignan <strong>et</strong> mis enscène par Brigitte Jaques-Wajeman,grande spécialiste du répertoire classique.Elle propose un <strong>Tartuffe</strong> vivant <strong>et</strong> jubilatoiredans une vision très personnelle<strong>et</strong> contemporaine.<strong>Tartuffe</strong>, chacun le sait, raconte comment,au cœur d’une famille heureuse <strong>et</strong> prospère,s’est glissé un intrus, un aventurier,qui se sert de la religion pour exploiterà son profit la passion que le maître demaison éprouve pour lui <strong>et</strong> s’emparerde sa femme <strong>et</strong> de son bien. Avec <strong>Tartuffe</strong>,Molière vise les ravages de l’intégrismereligieux, de la séduction <strong>et</strong> de la terreurqui l’accompagnent ; de l’hypocrisieà laquelle il mène consciemment ouinconsciemment les suj<strong>et</strong>s <strong>et</strong> les peuplesqui le pratiquent ou qui en sont victimes.Troublante actualité <strong>et</strong> qui touche toutle monde aujourd’hui !Entre la façade <strong>et</strong> l’hémicycle du public,sur un sol dont la matière <strong>et</strong> la couleurévoqueront celle du château, une grand<strong>et</strong>able sera posée autour de laquelle lamise en scène de <strong>Tartuffe</strong> se déploiera.Table de repas avant tout, table deréunion autour de laquelle les membresde la famille viennent régulièrement ser<strong>et</strong>rouver, elle sera aussi l’occasiond’une étrange <strong>et</strong> troublante liturgie.Le site sera utilisé comme un décornaturel, comme si l’action se déroulaità Grignan aujourd’hui <strong>et</strong> que la tablefut depuis toujours installée devant leperron !3


<strong>Tartuffe</strong> à Grignan par Brigitte Jaques-Wajeman« Le jour où on rejouera <strong>Tartuffe</strong>, il faudratrouver un garçon charmant, inquiétant,très intelligent, <strong>et</strong> qu’on sente, pendant lascène d’Elmire <strong>et</strong> de <strong>Tartuffe</strong>, ce qu’elle ade scandaleux. Il n’y a aucune déclarationd’amour, dans aucun théâtre, qui soit aussisuave, aussi charmante que celle de <strong>Tartuffe</strong>à Elmire ».Louis Jouv<strong>et</strong>Description d’un combat<strong>La</strong> scène se passera de nos jours dansune famille française aux prises avec unindividu décidé à la soum<strong>et</strong>tre à un ordremoral répressif. Il a déjà fait la conquête dupère de famille (<strong>et</strong> de sa mère) <strong>et</strong> voudraitrégenter entièrement les mœurs <strong>et</strong> lesbiens de c<strong>et</strong>te famille. Il agit secrètementau nom d’une institution, d’une organisationou d’une secte dont nous devinons seulementl’existence.<strong>La</strong> table familiale sera le lieu, le champ clos,de c<strong>et</strong>te lutte mortelle entre l’imposteurhypocrite <strong>et</strong> ceux qui lui résistent au nomdu bonheur <strong>et</strong> de la liberté.Cela se passe ici <strong>et</strong> maintenant, même sion devine que cela eut lieu en d’autrestemps, <strong>et</strong> que cela se passe aussi de nosjours ailleurs <strong>et</strong> dans bien des pays.<strong>La</strong> modernité de la pièce éclatera : dans lerespect absolu de sa langue admirable, onla laissera s’ouvrir à tout ce qu’elle contientde dénonciateur <strong>et</strong> de libérateur.C’est une comédie grave, mais aussi unecomédie burlesque. Le mélange des deuxest unique en son genre.<strong>Tartuffe</strong> aujourd’hui<strong>La</strong> pièce m’apparaît plus comme un drameque comme une comédie à part entière,même si les rires, à notre grand soulagement,naissent immanquablement de certainesscènes. Sans doute parce qu’elle a prisune résonance contemporaine inattendue.Avec <strong>Tartuffe</strong>, Molière vise les ravages del’intégrisme religieux, de la séduction <strong>et</strong> dela terreur qui l’accompagnent ; de l’hypocrisieà laquelle il mène consciemment ouinconsciemment les suj<strong>et</strong>s <strong>et</strong> les peuplesqui le pratiquent ou qui en sont les victimes.Dans les larmes <strong>et</strong> les rires, Molière nousen montre la dangerosité <strong>et</strong> l’ambivalence.Comme nous le voyons toujours aujourd’huidans les pays où il s’est emparé du pouvoir,le fanatisme <strong>et</strong> sa machine de répressioncontre les libertés individuelles <strong>et</strong> singulièrementcontre les femmes, sont l’enversd’une frustration fondamentale. Orgon estinconscient de la nature ambiguë de sapassion pour <strong>Tartuffe</strong> ; <strong>Tartuffe</strong> est saisimalgré lui d’un désir irrépressible pourElmire, qui va le rendre imprudent. EnfinMadame Pernelle, à l’image d’Arsinoé dansle Misanthrope, est ivre de ressentimentcontre la jeunesse <strong>et</strong> l’amour.Seule Dorine est lucide <strong>et</strong> n’a pas de motstrop forts ni trop drôles pour décrire lapassion qui obsède Orgon ; de même elle asurpris, avant tout le monde, l’attachementsingulier de <strong>Tartuffe</strong> pour Elmire. Molièredévoile avec une audace saisissante, ceque dissimule la rigueur apparente de c<strong>et</strong>teimposture religieuse, il en pousse très loin lesconséquences : à la fin de la pièce, Orgon estspolié de ses biens, <strong>et</strong> sa famille est j<strong>et</strong>ée àla rue. Il faut une intercession exceptionnelle- qui ne viendra pas du ciel - pour que lapièce finisse heureusement.5


En 1664 (note historique)C’est au cours d’une fête organiséepar Louis XIV à Versailles en mai 1664,« Les Plaisirs de l’île enchantée », que« Sa Majesté fit jouer une comédie nommée<strong>Tartuffe</strong>, que le sieur Molière avait faitecontre les hypocrites. » On la trouva « fortdivertissante ».Mais c<strong>et</strong>te comédie devient aussitôt unobj<strong>et</strong> de scandale, un conflit éclate entre lejeune Roi (qui vient d’accéder depuis deuxans à un « pouvoir personnel »), la cour, quia aimé la pièce, <strong>et</strong> des censeurs dévots,qui obtiennent très vite l’interdiction de lapièce. Ainsi commence la célèbre « Cabaledes dévots ». Molière fait en vain le siègedu Roi.Molière sait pertinemment, en écrivant sapièce, que chacun reconnaîtra la fameuseCompagnie du Saint-Sacrement, qu’il nenomme évidemment pas, fondée en 1627,<strong>et</strong> recrutant ses membres, tous animésde bonnes intentions, parmi les grandsseigneurs <strong>et</strong> dans la monarchie parlementaire.« Il y avait ici de certaines gens (écritle parisien Gui Patin en 1660) qui faisaientdes assemblées clandestines sous le nomde Congrégation du Saint-Sacrement ; cesmessieurs se mêlaient de diverses affaires<strong>et</strong> ne m<strong>et</strong>taient jamais leurs assembléesdans le même endroit ; ils m<strong>et</strong>taient lenez dans le gouvernement des grandesmaisons ; ils avertissaient les maris dequelques débauches de leurs femmes. […]Ils avaient intelligence avec ceux de lamême confrérie à Rome, se mêlaient de lapolitique <strong>et</strong> avaient dessein de faire m<strong>et</strong>trel’Inquisition en France ».Première scène, dernière Cène :Lorsque le public arrive, le spectacle a déjàcommencé : la table est débordante de m<strong>et</strong>s,comme pour un banqu<strong>et</strong>. Les acteurs vont<strong>et</strong> viennent autour de la table. Le repas estquasiment terminé, ils attendent le dessert.<strong>La</strong> table de fête est abondante, généreuse,elle semble un hymne, à la grandeur de labourgeoisie, à son savoir-vivre. On boit, onchante ; trop sans doute ! Un grand bonheuranime tout le monde ; un soulagementnotable réunit les convives : Orgon, le maîtrede maison, est en voyage, absent depuisdeux jours <strong>et</strong> son <strong>Tartuffe</strong> aussi ; c<strong>et</strong>te familleprofondément unie, autrefois, r<strong>et</strong>rouve cesoir la douceur de vivre qui l’habitait, avantqu’Orgon n’invite <strong>Tartuffe</strong>, le dévot, à s’installerdans la maison. Depuis lors, une chapede plomb s’est abattue sur la maisonnée.<strong>La</strong> désapprobation de Madame Pernelle, lavieille dévote de grand-mère, est sensible :elle n’a touché à rien, mais personne n’y prêteattention ; l’envie de s’amuser est si fortechez eux tous, qu’ils l’oublient ; ils boivent<strong>et</strong> dansent, comme si c’était la guerre, qu’iln’y aurait de trêve que ce seul soir <strong>et</strong> qu’ilsne r<strong>et</strong>rouveraient jamais plus un tel bonheur !Le dernier souper, voilà à quoi ils pensent.L’arrivée du dessert, le chant, les applaudissementsfrénétiques des convives, sontla goutte qui fera déborder le vase, lesdéclencheurs de la fureur excédée deM me Pernelle, qui les enveloppe tous de sarage <strong>et</strong> de son mépris. Elle était venue voirs’ils se tenaient bien pendant l’absencede son fils ; leur liberté, leur gaîté lui sontinsupportables, elle quitte la table <strong>et</strong> lapièce commence :« Allons, Flipote, allons, que d’euxje me délivre. »6


Repères biographiquesBrigitte Jaques-Wajeman M<strong>et</strong>teur en scèneFormée dans les classes d’Antoine Vitez,elle travaille en tant que comédienne dansplusieurs de ses spectacles de 1969 à 1974,date à partir de laquelle elle se consacre à lamise en scène <strong>et</strong> crée la Compagnie Pandoraavec François Regnault. Elle enseigne l’artdramatique à l’école de la rue Blanche(l’ENSATT) de 1981 à 1987 <strong>et</strong> dirige le centredramatique national Théâtre de la Commune-Pandora d’Aubervilliers de 1991 à 1997.Depuis 2006, elle enseigne à l’Ecole NormaleSupérieure de la rue d’Ulm.Puisant dans les répertoires classiques <strong>et</strong>modernes, elle a mis en scène plus d’unequarantaine de pièces présentées lors defestivals <strong>et</strong> dans de nombreux théâtres, enFrance <strong>et</strong> à l’étranger (Comédie-Française,Chaillot, Odéon, Athénée, Théâtre de la Ville…).Parmi ses mises en scène de théâtre onr<strong>et</strong>iendra entre autres : <strong>La</strong> Nuit de l’Iguanede Tenessee Williams, Sophonisbe, Horace,<strong>La</strong> Mort de Pompée, Suréna <strong>et</strong> <strong>La</strong> PlaceRoyale de Corneille, Angels in America deTony Kushner (création au Festival d’Avignon1994), Elvire/Jouv<strong>et</strong> 40 d’après sept leçonsde Louis Jouv<strong>et</strong>, Entr<strong>et</strong>iens avec PierreCorneille composés par Brigitte Jaques <strong>et</strong>Jacqueline Lichtenstein, Le Prince travestide Marivaux, Sertorius de Corneille. DomJuan de Molière (Comédie de Genève, 1998,repris au Théâtre de l'Odéon en 2000) <strong>et</strong>Le Passage de Véronique Olmi (<strong>La</strong>usanne <strong>et</strong>Théâtre des Abbesses, à Paris). Plus récemment,elle a présenté les spectacles suivants2000 Hedda Gabler, d’Ibsen à la Comédiede Genève L'Odyssée, mise en scène de lalecture intégrale dans le cadre du Festivald'Avignon <strong>et</strong> à l'Auditorium du Louvre.2001 <strong>La</strong> Marmite de Plaute à l'Auditoriumdu Louvre. Ruy Blas de Victor Hugo à laComédie-Française.2002 <strong>La</strong> Marmite de Plaute, reprise auThéâtre de <strong>La</strong> Tempête-Cartoucherie deVincennes. Pseudolus de Plaute à l'Auditoriumdu Louvre.2003 Viol, de Danièle Sallenave au Théâtredu Rond-Point, avec Myriam Boyer <strong>et</strong> Marie-Armelle Deguy. Le Voyage de Benjamin,de Gérard Wajcman, pour le jeune public,dans le cadre d’Odyssées 78. Pseudolusde Plaute, reprise à la Comédie de Reims<strong>et</strong> au Théâtre de <strong>La</strong> Tempête.2004 Britannicus de Racine au théâtre duVieux-Colombier.2005 L'Illusion comique de Corneille, à laComédie de Genève <strong>et</strong> à la Comédie de Reims.<strong>La</strong> Chanson de Roland, lecture-spectacleà l’Auditorium du Louvre.2005-2006 Le Cid, de Corneille, à laComédie-Française, salle Richelieu.2007 Ténèbres, de Henning Mankell, àThéâtre Ouvert centre dramatique nationalà Paris.2008 Jouer avec Nicomède de Corneilleau Théâtre de <strong>La</strong> Tempête <strong>et</strong> à la Comédiede Reims.2008-2009 Tournée nationale de Nicomède.Brigitte Jaques-Wajeman travaille sur uneadaptation théâtrale du roman de VassiliGrossman, Vie <strong>et</strong> Destin.Pour le monde de l'opéra, Brigitte Jaques-Wajeman a également mis en scène Faisonsun opéra de Benjamin Britten, Aventures,Aventures nouvelles de Lig<strong>et</strong>i, Je vousdis que je suis mort de Georges Aperghis<strong>et</strong> Le Jeu du Narcisse de Marc-OlivierDupin <strong>et</strong> Don Giovanni de Mozart en 2005au Capitole de Toulouse repris en 2007.Actuellement, elle prépare un opéra dePuccini, Gianni Schicchi avec l’orchestred’Île-de-France.7


Repères biographiquesles comédiensThibault Perrenoud, <strong>Tartuffe</strong>Formation au Conservatoire national d’artdramatique promotion 2007 avec DominiqueValadié, Jean-Claude Durand, AndrzejSeweryn, Daniel Mesguich, Muriel May<strong>et</strong>te.A joué avec Pascal Papini L’Opéra dequat’sous de Brecht ; avec Valère Novarina<strong>La</strong> Scène de Novarina ; avec Daniel MesguichCinna de Corneille ; avec Brigitte Jaques-Wajeman Nicomède de CorneillePierre-Stefan Montagnier,OrgonA joué avec Isabelle Starkier Le Bal de Kafkade Timothy Daly - Guy-Pierre Couleau LesNouveaux Diablogues de Roland Dubillard<strong>et</strong> George Dandin de Molière - Claude YersinLe Comte Oderland de Max Frisch - BrigitteJaques-Wajeman Pseudolus <strong>et</strong> <strong>La</strong> Marmitede Plaute, Sertorius <strong>et</strong> Nicomède de Corneille- Gildas Bourd<strong>et</strong> L’Atelier de Grumberg -Bernard Kudlack <strong>La</strong> Plume de Satan deVictor Hugo - Silviu Purcar<strong>et</strong>e L’Orestied’Eschyle - Christian Colin Amnésie de Kleist- Sarkis Tcheumlekdjian <strong>La</strong> Ménagerie deverre de T.Williams - Dana Burns WestburgLe Malade Imaginaire de Molière - JacquesMornas Haute Surveillance de Jean Gen<strong>et</strong> -Jean-Paul Luc<strong>et</strong> Roméo <strong>et</strong> Juli<strong>et</strong>te deShakespeare.A mis en scène Les Caprices de Mariannede Muss<strong>et</strong>, <strong>La</strong> Passion du Christ Cheval deJ.P. Villechenon <strong>et</strong> <strong>La</strong> Manie de la Villégiaturede Goldoni.9


...Anne Le Guernec, ElmireAprès une formation au Cours Florent <strong>et</strong>avec Jean Claude Buchard au Cours l’Entréedes Artistes, Anne Le Guernec travaille avecJean Luc Moreau (Dom Juan), Stéphanie Loïk(Gauche-Uppercut de Joël Jouanneau),Barbara Boulay (Je ne suis pas toi dePaul Bowles), Margarita Mladenova <strong>et</strong> IvanDobtech (<strong>La</strong> Cerisaie de Tchékhov,), MarcelaSalivarova (Les Présidentes de Schwab),François Kergourlay (L’art de la Comédied’Eduardo de Filippo), Jeanne Moreau (Untrait de l’esprit de Margar<strong>et</strong> Edson), Anne<strong>La</strong>ure Liégois (Embouteillages, Don Juan<strong>et</strong> Ça), Isabelle Starkier (Le Bal de Kafkade T. Daly) <strong>et</strong> Guy Pierre Couleau (notammentLe Fusil de Chasse de Yasushi Inoué, Versles Cieux de O. Von Horvath, Le Baladin duMonde Occidental de J.M Synge, <strong>La</strong> Forêtd’Ostrovski, Les Justes d’Albert Camus).Au cinéma, elle a travaillé sous la directionde Serge Gainsbourg (Charlotte for Ever) <strong>et</strong>de Jean Becker (Les Enfants du Marais).Anne Girouard, DorineAprès des études de philosophie, AnneGirouard est élève à l'E.N.S.A.T.T.Depuis elle a régulièrement travaillé authéâtre, notamment au Centre DramatiqueNational d'Auvergne sous la directiond'Anne-<strong>La</strong>ure Liégeois (Embouteillage <strong>et</strong>Ca, Dom Juan de Molière, L'Augmentationde G. Perec <strong>et</strong> Edouard II de C. Marlowe).Elle a également travaillé au Piccolo theatrode Milan sous la direction de Luca Ronconi(Les Bacchantes d'Euripide), ou encoreavec Vincent Debost (Naïves Hirondelles deR. Dubillard), Philippe Faure (Le Jeu del'Amour <strong>et</strong> du Hasard de Marivaux), Jean<strong>La</strong>cornerie (Monsieur de Pourceaugnac deMolière), Arl<strong>et</strong>te Téphany (Un Chapeau dePaille d'Italie de <strong>La</strong>biche).A la télévision elle a participé notammentà la série Kaamelott, (Alexandre Astier).Elle a tourné au cinéma avec, entre autres,Gérard Krawzyck (L'Auberge Rouge), PhilippeBlasband (Maternelles), Michel Delagado(Bouqu<strong>et</strong> Final)Pascal Bekkar, CléanteA joué avec Brigitte Jaques-WajemanL’Illusion comique, Le Cid <strong>et</strong> Nicomède deCorneille, Pseudolus <strong>et</strong> <strong>La</strong> Marmite dePlaute, Dom Juan de Molière - MathieuLoiseau Gueule de Bois <strong>et</strong> Invasions deSylvie Chenus - Vincent Colin Les Mariés dela tour Eiffel de Jean Cocteau <strong>et</strong> Candide -Jean-Michel Vier Proust Expresso d’aprèsProust - Stéphane Vallé Pauvre Télémaquede Nathalie Fillion - Jean-Louis ThaminLes Bonnes de Jean Gen<strong>et</strong>, Tête d’or deClaudel, Personnages avec passé de ClaudeBourgeyx, <strong>La</strong> Société de chasse de T. Bernhard,Roméo <strong>et</strong> Juli<strong>et</strong>te de Shakespeare <strong>et</strong> LesNégres de Jean Gen<strong>et</strong> - Jean-Luc BorgMadame Bovary - Jacques Fontaine LeMisanthrope de Molière. Assistant à la miseen scène avec Brigitte Jaques-Wajemanpour Nicomède de Corneille, Ténèbres deHenning Mankell, Britannicus de Racine,Pseudolus de Plaute, <strong>La</strong> Marmite de Plaute,Ruy Blas de Victor Hugo, Dom Juan de MolièreSophie Daull, M me PernelleA joué avec Patrice Douch<strong>et</strong> <strong>La</strong> Ménagerie deVerre de Tenessee Williams - L'Instruction deP<strong>et</strong>er Weiss - avec Brigitte Jaques-WajemanBritannicus de Racine <strong>et</strong> Nicomède deCorneille - avec Carole Thibaut Puisque tu esdes miens de Daniel Keene - <strong>et</strong> dansé avecJean Gaudin à l'occasion de la reprise desAutruches. Elle a aussi travaillé avec Jacques<strong>La</strong>ssalle, Alain Ollivier, Agathe Alexis <strong>et</strong>Hubert Colas.10


Repères biographiquesles comédiensBertrand Suarez-Pazos, DamisFormation à l’ENSATT à Lyon promotion 2001.A joué avec Stéphanie Loïk, Jean <strong>La</strong>cornerie,Jean-Pierre Berthomier, Philippe Faure,André Fornier, Coline Serreau, Richard Brunel,Christian von Treskow, Philippe Delaigues,Michel Bell<strong>et</strong>ante, Nino d’Introna ; avecBrigitte Jaques-Wajeman L’Illusion Comique,<strong>La</strong> Chanson de Roland, <strong>La</strong> Bonne âme duS<strong>et</strong>chouan, Nicomède. Au cinéma avecMartin Valente, Joyce Bunuel. A mis enscène des textes de D. Harms <strong>et</strong> Derrièreles Murs dont il est l’auteur.Marc Siemiatycki,Monsieur LoyalFormation à l’école de théâtre Studio 34-Paris, puis à l’Ecole supérieure d’artdramatique du TNS.A joué avec Serge Noyelle One Day 49,Le <strong>La</strong>byrinthe ; Xavier Lemaire L’Imposturecomique de Pascal Bancou ; GenevièveRozental Des murs à Jérusalem de Elie-Georges Berriby ; Xavier Lemaire Altenheimde François Chodat ; Anne Quesemant <strong>La</strong>Mousse au chocolat de Anne Quesemant ;Christian Caro Eclipse de Christian Caro ;Stuart Seide Henry VI de William Shakespeare;Jeanne Champagne Penthesiléede Heinrich von Kleist ; Philippe Berling<strong>La</strong> P<strong>et</strong>ite Catherine de Heilbronn de Kleist ;Jean Marie Villegier <strong>La</strong> Magie sans magiede <strong>La</strong>mbert ; Jean-Louis Hourdin SansTitre de Federico Garcia-Lorca ; BrigitteJaques-Wajeman, Nicomède de Corneille.Travaille comme assistant avec StuartSeide (<strong>La</strong> dernière bande de Samuel Beck<strong>et</strong>t,l’Anniversaire de Harold Pinter).Sarah Le Picard, MarianeFormée au conservatoire du V e arrondissementde Paris qu’elle termine en 2005.Elle commence à travailler avec BrigitteJaques-Wajeman dans Le Cid à la ComédieFrançaise. En mai 2007, elle rencontreMatthieu Roy, alors élève m<strong>et</strong>teur en scèneau TNS, <strong>et</strong> participe à : L’amour conjugalde A.Moravia, Histoire d’amour (dernierschapitres) de JL.<strong>La</strong>garce, <strong>et</strong> Drame deprincesses de E.Jelinek, présentées à laComédie de Reims. Au cinéma, elle jouedans des longs-métrages sous la directionde Sophie Filière, Pascal Bonitzer, MiaHansen-Love <strong>et</strong> plus récemment dansL’élégance du hérisson de Mona Achache.Marc Arnaud, ValèreMarc Arnaud a été formé au ConservatoireNational d'Art Dramatique de Paris <strong>et</strong> à laLondon Academy of Music and Dramatic Art.Ses professeurs sont Dominique Valadié <strong>et</strong>Andrzej Seweryn. En dernière année, il travailleavec Mario Gonzalez (Molière masqué) <strong>et</strong>Gildas Milin (Ghosts). En Angl<strong>et</strong>erre, il a jouédans Richard III, <strong>La</strong> nuit des rois, Roméo <strong>et</strong>Juli<strong>et</strong>te de William Shakespeare, dans Womenbeware women de Thomas Middl<strong>et</strong>on <strong>et</strong>enfin dans The relapse de John Van Brugh.Il participe à la création de Machine sanscible écrit <strong>et</strong> mis en scène par Gildas Milinà la Chartreuse au festival d'Avignon 2007,spectacle repris au théâtre de la Colline en2008. Il travaille avec Françoise Coupat (<strong>La</strong>Célestine de Fernando de Rojas au théâtrede la Croix Rousse à Lyon en 2007) <strong>et</strong> JeanChristophe Blondel (tournée en Chine duPartage de Midi de Paul Claudel en 2009).11


<strong>La</strong> Compagnie PandoraFondée en 1976 par Brigitte Jaques-Wajeman, m<strong>et</strong>teur en scène <strong>et</strong> FrançoisRegnault, écrivain <strong>et</strong> philosophe, la CompagniePandora a poursuivi sans interruptionune activité théâtrale <strong>et</strong> pédagogique ouverteà la fois sur les œuvres classiques <strong>et</strong> surles œuvres modernes de théâtre.Pour l’essentiel, ce qui caractérise ladémarche de la Compagnie, c’est :Une fidélité aux œuvres classiques,orientée principalement autour des piècesde Corneille, dont Brigitte Jaques-Wajemana monté avec un grand succès plus de dixpièces, au Théâtre de Chaillot, au Théâtrede la Commune, à la Comédie-Française,au Théâtre de la Tempête, <strong>et</strong>c.<strong>La</strong> perspective adoptée du proj<strong>et</strong> « Corneillecolonial », notamment, visait à m<strong>et</strong>tre enrelief, dans cinq pièces « romaines » deCorneille, les rapports de Rome <strong>et</strong> de ses« colonies », ce qui consonait aisémentavec les histoires coloniales du XX e siècle,en France <strong>et</strong> ailleurs. On r<strong>et</strong>iendra aussisa mise en scène de <strong>La</strong> Place Royale,dont le film, dû à Benoît Jacquot, est connudans les Conservatoires <strong>et</strong> les Institutsd’étude théâtrale. On r<strong>et</strong>iendra égalementsa mise en scène de l’Illusion comique, quiest actuellement <strong>et</strong> pour deux ans encore,au programme des options théâtre deslycées.<strong>La</strong> création régulière de pièces contemporaines,qui témoignent des préoccupationsde notre temps ; notamment la création àAvignon, en Belgique, en Suisse <strong>et</strong> à Aubervilliersde la célèbre pièce Angels in America,de Tony Kushner, sur le Sida ou à Paris,à Théâtre Ouvert, la création de Ténèbresde Henning Mankell, sur l’immigrationclandestine, sans parler d’œuvres deNicholas Wright, Heiner Müller, VéroniqueOlmi, Danièle Sallenave, <strong>et</strong>c.Une activité pédagogique régulière,autour de l’art de l’acteur, distingue depuislongtemps la pratique artistique de laCompagnie Pandora. Professeur à l’Ensattde 1981 à 1987, aux Conservatoires deBordeaux <strong>et</strong> de Genève, puis au ConservatoireNational de Paris pendant l’année 2003,Brigitte Jaques-Wajeman est depuis 2006,professeur associée à l’École NormaleSupérieure de la rue d’Ulm.On r<strong>et</strong>iendra enfin que le spectacle ElvireJouv<strong>et</strong> 40, composé <strong>et</strong> mis en scène parBrigitte Jaques-Wajeman à partir desLeçons de Louis Jouv<strong>et</strong>, créé en 1986, quia fait le tour du monde, a aussi donné lieuà un film de Benoît Jacquot, lui aussi trèsdiffusé dans les lieux d’enseignement duthéâtre. Ce spectacle, qui fit une immens<strong>et</strong>ournée, témoigne d’une approche originalede l’Art de l’Acteur.<strong>La</strong> Compagnie Pandora a donc toujourscherché à maintenir un équilibre constantentre classicisme <strong>et</strong> modernité, entre mise enscène <strong>et</strong> art de l’acteur, entre une attentionrigoureuse au langage <strong>et</strong> une rechercheassidue du plaisir du spectateur <strong>et</strong> de sonintégration dans l’acte théâtral, comme entémoigne, à l’évidence, le succès en coursde la tournée en France du Nicomèdede Corneille, où le public se sent commeincorporé à la représentation même.12


L’Atelier du RhinSous la direction de Guy-Pierre Couleau,l’Atelier du Rhin, Centre Dramatique Régionald’Alsace à Colmar, conduit une missionde production <strong>et</strong> de diffusion dramatiqueavec une moyenne de deux productionspar an. Ces productions se jouent dans denombreuses villes françaises <strong>et</strong> à l’étranger.Sa programmation se veut pluridisciplinaire<strong>et</strong> ouverte sur l’Europe.L’Atelier du Rhin est co-producteur de c<strong>et</strong>tenouvelle création de Brigitte Jaques-Wajeman<strong>et</strong> accueillera <strong>Tartuffe</strong> à Colmar au coursde la saison 2009-2010Les Fêtes nocturnes :une aventure théâtrale singulièreDepuis plus de vingt ans, le Départementde la Drôme, à travers Les Châteaux de laDrôme, produit un spectacle théâtral devantla façade du château de Grignan en été.Depuis quelques années c<strong>et</strong>te manifestationrevendique une place parmi les grandsfestivals d’été.D’une part en raison de la singularité de saproposition : près de 40 représentationsd’une pièce de théâtre, créée pour le lieu(entre 27 000 <strong>et</strong> 30 000 spectateurs).D’autre part, pour sa programmation fondéesur le théâtre populaire. L’expression « théâtrepopulaire » prise comme expression debrassage social <strong>et</strong> d’invention esthétique. Ils’agit d’intéresser, d’amuser, de faire rêverou de faire réfléchir des publics très divers,acquis ou non au théâtre.<strong>La</strong> programmation puise donc dans unrépertoire théâtral classique large <strong>et</strong> sanstabou. Pour poursuivre dans c<strong>et</strong>te voie,engagée dès 2001 <strong>et</strong> affirmée au fil de cesdernières années, il a été proposé notammentde faire alterner le genre des spectaclesprésentés entre spectacles « légers »,comédies, tragi-comédies, mélodrames...Après Zelinda & Lindoro (Goldoni) proposépar Jean-Claude Berrutti de la Comédiede Saint-Etienne ; Mesure pour Mesure(Shakespeare) <strong>et</strong> <strong>La</strong> Cagnotte (Eugène<strong>La</strong>biche), montés par Adel Hakim du Théâtredes Quartiers d’Ivry, <strong>Tartuffe</strong> (Molière / BrigitteJaques-Wajeman), l’édition 2010 présenteraLe roi s’amuse de Victor Hugo, dans unemise en scène de François Rancillac (Théâtrede l’Aquarium).13


Autour de <strong>Tartuffe</strong> : été 2009<strong>La</strong> série de représentations commencerale 6 juill<strong>et</strong>. Comme c'est le cas depuis deuxans, les portes du château seront ouvertesdès 19h30 afin de perm<strong>et</strong>tre au public dejouir de ce cadre exceptionnel avant ledébut du spectacle. Il sera possible de boireun verre ou de se restaurer légèrement dansune ambiance très agréable, mais ausside profiter des animations musicales du« Kiosque » à la galerie des Adhémar. A noterégalement une innovation importante :les 780 places du gradin sont désormaisnumérotées, à la demande de nombreuxspectateurs qui auront ainsi le loisir de profiterplus longtemps, plus sereinement du débutde soirée avant d'applaudir <strong>Tartuffe</strong>...Le KiosqueEn alternance tout l’été de 19 h 30 à 20 h 30Le Kiosque propose, en avant-spectacle <strong>et</strong>pendant toute la durée des Fêtes nocturnes,un concert dans la galerie des Adhémar. Parséquences de 10 à 15 minutes, chansonfrançaise, musique traditionnelle bulgare ounapolitaine, ou encore mélodies classiquesseront données par quatre formations enalternance. C<strong>et</strong>te « mise en bouche » avantle spectacle sera un moment de détente<strong>et</strong> de transition pour profiter pleinementd’une soirée « Fêtes nocturnes au châteaude Grignan ».Entre 2 caisses :quatre chantistesde chanson françaiseBruno Martins (contrebasse, voix),Jean-Michel Mouron (voix),Dominique Bouchery (accordéon, voix),Gilles Raymond (guitare, voix)Trio d’un jour :chansons napolitainesBruno Martins (voix),Dominique Bouchery (accordéon),Gilles Raymond (guitare)Balkanes :chansons traditionnelles,voix bulgaresMilena Jeliazkova Ubeda,Milena Roudeva,Martine Sarazin-Lèbre,Marie Scaglia (voix)Quatuor d’un soir :chansons <strong>et</strong> musique classique<strong>et</strong> traditionnelleDaniel Marinelli (voix, guitare),Christian Bouvier (basson),Véronique Pleyn<strong>et</strong> (hautbois),Bruno Martins (voix,vielle à roue, contrebasse)14


Tarifs <strong>et</strong> modalités de réservationpour <strong>Tartuffe</strong>à partir du lundi 25 mai 2009Les Châteaux de la DrômeBill<strong>et</strong>terie spectaclesBP 21 26230 GrignanTél 04 75 91 83 65http://chateaux.ladrome.frTarifsPlein / 19 €Réduit / 13 € (12 à 17 ans, étudiants,demandeurs d’emploi, Carte 3 Châteaux)Enfant / 7 € (moins de 12 ans)Groupe / 15 € (à partir de 20 personnes)Calendrierdes représentationsde <strong>Tartuffe</strong>Début du spectacle à 21 h.Ouverture du château à 19h30.P<strong>et</strong>ite restauration <strong>et</strong> spectacles musicaux« le Kiosque »Calendrier <strong>Tartuffe</strong>juill<strong>et</strong>L M M J V S- - - - - -6 7 8 9 10 11- 14 15 16 17 1820 21 22 23 24 -- 28 29 30 31 -aoûtL M M J V S- - - 1- 4 5 6 7 8- 11 12 13 14 15- 18 19 20 21 2215


L’été des Châteauxde la DrômeLes Châteaux de la Drôme,un riche patrimoine<strong>et</strong> une action culturelleforte <strong>et</strong> variéeSitués en Drôme provençale, les châteauxde Grignan, de Suze-la-Rousse <strong>et</strong> desAdhémar à Montélimar appartiennent auDépartement de la Drôme. Leur gestionest confiée à un établissement public, lesChâteaux de la Drôme.Ces châteaux, classés Monuments historiques,attirent un nombreux public passionné parl’histoire, l’architecture <strong>et</strong> le patrimoine. Ilssont ouverts toute l’année à la visite (circuitsguidés ou visites libres selon les sites <strong>et</strong>les saisons) <strong>et</strong> offrent une programmationculturelle à travers des concerts de jazz<strong>et</strong> de musique classique, des rencontreslittéraires <strong>et</strong> du théâtre à Grignan, desexpositions photographiques à Suze-la-Rousse, des expositions d’art contemporainau château des Adhémar à Montélimar.Ils accueillent environ 170 000 visiteurschaque année.Le château de Grignan (XII e -XVII e siècle),est l’un des plus beaux exemples del’architecture Renaissance dans le sud-estde la France. <strong>La</strong> présence de Madame deSévigné <strong>et</strong> de sa fille la comtesse de Grignan,la place privilégiée qu’elles réservent auchâteau dans leur correspondance en fontun haut lieu de l’histoire régionale.16


Château des Adhémar,centre d’art contemporain,MontélimarProgrammation estivaledes deux autres châteauxYvan Salomone,exposition Pourquoi pas la peinture ?13 juin > 20 septembre 2009(vernissage samedi 13 juin)Le château des Adhémar, Angle Artcontemporain, Eric Linard éditions <strong>et</strong> Lithos,proposent c<strong>et</strong> été quatre expositionsautour d’un peintre. Un parcours estival àtravers ces 4 lieux du sud de la Drôme.Au château des Adhémar le choix s’estporté sur Yvan Salomone.Yvan Salomone réalise des séries d’aquarelles,variations des zones portuaires.Chaque aquarelle, réalisée au rythme d’unepar semaine, contribue à la « constructionintime d’un port personnel » dans lequelfont escale des références à l’histoire del’art moderne <strong>et</strong> contemporain.Tél. 04 75 00 62 30 ou 04 75 91 83 50Château de Suze-la-RoussePhotographies de Combes <strong>et</strong> Renaud6 juin > 14 septembre 2009(vernissage samedi 6 juin)L’exposition propose deux séries de diptyquesde Marie Combes (Intérieurs) <strong>et</strong> PatrickRenaud (sols). Paysages « végétal » ou« architectural » très personnels, commedésinvestis, dévitalisés, mais peut-êtreprêts pour une nouvelle aventure ? Dans lacour du château de Suze-la-Rousse, unnouveau diptyque « intérieur » du châteaua été commandé pour c<strong>et</strong>te exposition.Tél. 04 75 04 81 44 ou 04 75 91 83 50Cirque : Toccata /compagnie CirqueHirsuteDu 24 au 30 juill<strong>et</strong> 2009(relâche le 27 juill<strong>et</strong>)Attention talent ! Depuis 2005, le CirqueHirsute développe une approche singulière– <strong>et</strong> pour tout dire renversante – des artsaériens, mêlant détournements d’obj<strong>et</strong>s <strong>et</strong>théâtralité empreinte de poésie. Alors queleur première création, Bal Caustique,tourne dans les théâtres d'Europe, ils nousproposent durant quelques jours, dans la courdu château de Suze-la-Rousse, d’assister àleur nouveau spectacle (en cours de création),Toccata.Tél. 04 75 91 83 6517


Les Fêtes nocturnes 2008dans la presse nationaleQuelques extraits à propos de <strong>La</strong> Cagnottede Eugène <strong>La</strong>biche (mise en scène AdelHakim)Télérama – Joshka Schidlow"Une distribution de qualité, de laquelleémerge Prunella Rivière, fait de ce spectacleune réussite vigoureusement applaudie".Les Echos – Gilles Costaz"<strong>La</strong> Troupe […] remplace le statisme de c<strong>et</strong>tebonne vieille comédie par un dynamismebondissant. Le décor incroyablement mobiled’Yves Coll<strong>et</strong> a son rôle dans c<strong>et</strong>te libertécontagieuse, de même que la musique virevoltantede Marc Marder".Le Monde – Martine Silber"Cela court, cela vit, cela danse <strong>et</strong> chante,sous les coups implacables d’un destin cruel<strong>et</strong> de la chaleur douce de l’été provençal".Aujourd’hui/Le Parisien – Pierre VavasseurA propos du m<strong>et</strong>teur en scène : "Le ThéâtrePopulaire, c’est son affaire. Les acteurs – onn’en préférera aucun, ils sont tous, vraiment,à leur poste <strong>et</strong> complémentaires […]. Cachante, ça danse <strong>et</strong> transpire sous lesétoiles. Car ces théâtrales Fêtes nocturnessont un savoureux mélange de théâtre <strong>et</strong>d’atmosphère".<strong>La</strong> Croix – Bruno Bouv<strong>et</strong>"Une soirée endiablée <strong>et</strong> pleine d’unedébordante vitalité… Des comédiens menésd’une bagu<strong>et</strong>te énergique <strong>et</strong> entraînante…une scénographie truffée de trouvaillesjoyeusement inventives".L’Humanité – Emmanuelle Puyt"Adel Hakim a encore frappé <strong>et</strong> rendu<strong>La</strong>biche plus féroce. Il signe un spectaclefollement gai, roboratif".18


Les Châteaux de la DrômeInformations pratiques <strong>et</strong> contactsChâteau de GrignanBP 21 26230 GrignanTél. 04 75 91 83 65 (bill<strong>et</strong>terie spectacles)Tél. 04 75 91 83 50 (standard)Accès Autoroute A7 : sortie Bollène depuisle SudSortie Montélimar Sud depuis le NordAccès TGV : Valence ou MontélimarLes Fêtes nocturnes sont produites parles Châteaux de la Drôme, établissementpublic du Département de la Drôme, encoproduction, pour l’édition 2009, avec laCompagnie Pandora <strong>et</strong> l’Atelier du Rhin <strong>et</strong>la participation du Jeune Théâtre National.Elles reçoivent le soutien de la RégionRhône-Alpes <strong>et</strong> de la Direction Solidaritésdu Département de la Drôme.C<strong>et</strong>te édition bénéficie en outre du partenariatdu Crédit Agricole Sud Rhône-Alpes<strong>et</strong> de Jaillance, Cave coopérative de Die.Présidente de l’établissement public :Christine Priotto, conseillère générale,déléguée à la cultureDirection artistique : Anne MeillonChargé de production : Georges KeraghelCommunication <strong>et</strong> presse locale : <strong>La</strong>urentGremaud, Guillem<strong>et</strong>te <strong>La</strong>mbert (lgremaud@ladrome.fr)19

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