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Procès-verbal - Site officiel de la ville d'Aubagne en Provence

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36sco<strong>la</strong>ire prochaine, les financem<strong>en</strong>ts étant quasim<strong>en</strong>t actés, une application <strong>de</strong>spremières mesures du projet périsco<strong>la</strong>ire et <strong>de</strong> l’<strong>en</strong>trai<strong>de</strong> sco<strong>la</strong>ire sur toutes les écolesd’Aubagne, avec <strong>la</strong> création d’un nouveau service permettant un accueil ét<strong>en</strong>du <strong>de</strong>l’<strong>en</strong>fant avant et après l’école, bâti non pas sur <strong>la</strong> gar<strong>de</strong>rie mais sur l’accès aux loisirséducatifs et à <strong>la</strong> culture pour tous <strong>en</strong> complém<strong>en</strong>tarité avec l’école et sur les valeurs<strong>de</strong> solidarité qui sont les valeurs sur lesquelles <strong>la</strong> majorité municipale dans sadiversité, travaille.Donc beaucoup <strong>de</strong> travail nous att<strong>en</strong>d dans le budget et après son vote le21 Avril pour affiner toutes ces actions. J’ai mis moins <strong>de</strong> neuf minutes. Je vousremercie.M. Le Maire : Merci M. ORIHUEL. M. RODEVILLE !M. RODEVILLE : Excusez-moi, mais je vais appeler un chi<strong>en</strong> un chi<strong>en</strong> dès le départ,parce que, moi quand je vois une « mer<strong>de</strong> » par terre, il y a <strong>de</strong>ux façons <strong>de</strong> réagir :soit on l’écrase on <strong>en</strong> met partout, soit on <strong>la</strong> ramasse pour éviter les dégâtscol<strong>la</strong>téraux. Et je crois que l’on a beaucoup parlé du secret <strong>de</strong> l’instruction dans lesaffaires dont nous avons <strong>en</strong>t<strong>en</strong>du parler ce soir et je crois qu’il sert au moins à çaquoi.Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> l’arène politique dans <strong>la</strong>quelle nous sommes, excusez-moid’avoir une p<strong>en</strong>sée un peu humaine et <strong>de</strong> ceux qui souffr<strong>en</strong>t justem<strong>en</strong>t <strong>de</strong> tout ce quiest raconté partout avec plus ou moins <strong>de</strong> réalité ou <strong>de</strong> vérité dans les mots et dansles actes. Donc un peu <strong>de</strong> ret<strong>en</strong>ue humainem<strong>en</strong>t par<strong>la</strong>nt, simplem<strong>en</strong>t, et une p<strong>en</strong>séeparticulière pour les <strong>en</strong>fants et <strong>la</strong> femme d’A<strong>la</strong>in BELVISO qui, je p<strong>en</strong>se, n’ont pasmérité ce débal<strong>la</strong>ge médiatique et cette viol<strong>en</strong>ce dans les mots.Pour souligner les instances que nous avons mises <strong>en</strong> p<strong>la</strong>ce ici sur cette<strong>ville</strong>, à quel point les ori<strong>en</strong>tations budgétaires et le budget qui <strong>en</strong> découle, sont le fruitparfois <strong>de</strong> plusieurs années <strong>de</strong> préparation, <strong>de</strong> concertation et d’étu<strong>de</strong>s. Et je crois queles élus qui sont ici, l’administration <strong>de</strong> cette <strong>ville</strong>, ont au moins cette faculté, c’est <strong>de</strong>r<strong>en</strong>contrer <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion, <strong>de</strong> discuter et <strong>de</strong> voir à quel point ces dix <strong>de</strong>rnières années,<strong>de</strong>s g<strong>en</strong>s que nous connaissions et qui sont <strong>de</strong>s amis, <strong>de</strong>s copains, <strong>de</strong>s proches, <strong>de</strong>sg<strong>en</strong>s avec qui on discute dans les différ<strong>en</strong>ts ateliers <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>ville</strong>, ont perdu leur pouvoird’achat, sont aujourd’hui à se <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r comm<strong>en</strong>t ils vont finir les fins <strong>de</strong> mois. Et jecrois que ce<strong>la</strong>, malgré toute <strong>la</strong> bonne volonté que nous pouvons avoir ici, on a du malà régler tous les problèmes parce que les g<strong>en</strong>s se p<strong>la</strong>ign<strong>en</strong>t <strong>de</strong> quoi ? De problèmesd’emploi, <strong>de</strong> logem<strong>en</strong>t, <strong>de</strong> santé, d’<strong>en</strong>seignem<strong>en</strong>t, <strong>de</strong> <strong>la</strong> justice ! Et je crois, vous mecorrigerez si je me trompe, que là nous sommes sur les compét<strong>en</strong>ces <strong>de</strong>s politiqu<strong>en</strong>ationales, sur lesquelles nous n’avons, malgré notre bonne volonté, que peud’influ<strong>en</strong>ce malgré tout et que c’est ce<strong>la</strong> aujourd’hui que les g<strong>en</strong>s réc<strong>la</strong>m<strong>en</strong>t.Alors « bi<strong>en</strong> vivre à Aubagne », oui on essaye <strong>de</strong> faire <strong>en</strong> sorte <strong>de</strong> mettretous les atouts que nous avons <strong>de</strong> notre côté, pour faire <strong>en</strong> sorte que les Aubagnaispuiss<strong>en</strong>t vivre le mieux possible dans le contexte qui est celui <strong>de</strong> notre nation et celuidu mon<strong>de</strong> <strong>en</strong> général.Pour ce<strong>la</strong>, je crois que <strong>la</strong> fonction que je représ<strong>en</strong>te <strong>en</strong> est le témoin vivantd’une <strong>ville</strong> qui bouge et qui voit grandir sa popu<strong>la</strong>tion bi<strong>en</strong> sûr, mais aussi seséquipem<strong>en</strong>ts malgré tout ce qui est dit, et puis <strong>la</strong> v<strong>en</strong>ue du tramway qui n’est <strong>en</strong> fait.../...

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