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Facteur et restaurateur de percussions - Institut National des Métiers ...

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<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong> <strong>de</strong> <strong>percussions</strong>Les métiers<strong>de</strong> la factureinstrumentaleArch<strong>et</strong>ierFabricant <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’anches<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’accordéons<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong><strong>de</strong> clavecins <strong>et</strong> épin<strong>et</strong>tes<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong><strong>de</strong> harpes<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong><strong>de</strong> <strong>percussions</strong><strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong><strong>de</strong> pianos<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’instruments à cor<strong>de</strong> anciens<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’instruments à vent en bois<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’instruments à vent en métal(cuivre, argent, or…)<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’instruments <strong>de</strong> musiquemécanique<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong>d’instruments traditionnels<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong> d’orguesLuthierLuthier en guitare


<strong>Facteur</strong> <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong> <strong>de</strong> <strong>percussions</strong>MétierBatteries, <strong>percussions</strong> classiques (tambour, timbale, caisse claire, toms, grosse caisse,triangle, cymbale...), <strong>percussions</strong> contemporaines, <strong>percussions</strong> traditionnelles (conga,djembé, <strong>de</strong>rbouka…) : tous ces instruments prennent place dans tous les genres musicaux. Ilsprésentent <strong>de</strong>s formes très variées : clavier, peau tendue sur caisse <strong>de</strong> résonance, simpledisque. Leurs origines sont multiples : <strong>percussions</strong> brésiliennes, africaines, européennes,américaines, <strong>et</strong> asiatiques. Différentes classifications ont tenté <strong>de</strong> les regrouper selon leurspoints communs. Leur première caractéristique est leur mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> jeux. Elles peuvent êtrefrappées, entrechoquées, secouées, ou frottées. Les idiophones, du grec « qui sonnent parsoi-même », sont <strong>de</strong>s instruments dont le matériau lui-même est à l’origine du son produitaprès impact. Les membranophones possè<strong>de</strong>nt, comme le nom l’indique, une membrane (unepeau animale ou une peau plastique tendue) qui vibre lorsqu’elle est frappée grâce à unrésonateur <strong>et</strong> un diffuseur. Le son lui-même est important. Les <strong>percussions</strong> peuvent créer <strong>de</strong>ssons déterminés, c’est-à-dire avec une hauteur définie, comme les instruments à clavier, lestimbales <strong>et</strong> les cloches ; ou au contraire, <strong>de</strong>s sons indéterminés qui ne correspon<strong>de</strong>nt àaucune note, une particularité <strong>de</strong>s instruments comme le gong, les cymbales, la batterie, lacaisse claire, la grosse caisse ou le tambourin. Enfin, leur <strong>de</strong>rnière caractéristique est le oules matériaux dans lesquels ils sont fabriqués. Traditionnellement en bois ou en métal ilspeuvent également être réalisés avec <strong>de</strong>s matériaux synthétiques comme la fibre <strong>de</strong> verre oule polyester. Certaines <strong>percussions</strong> traditionnelles, comme le udu, sont façonnées à partir d<strong>et</strong>erre cuite.Les instruments à percussion en bois peuvent être construits <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux manières : parassemblage <strong>de</strong> panneaux, ou creusés directement dans la masse. Frêne, chêne, érable,merisier, noyer, acacia, ou encore bois exotiques, le facteur <strong>de</strong> <strong>percussions</strong> peut disposerd’essences <strong>de</strong> bois bien différentes, utilisées sous différentes formes (bois massif, lattes <strong>de</strong>bois massif, ou bois <strong>de</strong> placage).Parmi les instruments élaborés à partir <strong>de</strong> panneaux <strong>de</strong> bois, on trouve les tambours, lestambourins, les congas, les bongos, les caisses claires, les toms <strong>et</strong> les grosses caisses. Lefabricant doit tout d’abord redimensionner les plaques <strong>de</strong> bois afin qu’elles soient touteségales. Ces lattes sont ensuite encollées <strong>et</strong> assemblées entre elles par <strong>de</strong>s cercles <strong>de</strong> montage<strong>de</strong> différents diamètres pour donner à l’instrument sa forme définitive. Les plaques peuventégalement être cintrées avant d’être assemblées ou encore placées dans un moule. Lescercles servent uniquement à maintenir les panneaux entre eux <strong>et</strong> sont r<strong>et</strong>irés après le temps<strong>de</strong> séchage. Une fois c<strong>et</strong>te étape terminée, le facteur peut commencer l’opération d<strong>et</strong>ournage. L’instrument est poncé à l’intérieur <strong>et</strong> à l’extérieur, jusqu’à ce qu’il soit très lisse.Des renforts peuvent être posés pour que le fût ne se déforme pas. Il peut ensuite êtrehabillé d’un parement dans un bois plus décoratif ou d’une autre matière. Enfin, le facteurpose la peau, tendue par un cercle <strong>de</strong> serrage grâce à un système à cor<strong>de</strong>s ou mécanique àtringles.Les <strong>percussions</strong> formées à partir d’une seule pièce <strong>de</strong> bois sont le djembé <strong>et</strong> le ka. Le facteurcommence par dégrossir son tronc d’arbre en fonction <strong>de</strong> la taille <strong>de</strong> son instrument <strong>et</strong> <strong>de</strong> saforme définitive. Il peut ensuite creuser l’intérieur <strong>et</strong> définir la forme extérieure. Le fût doitsécher entre trois mois <strong>et</strong> un an. Ce délai dépassé, il est poncé <strong>et</strong> enduit traditionnellement<strong>de</strong> beurre <strong>de</strong> karité. Le bord du fût est limé puis poncé pour faire un arrondi. La peau tendueest ensuite posée, suivie d’un cerclage sur le haut du pied, <strong>et</strong> d’un cerclage sur le bord du fûtqui servira à soutenir le système <strong>de</strong> cordage <strong>de</strong>stiné à tendre la peau.


Les instruments à <strong>percussions</strong> en métal peuvent être en cuivre, laiton (cuivre <strong>et</strong> zincprincipalement), bronze (mélange <strong>de</strong> cuivre <strong>et</strong> d’étain), maillechort (cuivre, nickel <strong>et</strong> zinc),inox, aluminium ou titane. Pour les membranophones en métal, le facteur <strong>de</strong> <strong>percussions</strong>travaille par chaudronnerie ou par tournage repoussage. Dans le cas d’une percussion <strong>de</strong>forme cylindrique, comme les tambours, il commence par découper, à l’ai<strong>de</strong> d’un massicot oud’une cisaille à main, sa plaque <strong>de</strong> métal selon le gabarit <strong>de</strong> l’instrument. Les <strong>de</strong>ux bords <strong>de</strong>la plaque sont agrafés l’un à l’autre pour créer une forme cylindrique. Après le mol<strong>et</strong>age(polissage du fût), le professionnel rabat le bord <strong>de</strong> la plaque par martelage sur un cercle (enfil clair) posé préalablement. Le traçage <strong>et</strong> le pointage servent à définir l’emplacement <strong>de</strong>spièces métalliques <strong>de</strong>stinées à tendre la peau. Le facteur d’instrument peut réaliser d’autresaccessoires en métal, comme un déclencheur, une sourdine, un porte-cymbale, ou encore uninsigne <strong>de</strong> la marque. Ils sont usinés en fonte <strong>de</strong> laiton, débardés puis chromés. Une fois lefût <strong>et</strong> les accessoires polis, il ne reste plus qu’à les assembler avec les cercles <strong>de</strong> bois ou <strong>de</strong>métal. La forme du fût hémisphérique d’une timbale implique une fabrication par repoussageou martelage.Les peaux utilisées peuvent être d’origine animale ou plastique. Le facteur réalise égalementle cercle sur lequel la peau sera posée. Selon la nature <strong>de</strong> la peau, le cercle peut être en boisou métal <strong>et</strong> prend sa forme par cintrage. La peau plastique travaillée est posée à l’intérieurdu cerclage métal qui, dans un premier temps, a pris la forme d’un U. Ce <strong>de</strong>rnier est ensuiteserti par points successifs. Après un premier mol<strong>et</strong>age, la peau est découpée à ras du cercle.Le travail <strong>de</strong> la peau animale (chèvre, bovidé) se fait à la main par roulage tandis que l<strong>et</strong>ravail <strong>de</strong> la peau plastique est effectué par thermoformage. Pour ce <strong>de</strong>rnier cas, lafabrication est presque exclusivement industrielle. Il reste un seul atelier français proposantaux musiciens <strong>de</strong>s peaux plastiques sur mesure.La fabrication <strong>de</strong>s instruments métalliques en forme <strong>de</strong> disque se fait par martelage. Pour lescymbales, le bronze est coulé dans <strong>de</strong>s poêlons <strong>et</strong> prend la forme <strong>de</strong> p<strong>et</strong>ites gal<strong>et</strong>tes. Leurépaisseur est réduite grâce à un laminoir : <strong>de</strong>ux cylindres écrasent le métal. C<strong>et</strong>te opérationpeut être répétée plusieurs fois, jusqu’à obtention d’une feuille irrégulièrement ron<strong>de</strong>. Lapartie bombée au centre est appelée la cloche. Elle est réalisée par emboutissage sur unepresse munie d’un gabarit. Un trou central est alésé, grâce à une perceuse. Pour que ledisque prenne la forme d’un cercle parfait, les bords sont ensuite découpés par unegrignoteuse. Le martelage peut alors commencer. Aujourd’hui, il peut être automatisé,mécanisé ou manuel. Dans le cas d’un martelage manuel, 4000 à 5000 coups <strong>de</strong> marteau vontlui perm<strong>et</strong>tre <strong>de</strong> prendre la forme d’un galbe (en aile d’avion). La <strong>de</strong>rnière étape est l<strong>et</strong>ournage qui définit l’épaisseur <strong>de</strong> la cymbale. La fabrication <strong>de</strong>s gongs est sensiblement lamême que celle <strong>de</strong>s cymbales. Un disque en bronze est chauffé puis tourné <strong>et</strong> martelé autant<strong>de</strong> fois que jugé nécessaire par le fabricant.Pour la fabrication <strong>de</strong>s woodblocks, <strong>de</strong>s lames <strong>de</strong> xylophones <strong>et</strong> <strong>de</strong> marimbas, les boisexotiques (pao rosa, palissandre) sont souvent utilisés en raison <strong>de</strong> leur dur<strong>et</strong>é <strong>et</strong> <strong>de</strong>nsité.Tout comme les claviers en métal (vibraphones, glockenspiels), le <strong>de</strong>ssous <strong>de</strong>s lames doit êtreplus ou moins creusé pour accor<strong>de</strong>r l’instrument.Le facteur <strong>de</strong> <strong>percussions</strong> conçoit <strong>de</strong>s instruments. Le réparateur entr<strong>et</strong>ient <strong>et</strong> restaure cesinstruments qui, par définition, subissent <strong>de</strong> nombreux chocs. Il remplace les peaux ou leslames <strong>de</strong>s claviers. Les caisses <strong>de</strong> résonance <strong>de</strong>s membranophones en métal doivent parfoisêtre débosselées. Le facteur peut également se charger <strong>de</strong> réaccor<strong>de</strong>r les instruments à sonsdéterminés (les claviers <strong>et</strong> les timbales).


FormationsIl n’existe pas <strong>de</strong> formation spécialisée dans les instruments à percussion. Une formation <strong>de</strong>chaudronnier, <strong>de</strong> menuisier ou d’ébéniste peut servir <strong>de</strong> base. R<strong>et</strong>rouvez toutes les adresses <strong>de</strong>s organismes <strong>de</strong> formations initiales <strong>et</strong> professionnellescontinues dans les métiers d’art en consultant notre base <strong>de</strong> données sur notre site Intern<strong>et</strong> :http://www.institut-m<strong>et</strong>iersdart.org/ R<strong>et</strong>rouvez le schéma <strong>de</strong>s formations aux métiers d’art sur notre site Intern<strong>et</strong> :http://www.institut-m<strong>et</strong>iersdart.org/ Sur le site http://www.moveart.org/, r<strong>et</strong>rouvez toutes les adresses <strong>de</strong>s centres <strong>de</strong>formations en Europe.EnvironnementLes instruments à percussion, <strong>et</strong> plus particulièrement les idiophones, sont considérés commeles premiers instruments <strong>de</strong> musique. La subdivision <strong>de</strong>s <strong>percussions</strong> en idiophones <strong>et</strong>membranophones a été définie par la Systematik <strong>de</strong>r Musikinstrumente <strong>de</strong> Hornbostels-Sachsen 1914. C<strong>et</strong>te classification a été critiquée, notamment par André Schaeffner(<strong>et</strong>hnomusicologue <strong>et</strong> conservateur au Musée <strong>de</strong> l’Homme jusqu’en 1965) pour qui lacatégorie <strong>de</strong>s idiophones équivaut à un fourre-tout. Mais elle reste aujourd’hui la pluscouramment utilisée.En France, on compte peu <strong>de</strong> facteurs <strong>de</strong> <strong>percussions</strong> (cinq environ). Certains se sontspécialisés dans la confection <strong>de</strong> batteries. Généralement, leur activité ne se limite pas à lafabrication <strong>de</strong> <strong>percussions</strong>. Ils peuvent travailler en ébénisterie ou menuiserie, fabriquerd’autres instruments, ou encore proposer une gamme plus large d’accessoires (pour l<strong>et</strong>ransport <strong>de</strong>s instruments par exemple). Un facteur se différencie du technicien car sonmétier ne consiste pas en l’assemblage d’éléments importés, mais en la construction totale<strong>de</strong> l’instrument.Certaines <strong>percussions</strong> sont traditionnellement fabriquées dans leur pays d’origine, comme lacymbale en Turquie ou le djembé en Afrique.


Organisme professionnelChambre syndicale <strong>de</strong> la facture instrumentale (CSFI)62, rue Blanche 75009 Paris.Tél. : 01 48 74 76 36. Fax : 01 48 74 07 22.csfi@wanadoo.frhttp://www.csfimusique.comCréée en 1890, la Chambre syndicale regroupe les professionnels <strong>de</strong>s instruments <strong>de</strong> musique<strong>et</strong> <strong>de</strong> l’édition musicale en France : fabricants, luthiers, facteurs, distributeurs, éditeurs,détaillants. Elle est aujourd’hui organisée en 6 commissions : développement <strong>de</strong> la pratiqueinstrumentale, promotion <strong>de</strong> la facture française, événements, communication <strong>et</strong> relationspubliques, économie, enseignement professionnel <strong>et</strong> formation. Depuis 2006, la CSFI organisela présence d’entreprises ou artisans français sur <strong>de</strong>s salons étrangers (NAMM <strong>de</strong> Los Angeles,salon Mondomusica en Italie <strong>et</strong>c.). La CSFI est également en charge <strong>de</strong> représenter la factureinstrumentale au sein <strong>de</strong> la Fédération <strong>de</strong>s Loisirs, regroupement lancé par le Ministère duCommerce Extérieur.Salons <strong>et</strong> manifestationsRencontres internationales <strong>de</strong> luthiers <strong>et</strong> maîtres sonneurs au château d’Ars(Anciennement rencontre <strong>de</strong> Saint CHARTIER)Annuel, juill<strong>et</strong>Comité Georges Sand,7 avenue Georges Sand, 36400 La ChâtreTél. : 02 54 48 60 60. Fax : 02 54 48 21 29.info@rencontres<strong>de</strong>luthiers.orghttp://www.rencontres<strong>de</strong>luthiers.orgCréées il y a plus <strong>de</strong> trente ans, ces rencontres accompagnent l’évolution <strong>de</strong>s musiquestraditionnelles <strong>et</strong> réunissent chaque année quelques 130 luthiers présentant leurs créations.Salons, animations <strong>et</strong> concerts perm<strong>et</strong>tent <strong>de</strong> découvrir cornemuses, vielles à roue mais aussiaccordéons, bombar<strong>de</strong>s, luths, cithares, <strong>percussions</strong> traditionnelles…Musicora, à Paris,Annuel, mars,Agence Sequenza, 10, avenue Jean Moulin, 75014 Paris.Tél. : 01 45 43 77 58.contact@musicora.frhttp://www.musicora.comCréé en 1985 autour du baroque <strong>et</strong> du classique, ce salon international a intégré le jazz puisles musiques actuelles. Il rassemble, chaque année autour d’un thème, à la fois amateurs <strong>et</strong>professionnels du mon<strong>de</strong> musical <strong>et</strong> notamment les éditeurs, les facteurs d’instruments, lescompositeurs <strong>et</strong> les musiciens. Les visiteurs peuvent y trouver <strong>de</strong>s informations sur les métiers<strong>de</strong> la musique <strong>et</strong> assister à <strong>de</strong>s concerts, <strong>de</strong>s animations, <strong>de</strong>s ateliers pédagogiques, <strong>de</strong>sconférences <strong>et</strong> <strong>de</strong>s débats.


ConcoursPrix Avenir Métiers d’Art - INMA,Annuel, remise <strong>de</strong> prix : date variable.Remise <strong>de</strong>s dossiers : 31 mai <strong>de</strong> l’année en cours.<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>de</strong>s Métiers d’Art - 23, Avenue Daumesnil, 75012 Paris.Tél. : 01 55 78 85 85. Fax : 01 55 78 86 17.prixavenir@inma-france.orghttp://www.institut-m<strong>et</strong>iersdart.orgLes Prix Avenir Métiers d’Art – INMA, en partenariat avec la Fondation Michelle <strong>et</strong> AntoineRIBOUD, sont <strong>de</strong>stinés à m<strong>et</strong>tre en valeur <strong>de</strong> jeunes talents futurs acteurs <strong>de</strong> la vieéconomique dans ces métiers d'excellence.Ils ont pour objectif d'encourager <strong>et</strong> <strong>de</strong> valoriser les savoir-faire spécifiques aux métiers d'artà travers les œuvres réalisées par les élèves <strong>de</strong> lycées professionnels, d’écoles techniques, lesjeunes en formation en alternance <strong>et</strong> les étudiants <strong>de</strong>s écoles d'art, <strong>de</strong> niveau V, IV <strong>et</strong> III.Le 1 er Prix <strong>de</strong> chaque région <strong>et</strong> <strong>de</strong> chaque niveau recevra <strong>de</strong> l’INMA un chèque d’une valeur <strong>de</strong>250€ ainsi qu’un diplôme. Les lauréats régionaux bénéficieront également <strong>de</strong>s avantages duCLUB Avenir Métiers d’Art, grâce au partenariat avec la Fondation Michelle <strong>et</strong> AntoineRIBOUD : séjour <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux jours à paris, rencontres avec <strong>de</strong>s professionnels, visite <strong>de</strong> musées,ateliers, <strong>et</strong>c. <strong>et</strong> exposition <strong>de</strong> leurs œuvres à Paris, en vue du prix national.Les 1 ers Prix nationaux recevront 750€ ainsi qu’une bourse <strong>de</strong> 6000€ <strong>de</strong> la Fondation Michelle<strong>et</strong> Antoine RIBOUD. Les <strong>de</strong>uxièmes Prix nationaux seront dotés d’une somme <strong>de</strong> 450€ <strong>et</strong> lestroisièmes d’une somme <strong>de</strong> 300€. Ces dotations seront complétées par un diplôme <strong>et</strong> un appuien termes <strong>de</strong> communication <strong>et</strong> <strong>de</strong> promotion.Sources d’informationOrganismeAssociation française pour la percussion (AFP),Monsieur Guillaume Cazal , 1500, rue du professeur Joseph Anglada, 34090 MONTPELLIERafpercu@gmail.comhttp://www.afpercu.comRegroupant 600 membres, c<strong>et</strong>te association a pour but <strong>de</strong> promouvoir tous les arts liés à lapercussion. Elle publie une revue <strong>et</strong> m<strong>et</strong> en place <strong>de</strong>s rencontres, afin <strong>de</strong> créer <strong>de</strong>s liens,entre <strong>percussions</strong> classiques <strong>et</strong> contemporaines, batteries <strong>et</strong> <strong>percussions</strong> traditionnelles. Lerevue est mise en ligne <strong>et</strong> accessible aux adhérents sur le site intern<strong>et</strong> <strong>de</strong> l’association. Unelongue liste <strong>de</strong> liens classés par genre musical est accessible à tous.


Lieux ressourcesCité <strong>de</strong> la musique,221, avenue Jean Jaurès, 75019 Paris.Tél. : 01 44 84 89 45. Fax. : 01 44 84 46 43.mediatheque@cite-musique.frhttp://mediatheque.cite-musique.frhttp://www.cite-musique.frInaugurée en 1995, la Cité <strong>de</strong> la musique est un lieu privilégié d’échanges culturels, à traversses concerts, son musée <strong>et</strong> ses expositions, ses centres <strong>de</strong> documentation, ses activitéspédagogiques <strong>et</strong> éditoriales <strong>de</strong>stinées aux adultes <strong>et</strong> aux jeunes. La médiathèque <strong>de</strong> la Cité<strong>de</strong> la musique couvre tous les domaines <strong>de</strong> la vie musicale, <strong>de</strong>s genres <strong>et</strong> styles musicaux(classique, jazz, musiques traditionnelles). Sa vocation est <strong>de</strong> conjuguer service grand public(jeunes, amateurs, mélomanes) <strong>et</strong> service spécialisé (étudiants, chercheurs, enseignants,musiciens, facteurs d’instruments).Sites Intern<strong>et</strong>www.<strong>percussions</strong>.orgSite présentant l’actualité du mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s <strong>percussions</strong> <strong>et</strong> un forum <strong>de</strong> discussion dans lequelquelques renseignements sur la fabrication <strong>de</strong> <strong>percussions</strong> sont donnés.http://www.kangaba.com/Site détaillant les différentes étapes <strong>de</strong> fabrication d’un djembé.http://www.bergerault.comSite <strong>de</strong> l’entreprise Bergerault, fondée en 1932 par Alain Bergerault, spécialisée dans lafabrication <strong>de</strong>s instruments <strong>de</strong> <strong>percussions</strong> : xylophones, congas, <strong>et</strong>c.http://www.philippe-rault.comSite du maître d’art, facteur <strong>et</strong> <strong>restaurateur</strong> d’instruments à vent en métal, égalementfacteur d’instruments <strong>de</strong> batteries <strong>et</strong> <strong>de</strong> <strong>percussions</strong> : caisses claires, <strong>de</strong>s grosses caisses <strong>et</strong><strong>de</strong>s tambours ainsi que les peaux plastiques. Il y présente son atelier <strong>et</strong> son métier.http://www.bosphoruscymbals.comVidéo montrant les différentes étapes <strong>de</strong> fabrication <strong>de</strong>s cymbales, selon les techniquestraditionnelles turques. Démonstration par les fondateurs <strong>de</strong> la marque Bosphorus.http://www.william-amadieu.comSite <strong>de</strong> l’artisan ébéniste d’art, également facteur <strong>de</strong> batteries. Les différents articles <strong>de</strong>presse à son suj<strong>et</strong> donnent <strong>de</strong>s renseignements sur ses techniques <strong>de</strong> fabrication.http://www.latoile<strong>de</strong>sbatteurs.comSite géré par une association contenant <strong>de</strong>s dossiers <strong>et</strong> <strong>de</strong>s reportages sur la fabrication <strong>de</strong>certains éléments <strong>de</strong> batteries.Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif <strong>et</strong> ne sauraient prétendre àl’exhaustivité.


Pour en savoir plus…Consultez le Centre <strong>de</strong> ressources <strong>de</strong> l’<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>de</strong>s Métiers d’art, une ressourceunique sur les métiers d’art : Des bases <strong>de</strong> données documentaires sur l’actualité <strong>de</strong>s métiers d’art <strong>et</strong> <strong>de</strong>s bases <strong>de</strong>données sur les formations, accessibles sur son site intern<strong>et</strong>. Un fonds documentaire spécialisé : revues, dossiers, ouvrages <strong>et</strong> plus <strong>de</strong> 750 films surce secteur.<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>de</strong>s Métiers d’art,23 avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85Ouvert du mardi au vendredi <strong>de</strong> 14 à 18 heuresinfo@inma-france.orghttp://www.institut-m<strong>et</strong>iersdart.org/© Centre <strong>de</strong> ressources, <strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>de</strong>s Métiers d’Art, 23, avenue Daumesnil 75012 Paris, 2010

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