Documents palographiques relatifs l'histoire des ... - Warburg Institute

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— 246 —la fondation, les charges imposées par le fondateur, les réserves dedroits et les privilèges, toutes les clauses de nature à caractériserles règles générales qui présidaient à ces sortes de donations auprofit de la religion. Nous n'avons pas dû mentionner quelquesdroitstoujours inhérents à toute fondation, comme par exemple ledroit de l'évêque diocésain, le droitdu fondateur d'appeler dans lemonastère créé par lui des religieux de telle ou telle congrégationet de les soumettre à telle autre maison abbatiale existant déjà.Mais toutes les fois que l'évêque ou l'une des parties contractantesdans lafondation faisait une condition spéciale de l'introduction detelle règle rehgieuse, cette réserve a été rappelée exactement.En général, le seigneur laïque, en créant des maisons religieuses,ne se réservait aucune espèce de droit, et la plus parfaiteabnégationparaît avoir présidé à leurs inspirations pieuses pendant leW siècle.Nous avons cru devoir comprendre au nombre des fondationsnouvelles, les égUses, oratoires, chapelles"qui, existant déjà, passaientde leur état primitif et peu important au rang de monastères,d'abbayes, de cloîtres, etc.; car ces chapelles ne devenaient pasdes maisons conventuelles sans que des constructions considérablesfussent ajoutées à ce qu'était la chapelle dans son état primitif. Quifut l'auteur de ces constructions? qui les paya? quel droit futréservé ou imposé ? Telles sont les notions qui doivent aussi compléternos recherches. Nous sommes obligé de convenir que sinous avons pu constater avec des dates et des faits assez précisgrand nombre de fondations religieuses , bien souvent encoreles actes se bornent à énoncer le fait en lui-même, sans rienajouter sur le fondateur, ses motifs ou ses réserves de droits. Etdans ce cas, pour ne pas reproduire une longue et inutile nomenclature,nous avons abrégé les citations qu'il nous aurait été facilede multiplier. L'absence de tout document, ou leunlaconisme désespérantdes vieilles chroniques, surtout pour le XP siècle, doiventêtre seuls accusés de cette insuffisance. En général, nous avonsaccordé moins de confiance aux traditions écrites à des époquesmodernes et qui ne sont pas appuyées sur des documents authentiques.Enfin, nous avons adopté, comme pour les restaurations
- 247 -d'édifices religieux, les deux divisions comprenant les fondationspar des seigneurs laïques et les fondations par des hommes d'Eglise.L'ordre chronologique a été conservé, comme nous l'avons faitjusqu'à présent.L'année de l'avènement de Hugues Capet, « Boso, cornes Marchiœ,copelhnn fimdat in honore sancti Vetri, in pago Lemovicino,penniltente Hugone rege, affirmantibus Guillelmo comité Pictaviensi,Gilberto episcopo et aliis prœsuUlms. » Nous avons déjà parléde cette fondation au chapitre des villes, sous la date de l'année987 ; le comte donne pour motif de sa pieuse inspiration le rachatde ses péchés. 11 ne se réserve aucun droit et il respecte aussi tousceux de ses cointéressés ; cet acte donne un aperçu de toutes lesformalités à remplir avant de pouvoir fonder même une chapelle.Le monastère de Seltz, diocèse de Strasbourg, doit sa fondationà l'impératrice Mathilde, femme d'Othon le Grand. Cette maisondate de l'année 987 et fut détruite par un incendie en 1258.Un miracle avait donné lieu, depuis longtemps, à la fondationd'une chapelle sur une petite île adjacente à la Normandie. Cettechapelle fut érigée en abbaye en l'année 990, par le duc Richard P%sous lenom de Mont-Saint-Michel, et de magnifiques constructionsfirent place au chétif oratoire. Des ermites, et plus tard des chanoines,avaient été chargés du service divin ; mais le dérèglementdes mœurs des chanoines les en fit chasser, par ordre du duc deNormandie. Les pèlerinages ont rendu ce monastère très-célèbre ;il servit longtemps de prison politique, mais une récente décisiondu gouvernement, après avoir fait rétabhr les inscriptionscommémorativesqui concernaient cette maison rehgieuse, vient de larendre au culte catholique.En la même année 990, Féghse deMaillezais, fondée par la comtesseEmma, subit aussi les vicissitudes de la vie de safondatrice.Commencée à l'époque du mariage de cette princesse avec le comtede Poitou, les travaux ordonnés par la comtesse furent interrompuspendant tout le temps que dura le procès en divorce des deux personnagesque nous venons de désigner. Mais une dévote inspirationayant rapproché le comte et la comtesse de Poitou, celle-ci fit
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— 536 —pensons que si la reliur
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— 538 —symbolique des quatre é
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— 5/iO —tionner après les ouvr
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— 5/i2—litre. Au milieu même d
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— 5kh —de suspecter l'origine a
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— 546 —11 existe dans les recue
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— 5/,8 —ronnées et sur les mar
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TABLEANALYTIQUEDES MATIÈRES (').%
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553 —AlMaee, corporation des arch
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'.,Armures etarmes, représentées
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—,fables , ce genre de po6sie tr
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.559 —Ber$;ers et Berjst'res, suj
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•— 561 —— donation qui lui
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,Cagniard (Alexis], comte de Cornou
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565des commissaires pour examiner l
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sa567les braconniers; les évêques
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—231 ;—230—569 —pines, de d
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de— 571cor, -tso.Coran, versets d
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tique l'âge attribué à ce manusc
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,undes corporations laïques, 275,
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•— 577 —Ét«, l)rùlant en F
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—,570églises ne devaient aucune
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581 —Fossoyeurs de l'année du ro
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.— 583Gonease, rho?pice n'avait p
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—— 585 —Hanricl de Quevrain,
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— 587 —mettant des subventions
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—.— 589 —.voiirdan, régisseu
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— 591E.erida, ville reconstruite
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593l^ouis le I>L'b(timaiie , rui de
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—— 595tenir les archive!?, etc.
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—,—599Mule, échangée contre u
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quieT» 309; — privilèges des ve
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- 603Othon, sculpteur du tombeau de
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— 607 —Pont-îk-!»!ousson , le
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architecte,——I—physicien,- 60
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——Saûut-Uultert. abbave des Ar
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—615^enlis, l'église Saint-P.ég
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BIT —TheotiMque. cette langue nu
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— 619 —IV.erche. son clocher, n
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TABLE DU VOLUME.AveriissemeiitIntro
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—— 62o —— Bénédictionnair
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