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Les panoramas du territoire d'Elbeuf - La Crea

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Villes et Pays d’art et d’histoireparcours découverte(…) « J’arrive dans un des pays les plus riches de la Franceet même de l’Europe. Il y a très peu de perspectives aussibelles que celles d’Elbeuf, de l’éminence au-dessus de la ville,qui est fort élevée. Vous voyez la ville à vos pieds ; d’un côtéla Seine offre une largeur superbe, entrecoupée d’îles, debouquets de bois et de l’autre, un vaste amphithéâtre decoteaux couverts d’arbres qui environnent le tout » (…)Arthur Young / Voyages en France, 1789-1790laissez-vous conterles <strong>panoramas</strong><strong>du</strong> <strong>territoire</strong> d’Elbeuf


OrivalDevant le portail de l’égliseSaint-Georges.Durant des siècles, ce petit<strong>Les</strong> <strong>panoramas</strong> <strong>du</strong><strong>territoire</strong> d’ElbeufPour apprécier la diversité <strong>du</strong><strong>territoire</strong> d’Elbeuf et lire sonhistoire dans les paysages,pourquoi ne pas prendre de lahauteur, comme les voyageursd’autrefois ? Du haut descoteaux ou depuis la route descrêtes, on repère dans la valléeles grands îlots urbains <strong>d'Elbeuf</strong>,Caudebec-lès-Elbeuf et Saint-Pierre-lès-Elbeuf, les complexesin<strong>du</strong>striels de Saint-Aubin-lès-Elbeuf et Cléon, les zonescommerciales de Tourville-la-Rivière et de Saint-Pierre-lès-Elbeuf ainsi que des zonesrurales à Freneuse et Sottevillesous-le-Val.On redécouvreaussi l’éten<strong>du</strong>e de l’espacenaturel, 700 hectares, et 45%<strong>du</strong> <strong>territoire</strong> recouvert par laforêt, à <strong>La</strong> Londe notamment.<strong>Les</strong> coteaux boisés descendant<strong>du</strong> plateau <strong>du</strong> Roumoissurplombent les milieuxhumides au pied des falaisescalcaires, et les rives d’unedes plus belles boucles de laSeine accueillent villes etin<strong>du</strong>stries où vivent plus de56 000 habitants. <strong>La</strong> Seine alongtemps constitué laprincipale voie de circulation.L’autoroute A-13 est venue larenforcer au nord, depuis lesannées 1970. Le fleuve, la forêt etle développement de l’in<strong>du</strong>strieont façonné différents types depaysages, mis en perspectivedepuis les nombreux<strong>panoramas</strong> <strong>du</strong> <strong>territoire</strong>.<strong>Les</strong> falaises<strong>La</strong> falaise de craie constitueun repère constant <strong>du</strong> paysagede la basse vallée de Seine.Haute de 100 à 150 m, litéede bancs de silex gris oucoupée de poches d’argilerougeâtre et surmontée d’uneépaisse couche de limon, ellesurplombe le fleuve sanstoujours le border directement.Il y a cent millions d’années,au crétacé, le <strong>territoire</strong> étaitrecouvert par l’océan. <strong>La</strong> craiedes falaises est le vestige dessquelettes de micro-organismesmarins accumulés <strong>du</strong>rant cesmillions d’années, puisdécouverts par la mer quandson niveau a baissé. C’est unmilieu délicat, riche deformations végétales rases(orchidées par exemple), oùgrottes et abris témoignentd’une occupation humaineancienne. <strong>Les</strong> hommes y ontaussi construit des oratoiresou des chapelles.Prairies plantées d’arbres fruitiers, au pied des falaises d’Orival,le long de la route des Roches.© Daniel Quesney, 2009.<strong>Les</strong> coteaux crayeux bienimportées ou par des colorantsexposés étaient autrefoischimiques.recherchés pour la culture des <strong>La</strong> vigne, également cultivée surplantes tinctoriales. On enles coteaux en raison <strong>du</strong> microclimatplutôt doux, a disparu auextrayait des principes colorantspour teindre la laine, tissée et début <strong>du</strong> 20 e siècle. <strong>La</strong> partietravaillée sur tout le <strong>territoire</strong>. ouest des coteaux d’Orival est- <strong>La</strong> guède ou pastel des teinturiers classée Natura 2000, zone(isatis tinctoria) donnait le bleu. protégée au niveau européen.- Le genêt des teinturiers(genista tinctoria), le vert. <strong>La</strong> forêt- <strong>La</strong> gaude (reseda luteola),<strong>La</strong> forêt domaniale de <strong>La</strong> Londele jaune.s’étend sur les communes de <strong>La</strong>- Le noyer, différentes teintes Londe, Moulineaux, Orival etsuivant la partie utilisée.Elbeuf. Elle prolonge au nord-estCes plantes peuvent encore être le massif <strong>du</strong> Rouvray, formantobservées sur les coteaux.un vaste ensemble de 5100Y ont-elles toujours poussé à hectares. Au sud, la vallée estl’état sauvage ? Ont-elles été bordée par la forêt d’Elbeuf et, àintro<strong>du</strong>ites par l’homme ? Au fil l’est de Saint-Pierre-lès-Elbeuf,<strong>du</strong> temps, et avec l’essor des par celle de Bord dans l’Eure.grandes teintureries in<strong>du</strong>strielles, L’exploitation de la forêt aces plantes tinctoriales ont été beaucoup évolué depuis l’Ancienremplacées par des plantesRégime ; le bois servait alorspour le chauffage, l’édificationde bâtiments et la constructionnavale, si bien qu’au milieu <strong>du</strong>17e siècle, le bois long vient àmanquer. Pendant les deuxdernières guerres, la forêt de <strong>La</strong>Londe-Rouvray est de nouveaumise à mal. De 1914 à 1918,242 hectares sont coupés pour lechauffage des armées et pourl’aménagement des tranchées.Plus récemment, des incendies(entre 1960 et 1970) et laviolente tempête de 1999 ontdévasté plusieurs centainesd’hectares. Aujourd’hui, la forêtmérite à nouveau le titre defutaie-cathédrale, attribué auxforêts domaniales normandes en<strong>La</strong> forêt de <strong>La</strong> Londe.© <strong>La</strong> <strong>Crea</strong>.raison de la haute voûte(45 m de hauteur) formée parle feuillage des hêtres, des chêneset des charmes.Outre les vestiges d’un oppi<strong>du</strong>mgaulois et de plusieurs fana,lieux de culte gallo-romains, ony trouve de remarquablesouvrages d’art ferroviaire,via<strong>du</strong>cs et tunnels, ainsi quela fameuse carrière d’argile« de la Terre-à-pots ».Vraisemblablement exploitéedepuis l’Antiquité, mais surtoutà l’époque moderne, elle futnotamment utilisée par lafaïencerie Boulanger de Choisyle-Roiqui pro<strong>du</strong>isit les carreauxblancs <strong>du</strong> métro parisien.village a été un site stratégique,parce qu’il est un bon posted’observation. Au-dessus del’église (16 e -19 e siècle), defondation médiévale, lecimetière occupe le flanc de lafalaise, même dans sa partieescarpée. Sur la rive opposée,îlots et bras morts ont étécomblés au 19 e siècle pouraméliorer la navigation fluviale.<strong>La</strong> petite agriculture vivrièrea disparu. Au nord <strong>du</strong> villagede Saint-Aubin-lès-Elbeuf(à gauche), le côté plat <strong>du</strong>méandre est occupé par unezone in<strong>du</strong>strielle.<strong>La</strong> promenade sur lesentier des Roches (1h),emprunté par les pèlerins deCompostelle, offre une vueplongeante sur la vallée etdébouche, au sommet de lafalaise, sur les ruines de laforteresse de <strong>La</strong> Roche-Fouet,bâtie pour Richard Cœur deLion vers 1200.Au pied des falaises, en retrait<strong>du</strong> fleuve, subsistent les vestigesd’un hameau semi-troglodytique,la Roche-Foulon, encore occupéau début <strong>du</strong> 20 e siècle ; sonnom évoque l’activité defoulage des laines qui y étaitpratiquée.Orival, église Saint-Georges. © <strong>La</strong> <strong>Crea</strong>.Le clocher est bâti directement sur le rocher,à côté de l’église semi-troglodytique.En voiture, en directiond’Oissel, route touristique desRoches, au pied des falaises.Entre Orival et Elbeuf, laperspective couvre l’ensemblede la boucle <strong>du</strong> fleuve.<strong>La</strong> stèle et le monumentaux soldats canadiensEntre 1940 et 1944, en raisonde sa situation géo-stratégique,la forêt est le siège de violentscombats, d’importantessurfaces sont bombardées etmitraillées. En août 1944,l’affrontement entre les troupescanadiennes et allemandesmarque un point final à lacampagne de Normandie.Sur le Mont-à-la-Chèvre,un monument rend hommageaux soldats canadiens.


Pêche à l'éperlan à proximité d'Orival, coll. part. Jusqu’au milieu <strong>du</strong> 20 e siècle, la pêche professionnellepratiquée en Seine fournissait éperlans, poissons blancs et saumons.<strong>La</strong> vallée de Seine et les falaises au niveau d’Orival.© Daniel Quesney, 2009.Vue générale d’Elbeuf par Asselineau,dans « Voyages aériens », 1850.© Archives <strong>d'Elbeuf</strong>.Le musée <strong>d'Elbeuf</strong> conservedes collections liées au patrimoinenaturel local, à la pêche, ainsiqu'un ensemble remarquablede fossiles mis à jour àTourville-la-Rivière : défensesde mammouths mesurantjusqu'à 3,70 mètres de long,cornages d'aurochs, os d'ourset de lions des cavernes...A pied : Au niveau <strong>du</strong>Bas-Cléon, hameau dontl’activité était tournée vers lefleuve, une promenade longeles bords de la Seine.Depuis le port de plaisancede Saint-Aubin-lès-Elbeuf,aménagé dans un ancien sited’écluses, le chemin de halagepermet de suivre la boucle deSeine face à Elbeuf et Orival.<strong>La</strong> SeineAvant de devenir le fleuvecalme et in<strong>du</strong>strieux que nousconnaissons, la Seine futd’abord tropicale puis arctique.Née il y a trois millionsd’années, elle partage alors lelit de la Loire et prend sasource dans le Massif Central.Un important soulèvement <strong>du</strong>plateau haut-normand, unmillion d’années plus tard,donne à la Seine sonindépendance et dessine sespremiers méandres dans lacraie. Après les palmiers,d’autres arbres moins frileuxcomme les séquoias s’installentsur les rives. On est alors(déjà !) en - 300 000 et lesmammouths broutent la taïgaqui s’étend jusqu’à la merglaciaire. Au plus fort desglaciations, le fleuve se jette àl'ouest de la pointe bretonneactuelle.Fleuve sauvage pendant3 millions d’années, la Seinedevient une voie navigable trèsempruntée. Au 18 e siècle, unecentaine de grands bateaux derivière, foncets et besognes, fontprès de mille voyages par anentre Rouen, l’Oise et Paris.Une quinzaine de « voituresd’eau » assurent des liaisonsrégulières entre les bourgsnormands, où les ports-relaissont dotés d’auberges, d’écuriesavec forge et de chantiers deréparation navale. A partir desannées 1860, la Seine esttransformée en « un largecanal » où voguent des bateauxde plus en plus gros : plusieursdécennies sont nécessaires pourconsolider les rives, draguer lesfonds afin d’augmenter le tirantd’eau, installer des écluses(comme à Saint-Aubin-lès-Elbeuf,Poses ou Amfreville-sous-les-Monts), creuser un chenal denavigation en aval de Rouenet dans la boucle d’Elbeuf.<strong>Les</strong> chemins de halage quilongent le fleuve évoquent lesouvenir <strong>du</strong> grand axe decirculation qu’était la Seine,au temps où les moteursn’existaient pas. Quand le ventfaisait défaut, le bateau, reliéà une corde de traction appelée« bricole », était tiré par deschevaux ou des mulets.Dans les passages difficiles, entreles îles par exemple, lesmariniers participaient à lamanœuvre. Ces cheminsformaient autrefois unebanquette de 7 m de large surl’une ou l’autre rive ; ils ontaujourd’hui trouvé une nouvellevocation, en devenant cheminsde randonnée.Victime depuis des dizainesd’années de la pollution, lefleuve, considéré comme mort en1980 (moins de 10% d’oxygènedissous dans l’eau contre 83%en 1933) est actuellement enconvalescence grâce à la volontédes pouvoirs publics et auxefforts des in<strong>du</strong>striels.Chez Marie au printemps,Joseph-Félix Bouchor, vers 1900.Collection Commune de Freneuse.Photo Y. Miossec © 2008,Inventaire général.Le coteau est planté de pommiers ;au loin s’ouvre la large vallée de Seineavant sa transformation vers 1930.<strong>Les</strong> paysages <strong>du</strong>méandreMalgré les ponts, les deux rives<strong>du</strong> méandre cultivent leursdifférences. <strong>La</strong> plaine d’Elbeuf,in<strong>du</strong>strialisée et urbanisée, ad’abord fait face aux terrassesalluvionnaires vouées àl’agriculture de la rive droite.Cependant, depuis la 2 e moitié<strong>du</strong> 20 e siècle, d’importantsbouleversements ontradicalement transformé lepaysage.<strong>La</strong> ville d’Elbeufet la valléeAujourd’hui, un étalementcontinu de tissus urbainsoccupe la rive gauche : Elbeuf,prolongée sans rupture parCaudebec-lès-Elbeuf, puisSaint-Pierre-lès-Elbeuf vers l’est.Ce bassin in<strong>du</strong>striel ancien estmarqué par quatre sièclesd’activité drapière, avant mêmela création de la Manufactureroyale par Colbert en 1667.Son habitat est l’héritier d’uneintense activité mono-in<strong>du</strong>strielleet de sa nécessaire reconversion.Manufactures en pan-de-boiset usines de briques, logementspatronaux dans leurs vastesjardins, ont été transformés enlogements et équipementspublics ; d’autres ont été détruitset laissent place à des édificesmodernes.<strong>Les</strong> premiers ponts reliant les deux rives de laSeine, Elbeuf et Saint-Aubin-lès-Elbeuf, sontconstruits en 1843 ; de nombreuses îles occupentencore le lit principal <strong>du</strong> fleuve.Depuis le belvédère<strong>du</strong> musée d’Elbeuf, coursGambetta, depuis le cimetièreSaint-Jean ou celui deCaudebec-lès-Elbeuf, l’ensemblede la plaine urbanisées’étend sous nos yeux.En s’appuyant sur les falaises etles crêtes, se dessinent lescontours <strong>du</strong> méandre.A pied ou en voiture, la rueArthur Hulme à Elbeuf mène àla côte Saint-Auct, où s’élevaitune chapelle <strong>du</strong> même nom.Au pied <strong>du</strong> calvaire, le vastepanorama de la ville et de son<strong>territoire</strong> se déroule vers l’est.


L’intérieur <strong>du</strong>méandre<strong>Les</strong> paysages de la rive droitese caractérisent par un clivagenord-sud conditionné par laprésence <strong>du</strong> coteau. Ils présententun enchevêtrement en archipelde zones naturelles, de secteursrésidentiels et d’activités.A partir des années 1950-1960,l’implantation de nouvelleszones in<strong>du</strong>strielles au nord,sur les communes de Saint-Aubin-lès-Elbeuf et Cléon,puis le développement d’unpôle commercial à Tourville-la-Rivière ont généré un habitatcollectif et pavillonnaire récent.FreneuseA pied, dans le centre <strong>du</strong>village : promenade jusqu’àl’église. Du petit chemin quipasse derrière le clocher, onaperçoit l’île de Freneuse et,dans le coude étroit <strong>du</strong> fleuve,l’île de Quatrage.En voiture : depuis la statuede la Vierge, la route des crêtes(D 292) domine les deuxversants <strong>du</strong> méandre.Par ailleurs, l’exploitation descarrières de sables et graviers,sur les anciens « sablons »,a amené un nouveau typed’in<strong>du</strong>strie et le remodelage <strong>du</strong>paysage : ainsi, la base de loisirsde Bédane a-t-elle été aménagéeautour de lacs artificiels.<strong>La</strong> rive sud <strong>du</strong> méandre, depuisSotteville-sous-le-Val jusqu’àSaint-Aubin-lès-Elbeuf, déroule,sur plusieurs kilomètres, despaysages variés. Depuis leplateau agricole au nord,le panorama s’étend dePont-de-l’Arche à Oissel.Entre le coteau calcaire et lefleuve, la plaine marécageuses’étend à l’est tandis que laroute <strong>du</strong> bord de Seinedébouche à l’ouest sur lesfalaises de <strong>La</strong> Riberderie.Le long de cette route, lesconstructions en calcaire,brique ou pan-de-bois ont étéimplantées autour de sitesde manoirs, dès la périodemédiévale. <strong>Les</strong> pavillonsbordant la route des Crêtes(D292) sont construitsà partir des années 1960.Conception graphique : Libre équerre & C Comme CSites proposés dans le cadrede cette brochure :église d’Orival.<strong>La</strong> Roche-Fouet. Accès à pied par le GR2.Route des Roches et route d’Orival à Elbeuf.Accès en voiture.Monument aux soldats canadiens. Accès à piedpar le chemin de la « Trame verte » et en voiture.Musée d’Elbeuf, cours Gambetta.Le Bas-Cléon.Port de plaisance de Saint-Aubin-lès-Elbeuf.Cimetière Saint-Jean.Cimetière de Caudebec-lès-Elbeuf.Côte Saint-Auct.Freneuse.Route des Crêtes et table d’orientation.Accès en voiture.PanoramaParkingégliseChemin balisé « Trame verte »Promenade


<strong>La</strong>issez-vous conter le <strong>territoire</strong> d’Elbeuf, labellisé Villes et Pays d’art et d’histoire…… en compagnie d’un guide-conférencier agréé par le ministère de la Culture.Le guide vous accueille. Il connaît toutes les facettes <strong>du</strong> <strong>territoire</strong>et vous donne des clefs de lecture pour comprendre l’échelle d’unpaysage, l’histoire au fil de ses villes et villages. Le guide est à votreécoute. N’hésitez pas à lui poser vos questions.Le service Animation de l’architecture et <strong>du</strong> patrimoinea conçu cette brochure. Il propose toute l’année des animationspour les habitants, les visiteurs et les scolaires. Il se tient à votredisposition pour tout projet.Si vous êtes un groupeDes visites vous sont proposées toute l’année sur réservation.Renseignements au service Animation de l’architecture et <strong>du</strong>patrimoine.Conception graphique Mission de la diffusion culturelle ; LM communiquerRenseignements,réservationService Animationde l’architectureet <strong>du</strong> patrimoine<strong>La</strong> CREA14 bis avenue Pasteur76000 RouenTél. 02 32 96 98 98© Crédit photos : <strong>La</strong> <strong>Crea</strong> ; Daniel Queyney, 2009.Conception <strong>du</strong> document : Service Animation de l’architectureet <strong>du</strong> patrimoine, avec la collaboration de Martine Pastor.Réalisation : c comme c - Tél. 02 35 73 15 15Le <strong>territoire</strong> d’Elbeuf appartient au réseau national des Villeset Pays d’art et d’histoireLe ministère de la Culture et de la Communication attribuel’appellation Villes et Pays d’art et d’histoire aux collectivitéslocales qui animent leur patrimoine. Il garantit la compétence desguides-conférenciers et des animateurs <strong>du</strong> patrimoine et la qualitéde leurs actions. Des vestiges antiques à l’architecture <strong>du</strong> 21e siècle,les villes et pays mettent en scène le patrimoine dans sa diversité.Aujourd’hui, un réseau de 139 villes et pays vous offre sonsavoir-faire sur toute la France.A proximitéDieppe, Fécamp, Le Havre, Rouen et le pays d’Auge bénéficientde l’appellation Villes et Pays d’art et d’histoire.

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