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Dossier de presse / scènes / saison 2013#03 - Centre culturel suisse

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<strong>Dossier</strong> <strong>de</strong> <strong>presse</strong>ScènesSaison <strong>2013#03</strong>Contact Communication/Presse : Aurélie Garzuel & Valentine Pommier / vpommier@ccsparis.com / ligne directe : +33 1 42 71 95 67


ThéâtreHélène Cattin & Anna HohlerEtre un bâtiment d’après «Penser l’architecture» <strong>de</strong> Peter ZumthorMardi 17, mercredi 18 et jeudi 19 septembre / 20hLire ses textes, c’est un peu l’entendre réfléchir : Peter Zumthor se souvient, s’étonne, fait <strong>de</strong>s aveux. Quefaut-il pour créer une belle architecture ? Quelles maisons voulons-nous habiter ? Et pourquoi ? Dans une miseen scène ludique et sensorielle, une comédienne donne vie au travail du célèbre architecte, au regard qu’ilpose sur son métier. Ce spectacle est un voyage à travers la Suisse, un monologue itinérant à la recherche <strong>de</strong>l’architecture perdue. De ville en ville, il est donné dans <strong>de</strong>s lieux aux architectures fortes – ici le Pavillon <strong>suisse</strong>construit par Le Corbusier en 1933 – et y fait résonner les mots <strong>de</strong> Peter Zumthor. Il joue <strong>de</strong>s espaces commeon jouerait d’un instrument, et oscille entre souvenirs lointains et impressions présentes.La Cie un tour <strong>de</strong> Suisse joue hors <strong>de</strong>s théâtres, et dans la langue du lieu qui l’accueille. Son désir : rappeler unehistoire, montrer un patrimoine, questionner la Suisse, ses régions, ses mentalités. Ein Gebäu<strong>de</strong> sein – être unbâtiment est sa première création.En collaboration avec la Fondation <strong>suisse</strong> et en partenariat avec L’Architecture d’Aujourd’hui«Tout d’abord il fallait un texte, publié en plusieurs langues dans un très beau petit livre. L’architecte grison,tel l’ébéniste qu’il a d’abord été avant <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir architecte, est taiseux, économe. Pas un mot plus haut quel’autre, une voix qui <strong>de</strong>vient comme une rumeur tranquille, familière. Dans ses conférences, nulle trace <strong>de</strong>scitations puisées dans le prêt-à-porter <strong>de</strong> l’intellectualisme, qui trop souvent encombrent les communications<strong>de</strong> confrères soucieux d’épater la galerie. Mais la capacité unique à transmettre l’expérience et la matérialité<strong>de</strong> l’espace, la perception patiente du temps et <strong>de</strong> la lumière, puis à en restituer la saveur et la disposition,d’une manière si simple que l’auditeur s’ébahit <strong>de</strong> ne l’avoir pas imaginée plus tôt. Ebahie, Hélène Cattin l’aimmédiatement été, elle qui ne connaissait rien <strong>de</strong> l’œuvre <strong>de</strong> l’architecte, mais qui d’emblée a su repérer larichesse théâtrale <strong>de</strong> sa langue.»Extrait <strong>de</strong> l’article <strong>de</strong> Francesco Della Casa, critique d’architecture et architecte cantonal à Genève, pour le journal Le Phare2012 / 60’ / 1 re françaiseAvec : Anna Hohler, Hélène CattinAdaptation et Mise en scène : Anna Hohler, Hélène CattinMusique: Christian GarciaRégie son et Lumières : Pablo Fernan<strong>de</strong>z, Colin RoquierProduction : Cie un tour <strong>de</strong> Suisse en collaboration avec la Maison <strong>de</strong> l’architecture et la FAS section GenèveEntrée libreRéservation : ccs@ccsparis.com ou 01 42 71 44 50


cinémaCarte Blanche au 66e Festival <strong>de</strong>l Film Locarnoau Cinéma Le Nouveau LatinaMardi 24, mercredi 25 septembre / 20hPour la quatrième année consécutive, le CCS donne une carte blanche au Festival <strong>de</strong>l film Locarno, la plus importantemanifestation dédiée au cinéma en Suisse. Cette année, Carlo Chatrian, nouveau directeur artistiquedu festival, propose une sélection personnelle composée <strong>de</strong> films <strong>suisse</strong>s et d’ailleurs.Mardi 24.09 / Trois séancesen présence <strong>de</strong> Carlo Chatrian> Deux films <strong>de</strong> l’édition 2013 du Festival> Basil da Cunha, Até ver a luz (Après la nuit, 2013, CH, 1 h 35)Mercredi 25.09 / Trois séances> Deux films <strong>de</strong> l’édition 2013 du Festival> Manuel von Stürler, Hiver Noma<strong>de</strong> (documentaire, 2012, CH, 1 h 25)Programme définitif disponible fin août 2013Prix <strong>de</strong>s places : 7 € par séance, cartes UGC Illimité et Pass Gaumont acceptés / Ciné-Carte : 28€ les 5 entréesBilletterie sur placeCinéma Le Nouveau Latina, 20 rue du temple, 75004 Paris


danseFoofwa d’ImobilitéHistoires CondanséesSpectacle-conférence sur l’histoire <strong>de</strong> la danse au XXe siècleJeudi 26 septembre et vendredi 27 septembre / 20hDémonstrations dansées, vidéos et éléments historiques se croisent pour abor<strong>de</strong>r <strong>de</strong> façon personnelle, ludiqueet empirique les grands courants qui traversent et nourrissent la danse contemporaine. Depuis sa naissance(et même avant !), Foofwa d’Imobilité nourrit son corps et son esprit <strong>de</strong>s multiples vitamines <strong>de</strong> la danse.Avec Histoires Condansées, il propose une visite guidée dans les cuisines <strong>de</strong> la danse du XX e siècle, en mettantses connaissances physiques, théoriques, pratiques, techniques et poétiques à la disposition du public. Avantd’abor<strong>de</strong>r l’histoire <strong>de</strong> la danse du XX e , il tente <strong>de</strong> répondre à quelques questions, comme par exemple : pourquoila danse est une activité et un art <strong>de</strong>puis l’aube <strong>de</strong> l’humanité… Il parle <strong>de</strong>s danses premières, celles <strong>de</strong>sastres, celles <strong>de</strong> l’antiquité… il évoque les danses folkloriques et les danses du mon<strong>de</strong>, pour se pencher, vers lafin du XIX e siècle, sur les femmes annonciatrices du changement, les pionnières <strong>de</strong> la mo<strong>de</strong>rnité : Loïe Fuller etIsadora Duncan. La conférence dansée utilise, selon les besoins, le corps dansant au présent et les documentsfilmés, la parole en direct et les textes projetés, le jeu théâtral et les images. Chaque section a sa spécificité,liée aux recherches du corps en mouvement : pour telle pério<strong>de</strong>, on joue les spirites, pour tel chorégraphe, onmène l’enquête… Foofwa met tout en oeuvre pour rendre cette histoire dansée accessible à chacun, et l’histoire<strong>de</strong> la danse aussi vivante que possible. Il conclut avec Pina Bausch, l’essor <strong>de</strong> la nouvelle danse française et lamultiplicité <strong>de</strong>s langages <strong>de</strong> la fin du XX e siècle où les genres ne cessent d’être coupés-copiés-collés-remixés,à l’instar <strong>de</strong> William Forsythe, néoclassique avant-gardiste conceptuel contemporain.« Dans Histoires condansées, Foofwa d’Imobilité captive l’attention du public par sa présence et sa facon<strong>de</strong>.Bel homme et bon danseur, riche d’humour et d’expérience, il touche par l’intérêt sincère qu’il manifeste pourtoutes les formes <strong>de</strong> danses. Il a le recul nécessaire pour évoquer les contraintes, les exploits et aussi lespetits ridicules du métier. Dans Histoires condansées, il commente avec brio l’évolution <strong>de</strong> la danse artistique,passant du ballet romantique aux innovations <strong>de</strong>s Ballets russes, du mo<strong>de</strong>rne et au post-mo<strong>de</strong>rne, <strong>de</strong> l’expressionnismeau « Tanztheater »… Sans oublier Loïe Fuller et Isadora Duncan, pionnières d’une mo<strong>de</strong>rnité danslaquelle Frédéric Gafner saute à pieds joints, lorsqu’il quitte le Ballet <strong>de</strong> Stuttgart pour tenter sa chance à NewYork.»Extrait <strong>de</strong> l’article <strong>de</strong> Benjamin Chaix, journaliste à La Tribune <strong>de</strong> Genève, pour le journal Le Phare2011 / 1h45Textes, vidéos, danses, costumes, interprétations : Foofwa d’ImobilitéLumières, technique : Jonathan O’Hear et Antoine LengoPrix <strong>de</strong>s places : 7 et 10 €Réservation : billetterie en ligne (www.ccsparis.com) ou 01 42 71 44 50


ThéâtreAlexandre DoubletIl n’y a que les chansons <strong>de</strong> variété qui disent la véritéMardi 1 er , mercredi 2, jeudi 3 octobre / 20h + samedi 5 octobre / 13hIl n’y a que les chansons <strong>de</strong> variété qui disent la vérité (re)visite l’oeuvre <strong>de</strong> jeunesse d’Anton Tchekhov, Platonov.L’auteur n’avait que 18 ans à l’écriture <strong>de</strong> ce texte qui ne fut jamais mis en scène <strong>de</strong> son vivant. De cettepièce fleuve, inachevée et réputée injouable, dont la durée totale doit approcher les huit heures, est né le projetd’en faire un spectacle en trois épiso<strong>de</strong>s correspondant aux quatre actes <strong>de</strong> Platonov. Tout commence par unepetite fête <strong>de</strong> fin <strong>de</strong> journée, se poursuit dans une nuit qui passe au scanner les coeurs <strong>de</strong>s uns et <strong>de</strong>s autres,et se termine un dimanche matin avec un puissant désir d’amour.Mardi 01.10 / 20h > Episo<strong>de</strong> 1 : Perfect Day (2h10)Mercredi 02.10 / 20h > Episo<strong>de</strong> 2 : Sweet Dreams (2h35 + entracte)Jeudi 03.10 / 20h > Episo<strong>de</strong> 3 : Sunday Morning (2h25 + entracte)Samedi 05.10 / 13h > L’intégrale (environ 7h + 2 entractes, restauration sur place)«Dans l’adaptation <strong>de</strong> Doublet, les noms sont mo<strong>de</strong>rnisés, voire changés : Serguei <strong>de</strong>vient Serge, Michaïl Michel,Ossip Dylan, avec un clin d’œil au style soap ; et la dramaturgie, qui laisse une part à l’improvisation etaux running gags, est résolument « ouverte », tout en gardant <strong>de</strong>s pans entiers du texte d’origine. Ce sont leschansons, bêtes et mièvres mais touchant une cor<strong>de</strong> secrète du spectateur amusé, qui rythment une comédie<strong>de</strong> l’aveu narcissique et <strong>de</strong> l’ennui contemporain. L’atmosphère eighties, un peu « adulescente », est trouée par<strong>de</strong>s saillies déchirantes <strong>de</strong> désespoir. On retrouve dans ce procédé scénique – savant dosage d’accélération et<strong>de</strong> stupeurs mélos – une écriture <strong>de</strong> plateau pour laquelle Alexandre Doublet regar<strong>de</strong> la scène contemporaineeuropéenne, où <strong>de</strong> jeunes troupes <strong>de</strong> comédiens traduisent à la fois leur trouble générationnel et les tribulations<strong>de</strong> personnages d’une autre époque: on pense à Un Ennemi du peuple d’Ibsen par Thomas Ostermeier, àIvanov-Remix d’Armel Roussel (et Tchekhov) et surtout aux Petits-Bourgeois <strong>de</strong> Gorki par Jette Steckel. »Extrait <strong>de</strong> l’article <strong>de</strong> Pierre Lepori, journaliste à la RTS, pour le journal Le Phare2012/ 1 re françaiseConception et mise en scène : Alexandre DoubletAvec : Valéria Bertolotto, Vincent Fontannaz, Adrien Knecht, Diane Muller, Charlotte Nagel, Aurélien Patouillard,Jacqueline Ricciardi, Adrien Rupp, Emilie Vaudou, Laurent WaeberTravail vocal : Charlène Martin / Scénographie : Alexandre Doublet et Yves ChristinetLumière : Frédéric Lombard / Son : Thomas Sillard, Costumes : Nicolas FleuryAdministration : Ingrid Walther / Production : Compagnie Alexandre DoubletCoproductions : <strong>Centre</strong> Dramatique Poitou-Charentes, Théâtre Populaire Romands – La Chaux <strong>de</strong> fonds, Théâtredu Moulin Neuf – Aigle, Le Nouveau Mon<strong>de</strong> – Fribourg, Arsenic – LausannePrix <strong>de</strong>s places : 7 et 10 €Réservation : billetterie en ligne (www.ccsparis.com) ou 01 42 71 44 50


théâtreDarius PeyamirasBourlinguer d’après Blaise Cendrars, avec Jean-Quentin ChâtelainMardi 8 et mercredi 9 octobre / 20hVoici un nouvel opus dans la saga <strong>de</strong>s solos <strong>de</strong> Jean-Quentin Châtelain. Cette fois il dit le verbe flamboyant duBourlinguer <strong>de</strong> Blaise Cendrars, l’un <strong>de</strong> ses fameux livres <strong>de</strong> Mémoires, en l’occurrence celui qui se réfère àson enfance à Naples. Il y a là une langue extraordinaire, envoûtante, musicale, euphorique. Pour l’occasion,l’acteur retrouve un complice <strong>de</strong>s débuts, Darius Peyamiras avec qui il a déjà travaillé en 1986 au CCS, sur Marsd’après Fritz Zorn.Au moment <strong>de</strong> la présentation à Paris, la première partie <strong>de</strong>s répétitions sera achevée, et ce work in progresssera dévoilé sous forme <strong>de</strong> théâtre en chantier. Une expérience précieuse tant pour les auteurs que pour lepublic qui découvrira ainsi certains mécanismes <strong>de</strong> fabrication d’une pièce <strong>de</strong> théâtre.Création 2013 / environ 1h15Entrée libreRéservation indispensable : ccs@ccsparis.com ou 01 42 71 44 50


cinémaChristophe CupelinCapitaine Thomas Sankara, 2012 (1h30)Mardi 15 octobre / 20hCapitaine Thomas Sankara rend compte <strong>de</strong> la révolution conduite par cet ancien Premier ministre <strong>de</strong> la Haute-Volta, dont il transforma le nom en Burkina Faso. Ce film évoque, à travers sa parole franche et teintée d’humour,les chantiers que Sankara conduisit, <strong>de</strong> l’été 1983 à l’automne 1987, en faveur <strong>de</strong> l’indépendance politiquedu pays, <strong>de</strong> son désen<strong>de</strong>ttement mais aussi <strong>de</strong> l’éducation <strong>de</strong>s jeunes, <strong>de</strong> l’émancipation <strong>de</strong>s femmes et<strong>de</strong> l’éradication <strong>de</strong> la corruption.Depuis 1991, Christophe Cupelin collecte inlassablement les archives écrites, sonores et audiovisuelles ayanttrait à Thomas Sankara. La force <strong>de</strong> son film tient pour une large part à la précieuse richesse <strong>de</strong> ces documentsqui donnent à entendre le prési<strong>de</strong>nt défunt jusque dans l’expression <strong>de</strong> ses doutes, dans la reconnaissance <strong>de</strong>ses erreurs et dans le <strong>presse</strong>ntiment <strong>de</strong> sa fin survenue le 15 octobre 1987.À l’issue <strong>de</strong> la projection, débat mené par Jean-Philippe Rapp, journaliste à la RTS et réalisateur <strong>de</strong> l’unique filmsur Sankara <strong>de</strong> son vivant, avec Christophe Cupelin, Germaine Pitroipa, Haut Commissaire pendant la révolutionau Burkina Faso, et Catherine Ruelle, journaliste à RFI.Entrée libreRéservation conseillée : ccs@ccsparis.com ou 01 42 71 44 50


musiqueCarte blanche au Kilbi-Festival / Bad BonnMercredi 16, jeudi 17, vendredi 18 octobre / 20hLe Kilbi-Festival a été fondé dans la campagne fribourgeoise par Daniel Fontana en 1991. Il s’est imposé parsa programmation à la fois pointue et singulière qui voit se croiser, tous les ans en mai et dans une ambianceunique, rock, électro, noise, pop, metal, indie et même world music. Kilbi à Paris est un programme spécialementconçu par Daniel Fontana pour le CCS.En partenariat avec Radio NovaMercredi 16.10 / 20h> Arlt> Maninkari> Sounds like a Movie avec Stephen O’Malley, Julian Sartorius, Camilla Sparksss, Field Studies, Al CometJeudi 17.10 / 20h> Maha<strong>de</strong>v Cometo (Al Comet),The Sitar Project with Electronics> Julian SartoriusVendredi 18.10 / 20h> Stephen O’Malley> Maja S. K. Ratkje> Fel<strong>de</strong>rmel<strong>de</strong>r avec Grégoire Quartier / projections par Fichtre> Thurston Moore« Les curieux et les limiers passionnés qui font <strong>de</strong>s scènes indépendantes – qu’elles soient rock ou électro,world ou expérimentales – autant <strong>de</strong> territoires qu’il faut explorer et conquérir, tous ceux-là trouvent au Kilbi<strong>de</strong> quoi se rassasier. Düdingen est une vitrine particulière, donc. Un lieu idéal pour célébrer les mythologiesun<strong>de</strong>rground (Sonic Youth, The Ex, My Bloody Valentine…) et les découvertes, dans un cadre idyllique, intimisteet décontracté. Ce souffle enviable porte toujours plus loin. Il s’est répandu sur Zurich, pour <strong>de</strong>ux déclinaisonshivernales (en 2011 et 2012) d’un ren<strong>de</strong>z-vous qui se déroule traditionnellement au mois <strong>de</strong> mai. Ce mêmesouffle atteint désormais Paris, où le <strong>Centre</strong> <strong>culturel</strong> <strong>suisse</strong> transmet aux tenanciers du festival les clés <strong>de</strong>slieux pour une carte blanche chargée <strong>de</strong> promesses. Le temps <strong>de</strong> trois soirées (16, 17 et 18 octobre), l’espritKilbi franchi ainsi les frontières helvétiques.»Extrait <strong>de</strong> l’article <strong>de</strong> Rocco Zacheo, journaliste à la RTS, pour le journal Le PharePrix <strong>de</strong>s places : 12 € la soiréeRéservation : billetterie en ligne (www.ccsparis.com) ou 01 42 71 44 50


carte blancheCarte blanche à Ursula MeierMardi 5, mercredi 6, jeudi 7 et vendredi 8 novembre / 20hUrsula Meier est l’une <strong>de</strong>s cinéastes <strong>suisse</strong>s les plus talentueuses <strong>de</strong> sa génération. Pour cette carte blanchemêlant films, danse, lecture, table ron<strong>de</strong> et ciné-concert, elle invite <strong>de</strong>s personnalités qui constituent unefamille artistique possible.En partenariat avec Trois couleursMardi 05.1120h : Cie Illico / Thomas Lebrun, La Constellation consternée : L’étoile jaune (danse, 2008, 10’)20h30 : Cie Greffe / Cindy Van Acker, Monoloog (danse, 2010, 25’)21h : Table ron<strong>de</strong> Une histoire <strong>de</strong> corps avec Agnès Godard (chef opératrice), Sabine Meier et Ursula Meier22h : Home d’Ursula Meier (long métrage, 2008, 1h37)Mercredi 06.1120h : Lecture <strong>de</strong>s monologues Des journées à regar<strong>de</strong>r les choses (2002-2013) d’Antoine Jaccoud (60’)21h30 : L’enfant d’en haut d’Ursula Meier (long métrage, 2012, 1h40)Jeudi 07 et vendredi 08.1120h: Blanche (musique)21h: Screenplay <strong>de</strong> John Parish (ciné-concert)Du 05 au 08.11, présentation dans le foyer <strong>de</strong> la série <strong>de</strong> photographies Portrait of a Man (Rodion RomanovitchRaskolnikov) <strong>de</strong> Sabine Meier.Prix <strong>de</strong>s places : 7 € les 05 et 06.11 - 12 € les 07 et 08.11Réservation : billetterie en ligne (www.ccsparis.com) ou 01 42 71 44 50


danse/THéâTREEugénie RebetezEncoreMardi 19 ,Mercredi 20, Jeudi 21, vendredi 22 octobre / 20hEncore est le <strong>de</strong>uxième spectacle <strong>de</strong> la danseuse et chorégraphe Eugénie Rebetez, alias Gina, artiste <strong>suisse</strong> quirenouvelle le one-woman-show en le sublimant avec le génie <strong>de</strong> la sensualité offerte, la puissance du mouvement,l’évocation grave et parfois pathétique <strong>de</strong> la condition humaine, oscillant toujours entre le rire du clownet la réalité <strong>de</strong> la diva naufragée. Encore – qui s’entend aussi bien comme répétition que nouveauté, surenchèreet rappel – s’inscrit totalement dans la continuité <strong>de</strong> Gina, premier spectacle présenté en 2010 au CCS. On yretrouve un corps paradoxal enveloppé d’une robe noire moulante qui se prend les pieds dans le tapis rouge<strong>de</strong>s espérances, une voix merveilleuse qui chante l’amour et la perte. La trompette <strong>de</strong> Gina laisse la place ausynthétiseur <strong>de</strong>s galas <strong>de</strong> charité, le rire est encore plus sauvage, la danse plus vertigineuse.« Tous les artistes ne font pas ce qu’ils sont ou, plutôt, ne sont pas ce qu’ils font. Avec Eugénie Rebetez, jeunedanseuse aux formes généreuses, impossible <strong>de</strong> distinguer le spectacle <strong>de</strong> la personne. Car, comme cetteJurassienne <strong>de</strong> 29 ans le confesse dans sa <strong>de</strong>uxième création, Encore : elle est la fille qui joue sur scène etqui, chaque soir, joue avec sa vie. En réalité, cet aveu, elle ne le dit pas, mais elle le chante, et fort joliment, ens’accompagnant d’un piano miniature. Car oui, Eugénie, n’est pas qu’une danseuse plantureuse à la gestuelleraffinée, une swiss fat diva comme elle se surnommait avec humour dans son premier spectacle, Gina. Elle estaussi chanteuse, mime, acrobate, comédienne et musicienne. Et n’est jamais autant elle-même que lorsqu’ellesouffle dans sa trompette juchée sur <strong>de</strong>s patins à roulette. Humour, dérision, poésie burlesque, explosivité:Eugénie Rebetez cumule tous les talents et les module avec un sens aigu <strong>de</strong> la légèreté.»Extrait <strong>de</strong> l’article <strong>de</strong> Marie-Pierre Genecand, journaliste au Temps et à la RTS, pour le journal Le Phare60’ / création 2013Chorégraphie, textes et interprétation : Eugénie RebetezMusiques : Kitty Daisy & Lewis, Henry Purcell, Eugénie Rebetez, Pascale Schaer, Johann Strauss, Antonio VivaldiDramaturgie : Tanya BeyelerCréation Son : Pascale SchaerCréation Lumières : Jérôme BuecheCostume et confection : Katharina Schmid, Nicole Schmidt (Atelier Debü)Coach vocal : Marcel Fässler, Ai<strong>de</strong> chorégraphique : Laurence YadiRégie lumière et spectacle : Jérôme Bueche ou Gaël ChapuisRégie son : Pascale Schaer ou Susanne AffolterAdministration et diffusion : Marc Streit, Production : Verein Eugénie RebetezPrix <strong>de</strong>s places : 7 et 10 €Réservation : billetterie en ligne (www.ccsparis.com) ou 01 42 71 44 50


THéâTREPhilippe SaireLa Dérive <strong>de</strong>s continentsMercredi 27, Jeudi 28, vendredi 29 novembre / 20hAvec La Dérive <strong>de</strong>s continents, pièce pour quatre interprètes, Philippe Saire s’inspire d’Homère et propose uneOdyssée actualisée. Toujours prêt à bouleverser sa pratique, le chorégraphe part à la recherche <strong>de</strong> nouvellesformes, à la croisée entre mouvement et texte. Le premier choc scénique <strong>de</strong> Philippe Saire a été le théâtre,avant même la danse. Il y est resté attaché et on en trouve <strong>de</strong>s traces dans plusieurs <strong>de</strong> ses créations. AntoinetteRychner, à qui il a <strong>de</strong>mandé d’écrire le texte original, est passionnée <strong>de</strong> théâtre performatif. Elle malmèneici les co<strong>de</strong>s classiques du genre et ajuste son texte au fil <strong>de</strong> la création pour laisser place aux danseurslorsque la parole est superflue. Du mythe, ils sélectionnent <strong>de</strong>s épiso<strong>de</strong>s et les adaptent librement confrontantainsi les valeurs <strong>de</strong> la Grèce antique aux préoccupations actuelles.À voir également au Théâtre National <strong>de</strong> Chaillot : Black Out <strong>de</strong> Philippe Saire du 04 au 13.12.Environ 75’ / création 2013 / 1 re françaiseChorégraphie, mise en scène et interprétation : Philippe SaireEn collaboration avec les interprètes : Philippe Chosson, Christian Geffroy Schlittler, Stéphane VecchioneTexte : Antoinette RychnerConsultant : Roberto Fratini Serafi<strong>de</strong>Musique : Stéphane VecchioneCréation Lumière : Yan GodatAccessoires : Adrien MorettiCostumes : Isa BoucharlatDirection technique : Yann SerezAssistante <strong>de</strong> production : Nora SteinigPrix <strong>de</strong>s places : 7 et 10 €Réservation : billetterie en ligne (www.ccsparis.com) ou 01 42 71 44 50


Cie Alexandre Doublet. © Nora Ruppseptembre 13.09 – 08.12 Heidi Bucher / eXpOsItIONOCtObreNOVembre2013 / #0313.09 – 13.10 Florian Germann / eXpOsItION13.09 – 15.12 Les plus beaux livres <strong>suisse</strong>s / eXpOsItION (Librairie)17 – 19.09 Hélène Cattin & Anna Hohler / tHÉÂtre (Fondation <strong>suisse</strong>)24 – 25.09 66 e Festival <strong>de</strong>l Film Locarno / CINÉmA (Nouveau Latina)26 – 27.09 Foofwa d’Imobilité / DANse01 – 05.10 Alexandre Doublet / tHÉÂtre05.10 Ingo Giezendanner / NUIt bLANCHe (Librairie)08 – 09.10 Darius Peyamiras / tHÉÂtre en chantier10.10 atelier oï, Shigeru Ban,Gringo Cardia, Francis Kéré / ArCHIteCtUre15.10 Christophe Cupelin / CINÉmA16 – 18.10 Kilbi à Paris / mUsIQUe18.10 – 08.12 Catherine Ceresole / eXpOsItION30.10 David Chipperfield / ArCHIteCtUre (<strong>Centre</strong> pompidou)31.10 François Rappo / GrApHIsme05 – 08.11 Ursula Meier / CArte bLANCHe14.11 René Burri / pHOtOGrApHIe15.11 La scène musicale un<strong>de</strong>rground<strong>suisse</strong> 80’s / mUsIQUe19 – 22.11 Eugénie Rebetez / DANse / tHÉÂtre27 – 29.11 Philippe Saire / tHÉÂtre—–-www.ccsparis.com< expositionset spectacles au n° 38librairie au n° 32 >

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