ÉTUDE DE LA FILIÈRE COTON EN RDC Version finale - ACP Cotton
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FFOM Transformation<br />
1. L’égrenage<br />
Étude diagnostique de la filière coton en <strong>RDC</strong><br />
Forces Faiblesses Opportunités Menaces<br />
- La filière peut encore récupérer aujourd’hui<br />
10 usines avec une capacité théorique de<br />
29 736 t de coton graine/an<br />
- Ce potentiel correspond à la capacité théorique<br />
de l’industrie textile qui est de 12 000 t de<br />
fibre/an<br />
2. La trituration des graines<br />
3. La filature, le tissage, la teinture et l’impression<br />
- Il reste aujourd’hui 3 sociétés textiles avec<br />
une capacité théorique de 12 000 tonnes<br />
de fibre par an<br />
- Les sociétés cotonnières privées doivent trouver<br />
le financement pour remettre en état de fonctionnement<br />
réel ces 10 usines récupérables; le financement global<br />
pour les 10 usines est évalué à 1.5 milles $US<br />
- La production sur laquelle les opérateurs vont<br />
s’appuyer pour respecter le service de la dette<br />
(dette contractée pour la remise en état), n’existe<br />
pas<br />
- Les huileries sont fermées<br />
- Il n’y a aucune recette au niveau de la graine,<br />
ce qui aurait pu améliorer le compte d’exploitation<br />
des sociétés cotonnières et éventuellement le<br />
prix au producteur<br />
- Les sociétés fonctionnent en dessous de leur<br />
capacité<br />
- Les sociétés importent de la fibre et même des<br />
écrus pour satisfaire des besoins très spécifiques<br />
sur le plan local<br />
- La demande de pagnes destinés à la vente au<br />
détail reste faible à cause de la concurrence des<br />
produits chinois<br />
- Volonté des pouvoirs publics pour relancer<br />
la filière<br />
- Disponibilité de l’État à appuyer la filière à<br />
travers des exonérations de taxes (démontrée<br />
par des contrat-programmes)<br />
- Normalisation post-électorale de la vie sociopolitque<br />
- Volonté de la communauté internationale<br />
d’aider à la reconstruction du pays<br />
- Possibilité d’utiliser l’huile de la graine comme<br />
biocarburant<br />
- Volonté des pouvoirs publics pour relancer<br />
la filière<br />
- Normalisation post-électorale de la vie sociopolitque<br />
- Volonté de la communauté internationale<br />
d’aider à la reconstruction du pays<br />
- Instabilité socio-politique<br />
- Imposition de la culture en milieu paysan<br />
- Concurrence d’autres activités telles que la<br />
production de tabac pour les sociétés tabacicoles<br />
et de maïs pour les sociétés brassicoles<br />
- Mauvais état des infrastructures routières et<br />
ferroviaires qui rend difficile le transport du coton<br />
graine à l’usine et de la fibre vers les usines textiles<br />
- Système bancaire fragilisé par les marchés<br />
parallèles<br />
- Copie des motifs congolais<br />
- Concurrence des produits en provenance d’Asie<br />
et de la friperie<br />
- Faible pouvoir d’achat des Congolais<br />
- Mauvais état des infrastructures routières et<br />
ferroviaires qui rend difficile l’approvisionnement<br />
des usines textiles en fibre<br />
CECI/FIGEPAR Mai 2007 Page 213