Proposition de nouvelle organisation des données SIG et création d ...
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Proposition de nouvelle organisation des données SIG et création d’un outil de catalogage et de consultationdes métadonnées SIG pour le Parc Naturel régional Scarpe Escaut► La gestion des projets vis-à-vis des mises à jour des donnéesLe mode de gestion de la mise en page est le même que dans le cas précédent. Le logicielindique une donnée manquante à l’ouverture du projet.► Les moyens humains du parcIl est clair que la géodatabase reste le format le plus « obscur ». Il n’est pas évident decomprendre qu’un fichier access contienne aussi des objets de différents formats mais aussides relations entre eux. Au PNR personne n’utilise encore ce format. Un remise à niveauserait donc nécessaire.3) Le choix d’une future organisation : une gestion différenciée possible…D’après les tests techniques réalisés nous pouvons tirer plusieurs conclusions :a-Une solution Access/Arcview plus fédératrice…La solution la plus fédératrice semble de réorganiser les données sous forme de bases dedonnées Access et de fichiers géométriques associables .Shp. cette solution permet de grouperdans un seul fichier plusieurs informations thématiques cohérentes. Ainsi dans le cadre de laqualité de l’eau, plusieurs fichiers Excel ont été réorganisés dans un seul fihier .Mdb àl’identité propre. D’autre part la constitution et la consultation des données semblent peut-êtreplus simples dans cette configuration (notamment avec Arcview8)b- …mais pas systématiqueCependant, il ne semble pas nécessaire de systématiser cette démarche à toutes les données duParc. Cette organisation est intéressante surtout dans la mesure où les entités géographiquessont communes à plusieurs données. Dans le cas de la qualité d’eau, la « référencegéographique » est toujours la même. L’exemple serait identique pour des données gérées àl’échelle cadastrale ou communale Tant que le référentiel géographique est commun àplusieurs tables attributaires, cette organisation demeure très efficace. Un seul référentiel estutilisé pour représenter des données de contenu thématiques très divers.Cette organisation a également un avantage en terme de mise à jour notamment dans le cas ducadastre. Si des numéros de parcelles évoluent, une table de correspondance entre lesnouvelles et anciennes parcelles permettrait de faire le lien entre le nouveau fond géométriqueet les anciennes tables attributaires. La table de correspondance est créée une seule fois pourla mise à jour et utilisable pour toutes les tables alphanumériques.On peut au contraire se poser la question d’adapter cette solution à toutes les données SIG duParc. Il ne semble en effet pas judicieux de produire une telle configuration pour une ou deuxdonnées isolées. Dans ce cas, il vaut mieux conserver la structure classique du Shapefile.Systématiser la démarche serait dans ce cas inutile en besoin et en temps.Cette solution est donc applicable et souhaitable uniquement pour les données faisantréférence à un même référentiel géographique, c’est à dire : les communes, les parcelles,cadastrales, les points de mesure récurrents voire même les référence de travail du PNR. DansJB Mignien – Septembre 2004 56
Proposition de nouvelle organisation des données SIG et création d’un outil de catalogage et de consultationdes métadonnées SIG pour le Parc Naturel régional Scarpe Escautle cas par exemple d’un plan de gestion. Mais il faudra bien faire attention à ne pas lasystématiser.c-Une intégration en géodatabases pour des besoins précisCe choix est évolutif : si le besoin se présentait de pousser plus loin la démarche vers unegéodatabase cela serait possible. En effet la géodatabase est une base Access auquel sontrajoutés d’autres types de fichiers et au sein de laquelle il faut ensuite déterminer les relationsexistantes entres les différents objets. A partir des bases Access il serait donc possibled’ajouter quelques étapes pour avoir une géodatabase.La création de géodatabases peut se faire à moyen terme dans le cas de projets précis de typesobservatoire. Le format géodatabase est en effet intéressant dans la mesure où il forme un toutcohérent et peut fonctionner de façon autonome en tant que projet. Dans le cas de la qualité del’eau par exemple, la donnée est créée dans un objectif précis et selon ses propres référencesgéographiques. Il serait donc intéressant de créer une géodatabase qui pourrait ensuite êtregérée et mise à jour par la mission Eau. Cependant, avant d’en arriver à de telles conclusions,il est nécessaire de s’interroger sur ce qu’apporte en plus la géodatabase à la base de donnéesAccess dans ce cas là… La géodatabase serait par exemple plus propice à la gestion de projetstransversaux où plusieurs références géographiques cohabitent, avec des données de diversesorigines par exemple dans le cadre d’observatoires. Une géodatabase serait donc un projetcohérent qui fonctionne sur lui même.Le format géodatabase dépend également de la motivation des utilisateurs SIG pour s’adapterà ce nouveau format qui semble progressivement s’imposer.On voit donc que tous les cas sont possibles mais selon l’usage où le type de données à gérer.Il faut en tout cas toujours se demander quelle est la solution la plus simple à mettre en placeet surtout à mettre à jour.En effet, la mission cartographie-évaluation-SIG ne fait pas que du SIG comme nous l’avonsvu en première partie de même que le SIG ne reste qu’un outil entre autres dans les autresmissions concernées.A terme, trois types de configuration techniques pourront cohabiter :- des shapefile classiques pour les données isolées ou ponctuelles.- des Shapefile associées à des BD Acces quand la référence géographique utilisée estrécurrente.- des géodatabases pour répondre à des besoins précis. Ces géodatabases ne devrontd’ailleurs pas faire partie de l’arborescence SIG sur le réseau car elles auront une identitépropre et seront créées pour fonctionner sur elles même.4)…qui demande un mode de fonctionnement partagéComme nous l’avons vu au début de la seconde partie, la mise en place d’une arborescencethématique SIG nécessite la définition de responsabilités vis-à-vis de toutes les données. Ilfaut désormais analyser cette situation d’un point de vue dynamique.a-Une alimentation des données vers l’arborescence SIG du réseau.Le système décrit ne peut fonctionner qu’à partir du moment où l’arborescence estrégulièrement mise à jour et alimentée par de nouvelles données.JB Mignien – Septembre 2004 57
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<strong>Proposition</strong> <strong>de</strong> <strong>nouvelle</strong> <strong>organisation</strong> <strong>de</strong>s données <strong>SIG</strong> <strong>et</strong> création d’un outil <strong>de</strong> catalogage <strong>et</strong> <strong>de</strong> consultation<strong>de</strong>s métadonnées <strong>SIG</strong> pour le Parc Naturel régional Scarpe Escaut► La gestion <strong>de</strong>s proj<strong>et</strong>s vis-à-vis <strong>de</strong>s mises à jour <strong>de</strong>s donnéesLe mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong> la mise en page est le même que dans le cas précé<strong>de</strong>nt. Le logicielindique une donnée manquante à l’ouverture du proj<strong>et</strong>.► Les moyens humains du parcIl est clair que la géodatabase reste le format le plus « obscur ». Il n’est pas évi<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>comprendre qu’un fichier access contienne aussi <strong>de</strong>s obj<strong>et</strong>s <strong>de</strong> différents formats mais aussi<strong>de</strong>s relations entre eux. Au PNR personne n’utilise encore ce format. Un remise à niveauserait donc nécessaire.3) Le choix d’une future <strong>organisation</strong> : une gestion différenciée possible…D’après les tests techniques réalisés nous pouvons tirer plusieurs conclusions :a-Une solution Access/Arcview plus fédératrice…La solution la plus fédératrice semble <strong>de</strong> réorganiser les données sous forme <strong>de</strong> bases <strong>de</strong>données Access <strong>et</strong> <strong>de</strong> fichiers géométriques associables .Shp. c<strong>et</strong>te solution perm<strong>et</strong> <strong>de</strong> grouperdans un seul fichier plusieurs informations thématiques cohérentes. Ainsi dans le cadre <strong>de</strong> laqualité <strong>de</strong> l’eau, plusieurs fichiers Excel ont été réorganisés dans un seul fihier .Mdb àl’i<strong>de</strong>ntité propre. D’autre part la constitution <strong>et</strong> la consultation <strong>de</strong>s données semblent peut-êtreplus simples dans c<strong>et</strong>te configuration (notamment avec Arcview8)b- …mais pas systématiqueCependant, il ne semble pas nécessaire <strong>de</strong> systématiser c<strong>et</strong>te démarche à toutes les données duParc. C<strong>et</strong>te <strong>organisation</strong> est intéressante surtout dans la mesure où les entités géographiquessont communes à plusieurs données. Dans le cas <strong>de</strong> la qualité d’eau, la « référencegéographique » est toujours la même. L’exemple serait i<strong>de</strong>ntique pour <strong>de</strong>s données gérées àl’échelle cadastrale ou communale Tant que le référentiel géographique est commun àplusieurs tables attributaires, c<strong>et</strong>te <strong>organisation</strong> <strong>de</strong>meure très efficace. Un seul référentiel estutilisé pour représenter <strong>de</strong>s données <strong>de</strong> contenu thématiques très divers.C<strong>et</strong>te <strong>organisation</strong> a également un avantage en terme <strong>de</strong> mise à jour notamment dans le cas ducadastre. Si <strong>de</strong>s numéros <strong>de</strong> parcelles évoluent, une table <strong>de</strong> correspondance entre les<strong>nouvelle</strong>s <strong>et</strong> anciennes parcelles perm<strong>et</strong>trait <strong>de</strong> faire le lien entre le nouveau fond géométrique<strong>et</strong> les anciennes tables attributaires. La table <strong>de</strong> correspondance est créée une seule fois pourla mise à jour <strong>et</strong> utilisable pour toutes les tables alphanumériques.On peut au contraire se poser la question d’adapter c<strong>et</strong>te solution à toutes les données <strong>SIG</strong> duParc. Il ne semble en eff<strong>et</strong> pas judicieux <strong>de</strong> produire une telle configuration pour une ou <strong>de</strong>uxdonnées isolées. Dans ce cas, il vaut mieux conserver la structure classique du Shapefile.Systématiser la démarche serait dans ce cas inutile en besoin <strong>et</strong> en temps.C<strong>et</strong>te solution est donc applicable <strong>et</strong> souhaitable uniquement pour les données faisantréférence à un même référentiel géographique, c’est à dire : les communes, les parcelles,cadastrales, les points <strong>de</strong> mesure récurrents voire même les référence <strong>de</strong> travail du PNR. DansJB Mignien – Septembre 2004 56