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Octobre 20<strong>09</strong> • n° 8Magazine de BeciBrussels Enterprises Commerce & Industry12.000participantsau Job Day EuropeDOSSIER TRANSPORT & MOBILITÉFiscalité des déplacementsDOSSIER SÉCURITÉQui dit crisedit fraude


JWT GroupSOCIAL ADMINnouveaux bureaux à MérodeSecurex Mérode43 Avenue de Tervueren - 1040 Bruxellesmerode@securex.be - tél : 02 729 92 22 - fax : 02 729 92 20HR SERVICES HEALTH & SAFETY HR INSURANCE HR CONSULTING SOCIAL ADMIN HR RESEARCH


editoEmmanuel van Innis,Président de BeciLe programme de Brussels Metropolitan Region – BMRest aujourd’hui en phase de concretisation, comme lesouligne dans les pages qui suivent, Ian Morsomme,Secrétaire general de l’asbl BMR que viennent de constituerles quatres organisations patronales fondatrices du projet.Le concept BMR, la lecture de la presse en témoigne, doit cependantêtre régulièrement expliqué, precisé, tant il relèved’un état d’esprit novateur, bien éloigné des traditionnelsreflexes “regionalistes” qui prévalaient jusqu’aujourd’hui, ycompris pour la gestion des politiques économiques dans lepays et ses trois Regions.C’est dans ce but que nous avons adressé à l’hebdomadaireknacht, la mise au point que vous pourrez lire ci-dessous, etqui nous semble révélatrice d’un profond malentendu sur lamotivation et les objectifs DE BMR.« Réfléchir, oser et agir ensemble ». Tels est le credo des quatreorganisations patronales - la VOKA, la <strong>BECI</strong>, l’UWA et laFEB - dans leur document stratégique relatif à l’avenir de lacapitale de l’Europe et de ses environs immédiats, la « BusinessRoute 2018 for Metropolitan Brussels » ou en abrégé,BMR (Brussels Metropolitan Region).« Pour le monde des entreprises, il va de soi que la Région deBruxelles-Capitale et son hinterland économique sont étroitementliés et qu’ils forment un ensemble fonctionnel (…)La métropole bruxelloise a grandement besoin d’une visionglobale pour son développement socio-économique à longterme car elle constitue le moteur économique du pays. »« BMR » n’est pas un projet du Gouvernement fédéral, niun cheval de Troie politique mais au contraire un projet quiémane des employeurs de Bruxelles et de ses environs. Ilne s’agit pas d’un projet politique visant à créer une nouvelleentité politique ou à mettre en œuvre l’élargissementde Bruxelles. Non, il s’agit d’un projet économique dans lecadre duquel le monde des entreprises souhaite créer, parle biais d’initiatives concrètes, de nouvelles activités économiqueset de nouveaux emplois dans la métropole bruxelloise.Nous demandons toutefois aux autorités concernéesde collaborer au projet afin de le rendre possible par-delà lesfrontières régionales. Sans cette collaboration ou, à tout lemoins, sans un alignement de la politique, certaines pierresd’achoppement ne pourront être retirées sans difficulté duchemin vers le développement économique et social lié àcette zone, notamment en matière de mobilité, d’aménagementdu territoire et d’emploi. Nous devons travailler maindans la main pour apporter une réponse aux défis actuelset futurs parce que ces défis se présentent dans le contexted’une économie mondialisée qui ne s’arrête pas aux frontièrescommunales ou régionales. 80 % des entreprises bruxelloisesemploient un minimum de trois langues dans les relationsavec leurs clients et pas moins de 225 000 Flamands et125 000 Wallons se rendent quotidiennement dans la capitalepour y travailler. Nous voulons transformer l’ensemblede cette zone en une métropole attrayante, bouillonnante etoù il fait bon vivre, mettre en œuvre nos atouts et des nichesde développement économique, veiller collectivement aurespect du développement durable et former ensemble lavéritable capitale de l’Europe. Telle est notre ambition.Certains malentendus sont apparus ici et là quant à la délimitationde la métropole bruxelloise. Une fois encore,l’objectif du projet ne consiste absolument pas à esquisserde nouvelles frontières politiques. Nous avons néanmoinsvoulu illustrer une réalité socio-économique. C’est la raisonpour laquelle nous nous sommes basés sur des études degéographes économiques (notamment de la KU Leuven), quiont été validées par Bak Basel Economics. Ce centre de recherchesétranger réputé est spécialisé dans l’analyse comparativede métropoles. Il ressort des études commandéesque l’interaction socio-économique avec Bruxelles s’avèrela plus marquée dans une zone englobant la majeure partiedes arrondissements de Halle-Vilvorde et de Nivelles. Cesarrondissements comprennent naturellement quelquescommunes périphériques où l’interaction se révèle limitée.L’arrondissement a cependant été choisi comme unitéd’analyse dans la mesure où nous disposons à ce niveaude statistiques suffisantes pour une analyse comparativeinternationale. Il existe évidemment des interactions importantesavec d’autres parties du pays, telles que Louvain,Anvers ou Namur. Ces interactions relèvent toutefois d’uneautre dimension et sont davantage liées à des mouvementsde va-et-vient tandis que l’interaction avec Halle-Vilvordeet Nivelles dépend en outre fortement des déménagementsdes personnes et des entreprises.Bruxelles doit-elle faire l’objet d’une meilleure organisationinterne ? Indubitablement. La problématique de BHV doitelleêtre résolue ? Sans aucun doute. Le monde des entreprisestombe-t-il dans l’impasse institutionnelle ? Quotidiennement.Néanmoins, la résolution de ces problèmes n’estpas du ressort du projet « BMR ». Les problèmes politiquesdoivent être résolus par les politiciens. Ce projet concerne lecœur de métier de ses auteurs : les affaires.C’est la raison pour laquelle nous espérons que les initiativeslancées par la société afin de générer prospérité etbien-être auront une chance honnête d’aboutir et qu’ellesne seront pas d’emblée reléguées au rayon des manœuvrespolitiques déguisées. Les choses ne bougeraient-elles plusdans ce pays ? 1N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


sommaire OCTOBRE <strong>09</strong>Partenaires structurels de BeciBRUSSELS ENTERPRISES COMMERCE& INDUSTRY1 Edito4 InterviewIan Morsomme, Brussels Metropolitan Region12 Whyte Corporate Affairsle paradoxe autour du lobbying16 Espace membres26 Mondial TelecomLa téléphonie mobile à prix wi-fi !27 Album27 Offres et demandes - Brevets28 Member to Member30 <strong>BECI</strong> Executive Interviews33 Album12.000 participants au Job Day Europe60 Bloc-notes62 Demandes d’admission - Index pubL’ENTREPRISE AU QUOTIDIEN29 Boîte à outils32 BizzBoxDOSSIERTransport & Mobilité35 La géolocalisation évolue38 BILC : sortir du débat pour avancer41 Fiscalité des déplacements42 Green mobility chez Europcar43 Interview Herman Vyverman45 Brussels Airport : le terminal lowcost est prévupour cet hiver48 Le courrier express de la Poste se renforce49 Actiris s’engage sur la voie de la mobilitéinterrégionaleDOSSIERSécurité51 Un plan de continuité d’activité pour toutesles entreprises53 Qui dit crise dit fraude54 Ces caméras qui nous veulent du bien55 Protéger son personnel contre la grippe,un acte de bonne gestion58 La commission vie privée, un empêcheurde tourner en rond ?<strong>Entreprendre</strong> est le mensuel de Beci(Chambre de Commerce & Uniondes Entreprises de Bruxelles)Editeur responsableOlivier Willocx ow@beci.beAvenue Louise 500 • 1050 Bruxellest +32 2 648 50 02 • f +32 2 640 93 28www.beci.beRédactionResponsable : Roel Veyt rv@beci.beCollaborateurs : Luc Rivet • Vincent Delannoy •Hélène Legrand • Michael Grosjean • Sylvie Cousin •Carline Taymans • Jean Blavier • Olivier Duquesne •Geert Degrande • Jacqueline Remits • Guy BernardProduction & AbonnementsDesign : MegalunatriumviraatGraphisme – Impression: DB PrintTraduction: Pascale SwaelensPhotos de couverture : Pascal Broze/ReportersTous droits réservés – Reproductions interdites sans autorisationécrite de l’éditeurAbonnementsPrix : 80 € pour 10 numéros + Who’s who Beci.Infos : da@beci.be • t 02 643 78 34PUBLICITÉ<strong>Entreprendre</strong>/Dynamiek est lu chaque moispar plus de 21.000 décideurs.Tirage moyen par numéro : 13.130 ex.Infos et réservations :Geneviève N. Juste • T 02 537 60 31F 02 534 86 22 • genevieve.n@skynet.beVéronique Legein •T 02 763 18 19F 02 772 54 22 • vl@beci.beNOS PROCHAINS DOSSIERS<strong>Entreprendre</strong> – DynamiekDécembre 20<strong>09</strong>• Commerce InternationalDate limite : le 15 novembre 20<strong>09</strong>Janvier 2010• Véhicules utilitaires• Stock & ArchivageDate limite : le 15 décembre 20<strong>09</strong>


enjeuxINTERVIEW DE IAN MORSOMME,BRUSSELS METROPOLITAN REGION« Brisons la muraille bruxelloise »«Le nom de Bruxelles vaut des centaines de millions d’EUR en marketing. Utilisons nosatouts ! » Voici le nouveau Secrétaire Général de Brussels Metropolitan Region, Ian Morsomme,qui bénéficie d’un à priori favorable pour le projet de (presque) toutes les forcesvives de toutes les régions du pays. Portrait d’un homme pressé de démarrer.4N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREIan Morsomme, Secrétaire Général de Brussels Metropolitan Region.tellement évident quec’en est presque caricatural…Les « patrons » de ce C’étaitpays font preuve d’un bon sens implacableet d’une fraîcheur rassurante,en préférant une approche économiqueaux « solutions » institutionnellespour Bruxelles et son hinterlandéconomique. Face à « l’usine à gaz »que constitue la Belgique politique issuede la Régionalisation, face aux interminablesquerelles communautairessur la périphérie bruxelloise, nostrois organisations patronales : <strong>BECI</strong>,VOKA et UWE ont décidé avec leurhomologue fédérale, la FEB, de dynamiserle développement de Bruxelleset de son hinterland naturel (les 19© Pascal Broze/Reporterscommunes, Halle-Vilvorde et le Brabantwallon) en dépassant les clivagespolitiques et communautaires.Quarante mesures pragmatiques ontété alignées, après une étude de benchmarkingapprofondie comparant15 zones métropolitaines européennes; une opération intitulée BusinessRoute 2018, sur le modèle de la célèbre« Business route 128 » qui ceintureBoston, avec Harvard et le MIT, et estaussi connue aux USA que la « SiliconValley » de San Francisco.Back to basics en quelque sorte pourBruxelles, qui est et reste l’atout principalde notre petite terre d’héroïsme.A l’étranger, on connaît bien Bruxelles,un peu moins la Belgique et quasipas nos deux régions principales.Jouons donc au mieux les cartes dontnous disposons, martèlent ensembleles associations patronales !<strong>Entreprendre</strong> : Brussels MetropolitanRegion sera-t-il un jour un vocableaussi connu que WashingtonDC (District of Columbia), le GLC(Greater London Council) ou SiliconValley ?IAN MORSOMME : Gardons la têtefroide. Le but n’est pas de remplacerles institutions, mais de permettre àla capitale, notre maître-atout, de respireret de se développer sur le planéconomique. L’économie, c’est la vie ;c’est le sang de nos artères, c’est l’emploide demain, c’est la dynamiquequi attirera les investisseurs, qu’ilssoient exportateurs ou importateurs.Avoir une tête de pont à Bruxelles« International district » doit devenirun must pour l’entreprise chinoisequi se prépare à exporter vers l’Europeet y place son centre logistique,comme pour l’entreprise européennequi va y établir son quartier généralou son centre financier. Pour mapart, je préfère parler de Brussels ID,Brussels International District. Desidées, nous en avons pour développerle carrefour de l’Europe, et nosgrands patrons sont avant tout desentrepreneurs hyper-réalistes. Vousremarquerez que le VOKA, l’UWE et<strong>BECI</strong> se comprennent et dialoguentsans complexes. Ajoutez-y la FEB,et la force de persuasion, la forced’exemple de notre tissu d’entreprisesva permettre de dépasser nos différences,pour développer la régionau sens large. Que nous comptions


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enjeux© Jeep Novak/Danny Gys/Tim Dirven - Reporters« Bruxelles ne sera jamais une petite ville provinciale assoupie. Il faut que cela pétille : bruisend Brussel ! »6N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE80 ou 85 communes importe relativementpeu ; tout le monde comprendde quoi nous parlons.«Le nom de Bruxellesvaut des centainesde millions, que dis-je,des millards d’EUR enmarketing. Utilisonsnos atouts ! »<strong>Entreprendre</strong>: Vous bénéficiez, c’estvrai, d’une somme d’expérienceunique en son genre, pour fairedémarrer BMR, non ?IAN MORSOMME : C’est vrai que lesoutien sans conditions des 4 organisationsprincipales du pays et surtoutl’expérience « de terrain » unique des150 entrepreneurs qui constituentnotre Comité des Sages, va nous permettrede progresser rapidement.Qu’il s’agissent de financiers de hautvol ou de patrons de PME, faites leurconfiance pour ce qui est de la réflexionconcrète ! Mon constat, c’estque l’emploi est la priorité et qu’il tientà notre productivité, que ce soit dansle tertiaire, les services de tous types,la logistique ou la production industrielle.Les grandes métropoles d’Europesont engagées dans une guerredes talents. Nous devons les attirer etles retenir à Bruxelles. Nos universitéssont des centres d’excellence remarquablesqui interfacent très bien avecles entreprises aujourd’hui. C’est vraique le belge pratique l’autodérisionet répugne à se mettre en valeur; c’estprobablement paradoxal, mais ce sontles étrangers établis à Bruxelles quisont nos meilleurs ambassadeurs. Ilsne tarissent pas d’éloges sur la qualitéde vie à Bruxelles et en Belgique.Nous sommes la porte de l’Europe,bien plus que Marseille, Londres ouLille ne le seront jamais. Nous devonsavoir la même force d’attraction queSingapour, New York ou Buenos Aires.Cela nous aidera à garder nos talents,à en attirer de nouveaux. Regardez lesefforts de Londres, ou plus évident encoreles succès de la promotion faitepar l’Espagne : Bilbao, Séville, Barceloneont su ensemble, créer un engouementunique pour l’Espagne. Et puis, ily a la culture ; il faut que l’on crée uneffet Magritte pour que l’on se rendecompte des trésors artistiques de lacapitale de l’Europe !<strong>Entreprendre</strong> : Certains disent queBruxelles est une « jobless story »,que le beau discours de BrusselsMetro Region n’est guère créateurd’emploi. Que répondez-vous à cescritiques ?IAN MORSOMME : La problématiquede l’emploi est au contraire au centrede nos priorités. Nous savons combienéducation et formation sont essentiellespour assurer l’emploi des jeunesbruxellois, parmi lesquels le chômageest le plus élevé de Belgique. Pourquoila recherche d’emploi doit-elle se limiterpour ces jeunes aux 19 communes ?Les zonings de Vilvorde ou de Wavrene doivent pas être des terra incognitapour eux. Les agences de placement deBruxelles, du Nord et du Sud doiventtravailler ensemble pour puiser dansce vivier de talents, pour compléter lesformations lacunaires et exploser lescarcans. Regardez le succès des « Jobdays » de <strong>BECI</strong> : une approche pratiqueet des résultats immédiats. La créationd’emploi mérite aussi un effortde « lateral thinking ». Ce n’est pas enpensant dans le carcan habituel qu’onva parvenir à trouver des solutions.Think out of the box !Et à propos de la langue anglaise, noussommes d’avis que l’anglais devraitêtre la 3e langue officielle de Bruxelles.Une association internationaleprésente à Bruxelles, doit pouvoir présenterson rapport annuel en anglaissans sortir de la légalité…<strong>Entreprendre</strong> : Quels sont les atoutsde BMR ?IAN MORSOMME : Il y a bien sûr lesatouts bien connus et ressassés depuisdes années : confluent géographiquepour l’Europe entière, multilinguisme,réseau routier, etc… J’en citerai quatreautres :- L’excellence informatique : qui saitque la montre GSM est développéeet testée en Belgique ? Nous avonslancé la carte à puces, Banksys a servid’exemple dans le monde entier. L’informatisationde l’interface citoyen/ soins de santé est en train de seréaliser chez nous avec une carte quivous suivra partout. La qualité denotre médecine et de l’organisationdes soins de santé est remarquable etporte discrètement ses fruits. Notreexcellence en cardiologie, en radiologie,amène en Belgique des patientsqui viennent de Russie, de Taiwan oudu Golfe Persique pour se faire soignerchez nous. Nos hôpitaux sont


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enjeux10N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREréputés. Cet atout là n’est pas assezexploité.- Les services financiers ; paradoxalement,la crise financière dont nouscommençons à émerger est un avantagepour Bruxelles. Les places financièresde Londres ou de Suisse ontperdu de leur superbe. La présence desociétés de service comme Swift, MasterCardou Banksys dans l’internationaldistrict de Bruxelles sont des élémentsqui permettent à Bruxelles derevenir dans la course. Nous n’allonspas devenir la City, mais pouvons certainementétoffer notre rôle de centrefinancier.- La logistique ; il y a 20 ans, tout lemonde aurait demandé ce que c’était,la logistique. Aujourd’hui, la Belgiqueet particulièrement la zone BMR, appuyéesur 3 aéroports, sont en train dedevenir un gigantesque centre de distribution,à la sophistication extrême.Stockage, distribution, transport : lesentreprises du secteur sont des championneseuropéennes, certification ISOen plus. La globalisation du commerce,à l’importation et à l’exportation, peutet doit doper notre emploi en logistique; un secteur qui peut prendre parla main les moins éduqués et compléterrapidement leur formation.- La qualité de vie et de travail dansle grand Bruxelles, dans le districtinternational au cœur du pays. Il estaberrant de constater que ce sont lesétrangers vivant ici, qui promeuventla Belgique avec enthousiasme. Unepart de cet enthousiasme est aussi dueà la mobilité. Bien sûr le ring est encombré,mais avez-vous déjà vécu lesheures de pointe à Londres ou Paris ?Ensemble, nous pouvons améliorer lafluidité du grand ring. Le vélo et la voitureélectrique peuvent contribuer àaméliorer la fluidité des déplacementsdans Bruxelles, mais il va falloir uneréflexion de fond sur la mobilité. Ledimensionnement de BMR est idéalpour cela. Enfin n’oublions pas que lamobilité se décline aussi avec le wirelesset le travail à distance…Bruxelles et BMR doivent éviter lesyndrome de la Bonnisation. Nous neserons jamais une petite ville provincialeassoupie. Il faut que cela pétille :bruisend Brussel !« Avoir une tête de pont à Bruxelles« International district » doit devenir unmust pour l’entreprise chinoise qui seprépare à exporter et y place son centrelogistique, comme pour l’entrepriseeuropéenne qui va y établir son centrefinancier. »<strong>Entreprendre</strong> : Pouvez-vous nousdévoiler quelques projets enchantier dans l’International districtde Bruxelles ?IAN MORSOMME : En la matière financière,Febelfin a déjà lancé sonBrussels Financial Institute. Bravo !Nous les soutenons évidemment à100%. Nous pensons d’autre part etdans le même registre, à un centre interculturelde management. Avec 27pays membres de culture différente,il faut à l’Europe un centre qui formeles managers à l’esprit européen : destop managers étrangers sont incréduleslorsqu’on leur explique la loiRenault en Belgique. Un DRH nomméen Lituanie a besoin de plus que dequelques informations académiques.Créer un Master dans le cadre d’unInstitut des Etudes Européennes, crééavec nos universités est une idée quenous creusons : une espèce de Yale ouHarvard européen…N’oublions pas l’enseignement technique,qui doit cesser d’être l’écolede l’échec. L’apprentissage dans descircuits de compagnonnage commecelui des « meilleurs ouvriers deFrance » est aussi une approche intéressante.Nous planchons sur la plate-formeBMR et ce qu’elleimplique, sur un Event delancement et un trophéeBMR. Nous devons faireconnaître l’initiative etnotre « positive attitude ».Le plan d’action vientd’être approuvé par leConseil d’administration.Nous allons en parler trèsbientôt. Le nom de Bruxelles vaut descentaines de millions, que dis-je, desmillards d’EUR en marketing. Utilisonsnos atouts ! Ian MORSOMMECV ExpressLuc Rivet Né en 1968 De père flamand et de mère wallonne, néà l’hôpital français de Bruxelles, mariéà une flamande, Ian Morsomme est del’espèce rare des francophones très bonsbilingues. Ses études de Sciences Politiques à l’ULB,il les complète par une licence en CommerceExtérieur à l’Institut L. Cooremanset à l’ISC Saint-Louis (groupe ICHEC-ISCSaint-Louis – ISFC). D’abord journaliste et pigiste dans lapresse française en 1991-92, il fonde UlysseConsulting et s’impose rapidementcomme un spécialiste du recrutement,comme chasseur de têtes dans le domainetrès pointu de l’IT De Schaerbeek à Woluwéen passant parAuderghem et Etterbeek,il a habité partouten Région bruxelloise.Aujourd’hui domicilié àGroot-Bijgaarden, il travailleaussi à Diegem :une carte de visite résolument« BMR » Secrétaire Général deBrussels MetropolitanRegion depuis Septembre20<strong>09</strong>© Pascal Broze/Reporters


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enjeuxWHYTE CORPORATE AFFAIRS INTERROGE 60 PARLEMENTAIRES« Le lobbying soutientle processus décisionnel politique »« Il règne un paradoxe tenace autour du lobbying. » Telle est la conclusion du cabinetbruxellois de conseil en communication Whyte Corporate Affairs. Il ressort d’une enquêteréalisée auprès de 60 parlementaires régionaux que 8 représentants sur 10 demandent unecommunication plus proactive des entreprises, lesquelles communiquent souvent de manièreinsuffisante et tardive. « Alors qu’une meilleure communication est favorable au processusdécisionnel politique, » commente Joris Bulteel, partenaire de Whyte Corporate Affairs.12N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREQuel fut le point de départ de cetteétude ?JORIS BULTEEL: « Le contexte économiqueagité de ces derniers mois amis la relation entre les entrepriseset le monde politique sous le feu desprojecteurs. Les managers et les décideurspolitiques avaient besoin lesuns des autres. Ensemble, ils devaientrechercher des solutions. Cela se faisaitparfois devant l’oeil des caméras,mais souvent, cela se passait dansl’intimité des arrières-chambres de lapolitique et de l’économie belges. Lescontacts entre le secteur privé et leJoris Bulteel,partner chez Whyte Corporate Affairs.monde politique ne sont bien sûr pasnouveaux. Dans le modèle de concertationbelge réputé mondialement, lesorganisations des travailleurs et desemployeurs sont formellement impliquéesdans le processus décisionnel.Le « consensus » typiquement belge,avec ses compromis, n’est pas seulementle produit de la politique maiségalement des instances intermédiaireslargement élaborées, dans laquelleles employeurs sont fortement représentés.Ces dernières années, plusieursdossiers économiques se sontretrouvés à l’agenda politique et ontmené à d’importantes concertationsavec les acteurs concernés. »Comment Whyte Corporate Affairsa-t-il procédé ?JORIS BULTEEL: « À l’occasion desélections régionales du 7 juin 20<strong>09</strong>,Whyte Corporate Affairs a organiséune étude auprès de 60 parlementairessortants. Cette étude donne uneidée plus claire de la position des parlementairesrégionaux à l’égard dulobbying exercé par les entreprisesqui, par le biais de la communication,défendent leurs intérêts.»Et quels résultats les entreprisesaffichent-elles en termes delobbying ?JORIS BULTEEL: « Ces derniers mois,on a encore souvent entendu dans lescercles des managers et des entrepreneursque « les médias » et « la politique» ne comprenaient pas beaucoupleurs dossiers et intérêts. Maisla question peut aussi se poser dansl’autre sens. Que comprennent les entreprisesdes médias, et plus particulièrement,de la politique? Commentles abordent-elles ? Quels effortsfont-elles? Voient-elles le processusdécisionnel politique comme unemenace ou comme une opportunité?Le lobbying est encore clairement tabou,et ne se base pas suffisammentsur une communication proactive etdirecte entre les entreprises et les décideurspolitiques. Il revient aux entreprisesde prendre davantage et demeilleures initiatives de communication,et de défendre plus efficacementleurs intérêts. »C’est là qu’apparaît le paradoxe.JORIS BULTEEL: « Si, en effet. D’unepart, les parlementaires sont demandeursd’une communication plusproactive, personnelle et directe dela part des entreprises, et sont ouvertesau lobbying. Celui-ci profite auxdeux parties ainsi qu’au processusdécisionnel politique. D’autre part,les parlementaires ont le sentimentque les entreprises sous-estimentl’impact du politique. Les entreprisesne semblent pas encore connaître lamarche à suivre pour contacter lesdéputés régionaux. Généralement,elles ne voient les parlementairesqu’en dernier recours, pour résoudreleurs problèmes. »


enjeux© Tim Dirven/Wim Beddegenoodts - ReportersLa problématique des nuisances sonores autour de Bruxelles Airport et la réconfiguration du paysage énergétique,des dossiers économiques qui se sont retrouvés à l’agenda politique.Les entreprises communiquentsouvent tardivement, dites-vous.JORIS BULTEEL: « L’aspect temporel estun facteur extrêmement important.Les entreprises doivent suivre de prèsle processus décisionnel politique, desorte que leur communication n’arrivepas trop tard. Lorsque des projetsde décrets sont en phase finale, il estgénéralement trop tard pour que lesentreprises puissent encore réagir.Les entreprises qui suivent les activitésdes parlementaires régionauxpeuvent réagir plus rapidement. Plusque jamais, les affaires publiqueset le lobbying tournent autour de lacommunication. Les contacts personnelssont et restent importants danstoute forme de communication, mais,de par la rotation croissante tant ausein du monde politique que celui desentreprises, une approche systématiqueet bien structurée de la communicationgagne en intérêt. »Comment <strong>BECI</strong> et les autresorganisations patronales procèdentelles?JORIS BULTEEL: « Les fédérationssectorielles et les organisations patronalestelles que la VOKA, l’UWE,<strong>BECI</strong>, la FEB et UNIZO obtiennent debien meilleurs résultats que les entreprises.Elles communiquent suffisammentet réagissent en généraltrès rapidement. Contrairement auxentreprises, les fédérations sectoriellescommuniquent de manière claire,ciblée, et suffisamment à temps. Lesparlementaires régionaux sont trèssatisfaits des initiatives prises par lesassociations. “J’insiste sur le fait quela plupart des parlementaires sonttrès satisfaits de leurs contacts avecles fédérations. Elles nous abordentgénéralement de façon positive etconstructive. Les entreprises le fontmoins bien”, selon un parlementairebruxellois. »Que recommandez-vous auxentreprises ?JORIS BULTEEL: « La balle est dans lecamp des entreprises. La communicationdes fédérations sectorielles et desorganisations patronales est appréciéedes parlementaires régionaux.Cette communication est généralementtrès ciblée. Elle résume une tendanceou un problème au sein d’unsecteur dans lequel la surcharge decommunication est limitée. En tantqu’entreprise, il est toutefois utile dediffuser des informations spécifiquesqui illustrent les tendances dont lesassociations font état, ou abordentdes problématiques plus spécifiques.A côté de la communication généraledes fédérations sectorielles et desorganisations patronales, les entreprisesdoivent donc aussi prendre elles-mêmesdes initiatives pour communiquerpersonnellement avec lesparlementaires régionaux. » Plus Infos : www.whyte.beRoel VeytCe que les politiciens disent :« Elles ne se réveillent qu’après un vote. Il est importantqu’elles fassent déjà entendre leur voix dès les premièresintentions. Si le vote est déjà à l’agenda, ou pire encore, s’ilest déjà passé, alors, il est tard. »« J’ai le sentiment que beaucoup d’entreprises ne savent pasà qui adresser leur communication. Fédéral ou régional ;c’est précisément la question difficile. C’est pourquoi la communicationnous arrive parfois trop tard.»« Les entreprises doivent le plus possible jouer cartes surtable. Nous ne pouvons qu’apprendre de cela. »« Ils appellent cela ‘lobbying’, un terme qui n’a pas toujoursbonne réputation. Mais moi je trouve que ce terme convientet peut être utilisé. C’est à nous d’y réagir de façon appropriéeet de traiter cette information de manière critique. »13N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


ProfilQu’est-ce que la MeetingIndustry et le FrenchConvention Bureau ?En tant que dirigeant d’entreprise, vous êtes certainementamené à participer à des réunions, des salons professionnels,des congrès à l’étranger. Peut-être vous arrive-t-il d’organiservous-même ces réunions. Peut-être souhaitez-vous motivervotre personnel, remercier vos collaborateurs ou clients par unvoyage de motivation, inviter vos clients pour leur présentervotre nouveau produit... Congrès, foires, salons, conférences,réunions, incentives (voyages de motivation), lancements deproduit font partie de la meeting industry. En résumé, elle regroupetoute forme de voyage d’affaires en groupe.Pour vous aider à organiser ce type demanifestation, Atout France, agence dedéveloppement touristique de la France,dispose d’un service dédié à cette industrie: le French Convention Bureau. Il metà votre disposition sa connaissance de ladestination et son savoir-faire ainsi que leprofessionnalisme de 140 membres, chacunun spécialiste de son secteur.Le site dédié au tourisme d’affaireswww.franceguidepro.com vous permettrade découvrir les dernières nouveautésen matière de séminaires, incentivesou congrès en France et de vous donnernombre d’idées pour l’organisation devos prochaines manifestations.Surprendre chaque jour en FranceUn hébergementdiversié et de qualitéLa France est en mesure de répondreà n’importe quelle attente en matièred’hébergement : demeures de charme,manoirs, châteaux, boutiques-hôtels,hôtels de chaîne, et récemment la classificationdes hôtels jusqu’au cinq étoilesvous offre un large éventail de solutions.Des infrastructures de réunionet congrès à la dernièrepointe technologiqueLille, Paris, Strasbourg, Deauville, Nantes,Biarritz, Bordeaux, Toulouse, Nice,Cannes, Lyon… offrent des infrastructuresde congrès et de réunion de qualité.En perpétuel renouvellement, cescentres de congrès proposent des sallesde réunion et conférence disposant desdernières technologies.Activités riches et variéesEn amont ou aval de ces réunions professionnelles,l’organisation d’une découvertede la destination permet depasser un moment de détente. Et enFrance, vous avez le choix : découvertesculturelles, gastronomiques, activitéssportives… Du classique à l’originale,vous saurez surprendre les participants.L’ensemble des professionnels françaistant dans les palais de congrès,les Convention Bureaux que dans lesagences DMC sont capables de vous apporterun service de qualité et adaptéspécifiquement à votre problématique.Le French Convention Bureau situé à Bruxellesest à votre disposition pour tous renseignements,conseils, astuces et vous donnerendez-vous sur www.franceguidepro.com.Ou contactez:Gudrun GhesquièreT: +32 2 505 38 04E: gudrun.ghesquiere@franceguide.com


- ATOUT FRANCE - 23 place de Catalogne 75685 Paris cedex 14 - RCS Paris 340 7<strong>09</strong> 211 00064 - Iconographie : Frédéric de Gasquet - Philippe Wang – Nice/Acropolis - Cédric Helsly -Damien Falco - Galeries Lafayette - Getty Images.


vous bougez !Espace membresVous désirez faire connaître votre activité ? Annoncer un changement stratégique, undéménagement de vos bureaux, des résultats financiers en progrès…? Profitez de la visibilité quivous est offerte dans les pages d’<strong>Entreprendre</strong>, lu par 21.000 décideurs, en envoyant un communiquéd’une quinzaine de lignes accompagné d’une photo, à rv@beci.beAttention : les textes publicitaires ne sont pas publiés. La rédaction se réserve le droit d’écourter les textes trop longs.Michel CroiséPrésident de l’Union Belge du Catering16N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREMichel Croisé, président de l’UnionBelge du Catering.FEDISAvenue Edmond Van Nieuwenhuyse 81160 BruxellesT +32 2 788 05 00F +32 2 788 05 01info@fedis.bewww.fedis.bewww.ubcatering.beMichel Croisé, Administrateur Déléguéde Sodexo Belgique et Luxembourg, devientle nouveau président de l’UnionBelge du Catering. Il prend la successiond’Olivier Bibot, Président d’AramarkBenelux.L’Union Belge du Catering (UBC) estl’acteur représentant le catering enBelgique. Les membres sont: Aramark,Compass, BD Food, ISS Catering, Sodexoet Dupont Restauration. Le secteur ducatering propose chaque jour des repasà près d’un Belge sur dix et emploieprès de 8 000 personnes dans notrepays. L’UBC travaille dans la structureintégrée de Fedis, la Fédération belge dela distribution, au même titre que, parexemple, des chaines de restaurants.Quatre objectifs principaux sont aumenu des deux prochaines années.L’UBC souhaite convaincre les autoritésde l’impact positif d’une baisse dela TVA sur la restauration vis-à-vis del’activité économique et du pouvoird’achat. La lutte contre le travail au noirfait également partie de ses priorités demême que le renforcement de la sécuritéalimentaire dans ses restaurants. Enfin,par son expérience dans l’optimalisationde la gestion de cuisines, l’UBCsouhaite ouvrir les marchés du secteurpublic à la sous-traitance en proposantdes solutions aux enjeux à venir des financespubliques. MO Group vous donne de la visibilité sur le NetMO Group International est une société en rapide expansionoffrant des services de référencement multilingue(MSEO), de traduction et de stratégies marketingen ligne. Basés à Bruxelles, nous aidons les entreprisesà augmenter leur visibilité sur le Net auprès de leursclients potentiels, et ce, dans plus de 40 langues. L’anglaisn’est utilisé aujourd’hui que par 29,1 % des internautesdans le monde ; par conséquent et afin d’augmenterleur compétitivité sur les marchés internationaux, lesentreprises doivent cerner leur clientèle avec un messageclair et culturellement adéquat. MO Group Internationalassure non seulement la traduction de sites Web,applications multimédiaet logiciels, documentationtechnique et médicale, maisaide aussi les entreprises àconsolider leur présence enligne en définissant et enmettant en œuvre leurs stratégies de référencementmultilingue (MSEO). Nous utilisons toujours des équipesde personnes expérimentées et de langue maternellepour effectuer les recherches de mots clés ainsi quepour fournir un service de copywriting multilingue degrande qualité. Notre but est que nos clients puissenttoucher un public mondial grâce à un contenu optimiséet localisé, qui leur assurera un très bon positionnementsur les moteurs de recherche ainsi qu’une augmentationdu taux de conversion clients. MO Group InternationalRue Gulledelle 941200 BruxellesT +32 2 771 19 12F +32 2 772 20 97sales@mogi.eu.comwww.mogi.eu.com


Rendre votre entreprise plus visiblesur le marché, c’est aussi notre boulot.A chaque instant, Electrabel est à vos côtés pour aider votre entreprise à se développer. Notre priorité est de vousoffrir services et conseils afin de vous accompagner au quotidien dans votre gestion énergétique. Pour ce faire, vouspourrez toujours compter sur votre Account Manager. Il vous présentera par exemple la dernière version de Kronos,un service online qui contrôle votre consommation de gaz et d’électricité. Le programme ‘Start to Save’ vous permetégalement de bénéficier de l’aide d’Electrabel pour sensibiliser votre personnel à l’utilisation rationnelle de l’énergie.Découvrez ces services et avantages sur www.electrabel.be.Travailler chez Electrabel, c’est bien plus que produire de l’énergie. C’est pourquoi nous sommesplus de 7 000 à nous engager tous les jours pour vous fournir une énergie sûre, plus respectueuseet mieux consommée.Vous avez l’énergie.


vous bougez !Regus ouvre un centre d’affaires à GandRegus, leader mondialde la mise à dispositiond’espaces de travail, ainauguré un premiercentre d’affaires à Gand : Regus GentZuiderpoort. Il s’agit déjà de la 50 eimplantation au Benelux. Avec cettenouvelle ouverture, Regus renforce saprésence sur le marché belge : Gand,Anvers, Zaventem, Diegem et Brainel’Alleudsans oublier les quatre centresde Bruxelles. “ Avec l’ouverture de cenouveau centre, Regus entend répondreà l’accroissement de la demande desclients pour nos produits et services. Lecentre d’affaires Regus de Gand s’étendsur une surface de 1<strong>09</strong>0m 2 et offre 97espaces de travail et trois salles de réunionou de formation ” précise EduardSchaepman, Directeur général de RegusBenelux. Entièrement meublé et équipé,ce nouveau centre propose l’ensembledes services qui caractérisent Regus,comme des connexions informatiqueset télécoms de dernière génération, lavidéoconférence, l’accueil téléphoniqueet physique personnalisé, ou l’assistanceadministrative et technique. RegusPegasuslaan 51831 DiegemT +32 2 7<strong>09</strong> 20 00F +32 2 7<strong>09</strong> 22 22www.regus.com18N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRERegus Gent ZuiderpoortVectorscope,votre fournisseuraudiovisuel a déménagé!Afin de toujours mieux vous servir, les studios deproduction Stone Prod et de post-production Vectorscopeviennent d’emménager en plein cœurde Bruxelles, à deux pas de la gare de Schumanet des Institutions européennes. Les deux studiosvous accueilleront dorénavant dans de nouveauxbureaux spacieux permettant de réaliser toutesvos communications audiovisuelles dans un environnementde travail agréable et hautement efficient: plusieurs studios de production, salles deréunion...Par la même occasion, Stone Prod et Vectorscopepartagent le bâtiment de la rue Ortélius avecl’agence d’événement Hail Oracle, partenaire desstudios de production. Stone Prod VectorscopeRue Ortelius 221000 BruxellesT +32 2 375 10 43 – F +32 2 375 10 43info@vectorscope.be – www.vectorscope.beToledo Telecom et le Rugbybelge se préparent pour laToledo Cup.Toledo Telecom et le rugby belge,main dans la main pour la Toledo Cup 2010Toledo Telecom, l’opérateur télécombelge se lance les deux pieds joints dansle rugby ! L’opérateur télécom, n° 1 de sacatégorie en Belgique, connu pour êtreune entreprise jeune, volontaire et particulièrementdynamique, vient en effetde signer un partenariat avec la FédérationBelge de rugby pour la prochainecoupe de Belgique 2010, rebaptisée pourl’occasion la ‘Toledo Cup’.Au cours de ces dernières années, lerugby est véritablement monté en flècheen Belgique. Les clubs se multiplientchaque année et comptent aujourd’hui10.000 membres. L’enthousiasme pourle rugby entraîne dans son sillage laferveur des supporters sans cesse plusnombreux dans les stades. « Lorsquej’ai assisté à mon premier match derugby, j’ai véritablement été séduit parl’ambiance incroyable qui règne dans lestade et le respect entre les joueurs sur leterrain. À l’encontre de certaines idéespréconçues, le rugby est véritablementun jeu d’équipe où le fair-play occupeune place centrale. C’est aussi un sportde challenger, valeur chère à notre entreprise,» explique Marc Toledo, CEO deToledo Telecom.Avec près de 37.000 clients, la sociétés’adresse tant aux particuliers qu’auxentreprises. Quelques références : Avis,Go Sport, Planet Parfum, Aramark, Merdu Nord,… Toledo Telecom a réalisé en2008 un chiffre d’affaires de 16,69 millionsEUR, soit une progression annuellemoyenne de 55 % sur les 4 dernières années.Indépendant financièrement desopérateurs, Toledo Telecom fonctionnecomme une centrale d’achats vis-à-visde ses clients. La société suit, analyse etcompare les offres des opérateurs télécomles plus performants afin de proposerles formules les plus avantageuses àses clients. Toledo TelecomAvenue Louise 3751050 BruxellesT +32 2 648 08 48 – F +32 2 646 44 24info@toledo.be – www.toledo.be


Pas de prise de tête !« Mon partenaire bien-être ?Un expert qui analyse mon entreprise et est à l’écoute de mes besoins. »Ulrich Richard, directeur de l’asbl La maison de nos enfantsIl y a plus d’un an déjà Ulrich Richard décide d’entreprendre des actions en matièrede prévention et de sécurité. Pour ce faire, il a fait appel à un conseiller en préventionde son service externe AristA. Ce conseiller passe deux jours par mois dans l’asbl pourmettre les actions en place« Le travail entamé avec le conseiller en prévention externe a généré une dynamique positivedans l’entreprise. Certes, notre projet pédagogique est très important, mais travailler aubien-être des collaborateurs génère indirectement une satisfaction pour le travailleur et lesentiment d’être pris en considération. » conclut Ulrich Richard.Découvrez comment nous pouvons vous aider sur www.hdp-arista.beLe Service Externe de Prévention AristA fait partie du Groupe HDP-AristA.&bien-être


vous bougez !Le transport par voie d’eau est le modede transport le plus respectueux del’environnement.Artexis engage Veerle Wenesau poste de Creative Director© Reporters/Didier Bauweraerts20N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREPort deBruxelles :nouvelle ligneentre Bruxelleset ZeebrugesLe Port de Bruxelles annonce la mise en place d’une nouvelle lignerégulière entre le terminal à conteneurs de l’avant-port etle port côtier de Zeebruges. Cette ligne est affrétée par la Compagniefrançaise de Navigation rhénane, opérateur du terminalà conteneurs du port de Bruxelles et aura une fréquence hebdomadaire– qui devrait dans les mois qui viennent passer à deuxdéparts par semaine. Ce nouveau service vient enrichir l’offrelogistique du port de Bruxelles, puisqu’une ligne régulière existedéjà entre le terminal à conteneurs de l’avant-port de Bruxelleset le port d’Anvers. Les bateaux utilisés pour cette liaison ont unecapacité comprise entre 36 et 48 EVP (Équivalent Vingt Pieds). Letrajet entre Bruxelles et Zeebruges prend environ 18 heures.La mise en place de cette liaison offre aux opérateurs logistiquesactifs à Bruxelles une opportunité supplémentaire de recourir autransport par voie d’eau, le mode de transport le plus respectueuxde l’environnement. Port de BruxellesPlace des Armateurs 61000 BruxellesT +32 2 420 67 00 – F +32 2 420 69 74portdebruxelles@port.irisnet.be – www.portdebruxelles.beVeerle Wenes, creativedirector d’Artexis.Cette fonction s’axe autour de la penséecréative et innovante. L’objectif d’Artexisest la création de « Ultimate meeting &market places ». Avec ses quatre filialesgantoise, anversoise et namuroises, leGroupe Artexis gère un réseau de parcsd’exposition en Belgique au service d’unmarché de visiteurs qui s’étend des Pays-Bas au Nord. Chaque année, quelque 230événements sont organisés, attirant plusde 15 000 entreprises et près de 2 500 000visiteurs.Bien entendu, la pensée créative et innovanteoccupe une place de premier plan pour Artexis afinqu’elle conserve sa position de leader de marché. Il a dès lorsété demandé à Veerle Wenes (veerle.wenes@artexis.com) decoiffer la casquette de « Creative Director » pour toute l’entreprise,tant au niveau Exhibitions, Venues, Real Estate qu’auniveau Corporate. Forte d’une expérience de plusieurs annéesen tant que directeur du bureau de communication créatifScritto et Group Exhibition Manager des salons de constructionet d’habitat d’Artexis, Veerle est une valeur ajoutée absoluedans la réalisation du volet créatif d’Artexis. À ce nouveauposte, Veerle Wenes rapportera directement à Dirk Van Roy,CEO Artexis. Rue Saint-Lambert 1351200 BruxellesT +32 2 740 10 11 – F +32 2 740 10 10info@artexis.com – www.artexis.comAdaequatio Services vous soutientdans la gestion de votre personnelFondée en janvier 2008 par Audrey Remacle,successivement HR Consultant chezGRH Management et HR Generalist chezSales Consult, Adaequatio Services proposedes services développés grâce à uneréelle expertise et expérience pratique dumarché de l’emploi.Grâce à son large réseau de consultants/coachs seniors en HR et à des solutionspragmatiques, économiques et adaptéesaux besoins de ses clients, la société prenden charge des projets en matière de :- Outplacement- Recrutement et Sélection- Talent Management- Training & Development- Team Building- Gestion de projets HR- CoachingGrâce à cette approche globale et spécialiséeà la fois, Adaequatio Services agitcomme un réel Partenaire auprès des PMEet des plus grandes entreprises. Cette approchede collaboration à long terme vouspermettra d’assurer la cohérence de votrestratégie HR, tout en préservant vos coûtset l’éthique de vos actions ressources humaines.Adaequatio ServicesBrusselsesteenweg 5253<strong>09</strong>0 OverijseT +32 2 732 08 18 – F +32 2 732 08 19audrey.remacle@adaequatioservices.comwww.adaequatioservices.com


espace membres30.000 e licence Sagevendue par Megabyteen BelgiqueMegabyte, spécialiste en informatique de gestionpour entreprises depuis plus de 20 ans, a vendula 30.000ème licence Sage au constructeur japonaisde machines de découpe laser, Mazak LaserEurope. « Il s’agit d’une anecdote amusante.Mais ce n’est rien à côté de la valeur ajoutée quenous procure l’utilisation de cette applicationau quotidien, » explique Johan Bloemers, Directeurchez Mazak. L’entreprise a toujours travailléavec le logiciel Cubic pour sa comptabilité et salogistique. Depuis quelques temps, Mazak souhaitaitun logiciel de gestion plus léger, répondantplus exactement à ses besoins et incluantle cycle de vente complet. BOB 50, logiciel Sagede gestion commerciale et de comptabilité, étaitla réponse à ces besoins. Megabyte a implémentéce logiciel avec succès après une analyseapprofondie. Megabyte est l’unique partenairede Sage intégrant l’entièreté de leur gamme desolutions. La collaboration entre les deux partenairesexiste depuis de nombreuses années.Megabyte propose aux PME et TPE des solutionspermettant une gestion transparente et efficace.MegabyteAvenue de Tervuren 3331150 BruxellesT +32 2 762 33 60F +32 2 772 29 83contact@megabyte.bewww.megabyte.beHandicap International lanceSolidanza : quand danser rime avecsolidaritéHandicap International cherche des danseursmotivés pour faire parrainer des défis dansés.Depuis quelques années, les thés dansants sont ànouveau à la mode, attirant un public toujoursplus nombreux et varié. Le week-end du 5 et 6 décembre,Handicap International se lance dans ladanse et invite sur la piste les danseurs de tousâges, valides et moins valides, de tous styles etde tous niveaux, pour se lier et se délier au son devalses, slows, rock’n’roll, salsas, chachachas, tangos…Solidanza se déroulera au coeur d’un lieu célèbreet intrigant : la Bourse de Bruxelles. Si tout lemonde connaît ce bâtiment de l’extérieur, rares sont ceux qui y ont pénétré.Au coeur de Solidanza, il y a les danseurs engagés, qui ont choisi de participerà l’action de parrainage. S’inscrivant seuls, à deux ou en groupes, ils s’investissentconcrètement pour Handicap International. Auprès de leurs familles,amis et collègues, ils s’engagent à relever un défi dansant en échange de leursoutien financier.Quand ? Samedi 5 et dimanche 6 décembre, de 14h à 20h.Où ? À la Bourse de Bruxelles (Place de la Bourse, 1000 Bruxelles).Informations et inscriptions : www.solidanza.be ou Yolande Hoornaert au02/233 01.82.Droit d’entrée : 10 €, gratuit pour les moins de 12 ans. (Réservation souhaitée)Attention, les inscriptions au parrainage seront clôturées le 15 novembre. Rue de Spa 671000 BruxellesT +32 2 233 01 50F +32 2 230 60 30headoffice@handicap.bewww.handicap-international.be23N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRENouveau Sales & Marketing Director au GolfChâteau de la Tournette et au Golf Club d’EnghienBernard Gebara (36ans) a déjà une trèslongue expériencecommerciale deprès de 15 ans, quece soit comme salesmanager au Royal Windsor Hotel oucomme directeur commercial à l’hôtelDorint à Bruxelles. Après le rachat dugroupe Dorint par Accor, il a endossé lafonction de Key Account Manager où ilétait responsable pour les institutionseuropéennes au niveau mondial. En2005, il se réoriente vers le monde desressources humaines et devient pourUnique, l’Office Manager de l’agenceAvenue Louise, avant de créer pourUnique toujours, en janvier 2008, unenouvelle division axée sur le secteurpublic.Depuis le 1 er septembre, il a donc rejointle Golf Château de la Tournette etle Golf Club Enghien qui sont gérés parles mêmes propriétaires. Situé à 10 minutesde Bruxelles, dans la merveilleusecampagne d’Ittre et de Nivelles, leGolf Château de la Tournette offre à sesvisiteurs une oasis de calme, grâce àson paysage unique et à sa merveilleusesituation dans un environnementnaturel.Bernard Gebara prend en charge toutela stratégie commerciale et marketingpour l’ensemble des activités des 2golfs (le Corporate club, les évènementsgolfiques, les initiations golfs pour lessociétés en tant qu’incentives et teambuilding, ainsi que les séminaires, leshop, le club House/restaurant). Golf Château de la TournetteChemin de Baudemont 211400 NivellesT +32 67 894 290 – F +32 67 219 517bernard.gebara@tournette.comwww.tournette.comwww.golfclubenghien.com


N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREvous bougez !Patrick Michielsen nommé GeneralManager de The House of MarketingLe Conseil d’Administration de The House of Marketinga décidé de nommer Patrick Michielsen en tantque General Manager. Avec lui, deux nouveaux administrateursexternes montent à bord : Philippe Craninxet Mark De Smedt.« Ces trois nominations sont le signe de la nouvelledirection que nous prenons aujourd’hui avec TheHouse of Marketing », déclare Marc De Reu, présidentPatrick Michielsen, General du Conseil d’Administration. « Il était nécessaire deManager chez The House mettre sur pied une nouvelle organisation et de mettrede nouveaux accents dans notre gestion. N’oubliezof Marketingpas que cette entreprise a vu son personnel doubler en quelques années,et nous sommes entretemps confrontés à la récession la plus profonde deces cinquante dernières années. Un changement de cap est donc logique”.Simultanément se déroule une nouvelle campagne de recrutement pourdes consultants en marketing disposant d’une expérience dans les domainesIT, télécom et biens de consommation. Nous continuons donc à investirdans l’avenir. »Patrick Michielsen est un marketeer chevronné dans le domaine des FMCG,retail et e-business. Avant qu’il ne devienne COO de Club en 2007, P. Michielsenétait Managing Director de Schiesser International, Zara Benelux24(Inditex) et a rempli diverses fonctions marketing chez Unilever. Il a étudiél’économie à l’Université d’Anvers et possède un MBA de l’INSEAD.The House of Marketing est le premier Centre d’expertise et d’excellencemarketing en Belgique. Depuis près de quinze ans, l’entreprise offre à sesclients des conseils stratégiques en marketing, des services de gestion deprojets marketing et d’interim management en marketing. The House ofMarketing est établi à Malines et occupe quelque 75 personnes. The House of MarketingSchuttersvest 752800 MechelenT +32 15 45 05 50 – F +32 15 45 05 51info@thom.be – www.thom.beInvemaco se nommedésormais EfficyL’entreprise bruxelloise Invemaco change officiellementde nom et s’appelle désormais Efficy, faisant ainsidirectement référence à son produit, le logiciel EfficyCRM. Forte de sa croissance, Efficy emménage égalementdans de nouveaux bureaux plus spacieux, toujourssitués en Région bruxelloise.Efficy, anciennement nommée Invemaco, lance ses activitésen 1998 en tant qu’entreprise de consultance en logicielsde gestion de contacts. La société rachète en 1999deux petites entreprises distributrices de logiciels CRMau Benelux et en France. Elle s’oriente vers la consultancerelative aux solutions liées au Customer RelationshipManagement et à la Business Intelligence.Après avoir existé plus de 10 ans sous le nom d’Invemaco,la société adopte désormais celui de son produit :Efficy. Cédric Pierrard, Managing Partner, explique cechangement de nom : «En changeant de nom et enadoptant celui de notre produit, Efficy, nous cherchonssurtout à simplifier les choses et être, de facto, plus reconnaissables.En effet, notre société et le produit quenous développons et commercialisons sont étroitementliés. Dès lors, pourquoi ne pas renforcer encoredavantage ce lien ? »Établie à Bruxelles, Efficy emploie actuellement 24personnes et sert environ 400 clients. En croissanceconstante, Efficy a réalisé en 2008 un chiffre d’affairesde 1,5 million d’euros et est bénéficiaire depuis sa création.EfficyAvenue des Pléiades 111200 BruxellesT +32 2 648 18 98F +32 2 648 18 94info@efficy.comwww.efficy.comCofinimmo :Vente de créances de loyersrelatives au Egmont I et IICofinimmo annonce avoir cédé ce jour à BNP ParibasFortis 96% des créances de loyers futursindexés, relatifs aux immeubles Egmont I et Egmont II,ainsi qu’une créance pour des travaux qui y ont été réaliséspour compte de l’occupant, pour un montant total de€ 199,6 millions. Cofinimmo a toutefois conservé 100%des loyers du bail afférents à l’année 20<strong>09</strong> et à l’année2010 afin de garder intact le cash flow récurrent de cesannées-là. Les 96% de créances cédées ne portent que surles années 2011 et suivantes. Cette transaction permet àCofinimmo de poursuivre sa stratégie qui vise une expansionéquilibrée et rentable du patrimoine ainsi quela préservation de la valeur intrinsèque du titre Cofinimmo.D’autres moyens de financement ne seront recherchésque pour autant et dans la mesure où de nouveauxprojets le justifieraient. Le complexe de bureaux Egmont IBoulevard de la Woluwe 581200 BruxellesT +32 2 373 00 00F +32 2 373 00 10info@cofinimmo.bewww.cofinimmo.com


UN VOYAGE D’AFFAIRESDOIT VOUS FAIREGAGNER DE L’ARGENT.PAS VOUS EN FAIRE PERDREb.flex economy+. La meilleure classe économique en EuropeEn ces temps-ci, vous êtes certainement à la recherche de bonnes affaires. Il en va de même pour vostickets d’avion. Choisissez de voler en b.flex economy+ car vous pourrez en toute simplicité:• changer votre réservation sans frais• bénéficier de la Fastlane aux contrôles de sécurité• vous voir rembourser votre ticket entièrement en cas d’annulationVoyager sans soucis et sans coûts additionnels, et avoir ainsi un contrôle total sur votre budget voyage,c’est quand même plus confortable.brusselsairlines.com


technologieMONDIAL TELECOM LANCE CHERRYLa téléphonie mobile à prix wi-fi !Tel est le défi commercial et technologique que se propose de relever Mondial Telecom(Bruxelles) avec son dernier produit baptisé cherry, qui n’est pas un remake de Skype.Pour qui ? Les business travellers qui désirent éviter les frais de roaming de réceptionet d’émission, les expatriés qui veulent garder leur numéro belge sans se ruiner, lescollaborateurs qui téléphonent majoritairement de chez eux ou depuis leur bureau.26N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE«Nous changeons le modèle dela téléphonie mobile », commenteBernard Noël de Burlin,CEO de Mondial Telecom, PME d’unetrentaine de travailleurs qui a réalisé 6,5millions EUR de CA en 2008. Comment ?« En réalisant la convergence entre l’offremobile et le wi-fi. Nous sommes unrevendeur et sommes ouvert à tous lesréseaux, wi-fi et mobiles. » Ce modèlejoue sur la baisse des tarifs, dans uncontexte de croissance de la couverturewi-fi et du marché des smartphones.En effet, l’utilisateur doit posséder unsmartphone wi-fi (téléphone mobilepermettant l’ajout d’applications) : Nokiasérie E et N, HTC, Qtek, ou autres. Il yinsère une carte SIM cherry ; une applicationest installée automatiquementsur son appareil. Dès ce moment, ilpeut téléphoner sans frais et de manièreillimitée, lorsqu’il se connecte à unrouteur ou un hotspot wi-fi. Sur l’écrandu téléphone intelligent (smartphone),un signal vert indique à l’utilisateurqu’il est en mode wi-fi, et donc en appelsillimités.Réseaux GSM & wi-fiSi le réseau wi-fi n’est pas ou n’est plusaccessible, le réseau GSM (celui de Baseen l’occurrence) prend automatiquementle relais, sans aucune interventionde l’utilisateur. En cours d’appel,au besoin, la conversation basculeautomatiquement, sans déconnexion,sans aucune rupture, du wi-fi vers le réseauGSM. Ce « seamless handover » encours d’appel est une grande première,tout à fait inédite sur le marché européen.De plus, un appel qui a démarréen wi-fi est facturé au tarif wi-fi, mêmes’il a basculé vers le réseau GSM !Autres nouveautés : cette technologiefonctionne avec un seul numérod’appel et une seule boîte vocale quiest intégrée à l’application e-mail (lesmessages vocaux sont accessibles pare-mail, au format wav), ce qui la distingued’un produit comme Skype. Baséesur une architecture unique pre-IMS,elle utilise SIP (Session Initiation Protocol),le protocole standard ouvertde télécommunications multimédia(son, image, etc.) le plus utilisé pour latéléphonie par internet ou voix sur IP(VoIP).Innovant ? Certainement. Et les maladiesde jeunesse ? « Depuis le 1erjuillet, une centaine de testeurs publicsavertis ont utilisé ce produit, cequi nous a permis de peaufiner notreservice », explique M. Noël de Burlin.La couverture wi-fi est-elle suffisante? Cela dépend des besoins de chaqueutilisateur, des accords concluspar Mondial Telecom avec les réseauxwi-fi (Citymesh en fait partie) et de lacroissance du taux de couverture. Leprospect hésitant pourrait-il prendreun abonnement à l’essai ? « Nous yavons pensé », précise Eric Ducarme,directeur marketing & ventes.« Techniquement, le seul problèmequi pourrait éventuellement se présenterconcerne la compatibilité avecun routeur plus ancien. C’est très facileà résoudre et nous envisageonsdavantage d’offrir une garantie de résultat.» Pour en revenir aux abonnements: ils sont de 24 mois ou réduitsà 12 mois moyennant un supplémentmensuel de 2 EUR.Concernant les réseaux wi-fi sécurisés,il va de soi qu’ils nécessitent l’introductionpréalable du mot de passerequis. Une fois la clé introduite, lesconnexions ultérieures se font automatiquement,sans aucune interventionde l’utilisateur de cherry.TarifsLa grande originalité de l’offre tarifaireest son caractère illimité, via le réseauwi-fi, avec trois forfaits mensuels à 14,26 et 42 euros TVAC, incluant chacun10 euros d’appels via le réseau GSM oul’envoi de 100 SMS. Via son site web,www.becherry.be, le service proposeà l’internaute le forfait qui convient lemieux à son profil.Le forfait d’entrée à 14 euros neconcerne que les appels vers les fixesbelges, celui à 26 euros y ajoute tousles numéros cherry ainsi que les communicationsvers les mobiles belgesen heures creuses (entre 19h et 8h, leweek-end et les jours fériés). Quantau forfait de 42 euros, il s’adresseparticulièrement aux collaborateursdes PME et aux gros utilisateurs quitéléphonent majoritairement depuischez eux et au bureau, intéressantpour ceux qui ont une facture de 60 à90 euros TVAC ou plus. Par ailleurs, ilexiste aussi des offres spéciales pourles entreprises.À l’étranger, l’utilisateur cherryconnecté au wi-fi se trouve virtuellementen Belgique. Il appelle donc versla Belgique aux tarifs wi-fi. Il y reçoitet émet des appels, à conditionqu’il soit sous couverturewi-fi, sans aucuns fraisde roaming, et ce, alorsmême que le numéro deGSM est un numéro belge.L’option No Limit Fix Europe,à 6 euros/mois, accordedes appels illimités vers lesfixes en Europe, aux USA,au Canada et au Japon. Vincent DelannoyBernard Noël de Burlin,CEO de MondialTelecom.


l’albumRetrouvez sous cette rubrique toutes les photos des événements organisés par <strong>BECI</strong><strong>BECI</strong> Conférence sur la Côte d’Ivoire<strong>BECI</strong> a organisé une conférence sur la Côte d’Ivoire qui a eu leu le 15 septembre, en présence desMinistres de l’Industrie et de la Promotion du Secteur Privé, de l’Economie et des Finances, et dela Construction et de l’Urbanisme.Mr. DaodaSilue, DirecteurGénéral du CEPICI,S.E. MadameMarie Gosset,Ambassadeurde Côte d’Ivoireen Belgique,Mme Marie AmaTehoua, Ministrede l’Industrie etde la Promotiondu Secteur Privé,Mr. Marcel TanohAmon, Ministre dela Construction,de l’Urbanismeet de l’Habitat etEmmanuel vanInnis, Président de<strong>BECI</strong>.Témoignage deMaximilien Lemaire,entrepreneur belge etPrésident de la CCI Belgeen Côte d’Ivoire.27© Danny Gys/ReportersBUSINESS MEETING 24/11/<strong>09</strong>Philippe Muyters,le patron des patronsà l’économie<strong>BECI</strong> vous invite au BusinessMeeting avec Philippe Muyters,un des deux ministresN-VA dans le nouveau gouvernementflamand. Il est ministredu budget et des finances,de l’emploi, de l’aménagementdu territoire, du patrimoineet des sports. PhilippeMuyters (47) était administrateurdélégué du Voka depuisPhilippe Muyters2007, mais « si vous recevez lachance d’assumer une telle responsabilité, vousne pouvez pas refuser », a-t-il expliqué.Le Business Meeting se tiendra place le 24 novembre,en collaboration avec Data Translations Internationalet Orbius.Business Meeting - Philippe Muyters24 11 20<strong>09</strong> – 18h30Gosset Hotel Groot-BijgaardenInscriptions : www.beci.be/eventsOffres et demandesVous avez quelque chose à vendre ?Vous recherchez un nouveau collaborateur ?Vous souhaitez entrer en contact avec denouveaux partenaires ?Cette rubrique est pour vous…Pour le prix de 5 euro (HTVA)/la ligne, vousavez la possibilité d’insérer votre annonce.En outre, une réduction de 10% sera accordéeaux membres de <strong>BECI</strong>.Intéressé ?Contactez pour tout renseignementRoel VeytT 02 643 68 53 – rv@beci.beTéléphonez au 02/652.16.00 pour informationssur les brevets belges ciàprèsdont les titulaires cherchentà entrer en négociation aves des industrielspour leur exploitation souslicenceAvenue Wolfers 321310 La Hulpe, BELGIUMinfo@office-kirkpatrick.comwww.office-kirkpatrick.comBrevetsA louer :Surface commerciale 3 e étage210 m 2 .Facile d’accès : petite ceinturemétro : YserProximité : Gare du Nord-Rogier3 Bureaux individuels + 1 openspaceFacilités : Ascenseur + kitchenette+ 2 WCPrix : 1600/moisInfos : 0475 754 475- 0 582 186:Procédé de préparation de formespharmaceutiques solides à libérationprolongée en deux étapes.- 1 401 466 :Agent contenant de la graisse (del’huile) et un extrait d’oignon, saproduction et son utilisation poursoigner, prévenir ou traiter des tissuscutanés endommagés, notammentdes cicatrices.


Vous voulez offrir un avantage à un autre membre de Beci ? L’espace Member to Memberest maintenant à votre disposition dans la revue <strong>Entreprendre</strong> !Contactez Catherine Mertens au 02 643 78 16Grande dégustation des vins : 10% aux membres de <strong>BECI</strong>28N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREDepuis plus de 30 ans, la maison Francis Bernard proposeaux particuliers, sociétés, hôtels, restaurants et revendeursun des plus beaux choix de vins des quatre coins du mondeet d’accessoires, environ 1000 références dont 300 grandscrus (Pétrus, Yquem, Margaux, Mouton Rothschild... etc..).Spécialiste des cadeaux d’entreprise ou privés, Francis Bernard,sur base de votre budget, vous proposera des colisayant le meilleur rapport qualité/prix, une présentationirréprochable et se chargera, avec l’aide de transporteursqualifiés, de les faire parvenir directement chez les personnesauxquelles ils sont destinés.Si, dans le cadre de votre profession, vous souhaitez stimulervotre force de vente ou remercier vos clients, FrancisBernard organise pour vous des « Incentive » permettant àvos vendeurs (ou clients) de gagner selon leur chiffre d’affairedes colis de vins ou caves type. Des conseillers sont àvotre disposition pour faire un choix dans notre gamme etorganiser l’action. Vous vous mariez bientôt ? Francis Bernards’occupe de votre liste de mariage ou de choisir, avecet pour vous, les vins qui mettront en valeur cette journéeunique.Autres services et avantages proposés par Francis Bernard :- Recherche de vins ou millésimes rares ou anciens,- Rachat de caves aux particuliers,- Tax free for export,- Vaste parking gratuit.Les Samedi 17, Dimanche 18 et Lundi 19 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong> :Grande Dégustation Annuelle au Golf Château de LaTournette à Nivelles (sortie Nivelles Nord). Plus de 70vins à déguster. Conditions spéciales : une remise de10% aux membres de <strong>BECI</strong>.L’équipe Francis BernardPassage Linthout, 391200 BruxellesT +32 2 735 68 80F +32 2 736 24 38francis.bernard@skynet.bewww.francisbernard.comWorld Natural Carerecherchedes indépendant(e)sPROMOTIONJusqu’au 15 décembre,pour toute réservationde séminaire d’unejournée, nous vousOFFRONS le “Business& Putting Experience”à savoir, un cours etune compétition deputting avec remisede prix durant votrepause déjeuner (1h)Golf Châteaude la Tournette offrele « Business & PuttingExperience »Situé à 10 minutes de Bruxelles, dans lamerveilleuse campagne d’Ittre et de Nivelles,le Golf Château de la Tournette offre àses visiteurs une oasis de calme, grâce à sonpaysage unique et à sa merveilleuse situationdans un environnement naturel.Golf Château de la TournetteChemin de Baudemont 211400 NivellesT +32 67 894 290 – F +32 67 219 517bernard.gebara@tournette.comwww.tournette.comwww.golfclubenghien.comFabricant à façon de cosmétiquesnaturels et BIO cherche plusieursreprésentant(e)s autonomes basé(e)s enBelgique possédant longue expériencedans le domaine de la vente et de préférenceen SPAs et Centres de beautéshaut de gamme.Profil d’indépendant(e) non salarié (àson propre compte) parfaitement bilingueNL/FR.Type de diplôme pas important maisconnaissance du métier et capacitéd’écoute des clients exigées.Stan IdelsenMarketing & Sales ManagerWorld Natural CareLeuvensesteenweg 318B-1932 Sint-Stevens-Woluwe BelgiumT +32 2 725 75 00F +32 2 720 52 54www.wncare.com


oîte à outilsComment résoudre les conflits entre actionnaires ?Le scénario d’un conflit entre actionnaires est assez classique. De bons amis fondent une sociétéafin de réaliser un projet commercial, font dresser ses statuts et les activités de la société débutent.Au bout d’un certain temps, des discussions voient le jour sur des questions aussi nombreuses quevariées (politique commerciale, gestion de la société, rémunération des administrateurs, ...). Lesdiscussions se transforment en un dialogue de sourds et tournent au conflit. Les associés, lassés pardes querelles interminables, saisissent les tribunaux dans l’espoir de régler tous les problèmes. Lesbons amis sont devenus des ennemis jurés ... Entre-temps, la vie de la société est perturbée, au pointparfois d’être contrainte de mettre fin à ses activités.Il est certainement utile de prévoir,à l’issue d’une discussion approfondieentre les partenaires, desmécanismes destinés à prévenir et àrésoudre les différends qui peuventnaître dans la vie de la société. À côtédes mécanismes légaux prévus parle Code des sociétés, des conventionsentre actionnaires ou des clauses statutairespeuvent résoudre bien des situationsde blocages.La cession des actionsLe but poursuivi vise à assurer la stabilitéde l’actionnariat ou à contrôlerla qualité des nouveaux actionnaires.La cession de titres peut être soumiseà l’agrément préalable d’un organe dela société (par exemple, le conseil d’administrationou le comité de direction),d’un groupe d’actionnaires ou encored’un tiers. Ce mécanisme est de droitdans les SPRL.Une clause de préemption peut êtreprévue dans les statuts ou dans uneconvention entre actionnaires. L’actionnairedésireux de céder ses titresest alors tenu de les proposer au préalableaux bénéficiaires désignés dansla clause. Il existe de nombreuses variantes.Il peut également être utile d’organiserla sortie conjointe de tous les actionnaires,ou de certains de ceux-ci,lorsqu’un actionnaire entend céderses titres. Il peut par exemple êtreprévu, si l’un des actionnaires entendcéder ses actions, qu’il s’engage à racheterles actions des autres actionnairesà un prix déterminé selon uneformule de calcul prédéfinie ou encorede prendre l’engagement d’obtenir del’investisseur qui souhaite racheterses titres qu’il étende son offre aux actionsde tous les actionnaires (clausede tag-along).Les clauses portant sur l’exercicedu droit de voteLes conventions entre actionnairespeuvent prévenir bien des litiges enréglant certains aspects de la vie de lasociété.La répartition des mandats au seind’un conseil d’administration ou d’unconseil de gérance peut permettre degarantir à des actionnaires minoritairesd’être associés à la gestion. Un desprocédés consiste à introduire dans lesstatuts différentes catégories d’actions(actions A, B, C, ….). Chaque groupe d’actionnairesayant le droit de proposerun certain nombre de candidats administrateursà l’assemblée générale.Il peut également être prévu de renforcerles conditions de majorité ausein du conseil d’administration pourl’adoption de certaines décisions, defixer à l’avance les rémunérations etles avantages qui seront perçus par lespersonnes impliquées dans la gestion,d’arrêter les principes qui gouvernerontla gestion de la société (engagementde personnel, stratégie commerciale,…),de fixer les règles quant à ladistribution des bénéfices, etc...Les clauses portant l’exclusion oule retrait d’un associéPar le biais de clauses d’option de venteet d’option d’achat, l’exclusion d’unassocié peut être organisée, dans certainescirconstances, moyennant uneindemnisation qui doit répondre à certainesconditions. De même, le retraitd’un associé peut être prévu, ce qui permettraà celui-ci d’avoir la garantie depouvoir revendre ses titres au prix fixépar une formule de calcul préétablie oupar un tiers.Signalons que le Code des sociétés offrequant à lui la possibilité, sous certainesconditions, d’exclure un associépour « justes motifs » (mésentente graveet persistante, blocage des organessociaux, manquement à l’obligation debonne foi et de loyauté d’un associé…),qui peut être contraint de céder sesparts, à un prix déterminé par le juge,ou de permettre à un associé de se retireret forcer les autres actionnaires àacquérir ses titres.Les modes alternatifs derèglement des conflitsDes divergences de vues peuventsurvenir à tout moment entre les actionnairesou les membres du conseild’administration, qui portent sur desquestions d’appréciation, des choixstratégiques ou d’opportunité. Uneclause par laquelle les parties aurontrecours à l’aide d’un médiateur externeafin de faciliter le dialogue et rechercherune solution amiable est certainementà recommander. En cas d’échecde la médiation, les parties peuventsoumettre leur différend à un « comitéde sages », ou à un conciliateur et éventuellementconvenir à l’avance qu’ilss’engageront à suivre leur avis.Si malgré toutes ces précautions, lesconflits restent sans issue, il peut êtreprévu la possibilité pour une des parties(ou plusieurs d’entre elles), d’acquérirla participation de l’autre partieou encore de vendre sa participationà l’autre partie, selon des mécanismesà fixer à l’avance, ou encore dedissoudre la société. Roland HardyAvocat associé Janson BaugnietAssistant à l’ULBMédiateur agréé en matière civileet commerciale29N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


networkingNOUVEAU CONCEPTBeci Executive InterviewsQu’est-ce que peuvent se dire des CEO’s d’entreprises de plus de 100 employés qui se rencontrent? Vous le saurez en écoutant les Beci Executive interviews.L’idée: 3 chefs d’entreprise (différents à chaque édition) invités par Beci se retrouvent deux fois par mois dans unsuperbe hôtel bruxellois pour partager le petit-déjeuner. Pendant environ 30 minutes, chacun est interviewé etfilmé par un journaliste. Ces entretiens peuvent ensuite être visionnés sur Beci TV et lus dans <strong>Entreprendre</strong>.30N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREJean-Bernard Trussart (Accor Services)Leader du marché du titre-repas, Accor Services se donnepour mission d’aider les entreprises et collectivités à améliorerleurs performances en favorisant le bien-être des salariés.Aujourd’hui, une personne active sur trois bénéficiede ces avantages.Dans cette optique de responsabilité sociale, Accor servicedéveloppe jour après jour des solutions innovantes pour accompagnerles nouveaux modes de vie. Avec leur gammede huit produits, dont l’éco chèque et la carte de cadeauxélectronique, l’entreprise travaille à la dématérialisationdu support. Cette transformation permettra de raccourcirle terme de paiement de ses utilisateurs, et de bénéficier deces avantages de manière plus confortable.Accor Services compte une centaine d’employés, répartis entre les deux agences de Bruxelles, celle d’Anvers et celle deLiège. Le volume de ses missions s’élève à 800 millions d’euros.M. Gauthier (Aurubis)Aurubis Belgium s’occupe du raffinage et du recyclage du cuivre. Il fait partie d’un groupe international, représenté dans7 pays différents. Aurubis est le premier recycleur mondial de cuivre et se classe 3ème en terme de production.La tâche de Aurubis Belgium est d’effectuer des opérations de commercialisationet des opérations de service pour l’ensemble dugroupe.L’entreprise a pour ambition de créer de nouveaux produits ayantune plus haute valeur ajoutée. Et grâce à ses propriétés physicochimiques,le cuivre offre de nombreuses opportunités. Il peut, parexemple, avoir des applications très intéressantes dans le domainemédical.Dans les années à venir, le groupe Aurubis devra affronter de nouveauxdéfis. Tels que le prix de l’énergie mais aussi la disponibilitédes matières premières.


networkingPatrick Bontinck (Martin’s Hotel)Créée il y a 25 ans sous l’impulsion de la famille Martin, la chaîne hôtelièreMartin’s Hotel a connu une expansion colossale ces cinq dernièresannées. Avec l’acquisition d’un nouveau bâtiment chaque année, l’entreprisecompte aujourd’hui 350 employés répartis dans 11 hôtels situésau nord comme au sud du pays.Martin’s Hotel se veut une alternative aux grandes chaînes standardiséesen puisant dans les richesses du patrimoine belge. La marque defabrique étant la réaffectation d’anciens bâtiments, chaque hôtel a soncachet et son identité propre. Cette exploitation de richesses est également humaine : Martin’s Hotel désire faireévoluer chaque employé au sein de la société.La clé du succès de l’entreprise est sa connaissance pointue du marché belge. Elle offre un service différent à troispublics cibles : le public loisir, les hommes d’affaires et les entreprises organisant des séminaires. Les objectifs futursvisent pourquoi pas une expansion internationale, en prenant soin de garder une implantation locale et uneparfaite connaissance du marché.M. Debussche (Mensura)Mensura est une entreprise active dans les métiers de la santé et de la sécurité au travail. Leurs clients sont des employeursbelges pour qui ils vont gérer la santé et la sécurité de leurs travailleurs.Mensura se base sur un concept unique qui combine différentes activitésde préventions. Elle va d’abord vouloir éviter les accidents. Etsi un accident survient, en qualité d’assureur accident de travail, ellemet à disposition des entreprises une caisse commune. Enfin, Mensuraaide le travailleur accidenté à reprendre le travail grâce à desmécanismes de réintégration.Mensura intervient aussi auprès des entreprises pour gérer l’absentéisme.Elle a pour volonté de combattre ce fléau moderne et rendreles travailleurs plus productifs. Comment ? En recherchant les solutionsqui feront gagner chaque partie.31N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREThierry Willemarck (Touring Club Royal Belge)Créée en 1948, l’asbl Touring Club Royal Belge regroupe aujourd’hui plus de 450.000 automobilistes belges et couvre plusde 1.250.000 véhicules en Belgique.Bien connue pour son service de dépannage, l’asbl a développé un service d’assistance à la personne. En plus de l’assistancemédicale proposée aux voyageurs, Touring vient de lancer un nouveau service d’assistance aux personnes âgées,qui leur permet d’être secourus en tout temps et en tout lieu. Résolument tourné vers ses affiliés, l’association a pourobjectif d’affiner son but social et de collectivité.Si Touring Club a rencontré le succès qu’il connaîtaujourd’hui, c’est grâce une valeur érigée en véritable dogme: l’entraide. A chaque niveau de l’entreprise, l’accent estmis sur le dialogue entre collaborateurs. L’entraide entreassociations d’automobilistes permet à Touring Belgiqued’offrir à ses membres plus de 12.000 patrouilleurs à traversle monde pour leur venir en aide.


Un présentoir Bizzbox dans votre entreprise ?bizzbox news l’actualité économique bruxelloiseCommuniquer via le réseau Bizzbox ?02 345 74 55 - info@bizzbox.beINFORMER. COMMUNIQUER.Les entreprises ont enfin leur réseau.BIZZBOXGrâce à 200 points de diffusion disséminés dans 390 entreprises à Bruxelles, les présentoirs Bizzboxdiffusent l’information économique et institutionnelle des acteurs bruxellois. Créé en associationavec Beci, le réseau veut renforcer les relations entre institutions de la capitale et promouvoir l’activitééconomique bruxelloise. La rubrique Bizzbox News entend renforcer cet objectif.FOCUS – SDRB - De nouveaux parcspour PME à BruxellesAujourd’hui, SDRBrenouvelle son offreimmobilière destinéeaux PME en proposantles parcs pour PME.En termes d’expansion économique, la SDRB fait le choix des’orienter davantage vers les PME. « La Société de Développementpour la Région de Bruxelles-Capitale leur apporte une grandevaleur ajoutée » - Philippe Antoine, Directeur général del’Expansion économique à la SDRB.32N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE« En ce début de nouvelle législature,nous sommes fiers de présenter lesnouveaux projets basés sur notre expérienceet qui tiennent compte desbesoins de nos clients et de notre régiontant en matière de rénovation urbaineque d’expansion économique »,déclare Luc Willame, Président de laSDRB.Actuellement, 261 entreprises sontinstallées sur les sites de la SDRB pourun total de plus de 17.000 emplois. En2008, la SDRB a ancré 38 entreprisesen Région bruxelloise, poursuivantainsi ses efforts pour attirer les entrepreneursdans la capitale.Action PMEAujourd’hui, SDRB renouvelle son offreimmobilière destinée aux PME enproposant les parcs pour PME. « Pournous, il s’agit d’une nouvelle approche.Jusqu’ici, nous étions concentréssur des petites structures (incubateurset centres d’entreprises) et sur des sitesd’activités industrielles pour d’importantessociétés. Dans cette optique,nous proposons des surfaces ouvertessur la base de modules de 200 à 250m 2 », affirme Philippe Antoine. Cesparcs regroupent diverses entreprisesqui ont la possibilité de travailler ensynergie.C’est en décembre 2008 que le premierprojet de parc pour PME est missur le marché : Bara-De Lijn à Anderlecht.« Nous avons alors constaté uneimportante demande, et donc un réelbesoin du marché ».La SDRB est propriétaire de différentssite en cours d’aménagement, dont unnouveau projet pour le site Gryson dela SDRB à Anderlecht. Deux autres projetspour starters et PME, soutenus enpartie par le FEDER, sont également encours de réalisation: le site Paepsemet le projet Tivoli. A titre d’exemple, leprojet Tivoli, situé à proximité de Tour& Taxis, accueillera entre autres unincubateur pour des start-ups spécialiséesdans les technologies environnementaleset l’éco-construction.En s’adressant à la SDRB, les entreprisesbénéficient d’une prise en compteglobale de leurs besoins. Trouver uneinfrastructure immobilière ne suffitplus. Aujourd’hui, la mobilité est lepremier obstacle, avant même la fiscalité.Les sociétés recherchent égalementla sécurité, des contacts avecd’autres entreprises et intègrent lanotion de développement durable àleur mode de fonctionnement. « Notretravail en réseau avec d’autres institutionsbruxelloises nous permetd’apporter des réponses concrètes,telles que des plans de mobilité, descrèches, des synergies, des bâtimentsplus éco-efficients… », conclut PhilippeAntoine. A cela s’ajoute un systèmed’emphytéose avantageux quiréduit l’investissement immobilierinitial des entreprises. www.sdrb.beBIZZBOX y est présent !Bon à savoirLes femmes, jeunes diplômées, conservent davantage leur emploiUne récente étude menée par le VDAB (équivalent flamand d’Actiris ou du Forem) montre que presque toutes les jeunesfemmes diplomées en juin 2007 et ayant un emploi un an plus tard, travaillent toujours en février 20<strong>09</strong>, soit en pleincœur de la crise. Celle-ci frappe quasi exclusivement les diplômés masculins. Les jeunes femmes semblent hors d’atteinte,car souvent en possession de diplômes supérieurs. L’activité, dans des secteurs moins sensibles à la conjoncture,semble être aussi une explication à cette tendance. À peine 1% des jeunes femmes diplômées ont perdu leur emploi entre2008 et 20<strong>09</strong>. Chez les jeunes gens diplômés de la même année, 28 % ont perdu leur emploi entre juin 2008 et février20<strong>09</strong>. (Source : VDAB)


l’albumRetrouvez sous cette rubrique toutes les photos des événements organisés par <strong>BECI</strong>12.000 participants au Job Day Europe12.000 participants, 40 employeurs avec des centaines d’offres, 31 pays européens,40 stands d’informations et des ateliers pratiques : le Job Day Europe du 3 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong>au Berlaymont était un grand succès.«Job Day Europe montre l’engagement de l’UE à créer del’emploi pour les Européens dans cette période d’incertitudeéconomique », a indiqué José Manuel Barroso, présidentde la Commission Européenne. « L’événement a misen évidence les avantages de la mobilité professionnelleen Europe et à offert une opportunité de contact directavec les entreprises. L’initiative est particulièrement destinéeaux jeunes, qui subissent de plein fouet les effets dela crise sur le marché du travail. Au Job Day Europe, 95%des employeurs présents se sont déclarés extrêmementsatisfaits de la qualité des candidats qu’ils ont rencontréset ont d’emblée indiqué qu’ils contacteront environ 40%d’entre eux pour une deuxième entrevue. »Job Day Europe est organisé par la Commission Européenneet le Portail européen sur la mobilité de l’emploi EURES, dansle cadre des Brussels Job Days et des European Job Days.Infos : www.jobdays.euRoel Veyt© Fred Guerdin/ReportersVice-Première Ministre Joëlle Millequet,ministre bruxellois Benoît Cerexhe et Jean-Claude Daoust,vice-président <strong>BECI</strong>.33N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE95% des employeurs sont satisfaits de la qualitédes candidats.José Manuel Barroso, président de la CommissionEuropéenne.Job Day Europe est organisé par la CommissionEuropéenne.Selor, un des 40 employeurs présent au Job Day Europe.


Bruxelles,ville portuaireau cœurde l’Europe.Situation privilégiéeSitué à 5 heures de navigation d’Anvers (deux éclusesseulement sont à franchir depuis la mer), le port deBruxelles offre une accessibilité exceptionnelle à lanavigation fluviale et maritime jusqu’à 4.500 tonnes.Sa localisation géographique est d’autant plus privilégiéeque le domaine portuaire est situé au centred’un réseau dense d’autorouteset de voies ferrées. Le Port deBruxelles dispose de 160.000m 2 de surfaces d’entreposageau centre TIR, dans desentrepôts situés à 5 minutesdu centre de Bruxelles.Un terminal à conteneursest opérationnel à l’avantport.Son implantation aété conçue comme unoutil intégré dans lesréseaux transeuropéensde transport. Prévu pourdesservir les quatre modesde transport présents surle site portuaire - fluvial,maritime, rail et route - il traite les deux filièresde trafic intermodal : les conteneurs maritimeset le transport combiné rail/route.13.000Bénéficiant d’un hinterland de plus de2 millions d’habitants, le domaine portuairebruxellois représente un poids économique important: 300 entreprises génèrent 13.000 emploisdirects et indirects, un trafic annuel de plus de22 millions de tonnes de marchandises, dontprès de 8 millions par la voie d’eau.Autant d’atouts qui font de Bruxelles uneplate-forme logistique performante au centredes réseaux européens.Graphisme: ACG BruxellesPlace des Armateurs, 6 B- 1000 BruxellesTel. : + 32 2 420 67 00 - Fax. : + 32 2 420 69 74Email : portdebruxelles@port.irisnet.beSite web : http://www.portdebruxelles.be


Transport & MobilitéLa géolocalisation évolue 35BILC : sortir du débat pour avancer 38Fiscalité des déplacements 41Green mobility chez Europcar 42Herman Vyverman 43Brussels Airport : le terminal lowcostest prévu pour cet hiver 45Le courrier express de la Poste se renforce 48Actiris s’engage sur la voiede la mobilité interrégionale 49© PhotoAlto/ReportersDOSSIERGESTION DE FLOTTELa géolocalisation évolueLa gestion de flotte en temps réel élargit sa gamme de services. Ainsi, les derniers systèmeslancés sur le marché permettent aux entreprises d’améliorer la communication avec sonpersonnel sur la route, mais aussi d’éliminer la paperasserie et les appels téléphoniques.Que ce soit Masternaut ou Daf Telematics, la communication bidirectionnelle assure unsuivi en temps réel mais aussi un portail de gestion et un outil d’envoi de messages etmissions en continu.35N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREEn cas de vol, le tracking aide la police à retrouverle bien dérobé.Conditions légalesLes boîtiers de géolocalisation intègrentle GPS et une carte SIM avecun abonnement data pour envoyeret recevoir les données nécessairesà toutes les prestations rendues possiblespar les dernières évolutions. Ily a bien sûr le suivi des véhicules etchargements, qui s’affichent sur unportail dédié avec indication de l’heure,de la vitesse et de la position GPS.Évidemment, se pose la question dela protection de la vie privée. La législationdans le cadre de la Loi du 8 décembre1992 répond à cette question.© Jean-Michel Leligny/Photononstop/Reporters


dossiertransport & mobilité36N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREIl y a des obligations d’informationau sein de l’entreprise, de l’accordmutuel et de la possibilité de désactiverle système si le véhiculepeut être utilisé à des fins privéesou en dehors de heures de service.Par exemple, un bouton permetd’activer le mode vie privée quiempêche de voir la position duvéhicule. Les données sont seulementgardées en cas de volpour la localisation à des finsde police.Véritable communicationLe tableau de bord de ces systèmesmontre une carte localisantchaque véhicule ouchargement avec la possibilité dese focaliser sur l’un ou plusieurs d’entre eux. Il sert ausside base de communication pour envoyer des ordres demissions ou des messages. Dans le véhicule, l’employéreçoit donc les indications sur l’écran du système quifait également office de navigation. Cet écran est égale-PUBLICITÉAevz-vuos prafoisdes dififclutés à mtertede l’odrre?Voulez-vous gagner chaque jour 1,5 heure grâceà notre gestion des documents qui vous permetd’épargner à la fois du temps et de l’espace?Vous saurez tout à ce sujet en participant auWORKSHOP GRATUIT qui se tiendra dans votrerégion. Voyez sur www.aries.be/entreprendre.html« La géolocalisation n’est pasvraiment un produit, mais un gainde productivité », dit Frédéric Dubois(Eureca Mobile-Masternaut).ment l’interface pour accepter les missions et messagesou indiquer la fin d’un travail. Ainsi, dans ce cas, on diminuela paperasserie puisque le système génère un rapportautomatique ainsi que le temps de travail. Les temps d’attente,temps d’arrêt ou temps de repos sont comptabilisés.Dès lors, de nombreuses statistiques aident à optimiser laflotte.Servir les entreprisesLa géolocalisation est devenu un outil de travail pour gagnerdu temps administratif. Elle aide aussi l’utilisateuravec de multiples services comme la position des radarsen temps réels (Coyote), la position des travaux et des embouteillages,la navigation et les messages préenregistréspour accélérer les rapports de mission ou les ordres de service.C’est aussi un système d’alerte. L’employeur peut êtreaverti de l’utilisation de véhicules en dehors des temps etzones autorisés. Et puis, en cas de vol, le tracking aide lapolice à retrouver le bien dérobé. Parmi les autres possibilités,il y a l’installation d’une caméra de contrôle, l’enregistrementde tournées, le kit Bluetooth, etc. Frédéric Dubois,d’Eureca Mobile - Masternaut insiste sur le fait quela géolocalisation actuelle n’est pas vraiment un produit,mais « un gain de productivité ». Olivier Duquesnewww.aries.be


A Daimler Brand5,3 - 11,4 l/100 km • 139 - 274 g CO 2 /kmInformations environnementales AR 19/3/2004 : www.mercedes-benz.be - Donnons priorité à la sécurité.La nouvelle Classe E donne priorité à l’environnement.La nouvelle Classe E représente une avancée considérable enmatière d’écologie. Grâce à la technologie BlueEFFICIENCY,la Classe E 250 CDI n’émet que 139 g/km de CO 2et consomme 23 % de moins que la version précédente.Elle anticipe même l’avenir, en proposant une varianteBluetec déjà conforme à la future norme EURO VI, qui seraen vigueur en 2014.La nouvelle Mercedes Classe E. Consciente de l’environnement.


dossiertransport & mobilitéBILC : sortir du débat pour avancerLe BILC (Brussels International Logistics Centre) traîne à voir le jour. Il semble difficile deconcilier les différentes exigences et les philosophies politiques pour lancer réellement leprojet. Et tout d’abord sur le choix du site : le long des rives portuaires à Tour & Taxis ou àSchaerbeek formation. Même si ce dernier semble le plus approprié. Pourtant, la mise enplace d’une plateforme logistique est importante pour la région. Beci l’a d’ailleurs rappelédans son Mémorandum en insistant d’ailleurs sur son urgence.© Jan Van de Vel/Reporters38N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREBruxelles se trouve dans le plus gros entonnoir logistiqueau monde à cause des ports de Zeebrugge, Anvers, Rotterdam etAmsterdam, comme Katoen Natie a bien compris.Vision à long termeSelon M. Frans De Keyser, Conseillergénéral chez Beci, « créer ce genred’infrastructure est un projet quiprend entre 10 et 15 ans pour sa miseen place, soit trois législatures. » Insistant« si on dit non maintenant, ilfaut 10 à 15 ans minimum avant depouvoir dire oui ». Mais tous les problèmesautour du BILC semblent êtrela confrontation de convictions. Alorsqu’il faudrait d’abord tenir compte dela logistique dans son ensemble, sansquoi le centre logistique n’apparaîtpas réaliste. « Ce n’est pas une optionde penser logistique en se cantonnantà Bruxelles-Village ». La problématiquedépasse clairement les frontièresde la Région. Et puis, il y a des impératifsliés au fonctionnement même dutransport de marchandises.Frans De Keyser est partisan d’uneinstallation à Schaerbeek formation.« Cette zone de 40 hectares doit êtredédiée dans son entièreté en zonelogistique ». Car il existe une surfacecritique nécessaire au bon fonctionnementd’une telle plateforme. Etpuis, surtout, « il faut l’intégrer dansla chaîne logistique, dans son ensemble» et favoriser ainsi la multimodalitéroute, rail, voie d’eau. Cettemultimodalité ne peut fonctionnerque si le site est bien pensé et bienconstruit. Pour cela, il faut inclure lecamion dans ce concept. Ainsi, la visionlogistique où le port de Bruxellesjouerait le rôle central serait une stratégierisquée car on perdrait de vue80 % des autres éléments. Il faudraitéviter de jouer une sorte de rivalitébateau-camion. D’ailleurs, le débatautour de Tour & Taxis est fortementaxé autour de cette philosophie anti-camion.Avec comme paradoxequ’une plateforme logistique tropprès du centre-ville pourrait encoreattirer davantage de poids lourds àproximité du cœur urbain.Position importanteBruxelles se trouve dans un couloirextrêmement dense, dans le plusgros entonnoir logistique au monde àcause des ports de Zeebrugge, Anvers,Rotterdam et Amsterdam. On y déversequotidiennement des millionsde biens qu’il faut ensuite transporterpar route, par rail, par voie d’eau, parpipelines ou parfois par avion. FranckDe Keyser rappelle donc la nécessitéde réfléchir sur la manière d’intégrerles besoins méga-urbains de Bruxellesdans un flux logistique gigantesque.« Les liens avec les autres régionssont fondamentaux d’autant qu’il n’ya pas assez de place à Bruxelles pourdévelopper une plaque tournante logistique». Il faut donc être cohérentavec ce qui se fait ou se fera à Vilvoorde.« Développer le BILC ne se résumepas à l’aménagement de Schaerbeekformation, cela implique aussi d’intensesnégociations avec Vilvoorde »et même au-delà. Et de conclurequ’en l’absence d’une vraie politiqueambitieuse en logistique, Bruxelles «risque de voir des opérateurs la quittersi la Région ne développe pas deréelle politique à long terme ». Olivier Duquesne


CITROËNNEMOwww.citroen.beLA MÊME PASSION DEPUIS DES GÉNÉRATIONSDéjà un nouveau Citroën Berlingo 1.6i 16v 90 court à9.300€ HTVA (1) Prime de recyclage de 700€ HTVA déduite. (2)CITROËN NEMODéjà un CitroënNemo fourgon 1.4i à20<strong>09</strong>CITROËN BERLINGO FIRSTDéjà un CitroënBerlingo First 1.4i 600 kg à“Les offres (1) et (2) sont sous conditions et valables en <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong>. Plus d’informations sur www.citroen.be”CITROËN JUMPYDéjà un Citroën Jumpy fourgontôlé L1H1 1.6 HDi 16v 90 1000 kg àCITROËN JUMPERDéjà un Citroën Jumper Easy One30 L1H1 2.2 HDi 100 à7.230 € HTVA (1) 7.075€ HTVA (1) 13.470€ HTVA (1) 14.830€ HTVA (1)Prime de recyclage dePrime de recyclage dePrime de recyclage dePrime de recyclage de700€ HTVA déduite. (2) 700€ HTVA déduite. (2) 900€ HTVA déduite. (2) 900€ HTVA déduite. (2)EN OCTOBRE, REMISES LÉGENDAIRESSUR TOUS LES UTILITAIRES


ProfilRauwers à nouveau partenaire pionnieren sécurité de bordDepuis que la technologie offre des solutions à la fois performantes et abordables pour augmenterla sécurité des véhicules, Rauwers s’est prolé comme partenaire de conance, tantpour les constructeurs que pour les gestionnaires de tous types de ottes. Après les limiteurs devitesse, à l’époque où la principale cause d’accidents mortels sur nos routes était liée aux dépassementsdes limites autorisées, les tachygraphes électroniques, quand les risques de fatigueexcessive des routiers sont devenus une réelle inquiétude, et tous les systèmes de signalisationlumineuse, le spécialiste en équipements de sécurité lance maintenant sur les marchés belgeet français l’Alcolock, l’éthylotest qui empêche le démarrage du véhicule en cas de détectiond’un taux d’alcoolémie trop élevé chez le conducteur du véhicule.Ce petit appareil, de la taille d’une télécommande,est doté de la même technologieque celle utilisée dans les appareilsde contrôle de la police nord-américaine.Sa précision et sa fiabilité sont telles queles constructeurs de véhicules acceptentde les installer au moment de l’assemblage,en tant qu’équipement optionnel,par exemple. Néanmoins, l’installationpeut s’effectuer rapidement sur une voitureou un poids lourds déjà en circulation.Heureusement ! Depuis, le 1er avril20<strong>09</strong>, en effet, la CCT 100 oblige toutesles entreprises belges à préparer un plande prévention en matière d’alcoolismeet de prise de drogues, avec une entréeen vigueur au 1er avril 2010. A cette date,tout patron qui manque à cette obligationse verra considéré comme compliceaux yeux de la loi, en cas d’accident commissous l’influence de l’alcool. L’Alcolokpeut constituer un élément fiable de ceplan.Tout a, en effet, été prévu pour garantirune facilité d’emploi et une sécuritéaccrue. Par exemple, si l’appareil empêchele démarrage du véhicule avant lavérification de l’haleine du chauffeur, iln’oblige pas à une manipulation de longuedurée – 5 à 25 secondes par test -, nine ralentit des courses à arrêts répétésgrâce à sa mémoire de validité. En revanche,dès que le véhicule s’est trouvéà l’arrêt pendant une heure minimum,RauwersT +32 2 240 <strong>09</strong> 00F +32 2 216 05 25info@rauwers.bewww.rauwers.beAlcolock, l’éthylotest qui empêche le démarrage du véhicule en cas de détectiond’un taux d’alcoolémie trop élevé chez le conducteur du véhicule.le test est à repasser avant de pouvoir repartir.Par ailleurs, l’Alcolok n’interromptpas la marche du moteur, il en empêcheuniquement le démarrage. En outre, sil’employeur souhaite programmer destests-surprise, par exemple auprès dechauffeurs à risques, il est libre de lefaire. Le chauffeur qui s’y refuse peutcontinuer sa route, mais il ne pourrapas redémarrer après son prochain arrêtet, pire peut-être, son employeur seranotifié du refus de passer le test. Enfin,des paramètres de contrôles tels que lapression du souffle, la température et lescomposants chimiques de l’échantillonvérifient, sous peine de non fonctionnement,qu’il s’agit bien d’une haleinehumaine.La sécurité et le matérielroulantEquipements lumineux et sonores pour véhiculesutilitaires, sirènes et haut-parleurs, tachygraphes,taximètres, horodateurs, radars préventifs…la listedes produits promus, installés et entretenus parRauwers est longue mais elle se rapporte toujoursà deux éléments: la sécurité et le matériel roulant.L’entreprise familiale agit autour de quatredivisions : contrôle, fleet management, signalisationet gestion du stationnement. Elle possède, enBelgique, deux centres de services propres, ainsiqu’un réseau d’installateurs agréés en Belgiqueet en France. Plus qu’une longueur d’avance, unatout imbattable.Rauwers se charge, par l’intermédiairede son réseau de partenaires répartisdans toute l’Europe, de fournir et d’installercet appareil, mais peut aussi, commepour ses autres produits, organiserdes séances de formation pour les utilisateurs.Pour que la lutte pour la sécuriténe soit pas une expression vaine.


dossier transport & mobilitéLa fiscalitédes déplacements© Jimmy Kets/ReportersLe leitmotiv des gouvernements européens est clairement de favoriser une mobilitédiminuant l’empreinte CO2. Mais, ces mesures se montrent complexes, tout autant quevariées. Même un spécialiste fiscal doit réfléchir à deux fois avant de communiquer dansce domaine. En tout cas, une chose est sûre : en Belgique on fait tout pour nous aider àaimer le vélo. Du moins fiscalement.41Nous avons rencontré AmélieCardyn, mobility consultantchez Traject, un bureaud’étude spécialisé en mobilité, baséà Bruxelles et Gand. Cette sociétédéveloppe notamment des plans demobilité tenant compte du point devue de l’usager, y compris celui desentreprises. Tout d’abord, il est bonde rappeler que depuis le 1er avril2008, la déductibilité fiscale de l’ensembledes véhicules de société estliée à leur émission en gaz carbonique.On remarque que plusieurs sociétésintroduisent la contributionCO2 dans le budget leasing alloué aupersonnel. Et comme les marques sesont vite adaptées à cette nouvellesituation, puisqu’internationale, l’offrede véhicules reste intéressante etvariée. Tout au plus, le bénéficiaire duvéhicule de société devra-t-il choisirun moteur de moindre cylindrée ourenoncer à une option.Train+auto ou covoiturageL’accord interprofessionnel le plus récent(qui doit encore être traduit danscertaines CCT), augmente l’interventionde l’employeur dans les frais dedéplacement en transports en commun.Ainsi, actuellement il est d’environ60 % pour un abonnement trainde 2 e classe. Il passera à 75 %. Il estégalement possible de combiner lavoiture de société à un abonnementde transports en commun. Le droitfiscal actuel permet bien de cumulerla voiture et le remboursement, parl’employeur, d’un abonnement detrain ou de bus/tram/métro pour lesdéplacements domicile-travail. Leremboursement de l’abonnementsera exonéré à 100 % et il n’y aura pasde taxation supplémentaire. L’employeurgarde son budget en équilibregrâce à la réduction des frais, commele carburant, et en réduisant le budgetleasing puisque le nombre de kmbaisse. Il existe également la formuleRailease, un contrat de leasing de voitureincluant 60 billets de train valablestoute une journée.Le gouvernement pense aussi à favoriserle covoiturage. Normalement, àpartir de 2010, les travailleurs qui sedéplacent au travail en voiture aurontdroit à une exonération de 350 eurossur l’indemnité domicile-travail. Maissi l’entreprise organise un véritableservice de covoiturage, l’exonérationpeut être totale. Il faut pour cela qu’elleréponde à certaines conditions, commeétablir une convention de covoiturageet une liste des covoitureurs.Le droit fiscal actuel permet bien decumuler la voiture et le remboursement,par l’employeur, d’un abonnement de train.Tous à véloLà où les entreprises ont tout à gagner,c’est d’investir dans le vélo. Toutd’abord, le montant de l’indemnitécyclable non taxée passe de 0,15 €/kmà 0,20 €/km. Ce montant est entièrementdéductible pour l’employeur etexonéré d’impôt pour le travailleur.L’indemnité cyclable non taxée peutêtre cumulée avec un abonnement detrain exonéré si on combine le trainet le vélo pour aller au travail. L’entreprise,elle, a droit à une déduction à120 % pour tout investissement lié àla promotion du vélo pour les déplacementsdomicile-travail. Cela passepar le parking ou le garage vélo, ladouche ou le vestiaire pour se changer.Autre nouveauté : une sociétéqui donne un vélo à un travailleurpour le trajet domicile-travail pourraégalement déduire cette dépense à120 %. Et pour le travailleur, ce n’estplus considéré comme un avantageen nature. Bref, avec le vélo, 1000euros investis permettent d’en déduire1200. Olivier DuquesneN° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


dossiertransport & mobilitéLa Nissan Leafsera la première berline électriqueà être commercialisée en Belgique.GreenMobilitychezEuropcar42Europcar, société leader de la location de voitures en Belgique et en Europe, va collaboreravec Nissan pour louer, dès fin 2010, la Leaf, une voiture 100 % électrique. Cette opérationse tiendra dans huit pays, dont la Belgique. L’occasion pour les particuliers et lesentreprises de découvrir une berline exclusivement mue par l’électricité.N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREEuropcar n’hésite pas quand ils’agit de valider la couleur vertede son logo. Le loueur avaitdéjà entrepris plusieurs démarchespour réduire son empreinte CO2. EnFrance, par exemple, il a été la premièresociété de location à proposerde véhicules au GPL (LPG) dans sonparc. En 2008, il a démarré le processusde certification ISO 14001 et afortement réduit son utilisation dupapier. Et puis, Europcar mesure tousles 6 mois le taux de CO2 moyen deson parc. Les voitures louées par cettesociété ont entre 4 et 8 mois d’âgemoyen. Elles profitent donc des dernièrestechnologies environnementales.Ainsi, il est sous les 140 g/kmen 20<strong>09</strong> et sera sous les 130 g en 2012.Une diminution plus rapide que prévuepar les normes européennes.Nissan LeafLe loueur va franchir un pas supplémentaireen accueillant dans sonparc, dès l’arrivée du modèle en Europe,la Nissan Leaf. Cette berlineressemble à n’importe quelle voiture,sauf qu’elle n’a pas besoin de pétrole.Elle roule uniquement à l’électricité,se rechargeant sur une prise classique.Son autonomie d’un peu plus deLes voitures électriques en 2010150 km lui permet de répondre auxdéplacements quotidiens de la plupartdes automobilistes (trajet domicile-travail).En la louant à court terme,Europcar entend populariser unnouveau mode de propulsion. Nissansouhaite évidemment séduire par cebiais puisque les véhicules loués apporterontde la visibilité.Le projet démarrera avec 30 à 50 voituresen Belgique. Ce sera une exclusivitéEuropcar. Hormis les amateursde nouveautés et les automobilistesà la fibre verte, cette location courtterme intéresse aussi, selon Didier Fenix,Managing Director d’Europcar enBelgique, de nombreuses entreprisesà ligne écologique. Olivier DuquesneLa Nissan Leaf sera la première berline électrique à être commercialisée cheznous. Cette cinq places de 4,44 m de long n’utilisera aucune goutte de pétrole.Pourtant, elle a les compétences d’une voiture classique avec son moteur électriquede 80 kW (équivalent à 107 ch). Elle peut rouler à 140 km/h. Par contre,son autonomie reste limitée à 160 km. Toutefois, cette distance couvre généralementles trajets quotidiens. Pour la recharge des batteries lithium-ion, cela sefait sur une prise standard en plusieurs heures. Il y a une possibilité de chargerapide (80 % en 30 minutes).Le marché des voitures électriques va s’ouvrir à l’horizon 2011. Au récent salonde Francfort, pratiquement tous les constructeurs présents avaient leur modèleen exposition. Et certains ont déjà dépassé le stade du prototype. Peugeot lancerala iOn, clone français de la Mitsubishi I-Miev déjà commercialisée au Japon.Renault, partenaire de Nissan, a également toute une gamme en préparationpour 2011. BMW compte sur la Mini électrique et Daimler vient de lancer dessmart électriques dans des flottes test. Daimler (Mercedes-Smart) s’est associéau grand spécialiste du genre : Tesla. Cette marque californienne prépare uneberline avec plus de 300 km d’autonomie. Opel et Chevrolet, devraient bientôtproposer les Ampera et Volt, des voitures électriques dotées d’un moteur thermiquejouant le rôle de générateur. Ces deux là auront une autonomie comparableà celle d’un turbo Diesel.O.D.


dossier transport & mobilité© ReportersCOMMUNAUTÉ PORTUAIRE BRUXELLOISEHerman Vyverman tient un fervent plaidoyerpour la logistique multimodaleDepuis l’accession de Herman Vyverman à la présidence de la Communauté portuaire bruxelloiseHerman Vyverman, (CPB) en 2008, cette organisation a déménagé dans un nouvel immeuble au style beaucoupprésident de la Communauté plus attrayant et le nombre de ses membres a augmenté de 15%. « Nous avons travaillé dur àPortuaire bruxelloise.la représentation/au lobbying des entreprises dans le cadre des négociations avec le Cabinet etavec les autorités portuaires, ainsi qu’à notre visibilité, » déclare-t-il. « Grâce à notre plan de communicationambitieux et le prochain lancement d’un réseau club, nous sommes à nouveau sous les feux de l’actualité.Nous développons également un nouveau logo et un nouveau site web. Ce ne sont naturellement pas des butsen soi, mais des moyens de veiller à ce que le port puisse jouer un rôle-clé dans le plan d’avenir BMR 2018. »La création d’un centre de distribution logistique – leBILC (Brussels International Logistics Center) – estactuellement bloquée par des discussions politiques,ce qui ne freine toutefois pas l’enthousiasme de HermanVyverman. « L’emplacement exact d’un tel centre logistiquen’est pas le point le plus important. En revanche, il estessentiel qu’il soit implanté dans le périmètre du port etdans les plus brefs délais. Des entretiens constructifs sonten cours à propos d’une superficie d’environ 50 ha sur le sitede Schaerbeek-Formation, mais celle-ci sera disponible auplus tôt à partir de 2019… »évidemment du pain sur la planche. Je pense notammentau réaménagement de l’avenue du Port et à une meilleurecollaboration avec les ports d’Anvers et de Charleroi. Demême, la proposition visant à surélever le nombre de pontsafin de pouvoir accueillir des bateaux plus grands reste entête de nos priorités. La crise est en effet responsable d’unrecul de 20% des activités d’importation et d’exportation.Nous mettons tout en œuvre pour rapidement inverser latendance. » Geert Degrande43« La logistique multimodale, axée non seulement sur letransport fluvial mais aussi sur le transport routier et ferroviaire,constitue en fait le moteur de l’avenir économiquede la région bruxelloise. C’est pourquoi BMR 2018, le pland’avenir pour la région lancé à la fin de l’année dernière parBeci, la VOKA, l’UWE et la FEB, accorde énormément d’importanceà ces aspects. » Dans l’attente d’une vraie étudeglobale en matière de logistique, organisée en collaborationavec les différents protagonistes, la CPB ne reste cependantpas les bras croisés. « Notre visibilité s’est considérablementaméliorée, » indique Herman Vyverman. « Notre collaborationavec Laurence Bovy, la présidente du port, et avecla ministre Brigitte Grouwels est également fructueuse etgénère des résultats dont nous pouvons être fiers (nouveaucontrat de concession, politique de transparence, implication,etc.). Depuis le début de l’année, nous avons égalementobtenu un siège d’observateur au Conseil d’administrationdu Port de Bruxelles. Ainsi, nous pouvons dès à présent vousannoncer que Katoen Natie deviendra un nouvel acteurmajeur dans le Port de Bruxelles, peut-être dès 2010 déjà.Et dans le domaine de l’emploi, le port montre que nouspouvons répondre audit paradoxe bruxellois via le Centrede référence Iris-tl. »Le fait que le port parvienne à s’intégrer de plus en plus harmonieusementdans le paysage urbain représente une évolutionpositive, estime Herman Vyverman. « Grâce à l’implantationde l’école de voile dans l’avant-port et de la zonede récréation à l’endroit où une piscine avait d’abord étéprévue, le port s’inscrit dans le paysage urbain. Mais il reste


Profilbmi ou comment les voyages d’affaires peuventaussi être agréablesbmi est la deuxième compagnie aérienne à Londres Heathrow, l’un des aéroports les plus fréquentésau monde. Au départ de Bruxelles, bmi offre des vols directs vers Londres Heathrow(jusqu’à 6 vols par jour), vers Edimbourg (jusqu’à 3 vols par jour), vers Leeds-Bradford (jusqu’à 3vols par jour) et vers East Midlands (jusqu’à 2 vols par jour).Depuis Londres Heathrow, bmi permet également aux passagers des connections au sein duRoyaume-Uni, vers l’Irlande et à destination du Moyen-Orient, de l’Asie centrale et de l’Afrique.et pour se rafraîchir. bmi Number OneHeathrow est accessible aux passagersvoyageant en business class ou ceuxdisposant d’un ticket flexible economy,Diamond Club (Silver et Gold) etaux membres Star Alliance Gold quivoyagent vers des destinations internationalesde bmi.Les passagers arrivant après un volmoyen-courrier, peuvent aussi profiterdu confort du lounge à l’arrivée (arrivallounge) à Londres Heathrow.Ces dernières années, bmi n’a paslaissé son offre en reste et un ensembled’accords de partage de codes ontassuré que la compagnie puisse égalementprésenter une large variété devols transatlantiques. Son offre versle Royaume Uni au départ de Bruxelless’est encore élargie grâce à un accordde partage de code avec BrusselsAirlines. Les passagers bmi peuventmaintenant aussi réserver des volsdirects au départ et vers Newcastle,Manchester, Birmingham et Bristolvia flybmi.com.bmi est aussi membre de Star Alliance,le plus grand réseau de compagniesaériennes dans le monde entier, crééen 1997 pour offrir aux voyageurs dumonde une expérience agréable. StarAlliance offre un total de 17.000 volsvers 916 aéroports de 160 pays.Rapidité, confort et serviceEn 20<strong>09</strong>, bmi a consolidé ses activitésau Terminal 1 de Londres Heathrow,facilitant la correspondance des passagerset accélérant aussi les procéduresd’enregistrement. Les passagers encorrespondance à Londres Heathrowperdent dès lors moins de temps dansde longues formalités de contrôle,de douane et de bagages. A LondresHeathrow, bmi offre également à sespassagers en business class la possibilitéde profiter de la procédure d’enregistrement30 minutes, qui leur permetde s’enregistrer 30 minutes avantleur départ sans prendre le risque derater leur vol.Tous les passagers voyageant en businessclass ou en premium economypeuvent se détendre entre deux volsou travailler dans un des loungesd’affaires exclusifs de bmi. Début juin20<strong>09</strong>, bmi a ouvert son nouveau loungeinternational au Terminal 1, bmiNumber One Heathrow, où le confortdes passagers est central, dans un environnementplein de style pour travailler,pour se relaxer, pour mangerbmi, better for businessLe programme de fidélité de bmi, DiamondClub, propose aux passagers undes programmes les plus généreux dumarché. Les voyageurs peuvent profiterde nombreux avantages, y comprisdes vols gratuits avec bmi ou l’une deses compagnies partenaires, des séjoursgratuits à l’hôtel, des locationsde voiture et l’accès à des lounges exclusifs.Afin de récompenser les entreprisespour leur loyauté, bmi a développéCompany Rewards, un programmeflexible de fidélité qui permet aux entreprisesde profiter d’un certain nombred’économies de budget quand leursemployés voyagent pour affaires.Si vous souhaitez plus d’information àpropos des services et des destinationsde bmi, veuillez consulter le site webwww.flybmi.com.


dossier transport & mobilitéBrussels Airport :le terminal low cost est prévu pour cet hiver© Fred Guerdin/ReportersEn 2008, environ 1,2 million de passagers ont empruntéles low costs, un chiffre qui a doublé en un an.Une procédure plus longue que prévue pour l’obtention des permis de bâtir a retardé lelancement d’un nouvel aéroport distinct à Zaventem. Mais les autorités aéroportuairesespèrent toujours l’ouvrir cette année. EasyJet est ravie, mais les compagnies qui en serontexclues ne décolèrent pas.45N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREAvec 18,516 millions de passagers,The Brussels AirportCompany (BAC) a enregistréen 2008 une progression de 3,6% parrapport à l’année précédente. Malheureusementcette croissance était de 7%au cours des trois premiers trimestreset puis, le recul a été non seulementréel dès l’automne, mais il s’est poursuivien ce début d’année. Pour les actionnairesaustraliens de Macquarie(75% du capital), ce n’est pas une raisonpour freiner le développement deBrussels Airport. Au contraire, il faudraêtre prêt pour le retour de la croissance.Dès lors, le programme d’investissementpour l’année en cours portesur 55 à 60 millions d’euros.Déjà, en septembre 2008, l’aéroportavait inauguré sa nouvelle zone defree-shops dans la jetée A (ou «Pier A»)et il faut bien reconnaître qu’elle peutrivaliser avec les plus belles des aéroportseuropéens de même capacité.Cette année, une nouvelle zone de magasinshors-taxes a été inaugurée aumilieu du Pier B après les contrôles desûreté et qui répondent en particulierà la clientèle en transit. Laquelle, commeon le sait, s’est particulièrementdéveloppée avec l’arrivée des longcourriersde la compagnie indienneJet Airways qui assure pas moins desix rotations par jour à destination del’Inde et de l’Amérique du Nord.Dans la foulée, BAC a fait construiredans le Pier B de nouvelles zones derelaxation et de travail, ainsi que desemplacements pour la restauration.Comme on le sait, le long-courrier aconnu une expansion remarquable en2008. Avec 2,2 millions de passagersaccueillis à Bruxelles, les Jet Airways,Hainan (Chine), Etihad (Emirats) oules compagnies américaines et, biensûr, Brussels Airlines sur l’Afrique, ontpu afficher une progression de 43%,alors que le moyen-courrier en Europea accusé un recul de 6% (10,8 millionsde passagers), le solde ayant été assurépar les charters et les low-costs.Cette année, d’autres grands travauxsont prévus dans les zones publiquesde départ. Outre ceux consentis pourune meilleure mobilité dans la déposedes passagers à l’extérieur, laBAC prévoit de construire une zoned’enregistrement entièrement dédiéeaux charters et s’apprête à rapatriertous les restaurants qui se situent au


dossiertransport & mobilité46N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRELa nouvellezone de freeshopsdans lajetée A peutrivaliser avecles plus bellesdes aéroportseuropéens.© Fred Guerdin/Reportersniveau de la «Promenade» vers l’étagedes check-ins. Ils auront tous une vuesur les pistes.17 millions pour les low-costsCela dit, le tout grand chantier deBrussels Airport est la constructiond’un nouveau terminal low-cost (LCT)dédié entièrement aux compagniesà bas prix. Il s’agira plus exactementd’un aéroport complètement distinctde celui qui existe avec zones de départet d’arrivée exclusives. Commetous les transporteurs peuvent revendiquerla vente de billets à bas tarifs,la BAC a dégagé les spécificités de cequ’elle considère comme étant unecompagnie low-cost. Elles doivent assurerdes liaisons point à point (sanspossibilité de transit, donc), avoir destemps de rotation entre l’arrivée et ledépart de 30 minutes au maximum etse contenter d’un service minimum.Si ce principe est respecté les redevancesaéroportuaires pourraientêtre plus basses, par exemple de l’ordrede 6 euros.Les travaux dans l’ancien terminal(Pier C) qui date de 1958 ont démarré.La jetée comptera dans un premiertemps six portes d’embarquementpouvant accueillir une cinquantained’avions par jour et la capacité duLCT sera de 4 millions de passagerspar an. En 2008, environ 1,2 millionde passagers ont emprunté les lowcosts,un chiffre qui a doublé en unan! Pour Brussels Airport, il est horsde question d’ignorer ce secteur quidraîne un pourcentage non négligeablede passagers dans les aéroportsconcurrents: d’environ 12% à Milan à29% à Düsseldorf ou 32% à Manchester...pour à peine 6% chez nous.Or la compagnie anglaise EasyJet atoujours dit qu’elle privilégierait lesUn terminal rien que pour Star Alliance?Jusqu’à la fin de l’année dernière, la jetée A (dite «Pier A») à laquelle on accèdepar un tunnel sous le tarmac, était dévolue aux vols de la zone Schengen, le PierB étant réservé aux vols intercontinentaux ou... vers la Suisse. Pourtant, le traficintercontinental se développant, surtout grâce à Jet Airways, on commençait às’y sentir à l’étroit. Aussi, a-t-il été «proposé» à Brussels Airlines de déménagerses vols africains vers le Pier A. Avec une subtilité: ses Airbus A330 débarquentles passagers au Pier B en connexion directe avec le bâtiment principal, mais lesavions migrent alors vers le Pier A pour les départs.Brussels Airlines a mal pris la chose dans un premier temps car cela demandaità ses passagers vers l’Afrique de devoir se rendre littéralement «à l’autre bout»de l’aéroport. Mais, avec le recul, la compagnie a estimé que c’était un avantage,en particulier pour sa clientèle en transit de et vers les escales européennes etqui est généralement plus pressée que celle qui s’enregistre à Bruxelles. En parfaitecoordination avec Brussels Airport, une zone «africaine» dite «zone T» a étéaménagée avec contrôles de sûreté amovibles puisqu’on passe en territoire non-Schengen et un tout nouveau «lounge» pour la clientèle d’affaires a été aménagéavec douches et salon de repos.Voilà donc que la plupart des vols de Brussels Airlines (vols non-Schengen européensexceptés) partent du Pier A. Pourquoi ne pas imaginer - un vieux rêve! -que la compagnie belge dispose de son propre terminal? Mais, comme on le sait,en septembre 2008, Brussels Airlines a signé un accord avec la Lufthansa pourune entrée à hauteur de 45% dans son capital. Cet accord lui a ouvertes toutesgrandes les portes de l’alliance «Star», la plus grande du monde. Du coup, la réflexionprend de la substance. Pourquoi pas un terminal entièrement dédié auxcompagnies membres de Star Alliance, comme cela existe dans d’autres grandsaéroports?La direction de Brussels Airport envisage sérieusement la question et étudiepour l’instant les aspects pratiques d’une telle opération. Les difficultés techniquessont nombreuses, mais rien n’est impossible, en définitive. Dans la foulée,le Pier A pourrait devenir une véritable plate-forme européenne de Star pourtous les vols africains qu’assurerait Brussels Airlines. Tout le monde y trouveraitson intérêt.aéroports qui lui offrent les meilleurstarifs pour le service minimum dontelle a besoin. Même son de clochechez Vueling ou Flybe. Autant direqu’EasyJet a applaudi en apprenantla décision de la BAC. Elle évoquaitl’année dernière «un pas dans labonne direction» pour favoriser lacroissance qui ne provient que «decompagnies efficaces». Certes, lescompagnies traditionnelles - charterset régulières - parlent de discriminationet craignent une cannibalisationde leur propre clientèle, mais BrusselsAirport a bien l’intention d’allerde l’avant car il est hors de questionpour sa direction d’ignorer un segmentdu marché qui connaît la plusforte progression, spécialement entemps de crise. Patrick AnspachP.A.Brussels Airport ne veut pas ignorer le lowcost,le segment du marché qui connaît la plus forte progression.© Jan Van de Vel/Reporters


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dossier transport & mobilitéACTIRIS S’ENGAGE SUR LA VOIE DE LA MOBILITÉINTERRÉGIONALE« Les demandeurs d’emploi bruxellois doivent avoirla possibilité de travailler dans d’autres régions »Le taux de chômage élevé à Bruxelles est un mal permanent qui va de pair avec la difficulté detrouver des candidats pour occuper les fonctions critiques dans le Vlaamse rand (la périphérieflamande). Le VDAB, le Forem et Actiris cherchent donc ensemble depuis plusieurs années dessolutions pratiques permettant résoudre ce problème. Grâce à des actions ciblées en vue de s’attaquerà la problématique en matière linguistique et de mobilité, un plus grand nombre de demandeursd’emploi a récemment décroché un poste en Flandre. Le plan d’action « mobilité interrégionale 20<strong>09</strong>-2010 » se doit de poursuivre cette tendance. « Les déclarations grandiloquentes sont inutiles » déclareMark Trullemans d’Actiris. « Nous cherchons à identifier précisément les problèmes et tentons d’yapporter une solution pratique, comme nous l’avons toujours fait jusqu’à présent ».Le VDAB milite activementauprès des employeurs de la périphérieafin de les encouragerà accueillir les demandeurs d’emploibruxellois. « Le but de cette démarcheconsiste à ce que le VDAB diffuse1 000 offres d’emploi par an », ajouteMark Trullemans. « Nous multiplionsdonc les chances par trois de trouver lecandidat idéal. En ce qui concerne lesfonctions critiques à Bruxelles, nousles enregistrons tout simplement.Nous assurons un suivi actif des offrespour les professions dites prioritaires(chauffeurs, horeca, magasiniers, nettoyage,collaborateurs administratifset vente) et nous mettons les demandeursd’emploi bruxellois en contactavec les entreprises concernées. Lesystème de jobdating va encore plusloin. Celui-ci prévoit en effet l’organisationde rencontres collectives chezun ou plusieurs employeurs proposantdifférents postes dans une communede la périphérie bruxelloise. Lesdemandeurs d’emploi peuvent égalementprofiter de l’occasion pour évaluerprécisément le temps nécessaireà leur déplacement quotidien ».Entre <strong>octobre</strong> 2007 et juin 20<strong>09</strong>, à l’issuede 7 830 mobilisations des demandeursd’emploi bruxellois, 1 950 postesvacants de la périphérie ont ainsi trouvépreneur. Ces chiffres ne prennentpas en compte les intérims ni les fonctionsau sein de grosses entreprisestelles que Carrefour et Colruyt car onne sait pas toujours clairement dansquelle succursale la personne engagéeest envoyée. « Je ne me risquerais pasencore à affirmer que ce chiffre est unsuccès retentissant » poursuit modestementMark Trullemans, « mais noussommes sur la bonne voie. Il sembleque nos ambitions se concrétisentcar nous constatons que davantagede demandeurs d’emploi bruxelloisdécrochent un job dans la périphérieflamande. Et ce n’est pas l’enquête récentesur le nombre de navetteurs quime contredira : les déplacements entreBruxelles et la Flandre ont augmentéde 20 % ! ».Le nouveau plan d’action va égalementdans ce sens mais demande plusd’efforts en matière d’encadrementet de mobilité. Et Mark Trullemans depoursuivre : « Les formations font parexemple la part belle à l’interaction,permettant ainsi aux formateurs duVDAB de dispenser des formationsà Bruxelles Formation et vice versa.Nous nous efforçons d’adapter les formationstechniques et linguistiquesaux besoins des employeurs. Noustentons aussi d’inciter les employeursde la périphérie flamande à être moinsexigeants en matière de bilinguismeet nous sommes heureux de constaterqu’ils sont de plus en plus conciliants àcet égard »Ils entendent certainement auprès deleurs collègues que les demandeursd’emploi bruxellois moins qualifiés quiActiris asssure un suivi actif des offrespour les professions dites prioritaires, comme chauffeurs.exercent une profession en périphérieflamande s’en sortent très bien, mêmes’ils ont au début éprouvé quelques difficultésen néerlandais ». Actiris resteégalement à la recherche de solutionspratiques en matière de mobilité. « Onne peut décemment accepter qu’undemandeur d’emploi résidant chausséede Mons à Leeuw-Saint-Pierre etqui trouve un emploi en Flandre bénéficied’un abonnement gratuit pourses déplacements avec De Lijn, alorsque son voisin qui habite à quelquesmaisons de chez lui mais dans la communed’Anderlecht doive quant à luise contenter d’une carte de 10 voyagesde la STIB. Cette inégalité ne doitplus exister. Nous devons aussi nousconcerter avec les organismes responsablesdes transports en commun afinde prévoir des solutions pour les personnesqui travaillent de nuit ou quidoivent par exemple rentrer à Bruxellesaprès 23 heures » conclut MarkTrullemans. Geert Degrande49N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE© Eric Herschaft/Reporters


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SécuritéUn plan de continuité d’activitépour toutes les entreprises 51Qui dit crise dit fraude 53Ces caméras qui nous veulent du bien 54Protéger son personnel contre la grippe,un acte de bonne gestion 55La commission vie privée, un empêcheurde tourner en rond ? 58DOSSIER© Science Photo Library/ReportersUn plan de continuité d’activitépour toutes les entreprisesSont-elles prêtes à gérer une crise ? Ont-elles conscientisé toutes les menaces qui pèsent surleur activité : accidents du travail, incendies, explosions, mais aussi pandémie, attentats… ?Peuvent-elles chiffrer les coûts directs et les coûts cachés d’un accident grave ? Pourrontellesles assumer ? La prévention est une nécessité, l’actualité nous le rappelle tous les jours.Entretien avec Kris De Meester, de la FEB, et avec José Herbaux, de Total.Chaque entreprise, institution,gouvernement…. peut êtreexposé à une crise, naturelle,technologique ou sociale. Elle touchegénéralement plus d’une entreprise àla fois. Le but d’un plan de continuitéest de réduire l’ampleur et la durée del’impact sur les activités ou l’organisationde la société.Tous les aspects de l’entrepriseL’informatique peut s’organiser pourbasculer en cas de sinistre son infrastructuresur un second serveur afind’assurer les services vitaux. Dansune crise, d’autres composants essentielsde l’entreprise entrent en jeu : oùexercer l’activité en cas d’événementgrave ? Que faire sans ses collaborateursclés ? Prévoir les impacts d’unecrise majeure incite à se reposer lesbonnes questions.peut-on postposer ? Exemple : peutonse passer d’émettre des facturespendant deux semaines ? L’activitédes services de support peut-elle êtresous-traitée ou déplacée (comptabilité,gestion RH…). Le jour où la catastrophesurvient, le fait de l’avoir anticipéepermettra de réagir dans les plus brefsdélais. Cela passe par une distributiondes rôles, un comité de pilotage, unetask force, une check-list des personnesclés avec leurs remplaçants éventuels,internes ou externes.Quelles sont les sources d’approvisionnement? Si telle entreprise ne me livreplus, où pourrais-je m’approvisionner,et comment (en camion, par container,par voie fluviale… ), pour continuer àsortir mes propres produits ? « Avec unbon plan de crise, on ne peut jamaistout prévoir mais on peut réagir plusLes plus grandes entreprises ont leur BusinessContinuity Plan Manager, et un plan stratégique àmettre en place en cas de sinistre grave.51N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREQuel est mon core business, oùest-il situé ?Quelles opérations sont indispensablesà la poursuite de l’activité, lesquelles© Jan Van de Vel/Reporters


dossiersécurité52N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRErapidement. Il faut y avoir pensé, avoirles bonnes personnes au bon endroit,avec les bons moyens de communicationet les ressources nécessaires, » estimeJosé Herbaux, Safety & SecurityManager chez Total. Le capital humainest essentiel ; le risque de pandémie estlà pour nous le rappeler.Anticiper les problèmesPeut-on remplacer les personnes clésde l’entreprise ? Qu’il s’agisse du dirigeantou de fonctions non remplies. Larecette ? Anticiper en organisant desformations aux fonctions vitales. Celademande préparation, budget et disponibilité: à titre d’exemple, une formationtechnique requiert plus de 2 jours.Aucune entreprise n’estépargnéeLes plus grandes ont leur BusinessContinuity Plan Manager, et un planstratégique, une vraie gestion de crise àmettre en place en cas de sinistre grave.Les plus petites entreprises ont souventune approche plus pragmatique, moinsdétaillée, qui ne repose pas sur desprocédures écrites. « Ce plan doit êtreadapté à chaque situation, nous en avionsun pour la grippe aviaire, la mexicaineest différente, principalement enraison de son vecteur de propagation »,précise José Herbaux (Total).Les coûts additionnelsSi le bâtiment est inaccessible, le télétravailest une réponse. Pour autantque l’on ait pensé à organiser un accèsà distance, que le personnel ait son portableet sache l’utiliser… En matière deprévention, on peut encore agir bienplus en amont.Prévention« C’est pour sensibiliser les chefs d’entreprisesque la FEB a édité avec Ethiasune brochure sur la prévention, traitantde la sécurité, de la santé, de la protectiondu personnel, de l’environnement,des transports…», explique Kris DeMeester, Conseiller en prévention à laFEB : « Beaucoup de responsables nevoient que l’accident même. Il y a descoûts cachés, bien plus élevés que lecoût direct. On pense par évidence aucoût de l’accident du travail, aux soinsde santé… Mais il faut remplacer le matériel,et réduire le temps d’inactivité... »José Herbaux : « Dans le cas d’une pandémie,la désorganisation qui en résulteraitprovoquerait un arrêt d’activitéqui pourrait bien durer six semaines. Siune usine s’arrête, cela impacte en plusnos clients et d’autres business, puisquenous travaillons en chaîne. Unecrise majeure ne concerne pas qu’uneentreprise, ni une industrie, mais biensouvent toute la société. »Seule, une entreprise ne peut sesuffireLa pétrochimie, les transports et la logistique,la distribution, les banques etles télécoms font figure de bons élèves.Les coûts des installations et les risquessont si élevés que l’activité doit impérativementêtre assurée en continu. Leurrisk management fait pression surl’ensemble des sous-traitants, de toussecteurs, PME comprises. N’entre pasen relation commerciale, un prestatairequi n’a pas organisé la continuité deson activité. Pour les Télécoms, ce sontles contrats mondiaux qui le justifient.Cet effet domino sur les sous-traitantsdes gros donneurs d’ordre est un levierbénéfique. « Mais comment vérifierque les fournisseurs dont nous sommestributaires sont bien préparés ? Onleur demande s’ils ont un plan et celas’arrête là, car il est quasi impossible dele tester », intervient Mr Herbaux (Total).« À terme, il faut passer d’une logiquede coût à une démarche de qualitéet de sécurité. Et les autorités doiventnous y aider. Au Danemark, quand l’onconstruit un pont, on exige le risque 0.Que fait-on ici ? », s’interroge Kris DeMeester (FEB). Plus infos :Sylvie Cousin« Pour une meilleure approchedu risque. Une politique de préventionefficace », une publicationde la FEB qui peut être obtenuesur http://www.vbo-feb.be/ou par email à fb@vbo-feb.be.Le site www.influenza.be (rubriqueEntreprises) propose unmodèle de Business ContinuityPlanning, que l’on peut appliquerà d’autres types de criseSOUCISD’ARCHIVAGE ?Archiving SolutionsYour information is nowhere safersolutions absoluespour archivesappelez dès maintenant le 078 15 31 61ou consultez notre site www.merak.eu


dossier sécuritéEUROPEAN FRAUD SURVEY DE ERNST & YOUNGQui dit crise dit fraudeCrise et fraude évolueraient-elles en parallèle? C’est en tous cas ce que laisse penser uneétude réalisée par le cabinet d’audit et de conseil Ernst & Young et baptisée EuropeanFraud Survey. Mais comment ces deux éléments s’entrelacent-ils ? Pourquoi cetterésurgence de la fraude en tant de crise. Explications et plongée dans les conclusions del’étude de Ernst & Young.1 L’étude et ses résultatsLa European Fraud Survey 20<strong>09</strong> a étémenée par Ernst & Young auprès de2200 salariés de grandes entreprisesdans 22 pays. Il en ressort qu’en Belgique,51% des personnes interrogéess’attendent à ce que le nombre de casde fraude augmente dans les annéesà venir. Au niveau européen, ce sont55 % des répondants qui s’attendentà observer un accroissement de lafraude.2 Les explicationsPour plus de la moitié des répondantsbelges qui s’attendent à ce que lenombre de cas de fraude augmente,l’explication est simple: la crise économiqueexerce une pression accruesur le top management. Les dirigeantssont donc sous tension et doivent sabrerdans les coûts. Les licenciementsse succèdent. Et cette insécurité quientoure les travailleurs semble êtreun terreau propice à la fraude.Autre conséquence induite par lesbouleversements actuels : des lacunespeuvent entacher le contrôlefinancier, notamment en cas de dégraissage,de fusion, de rachat. Etqui dit manque de contrôle dit porteouverte à la fraude...Finalement, plus de la moitié des répondantsà l’étude estiment qu’uneaugmentation importante de lacharge de travail et un moral dansles talons incitent également les travailleursà enfreindre les règles envigueur dans leur société.La moitié des répondants européens jugent acceptables une ou plusieursformes de comportements non éthiques, selon l’European Fraud Survey.3Le managementmis en causeAutre élément marquant dans la EuropeanFraud Survey de Ernst & Young,29 % des répondants européens ontpointé un manque de confiance dansle management de leur entreprise. EnBelgique, ce sont 33% des salariés quine font pas confiance à l’équipe dirigeante.D’après les salariés interrogés, le managementne donne en effet pas lebon exemple. En Belgique particulièrement,71 % des personnes participantesdisent « avoir des raisons dedouter de l’intégrité de leurs responsables». Chaque question répercutéepar l’étude enfonce le clou puisque42 % des salariés pensent que le principalrisque de fraude se situe au niveaudu senior management.4Plus de toléranceEt ce n’est pas tout. On a vu que les répondantss’attendent à davantage defraude, notamment de la part de leurmanagement.Mais paradoxalement, une plus grandetolérance semble entourer cetteliberté prise avec les règlements desentreprises « La moitié des répondantseuropéens jugent acceptablesune ou plusieurs formes de comportementsnon éthiques, tandis qu’unquart d’entre eux trouvent que lespots-de-vin peuvent être utiliséspour obtenir des contrats », relève encorel’étude.Plus qu’une chose à faire donc : sortirde la crise au plus vite ! Hélène Legrand© Pascal Broze/Reporters53N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


dossiersécuritéINTERVIEW JEAN-PIERRE DEKNOP, TEIN TELECOMCes caméras qui nous veulent du bienElles nous guettent sur la route, nous toisent aux carrefours, se cachent sous nostunnels… Elles ne flashent pas mais inspirent méfiance. Et pourtant, la vidéosurveillancese sophistique pour notre sécurité. Rencontre avec Jean-Pierre Deknop, de la société TeinTelecom, une référence sur le marché de la vidéo sur IP.Une surveillance à grandedistanceLa visualisation du projet est cruciale: avant d’ouvrir une écluse, il fautvoir ce qui s’y passe. Pour rapatrierl’info de ces 200 caméras au centre decontrôle, à 100 km de là, la vidéo sur IPétait la solution. Et c’est Tein Telecomqui a été choisie. « Nous avons égalementconverti la mariphonie, uneradio bateau courte distance, sur le réseauIP », éclaircit Deknop : « Le centrede contrôle répond au bateau, et c’estcomme s’il y avait encore quelqu’un àl’écluse. »54N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREFin 2008, la région de Bruxelles Capitale veut équiper ses 24 tunnels de 172 caméras digitales.Les besoins en matière de sécuritéont évolué : congestion,pollution, délits… il faut agir. Fin2008, la région de Bruxelles Capitaleveut équiper ses 24 tunnels de 172 camérasdigitales… et lire nos plaques devoiture.De l’intelligence derrière lescamérasCette vidéo sophistiquée, couplée à unpuissant logiciel d’analyse, ne flashepas et ne sort pas d’image. Grâce à unidentifiant unique, le numéro de plaque,elle suit le parcours des voituressous les tunnels. Elles y restent troplongtemps ? Un signal part vers lesystème de ventilation. Sans interventionhumaine. « Par après, on afficheral’info au conducteur avant qu’il nes’engage dans un tunnel », expliqueJP Deknop, MarCom Director de TeinTelecom qui a reçu la mission. Maiscomment gérer cette masse de donnéesau centre de contrôle ? « Nousavons conçu un logiciel qui analyse,affiche l’info utile à l’opérateur et enclenchesi nécessaire une interventionen temps réel », poursuit-il.Les applications de vidéo sur IP nemanquent pas. En 2002, la CommunautéFlamande veut automatiserles ponts et écluses du canal Anvers-Bruxelles, et s’équipe de 200 camérasreliées à un dispatching.Le marché est en pleine croissance.Que faut-il pour se faire une place ?Technologie, innovation et flexibilité…Et penser à l’opérateur en intégrant lesdifférents systèmes en une interfaceunique et conviviale. L’analogique vat-ildisparaître ? A terme oui.La vidéosurveillance à 2 vitessesD’un côté, nous avons un business de« commodities », bien servi par les camérasclassiques et des acteurs de lavidéo et de la sécurité pure. De l’autre,un marché de niche, qui exige de lacréativité, des transmissions sans filet de l’analyse en temps réel. Il a étéinvesti par des intégrateurs et spécialistesde réseau, Siemens, Telindus ouTein Telecom, qui en a fait aujourd’huison cœur de business.Digitale ou analogique ?Le digital est plus cher mais en analogique,on paie à terme le manque deflexibilité. Pour une nouvelle installation,la question ne se pose même plus.Les caméras numériques se connectentà l’infini sur un réseau IP. Un sites’ouvre ? On crée un nouvel accès auréseau. « La flexibilitéde la vidéo digitalesur IP nous a permisde développer notrecréativité au profit denos clients », conclutJP. Deknop. Sylvie CousinJP. Deknop (Tein Telecom) : « D’où vient notre succès ? De la compétencede nos ingénieurs. Et nous avons dupliqué pas à pas ce que nous avons appris. »


dossier sécuritéSÉCURITÉ AU TRAVAILProtéger son personnel contre la grippe,un acte de bonne gestionL’employeur ne peut pas faire tout et n’importe quoi en matière de protection contre la grippe.Mais limiter les risques de contagion au sein de l’entreprise fait partie de ses obligations.touche à sa fin, l’automneapproche à grands pas. Or,L’étéc’est pour cet automne queles experts s’accordent à penser que lepic de personnes touchées par le virusde la grippe H1N1 sera le plus élevé.Les entreprises commencent d’ailleursà s’y préparer. Activement. Elles distribuentdes informations, installent desgels anti-bactériens, renforcent leséquipes de nettoyage… Mais, les employeursen peuvent pas faire tout etn’importe quoi en la matière.© BSIP/Reportersconnaissances de la société SD Worxspécialisée en ressources humaines :« l’employeur ne peut pas exiger deses collaborateurs une attestationprouvant qu’ils sont en bonne santé niobliger un travailleur à se vacciner. Ils’agirait bien entendu d’une atteinte àl’intégrité physique d’une personne ».Par contre, d’autres mesures peuventêtre introduites, pour autant qu’ellesrespectent le règlement de travail.55Comme l’explique Jean-Claude Vannieuwenhuyse,responsable de lacommunication et du centre deL’employeur peut exiger de ses travailleursqu’ils respectent des mesures d’hygiènesupplémentaires.PUBLICITÉCOMPTEZ SUR NOUS.TOUJOURS ET PARTOUT.N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREQue vos activités soient administratives, industriellesou commerciales, vous savez que l’insécurité se payeau prix fort. Puisque vous ne laissez rien au hasard,G4S a mis au point des solutions intégrées en matièrede sécurité, à la mesure de chaque organisation.Pour l’accueil, les services de gardiennage, le contrôled’accès, la détection d’intrusion, la télésurveillance, lasurveillance par caméra, les patrouilles d’interventions,vous pouvez faire confi ance à G4S.La combinaison de l’expertise technologique au savoirfairehumain et le dynamisme de nos collaborateursqualifi és constituent la meilleure garantie pour unenvironnement de travail sûr.Demandez sans tarder de plus amples informationsou la visite de notre consultant en sécurité au+32 2 712 59 11 - securityservices@be.g4s.www.g4s.beSecuring Your World


ProfilPour une gestion optimaledes flots sortants d’emails& smsUne société bruxelloise présente des solutions innovantesen matière de courrier électronique, avec lepremier site Internet de cryptage en ligne et de planicationemails et sms.Les échéances et les tâches périodiqueset répétitives sont permanentes dansles entreprises. Ces premières représententsouvent un coût et un tempsincalculable pendant lequel l’attentiondu personnel, voire du patron, pourraitse porter sur d’autres aspects de lagestion de l’entreprise. Une échéanceoubliée, par exemple, peut vite représenterun préjudice important et nuireà l’image de marque de la société.« L’idée de notre produit est né del’observation des besoins des entreprises», explique Michael Lefèvre, directeurfinancier de la toute jeune sociétéemailplanning. Or, quel que soitle secteur d’activité ou la taille des entreprises,elles sont toutes confrontéesau besoin de simplifier leurs tâches etd’automatiser leurs processus, pourpouvoir concentrer leurs efforts surleur croissance.Pour y répondre, il fallait créer un outilde planification permettant de diffuserautomatiquement l’informationpar emails ou sms. C’est avec cet objectifde simplifier la vie des entreprisesqu’Emailplanning est né.Jusqu’à la création de cette plateformeil n’était pas possible pour une PMEde diffuser (en interne ou en externe)à une date et une périodicité donnéel’information souhaitée en utilisantl’email ou le SMS comme moyen decommunication.ConvivialAu cours de ces dernières années, lesinformaticiens d’emailplanning sesont donc attelés à la confection d ‘uneplateforme en ligne permettant àtout un chacun de planifier et d’automatiser,pour un prix compétitif, tousses envois de courriels & sms. Concrètement,les clients peuvent acquérirun forfait d’utilisation de cette plateforme(à partir de 33 euros pour 250unités sms et 199 euros pour 3000unités email) puis, s’en servir aufur et à mesure de leurs besoins (unepériode d’essai gratuite te est égalementofferte).« L’aspect convivial de l’outil a constituél’un de nos objectifs principaux i »,insiste le directeur. En quelques manipulations,l’utilisateur y emploie sonpropre carnet d’adresses, et y appliqueses critères : tel type de message, maisdûment personnalisé, à telle date etpériodicité d’envoi (tous les trimestres,une fois par an, tous les jours,jusqu’à une date précise ou non, etc),avec petite cerise sur le gâteau, dansla langue du destinataire. En bonus,il accède à d’autres services utiles : lagestion de vos newsletters et campagnese-mailing, un suivi des réactionsaux courriels (statistiques des ouvertures),une panoplie de « templates » - durappel d’une échéance à la newsletter ,etc. Emailplanning propose aussi l’envoide sms sur plus de 200 pays.A chaque stade du processus, la confidentialitédes opérations est notammentgarantie par le système desécurisation VeriSign, à son niveaud’exigence le plus élevé.CondentielLe respect de la confidentialité ne s’arrête,en outre, pas là. Car la secondeEmailplanningAvenue de la Couronne, 3111050 BruxellesT 02 626 16 88info@emailplanning.comwww.emailplanning.cominnovation proposée par cette nouvelleplateforme Internet t concerne lecryptage en ligne des pièces attachées.Ce service, conjugué à la planification,constitue une première en Belgique.L’idée principale était d’offrir une parfaitesécurisation de l’email en cryptantles pièces jointes tout en évitantdes contraintes liées à l’installation delogiciels chez l’expéditeur ou le destinataire.Pour pouvoir décrypter les documentsattachés aux courriels, il faut posséderla clé unique créée par le destinataireet hébergée sur les serveurs d’emailplanning.Et l’identité de celui-ci estvérifiée par l’intermédiaire d’un smsavant de permettre l’accès aux fichierscryptés. D’autres fonctionnalités permettentde fixer des limites complémentairesà la visualisation des piècesjointes (date limite d’ouverture, nombrex d’ouverture, etc).Il suffisait, finalement, d’y penser. Les6 membres de l’équipe d’emailplanning,d’une moyenne d’âge de 35 ans,ne sont pas peu fiers d’avoir imaginéles premiers cette solution pour permettreaux entreprises d’automatiser,de planifier et de sécuriser les messagesen toute simplicité. Ce n’est passans raison que leur produit, pratiqueet convivial, suscite déjà, du reste, l’intérêtde nombreuses entreprises européennes.


dossier sécurité1 Des mesures d’hygièneL’employeur peut exiger de ses travailleursqu’ils respectent certainesmesures d’hygiène supplémentaires.On pense bien entendu au port demasques devant la bouche.Mais attention, les employeurs quiveulent introduire le port de ce typede masques doivent avant tout interpellerle médecin du travail et le comitépour la prévention et la protectionau travail. « Cette possibilité dontjouit l’employeur s’explique par le faitque l’employeur a le devoir d’organiserle travail dans des circonstancescorrectes et d’assurer la sécurité et lasanté de son personnel », explique SDWorks dans une note.2 Modifier le lieu de travailIci aussi, la prudence est de mise. Pasquestion pour les employeurs de modifierunilatéralement les conditionsreprises dans le contrat de travail.Or le lieu de travail en fait souventpartie. A défaut d’être spécifié dansle contrat, le lieu peut être modifiéunilatéralement par l’employeur.Mais à deux conditions : cette modificationdoit être temporaire et ellene peut pas avoir trop d’impact surle travailleur. On peut imaginer quele recours au télé-travail gagnera duterrain à l’occasion de la pandémie.3Go back home !Lorsqu’un travailleur est malade etrisque de contaminer ses collègues,l’employeur peut –il le renvoyer chezlui ? Et bien oui ! Seule obligation àcharge de l’employeur : prouver quele membre du personnel est dans l’incapacitéde travailler.En conclusion, «les employeurs peuventet doivent prendre des mesuresparticulières pour limiter le pluspossible les effets de la pandémie degrippe. C’est non seulement un actede bonne gestion, mais c’est égalementimposé par la loi sur les contratsOKTOPUS VEILLE SUR VOTRE SÉCURITÉLOCALISATION PAR SATELLITES DE VEHICULES ET D’AUTRES OBJETS MOBILESde travail et laloi sur le être », expliquebien-encore Jean-LucVannieuwenhuyse.Hélène Legrand© Photononstop/ReportersL’employeurqui veut introduirele port de masquesdoit interpeller lemédecin du travaiet le comité pourla prévention etla protection autravail.57N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRELA TÉLÉSURVEILLANCE GPS:VOTRE GARANTIE SÉCURITÉCollaborateurs triés sur le voletInfrastructure technique de pointeProcédures conçues sur mesureSouplesse des services administratifs et opérationnelsGaranties morales, techniques et fonctionnellesServices opérationnels 24h/24Agréé par le Service Publique Fédéral Intérieuret les compagnies d’assurances (ASSURALIA).Certifié: ISO 9001-2000Avenue Louise 3311050 BruxellesTél.: 32-2-542 05 42Fax:32-2-542 05 43contact@oktopus.comwww.oktopus.com


dossiersécuritéLa commission vie privée,un empêcheur de tourner en rond ?Une véritable explosion. C’est ainsi qu’on pourrait qualifier le nombre de dossiers quisont transmis par les entreprises à la commission vie privée. « Pouvons-nous faire ceci oucela ? » « Dans un tel cas, est-ce que nous respectons la vie privée de nos travailleurs ? »Etc. La problématique est complexe. Interview et explications de Stefan Verschuere, viceprésidentde la commission vie privée.58N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREQuelles sont selon vous lesraisons qui expliquent ces recoursnettement plus fréquents à lacommission vie privée ?STEFAN VERSCHUERE : Il y a une plusgrande conscientisation du besoin derespecter la vie privée, dans le chefdes employeurs. Je pense que lesnouveaux moyens de communication,ainsi que plus globalement desnouveaux outils de travail sont pourbeaucoup dans cette évolution. L’apparitiondes caméras de surveillancepar exemple ou de la biométrie ou encorel’utilisation des puces RFID ontfait naître un besoin de régulation.De plus en plus de normesexistent. Des nouvelles loisnaissent. Confrontées à cesnouvelles réglementations,les entreprises se posentdes questions et se tournentvers nous pour obtenir uneréponse.N’êtes-vous justementpas plutôt vu comme un «empêcheur de tourner enrond » par les entreprises ?SV : Cela a certainement étévrai au début de l’existencede la commission vie privéequi affichait une raideurextraordinaire. Tout étaitinterdit ou presque ! Depuisles choses ont évolué et lerapport entre les entrepriseset la commission vie privées’est fondamentalementmodifié. La commission estimedésormais qu’il est impossiblepour elle de faire passer sesvaleurs sans prendre en considérationles intérêts des entreprises.Quel est le pouvoir de la commissionvie privée ?SV : Tout d’abord, il faut préciser quenotre mission est notamment de répondreaux questions des entreprisesen matière de protection de la vie privée,tout en leur permettant de se développer.A côté de cela, nous avonsun rôle de garde-fou et d’accompagnateur.Nous pouvons détecter unproblème dans un secteur et ensuiteconseiller les entreprises de ce secteur.Les sociétés se servent mêmeparfois de nous comme d’un label.Nous sommes le garant du fait qu’ellesrespectent la vie privée, ce qui esttoujours très bon en terme d’image.Les entreprises en sont conscientes.Ensuite, nous avons un véritable pouvoirde contrôle. Nous pouvons enquêtersur une entreprise ou un secteursi nous craignons qu’ils n’entraventla vie privée de ses travailleurs, de sesclients,…Quel est le type de questions quivous sont posées par les entreprises ?SV : Nous avons connu par exempleune véritable explosion desinterrogations concernantl’utilisation de caméras dansles entreprises, suite à lanouvelle législation de 2007.Nous estimons d’ailleursque la démarche des entreprisesqui viennent à nouspour nous soumettre leurquestion est très saine. Il y atoujours moins de suspicionquand une société fait unedéclaration. La commissionvie privée aura alors un apriori positif sur ses pratiques.© PhotoAlto/ReportersPropos recueillis parHélène Legrand« Il y a une grande conscientisationdu besoin de respecter la vie privée,dans le chef des employeurs »,dit la commission vie privée.


Le gardiennageest notre savoir-faireAvec l’intégration récente de l’entreprise de gardiennage S.A.T., Facilicom complète ses services facilitaires.Facilicom possèdera donc dès à présent un service de gardiennage repris sous le nom de Trigion. Trigionoffre un large éventail de services de gardiennage spécifiques, sur mesure, pour chaque secteurcomme entre autres; le contrôle d’accès et les services d’accueil, le gardiennage des ports de mer etdes aéroports, de chantier, mobile, le retail security, hotel security, security et transport VIP et l’eventsecurity. Facilicom effectue des services facilitaires depuis déjà des décennies. Ainsi nous réalisons parexemple le nettoyage professionnel et prenons soins de servir un repas savoureux auprès d’un bonnombre de sociétés. Facilicom prend en main tous les services facilitaires de manière à ce que nos clientspuissent se consacrer entièrement à leurs activités principales. Voulez-vous savoir ce que Trigion Securitypeut apporter à votre société? Pour plus d’informations, surfez sur le site www.trigion.be ou téléphonezau 016 56 29 72. Nous vous rendrons volontiers service.Les bonnes personnes au bon endroit


BLOC-NOTESFormationsManagementet ressources humaines• <strong>BECI</strong> Alter Ego - Cycle Chefs d’entreprise4 heures/réunion – 1 réunion/mois –10 réunions/anDémarrage le 20 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong>• <strong>BECI</strong> Alter Ego - Cycle Fils de chefsd’entreprise4 heures/réunion – 1 réunion/mois –10 réunions/anDémarrage le 27 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong>• Gérez les tensions syndicalesFormateur : Pierre GALLOUXLe 27 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong> de 9h à 17h30• « Business Ethics » : faire face auxfraudes dans l’entrepriseOrateurs : Marie EVRARD, Olivier RIJC-KAERT et Emmanuel ROGER-FRANCELe mardi 17 novembre 20<strong>09</strong> de 14h à17h• Les pouvoirs de l’inspection socialeet leurs répercussions en droit pénalsocialOrateurs : Jean-Claude HEIRMAN etFrançois LAGASSELe mardi 24 novembre 20<strong>09</strong> de 14h à17hInfos :Frédéric Simont +32 2 643 78 17fs@beci.beActivités du départementinternational• 22/10/<strong>09</strong>‘Doing business with the USA’ –Seminar: Update on Obama’s Administrationpolicy on foreign tradeand investmentAmerican Embassy de 14h à 17h• 23/10/<strong>09</strong> - 29/10/<strong>09</strong>Economic mission to Saudi Arabia• 25/10/<strong>09</strong> - 29/10/<strong>09</strong>Economic mission to Angola• 03/11/<strong>09</strong>Export Day – infos : ns@beci.be• 05/11/<strong>09</strong>Export seminar on India60N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE• Gérez les profils difficilesFormateur : Pierre GALLOUXLe 19 novembre 20<strong>09</strong> de 9h à 17h30• Les entretiens avec les collaborateursFormateur : Pierre GALLOUXLe 26 novembre 20<strong>09</strong> de 9h à 17h30Vente, Marketinget communication• Promouvoir ses marques, ses serviceset son entreprise via les réseauxsociauxFormateur : Damien COLMANTLe 20 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong> de 9h à 17h30• 10 actions concrètes pour fidéliservos clientsFormateur : Frédéric PARISSIERLe 11 décembre 20<strong>09</strong> de 9h à 17hLangues• NOUVEAU Tables de conversation enfrançais, néerlandais et anglais30 séances de 2h (de 12h à 14h)Près de chez vousInfosBrigitte van der Mensbrugghet 02 643 78 30bvdm@beci.beSéminairesFiscalité• Refacturation de fraisOrateurs : Benoît VANDERSTICHELENet Emmanuel RIVERALe mardi 20 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong> de 9h à 12h• Remboursement TVA étrangèreOrateurs : Benoît VANDERSTICHELENet Emmanuel RIVERALe mercredi 25 novembre 20<strong>09</strong> de 9hà 12hDroit commercial• Actualités juridiquesOrateurs : plusieurs associés de JansonBaugnietLe 16 novembre 20<strong>09</strong> de 15h30 à 17h30• La récupération des créances commercialesau sein de l’Union EuropéenneOrateurs : Thierry LAGNEAUX et DidierBRACKELe 8 décembre 20<strong>09</strong> de 14h à 17hMercredis juridiques : nous répondonsà vos questions juridiquestous les premiers mercredis dumois en dehors des heures debureau à partir de 17h30InfosEric Brabantt 02 643 78 18eb@beci.be• <strong>09</strong>/11/<strong>09</strong> - 11/11/<strong>09</strong>Business Meetings in Slovakia -Bratislava• 19/11/<strong>09</strong> - 20/11/<strong>09</strong>Brokerage Event B2B health sectorMEDICA, Düsseldorf, Germany• 20/11/<strong>09</strong>Training on EU Funding Schemes• 22/11/<strong>09</strong>Economic mission to Morocco• 11/12/<strong>09</strong>Training on EU Funding Schemes• 15/12/<strong>09</strong>Export Day – Boîte à outils à l’exportinfos : ns@beci.beInfos :Jean-Philippe Mergent 02 210 01 77jpm@beci.beEvents22/10/20<strong>09</strong> Beci SpeedBusiness Lunch24/11/20<strong>09</strong> Business Meeting– Philippe MuytersLégislation sociale• Les pensions complémentairessont-elles encore d’actualité dans lesentreprises ?Orateurs : Olivier QUERINJEAN,Benoît VANDERVELDE et Stanislasvan WASSENHOVELe mardi 20 <strong>octobre</strong> 20<strong>09</strong> de 14h à 17hSéances d’infode Beci StartersMercredis 21/10, 4/11, 25/11, 9/12, 23/12 de10 à 11h30Mercredis 28/10, 18/11, 2/12, 16/12, 30/12de 14 à 15h30Infos :Annick Van De Sandet 02 210 01 71avds@beci.beInfos :www.beci.be/eventsevents@beci.be


Time to change?S.T.I.B./M.I.V.B. RUE ROYALE 76 KONINGSSTRAAT, 1000 BRUSSELS - IN COLLABORATION WITH ASSAR ARCHITECTSPHOTO: MARC DETIFFE - COPYWRITER: VINCENT LENS - GRAPHIC DESIGN: SDESIGNglobalGive space a new dimensiondesign and realization of workspacesIn crisis times, reducing costs is essential, but this challengealso presents an outstanding opportunity. How can youreorganise your teams in the work area? What working methodis most suited to the jobs performed? How can you improveyour communications? As specialist in creating and developingwork spaces, GLOBAL will help answer these questionsand make your offices a real strategic lever. So you cansuccessfully meet your challenges, today and tomorrow.WWW.GLOBAL-DPM.BE / STEVEN VALKENIERS +32 475 83 06 23 / EMMANUEL PAQUET +32 498 56 46 91


DEMANDES D’ADMISSION À <strong>BECI</strong>PAR PRESENTATION AU CONSEIL D’ADMINISTRATION *62N° 8 - OCTOBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREAlonso Alberto PPE, Rue de l’HospiceCommunal 84 - 1170 Bruxelles CODENACE : 46190 - Intermédiaires du commerceen produits divers del. : AlonsoAlbertoAlternative Industry SA, Rue du Chimiste34-36 - 1070 Bruxelles CODE NACE :62010 - Programmation informatique- 62020 - Conseil informatique - 62030- Gestion d’installations informatiquesdel. : Nieuwenhuys NicolasAndré François, Réviseur d’EntreprisesSPRL, Avenue Louise 349 B13 - 1050Bruxelles CODE NACE : 69203 - Activitésdes réviseurs d’entreprises del. : FrançoisAndréAntidot SA, Rue du Grand Duc 13 - 1040Bruxelles CODE NACE : 73110 - Activitésdes agences de publicité del. : Le GrandSébastienAttitude SA, Rue de la Chapelle 18 A -8017 Strassen - Luxembourg del. : CloothMireilleAVDE SA, Drève de Dieleghem 20 - 1<strong>09</strong>0Bruxelles CODE NACE : 43211 - Travauxd’installation électrotechnique de bâtimentdel. : Vander Elst AlainBelgalux, Av. Paulista 2073 - 11° andarConjunto Nacinal - Horsa I - 01311-300Sao Paulo - BRESIL del. : Onclinx MadeleineBesins Healthcare SA, Avenue Louise287 1050 Bruxelles CODE NACE : 74151 –Activités de gestion et d’administrationde holdings del. : Gnfeld LeslieBiloral SA, Avenue Dolez 144 - 1180Bruxelles CODE NACE : 55100 - Hôtelset hébergement similaire - 5510001 - Lamise à disposition de lieux d’hébergementpour des séjours de courte duréedel. : Burattini AlessandroBossuyt & Ley Diffusion SPRL, AvenueLouise 87 - 1050 Bruxelles CODE NACE :46160 - Intermédiaires du commerce entextiles, habillement, fourrures, chaussureset articles en cuir del. : Ley JacquesBrussels Capital Concierge SPRL, Rue PaulHankar 20 - 1180 Bruxelles del. : RomaoCarlosCornet & Co - A6 Law Enforcement SPRL,Avenue du Port 108-110 - 1000 BruxellesCODE NACE : 47783 - Commerce de détaild’armes et de munitions en magasinspécialisé del. : Cornet DanielDanotherm SPRL, Rue Paul Michiels2 - 1<strong>09</strong>0 Bruxelles CODE NACE : 43222 -Installation de chauffage, de ventilationet de conditionnement d’air del. : SardoMichelDefauw Christian PPE, BoulevardSaint-Michel 65 - 1040 Bruxelles CODENACE : 69101 - Activités des avocats del. :Defauw ChristianDiscoveries SCRL, Rue de la Laderie22 - 5080 Emines CODE NACE : 37000- Collecte et traitement des eaux uséesdel. : Gesquière SébastienDomaine Ngamayama SPRL, Rue Luwu17 - 7139 Kinshasa - Rép. dém. du Congodel. : Ngamayama RigobertEbobisse Ebobisse Samuel PPE, PlaceMarguerite d’Autriche 4 - 1083 Bruxellesdel. : Ebobisse Ebobisse SamueleC2 Coaching SA, Chaussée de Waterloo1322 - 1180 Bruxelles CODE NACE :6202001 - Les activités de conseilconcernant le type et la configuration dumatériel informatique - 70220 - Conseilpour les affaires et autres conseils degestion del. : Vandamme MichelEmail Planning div. of Sybex InternationalSPRL, Avenue de la Couronne311 - 1050 Bruxelles CODE NACE : 74131 –Bureau d’études de marché del. : ChavelAnoukEmergence-XL ASBL, Rue du Sceptre 13-19- 1050 Bruxelles del. : Diallo Béa lansanaEmfea Consulting SA, Boulevard duSouverain 25 - 1170 Bruxelles CODENACE : 71121 - Activités d’ingénierie et deconseils techniques, sauf activités desgéomètres del. : Guillaume VincentFiduciaire D’Hoedt SPRL, AvenueClémenceau 87 - 1070 Bruxelles CODENACE : 69201 - Activités des expertscomptableset des conseils fiscaux del. :D’Hoedt PierreFoire des Antiquaires de Belgique ASBL,Avenue du Port 86 C - 1000 BRUXELLESCODE NACE : 82300 - Organisation desalons professionnels et de congrès del. :De Leye BernardG.M. Sports «Belga Pils» SPRL, Rue deBruxelles 1<strong>09</strong> - 1480 Tubize CODE NACE :46349 - Commerce de gros de boissons,assortiment général - 47252 - Commercede détail de boissons en magasin spécialisé,assortiment del. : Ingala SalvatoreGCS Europe SRL, Rue Pannenhuis 14 -1020 Bruxelles del. : Gonzalez JuanGhuys Ronald PPE, Avenue de la Reine244 - 1020 Bruxelles del. : Ghuys RonaldGlobal Concept Telecom SA, Drève Richelle161 bte 27 - 1410 Waterloo CODE NACE :43211 -Travaux d’installation électrotechniquede bâtiment del. : Maus DavidGras Savoye Belgium NV, Zuiderlaan91 - 1731 Asse Zellik CODE NACE : 65122- Activités des entreprises d’assurancesmultibranches à prédominance non-vie -66220 - Activités des agents et courtiersd’assurances del. : Van Buyten YvesHernalsteen Bernadette PPE, Rue VanEyck 50 bte 13 - 1000 Bruxelles del. :Hernalsteen BernadetteHibiscus Company SPRL, Rue de l’Elan51 - 1170 Bruxelles CODE NACE : 62020 -Conseil informatique del. : MazzocchettiAlessandroInstitut des Juristes d’Entreprises, Ruedes Sols 8 - 1000 Bruxelles del. : De WolfAnneKeyboard Service - K.b.S. SPRL, DrèveSaint Anne 68 B - 1020 Bruxelles CODENACE : 82190 - Photocopie, préparationde documents et autres activitésspécialisées de soutien de bureau del. :Pyck MartineLa Maison de Couture SPRL, Rue Royale221 - 1210 Bruxelles del. : Cattelat IsabelleLecointre Dominique PPE, Clos desPeupliers 9 - 1200 Bruxelles CODENACE : 6202001 - Les activités de conseilconcernant le type et la configuration dumatériel inf del. : Lecointre DominiqueLorenz SCRL, Rue du Trône 14-16 B-5 -B-1000 Bruxelles CODE NACE : 69101- Activités des avocats del. : De SchrijverStevenMCI Benelux SA, Avenue de Tervueren300 - 1150 Bruxelles CODE NACE : 82300 -Organisation de salons professionnels etde congrès del. : Snyers Anne-SophieMS3 SPRL, Rue de la Science, 25 - 4530Villers-le-Bouillet CODE NACE : 25110 -Fabrication de structures métalliqueset de parties de structures - 25290 - Fabricationd’autres réservoirs, del. : SenerJean-YvesMucobel (Aibelco) ASBL, Rue duMeiboom, 36 - 1000 Bruxelles del. : NgamayamaRigobertNathalie Lannoy SPRL, Avenue de Broqueville116 bte 10 - 1180 Bruxelles CODENACE : 69101 - Activités des avocats del. :Lannoy NathalieOrion Languages NP , Korte Schipstraat1 - 2800 Mechelen CODE NACE : 74300- Traduction et interprétation del. :Chapelle GéraldinePasta & Salad - SBR International SPRL,Avenue Legrand 13 - 1050 Bruxelles CODENACE : 56102 - Restauration à servicerestreint del. : Gobert YannSadrani PPE, chaussée de Merchtem 50 -1780 Bruxelles del. : Sadrani ErireScopic SPRL, Rue Jean Robie 27 - 1060Bruxelles del. : Smal YvesSIED SPRLU, Boulevard Brand Whitlock1 - 1150 Bruxelles CODE NACE : 47730- Commerce de détail de produits pharmaceutiquesen magasin spécialisé del. :Siaka StéphaneToulet Alexis PPE, Avenue Broustin 1 -1<strong>09</strong>0 Bruxelles del. : Toulet AlexisUHAS - Universal Help Agapes ServicesVZW, Gemeentelein 2 - 3140 Keerbergendel. : Beya BrigitteWizYou SA, Rue Emile Claus 4 - 1000Bruxelles del. : Guillaume AnneXLPS SPRL, Avenue de l’Amphore 7 - 1020Bruxelles CODE NACE : 6920101 - Etablissementde déclarations fiscales pourles particuliers et les entreprises del. :Anspach Frédéric* Ceux de nos membres qui auraientdes doutes quant à la parfaite honorabilitédes candidats présentéssont instamment priés de nous enavertir d’urgence, en nous communiquanttous renseignementssusceptibles de nous éclairer. Laprésente liste a simplement pourbut de signaler à nos adhérents lescandidatures des nouveaux membres.Elle ne préjuge en rien quant àl’admission, celle-ci n’étant acquisequ’après approbation par le Conseild’Administration de Beci. Les candidatsseront avisés individuellementde l’admission.IndexVous trouverez ci-après la listedes annonceurs que nous tenonsà remercier pour leur soutien :• ACTIRIS• ARIES• BFM• BMI GROUP• BROTHER• BRUSSELS AIRLINES• CITROËN• COMMUNAUTÉ DESENTREPRISES DUPORT DE BRUXELLES• D’IETEREN• ELECTRABEL GDFSUEZ• EMAILPLANNING• EURECA MOBILE –MASTERNAUT• FACILICOM SERVICESGROUP (TRIGION)• FINNAIR• FORD MOTORCOMPANY• G4S SECURITYSERVICES• HDP• MAISON DE LAFRANCE• MERAK• MERCEDES FLEET• MINISTÈRE DELA RÉGION DEBRUXELLES-CAPITALE– ADMINISTRATIONDE L’ECONOMIE• OKTOPUS• OPEL• RAUWERS CONTRÔLE• SECUREX• SPE LUMINUS• TEIN TELECOM


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