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THÈSE

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- 43 -99 mU/ml, puis remonte progressivement pour atteindre146 mU/ml le 12ejour après la correction. La même descentese reproduit après la 2e injection de testostérone retard.Toutefois, ces variations elles non plus ne sont pas statistiquementsignificatives.Nous observons également cette évolution en d~~$sde scie des taux de PRL sérique après castration sur lafigure 15. L'évolution des taux de testostérone sérique(fig. 16) montre les variations suivantes. Chez les pubères,ces taux passent de 18 ng/ml avant la castration à desvaleurs insignifiantes (0,3 ng/ml) après la castration.L'administration de 1 mg/kg de testostérone retard faitremonter les taux à 8 ng/ml. Ces taux diminuent et se stabilisent(le 8e et le 12ejours) autour de 4 ng/ml. La 2einjection de testostérone retard donne une variation semblableà la précédente (F = 3hOO ; p«O,Ol).L'évolution du taux de testostérone chez des singesimpubères suit, toute proportion gardée, la même allure quecelle observée chez les pubères. De 1 ng/ml avant la castration,les taux chutent à 0,3 ng/ml après. L'étude en parallèlede l'évolution des taux sériques moyens de PRL et detestostérone (fig. 17) chez des singes pubères, montre4 jours après l'administration de testostérone synthétique,que le taux de PRL passe de 131 à 99 mU/ml tandis que celuide la testostérone sérique passe de 1 à 8 ng/ml. Lorsque cetaux passe de 8 à 4 ng/ml entre le 8e et le 12ejours aprèsl'injection de testostérone/celui de la PRL passe de 99 à128 puis à 146 mU/ml. La même évolution se retrouve aprèsla 2e injection de testostérone. L'évolution parallèle destaux de PRL et de testostérone (fig. 18) chez des singesimpubères après correction de la castration, est semblable àcelle observée chez les pubères. Le taux de PRL sérique n'estpas affecté de manière significative par la castration, tantchez les singes impubères que chez les singes pubères. Chezces derniers cependant, il faut noter une légère élévation

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