- 7 -Sur des cultures (in vitro) de tissu hypophysaire de boeuf(LABELLA et coll., 1971) et de rat (TASHJIAN et coll., 1971)il a été montré que la TRH synthétique provoque une libérationde PRL.1.2.4.1.1.2 - Action du sulpirideLes substances à action psychotrope comme lesphénotiazines, la réserpine, la méthyldopa, les antidépressifstricycliques et le sulpiride stimulent la sécrétion de la PRL.BORENSTEIN et coll. (1968) ont montré que les neuroleptiquesprovoquent, avec une fréquence variable, une galactorrhée avecaltération du cycle menstruel chez la femme. Une hyperprolactinémieest induite dans l'espèce humaine par l'administrationde neuroleptènes (KATO et coll., 1975 ; L'HERMITE et coll.1975 ; DEBELJUK et coll., 1975 ; DELVOYE et coll., 1975). En1971, MARCHANDISE montre que le sulpiride provoque unehypertrophie des glandes mammaires chez le rat. L'influencedu sulpiride sur les taux sériques de gonadotropines estcontradictoire. DEBELJUK et coll. (1975) et L'HERMITE etcoll. (1975), n'ont trouvé aucune variation des taux sériquesde base de LH et FSH chez l'homme sous traitement au sulpiride,tandis que DELVOYE (1975) observe une baisse de taux desgonadotropines chez la femme traitée pendant la phase lutéale.1.2.4.1.2 - Facteurs inhibant la sécrétion de la prolactineLes substances inhibant la sécrétion de la PRLappartiennent à deux familles : les amines biogènes et lesdérivés des alcaloïdes de l'ergot.Le CB15~ (2 Br-~ -ergocryptine) est actuellementl'alcaloïde de l'ergot le plus spécifique et le plus actifquant à l'inhibition de la sécrétion de la PRL chez le rat,le lapin, le mouton, la vache (MEITES, 1973), le rat (DANUTRA,1973) et l'homme (DEL P~Z~ et coll., 1973 ; FLUCKIGER, 1975).
- 8 -MacLEOD et coll. (1970) montrent que les aminesbiogènes, dopamine et noradrénaline inhibent in vitro lasécrétion de prolactine. Il apparaît également que l'administrationin vivo de L-dopa, précurseur de la dopamine à desrats (MEITES, 1973 i HOROWSKI et coll., 1975), à des moutons(DAVIS et coll., 1975), et à l'espèce humaine (HORN et coll.,1971 ; KLEINBERG, 1971 i HOKFELT et coll., 1972 ; FRIESEN etcoll., 1972 i FRANTZ et coll., 1973 i REFETOFFS et coll.,1974 i JASONNI et coll., 1975 i FLUCKIGER et coll., 1975) estsuivie d'une baisse de la prolactinémie.1.2.4.2 - Le stressLe simple transfert des rats d'une cage à une autre(KRULICH et coll., 1974), les différentes formes de contraintesimposées à des rats et à des génisses en cours d'expérience(EUKER et coll., 1973 i RAUD et coll., 1971),l'anesthésie des rats à l'éther (WUTTKE et coll., 1970 NEIL,1970 ; SIMONEL et coll., 1975 ; EUKER et coll., 1975 ;WAKAYABASHI et coll., 1971) provoquent une décharge importantede PRL. Chez l'homme, l'intervention chirurgicale(NOEL et coll., 1972), l'attente d'une telle intervention,l'exercice physique violent, voire même la simple insertiond'un cathéter intraveineux (ROBYN et coll., 1973) induisentune élévation de la prolactinémie. Les rapports sexuels chezles taureaux (CONVEY et coll., 1971) et chez les rats (FREJAet coll., 1975) provoquent une élévation importante des tauxcirculants de PRL.1.2.4.3 - Le rythme circadienLes taux de PRL sérique suivent un système circadien.Chez le rat, les résultats sont contradictoires : pourKOCH et coll. (1971) et HEFCO et coll. (1973), les valeursles plus élevées du taux de PRL sérique se situent entre11 h du matin et 6 h du soir, tandis que pour SIMIONESCU(1974) elles se situent à 5 h du matin.
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