Ses tâches principa<strong>les</strong> consistent à : coordonner <strong>la</strong> coopération opérationnelle <strong>de</strong>s Etats membres en matière <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>s frontièresextérieures, contribuer à <strong>la</strong> formation <strong>de</strong>s gar<strong>de</strong>s-frontières nationaux, effectuer <strong>de</strong>s analyses du risque, suivre <strong>les</strong> évolutions techniques en matière <strong>de</strong> surveil<strong>la</strong>nce <strong>de</strong>s frontières extérieures, apporter une assistance technique et opérationnelle renforcée aux frontières extérieures aux Etats endifficulté, fournir un appui aux Etats membres pour l’organisation <strong>de</strong>s opérations <strong>de</strong> retour conjointes.Sur un effectif total <strong>de</strong> 164 personnes 1 au 1 er juillet 2008, <strong>la</strong> France ne dispose à ce jour que <strong>de</strong> 4 représentantsqui ont le statut d’expert national détaché (END) et qui sont affectés à <strong>de</strong>s postes subalternes :un commissaire principal <strong>de</strong> police dans l’unité d’analyse du risque, un capitaine <strong>de</strong> police dans l’unité<strong>de</strong>s opérations aériennes, un gardien <strong>de</strong> <strong>la</strong> paix issu du bureau éloignement <strong>de</strong> <strong>la</strong> direction centrale<strong>de</strong> <strong>la</strong> police aux frontières dans l’unité <strong>de</strong>s retours, et un officier <strong>de</strong> <strong>la</strong> marine nationale dans l’unité <strong>de</strong>sopérations maritimes.<strong>La</strong> DCPAF est le point <strong>de</strong> contact national <strong>de</strong> l’agence. C’est également elle qui représente <strong>la</strong> France auconseil d’administration <strong>de</strong> FRONTEX, se tenant environ tous <strong>les</strong> 2 mois. Parmi <strong>les</strong> propositions opérationnel<strong>les</strong>fortes réitérées par <strong>la</strong> délégation française, il y a celle pressant FRONTEX <strong>de</strong> conclure, en amont <strong>de</strong>s opérationsconjointes maritimes en Méditerranée, <strong>de</strong>s accords <strong>de</strong> coopération opérationnelle avec <strong>les</strong> principauxEtats tiers <strong>de</strong> départ vers l’UE, au premier rang <strong>de</strong>squels figure <strong>la</strong> Libye, et ce afin <strong>de</strong> dissua<strong>de</strong>r au plus près<strong>de</strong>s côtes <strong>les</strong> candidats au départ et d’éviter <strong>la</strong> cohorte <strong>de</strong> drames en mer qui accompagne ceux-ci.De même, une autre <strong>de</strong>man<strong>de</strong> française concernant <strong>la</strong> faisabilité pour l’agence d’accroître son appuilogistique à l’organisation <strong>de</strong>s vols <strong>de</strong> retour groupés, en affrétant elle-même <strong>de</strong>s avions, vient <strong>de</strong> débouchersur un groupe <strong>de</strong> travail ad hoc qui s’est réuni pour <strong>la</strong> première fois en septembre 2008 : <strong>la</strong> Commission aappuyé l’analyse faite par <strong>la</strong> France du règlement <strong>de</strong> FRONTEX (art. 9), comme offrant une telle possibilitéà l’agence.Enfin, <strong>la</strong> DCPAF suit <strong>de</strong> très près <strong>la</strong> procédure d’évaluation <strong>de</strong> l’agence prévue à l’issue <strong>de</strong>s 3 premièresannées d’activité et confiée au cabinet international d’audit indépendant “COWI”, à l’issue d’une procédured’appel d’offres. <strong>La</strong> France fait en effet partie du comité <strong>de</strong> pilotage constitué au sein du conseild’administration, avec <strong>la</strong> Slovénie, <strong>la</strong> Fin<strong>la</strong>n<strong>de</strong>, le Portugal et <strong>la</strong> Commission. Cette évaluation est susceptible<strong>de</strong> déboucher début 2009 sur <strong>de</strong>s propositions <strong>de</strong> modification du règlement <strong>de</strong> l’agence <strong>de</strong>stinéesà améliorer son efficacité.L’activité <strong>de</strong> coordination opérationnelle <strong>de</strong> FRONTEX comporte <strong>les</strong> trois volets suivants :– Les opérations menées aux frontières aériennes consistent essentiellement en <strong>de</strong>s échanges croisés <strong>de</strong>fonctionnaires <strong>de</strong> <strong>la</strong> police aux frontières en renfort <strong>de</strong>s contrô<strong>les</strong> <strong>de</strong> flux migratoires.<strong>La</strong> DCPAF participe plus particulièrement aux opérations ciblées sur : l’immigration illégale en provenance d’Amérique du Sud (opération “AMAZON”) et en provenance <strong>de</strong>Chine (“HYDRA”), <strong>les</strong> immigrants irréguliers sri <strong>la</strong>nkais, bang<strong>la</strong>dais, pakistanais et indiens (“LONG STOP”), <strong>les</strong> Kenyans, Somaliens, Éthiopiens, Érythréens (“SILENCE”), <strong>les</strong> irréguliers provenant <strong>de</strong> <strong>la</strong> zone <strong>de</strong>s Balkans (“ZORBA”).1. Réparties en 60 agents temporaires, 35 contractuels et 69 END.84
Un expert PAF a également participé à l’opération FRONTEX “EUROCUP” montée dans l’aéroport international<strong>de</strong> Vienne durant <strong>la</strong> Coupe européenne <strong>de</strong> football, pour renforcer le contrôle <strong>de</strong>s flux extra-Schengen.– Les opérations aux frontières terrestres consistent à déployer <strong>de</strong>s experts PAF à <strong>de</strong>s points <strong>de</strong> passagesensib<strong>les</strong> : entre <strong>la</strong> Roumanie et l’Ukraine/Hongrie (“GORDIUS”), dans l’enc<strong>la</strong>ve espagnole <strong>de</strong> Ceuta, à <strong>la</strong> frontière extérieure avec le Maroc (“MINERVA”).– Les opérations conjointes aux frontières maritimes reposent sur le déploiement <strong>de</strong> moyens humains àterre (missions d’experts PAF) et aéronavals (avions <strong>de</strong> surveil<strong>la</strong>nce, bateaux patrouilleurs) en mer. S’agissant <strong>de</strong>s missions d’experts PAF à terre et afin d’ai<strong>de</strong>r l’Espagne à endiguer <strong>les</strong> flux d’irréguliers enprovenance d’Afrique <strong>de</strong> l’Ouest à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s Canaries, <strong>la</strong> DCPAF participe très régulièrement <strong>de</strong>puisleur début, à l’été 2006, aux opérations conjointes “HERA”. Elle dépêche sur p<strong>la</strong>ce <strong>de</strong>s missions <strong>de</strong> <strong>de</strong>uxexperts chacune, afin d’ai<strong>de</strong>r <strong>les</strong> services locaux <strong>de</strong> lutte contre l’immigration c<strong>la</strong>n<strong>de</strong>stine. <strong>La</strong> sélectionrigoureuse <strong>de</strong> ces experts (notamment au vu <strong>de</strong> leurs compétences <strong>de</strong> police judiciaire) permet d’obtenir<strong>de</strong>s résultats tangib<strong>les</strong> en matière d’i<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong> nationalité <strong>de</strong>s arrivants ou <strong>de</strong>s passeurs et <strong>de</strong>démantèlement <strong>de</strong> filières. Il en est <strong>de</strong> même avec <strong>la</strong> Grèce en matière <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>s flux transitant par <strong>la</strong> mer Égée (“POSÉIDON”) oufranchissant ses frontières avec <strong>la</strong> Turquie (“JASON”), avec l’Italie et Malte (opérations “NAUTILUS” et “HERMÈS”au <strong>la</strong>rge <strong>de</strong> <strong>la</strong> Sardaigne) afin d’endiguer <strong>les</strong> flux d’irréguliers en provenance <strong>de</strong>s côtes libyennes. Le professionnalisme <strong>de</strong> ses experts étant unanimement reconnu, <strong>la</strong> DCPAF alimente également, àhauteur <strong>de</strong> plus d’une trentaine <strong>de</strong> fonctionnaires, le vivier <strong>de</strong>s équipes <strong>de</strong> réaction rapi<strong>de</strong> – “RABITs” –que FRONTEX est capable désormais <strong>de</strong> projeter sur toute zone <strong>de</strong>s frontières extérieures soumise à unepression migratoire irrégulière particulièrement grave, dans un dé<strong>la</strong>i très court (5 jours). Jusqu’à présent,cette hypothèse n’a jamais été mise en œuvre au-<strong>de</strong>là d’exercices <strong>de</strong> simu<strong>la</strong>tion dans le cadre <strong>de</strong> <strong>la</strong>formation <strong>de</strong>s experts RABITs. Parallèlement au dispositif humain, <strong>la</strong> France est amenée périodiquement à engager dans <strong>les</strong> opérationsconjointes maritimes un avion <strong>de</strong> surveil<strong>la</strong>nce <strong>de</strong> type Falcon 50 <strong>de</strong> <strong>la</strong> marine nationale (“NAUTILUS”,“HERMÈS”). Dans le cadre <strong>de</strong> l’opération “POSÉIDON” a également été déployé début juillet 2008, pour <strong>la</strong>première fois, un navire <strong>de</strong> <strong>la</strong> marine nationale durant <strong>de</strong>ux semaines. Ce déploiement a été réitéré du15 au 26 septembre 2008 pour l’opération “NAUTILUS” au <strong>la</strong>rge <strong>de</strong> Malte et <strong>de</strong> l’Italie. Cette contributionnautique a été rendue possible grâce à l’engagement formel préa<strong>la</strong>ble <strong>de</strong>s Etats membres <strong>de</strong>man<strong>de</strong>urs<strong>de</strong> l’opération conjointe (notamment l’Italie et <strong>la</strong> Grèce), <strong>de</strong> réadmettre chez eux <strong>les</strong> c<strong>la</strong>n<strong>de</strong>stins interceptéspar le bâtiment <strong>de</strong> <strong>la</strong> marine nationale.1.2.2 – <strong>La</strong> lutte contre <strong>les</strong> filières d’immigrationLes filières d’immigration c<strong>la</strong>n<strong>de</strong>stine constituent une <strong>de</strong>s formes <strong>les</strong> plus abouties <strong>de</strong> <strong>la</strong> criminalité organiséeet sont le plus souvent associées à <strong>la</strong> prostitution, à <strong>la</strong> production <strong>de</strong> faux documents, au b<strong>la</strong>nchimentd’argent, voire au terrorisme. Les officines qui opèrent sont <strong>de</strong> mieux en mieux structurées et désormais enmesure <strong>de</strong> proposer au candidat à l’immigration un service “clés en main” <strong>de</strong>puis le recrutement dansle pays d’origine jusqu’à l’acheminement dans le pays <strong>de</strong> <strong>de</strong>stination pour y travailler ou y occuper unemploi saisonnier.Mise en p<strong>la</strong>ce en 2007 au sein <strong>de</strong> l’OCRIEST, <strong>la</strong> comptabilité <strong>de</strong>s filières démantelées n’a pu être réaliséeque sur <strong>la</strong> base d’une définition commune admise par <strong>les</strong> services, présentant <strong>la</strong> filière d’immigration irrégulièrecomme “un groupement structuré, souvent hiérarchisé et cloisonné, transnational, qui ai<strong>de</strong>, contrerémunération, un ou plusieurs candidats à l’immigration irrégulière à être acheminés d’un pays vers unautre ou à séjourner irrégulièrement sur le territoire d’un Etat”.85
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SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DU COMITÉ I
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Parallèlement, et preuve que notre
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