GIRIS: un SIG au service de l'exploitant - Université Jean Monnet

3.3 Les attentes de Générale des EauxLes Services Techniques ont donc fixé l’objectif suivant : stabiliser l’outil deconsolidation et assurer sa mise en route afin que le personnel dispose de plan à jour,étape préalable à l’exploitation. Ensuite, Il m’était demandé de proposer une solutionéquivalente qui pourrait se substituer à l’outil existant.3.4 MéthodologieSur le plan méthodologique, j’ai cherché à définir l’architecture de l’outil et son modede fonctionnement. Ensuite, j’ai établi une analyse des problèmes rencontrés via laconsultation des journaux de contrôle de l’outil. Je me suis plongé ensuite dans lesdifférentes technologies utilisées par l’outil afin de résoudre les bugs informatiquesrencontrés. Enfin, les deux dernières étapes ont consisté à remettre en service l’outilpar une synchronisation de tous les serveurs. En effet, près de 1000 fichiers étaientdéclarés incohérents ou manquants.3.5 Définition de l’architectureLa définition de l’architecture s’est établie à partir de la documentation existante.3.5.1 Cahier des chargesL’outil est spécifique au Service Technique, et respecte le cahier des charges remis àl’origine par Générale des Eaux.• Afin de limiter l’occupation du réseau informatique, le programme doitfonctionner la nuit,• Les fichiers réseaux doivent être compressés avant le transfert (par exemple :un fichier réseau fait en moyenne 500 kilo octets, les fichiers fond de plan sontgénéralement proches du méga d’octets) ;• L’outil doit fonctionner uniquement en session fermée Windows (dans le cascontraire, elle serait alors automatiquement déconnecté) ;• L’outil doit prendre en compte la norme ATC (Architecture TechniqueConvergente), propre à la CGE ;• L’outil doit respecter les créneaux horaires laissés libres par la DirectionInformatique (sauvegarde, redémarrage des serveurs, synchronisations de lamessagerie…) ;Page 27