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D e s C o r p s D e V i l l e - La Strada et compagnies

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D e s C o r p s D e V i l l eC o l l e c t i f l e N o m a d e V i l l a g eCoordination Artistique : Philippe Domengie / 06 15 55 69 70 / contact@lenomadevillage.comProduction-Diffusion : Claire demaison / <strong>La</strong> <strong>Strada</strong>&Cies/ 06-60-26-23-67 / claire-demaison@orange.fr


Des Corps de Ville : Danse & VidéoDanse contemporaine, installation multimédia.Extérieur : place, rue, espace public urbain.Jauge : selon l’espace disponible, pas de limite.Durée : 70 min de spectacle, installation ouverte au public pendant plusieurs heures.Des Corps de Ville nous raconte les hauts <strong>et</strong> les bas de 5 citadins. Des travailleurs qui,dans la réalité, ne font que traverser la ville : de chez eux à leur travail <strong>et</strong> vice <strong>et</strong> versa.Dans le spectacle, la ville devient leur maison, un immense appartement collectif.De scène en scène, nous les observons vivre, se mesurer aux bâtiments, se réfugierdans des anfractuosités, grimper sur les arêtes de la ville pour mieux r<strong>et</strong>omber dansses entrailles. Les corps se mesurent à l’architecture, si la mesure est encore possible...Pierre Glottin. Place Gaston Deferre, Marseille mars 2011.Co-productions : Théâtre Durance à Château-Arnoux, Proj<strong>et</strong> Europeen CAT (confrontations artistiquestransfrontalière), Théâtre des Salins, Scène Nationale de Martigues, Etang des Aulnes, Drac Paca, Villede Marseille, Conseil général 13.Pierre Glottin, Michael Pascault, Charlotte Smither, Yoan Mourles. Place Gaston Deferre, Marseille, mars 2011.


Pierre Glottin, Michael Pascault, Charlotte Smither. <strong>La</strong> Friche, Marseille, mars 2011.//Avant proposDes Corps de Ville parle de la place qu’occupe aujourd’hui <strong>et</strong> par anticipation, demain,l’être humain dans la ville. Des foules qui circulent, aux corps affichés sur les murs, lespectacle explore les liens de plus en plus étroits entre les réseaux physiques (place,rue, architecture) <strong>et</strong> ceux, dématérialisés, en constante progression (vidéo surveillance,affichage publicitaire, capteurs, GPS ...).Il aborde la transformation de notre espace public par l’intrusion des « surfacesd’images » : projections, écrans, publicité, <strong>et</strong> la nouvelle façon d’appréhender l<strong>et</strong>erritoire à travers le prisme de ces informations.Sapporo, Japon. Décembre 2009.


<strong>La</strong> scénographie :Cinq artistes danseurs interprètent des scènes qui viennent ponctuer la déambulationlibre du spectateur. Ces scènes sont le cœur du spectacle.<strong>La</strong> scénographie du spectacle est conçue pour l’espace public, adaptée à chaque lieude représentation : diffusion sur écrans ou directement sur les murs des bâtiments,prolongement virtuel de l’ici vers l’ailleurs. Des prises de vue sont effectuées en amontpour personnaliser la représentation donnée dans chaque lieu.Le public est impliqué de très prêt dans le déroulement du spectacle : dans certainesscènes où il joue un rôle (nécessitant des répétitions préalables) ainsi que de manièreimpromptue quand il est pris à parti par les interprètes, photographié, filmé <strong>et</strong> proj<strong>et</strong>é enlive. C<strong>et</strong>te participation du public peut s’étendre à des ateliers de pratiques amateursdonnés en amont.Le public va <strong>et</strong> vient dans l’installation, les danseurs-comédiens apparaissent dans <strong>et</strong>hors les images.Qu’éprouve t-on dans c<strong>et</strong>te rue que l’on emprunte 10 fois par jour, si elle se prolonge l<strong>et</strong>emps du spectacle par la rue d’une ville japonaise située à plus de 10 000 km ? Et sil’autre bout de la rue devient la façade d’un immeuble de Turin, avec ses habitants quinous regardent du haut de leur fenêtre ?!"#$%&'()*+,-)%.'-/(-)/(",-0.-"*(1,(.-2-3*(1,(.45'$%.6


Des Corps de Ville : Premier vol<strong>et</strong> d’un DiptyqueMême si les deux spectacles peuvent être joués séparément, Ubik (création 2012) <strong>et</strong>Des Corps de Ville (création 2011) forment un diptyque :Des Corps de Ville, spectacle d’extérieur, aborde la transformation de notre espacepublic par l’intrusion des « surfaces d’images » : projections, écrans, publicité, <strong>et</strong> lanouvelle façon d’appréhender le territoire à travers le prisme de ces informationsUbik, spectacle d’intérieur, traite le même suj<strong>et</strong> mais nous passons de l’espacepublic à la sphère privée, du collectif à l’individu.<strong>La</strong> où nous travaillons des scènes de foule avec le public dans Des Corps de Ville, nousinvitons le spectateur à une immersion virtuelle dans Ubik.Le lien entre les spectacles se fait également au niveau de l’écriture : des mêmesscènes sont jouées, le sens est commun, seul la forme diffère.Les cinq danseurs comédiens, leur trois chefs d’expérience <strong>et</strong> le public sont icienfermés dans une boite à image. <strong>La</strong> scénographie tend à immerger le plus possible lepublic, pris au piège d’une expérience dont il est à la fois le spectateur <strong>et</strong> l’acteur. <strong>La</strong>scénographie vient en renfort du dispositif interactif, comme pour tordre le regard.L’image nous paraît souvent plus vraie que la réalité. Sauf quand à se r<strong>et</strong>rouver nez ànez avec l’interprète en chair <strong>et</strong> en os. Le public est convié à prendre part à des choix,des sélections, comme face à une immense télécommande...Non loin de là, mais dans un autre espace, nous reconstituons un café intern<strong>et</strong>directement connecté à l’espace du jeu. Devant des écrans d’ordinateur, le public peutici voir, commenter <strong>et</strong> interagir avec le spectacle en cours, pendant qu’il attend son tourpour pénétrer dans la boite.Ubik, Virginie Coudoul<strong>et</strong>, Yui Mitsuhashi,Patrice De Bened<strong>et</strong>ti.Savigliano, Italie. Octobre 2010.UBIKDanse contemporaine, installation multimédia interactive.Intérieur : 2 espaces.Espace de jeu : une boite à images fermée de 10m par 16m.Espace d’attente : un café intern<strong>et</strong> reconstitué.Jauge : 50 personnes dans l’espace de jeu / 50 personnes dans l’espace web. Rotationlibre à la fin de chaque représentation.Durée : 30 min de spectacle, joué 3 fois.Co-productions : Théâtre des Salins, Scène Nationale de Martigues


Drac Paca, Ville de Marseille, Conseil général 13, Conseil Régional PACA.Pierre Glottin, Michael Pascault, Yoan Mourles. Le Dome, Marseille, mars 2011.//Le CollectifLe collectif est mu par la volonté première de ne pas rester sur place. D’où sonnomadisme plus artistique <strong>et</strong> intellectuel que géographique (nous n’habitons pas encaravane !). Nous manipulons la danse contemporaine, la vidéo, la photo, lemultimédia. Nous essayons de rester en mouvement. Pour y arriver nous avons choiside partager l’espace de création : entre les artistes de différentes origines qui évoluentdans le collectif <strong>et</strong> avec le public, constamment impliqué dans nos spectacles.Depuis 3 ans nous nous attachons à développer une dramaturgie singulière : notrepoint de départ est un mélange d'écriture théâtrale <strong>et</strong> de cinéma. Nous partons d'unsuj<strong>et</strong> de société (la vie de couple aujourd'hui dans Oscar <strong>et</strong> Moi, les relations entreadolescents dans Débordeurs, la crise économique pour Danse de Territoire,l'envahissement des technologies numériques : Ubik / Des corps de ville) que noustraduisons en un scénario, des scènes, intentions, situations <strong>et</strong> personnages. Une foisla recherche en écriture terminée, nous substituons la théâtralité par la dansecontemporaine <strong>et</strong> l'image. Proche du travail développé en art brut, nous sommes à lalisière entre spectacle vivant <strong>et</strong> art contemporain. Le lieu de représentation est abordécomme scène de jeu autant que comme installation plastique. Le public n'y est pasinterdit, au contraire : non seulement il est invité à y circuler, mais il est égalementimpliqué à jouer un rôle dans le spectacle.Nous proposons en amont de chacune de nos représentations un temps de résidencependant lequel nous m<strong>et</strong>tons en place des ateliers de participation ouverts au public.Ce temps perm<strong>et</strong> de personnaliser la rencontre entre le Collectif, l’équipe de la structurequi nous accueille <strong>et</strong> son territoire.


Calendrier de créationsaison 2010 :DCDV : Du 05 au 09/04/2010 : repérage à Savigliano (Italie)Du 10 au 15/05/2010 : <strong>La</strong>boratoire de création aux Pennes Mirabeau15/05/2010 : présentation de recherches aux Pennes Mirabeau - Karwan - <strong>La</strong> follehistoire des arts de la rue.UBIK : Du 01 au 20/07/2010 : résidence de création à <strong>La</strong> Filatorio (Centre nationaled’art contemporain, Caraglio, Italie), dans le cadre du CAT, programme européen transfrontalier France-Italie, proj<strong>et</strong> porté par le Théâtre Durance (Château-Arnoux).17/07/2010 : sortie de résidence à SaviglianoDCDV : Du 27/09/2010 au 02/09/2010: résidence de création au Théâtre Durance(Château-Arnoux).Du 04 au 09/10/2010 : résidence de création à Savigliano, première de création le09/10/2010 sur la place santa Rossa (extérieur)Saison 2010-2011DCDV : Travail avec la population de Château-Arnoux.Du 07 au 11/03 <strong>et</strong> du 21 au 25/03 : résidence de tournage à MarseilleDu 14 au 18/03 : résidence de création au Théâtre Durance.Du 11 au 16/04 : résidence de création à la compagnie Parnas.Du 09 au 20/05/2011 : résidence de création au Théâtre Durance.Première de DCDV à Château-Arnoux le 20/05/2005Saison 2011-2012UBIK : Travail avec la population de Martigues (collège Wallon <strong>et</strong> Lycée Lurçat)Printemps 2012 : résidence de création <strong>et</strong> représentation à Martigues - Scène Nationaledes Salins.DCDV : Avril 2012 : résidence de création <strong>et</strong> représentation à Maribor (Slovénie) -capitale de la culture européenne 2012.DCDV <strong>et</strong> UBIK :Saison 2012-2013Travail avec la population de MarseilleSeptembre 2012 : résidence de création <strong>et</strong> représentation à Guimarães (Portugal) -capitale de la culture européenne 2012.Saison 2012-2013Représentation pour Marseille-Provence 2013.//L’Equipe artistique


Direction artistique : Philippe Domengie, Virginie Coudoul<strong>et</strong>-GirardEcriture collective de <strong>et</strong> jouée par : Alexandre Denis, Pierre Glottin, Yoan Mourles, MichaelPascault, Charlotte Smither.Vidéo : Camille Bequié, Philippe Domengie.Régie générale : Rémi DroeschVIRGINIE COUDOULET-GIRARD - chorégraphe, danseuse, comédienne.Elle obtient son DE d’enseignement de la danse en 1996, au centre de formation YRDCà Marseille, où elle rencontre Michelle Ricozzi <strong>et</strong> participe à plusieurs créations de laCie. En 1998, elle rejoint le collectif SKALEN avec lequel elle co-chorégraphie <strong>et</strong>interprète Le plongeon du Voimekwa.En 2000 elle intègre le collectif Ex-NIHILO, avec qui elle approfondie entre autre l<strong>et</strong>ravail de la danse contact <strong>et</strong> tourne en Europe avec les spectacles <strong>La</strong> plus belle heure,Loin de là, Salida,<strong>et</strong> Calle Obrapia # 4. En 2006, elle travaille comme regard extérieur àla création de la compagnie Nö <strong>et</strong> poursuit son travail dans la compgnie commeinterprète du spectacle Complices, duo pour 2 danseuses <strong>et</strong> 2 cordes.En 2008, elle rejoint le collectif le nomade village pour la création Oscar <strong>et</strong> moi, qu’elleinterprète <strong>et</strong> co-écrit avec philippe Domengie, mise en scène par Olivier Pauls. En 2009elle écrit <strong>et</strong> interprète Debordeurs, pièce chorégraphique du collectif <strong>et</strong> <strong>La</strong> maison <strong>et</strong> <strong>La</strong>place, 2 spectacles joués <strong>et</strong> dansés en public par des danseurs amateurs. Elle participecomme comédienne à Tranche de guerre, pièce de theatre de la Cie rouge/ vert <strong>et</strong>assure le relais de mise en scène (d’Olivier Pauls) pour Desperate singers, EnsembleTelemaque. Elle dirige des stages <strong>et</strong> des ateliers chorégraphiques pour amateursdepuis 1990 <strong>et</strong> collabore avec la scène nationale des Salins pour des interventions enmilieu scolaire. Depuis 2007 elle donne des ateliers en collège avec le collectif lenomade village mêlant danse <strong>et</strong> vidéo (action CG13).PHILIPPE DOMENGIE - réalisateur, musicien.Après des études de Jazz à l’ENM de Villeurbanne, <strong>et</strong> de cinéma à la faculté de Lyon II,en 1993 il part au Sénégal, au Bénin <strong>et</strong> au Togo avec le théâtre national Daniel Soranocomme comédien <strong>et</strong> musicien dans la pièce de Wole Soyinka, <strong>La</strong> mort <strong>et</strong> l’écuyer duroi.De r<strong>et</strong>our en France, il rejoint en 1994 le studio S’pace Music à Grenoble où il travailleavec Gnawa Diffusion <strong>et</strong> Sinsemillia. Puis joue avec la formation Mélanzé jusqu’en1997, aux Transmusicales de Rennes. Avec Anne Leborgne il monte un duo pour lesbiennales de la danse de Lyon en 1998. En 2001, il rejoint le cirque Pouce commemusicien <strong>et</strong> vidéaste.Depuis 2003, il a été tout à tour réalisateur artistique pour la chanteuse Anais, musicienpour la compagnie de danse Ex-Nihilo (Salida, Loin de Là) <strong>et</strong> la compagnieChérid’amour (le Russe Blanc), réalisateur de nombreuses vidéos-danses pour lascène nationale des Salins <strong>et</strong> le conseil général des bouches du Rhône.En 2008, il écrit <strong>et</strong> interprète avec Virginie Coudoul<strong>et</strong> Girard, Oscar <strong>et</strong> Moi, qui sonne lacréation du collectif le nomade village. Il réalise un film pour la compagnie L’entreprise-François Cervantés, <strong>La</strong> nuit. Aujourd’hui il réalise deux films, Danse de territoire avec l<strong>et</strong>héâtre de Durance <strong>et</strong> un documentaire, accompagnée par la Fémis, Des corps devilles, qui donne le point de départ au spectacle éponyme.


YOAN MOURLES Danseur Comédien :Sur le chemin d’une formation spécifiquement théâtrale (cours, puis faculté arts-duspectacle<strong>et</strong> conservatoire à Bordeaux, Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes) YoanMourles rencontre le chorégraphe William P<strong>et</strong>it avec qui il commence à danser tout encontinuant à participer de pièces de théâtre, performances, courts-m<strong>et</strong>rages, spectaclesjeune public. Toujours sur les marches des mots <strong>et</strong> du corps il se nourrit à toutes lessources, spectacles de rue, arts martiaux, danse africaine, musique, chant, vidéo maisaussi maçonnerie, charpente, jardinage <strong>et</strong>c…MICHAEL PASCAULT Danseur :Michaël commence la danse à quatre ans dans l’école de Christine Pascault à Poitiers,puis intègre le CNR de Tours.A l’âge de seize ans, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique <strong>et</strong> deDanse de Lyon en section classique, qu’il quittera en 2007 avec l’obtention du diplômesupérieur du CNSMD. Durant ses années au conservatoire il participe aux créationsdes pièces d'Agnès NOLTENUS, de Yuval PICK, de Davy BRUN <strong>et</strong> de WaldemarBARTOVSKY, <strong>et</strong> également à la reprise de pièces de Frédéric LESCURE <strong>et</strong> JacquesGARNIER.En 2005, le Conseil Régional le choisit Artiste Jeune Talent en Poitou- Charentes. A lasortie du conservatoire il participe à la création de Phobos avec le CentreChorégraphique National de Nantes chorégraphie Claude BRUMACHON, puis endécembre 2007 il devient membre du Ball<strong>et</strong> Junior de Genève où il r<strong>et</strong>ravaille avecYuval Pick, travaille avec Patrick Delcroix <strong>et</strong> danse des reprises de Jozsef TREFELI <strong>et</strong>Thierry MALANDIN.Début juill<strong>et</strong> 2008, il intègre le Cathy Sharp Dance Ensemble basé à Bâle où il resterajusqu’en novembre 2010. En parallèle du CSDE, il devient danseur du T42 DanceProject en 2009 <strong>et</strong> danse encore pour eux aujourd’hui. En juill<strong>et</strong> 2010, il danse pour lacompagnie deRothfils, à Berne pour le film Der Graatzug.Contact :Le Collectif Le Nomade Village30 rue Guibal13001 Marseillecontact@lenomadevillage.comwww.lenomadevillage.comCoordination Artistique : Philippe Domengie0615556970//contact@lenomadevillage.comProduction-Diffusion : Claire demaison<strong>La</strong> <strong>Strada</strong>&Cies//Accompagnement de proj<strong>et</strong>s culturels06-60-26-23-67//claire-demaison@orange.fr

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