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Rapport d'activité de l'ESEN 2010 - Ministère de l'Éducation nationale

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<strong>Rapport</strong> d’activité<strong>2010</strong>


SommaireFaits marquants et ESEN en chiffres p 4Évolution <strong>de</strong> l’activité <strong>de</strong> formation p 6Formation enseignement scolaire p 8Formation enseignement supérieur p 12Politique <strong>de</strong> coopération européenne, <strong>de</strong> relationsinter<strong>nationale</strong>s et <strong>de</strong> partenariats p 14Ressources p 18Secrétariat général p 20 gestion <strong>de</strong>s ressources humaines p 21 communication p 22 affaires financières p 23accueil <strong>de</strong>s stagiaires, patrimoine immobilieret service intérieur p 27 informatique p 303


Faits marquants etESEN en chiffresL'ESEN en <strong>2010</strong> c'est :68 personnels permanents7 472 stagiaires29 508 journées/stagiaires1 011 formateurs ou intervenants5 430 heures d'enseignementRépartition <strong>de</strong>sjournées/stagiairesEn<strong>2010</strong>Évolution globale du nombre<strong>de</strong> stagiaires <strong>de</strong> 2004 à <strong>2010</strong>.TOTAL FORMATION CONTINUE12 955(Evolution prévisible <strong>de</strong>s métiers/Adaptation immédiate au poste<strong>de</strong> travail)Enseignement scolaire 86%Enseignement supérieur 11%Inter-Institutionnel (Resp) 2%1%International (cadres étrangers etdélégations)TOTAL FORMATION STATUTAIRE 16 553(Inspecteurs et Personnels <strong>de</strong> direction)Inspecteurs 60%Personnels <strong>de</strong> direction 40%FORMATION CONTINUE 44%FORMATION STATUTAIRE 56%Personnels <strong>de</strong> directionInspecteurs du second <strong>de</strong>gréInspecteurs du premier <strong>de</strong>gréPersonnels administratifsPersonnels <strong>de</strong> santé, sociauxAutres publicsEffectifs4


Mise en place <strong>de</strong> CHORUS, l'application<strong>de</strong> gestion financièreinterministérielle. Tous les personnelsen charge <strong>de</strong> la gestionfinancière <strong>de</strong> <strong>l'ESEN</strong> ont suiviune formation lour<strong>de</strong> pour êtreen mesure <strong>de</strong> travailler sur cetteapplication et <strong>de</strong> suivre les nouvellesprocédures qu'elle implique.Un local syndical, mis à disposition <strong>de</strong>toutes les représentations syndicales, aouvert ses portes à l’ESEN en septembre<strong>2010</strong>. Une permanence estassurée tous les vendredis après-midi.Mai <strong>2010</strong> : lancement du premier parcours<strong>de</strong> formation en ligne : il s'agit <strong>de</strong> la préparationau stage en administration régalienne pour 1100inspecteurs et personnels <strong>de</strong> direction.Intégration <strong>de</strong>s missions et <strong>de</strong>spersonnels <strong>de</strong> la Mission <strong>de</strong> la formationà <strong>l'ESEN</strong> :juillet <strong>2010</strong>.Novembre <strong>2010</strong> : Première webconférence<strong>de</strong> l’ESEN en partenariatavec le CNED sur le thème "Le management<strong>de</strong> l’autonomie <strong>de</strong>s établissementsscolaires".Décembre <strong>2010</strong> :renouvellement <strong>de</strong>la convenond'édion entre leCNDP et <strong>l'ESEN</strong>pour la publicaon<strong>de</strong> la collecon"Profession cadre,service public".Parcipaon <strong>de</strong> l’ESEN au salon <strong>de</strong>l’éducaon en novembre <strong>2010</strong>.Lors du lancement à l'ENA en mai <strong>2010</strong>,du 3ème ouvrage <strong>de</strong> la collection"Profession cadre, service public".Intervention <strong>de</strong> Michel ROCARD, ancienpremier ministre et auteur <strong>de</strong> la préface <strong>de</strong>"L'évaluation <strong>de</strong>s politiques publiques".5


Évolution <strong>de</strong> l'activité<strong>de</strong> formationFORMATIONS À DESTINATION DES PERSONNELS DE L'ENSEIGNEMENT SCOLAIREPar rapport à l’année 2009, la réparon annuelle <strong>de</strong>s journées stagiaires en formaonconnue* progresse fortement, passant <strong>de</strong> 33% à 44 % en un an.* Formaon connue : (Adaptaon à l’évoluon prévisible <strong>de</strong>s méers et adaptaon immédiate au poste <strong>de</strong> travail)En <strong>2010</strong>, l’activité <strong>de</strong> formation se développeparticulièrement en adaptationà l’évolution prévisible <strong>de</strong>s métiers(+58%) et en adaptation immédiate auposte <strong>de</strong> travail (+21%). Avec respectivement3 118 et 774 journées stagiairessupplémentaires.Par contre, l’activité en formation statutaireaccuse une baisse <strong>de</strong> 11% (miseen place <strong>de</strong> la nouvelle modalité <strong>de</strong>formation en 2009 pour les inspecteurs).Réparon annuelle <strong>de</strong>s journées stagiaires 2009 <strong>2010</strong>Formaon professionnelle statutaire 67% 56%Adaptaon à l’évoluon prévisible <strong>de</strong>s méers 20% 29%Adaptaon immédiate au poste <strong>de</strong> travail 13% 15%Réparon annuelle <strong>de</strong>s effecfs 2009 <strong>2010</strong>Formaon professionnelle statutaire 44% 35%Adaptaon à l’évoluon prévisible <strong>de</strong>s méers 38% 49%Adaptaon immédiate au poste <strong>de</strong> travail 18% 16%6


Thématiques <strong>de</strong> formation :Les formations <strong>de</strong> formateurs et les formations sur la sécurisation <strong>de</strong>s établissements représentent respectivement 19% et 17% <strong>de</strong>l’ensemble <strong>de</strong>s journées stagiaires en adaptation à l’évolution prévisible <strong>de</strong>s métiers.FORMATIONS À DESTINATION DES PERSONNELS DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEURPriorité a été donnée à la culture d'encadrement <strong>de</strong> haut niveau (cycle supérieur <strong>de</strong> management <strong>de</strong>s établissements) avec 37% <strong>de</strong>sjournées stagiaires.7


Formationenseignement scolaireL’activité formation <strong>de</strong> l’ESEN s’est déroulée durant cetteannée <strong>2010</strong> dans un contexte <strong>de</strong> transition particulièrementprégnant.Évolution <strong>de</strong> l’organisation interne qui a mis en place en septembre<strong>2010</strong> un département formation regroupant l’ensemble<strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> formation <strong>de</strong> l’école, quel que soit le secteurconsidéré (enseignement scolaire, enseignement supérieur et<strong>de</strong> la recherche, international et inter-institutionnel).Élargissement du périmètre <strong>de</strong> responsabilité <strong>de</strong> l’école àcompter du 20 juillet <strong>2010</strong> : l’ESEN est <strong>de</strong>venue un <strong>de</strong>s opérateursessentiels <strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s publics ATSS(administratifs, techniques, ouvriers et personnels <strong>de</strong> santé etsocial) et BIATOSS (bibliothèques, ingénieurs, administratifs,techniques, ouvriers et personnels <strong>de</strong> santé et social).Évolution du dispositif <strong>de</strong> formation statutaire <strong>de</strong>s personnels<strong>de</strong> direction qui se déroule sur un an à compter <strong>de</strong> la promotion<strong>2010</strong> et stabilisation du nouveau dispositif <strong>de</strong> formationstatutaire <strong>de</strong>s inspecteurs qui date <strong>de</strong> 2009. De ce fait, en<strong>2010</strong>, ont été organisés les 3 <strong>de</strong>rniers regroupements <strong>de</strong> lasecon<strong>de</strong> année <strong>de</strong> formation <strong>de</strong> la promotion 2009.Un premier constat est l'intégration <strong>de</strong> plus en plus marquéedans l’activité formation <strong>de</strong> la production <strong>de</strong> ressources numériquesmises à disposition essentiellement sur le site web <strong>de</strong>l’ESEN et <strong>de</strong>puis le printemps <strong>2010</strong> sur une plate-forme <strong>de</strong>formation à distance pilotée par la DGESCO : Pairform@nce.Le second constat est celui d’une augmentation sensible <strong>de</strong>l’activité formation, tant en nombre <strong>de</strong> journées stagiaires (cfgraphique) qu’en nombre d’heures <strong>de</strong> formation dispensées.Il est à noter que, dans le cadre d’une évolution très progressivemais tendancielle, la participation <strong>de</strong>s hommes et <strong>de</strong>sfemmes s’équilibre pratiquement (3766 hommes/3706femmes).LA FORMATION STATUTAIRE DES CADRES PÉDAGOGIQUESEn <strong>2010</strong>, la part <strong>de</strong> la formation statutaire poursuit son érosiondue à l’évolution du dispositif <strong>de</strong> formation <strong>de</strong>s inspecteurs (6semaines <strong>de</strong> formation sur un an contre 14 semaines sur <strong>de</strong>uxans dans le dispositif précé<strong>de</strong>nt).La formation <strong>de</strong>s inspecteursLa conception <strong>de</strong> la formation statutaire <strong>de</strong>s inspecteurs, fort<strong>de</strong> l’expérience <strong>de</strong> 2009 et <strong>de</strong>s premiers retours d’expérience,se stabilise autour d’un modèle dans lequel la simple transmission<strong>de</strong> savoirs régresse sensiblement et la professionnalisationprend une place prédominante. L’illustration <strong>de</strong> ce choixpédagogique peut se retrouver dans la multiplication <strong>de</strong>s ateliersancrés dans le quotidien professionnel <strong>de</strong>s stagiaires,l’analyse <strong>de</strong> situations réelles avec les acteurs mêmes <strong>de</strong> cessituations (y compris avec <strong>de</strong>s participations à distance), lerenforcement <strong>de</strong>s ateliers d’analyse <strong>de</strong> pratiques professionnellesen début <strong>de</strong> chaque regroupement après la prise <strong>de</strong>fonction ("SAS").8La réflexion visant à installer la formation statutaire dans unedurée plus longue tout en la rapprochant du lieu d’exercices’incarne également dans l’expérimentation menée en mai<strong>2010</strong> autour <strong>de</strong> la préparation au stage en administration réga-


lienne auprès <strong>de</strong> 1100 lauréats <strong>de</strong>s concours inspecteurs etpersonnels <strong>de</strong> direction. Cette expérimentation a consisté àréaliser et à proposer sur la plate-forme Pairform@nce un parcoursen ligne équivalent environ à 7 heures <strong>de</strong> formation quia été intégré dans chacun <strong>de</strong>s dispositifs académiques liés àce stage.Parcours en ligneEnsemble <strong>de</strong> ressources numériques <strong>de</strong> natures diverses(vidéo, audio, textes, liens) permettant <strong>de</strong> menerà bien <strong>de</strong>s activités d’apprentissage dans le cadred’un scénario pédagogique mis en ligne sur une plateforme<strong>de</strong> formation. Un parcours en ligne a vocation àêtre intégré dans un ensemble plus vaste d’activitéspédagogiques qui associe au sein d’un dispositif <strong>de</strong>smoments <strong>de</strong> présentiel, d’animation à distance via <strong>de</strong>sréunions virtuelles et d’accompagnement essentiellementdistant.Les parcours en ligne <strong>de</strong> l’ESEN sont déposés dans ledomaine ESEN <strong>de</strong> la plate-forme Pairform@nce.Salle <strong>de</strong> formation virtuelle <strong>de</strong> <strong>l'ESEN</strong> dansl’environnement Assemblive.L'originalité du nouveau dispositif <strong>de</strong> formation rési<strong>de</strong> en lanécessité <strong>de</strong> développer l’accompagnement <strong>de</strong>s stagiaires auplus près <strong>de</strong> leur activité professionnelle et <strong>de</strong> leurs champs<strong>de</strong> responsabilité. À cette fin, l’ESEN poursuit le travail avecles responsables académiques pour développer la professionnalisation<strong>de</strong>s collègues chargés <strong>de</strong> cet accompagnement :les délégués académiques à la formation <strong>de</strong>s personnelsd’encadrement (DAFPE), les formateurs associés référents(FAR) et particulièrement les tuteurs. C’est ainsi qu’à l’automne<strong>2010</strong>, l’ESEN a organisé 3 séminaires interacadémiquesafin <strong>de</strong> travailler la fonction tutorale avec l’ensemble<strong>de</strong> ces acteurs ; elle a également organisé au bénéfice<strong>de</strong>s tuteurs ultra-marins un séminaire en ligne sur <strong>de</strong>uxjournées.Séminaire <strong>de</strong>s tuteurs ultra-marinsOrganisé sur la notion <strong>de</strong> fonction tutorale, ce séminairea réuni les tuteurs <strong>de</strong>s académies <strong>de</strong> la Réunion,Guyane, Martinique et Gua<strong>de</strong>loupe, ainsi que les collèguesen charge du suivi <strong>de</strong>s stagiaires en NouvelleCalédonie et en Polynésie française (14 collègues autotal). Il a mixé <strong>de</strong>s réunions virtuelles, en tenantcompte <strong>de</strong>s décalages horaires, et <strong>de</strong>s ateliers surplace avec dépôt <strong>de</strong>s productions sur un espace dudomaine ESEN <strong>de</strong> la plate-forme Paiform@nce. Àcette occasion, <strong>l'ESEN</strong> a également testé, pour la <strong>de</strong>rnièreséance plénière, l’environnement Assemblive quipermet <strong>de</strong> recréer virtuellement l’environnement d’uneréunion et d’échanger autour d’un document commun.Afin d’outiller l’accompagnement <strong>de</strong>s stagiaires, l’ESEN aégalement renforcé le rôle du Parcours Individuel <strong>de</strong> Professionnalisation(PIP) : contrat entre le stagiaire, son tuteur et leDAFPE, par lequel s’incarne l’engagement du stagiaire dansson parcours mais aussi les échanges du stagiaire et <strong>de</strong> sontuteur lors <strong>de</strong>s entretiens <strong>de</strong> positionnement et <strong>de</strong> régulation.Ce PIP permet au niveau local, dans le cadre <strong>de</strong> l’activité professionnellemême, au niveau académique et éventuellementau niveau national, <strong>de</strong> proposer <strong>de</strong>s activités qui facilitent ourenforcent l’acquisition <strong>de</strong>s compétences nécessaires à l’exercicedu métier.La formation <strong>de</strong>s personnels <strong>de</strong> directionL’alignement <strong>de</strong> l’organisation <strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s personnels<strong>de</strong> direction sur celle <strong>de</strong>s inspecteurs n’a pas eu d’impactparticulier sur l’activité <strong>de</strong> l’ESEN : ce sont toujours 10 regroupementsd’environ 200 personnes qui ont été organisés en<strong>2010</strong> (2 fois 5 séminaires afin d’accueillir par vagues les lauréats2009 pour le R2 et les lauréats <strong>2010</strong> pour le R1). Lesévolutions sont, en revanche, plus sensibles dans l’accompagnementet l’expertise que l’ESEN propose aux équipes académiquesen charge <strong>de</strong> la mise en œuvre du nouveau dispositiflocalement, celui-ci étant plus concentré dans le temps.C’est ainsi que se développent les séminaires avec les responsablesopérationnels <strong>de</strong> la formation statutaire <strong>de</strong>s personnels<strong>de</strong> direction et l’offre <strong>de</strong> formation <strong>de</strong> formateurs, particulièrementdans les domaines <strong>de</strong> l’analyse (analyse <strong>de</strong> situationsprofessionnelles, <strong>de</strong> pratiques professionnelles, analyseréflexive et ai<strong>de</strong> à la prise <strong>de</strong> décision) et <strong>de</strong> l’ingénierie<strong>de</strong> formation.9


LA FORMATION CONTINUEConstruite au sein du Programme National <strong>de</strong> Pilotage(<strong>de</strong>venu Plan National <strong>de</strong> Formation à l’automne <strong>2010</strong>), l’offrese décompose en <strong>de</strong>ux sortes d’actions : les comman<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s directions et directions générales<strong>de</strong> l’administration centrale pour lesquelles l’ESEN agiten tant qu’opérateur <strong>de</strong> formation. l’offre propre à l’ESEN, essentiellement dans le domaine<strong>de</strong> l’accompagnement <strong>de</strong>s équipes académiques.L’augmentation particulièrement sensible <strong>de</strong> l’activité (environ+ 40%) se focalise autour <strong>de</strong> 5 secteurs : la formation <strong>de</strong> formateurs, au bénéfice <strong>de</strong>s équipesacadémiques <strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s cadres (cf supra) dansle cadre <strong>de</strong> l’accompagnement à l’évolution <strong>de</strong>s modalités<strong>de</strong> la formation statutaire ; le pilotage pédagogique du premier <strong>de</strong>gré, autour <strong>de</strong> 4thématiques prioritaires : enseignement <strong>de</strong>s mathématiques,enseignement <strong>de</strong>s sciences, enseignement préélémentaireet enseignement <strong>de</strong>s langues vivantes,mais aussi sur la question <strong>de</strong> l’évaluation <strong>de</strong>s écoles ; la sécurisation <strong>de</strong>s établissements : formation <strong>de</strong>s responsables<strong>de</strong>s équipes mobiles <strong>de</strong> sécurité, <strong>de</strong>s directeurs<strong>de</strong> cabinet, <strong>de</strong>s chefs <strong>de</strong>s établissements dits"difficiles", … l'adaptation scolaire <strong>de</strong>s élèves en situation <strong>de</strong> handicap: animation formation du réseau <strong>de</strong>s IEN ASH, <strong>de</strong>sCT ASH et refonte <strong>de</strong> la formation d’adaptation à l’emploi<strong>de</strong>s nouveaux IEN ASH ; les TICE : TICE et langues, TICE et lettres, TICE etSVT, réseau TICE ESEN.La conception et la mise en œuvre <strong>de</strong> ces différentes actions<strong>de</strong> formation ont mis en valeur la coopération avec <strong>de</strong> nombreuxpartenaires : la DGESCO, l'Institut national supérieur <strong>de</strong>formation et <strong>de</strong> recherche pour l'éducation <strong>de</strong>s jeunes handicapéset les enseignements adaptés (INS HEA) dans le domaine<strong>de</strong> l’adaptation et <strong>de</strong> l’intégration scolaire, l’Institut national<strong>de</strong>s hautes étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> la sécurité et <strong>de</strong> la justice (INHESJ)dans le domaine <strong>de</strong> la sécurisation, l’IGEN (dans l’ensemble<strong>de</strong>s différents domaines pédagogiques), l’INRP (<strong>de</strong>venu l’IFÉ -Institut français <strong>de</strong> l'éducation -) particulièrement dans le domaine<strong>de</strong> l’évaluation), etc.Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s modalités traditionnelles d’organisation <strong>de</strong>s séminaires,l’ESEN a cherché à valoriser en amont <strong>de</strong> ces formationsles ressources numériques qu’elle avait produites sur lesthèmes concernés et qui sont mises en ligne sur son site web.Dans le même esprit, l’utilisation <strong>de</strong>s espaces virtuels réservésEspaces <strong>de</strong> mutualisation <strong>de</strong>s IEN chargés <strong>de</strong> missiondu premier <strong>de</strong>gréChaque groupe <strong>de</strong> pilotage et <strong>de</strong> chargés <strong>de</strong> mission1 er <strong>de</strong>gré (environ 100 personnes pour chacune <strong>de</strong>s 4thématiques) dispose d’un espace virtuel (quick place)animé par une équipe d'inspecteurs, afin <strong>de</strong> partager<strong>de</strong>s informations et <strong>de</strong>s ressources organisationnelleset pédagogiques. Ces espaces sont également alimentésen ressources documentaires par le centre <strong>de</strong> ressources<strong>de</strong> l’ESEN.Espace <strong>de</strong> mutualisation <strong>de</strong> la promotion 2009 /<strong>2010</strong> <strong>de</strong>s IEN du premier <strong>de</strong>gréLes 90 stagiaires inspecteurs du 1 er <strong>de</strong>gré ont souhaitédisposer d’un espace d’échanges d’informations et <strong>de</strong>ressources animé par leur soins ; cet espace était installésur la plate-forme "campusESEN" hébergée parl’université <strong>de</strong> Limoges.Espace <strong>de</strong> formation-animation du réseau TICEESENLes 75 membres du réseau TICE ESEN ont bénéficiéd’un espace virtuel dans le domaine ESEN <strong>de</strong> la plateformePairform@nce : espace d’informations, <strong>de</strong> préparation<strong>de</strong>s séminaires présentiels, <strong>de</strong> stockage <strong>de</strong>ressources documentaires et <strong>de</strong> sensibilisation,d’échanges entre les membres eux-mêmes.à <strong>de</strong>s communautés d’acteurs a été sensiblement développée: stagiaires en formation, groupes <strong>de</strong> pilotage pour le premier<strong>de</strong>gré, chargés <strong>de</strong> mission sur les thématiques prioritaires,groupe métier, etc. Ces nouvelles modalités ont permis<strong>de</strong> préparer en amont les séminaires en mettant à disposition<strong>de</strong>s ressources <strong>de</strong> réflexion, d’installer <strong>de</strong>s échanges a posteriori,<strong>de</strong> favoriser si nécessaire la mutualisation <strong>de</strong> productionslocales, en fait d’installer la formation dans un continuum plusmarqué et <strong>de</strong> la rapprocher <strong>de</strong> l’activité professionnelle <strong>de</strong>spersonnes concernés.Dans le cadre <strong>de</strong> l’accompagnement <strong>de</strong>s équipes académiquesen charge <strong>de</strong> la préparation aux concours d’encadrementpédagogique, l’ESEN a organisé à titre expérimental sapremière webconférence en partenariat avec le CNED, qui amis à disposition à cette occasion ses moyens techniquesprofessionnels. Cette émission traitait <strong>de</strong> la question <strong>de</strong> l’autonomie<strong>de</strong>s EPLE, <strong>de</strong> son évolution dans le temps et <strong>de</strong> sesenjeux actuels dans le cadre <strong>de</strong> l’évolution <strong>de</strong> la gouvernancepropre du système éducatif. Cette première émission a réunien direct les préparationnaires <strong>de</strong> 13 académies métropolitaineset 2 académies ultra-marines, soit environ 2500 personnes.10


WebconférenceÉmission <strong>de</strong> télévision diffusée en direct sur le web viala plate-forme Pairform@nce ; d’une durée <strong>de</strong> 90’, elleréunit sur le plateau du CNED plusieurs intervenantsautour d’une même thématique. Les collègues qui préparentle concours sont réunis et animés localementpar <strong>de</strong>s formateurs et /ou le DAFPE ; ils suivent endirect l’émission et peuvent interroger les intervenantsvia le téléphone ou le forum <strong>de</strong> l’espace Pairform@ncedédié. Les animateurs locaux, après l’émission, poursuiventles échanges sur la thématique traitée.LA FORMATION DES PERSONNELS ATSSCes activités <strong>de</strong> formation ont connu un sort particulier durantcette année <strong>2010</strong>.Jusqu’en juillet <strong>2010</strong>, le périmètre <strong>de</strong> responsabilité <strong>de</strong> l’ESENsur ce secteur concernait l’adaptation à l’emploi et la formationcontinue <strong>de</strong>s cadres administratifs.L’approfondissement <strong>de</strong> compétences "métier", particulièrementdans les domaines juridiques autour <strong>de</strong> laprévention du contentieux et <strong>de</strong> l’achat public, ainsi quedans le secteur <strong>de</strong>s ressources humaines.Pour les autres personnels ATSS, il s’est agi à la fois d’accompagnerles équipes académiques <strong>de</strong> formation et leursresponsables et <strong>de</strong> proposer <strong>de</strong>s actions <strong>de</strong> développement<strong>de</strong> compétences dans <strong>de</strong>ux domaines essentiellement : lagestion <strong>de</strong>s ressources humaines et le secteur prévention,santé et social. Dans ce <strong>de</strong>rnier secteur, outre la responsabilitédu suivi <strong>de</strong> la formation statutaire <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins à l'EHESP(Ecole <strong>de</strong>s hautes étu<strong>de</strong>s en santé publique) à Rennes, laMIFOR puis l’ESEN ont organisé <strong>de</strong>s actions en partenariatavec la DGESCO au profit <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins, infirmières et assistantessociales, particulièrement sur le champ <strong>de</strong> la préventionet sur celui <strong>de</strong> l’élaboration et la mise en œuvre <strong>de</strong> politiqueséducatives partagées avec les chefs d’établissementau sein d’un territoire.À partir <strong>de</strong> juillet <strong>2010</strong>, c’est la formation <strong>de</strong> l’ensemble <strong>de</strong>spersonnels ATSS qui passe sous la responsabilité <strong>de</strong> l’ESEN,intégrant ainsi les activités <strong>de</strong> formation <strong>de</strong> la Mission <strong>de</strong> laFormation (MIFOR), service précé<strong>de</strong>mment rattaché à laDGRH.Dans le domaine <strong>de</strong> l’encadrement administratif, les activitésse sont organisées autour <strong>de</strong> 2 entrées complémentaires :L’accompagnement à la prise <strong>de</strong> nouvelles fonctions: c’est ainsi que l’ESEN a organisé conjointementavec la MIFOR <strong>de</strong>ux séminaires pour les 400 nouveauxattachés principaux <strong>de</strong> l'éducation <strong>nationale</strong> et <strong>de</strong> l'enseignementsupérieur (APAENES). Elle a égalementproposé un cycle pour les nouveaux chefs <strong>de</strong> divisionsacadémiques et accueilli pendant une semaine les nouveauxagents comptables, en partenariat avec la DAF.Deux autres priorités ministérielles ont également été traduitesdans <strong>de</strong>s actions <strong>de</strong> formation : la question <strong>de</strong> la sécuritéau travail (avec les inspecteurs hygiène et sécurité) etcelle du développement durable.Dans ce secteur également s’exprime la volonté <strong>de</strong> mettre lesTICE au service <strong>de</strong> la formation et <strong>de</strong> l’animation <strong>de</strong> communautésprofessionnelles, au travers notamment : d’un fort accroissement <strong>de</strong> l’utilisation <strong>de</strong>s réunions etclasses virtuelles (logiciel Centra mis à disposition parle pôle FOAD (formation ouverte et à distance) du ministère<strong>de</strong> l’éducation <strong>nationale</strong> ; <strong>de</strong> l’utilisation <strong>de</strong> parcours <strong>de</strong> formation médiatisésdéposés sur une plateforme LMS (Learning managementsystem) également hébergée par le pôle ; <strong>de</strong> l’accompagnement d’équipes projets académiques(programme FODAD).WEBCONFERENCES sur"l'autonomie <strong>de</strong>s EPLE"15 académies,2500 participants.La webconférence est diffusée <strong>de</strong>puis leplateau audiovisuel du CNED.11La régie pendant une webconférence.


Formation enseignementsupérieur et rechercheL’ESEN a poursuivi en <strong>2010</strong> la mise en œuvre du plan <strong>de</strong> formation<strong>de</strong>stiné à accompagner les établissements d’enseignementsupérieur dans leur passage à l’autonomie et leur accès à<strong>de</strong>s responsabilités et <strong>de</strong>s compétences élargies. Ce programme<strong>de</strong> formation s’est inscrit dans le dispositif triennal élaboréen 2008 dans un partenariat entre la DGESIP (directiongénérale pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle),la CPU (conférence <strong>de</strong>s prési<strong>de</strong>nts d'universités),l’Amue (agence <strong>de</strong> mutualisation <strong>de</strong>s universités et <strong>de</strong>s établissements)et l’ESEN.Les formations déployées en <strong>2010</strong> ont été axées prioritairementsur la gouvernance <strong>de</strong>s établissements et sur le développement<strong>de</strong> compétences dans les différentes fonctions supports enétablissements.La gouvernance et le management :L’ESEN s’est attachée à proposer <strong>de</strong>s cycles supérieurs <strong>de</strong>formation aux équipes dirigeantes <strong>de</strong>s établissements : Un cycle supérieur <strong>de</strong> management a été conçu en partenariatavec l’ENA, à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s directeurs généraux<strong>de</strong>s services (DGS). Deux cycles <strong>de</strong> 10 sessions <strong>de</strong> 2jours <strong>de</strong> formation ont été ouverts en novembre 2009 etnovembre <strong>2010</strong>, accueillant 30 DGS chaque année. Couvrantl’ensemble <strong>de</strong>s domaines <strong>de</strong> compétences <strong>de</strong> cescadres supérieurs, ce cycle a permis <strong>de</strong> mettre l’accent sur<strong>de</strong>s comparaisons <strong>de</strong> problématiques et d’évolutions entreles trois fonctions publiques en France, ainsi que sur <strong>de</strong>sanalyses <strong>de</strong> pratiques comparées au niveau européen. Parallèlement, quatre équipes d’établissements d’enseignementsupérieur, associant <strong>de</strong>s élus et <strong>de</strong>s cadres administratifs,ont bénéficié d’un cycle d’accompagnementdu changement (8 sessions <strong>de</strong> 2 jours), intégrant <strong>de</strong>s apportsthéoriques et méthodologiques en sociologie <strong>de</strong>sorganisations, en GRH et en contrôle <strong>de</strong> gestion. S’agissant <strong>de</strong>s élus eux-mêmes, un cycle <strong>de</strong> formation <strong>de</strong>4 jours à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s directeurs <strong>de</strong> composantes a étéélaboré par l’ESEN en octobre <strong>2010</strong>, développant notammentles problématiques du dialogue <strong>de</strong> gestion, <strong>de</strong> lagestion financière, <strong>de</strong> la gestion <strong>de</strong>s ressources humaineset du management dans <strong>de</strong>s organisations universitairesen mutation. Enfin, un séminaire national a été consacré en novembre<strong>2010</strong> au développement <strong>de</strong> démarches qualité dans lesétablissements d’enseignement supérieur et <strong>de</strong> recherche.L’ESEN a également répondu à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> la DGESIP et<strong>de</strong> la DGRI (direction générale <strong>de</strong> la recherche et <strong>de</strong> l'innovation)d’organiser une formation à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s cadres <strong>de</strong>ces directions, afin d’accompagner les évolutions <strong>de</strong> leursmissions <strong>de</strong> pilotage, <strong>de</strong> conseil et d’accompagnement près<strong>de</strong>s opérateurs <strong>de</strong> l’enseignement supérieur et <strong>de</strong> la recherche.Quatre journées <strong>de</strong> formation, consacrées à l’approchestratégique, à la conduite <strong>de</strong> projets, à l’analyse <strong>de</strong> laperformance et au pilotage <strong>de</strong>s opérateurs ont été organiséespar l’ESEN au bénéfice <strong>de</strong> ces cadres d’administration centrale.La professionnalisation <strong>de</strong>s fonctions supportsLes formations professionnalisantes déployées par l’ESEN en<strong>2010</strong> ont été orientées vers les domaines <strong>de</strong> gestion directementou potentiellement impactés par l’accès aux responsabilitéset compétences élargies.Dans l’esprit <strong>de</strong> la politique <strong>de</strong> partenariats que l’ESEN a promueauprès d’établissements d’enseignement supérieur, certainesformations se sont appuyées sur <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong> recherchepréalables, qui permettent d’élaborer <strong>de</strong>s contenus <strong>de</strong>formation adaptés au contexte universitaire.C’est le cas notamment <strong>de</strong>s formations proposées :- sur le contrôle <strong>de</strong> gestion (en partenariat avec le conservatoirenational <strong>de</strong>s arts et métiers), qui mettent les stagiaires enposition <strong>de</strong> résolution <strong>de</strong> cas pratiques dans le cadre d’uneuniversité virtuelle ;- sur l’analyse financière (en partenariat avec l’université <strong>de</strong>Pau et <strong>de</strong>s Pays <strong>de</strong> l’Adour), qui proposent aux participants <strong>de</strong>porter un diagnostic et d’utiliser <strong>de</strong>s outils <strong>de</strong> pilotage financier12


dans une double perspective <strong>de</strong> surveillance et <strong>de</strong> mobilisation<strong>de</strong> marges <strong>de</strong> manœuvre au service d’une politique d’établissement.Par ailleurs, l’ESEN a porté une attention particulière aux mutations<strong>de</strong>s stratégies patrimoniales <strong>de</strong>s établissements et <strong>de</strong>leur fonction immobilière, en proposant à la fois : un ensemble <strong>de</strong> quatre modules <strong>de</strong> formation à haut contenud’expertise, en association avec l’Ecole Nationale <strong>de</strong>sPonts et Chaussées, sur les champs <strong>de</strong> la stratégie et <strong>de</strong>la programmation immobilière, <strong>de</strong> la gestion <strong>de</strong> projetsimmobiliers, <strong>de</strong> la domanialité publique et <strong>de</strong> la maîtrise<strong>de</strong>s contrats et <strong>de</strong>s assurances attachés à l’immobilier ; une formation d’adaptation à l’emploi pour les personnelsnouvellement entrés en poste au sein <strong>de</strong>s services dupatrimoine immobilier d’établissements ; dans le domaine <strong>de</strong> la GRH et au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> formations portantsur la conduite <strong>de</strong> projets ou l’animation d’équipes,l’ESEN a conçu en partenariat avec l’Amue, un cycle <strong>de</strong>quatre modules <strong>de</strong> formation à la GPEEC à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>l’encadrement supérieur et intermédiaire en établissements.Par ailleurs, afin <strong>de</strong> favoriser le déploiement d’actions <strong>de</strong> formationsur le terrain, l’ESEN a repris en <strong>2010</strong> l’impulsion et lacoordination du dispositif d’actions <strong>nationale</strong>s, géré auparavantpar la MIFOR. Ce dispositif, qui s’appuie sur un réseau<strong>de</strong> coordinateurs <strong>de</strong> formation, permet <strong>de</strong> sélectionner et <strong>de</strong>soutenir <strong>de</strong>s initiatives <strong>de</strong> formation pluri-établissements sur labase d’un appel à projets et d’un bilan d’actions a posteriori.En <strong>2010</strong>, 44 projets <strong>de</strong> formation organisés par 30 établissementsont été retenus, à la fois dans le cadre d’objectifsd’adaptation à l’emploi, <strong>de</strong> professionnalisation ou d’approfondissement<strong>de</strong>s connaissances.Une offre <strong>de</strong> formations diplômantesDans le prolongement <strong>de</strong>s masters présentiels initiés au début<strong>de</strong>s années 2000, l’ESEN a conclu un partenariat avec cinquniversités (Paris-Est Marne La Vallée, Angers, Charles <strong>de</strong>Gaulle – Lille 3, Nancy 2 et Poitiers) pour l’organisation d’unmaster "Management <strong>de</strong>s Organisations Scolaires"(M@DOS), à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s personnels d’encadrementdu système éducatif. Une première promotion <strong>de</strong> 25étudiants est entrée en formation à la rentrée universitaire2009, pour une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux ans.Cette formation originale repose sur un dispositif <strong>de</strong> formationhybri<strong>de</strong> – majoritairement à distance avec <strong>de</strong>s regroupementsprésentiels à l’ESEN – et sur un mo<strong>de</strong> d’apprentissage collectifet interactif adapté à ce public <strong>de</strong> professionnels <strong>de</strong>s établissementsd’enseignement.Par ailleurs, <strong>l'ESEN</strong> a poursuivi la mise en œuvre <strong>de</strong> dispositifsmodulaires et diplômants <strong>de</strong> niveau master pour renforcerla professionnalisation <strong>de</strong>s personnels d'encadrement avecles universités suivantes : Poitiers : master GAESE (gestion et administration <strong>de</strong>sétablissements du système éducatif) ; Marne-La-Vallée : GEDOS (gestion et développement<strong>de</strong>s organisations scolaires) ; Nancy : MOP (management <strong>de</strong>s organisations publiques).La mise en place <strong>de</strong> la politique <strong>de</strong> développement <strong>de</strong> cesmasters entre 2002 et 2005 avait notamment pour objectifsd'apporter aux personnels d'encadrement : la reconnaissance <strong>de</strong> leurs parcours professionnels parune validation leur permettant d'accé<strong>de</strong>r à la <strong>de</strong>uxièmeannée <strong>de</strong> master (M2) dans un cursus diplômant ; un approfondissement <strong>de</strong> connaissances concourantau renforcement <strong>de</strong>s compétences professionnelles ; l'acquisition d'une légitimité renforcée vis-à-vis <strong>de</strong> différentsinterlocuteurs ; la constitution <strong>de</strong> viviers <strong>de</strong> cadres diplômés souhaitantdévelopper un projet <strong>de</strong> carrière.13


Politique <strong>de</strong> coopérationeuropéenne, <strong>de</strong> relations inter<strong>nationale</strong>set <strong>de</strong> partenariatsLE SECTEUR RELATIONS INTERNATIONALESL’objectif général est <strong>de</strong> développer à international l’ouverture<strong>de</strong>s cadres du MEN et du MESR ainsi que l’offre <strong>de</strong> formationà <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s cadres éducatifs ou universitaires étrangers.Le champ d’activités <strong>de</strong>s relations inter<strong>nationale</strong>s <strong>de</strong> l’ESENs’organise autour <strong>de</strong> trois axes principaux.1 ER AXE : OUVERTURE DE LA FORMATION DES CADRESFRANÇAIS À L’EUROPE ET À L’INTERNATIONAL ETCONTRIBUTION À LA QUALITÉ DE LA COOPÉRATIONFRANÇAISE À L’ÉTRANGER EN MATIÈRE ÉDUCATIVE Renforcer la présence d’intervenants étrangers dans lesmodules <strong>de</strong> formation proposés à l’ESEN. Développer <strong>de</strong>s modules <strong>de</strong> découverte <strong>de</strong>s pratiques et<strong>de</strong>s systèmes éducatifs internationaux à l’attention <strong>de</strong>s stagiairesen formation initiale. Concevoir le cahier <strong>de</strong>s charges du programme <strong>de</strong> stages àl’étranger <strong>de</strong>s stagiaires en formation professionnelle. Tirer profit <strong>de</strong> ces stages pour enrichir les ressources <strong>de</strong>l’ESEN sur la connaissance <strong>de</strong>s systèmes éducatifs étrangers. Faire bénéficier les académies <strong>de</strong>s partenariats signés entrel’ESEN et ses homologues internationaux. Former les cadres au montage <strong>de</strong> dossiers pour les fondsstructurels européens (A2e2f par exemple). Sensibiliser l’ensemble <strong>de</strong>s nouveaux cadres aux possibilités<strong>de</strong> mobilité inter<strong>nationale</strong>, notamment dans le cadre <strong>de</strong>leur formation initiale. Contribuer, avec les autres acteurs <strong>de</strong> l’expatriation, à laconstitution d’une offre d’accompagnement <strong>de</strong>s cadres enposte à l’étranger. Informer l’ensemble <strong>de</strong>s cadres sur les programmes internationauxqui les concernent (MAE, AEFE, MLF). Contribuer au renforcement du vivier <strong>de</strong> cadres mobilisablesà l’étranger en leur donnant un accès prioritaire aux programmescertifiants <strong>de</strong> formation. Développer <strong>de</strong>s partenariats avec les écoles européennes,francophones ou inter<strong>nationale</strong>s conduisant <strong>de</strong>s missions2 ÈME AXE : MISE EN RÉSEAU ET PARTENARIATSDES ORGANISMES CHARGÉS DE LA FORMATIONDE CADRES DES SYSTÈMES ÉDUCATIFS,EN EUROPE ET À L’ÉTRANGERsimilaires à l’ESEN en vue <strong>de</strong> la création d’un réseau européenet/ou international <strong>de</strong>s écoles <strong>de</strong> management éducatif. Développer avec ces écoles ou avec <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s universitésétrangères <strong>de</strong>s conventions permettant à <strong>de</strong>s cadresfrançais, <strong>de</strong>s chefs <strong>de</strong> projet ou <strong>de</strong>s formateurs <strong>de</strong> participerà <strong>de</strong>s échanges ou <strong>de</strong> suivre leurs formations. Développer <strong>de</strong>s partenariats avec d’autres écoles <strong>de</strong> formationou <strong>de</strong>s instituts en France (IIPE, écoles <strong>de</strong> servicepublic,…), avec pour objectif <strong>de</strong> promouvoir <strong>de</strong>s cycles ou<strong>de</strong>s modules communs sur les questions inter<strong>nationale</strong>s. Développer <strong>de</strong>s actions <strong>de</strong> communication avec <strong>de</strong>s institutionsinter<strong>nationale</strong>s spécialisées (UNESCO/IIPE,OCDE, …) pour faire connaître le savoir-faire <strong>de</strong> l’ESENdans le domaine <strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s cadres <strong>de</strong> l’éducation. Contribuer à la mutualisation et à la capitalisation <strong>de</strong>s expériencesinter<strong>nationale</strong>s <strong>de</strong>s académies. Développer la présence <strong>de</strong> l’ESEN dans <strong>de</strong>s manifestationseuropéennes et inter<strong>nationale</strong>s à forte visibilité etparticiper à <strong>de</strong>s projets avec les organismes oeuvrant dansle domaine <strong>de</strong> la coopération. Contribuer à la réflexion <strong>nationale</strong> sur les questions <strong>de</strong>formation <strong>de</strong>s cadres dans les politiques inter<strong>nationale</strong>s eteuropéennes (par exemple dans le cadre <strong>de</strong> séminairesinternationaux). Développer le potentiel d’accueil <strong>de</strong> délégations étrangères3ÈME AXE : L’ESEN, UN ACTEUR RECONNU DE LAFORMATION DES CADRES ÉDUCATIFS ÉTRAN-GERSpour valoriser l’expertise française en matière <strong>de</strong> formation<strong>de</strong>s cadres. Concevoir, <strong>de</strong>s accueils <strong>de</strong> délégations, <strong>de</strong>s programmes<strong>de</strong> formation spécifiques à l’intention <strong>de</strong> cadres étrangers,14


<strong>de</strong>s expertises. Intégrer un nombre croissant <strong>de</strong> stagiaires étrangers dansles cursus <strong>de</strong> formation existants ou dans <strong>de</strong>s programmesadaptés, dans le cadre <strong>de</strong>s conventions d’échanges signéesavec les organismes internationaux <strong>de</strong> formation<strong>de</strong>s cadres éducatifs. Contribuer, en partenariat avec le CIEP (centre internationald'étu<strong>de</strong>s pédagogiques), aux réponses aux appelsd’offres internationaux.LES ACTIONS <strong>2010</strong>L’ouverture à l’Europe <strong>de</strong>s cadres français, la mobilisationd’experts étrangers (européens) dans les formations àl’ESEN :La sensibilisation <strong>de</strong>s cadres français aux enjeux <strong>de</strong> l’éducationen Europe, engagée ces <strong>de</strong>rnières années à l’ESEN, adésormais évolué vers une intégration plus systématique <strong>de</strong> ladimension européenne dans les modules <strong>de</strong> formation euxmêmes,notamment lors d’actions liées à la formation initiale.L’objectif <strong>de</strong>s modules <strong>de</strong>stinés aux inspecteurs et aux chefsd’établissement est <strong>de</strong> permettre la découverte d’autres systèmeséducatifs, d’autres organisations et aussi d’autres solutionsapportées à <strong>de</strong>s problèmes ou questions similaires.Ces regards croisés sont l’occasion d’enrichir leurs réflexionset <strong>de</strong> prendre du recul par rapport à l’exercice quotidien <strong>de</strong> leurmétier.L’année <strong>2010</strong> aura ainsi permis <strong>de</strong> participer à : la gestion et l'organisation <strong>de</strong> la venue d’intervenantseuropéens lors <strong>de</strong> plusieurs modules <strong>de</strong> la formation initialenotamment pour les personnels <strong>de</strong> direction ou lorsd’actions spécifiques (ASH, évaluation <strong>de</strong>s écoles) ; la mise en place du module "ouverture inter<strong>nationale</strong>"dans le cadre du R6 (6ème regroupement <strong>de</strong> la formationinitiale <strong>de</strong>s inspecteurs).L’ouverture européenne et inter<strong>nationale</strong> dans la formationinitiale <strong>de</strong>s cadres :Diverses concertations avec <strong>de</strong>s partenaires potentiels (A2e2f,CNDP, SCAC), la mise en place <strong>de</strong> groupes <strong>de</strong> travail avec<strong>de</strong>s DAFPE et <strong>de</strong>s DAREIC ont permis d’élaborer un plan d’actionspour les promotions à venir.La consolidation <strong>de</strong> partenariats :- avec la DREIC (direction <strong>de</strong>s relations européennes, inter<strong>nationale</strong>set <strong>de</strong> la coopération)L’ESEN, acteur i<strong>de</strong>ntifié et reconnu par les différents services<strong>de</strong> la DREIC, est notamment sollicitée lors d’accueil <strong>de</strong> délégationsétrangères.L’ESEN et la DREIC ont ainsi organisé en novembre <strong>2010</strong> leséminaire annuel <strong>de</strong>s DAREIC (Bruxelles). Certains DAREICont par ailleurs participé à <strong>de</strong>s groupes <strong>de</strong> travail organisés parl’ESEN sur l’ouverture inter<strong>nationale</strong> dans la formation <strong>de</strong>spersonnels d’encadrement.- avec la DGESCO, département Europe et internationalDes relations ont pu être établies notamment pour : la mise en place d’actions communes (stage "retour <strong>de</strong>l’étranger", séminaire DAREIC, …), la participation du département Europe et internationallors d’interventions dans le cadre <strong>de</strong> formations organiséesà l’ESEN.- avec l’IGEN, l’IGAENR notamment lors d’actions <strong>de</strong> la SICI(standing international conference of inspectorates)- avec le CIEP notamment par la mise en place <strong>de</strong> diversesactions partenariales : l’organisation d’un séminaire en décembre "pilotage <strong>de</strong>sétablissements et qualité <strong>de</strong>s apprentissages" (36 stagiaires,17 pays, 3 jours) ; l’organisation d’une visite d’étu<strong>de</strong> (18 stagiaires, 9 pays,5 jours) ; les actions d’expertise "Comores", "Haïti", "Mexique n°2" ; les réflexions autour <strong>de</strong>s projets Euro Moove ou encoreQualep.- avec l’Agence 2e2f (agence europe éducation formationFrance)Notamment par l'initiation d'actions au profit <strong>de</strong> la mobilitéeuropéenne <strong>de</strong>s personnels d’encadrement en formation àl’ESEN : la présentation <strong>de</strong> l’agence durant <strong>de</strong>s formations, la construction <strong>de</strong> dossiers <strong>de</strong> candidature pour l’organisation<strong>de</strong> 12 visites d’étu<strong>de</strong>, l’ai<strong>de</strong>, l’accompagnement à l’instruction <strong>de</strong> dossiers <strong>de</strong><strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> bourses d’étu<strong>de</strong> (Comenius, visitesd’étu<strong>de</strong>), le début d’une réflexion concernant l’organisation d’unprojet Léonardo.15


- avec le CNDP (centre national <strong>de</strong> documentation pédagogique)Notamment sur trois axes : la réflexion sur le projet eTwinning dans le cadre <strong>de</strong> laformation initiale, le début <strong>de</strong> collaboration avec le département relationsinter<strong>nationale</strong>s du CNDP, le projet <strong>de</strong> plaquette (ESEN/CNDP/CNED) pour l’accueil<strong>de</strong> délégations étrangères sur le site du Futuroscope.- avec l’AEFE (agence pour l'enseignement français à l'étranger))Notamment par la signature d'une convention cadre et la miseen place <strong>de</strong> la nouvelle version "GFC-Gestion Financière etComptable" (accueil <strong>de</strong> responsables dans <strong>de</strong>s formations àl’ESEN, construction d’un parcours en ligne).Accueil <strong>de</strong> délégations étrangèresPays Nombre <strong>de</strong>stagiairesDuréeen joursCOREE du Sud 3 1MEXIQUE 3 1AFGHANISTAN 4 ½USA 3 ½Mise en place à l’ESEN <strong>de</strong> stages <strong>de</strong> formation pour<strong>de</strong>s délégations étrangèresPaysNombre<strong>de</strong> stagiairesDuréeThèmeITALIE 9 4 j Stage <strong>de</strong> formation<strong>de</strong>s formateurs <strong>de</strong>MAROC 18 12 j Stage <strong>de</strong> formation<strong>de</strong>s inspecteurs <strong>de</strong>français au MarocLes actions d’expertise <strong>de</strong> l’ESEN à l’étrangerPays Durée ThèmeMEXIQUEESENDGRH5 jours Recrutement et formation<strong>de</strong>s chefsd’établissement- avec la Mission Laïque FrançaiseNotamment par la rédaction d'une convention cadre et l'étu<strong>de</strong><strong>de</strong> la possibilité d’accueillir <strong>de</strong>s chefs d’établissement MLF(dont <strong>de</strong>s non titulaires issus du premier <strong>de</strong>gré) dans <strong>de</strong>sstages "formation initiale personnel <strong>de</strong> direction".Constats :L’ESEN est bien i<strong>de</strong>ntifiée par les Ambassa<strong>de</strong>s <strong>de</strong> France etles ministères <strong>de</strong> l’Education étrangers comme un opérateurimportant dans les domaines <strong>de</strong> compétences ci-après : la formation <strong>de</strong>s cadres pédagogiques et administratifs<strong>de</strong>s systèmes éducatifs ; l’ingénierie <strong>de</strong> formation liée à l’encadrement ; l’administration scolaire et le management pédagogique<strong>de</strong>s structures éducatives ; l’évaluation <strong>de</strong>s pratiques enseignantes, <strong>de</strong>s établissementsscolaires et <strong>de</strong>s dispositifs.LE SECTEUR PARTENARIATSLe Réseau <strong>de</strong>s Ecoles <strong>de</strong> Service Public (RESP)L’idée <strong>de</strong> ce réseau, née en 1993 dans trois écoles, a étéformalisée en 1996 par la signature d’une déclaration communeentre 10 écoles. En <strong>2010</strong>, le RESP comprend 40 écolesdont l’ESEN fait partie et ce <strong>de</strong>puis l’origine.Les objectifs du RESP sont : d’améliorer les métho<strong>de</strong>s pédagogiques à travers l’organisation<strong>de</strong> sessions <strong>de</strong> formation, <strong>de</strong> mutualiser leurs compétences et échanger leurs expériences, <strong>de</strong> mieux faire connaître les métiers d’encadrement <strong>de</strong>strois fonctions publiques (État, territoriale, hospitalière)préparés dans ces établissements.Les activités du réseau s’organisent en pôles : pôle mutualisation qui regroupe les chargés <strong>de</strong> communication,les documentalistes, les chargés <strong>de</strong>s relationsinter<strong>nationale</strong>s, les spécialistes <strong>de</strong> l’e-formation <strong>de</strong> chaqueécole. pôle formation qui propose <strong>de</strong>s sessions inter-écoles(SIE) <strong>de</strong>stinées à <strong>de</strong> jeunes cadres en formation initiale.Elles permettent <strong>de</strong> resituer l’action <strong>de</strong> chacun dans uncadre plus global, d’avoir une meilleure perception <strong>de</strong>srôles et <strong>de</strong>s missions <strong>de</strong>s autres acteurs et <strong>de</strong> repérer lespossibles interdépendances, coopérations et ajustementsnécessaires à une meilleure atteinte <strong>de</strong>s objectifs <strong>de</strong>s politiquespubliques. <strong>de</strong>s Ateliers <strong>de</strong> Service Public (ASP) qui s’adressentaux cadres <strong>de</strong>s trois fonctions publiques dans une approchepluridisciplinaire. Ces ateliers créent un espace <strong>de</strong>réflexions et d’échanges <strong>de</strong> savoir. <strong>de</strong>s sessions <strong>de</strong> formation qui visent à renforcer lescompétences <strong>de</strong>s professionnels <strong>de</strong> la formation.À ce titre, l’ESEN a organisé en <strong>2010</strong> : une session inter-écoles sur le thème "Diversité : commentla lutte contre les discriminations et pour l’égalitéreste un enjeu pour le service public" (30 participants) ;16


un atelier <strong>de</strong> service public intitulé "Ethique professionnelle<strong>de</strong> service public : illusion ou réalité" (30 participants).Le cycle inter-institutionnel <strong>de</strong> management supérieur <strong>de</strong>sservices publics, cycle <strong>de</strong>stiné aux cadres dirigeants du servicepublic, créé en 1993 à l'initiative <strong>de</strong> l'ENSPTT (Ecole NationaleSupérieure <strong>de</strong>s PTT). Ce cycle, qui se déroule sur uneannée civile, offre un lieu <strong>de</strong> rencontres et d'échanges structurésaux déci<strong>de</strong>urs d'organismes confrontés à <strong>de</strong>s problèmes<strong>de</strong> management public.Les institutions membres organisent ce cycle dans un esprit<strong>de</strong> partenariat matérialisé par <strong>de</strong>s conventions. Depuis plusieursannées, collaborent et y participent : l'Ecole NationaleSupérieure <strong>de</strong> Sécurité Sociale (EN3S), école support et gestionnairedu cycle (pour les années <strong>2010</strong>, 2011 et 2012), l'InstitutNational <strong>de</strong>s Étu<strong>de</strong>s Territoriales (INET/CNFPT), l'EcoleNationale Supérieure <strong>de</strong> Police (ENSPo), l'Office national <strong>de</strong>sForêts (ONF), l'Institut National du Travail, <strong>de</strong> l'Emploi et <strong>de</strong> laFormation Professionnelle (INTEFP), le Centre <strong>de</strong> Formationau management du Ministère <strong>de</strong> la Défense (CFMD), l'Ecole<strong>de</strong>s Affaires Maritimes, l'Ecole Nationale <strong>de</strong> Protection Judiciaire<strong>de</strong> la Jeunesse (ENPJJ) et l’ESEN.Les institutions membres sont représentées au sein d'un comité<strong>de</strong> pilotage chargé <strong>de</strong> la définition <strong>de</strong>s objectifs généraux ducycle, <strong>de</strong> sa conception pédagogique, <strong>de</strong> son suivi et <strong>de</strong> sonévaluation.La quinzième session, en <strong>2010</strong>, s’est articulée autour <strong>de</strong> sixmodules définis par les participants suivant leurs besoins.Deux candidatures d’inspecteurs d’académie adjoints ont puêtre proposées par l’ESEN.Le cycle national annuel <strong>de</strong> l’Institut <strong>de</strong>s Hautes Etu<strong>de</strong>spour la Science et la Technologie (IHEST)Au travers d’une convention, l’ESEN a établi avec l’IHEST unpartenariat permettant chaque année à un maximum <strong>de</strong> troiscadres <strong>de</strong> l’éducation <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir auditeurs <strong>de</strong>l’IHEST en participant au cycle annuel d’une durée d’environ36 jours.Thématique 2009/<strong>2010</strong> : "la société face aux frontières <strong>de</strong> lascience et <strong>de</strong> l’innovation" (quatre candidats ESEN).Thématique <strong>2010</strong>/2011 : "une société créative : les sciences,l’innovation et l’éducation en question" (trois candidats ESEN).L’organisation d’actions <strong>de</strong> formation ponctuelles avecdifférents partenairesLe premier semestre <strong>2010</strong> a permis d’initier et/ou <strong>de</strong> renforcerplusieurs partenariats, déclinés en actions <strong>de</strong> formation avec : la MIVILUDES, sur la prévention du risque <strong>de</strong> dérive sectaire; l’EHESP, sur la scolarisation <strong>de</strong>s élèves en situation <strong>de</strong>handicap ; la HALDE et ses correspondants académiques ; la MILDT, la prévention <strong>de</strong>s conduites addictives en milieuscolaire.Au cours du second semestre, plusieurs rencontres et réunions<strong>de</strong> travail ont permis <strong>de</strong> formaliser <strong>de</strong>s partenariatsavec : le CNFPT : préparation d’une convention cadre en partenariatavec la délégation régionale <strong>de</strong> Poitou-Charentes, dontl’objectif est <strong>de</strong> mutualiser les ressources et proposer auxagents territoriaux et aux cadres <strong>de</strong> l’éducation <strong>nationale</strong><strong>de</strong>s sessions <strong>de</strong> formation (ex : espaces numériques <strong>de</strong>travail) ; l’INSET (ex ENACT) d’Angers, en invitant <strong>de</strong>s directeurs <strong>de</strong>l’éducation <strong>de</strong>s communes et <strong>de</strong>s inspecteurs <strong>de</strong> l’éducation<strong>nationale</strong> ; la DGAFP (mission à l’ESEN <strong>de</strong> M. CAMBOUNET, chef dubureau <strong>de</strong>s formations et <strong>de</strong>s concours) ; le CHEMI (mission à l’ESEN <strong>de</strong> M. JASPERS : préparationd’un séminaire sur les nouvelles ressources numériques auprofit <strong>de</strong>s préfets) ; le ministère <strong>de</strong> la culture et <strong>de</strong> la communication : rédactiond’une convention cadre avec le service <strong>de</strong>s politiques culturellesafin <strong>de</strong> construire un module (présentiel) sur l’histoire<strong>de</strong>s arts et un parcours (à distance) sur la même thématique.17


Production <strong>de</strong>ressourcesDans un contexte en forte évolution, <strong>de</strong> la formation professionnelle,l’objectif a été <strong>de</strong> promouvoir en <strong>2010</strong> une ambitieusepolitique <strong>de</strong> productions <strong>de</strong> ressources numériques etd’en faciliter l’accès, tant sur le site web <strong>de</strong> l’ESEN que sur laplate-forme Pairform@nce. Il s’agissait également <strong>de</strong> développerl’image positive du centre <strong>de</strong> ressources, par une offrerenouvelée d’ouvrages et <strong>de</strong> revues, et d’élargir l’offre <strong>de</strong> servicesdocumentaires.Conforter l’offre documentaireDu fait <strong>de</strong> l’évolution sensible <strong>de</strong>s dispositifs <strong>de</strong> formation statutaire,ce qui entraîne un accroissement du nombre <strong>de</strong> stagiairessur <strong>de</strong> courtes pério<strong>de</strong>s, les mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> consommationont changé : moins <strong>de</strong> prêts sur place, plus <strong>de</strong> consultationslocales, <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s <strong>de</strong> prêt à distance, plus <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s<strong>de</strong> services documentaires. Ce, d’autant plus que dans lemême temps disparaissent peu à peu en académie les services<strong>de</strong> documentation. L’ESEN doit par conséquent confortersa situation <strong>de</strong> centre <strong>de</strong> ressources <strong>de</strong> référence, particulièrementpour l’encadrement <strong>de</strong> l’enseignement scolaire. Cechoix s’incarne dans une politique d’acquisition volontariste etun souci permanent d’actualisation du fonds documentaire.Le centre <strong>de</strong> ressources en chiffres :26 433 ouvrages en prêt153 périodiques53 abonnements numériques+15% <strong>de</strong> prêts+20% <strong>de</strong> consultations sur place3 722 nouveaux documents4 927 consultations <strong>de</strong> documentsEn <strong>2010</strong>, le centre <strong>de</strong> ressources a également accompagnéplusieurs académies dans la mise en place d’un "espacecadres" et animé le réseau <strong>de</strong>s documentalistes référentsdans les 14 académies concernées.Espace cadres :Dans le cadre d’une convention tri-partite ESEN / rectorat/ CRDP, création d’un espace documentaire physiqueet virtuel au service <strong>de</strong> l’information et <strong>de</strong> la formation<strong>de</strong>s cadres. Un personnel <strong>de</strong> documentation estinvesti dans l’animation <strong>de</strong> cet espace dont le fonctionnementest intégré au dispositif <strong>de</strong> formation <strong>de</strong>s personnelsd’encadrement. L’espace cadres virtuel a vocationà être un portail documentaire intégré au paysagenumérique académique au bénéfice <strong>de</strong>s cadres.Afin d’enrichir son fonds, le CDR a cherché à développer sonoffre documentaire numérique mais se heurte à plusieurs difficultés: la faiblesse <strong>de</strong> l’offre éditoriale sur un marché qui n’apas trouvé <strong>de</strong> modèle économique ; les tarifs élevés et la difficulté<strong>de</strong> mise à disposition d’un public nombreux d’une offretrès souvent conçue pour <strong>de</strong>s consultations individuelles enligne.Dans le même esprit, l’équipe du CDR a sensiblement augmentésa participation à la création <strong>de</strong> ressources documentairesnumériques diffusées soit sur le site web <strong>de</strong> l’ESEN(actualités, bibliographies, rapports commentés, fiches actualiséesdu film annuel <strong>de</strong>s personnels <strong>de</strong> direction…), soit sur laplate-forme Pairform@nce dans le cadre <strong>de</strong>s premiers parcoursen ligne.Afin d’offrir <strong>de</strong>s ressources documentaires numériques plusnombreuses et <strong>de</strong> mieux répondre aux <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s <strong>de</strong> recherche,le CDR a poursuivi le projet <strong>de</strong> développement d’unportail documentaire intégré au site web. Ce projet ambitieuximplique <strong>de</strong> recenser, analyser et in<strong>de</strong>xer <strong>de</strong>s ressources présentessur d’autres sites, <strong>de</strong> réin<strong>de</strong>xer toutes les ressourcesexistantes et <strong>de</strong> les mettre à disposition par le biais d’une nouvelleinterface <strong>de</strong> recherche.Enrichir l’offre <strong>de</strong> ressources numériques d’information et<strong>de</strong> documentation sur le site webLe site web <strong>de</strong> l’ESEN (www.esen.education.fr) rencontre unpublic <strong>de</strong> plus en plus nombreux : plus <strong>de</strong> 90 000 visiteurs18


uniques mensuels pour près <strong>de</strong> 2 400 000 visites annuelles(un pic <strong>de</strong> 255 000 en novembre <strong>2010</strong>), soit une augmentation<strong>de</strong> 40% sur un an. Il s’agit d’un public assidu puisque chaqueinternaute visite environ 10 pages en moyenne lors <strong>de</strong> chacun<strong>de</strong> ses passages. Les abonnés à la lettre d’information numériquesont au nombre <strong>de</strong> 13 600 (+ 20% sur un an).Le site web en chiffres100 bibliographies (dont 25% actualisées ou nouvellessur l’année)530 rapports officiels220 conférences vidéo chapitrées (dont 60 nouvelles)56 fiches du film annuel <strong>de</strong>s personnels <strong>de</strong> direction(toutes actualisées dans l’année).Afin <strong>de</strong> faire face à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’informations sur <strong>de</strong>s thématiques<strong>de</strong> l’actualité du système éducatif, l’ESEN a décidé <strong>de</strong>lancer la production <strong>de</strong> dossiers numériques <strong>de</strong> sensibilisationdont les premiers <strong>de</strong>vraient paraître au printemps 2011. Ils’agit <strong>de</strong> regrouper sur une thématique un ensemble <strong>de</strong> ressourcesnumériques <strong>de</strong> natures diverses (architecturées dansle cadre d’un parcours <strong>de</strong> découverte) : vidéo, audio, textes,liens.Le service audiovisuel a largement contribuéà ce développement en enregistrant près <strong>de</strong>380 conférences (+ 50% en un an) dont unepartie est mise à disposition <strong>de</strong>s stagiairesdès après l’action <strong>de</strong> formation à laquelle ils ont participé ; sonactivité a également évolué vers la réalisation <strong>de</strong> produits audiovisuelscourts : près <strong>de</strong> 80 interviews (+ 20% sur l’année)et 7 reportages en académies. Ces productions sont encoreessentiellement diffusées sur le site web mais ont vocationégalement à alimenter les parcours en ligne qui sont en cours<strong>de</strong> conception sur la plate-forme Pairform@nce.Le développement volontariste <strong>de</strong> parcours en ligne<strong>2010</strong> aura été l’année <strong>de</strong> la construction d’un contexte favorableà la conception <strong>de</strong> parcours en ligne au service <strong>de</strong>s formationsdispensées à l’ESEN mais aussi au service <strong>de</strong>s stratégiesacadémiques : création <strong>de</strong> la plate-formeCampusESEN hébergée par l’université <strong>de</strong> Limoges pour porter<strong>de</strong>s espaces d’animation à distance <strong>de</strong> communautés professionnelles; création du domaine ESEN sur la plate-formePairform@nce, hébergée par le pôle national FOAD <strong>de</strong> Toulouse,pour porter <strong>de</strong>s espaces proposant <strong>de</strong>s parcours enligne d’animation, <strong>de</strong> sensibilisation, <strong>de</strong> formation. Ces premiersmois expérimentaux ont vu près <strong>de</strong> 2 500 utilisateursdifférents se connecter sur cette <strong>de</strong>rnière plate-forme pour <strong>de</strong>sdurées moyennes d’activités d’environ 6 heures non consécutives,auxquels il convient d’ajouter environ 300 personnesprésents sur CampusESEN.Pairform@ncePlate-forme <strong>de</strong> formation pilotée par la DGESCO, hébergéepar le pôle FOAD <strong>de</strong> Toulouse ; à l’origine aubénéfice <strong>de</strong>s enseignants pour développer la créationcollaborative à distance <strong>de</strong> scénarios pédagogiquesutilisant les TICE. Elle offre <strong>de</strong>s domaines nationaux etun domaine pour chaque académie, un espace réservépour la conception <strong>de</strong> scénario ou <strong>de</strong> parcours enligne : la "fabrique" et un catalogue national <strong>de</strong> productionsdans lequel chaque académie peut venir puiser.Les concepteurs, animateurs et stagiaires sont reconnuspar leur i<strong>de</strong>ntifiant <strong>de</strong> messagerie académique.L’ESEN y dispose d’un domaine propre, d’un espacedans la fabrique et d’un accès à l’offre catalogue.Devant le succès <strong>de</strong>s premières expérimentations, l’ESEN adécidé <strong>de</strong> développer très fortement son offre <strong>de</strong> parcours enligne pour 2011 (une vingtaine <strong>de</strong> parcours sont ainsi en cours<strong>de</strong> conception) afin <strong>de</strong> répondre au défi <strong>de</strong> la professionnalisation<strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s personnels et <strong>de</strong> son inscriptiondans un continuum basé sur une réelle hybridation.Document <strong>de</strong> présentationdu séminaire sur"l'impact du numériquesur l'espace temps <strong>de</strong>travail <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong>l'école".Le nouvelespacecadre <strong>de</strong> laNouvelle-CalédonieCarte <strong>de</strong>s espaces cadresen académie.Ouverture en <strong>2010</strong> <strong>de</strong> 4nouveaux espaces :Nancy-Metz, Strasbourg,La Réunion et la Nouvelle-Calédonie.19


Secrétariat généralMissionsLe secrétariat général est chargé <strong>de</strong> l’ensemble <strong>de</strong>s servicesadministratifs, financiers et techniques <strong>de</strong> l’ESEN.MoyensLe secrétariat général est composé <strong>de</strong> 26 personnes répartiessur cinq domaines d'activités : Gestion <strong>de</strong>s ressources humainesLe service est composé d’un agent <strong>de</strong> catégorie B qui exécute,en liaison avec le service <strong>de</strong> l’action administrative et<strong>de</strong> la mo<strong>de</strong>rnisation, l’ensemble <strong>de</strong>s fonctions <strong>de</strong> gestion<strong>de</strong>s ressources humaines <strong>de</strong> proximité – recrutements, mobilités,gestion du temps <strong>de</strong> travail et <strong>de</strong>s congés, formations. CommunicationLe service est composé d’un agent <strong>de</strong> catégorie A qui meten oeuvre les actions <strong>de</strong> communication interne et externe<strong>de</strong> l’ESEN, participe à l’élaboration <strong>de</strong> la stratégie <strong>de</strong> communicationet ai<strong>de</strong> à la conception et à la gestion d’outils etsupports d’information. Affaires financièresLe service est composé <strong>de</strong> neuf agents (2 agents <strong>de</strong> catégorieA dont 1 responsable, 3 <strong>de</strong> catégorie B et 4 <strong>de</strong> catégorieC) qui interviennent sur la gestion du budget <strong>de</strong> l’ESEN(formation et fonctionnement) sur les budgets <strong>de</strong>s programmes214 (soutien <strong>de</strong> la politique <strong>de</strong> l'éducation <strong>nationale</strong>)et 150 (formations supérieures et recherche universitaire),sur les activités d' achats et <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>s procédures<strong>de</strong> comman<strong>de</strong> publique ainsi que sur le contrôle <strong>de</strong>gestion.<strong>de</strong> maintenance <strong>de</strong>s bâtiments (gestion prévisionnelle <strong>de</strong> lamaintenance, suivi d’exécution <strong>de</strong> marchés <strong>de</strong> services ettravaux). Le service est en charge également <strong>de</strong> la mise enœuvre <strong>de</strong> la politique d’hygiène et <strong>de</strong> sécurité <strong>de</strong>s personneset <strong>de</strong>s biens. InformatiqueLe service est composé <strong>de</strong> trois agents (1 responsable <strong>de</strong>catégorie A et 2 <strong>de</strong> catégorie B) qui interviennent principalementsur le choix et l’exploitation <strong>de</strong>s infrastructures informatiqueslors <strong>de</strong> la mise en œuvre <strong>de</strong> nouveaux services, ainsique pour l’accompagnement <strong>de</strong>s utilisateurs.Les chiffres clés <strong>de</strong> <strong>l'ESEN</strong>68 personnels dont : 31 catégorie A 14 catégorie B 23 catégorie CBudget : 3 156 314 € (programme 214)170 570 € (programme 150)22 893 nuitées (hébergement <strong>de</strong> <strong>l'ESEN</strong> + hôtels)30 400 repas1 031 600 copies effectuées par l'atelier reprographie22 bornes wifi70 postes informatiques en libre accès9 photocopieurs Accueil <strong>de</strong>s stagiaires, patrimoine immobilier et serviceintérieurLe service est composé <strong>de</strong> onze agents (1 responsable <strong>de</strong>catégorie A, 2 <strong>de</strong> catégorie B et 8 <strong>de</strong> catégorie C) qui assurentles services d’accueil (logistique, organisation <strong>de</strong>sstages, courrier et du transport) <strong>de</strong> l’ESEN et les services20


Secrétariat général :Gestion <strong>de</strong>s ressources humainesEFFECTIFS ET RÉPARTITION PAR CATÉGORIESLes 68 personnels permanents à l’ESEN à la date du 31décembre <strong>2010</strong> se répartissent ainsi : 65 agents rémunérés par l’administration centrale sur leprogramme 214 (soutien <strong>de</strong> la politique <strong>de</strong> l’éducation <strong>nationale</strong>,mission interministérielle "enseignement scolaire") ; 2 agents mis à disposition et rémunérés par la DGESCO ; 1 agent rémunéré sur convention ESEN/Université <strong>de</strong> Poitiers.26 agents appartiennent au secrétariat général, 10 travaillentsur la production <strong>de</strong> ressources (CDR, AV, Web),19 sur l'enseignement scolaire, 6 sur l'enseignementsupérieur, 4 sur les relations inter<strong>nationale</strong>s et les partenariats,2 pour la direction et 1 chargé <strong>de</strong> mission.Les personnels non permanents en <strong>2010</strong> : 7 vacataires oustagiaires.60 ans et plus55 - 59 ansPyrami<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Ages2009 non pourvus au 31/12/09 ; 3 postes vacants <strong>de</strong> l’année<strong>2010</strong>) ; 5 départs (2 départs en retraite et 3 départs dont 1vers les services centraux à Paris et 2 vers d’autres administrations(services du Premier Ministre).En outre, 3 postes ont été supprimés (1 poste <strong>de</strong> catégorieA suite à un départ en retraite ; 1 poste <strong>de</strong> catégorie A suite àun départ vers les services centraux à Paris ; 1 poste <strong>de</strong> catégorieA suite à un détachement auprès d’une autre administration).À titre <strong>de</strong> comparaison, le pourcentage <strong>de</strong> postes supprimésest passé <strong>de</strong> 3,27% en 2009 à 4,41% en <strong>2010</strong>.FORMATION INTERNELe domaine prépondérant reste, comme en 2009, celui <strong>de</strong>l’informatique et <strong>de</strong>s nouvelles technologies : cinq sessions <strong>de</strong>formation ont notamment été organisées en interne pour l’utilisation<strong>de</strong> la messagerie LOTUS.À noter également une nette augmentation du domaine <strong>de</strong> lapréparation aux concours et examens qui passe <strong>de</strong> 3 en 2009à 9 en <strong>2010</strong> pour 56 jours <strong>de</strong> formation au total.Les personnels <strong>de</strong> l’ESEN ont bénéficié en <strong>2010</strong> <strong>de</strong> 211 jours<strong>de</strong> formation au total.50 - 54 ans45 - 49 ans40 - 44 ans35 - 39 ans30 - 34 ans25 - 29 ans10 8 6 4 2 0 2 4 6 8 10HommesFemmesSur les 68 personnels présents au 31 décembre <strong>2010</strong> 45,6 % appartiennent à la catégorie A 20,6 % appartiennent à la catégorie B 33,8 % appartiennent à la catégorie CFLUX DE PERSONNESLa rotation <strong>de</strong>s personnels intervenue en <strong>2010</strong> a concerné autotal 10 personnes : 5 arrivées (2 postes vacants <strong>de</strong> l’année21


Secrétariat général :CommunicationL’activité communication <strong>de</strong> l’ESEN a été renforcée au cours<strong>de</strong> l’année <strong>2010</strong> par l’affectation d’un agent à temps completsur la fonction <strong>de</strong> chargé <strong>de</strong> communication.La volonté <strong>de</strong> faire <strong>de</strong> la communication interne et externe <strong>de</strong>l’ESEN une activité principale a signifié la définition d’un plan<strong>de</strong> communication sur 3 ans.Définition <strong>de</strong>s publics cibles et <strong>de</strong>s messages afférents àces publicsLes rencontres-débats <strong>de</strong><strong>l'ESEN</strong>En partageant les apports <strong>de</strong> larecherche issue <strong>de</strong>s sciencessociales, les rencontres-débatsvisent à enrichir la réflexion personnelleet collective. À partir <strong>de</strong>la présentation d’une <strong>de</strong> ses publications,l’auteur entame undébat avec la salle.Ce plan définit tous les publics ciblés par l’ESEN et les actionsprévues pour renforcer l’image <strong>de</strong> l’école. Il a pour objectif premier<strong>de</strong> formaliser l'image que <strong>l'ESEN</strong> souhaite valoriser etpour objectif second <strong>de</strong> se faire connaître <strong>de</strong>s publics du systèmeéducatif, d’entretenir et développer <strong>de</strong>s partenariats et<strong>de</strong>s relations avec les instances liées au système éducatif(RESP, CNED, CNDP, gran<strong>de</strong>s écoles, médias, international)mais aussi celles <strong>de</strong>s autres ministères et <strong>de</strong>s collectivitésterritoriales.Brochure du programme <strong>de</strong>s rencontres-débatsCollection "Profession cadre, service public"2 ouvrages <strong>de</strong> cette collection, co-éditée avec le CNDP <strong>de</strong>puis2009, ont été publiés en <strong>2010</strong>. Il s’agit <strong>de</strong>s titres :"L’évaluation <strong>de</strong>s politiques publiques : le développementd’une nouvelle culture" (690 exemplaires vendus)."Le management par le sens au service du bien public"(582 exemplaires vendus).Charte graphique renouveléeLa mise en œuvre <strong>de</strong> ce plan a correspondu à la nécessité <strong>de</strong>renouveler la charte graphique précé<strong>de</strong>nte et <strong>de</strong> relancer <strong>de</strong>uxprocédures <strong>de</strong> marché : une pour les objets publicitaires et uneauprès d'une agence <strong>de</strong> communication pour les aspects conceptionet réalisation graphiques.En <strong>2010</strong>, avec la nouvelle agence <strong>de</strong> communication, ont étéproduits la carte <strong>de</strong> vœux et les visuels concernant les rencontresdébats (logo, ban<strong>de</strong>role pour l’amphithéâtre, programme).Carte <strong>de</strong> vœux 2011.Cette collection commence à trouver son public et plusieursouvrages sont en préparation pour 2011 et 2012.Chiffres clés <strong>de</strong> la communication42 numéros d’ESEN hebdo publiés (journal interne).33 900 objets logotés ESEN acquis pour renforcerl’image auprès <strong>de</strong>s stagiaires et <strong>de</strong>s intervenants.2000 brochures <strong>de</strong>s rencontres-débats distribuées.200 cartes <strong>de</strong> voeux envoyées en version papier etplusieurs centaines en version électronique.22


Secrétariat général :Affaires financièresBUDGET - FINANCESPoints forts <strong>2010</strong> Budget - financesMise en place <strong>de</strong> Chorus et fusion au cours du secondsemestre avec la Mission <strong>de</strong> la formation AchatsOrganisation du pôle achat et structuration <strong>de</strong>s procédures Contrôle <strong>de</strong> gestion Lancement <strong>de</strong> l'outil partagé "offre <strong>de</strong> formation"L’ESEN est un service à compétence <strong>nationale</strong> rattaché à ladirection générale <strong>de</strong>s ressources humaines du ministère <strong>de</strong>l’éducation <strong>nationale</strong> et du ministère <strong>de</strong> l'enseignement supérieuret <strong>de</strong> la recherche. À ce titre, le budget opérationnel <strong>de</strong>programme qui lui est alloué dépend : <strong>de</strong> la mission "enseignement scolaire" ; du programme "soutien à la politique <strong>de</strong> l’éducation <strong>nationale</strong>"(programme 214) ; <strong>de</strong> l’action "politique <strong>de</strong>s ressources humaines" et sousaction"formation <strong>de</strong>s personnels non enseignants".La collaboration active, avec la direction générale pour l’enseignementsupérieur et l’insertion professionnelle (DGSIP) ,dans la mise en place <strong>de</strong> la formation <strong>de</strong>s personnels <strong>de</strong> l’enseignementsupérieur, fait que l’ESEN gère également unbudget en tant qu’unité opérationnelle au sein du programme"formations supérieures et recherche universitaire"(programme 150).Bien que service <strong>de</strong>s ministères <strong>de</strong> l'éducation <strong>nationale</strong> et <strong>de</strong>l'enseignement supérieur et <strong>de</strong> la recherche, l’ESEN est sousla responsabilité comptable <strong>de</strong> la direction régionale <strong>de</strong>s financespubliques du Poitou-Charentes et <strong>de</strong> la Vienne(DRFIP), ce qui implique que le budget <strong>de</strong> l’ESEN soit soumisà l’examen et au suivi du contrôleur financier régional. Il enest <strong>de</strong> même pour tout marché dont le seuil est égal ou supérieurà 150 000 € : l’avis du contrôleur est indispensable.Le bureau <strong>de</strong>s affaires financières est également en relation,au ministère, avec le département du budget et du dialogue<strong>de</strong> gestion (SAAM C1) à qui il transmet également <strong>de</strong>s bilansdont le rapport annuel <strong>de</strong> performance et avec lequel il participeau dialogue <strong>de</strong> gestion.Par ailleurs, l’ESEN ne paie pas <strong>de</strong> rémunérations principaleset n’est donc pas soumise à un plafond d’emplois.Le budget en chiffresLe budget opérationnel <strong>de</strong> l’ESEN notifié pour l’année <strong>2010</strong>était pour les dépenses <strong>de</strong> fonctionnement et <strong>de</strong> formation(hors titre 2) <strong>de</strong> : 3 156 314 euros en AE (autorisation d'engagement) 3 326 288 euros en CP (crédit <strong>de</strong> paiement)La différence entre le budget en AE et le budget en CP estimputable au marché "rénovation <strong>de</strong> l’hébergement" dont lesAE ont été engagées en totalité en 2007 et dont les paiementspar tranche se répartissent sur 4 ans (fin du marché endécembre 2011).Dépenses <strong>de</strong> rémunération (titre 2) : 570 000 € <strong>de</strong> créditsnotifiés et 475 000 € <strong>de</strong> crédits délégués. Ces crédits permettentla rémunération <strong>de</strong>s intervenants (heures <strong>de</strong> vacations -barème <strong>de</strong> Montpellier) pour : la préparation <strong>de</strong> supports <strong>de</strong> formation ; <strong>de</strong>s prestations d’animation d’atelier, <strong>de</strong> conférence et <strong>de</strong>formation en présentiel et à distance ; l’accompagnement <strong>de</strong> la formation en académie.Part <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> l'activité formation et <strong>de</strong>fonctionnement/au budget totalPart <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> l'activité formation/budget total : en AE : 69% en CP : 61%Part <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> fonctionnement/budget total : en AE : 31% en CP : 39%23


FinancesLa mise en place <strong>de</strong> l’application interministérielle <strong>de</strong> gestionfinancière du budget <strong>de</strong> l’État, CHORUS, a été effective au 1 erjanvier <strong>2010</strong>. La gestion réelle, suite à <strong>de</strong>s difficultés <strong>de</strong> paramétrage,a débuté fin avril. Les gestionnaires, soumis à <strong>de</strong>fortes tensions, ont fait face avec diplomatie aux rappels soutenus<strong>de</strong>s différents fournisseurs et prestataires.L’ESEN est sur une plate forme chorus indépendante : à cetitre, le bureau <strong>de</strong>s affaires financières assure l’exécution <strong>de</strong>la chaine <strong>de</strong> la dépense <strong>de</strong> l’engagement juridique jusqu’à la<strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> paiement et au suivi d’exécution <strong>de</strong>s marchés,contrats et conventions.Au 2 d semestre, l’intégration <strong>de</strong> la Mission <strong>de</strong> la formation aconduit le bureau <strong>de</strong>s affaires financières à reprendre la gestiondu budget <strong>de</strong> cette structure sur les programmes 214"soutien <strong>de</strong> la politique <strong>de</strong> l’éducation <strong>nationale</strong>" et 150"formations supérieures et recherche universitaire".Volume financier <strong>2010</strong> : Titres émis en <strong>2010</strong> : 198 776 € Titres recouvrés en <strong>2010</strong> : 63 050 €BILAN DES RECETTES <strong>2010</strong>RecettesLes recettes se répartissent en plusieurs catégories : les recettes <strong>de</strong> la régie (achats <strong>de</strong> cartes <strong>de</strong> photocopie ettéléphone) ; les recettes <strong>de</strong>s formations <strong>de</strong>stinées à <strong>de</strong>s stagiairesétrangers ; les recettes <strong>de</strong>s ventes d'ouvrages en partenariat avec leCNDP ; les recettes liées à l'accueil <strong>de</strong> groupes extérieurs (UNSS,location <strong>de</strong> salles pour les notaires) ; les recettes liées à une subvention (ACSE) ; les recettes dues à <strong>de</strong>s remboursements <strong>de</strong> dépenses(So<strong>de</strong>xo, indus).24


ACHATSMise en place <strong>de</strong> procédures structurées et rigoureuses dansle cadre <strong>de</strong> l’achat public. La procédure <strong>de</strong> marché public aété profondément revue pour tenir compte <strong>de</strong>s évolutions duco<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés et s’engager réellement dans la voie <strong>de</strong> lasimplification prévue. Ainsi en <strong>2010</strong>, le seuil <strong>de</strong> mise en concurrenceobligatoire est passé <strong>de</strong> 20 000€ à 4 000€, répondantau souhait d’obtenir la meilleure offre sur le plan économiquequelle que soit l’importance financière <strong>de</strong> la comman<strong>de</strong>.Progressivement l’ESEN résilie certains contrats pour se rattacherà <strong>de</strong>s marchés ministériels ou interministériels(informatique, téléphonie mobile et clefs 3G) voire dans l’avenir<strong>de</strong> lancer <strong>de</strong>s appels d’offre. ConventionsUne cinquantaine <strong>de</strong> conventions sont en cours d’exécution etse répartissent selon les postes <strong>de</strong> dépenses suivants :Activités novatrices : réunion <strong>de</strong> sensibilisation aux métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l’achat publicà <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s personnels avec le responsable <strong>de</strong>sachats du ministère : métho<strong>de</strong>s et pratiques, examen <strong>de</strong>certains aspects réglementaires liés aux MAPA (marchésà procédure adaptée) et pratique <strong>de</strong> la négociation ; restructuration du pôle achat <strong>de</strong> l’ESEN autour d’un responsableet <strong>de</strong> gestionnaires selon le niveau <strong>de</strong>s dépensesà engager ; rénovation et simplification du processus interne <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>: un circuit <strong>de</strong> fiche navette "<strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’achat" aété mis en place en décembre <strong>2010</strong> ce qui permet auxservices dépensiers <strong>de</strong> transmettre au service financierleur <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’achat. Ce <strong>de</strong>rnier analyse la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> etselon les montants et les enjeux, engage la procédure laplus appropriée (simple achat, mise en concurrence, appeld’offre…).Zoom sur les différentes procédures d’achat : Mise en concurrence (achat inférieur à 10 000 €)Une trentaine <strong>de</strong> mises en concurrence a été réalisée pour<strong>de</strong>s achats dont le montant était compris entre 80€ et7 000€. Ces mises en concurrence permettent :- <strong>de</strong> négocier les tarifs ;- d’accroitre le vivier <strong>de</strong>s fournisseurs. ContratsUne cinquantaine <strong>de</strong> contrats sont en cours d’exécution et serépartissent selon les postes <strong>de</strong> dépenses suivants :Répartition <strong>de</strong>s montants <strong>de</strong>s conventions parsecteur :Formation enseignement supérieur : 112 087 €Formation enseignement scolaire : 152 975 €Formations diplômantes (type masters) : 159 120 €MarchésEn <strong>2010</strong>, 29 marchés étaient en cours d’exécution.Au cours <strong>de</strong> cette année, 10 nouveaux marchés ont été passésselon <strong>de</strong>s procédures adaptées et se répartissent selonles montants suivants : De 4 000 € à 49 999.99 € : 2 marchés De 50 000 € à 89 999.99 € : 7 marchés De 90 000 € à 124 999.99 € : 1 marchéOutre ces 10 nouveaux marchés, 19 marchés étaient encours d’exécution dont :5 ont été reconduits pour une pério<strong>de</strong> d’un an ;4 rattachements à <strong>de</strong>s marchés ministériels ou interministérielsont été réalisés.25CONTROLE DE GESTIONOffre <strong>de</strong> formationDans la continuité <strong>de</strong> la refonte <strong>de</strong>s indicateurs, le contrôle <strong>de</strong>gestion a plus particulièrement porté sur la mise en place d’un


outil partagé <strong>de</strong> l’offre <strong>de</strong> formation dont la saisie uniformiséeet l’automatisation <strong>de</strong>s calculs permettent différentes restitutionstelles que : le budget prévisionnel <strong>de</strong> formation selon différents critères(pério<strong>de</strong>s, domaines d’activité….) ; la gestion <strong>de</strong> l’hébergement et <strong>de</strong> l’accueil pour l’ensemble<strong>de</strong>s formations ; la mise à jour en temps réel du calendrier <strong>de</strong>s formationsrestitué <strong>de</strong> façon calendaire et diffusé par l’intermédiairedu Web à nos différents partenaires (internes et autresservices du ministère).Bilan d’activité <strong>de</strong> formationCe bilan est élaboré à partir d’informations saisies dans 2bases <strong>de</strong> données. Un travail important a été mené pour déterminerles indicateurs les plus pertinents. La fiabilité <strong>de</strong> cesindicateurs s’appuie très largement sur le choix, la cohérenceet le suivi <strong>de</strong>s différentes nomenclatures utilisées. Ceci dansl’objectif <strong>de</strong> mettre en synergie <strong>de</strong>s indicateurs d’activité <strong>de</strong>formation et <strong>de</strong>s indicateurs financiers. Un travail reste à fairepour finaliser la construction d’un véritable tableau <strong>de</strong> bord <strong>de</strong>pilotage.ReprographieLe tableau <strong>de</strong> suivi <strong>de</strong> la reprographie permet, grâce aux relevésmensuels <strong>de</strong>s compteurs <strong>de</strong> chaque matériel, d’avoir uneimage précise du nombre <strong>de</strong> copies et <strong>de</strong> constater l’évolutiond’une année sur l’autre. Les résultats ainsi obtenus sont misen adéquation avec les clauses du marché.Tableaux <strong>de</strong> bordIl s'agit d’analyser si la mise en place <strong>de</strong> la GTC (gestion techniquecentralisée), qui permet <strong>de</strong> gérer et <strong>de</strong> réguler l’éclairageet le chauffage, est génératrice d’économie.Afin d’optimiser les résultats, il sera utile dans l’avenir d’intégrer<strong>de</strong>ux données mensuelles supplémentaires : le nombre<strong>de</strong> stagiaires hébergés à l’ESEN et les températuresmoyennes enregistrées (pour la pério<strong>de</strong> d’octobre à avril).Flui<strong>de</strong>s : évolution <strong>de</strong>s coûts et <strong>de</strong>s quantités26


Secrétariat général :Accueil <strong>de</strong>s stagiaires, patrimoineimmobilier et service intérieurL’ACCUEIL DES USAGERSLa répartition du travail a été redéfinie : une assistante a encharge le suivi d’une ou plusieurs formations. Des tâchesparticulières (réservation <strong>de</strong>s salles, plannings <strong>de</strong>s hôtels,accueil <strong>de</strong>s groupes extérieurs et le suivi <strong>de</strong>s indicateurs) ontété attribuées à une seule et même assistante.Pour améliorer la qualité du travail, <strong>de</strong>s outils ont été initialisés: tableaux <strong>de</strong> suivi <strong>de</strong>s indicateurs, 9 nouveaux formulairespour la réservation <strong>de</strong>s ressources salles <strong>de</strong> formations,véhicules, prestations….14 procédures ont été rédigées, un cahier <strong>de</strong> consignes pourles hôtesses a été créé.L’accueil en quelques chiffres22 893 nuitées8 154 à la rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> l’ESEN14 739 dans les hôtels4 835 stagiaires transportées par bus2 700 intervenants transportés par le chauffeur <strong>de</strong>l’ESEN et le taxi2 538 réservations <strong>de</strong> salles enregistréesLa nouvelle borne d’accueil.Rénovation <strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce (104 chambres)L’action majeure <strong>de</strong> cette année a été la poursuite du chantier<strong>de</strong> rénovation <strong>de</strong> l’ESEN. Initialisé en 2007, ce programme<strong>de</strong> travaux, d’un coût global <strong>de</strong> 1 200 000 €, a pourobjectif d’apporter une meilleure qualité d’accueil <strong>de</strong>s usagersdans la rési<strong>de</strong>nce (création <strong>de</strong> 4 chambres pour personne àmobilité réduite, insonorisation <strong>de</strong>s cloisons, meilleure accessibilitéaux cabines <strong>de</strong> douches, remplacement du réseau <strong>de</strong>distribution eau chau<strong>de</strong> et eau froi<strong>de</strong>, création <strong>de</strong> locaux <strong>de</strong>ménage et <strong>de</strong> salons pour les stagiaires et mise aux normesd'accessibilité).En <strong>2010</strong>, le 2 ème et le 3 ème étage ont été rénovés. Le suivi <strong>de</strong>ces travaux a impliqué la participation à une quarantaine <strong>de</strong>réunions (visites <strong>de</strong> chantiers, réception, validation …).L’action majeure <strong>de</strong> cette année a été le lancement d’unedémarche qualité <strong>de</strong> l’accueil <strong>de</strong>s usagers.Des actions pour améliorer la gestion <strong>de</strong> l’arrivée <strong>de</strong>s stagiairesont immédiatement étaient mises en place (pourexemple, la relance <strong>de</strong>s stagiaires, la systématisation <strong>de</strong> l’envoid’un courriel <strong>de</strong> confirmation <strong>de</strong>s modalités d’accueil àl’ensemble <strong>de</strong>s stagiaires, la réalisation <strong>de</strong> plans d’accès àl’ESEN en format numérique, l’harmonisation <strong>de</strong>s courrielsenvoyés …).Patrimoine immobilierEconomie d’énergieUne première phase d’audit léger (diagnostic <strong>de</strong> performanceénergétique-DPE) <strong>de</strong> l’ensemble <strong>de</strong>s bâtiments a été réaliséeen avril 2008. Cette phase visait à proposer une classificationdu parc sur la base <strong>de</strong> l’intérêt stratégique <strong>de</strong> chaque bâtimentainsi que <strong>de</strong> l’importance et <strong>de</strong> l’urgence <strong>de</strong> l’interventiontechnique nécessaire.En <strong>2010</strong>, une secon<strong>de</strong> phase d’audit approfondi a été réaliséeafin <strong>de</strong> dégager les axes <strong>de</strong> progrès en matière d’économied’énergie. Les conclusions <strong>de</strong> cet audit servent <strong>de</strong> référenceet <strong>de</strong> base pour le programme <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong>s troisannées à venir afin <strong>de</strong> respecter l’objectif <strong>de</strong> réduction <strong>de</strong>sconsommations énergétiques et <strong>de</strong> CO2 à l’horizon 2017conformément aux engagements du Grenelle <strong>de</strong> l’environnement.27


Les principales préconisations : optimiser le fonctionnementen chaufferie (remplacer certains équipements) ; affiner larégulation du chauffage (programmer <strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s <strong>de</strong> chauffageen mo<strong>de</strong> réduit via la gestion centralisée du bâtimentGTC) ; remplacement d’un <strong>de</strong>s groupes <strong>de</strong> production <strong>de</strong>froid.Concernant l’électricité,afin <strong>de</strong> réduire les coûts,il est préconisé <strong>de</strong> remplacerles éclairagesd’appoint, notammentceux à source halogène.Étu<strong>de</strong> sur l’accessibilitéLa réglementation duco<strong>de</strong> <strong>de</strong> la constructionet <strong>de</strong> l’habitation, auprofit notamment <strong>de</strong>l’accessibilité <strong>de</strong>s personnesprésentant unhandicap ou une défaillance physique temporaire, a conduitl’ESEN à réaliser un diagnostic concernant l'accessibilité <strong>de</strong>ses locaux. Celui-ci a été réalisé par le bureau <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>l’Apave <strong>de</strong> l’Ouest.Les conclusions <strong>de</strong> ce rapport doivent permettre à l’ESEN <strong>de</strong>réaliser un programme <strong>de</strong> travaux pour mettre en œuvre lesaménagements nécessaires avant le 1 er janvier 2015. Lescoûts estimés pour cette mise en conformité sont <strong>de</strong> 193 K€pour l’école et <strong>de</strong> 64 K€ pour la rési<strong>de</strong>nce.Concernant la rési<strong>de</strong>nce, les préconisations formulées dansle rapport <strong>de</strong> l’Apave ont été intégrées en gran<strong>de</strong> partie dansle programme <strong>de</strong> travaux 2011. Les principales recommandationsportaient sur la conformité <strong>de</strong>s chambres pour personneà mobilité réduite (PMR) ; l’aménagement <strong>de</strong> la cage d’escalier(accentuation <strong>de</strong>s contrastes couleur pour les marches <strong>de</strong>l’escalier, continuité <strong>de</strong> la rampe d’escalier et augmentationdu niveau d’éclairage <strong>de</strong> l’escalier) et sur la signalétique(celle-ci a été entièrement refaite).Travaux (réparation, aménagement, sécurisation et hygiènesécurité)Chaque année, un programme <strong>de</strong> travaux est réalisé pourassurer la protection <strong>de</strong>s bâtiments, le remplacement <strong>de</strong>sorganes techniques (gestion <strong>de</strong> la vétusté, mise en conformitéselon les préconisations <strong>de</strong>s rapports <strong>de</strong> contrôle), l'entretien<strong>de</strong>s locaux.Les principales opérations réalisées en <strong>2010</strong> : remplacement <strong>de</strong> la centrale anti-intrusion (<strong>de</strong>venue obsolèteet ne permettant pas d’optimiser la protection) ; installation d’une barrière <strong>de</strong> sécurité pour filtrer les accèsau restaurant et limiter les accès malveillants ; remplacement <strong>de</strong>s chauffe-eau (pour un gain <strong>de</strong> consommationd’énergie et pour la prévention lié aux risques légionelles); achat d’un automate <strong>de</strong> secours et développement <strong>de</strong>sparamètres <strong>de</strong> la GTC(gestion technique centraliséedu bâtiment) ; mise en conformitédu système incendie etdu réseau électriquesuite aux recommandationsdu bureau <strong>de</strong> contrôle; mise en conformitéincendie selon les préconisations<strong>de</strong> la commission<strong>de</strong> sécuritéincendie ; peinture du hall d’accueil.Le coût total <strong>de</strong> ces opérations pour <strong>2010</strong>, hors travaux <strong>de</strong> larési<strong>de</strong>nce et hors maintenance préventive, s’élève à130 K€TTCMAINTENANCE IMMOBILIÈRE, SERVICE INTÉRIEUR,HYGIÈNE ET SÉCURITÉMaintenance immobilièreEn <strong>2010</strong>, les trois ouvriers ont réalisé 1 370 interventions.Les domaines les mobilisant le plus sont : la reprographie (1 031 600 copies réalisées à l’atelier <strong>de</strong>reprographie) ; les déménagements (l’essentiel <strong>de</strong>s interventions concerneles déménagements et réaménagements <strong>de</strong>s chambres <strong>de</strong>la rési<strong>de</strong>nce dans le cadre <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong> rénovation <strong>de</strong> larési<strong>de</strong>nce et les agencements liés à la préparation <strong>de</strong>ssalles <strong>de</strong> formation.Ils participent également à la prévention du risque incendie(contrôle <strong>de</strong> premier niveau <strong>de</strong>s organes <strong>de</strong> sécurité, gestiondu SSI et levée <strong>de</strong> doute en cas d’incendie).La mise en œuvre du plan d’action pour la gestion durisque pandémique (Grippe H1N1) Élaboration d’un plan <strong>de</strong> prévention (affichage, mise enplace <strong>de</strong> distributeurs <strong>de</strong> solution hydro alcoolique, information<strong>de</strong>s usagers et personnels <strong>de</strong> l’ESEN, consignes et28


épartition <strong>de</strong>s rôles). Rédaction du plan <strong>de</strong> continuité d’activité (PCA).Le plan d’actions pour la prévention <strong>de</strong>s légionellesAfin <strong>de</strong> garantir la qualité <strong>de</strong> l’eau dans la rési<strong>de</strong>nce, un pland’actions <strong>de</strong> prévention du risque contre la prolifération <strong>de</strong>slégionelles a été initialisé dés 2008 : prélèvements et analyse 2 fois par an ; purge régulière <strong>de</strong>s réseaux (après chaque pério<strong>de</strong> d’inoccupation<strong>de</strong>s locaux) ; travaux sur le réseau <strong>de</strong> production d’eau chau<strong>de</strong>(remplacement <strong>de</strong>s chauffe-eau, suppression <strong>de</strong>s "brasmorts") ; réalisation d’un diagnostic par la société OFIS.Ce plan d’actions fait l’objet d’un suivi rigoureux consigné surun registre.commission <strong>de</strong> sécurité incendie (bouchage <strong>de</strong> trémies,ajout et suppression <strong>de</strong> sièges à l’amphithéâtre, libération<strong>de</strong>s portes entre salles <strong>de</strong> cours d’une capacité <strong>de</strong> plus <strong>de</strong>19 personnes, révision <strong>de</strong>s portes coupe-feu, ajout <strong>de</strong> blocautonomes <strong>de</strong> sécurité, programmation du système <strong>de</strong> désenfumage…).Toutes ces prescriptions ont été réalisées. Redéfinition du plan d’évacuation. Une séance d’informationà <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong> l’évacuation a été faite le10 mai <strong>2010</strong>. 25 personnes ont suivi cette présentation(plan d’évacuation, missions, cheminements, zone <strong>de</strong> rassemblement,…). Un brassard et <strong>de</strong>s consignes individuellesont été remis aux participants. Deux exercices d’évacuation ont été réalisés en <strong>2010</strong>, l’unau niveau du bâtiment <strong>de</strong> formation le 24 juin (300 personnesévacuées), l’autre la nuit du 24 au 25 novembre auniveau <strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce (101 personnes évacuées). Deux sessions <strong>de</strong> formation à l’utilisation du système <strong>de</strong>sécurité incendie ont été réalisées en <strong>2010</strong>, l’une à l’attention<strong>de</strong>s équipiers <strong>de</strong> 1 ère intervention et <strong>de</strong>s hôtesses,l’autre à <strong>de</strong>stination <strong>de</strong>s agents <strong>de</strong> sécurité (société Sécuritas).Les acteurs du plan d’évacuation sont le responsable <strong>de</strong> lasécurité, les équipiers <strong>de</strong> premières intervention, les hôtesses,les gui<strong>de</strong>s et serre-files.La mise en place du marché <strong>de</strong> gardiennageDans le cadre du renouvellement du marché <strong>de</strong> gardiennageen <strong>2010</strong>, une nouvelle société, Sécuritas, a été retenue. Lamise en place <strong>de</strong> cette nouvelle équipe a nécessité plusieursréunions <strong>de</strong> travail entre les coordinateurs <strong>de</strong> site et le responsabledu bureau <strong>de</strong> l’accueil <strong>de</strong>s stagiaires, du patrimoineimmobilier et du service intérieur, pour repérer les risques,étudier les scénarios en cas <strong>de</strong> la survenue d’évènementsnon désirés (incendie, intrusion, appels malveillants, dégradations…)et élaborer les consignes. Un registre <strong>de</strong> consignesSécuritas a été réalisé.L’ensemble <strong>de</strong>s consignes internes ESEN ont été refaites.La gestion du risque incendieLe plan d’actions <strong>de</strong> prévention du risque incendie s’est traduiten <strong>2010</strong> par les actions suivantes :Lors <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong> la salle basse du restaurant. Mise en conformité <strong>de</strong>s bâtiments suite à la visite <strong>de</strong> la29


Secrétariat général :InformatiqueActualitéUn projet d’audit informatique a été initié en <strong>2010</strong>, la réalisation<strong>de</strong> cet audit est prévue au cours du 1 er semestre 2011.Les propositions attendues permettront <strong>de</strong> tracer les lignesd'un schéma directeur informatique (SDI) pour les 2 à 3 annéesà venir et <strong>de</strong> structurer les budgets et les chantiers informatiques.Le SDI porte sur : les infrastructures informatiques ; les solutions applicatives ; les outils bureautiques et collaboratifs et les outils <strong>de</strong>communication ; la mise en place <strong>de</strong> services <strong>de</strong> type extranet avec plusieurszones en fonction du statut : personnel ESEN, partenairesréguliers, intervenants, stagiaires…InfrastructuresLes principaux projets menés en <strong>2010</strong> ont permis <strong>de</strong> démarrerles chantiers <strong>de</strong> remise à niveau et d’évolution <strong>de</strong>s infrastructuresinformatiques et bureautiques. Ainsi, dans le prolongementdu remplacement <strong>de</strong>s 9 copieurs installés en 2009(7 copieurs multifonctions, 2 copieurs au centre <strong>de</strong> reprographie),l’ensemble <strong>de</strong>s 68 postes <strong>de</strong> travail <strong>de</strong>s personnels aété remplacé.Les anciens ordinateurs ont été reconditionnés et redéployésdans les 22 salles <strong>de</strong> formation en remplacement <strong>de</strong> configurations<strong>de</strong>venues obsolètes ou ne répondant plus aux besoinsexprimés.Une mise à niveau <strong>de</strong>s infrastructures informatiques ducentre <strong>de</strong> ressources a permis d’harmoniser la configuration<strong>de</strong>s 70 postes mis à disposition <strong>de</strong>s stagiaires.Suite à <strong>de</strong>s pannes successives, une partie du système d’affichageimplanté dans le hall d’accueil <strong>de</strong> l’ESEN a été remplacée.Les 4 ordinateurs qui pilotent les écrans d’affichage sontd’une nouvelle génération, mieux adaptée à un fonctionnementintensif. Ils disposent, en outre, <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rnières mises àjour <strong>de</strong>s logiciels <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong> l’affichage.Après la mise en œuvre du nouveau système <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>bases <strong>de</strong> données (passage d’Informix vers IBM-DB2), cesont les outils d’extraction et <strong>de</strong> mise en forme <strong>de</strong>s donnéesqui ont migré sur la version actuelle <strong>de</strong> Business Objects.Cette évolution a nécessité la réécriture et la validation <strong>de</strong>l’ensemble <strong>de</strong>s requêtes d’interrogation <strong>de</strong> la base <strong>de</strong> données<strong>de</strong> gestion <strong>de</strong> la formation.ServicesAfin <strong>de</strong> compenser la diminution <strong>de</strong>s effectifs <strong>de</strong> la celluleinformatique, une démarche d’organisation en centre <strong>de</strong> servicesa été initiée en <strong>2010</strong>. Cette démarche sera confortéeen 2011 selon les conclusions <strong>de</strong> l’audit informatique.Elle se traduit concrètement par :la constitution d’un catalogue <strong>de</strong> services ;le déploiement d’outils <strong>de</strong> supervision (NAGIOS) et <strong>de</strong> gestion<strong>de</strong>s <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s d’assistance aux utilisateurs (GLPI :prêt <strong>de</strong> matériel, assistance, gestion <strong>de</strong>s inci<strong>de</strong>nts).En fin d’année, les <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s d’assistance oscillaient entre30 et 50 tickets ouverts par mois.30


La gestion <strong>de</strong>s indicateurs générés par ces outils permettra<strong>de</strong> quitter progressivement un mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> fonctionnement réactifpour aller vers une démarche proactive. Elle s’accompagnera<strong>de</strong> la production <strong>de</strong> tableaux <strong>de</strong> bord, conformément àla démarche qualité qui sera initiée en 2011.Parallèlement, <strong>de</strong> nouveaux outils ont été déployés afin <strong>de</strong>rediriger les dossiers personnels vers les serveurs <strong>de</strong> données.Ce service porte principalement sur la gestion et lasécurité <strong>de</strong>s systèmes informatiques et s’accompagne d’unesauvegar<strong>de</strong> quotidienne <strong>de</strong>s données sur disque et surban<strong>de</strong>.Enfin, le déploiement <strong>de</strong>s outils <strong>de</strong> communication et <strong>de</strong> travailcollaboratif s’est prolongé en <strong>2010</strong>. Ainsi une nouvelleversion <strong>de</strong> la messagerie Lotus-Domino offre aux utilisateursune meilleure ergonomie <strong>de</strong>s écrans <strong>de</strong> gestion ainsi que <strong>de</strong>soutils d’exploitation plus performants.À travers l’IntranetPléia<strong>de</strong>, la mise àdisposition du module<strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>s congésa rendu autonomeles personnespour la réservation etla comptabilisation <strong>de</strong>leurs <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s <strong>de</strong>congés. Ces <strong>de</strong>man<strong>de</strong>ssont maintenanteffectuées directementpar l’intéressé,avec un système<strong>de</strong> validation parwork-flow du supérieurhiérarchique.Le déploiement <strong>de</strong>Pléia<strong>de</strong> se poursuivraen 2011 et 2012,notamment afin <strong>de</strong>développer l’offre <strong>de</strong>sservices <strong>de</strong> travailcollaboratif.Accompagnement :la sécurité, la formation,l’informationL’accompagnement<strong>de</strong>s utilisateurs porteprincipalement sur 3 domaines : la sécurité, la formation etl’information.La sécurité concerne l’ensemble <strong>de</strong>s infrastructures et faitl’objet d’une supervision quotidienne. Pour cela, le serviceinformatique a établi une liste <strong>de</strong> huit points particulièrementexposés aux risques.Les risques à prendre en compte portent à la fois sur les accèsà l’information et sur la protection <strong>de</strong>s données. Le périmètre<strong>de</strong> surveillance s’étend du poste <strong>de</strong> travail aux accèsdistants, via l’Internet notamment.La formation est une <strong>de</strong>s composantes importantes <strong>de</strong> l’accompagnement<strong>de</strong>s utilisateurs. Elle s’est traduite en <strong>2010</strong>par la préparation d’ateliers <strong>de</strong> prise en mains portant sur lesnouveaux outils bureautiques (messagerie, Intranet Pléia<strong>de</strong>,outils d’assistance GLPI, …).Cinq ateliers ont été organisés et la moitié <strong>de</strong>s personnels <strong>de</strong><strong>l'ESEN</strong> en a bénéficié.En complément<strong>de</strong> ces ateliers, <strong>de</strong>sséances d’informationont été organiséesà l’attention <strong>de</strong>sgestionnaires. Ellesportaient sur l’évolution<strong>de</strong>s outils <strong>de</strong>gestion <strong>de</strong> la formation: nouveaux modulesdisponibles,nouvelle réglementation,harmonisation<strong>de</strong>s pratiques <strong>de</strong> gestion,recensement<strong>de</strong>s <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s d’évolutionà transmettreaux équipes projet.Enfin, la cellule informatiqueintervientrégulièrement enassistance auprès<strong>de</strong>s stagiaires <strong>de</strong>l’ESEN, notammentpour le paramétrage<strong>de</strong> leurs ordinateursportables (accès àl’Internet via le réseauWiFi).31

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