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Journée d’étu<strong>des</strong> du GEMCACentre d’analyse culturel de la première modernitéMichel Foucault et <strong>le</strong> XVII e sièc<strong>le</strong>30 mai 2013Faculté de philosophie, arts et <strong>le</strong>ttresSal<strong>le</strong> du ConseilPlace Blaise Pascal, 11348 Louvain-la-Neuve


Programme9h-9h30 Accueil9h30-10h Introduction par Emmanuel Picardi (<strong>UCL</strong>)10h-10h30 Fabienne Brion (<strong>UCL</strong>)Une <strong>le</strong>cture du moment cartésien, de l’Histoire de la folie àMal faire, dire vrai.10h30-11h Aline Wiame (ULB)Un nouvel archiviste est nommé dans la vil<strong>le</strong>. Ruses philosophiqueset enjeux historiques <strong>des</strong> recours foucaldiens auxénoncés de l’Âge classique11h15 Pause11h30-12h Ariana Sforzini (Padoue - Paris XII-UPEC)Michel Foucault au XVII e sièc<strong>le</strong>. Théâtre et représentation12h-12h30 Noëmie Charrié (<strong>UCL</strong>- Montpellier III)La souveraineté au regard de la « tragédie classique », ou l’enversde la cérémonie12h45 Pause14h-14h30 Arnaud Welfringer (Paris VIII)Dire vrai au XVII e sièc<strong>le</strong> : pour une histoire de la parrêsia àl’âge classique14h30-15h Frédéric Gros (Paris XII-UPEC)Les arts de soi et <strong>le</strong>s techniques de direction, dans l’Antiquitéet à l’âge classique15h15 Pause15h30-16h Britt Grootes (Université de Gand)How to be ab<strong>le</strong> to say the truth about oneself? Subjectivity andlyric poetry in the 17 th century16h-16h30 Olivier Guerrier (Université Toulouse Le Mirail)Régimes de vérité au XVII e sièc<strong>le</strong>, prolégomènes17h Fin <strong>des</strong> travaux


Fabienne BrionProfesseure au Département de Droit pénal et de Criminologie à l’<strong>UCL</strong>,Fabienne Brion, en collaboration avec Bernard E. Harcourt, a édité en2012 Mal faire, dire vrai. Fonction de l'aveu en justice, cours donné parMichel Foucault en 1981 à l'<strong>UCL</strong>ouvain.Une <strong>le</strong>cture du moment cartésien, de l’Histoire de la folie à Mal faire,dire vraiAline WiameAline Wiame est docteur en philosophie de l’Université Libre de Bruxel<strong>le</strong>set chargée de recherche du F.R.S.-FNRS. Après une thèse de doctoratconsacrée à l’articulation d’une rencontre entre <strong>le</strong> théâtre contemporain etla philosophie française du vingtième sièc<strong>le</strong>, el<strong>le</strong> travail<strong>le</strong> aujourd’hui surune problématisation <strong>des</strong> concepts de « scène » et d’« image » à partir <strong>des</strong>propositions de William James et d’Henri Bergson. El<strong>le</strong> s’intéresse particulièrementaux croisements entre arts, culture visuel<strong>le</strong> et philosophie, età ce que voudrait dire « penser par la scène et l’image ».Un nouvel archiviste est nommé dans la vil<strong>le</strong>. Ruses philosophiques etenjeux historiques <strong>des</strong> recours foucaldiens aux énoncés de l’Âge classiqueEn plaçant cette communication sous <strong>le</strong> signe de la première phrase duFoucault de Gil<strong>le</strong>s De<strong>le</strong>uze, nous n’entendons pas commenter l’œuvre deFoucault selon une approche de<strong>le</strong>uzienne. Il s’agira bien plutôt de tenterd’élaborer un regard sur <strong>le</strong> rapport foucaldien à l’Âge classique à partirde deux propositions de<strong>le</strong>uziennes considérées comme ang<strong>le</strong>s d’approcheproblématiques.La première de ces deux propositions concerne <strong>le</strong> statut de « nouvel archiviste» dont De<strong>le</strong>uze n’hésite pas à dire qu’il échoit à Foucault commeune « nomination ». Quel<strong>le</strong> posture, quel geste philosophique, peut bienappe<strong>le</strong>r un tel statut ? Comment <strong>le</strong>s textes de Foucault y répondent-ils


anachroniquement, et pourquoi <strong>le</strong> XVII e sièc<strong>le</strong> occupe-t-il une place siprépondérante dans <strong>le</strong>s ruses que ces textes mettent en place pour rejouer<strong>le</strong> match de l’Histoire ?Pour répondre à ces questions, nous proposerons notamment de noustourner vers un second ang<strong>le</strong> de <strong>le</strong>cture ébauché par De<strong>le</strong>uze, qui n’ajamais manqué de donner du fil à retordre aussi bien à l’auteur qu’aux<strong>le</strong>cteurs de son Foucault. Cet ang<strong>le</strong> de <strong>le</strong>cture est celui <strong>des</strong> rapports entrel’énoncé et <strong>le</strong> visuel, entre <strong>le</strong> dicib<strong>le</strong> et <strong>le</strong> visib<strong>le</strong>. Si De<strong>le</strong>uze peine à défendre<strong>le</strong> postulat selon <strong>le</strong>quel il y a un primat de l’énoncé sur <strong>le</strong> visib<strong>le</strong>dans la théorie foucaldienne, c’est peut-être, justement, parce que <strong>le</strong>s rusesdéployées par Foucault dans son analyse de l’Âge classique problématisentgrandement cette distinction. Ce serait dès lors dans <strong>le</strong> regard foucaldiensur l’Âge classique que <strong>le</strong>s spécificités de sa ruse philosophique se révè<strong>le</strong>raientavec <strong>le</strong> plus de netteté.Afin de développer ces hypothèses, nous nous baserons principa<strong>le</strong>mentsur L’histoire de la folie à l’Âge classique, Les mots et <strong>le</strong>s choses et L’archéologiedu savoir, ainsi que sur <strong>le</strong>s textes et entretiens publiés par Foucaultautour de la parution de ces livres.Ariana SforziniArianna Sforzini est doctorante monitrice en philosophie à l’UniversitéParis-Est Créteil, en cotutel<strong>le</strong> avec l’Université de Padoue ; el<strong>le</strong> prépareactuel<strong>le</strong>ment une thèse sur la présence et l’importance du théâtre dansl’œuvre de Michel Foucault. El<strong>le</strong> co-anime, avec Frédéric Gros, Danie<strong>le</strong>Lorenzini et Ariane Revel, <strong>le</strong> séminaire « Actualités Foucault » à l’UniversitéParis-Est Créteil.Michel Foucault au XVII e sièc<strong>le</strong>. Théâtre et représentationLe théâtre du XVII e sièc<strong>le</strong> est pour Foucault, dans <strong>le</strong>s années 60, l’emblèmepar excel<strong>le</strong>nce du théâtre-représentation : la mise en scène d’un langagedéjà établi, transparent au monde et déployé sous l’empire de la Raison.La représentation étant la forme épistémique constitutive du savoir classique(Les mots et <strong>le</strong>s choses), <strong>le</strong> théâtre devient « l’essence de l’œuvre clas-


sique », l’apollinien de la représentation qui s’affirme sur <strong>le</strong> dionysiaquede l’expérience tragique de la Renaissance. Dans un dialogue impliciteavec l’analyse que Heidegger fait de la représentation à partir de Descartes(« L’époque <strong>des</strong> conceptions du monde »), Foucault voit dans <strong>le</strong> théâtrecomme « re-présentation » l’expression d’une forme historique bien précisede connaissance, où se font face un sujet absolu dans sa prétention àla vérité et un monde entièrement objectivab<strong>le</strong>.Mon intervention se propose d’interroger précisément ce lien du théâtreet de la représentation, lien à la fois épistémique, esthétique, politique.Pour cela, j’aimerais faire interférer <strong>le</strong>s références au théâtre classique avec<strong>le</strong>s recherches que Foucault mène dans <strong>le</strong>s mêmes années sur la littérature.En particulier, je voudrais m’appuyer sur la conférence : « Littératureet langage », tenue à Bruxel<strong>le</strong>s en 1964 et récemment publiée. Ony trouve <strong>le</strong>s racines d’un concept méthodologiquement essentiel pour ladémarche foucaldienne toute entière – la critique –, capab<strong>le</strong> d’éclairer laréférence au théâtre sous une doub<strong>le</strong> perspective. D’une part, el<strong>le</strong> permetde détail<strong>le</strong>r <strong>le</strong>s rapports <strong>des</strong> œuvres théâtra<strong>le</strong>s à la culture <strong>des</strong> signesà laquel<strong>le</strong> el<strong>le</strong>s appartiennent. C’est ainsi que Foucault peut avancer <strong>des</strong>hypothèses importantes sur la « spatialité » du langage théâtral (au XVII esièc<strong>le</strong>, un espace entre bouc<strong>le</strong> et hélice ascendante, reprenant <strong>le</strong>s mouvementsde la sculpture baroque). D’autre part, la dimension de la critique,d’entrée de jeu politiquement très chargée, pose au théâtre la question dela va<strong>le</strong>ur transformative et inventive du langage. Qu’implique pour nousaujourd’hui une analyse critique de la représentation ? Comment lire <strong>le</strong>srapports entre un théâtre-représentation, et la va<strong>le</strong>ur anti-représentative<strong>des</strong> mises en scène et <strong>des</strong> arts performatives contemporaines ?Noëmie CharriéNoëmie Charrié est doctorante à l’Université Paul Valéry (MontpellierIII), en cotutel<strong>le</strong> avec l’Université Catholique de Louvain-la-Neuve. El<strong>le</strong>travail<strong>le</strong> sur <strong>le</strong>s usages du « théâtre classique » dans <strong>le</strong>s sciences humaines.Assistante aux éditions de l’Entretemps dans <strong>le</strong> cadre de la col<strong>le</strong>ction« Matériau », el<strong>le</strong> est éga<strong>le</strong>ment rédactrice de la programmation artistiquepour <strong>le</strong> Théâtre la Vignette à Montpellier.


La souveraineté à l’épreuve de la « tragédie classique », ou l’envers de lacérémonieQuel<strong>le</strong>s relations nouent la « tragédie classique française » aux figures dela souveraineté ? Comment penser l’articulation du théâtre au politiquesous <strong>le</strong> règne personnel de Louis XIV ? Ces questions, traditionnel<strong>le</strong>s àbien <strong>des</strong> égards, trouvent un éclairage singulier dans <strong>le</strong>s cours donnéspar Michel Foucault <strong>des</strong> années 1974 à 1981 (Il faut défendre la société,Les anormaux, Mal faire, dire vrai. Fonction de l’aveu en justice). Subvertissant<strong>le</strong>s catégories d’interprétation inhérentes à l’histoire <strong>des</strong> idées, cepenseur nous invite à relire <strong>le</strong>s pièces de Corneil<strong>le</strong> et Racine à la manièrede l’historien – décrivant différentes pratiques ; de l’ethnologue – faisantde l’autre son objet ; et, enfin, du philosophe – qui interroge non plus<strong>le</strong> fondement, mais <strong>le</strong> fonctionnement du pouvoir. À la faveur de cetteapproche, dont nous essayerons de montrer <strong>le</strong>s lignes de force, il s’agirad’envisager à nouveaux frais notre usage de la littérature passée.Arnaud WelfringerArnaud Welfringer est docteur en littérature française de l’Université Paris8 et enseigne au lycée René Cassin de Gonesse (Val d’Oise). Il consacreses recherches à l’histoire de la parrêsia dans la première modernité, dans<strong>le</strong> sillage <strong>des</strong> travaux de Michel Foucault. Sa thèse, à paraître prochainement,inscrit ainsi <strong>le</strong>s Fab<strong>le</strong>s de La Fontaine dans <strong>le</strong>s différentes reproblématisationsdu « courage de la vérité » aux XVI e et XVII e sièc<strong>le</strong>s.Dire vrai au XVII e sièc<strong>le</strong> : pour une histoire de la parrêsia à l'âge classiqueDans ses dernières années de cours, Michel Foucault a ressuscité une questionancienne, cel<strong>le</strong> de la parrêsia, en en étudiant <strong>le</strong>s transformations à traversl’Antiquité, jusqu’à l’orée du Moyen Âge. Foucault inaugure toutefoisson étude par l’analyse du texte de Kant, Qu’est-ce que <strong>le</strong>s Lumières ? Faut-ilconclure que la question de la parrêsia connaîtrait une « déproblématisation» entre <strong>le</strong> Moyen Âge et <strong>le</strong> début <strong>des</strong> Lumières – tout particulièrementau XVII e sièc<strong>le</strong>, où la « statistique » prend <strong>le</strong> pas sur l’éthique princière de


l’époque médiéva<strong>le</strong>, et <strong>le</strong> « gouvernement <strong>des</strong> choses » sur <strong>le</strong> « gouvernement<strong>des</strong> âmes » ? Rien n’est moins sûr, à en croire quelques remarqueséparses de Foucault dans ces derniers cours, et pour peu que l’on relise à lalumière <strong>des</strong> derniers cours certains écrits antérieurs – notamment <strong>le</strong> coursSécurité, territoire, population, ou <strong>le</strong>s réf<strong>le</strong>xions sur l’écriture et la <strong>le</strong>cturecomme « exercices spirituels », qui trouvent <strong>le</strong>ur origine dans la re<strong>le</strong>cture<strong>des</strong> Méditations métaphysiques que propose Foucault en 1971 lors de saquerel<strong>le</strong> avec Derrida. À partir de ces textes, mis en dialogue avec quelquesœuvres du XVII e sièc<strong>le</strong>, on se proposera ainsi de poursuivre et de discuterl’enquête amorcée par <strong>le</strong> philosophe, et ainsi d’imaginer, d’après Foucault,ce que pourrait être une Histoire de la parrêsia à l’âge classique.Frédéric GrosFrédéric Gros est professeur de philosophie politique à l'université Paris-XII et à l'Institut d'étu<strong>des</strong> politiques de Paris. Il a travaillé sur l'histoire dela psychiatrie (Création et folie, PUE), la philosophie de la peine (Et cesera justice, Odi<strong>le</strong> Jacob, 2001), la pensée occidenta<strong>le</strong> de la guerre (États devio<strong>le</strong>nce, Gallimard, 2006) et la notion de sécurité qui innerve nos sociétéscontemporaines (Le Principe Sécurité, Gallimard, 2012). Il a, en outre,édité <strong>le</strong>s derniers cours de Michel Foucault au Collège de France. Enfin, i<strong>le</strong>st l’auteur de Marcher, une philosophie (Flammarion, 2009).Les arts de soi et <strong>le</strong>s techniques de direction, dans l’Antiquité et à l’âgeclassiqueÀ partir d’indications données dans <strong>le</strong> cours au collège de France Lesanormaux (1975), L’herméneutique du sujet (1982), Subjectivité et vérité(1981, inédit), nous voudrions penser un système d’oppositions cohérentet pertinent, entre un mode de subjectivation propre à l’Antiquitégréco-romaine et à l’âge classique, à partir de deux concepts pratiques :<strong>le</strong>s directions d’existence et <strong>le</strong>s arts de soi. La distinction entre directiond’existence antique et classique prendra la forme d’une opposition entrela maîtrise et l’incitation, fondée toujours sur une reproblématisation dupouvoir comme activité <strong>des</strong> forces. La distinction entre art de soi antique


et classique prendra la forme d’une opposition entre et l’apprentissaged’attitu<strong>des</strong> et la greffe ontologique. Nous suivrons plus particulièrementdans Subjectivité et vérité la première formulation et problématisation parFoucault du concept d’« art de soi-même » ainsi que de la littérature quilui est consacrée (en effet Le gouvernement <strong>des</strong> vivants – 1980 – demeureencore pris dans la perspective <strong>des</strong> techniques de direction).Britt GrootesBritt Grootes a obtenu un premier diplôme d'étu<strong>des</strong> culturel<strong>le</strong>s à l’UniversitéLibre d’Amsterdam aux Pays-Bas. En 2011 el<strong>le</strong> a fait un master en histoirede l’art à l’Université de Gand. L'année suivante el<strong>le</strong> a commencé unethèse en étu<strong>des</strong> littéraires à la même université. Sa recherche part d’uneanalyse <strong>des</strong> modè<strong>le</strong>s de la subjectivation : el<strong>le</strong> vise à établir <strong>des</strong> rapportsentre la généalogie foucaldienne du sujet moderne et la conception de lapoésie lyrique de la première modernité.How to be ab<strong>le</strong> to say the truth about oneself? Subjectivity and lyricpoetry in the 17 th centuryNear the end of his life Foucault stated that the subject had always been hisobject of research. The only thing that had changed was the perspectiveused for studying this subject. From this point of view Foucault characterizedhis latest work as a study of the way a human being turns himselfinto a subject. These techniques of the self, which Foucault started to <strong>des</strong>cribein his courses at the Collège de France from around 1978, implieddifferent forms of subjectivity. Foucault elaborated on these formations ofthe self in relation to different periods in western history, ranging fromAncient Greece to the twentieth century. However, Foucault relates manyof these subjectivities, whether implicitly or not, to the period of the 16 thto the 18 th century. In my presentation I will make use of Foucault’s studyof seventeenth-century forms of subjectivity to ask the question what definedlyric poetry in the same period.As a point of departure I will take the connection Foucault already madein 1975 between subjectivity and the sixteenth- and seventeenth-century


confessional box as the institution of the obligation to tell the truth aboutoneself. Foucault once explained that his notion of confession could serveas a matrix for a genealogy of the modern subject. In my talk, I want toexplore whether it can also serve as a model to conceive of lyric poetry interms of truth, speech, the self and the other.Olivier GuerrierOlivier Guerrier est Professeur en Littérature Française de la Renaissanceà l’Université Toulouse Le Mirail (UTM), Membre Honoraire de l’InstitutUniversitaire de France, spécialiste de Montaigne et de Plutarque-Amyot.Il s’intéresse particulièrement aux rapports entre littérature et savoirs à laRenaissance et, depuis quelques années, aux rapports de Michel Foucaultà cette même période. En mars 2012, il fut l’un <strong>des</strong> organisateurs du Colloqueinternational à l’UTM « Michel Foucault et la Renaissance » (disponib<strong>le</strong>sur la chaîne Canal U – à paraître aux Classiques Garnier).Régimes de vérité au XVII e sièc<strong>le</strong>, prolégomènes


Comité organisateur : Agnès Guiderdoni (FNRS-<strong>UCL</strong>), Thierry Lenain (ULB),Emmanuel Picardi (<strong>UCL</strong>) et Aline Wiame (ULB)Comité scientifique : Marc Escola (Lausanne), Frédéric Gros (Paris XII-UPEC), Agnès Guiderdoni (FNRS-<strong>UCL</strong>) et Judith Revel(Paris I)

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