YémenLe pétrole ne suffit pas10099100530Si le Yémen ne révise pas sa99politique, il n’atteindra pas <strong>les</strong> Objectifs <strong>du</strong> Millénaire pour le développement (OMD)10098en 2015. La dépendance excessive 100 de l’exportation <strong>du</strong> pétrole 100 et la faib<strong>les</strong>se 100 <strong>du</strong> reste 69de son système de pro<strong>du</strong>ction 100a donné lieu à une économie incapable de répondre de façon adéquate même aux besoins alimentaires de lapopulation. Il est indispensable de diversifier la pro<strong>du</strong>ction agricole, en tenant compte des effets sur l’environnementBCI of Portugal = 99IEG of Portugal = 73et de protéger et rendre plus compétitifs <strong>les</strong> pro<strong>du</strong>its nationaux. Sur le plan politique, des politiques plus soutenuessur la dimension de genre permettant l’intégration réelle des femmes dans la société doivent être approuvées.0100100Human Rights Information and Empowerment CentreArafat Abdallatif ArrafidsLe Yémen occupe le 140 ème rang sur 182 selon l’indicateur<strong>du</strong> développement humain créé (IDH) par leProgramme des Nations Unies pour le développement(PNUD). Presque 45 % de la population vit avecmoins de USD 2 par jour 1 . L’augmentation <strong>du</strong> chômagea entraîné la stagnation <strong>du</strong> niveau <strong>du</strong> revenupar habitant. Son économie se fonde principalementsur le pétrole, alors que <strong>les</strong> autres secteurs n’ontconnu qu’un développement modeste.Le pays doit faire face à de sérieuses difficultésà cause d’une diminution importante dans la pro<strong>du</strong>ctionde pétrole. La participation de cette pro<strong>du</strong>ctiondans le budget général de l’Etat est exceptionnellementélevée. Au regard de cette situation, si <strong>les</strong>autorités <strong>du</strong> Yémen ne prennent pas <strong>les</strong> mesuresnécessaires pour stopper rapidement la chute del’économie, l’État sera incapable de faire face à sesobligations dans <strong>les</strong> prochaines années.Panorama de la situation actuelleLe carburant de la dépendanceSelon <strong>les</strong> statistiques officiel<strong>les</strong>, le pétrole représente35 % de la pro<strong>du</strong>ction intérieure totale, 70 %<strong>du</strong> budget de l’État et 90 % de toutes <strong>les</strong> exportations<strong>du</strong> Yémen 2 . La participation des autres secteurs pro<strong>du</strong>ctifscomme la pêche, le tourisme et <strong>les</strong> in<strong>du</strong>striesmanufacturières ne représente pas plus de 10 % desexportations. Les données officiel<strong>les</strong> montrent que<strong>les</strong> exportations de pétrole ont baissé, entre 2007 et2008, de 17,42 millions à 9,46 millions de barils depétrole, ce qui signifie en termes économiques, USD522 millions en moins de revenus pour ce secteur.Selon un rapport de la Banque centrale <strong>du</strong> Yémen,<strong>les</strong> revenus de l’exportation de pétrole brut <strong>du</strong>pays ont enregistré, en 2009, une chute record deUSD 803 millions. Ceci a coïncidé, d’après la Banque,avec la diminution de la partie <strong>du</strong> Gouvernementdans la pro<strong>du</strong>ction de pétrole brut pendant la périodejanvier–juillet :15 millions de barils en 2009 faceà 27,3 millions de barils dans la même période de1 Programme des Nations Unies pour le développement(PNUD), Rapports sur le développement humain 2009.Disponible sur : http://hdr.undp.org/en/media/HDR_2009_FR_Complete.pdf2 Rapports gouvernementaux et parlementaires de l’année2007-2008.2008. Le rapport met aussi en relation cette diminutionavec l’importante chute 100 des prix internationauxà cause de la crise internationale : de USD 114,6 lebaril en 2008 à USD 53,7 en 2009. 73Autres secteursLes secteurs économiques alternatifs au pétrole,0comme l’agriculture et l’in<strong>du</strong>strie, ont diminué leurpart <strong>du</strong> Pro<strong>du</strong>it intérieur brut, de 43 % en 1990 àmoins de 18 % en 2005 36 3 93. Le taux de chômage est100 100passé de 16,7 % en 2007 à 35 % en 2008.Les données officiel<strong>les</strong> montrent que la force detravail <strong>du</strong> secteur agricole est aux alentours de 54 %,mais la dégradationBCI of Yemen,des solsRep.et la progression= 67dela désertification menacent de détériorer <strong>les</strong> conditionsde vie des travailleurs 4 . La culture <strong>du</strong> qat – uneplante stimulante qui demande plus de vingt millionsd’heures de travail par jour et consomme un quartde la force de travail – 100 occupe plus de la moitié dela surface cultivée et absorbe d’énormes quantitésd’eau souterraine, dans un des pays qui manque leplus d’eau dans le monde (voir s/d plus bas).La situation de la femme0Bien que <strong>les</strong> femmes aient réussi à se faire uneplace en tant s/d que décisionnaires dans <strong>les</strong> différents74organismes <strong>du</strong> Gouvernement et des partis, el<strong>les</strong>100 100continuent à être reléguées au second plan et <strong>les</strong>décisions continuent à être prises par <strong>les</strong> hommes,comme le montrent <strong>les</strong> données suivantes 5 :BCI of Afghanistan = 0• En 1990 le droit des femmes à voter, à être candidateset à assumer la fonction publique a étéreconnu pour la première fois.• En 2001, 2003 et 2006 il n’y a pas eu de femmesmembres de la Commission supérieureélectorale. 100100• Le taux de femmes inscrites sur le registre électorala augmenté de 15 % en 1993 à 37 % en1997 et à 46 % en 2006.• Le nombre de candidates aux élections parle-0mentaires est descen<strong>du</strong> de 42 en 1993 à 21 en1997 et à 11 en 2003.10099Indice d’Equité de Genre (IEG) 2009IEG = 30Activité économiqueAutonomisation34100 49 100É<strong>du</strong>cationIEG of Yemen = 67• Lors des plébiscites pour la réforme de laConstitution en 2001 la participation des femmesa été de 30 %.• Lors des élections des Conseils de gouvernementde 2001 il y a eu 120 candidates contre23.892 candidats. 100 Pour <strong>les</strong> Conseils des directions108 femmes se sont présentées alors quele nombre d’hommes a été de 21.924.s/d• Il n’y a eu que deux femmes élues pour <strong>les</strong> législaturesde 1993 et 1997 (0,7 % ) et une seulepour celle de 2003 (0,30% ) .s/d• Parmi <strong>les</strong> 111 membres <strong>du</strong> Conseil s/d consultatifseulement deux femmes ont été désignées.100 100Conflits armésEn plus de nombreuses pertes de vies humaines etd’infrastructure, ces affrontements ont provoqué– d’après des données officiel<strong>les</strong> – le déplacementd’environ 200.000 personnes. En dépit de l’accord entrele Gouvernement et le groupe Al Huti <strong>du</strong> 11 février2010 qui a mis fin à six mois de guerre au Sa’dah, <strong>les</strong>combats ont continué de façon sporadique. La paix100sociale est constamment menacée par <strong>les</strong> désordrescausés par le groupe sécessionniste Mouvement <strong>du</strong>Sud dans <strong>les</strong> provinces <strong>du</strong> sud, 54par <strong>les</strong> affrontementspour <strong>les</strong> ressources naturel<strong>les</strong>, par <strong>les</strong> conflits tribauxet par l’expansion de l’organisation Al-Qaeda.0Le Yémen et <strong>les</strong> OMD100 100 E<strong>du</strong>cation 100 741003 Ibid.Le pays possède un taux d’analphabétisme de58,9 % et un taux de scolarisation dans le primaire et4 Organisme central <strong>du</strong> recensement, Rapport <strong>du</strong> recensement2008. BCI of Canada = 100 le secondaire d’à IEG peine of Canada 56,6 %. = C’est 74 à dire que 2,95 Commission nationale de la femme <strong>du</strong> Yémen, Rapport sur lasituation de la femme au Yémen 2008.millions d’enfants et de <strong>jeu</strong>nes se trouvent exclus<strong>du</strong> système é<strong>du</strong>catif parmi <strong>les</strong>quels 1,9 million sont1000696100n/100100100Rapports nationaux 182 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>10090100
des fil<strong>les</strong> 6 . Les statistiques officiel<strong>les</strong> montrent quele nombre d’éco<strong>les</strong> est de 14.632 mais 20 % d’entreel<strong>les</strong> ont été fermées ou sont des constructions précaires.Il y a plus de 100 élèves par classe.Les travailleurs de l’é<strong>du</strong>cation représentent54 % de l’appareil administratif de l’État ; cependant,<strong>les</strong> rapports statistiques montrent que 78,8 % desdirecteurs d’éco<strong>les</strong> ne possèdent pas de formationuniversitaire et que 4,4 % ne possède aucune qualificationscolaire. Selon le recensement é<strong>du</strong>catif de2003, <strong>les</strong> femmes représentent 17,5 % <strong>du</strong> total desenseignants dans le primaire. Le revenu d’un enseignantavec formation universitaire ne dépasse pasUSD 150 par mois, l’obligeant à rechercher d’autresemplois pour améliorer son niveau de vie.Le Gouvernement affirme qu’il destine 17 %<strong>du</strong> budget général au secteur de l’é<strong>du</strong>cation, alorsque <strong>les</strong> dépenses dans le secteur de la défense et lasécurité dépassent 26 %.SantéD’après un rapport officiel <strong>du</strong> ministère de la Santé,l’accomplissement des buts fixés dans <strong>les</strong> OMD en cequi concerne la santé parait très lointain.Le rapport signale que le budget destiné au secteurde la santé diminue, ce qui entraîne une diminutionde la couverture en matière de santé pour <strong>les</strong>populations <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong>. Selon le document,il n’y a pas de critères spécifiques en ce qui concernel’infrastructure, <strong>les</strong> fonctionnaires, <strong>les</strong> services, <strong>les</strong>médicaments, <strong>les</strong> équipements et <strong>les</strong> dépenses defonctionnement. Le nombre de lits dans <strong>les</strong> hôpitauxet <strong>les</strong> centres de santé ne dépasse pas 14.000, c’est àdire un lit pour 1600 personnes. Il y a 7300 médecins,à peine 1 pour 3000 habitants. Les bénéficiaires desservices de santé ne sont pas satisfaits <strong>du</strong> service et<strong>les</strong> prestataires de service ne sont pas satisfaits <strong>du</strong>ministère en raison des bas salaires, <strong>du</strong> manque destimulation et des mauvaises conditions de travail.Par ailleurs le Yémen se trouve parmi <strong>les</strong> payssouffrant de la plus grande pénurie d’eau <strong>du</strong> monde– avec seulement 125 mètres cubes disponib<strong>les</strong> parhabitant par an – et ses réserves souterraines s’épuisentrapidement. Selon des rapports parlementaires,la contamination de l’eau est la source principalede maladies et d’épidémies qui touchent 75 % de lapopulation. Une étude de la Banque mondiale montreque <strong>les</strong> problèmes d’eau s’aggravent dans le milieurural où vit 81 % de la population 7 . Trente quatre pourcent des habitants <strong>du</strong> Yémen boivent de l’eau sanstraitement, de puits et de sources sans protection,de petites citernes, de réservoirs mobi<strong>les</strong> et des eauxsuperficiel<strong>les</strong>. Soixante pour cent de la population vitdans des zones infestées par le paludisme.6 Organisme central <strong>du</strong> recensement, op. cit.7 « La Guerre de l’eau au Yémen », Yemen Times, le12 aout 2009. Disponible sur : .Travail et protection socialeLa constitution et <strong>les</strong> lois <strong>du</strong> travail et <strong>du</strong> service civils’alignent sur <strong>les</strong> conventions internationa<strong>les</strong> garantissantà chaque citoyen le droit naturel au travail et ledroit à un niveau de vie digne grâce à un salaire juste.Cependant, pendant <strong>les</strong> dernières années, <strong>les</strong> politiquespubliques se sont éloignées de ce principe. Lasécurité sociale couvre tous <strong>les</strong> fonctionnaires gouvernementauxmais seulement 70.000 travailleurs<strong>du</strong> secteur privé en conséquence de quoi plus de 4millions de personnes de la population économiquementactive se trouvent sans couverture sociale.Jusqu’à présent il n’existe pas d’assurance maladie.L’augmentation de la pauvreté a déterminé queplus de 500.000 enfants de 6 à 14 ans désertent <strong>les</strong>ecteur scolaire et que la plupart d’entre eux aidentleurs parents dans <strong>les</strong> tâches d’agriculture et de pâturage.D’autres vivent de la mendicité ou sont transportésillégalement dans <strong>les</strong> pays voisins pour <strong>les</strong>faire mendier ou <strong>les</strong> employer comme domestiques.Effets des accords commerciauxEn 1985 le Yémen a complètement libéralisé soncommerce suivant <strong>les</strong> indications <strong>du</strong> Fonds monétaireinternational et de la Banque mondiale. Le Yémena alors diminué ses tarifs douaniers – à un minimumde 5 % et un maximum de 25 % – lésant la compétitivitédes pro<strong>du</strong>its nationaux face aux importations.Le commerce agricole est en déficit permanent, enconséquence de quoi le pays doit recourir aux importationspour couvrir <strong>les</strong> besoins alimentaires dela population. Les importations d’aliments représentent33 % <strong>du</strong> total des importations et sont une lourdecharge pour la balance commerciale et la balance depaiements.Le secteur in<strong>du</strong>striel qui se caractérise par sagrande faib<strong>les</strong>se et par le manque de fermeté dansl’intégration aux deux niveaux, vertical et horizontal,continue d’avoir une participation marginale dansla formation de la pro<strong>du</strong>ction nationale et dans l’occupationde la main d’œuvre. L’in<strong>du</strong>strie <strong>du</strong> Yémenfonde sa pro<strong>du</strong>ction in<strong>du</strong>strielle sur l’importation dematière première et intermédiaire. Malgré cette situation,le pays aspire à entrer dans l’Organisation mondiale<strong>du</strong> commerce fin 2010, en dépit d’être considérépar l’organisation comme non qualifié pour le faire.Le rôle des organisations de la sociétécivileSelon <strong>les</strong> données <strong>du</strong> ministère des Affaires socia<strong>les</strong>et <strong>du</strong> travail, il y a presque 7000 organisations civi<strong>les</strong>: plus de 75 % d’el<strong>les</strong> se consacrent à la charité,distribuent de l’aide et pourvoient différents servicesaux famil<strong>les</strong> pauvres. Le nombre d’organisationsconsacrées aux droits de l’Homme est faible et, deplus, el<strong>les</strong> travaillent en relation avec <strong>les</strong> droits del’Homme en général. C’est ainsi que la même organisationplaide pour <strong>les</strong> droits de la femme, des enfants,pour <strong>les</strong> droits civils, politiques et économiques.En dépit de cela, de nombreux cyc<strong>les</strong> de formationont été organisés sous forme de stages,conférences, activités et discussions sur différentsproblèmes dans le domaine des droits de l’homme.Les organisations de la société civile ont aussi établides alliances et des réseaux dans le but d’encourageret de faire pression afin d’améliorer certains aspectsde la vie politique, civile, sociale, économique et intellectuelle<strong>du</strong> pays.Bien que leurs actions n’aient pas eu une granderépercussion publique – étant circonscrites aux secteursintellectuels – el<strong>les</strong> ont influé sur <strong>les</strong> centres dedécision de l’État, tels que le parlement et le Gouvernementcentral qui ont commencé à exposer et discutercertains problèmes dénoncés par la société civile.De grands changements ne se sont pas pro<strong>du</strong>its,mais certains pas ont été faits en ce qui concerne <strong>les</strong>femmes et <strong>les</strong> enfants, <strong>les</strong> personnes handicapéeset la promulgation de lois sur la transparence et lecombat contre la corruption.ConclusionsLe Yémen devrait prendre des mesures urgentes visantà modifier radicalement sa forme de pro<strong>du</strong>ctionet de distribution de la richesse s’il veut atteindre undéveloppement <strong>du</strong>rable et commencer à s’approcherdes buts fixés par <strong>les</strong> OMD. Pour cela le rôlede l’État est fondamental. Certains experts économiquesont conseillé aux autorités <strong>du</strong> Yémen, d’unepart de ré<strong>du</strong>ire progressivement la dépendance <strong>du</strong>pays des revenus pétroliers – entre 10 % et 12 % – etd’autre part de diversifier <strong>les</strong> sources de revenusvers d’autres secteurs, avec une participation noninférieure à 10 %.Il est donc essentiel de diversifier la pro<strong>du</strong>ctionagricole en évaluant et contrôlant <strong>les</strong> effets surl’environnement, le plus important d’entre eux étantl’épuisement des faib<strong>les</strong> réserves d’eau douce. Cettestimulation de l’agriculture n’est pas réalisable si onne protège pas d’abord, par des mesures fisca<strong>les</strong>,<strong>les</strong> pro<strong>du</strong>cteurs nationaux pour qu’ils puissent êtrecompétitifs dans <strong>les</strong> mêmes conditions en relationaux importations.Parallèlement, il faut appliquer des politiques degenre plus soutenues visant à une intégration réelledes femmes dans <strong>les</strong> secteurs de l’é<strong>du</strong>cation, de lapolitique et de l’économie <strong>du</strong> pays. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 183 Yémen
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