Association des Amis du Chemin de St Jacques Procès-verbal

Association des Amis du Chemin de St JacquesASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIREdu samedi 6 novembre 2010, à 13h00salle paroissiale de l’église réformée Aussersihl, ZürichProcès-verbal1. Souhaits de bienvenueOtto Dudle, président ad interim, ouvre la séance à 13h10. Il souhaite la bienvenue auxmembres de l’association dans ce haut lieu de pèlerinage, autrefois et actuellement, qu’estl’église St Jacques de Zürich et annonce les deux points principaux de l’ordre du jour:- Adhésion à l’Association faîtière « Chemin St Jacques Suisse »- Election d’un nouveau président.Il expose ensuite la situation actuelle de notre association (avec traduction projetée sur écran).a. Evénements survenus depuis l’AG de mars 2010, où le président a retiré, in extremis,le point de l’adhésion à « l’Association Chemin St Jacques Suisse » avant le vote:- Démission du président (avril), liée à la question de l’adhésion.- Annonce du retrait du vice-président, en tant que tel et que rédacteur d’Ultreïa, pourla prochaine assemblée générale.- Sondage, en juin, du comité auprès des membres à propos de cette adhésion, avec unrésultat global favorable (56% des avis favorables à une adhésion immédiate, 31%favorables à une adhésion ultérieure, 13% opposés à une adhésion). Ces résultats ontjustifié, pour la majorité du comité, le seul objet proposé aujourd’hui à l’AG, hormisl’élection d’un nouveau président. (cf. art. 11f des statuts).- Ce vote, proposé encore en 2010, prétend accéder au désir des membres genevoisprésents à l’AG du 20 mars 2010 et demandant dans une lettre que « l’annéeprochaine, l’association faîtière ne soit plus à l’ordre du jour ». Le président ad interimdéclare aussi ne pas avoir l’intention de modifier l’ordre du jour suite à la demandedes 180 membres ayant écrit au comité une lettre demandant que le vote sur l’adhésionsoit retiré. Il est urgent, dit-il, qu’une décision de principe soit prise.b. Analyse de la situation1. Notre grande association ne doit pas vivre repliée sur elle-même et ne se vouer qu’à destâches administratives.2. La minorité du comité a tort de considérer plutôt ce qui nous sépare des autres que ce quinous unit. Notre association a perdu sa position monopolistique des années 1990. Il est tempsd’en tenir compte en unissant les potentiels de tous.3. Puisque les organisations jacquaires ont les mêmes buts, pourquoi donc ce fossé creusé ausein de notre association ? Où est l’esprit pèlerin ?4. Un esprit d’ouverture, de bienveillance réciproque règne parmi les pèlerins, dont il regrettel’absence dans notre association.5. Notre association, même si elle est la plus grande et la plus ancienne, n’est pas un casparticulier, et l’interlocuteur représentatif de la scène pèlerine en Suisse est devenul’association « Chemin St Jacques Suisse ». Ceux qui refusent l’adhésion immédiate et sedisent néanmoins prêts à une collaboration ne sont pas réalistes, ou font preuve d’un espritborné, sans stratégie.6. Notre association est en danger, parce qu’elle stagne. Travailler pour elle n’a de sens que sielle peut offrir plus au pèlerin, de manière attractive et dynamique.1

c. Conclusions1. Il faut se montrer « Amis », respecter l’opinion de chacun/e, accepter celle des autres.2. Il faut respecter les 87% des sondés favorables à une adhésion.3. Pour se montrer digne d’une association de pèlerins, il ne faut ni applaudir, ni conspuerceux qui s’exprimeront.4. Il faut penser à demain et se débarrasser de ses peurs et de sa méfiance.5. Il n’y aura ni victoire, ni défaite, juste un pont pour nous réunir.6. Les membres minoritaires du comité doivent se plier aux décisions de la majorité.7. Notre association est affaiblie par l’image que donnent nos dissensions à l’extérieur.8. Il faut avoir un esprit nouveau, constructif, pèlerin, sinon notre association risque ladissolution.Otto Dudle conclut le point 1 de l’ordre du jour : «Souhaits de bienvenue» par un appel à allerde l’avant vers l’avenir radieux offert à tous par l’association de toutes les grandescommunautés pèlerines de Suisse. Il cite une prière de pèlerin : «Seul le chemin est pénible,mais avec d’autres c’est plus simple.»Se sont fait excuser: Gabrielle Abeya, Axel Altmann, Stéphanie Bernasconi, Jeff et DonnaBerckeiser, Jacques Chappuis et Arlette Roy, Daniel et Madeleine Deshusses, Jean-FrançoisDuchosal, Hans Dünki, Jacques et Christine Emery, Laurent et Edith Farinelli, Karin Flatz,Ursula et Jost Freuler, Douve Frieden, Peter et Lisbeth Hans-Furrer, Hansruedi Heer,Annalies Hollenstein, Peter Kastlunger, Rose-Marie et Jean Laurent, Samuel Lutz, Jean-PierreMariotti, Erika Marquardt, Evelyne et Ernst Murer, Ursula et Thierry Paccaud, Daisy Perrin,Jean-Marc Perrin, Marianne Pernet, Laurence Ravy, Denise Roth, Urs Sager, WolfgangSieber, Analuisa Steiner, Hannes Stricker, Robert Strässle, Pius Süess, Roland et JanineTercier, Ruth Teuscher, Marianne Thévoz, Monique Vidonne, Sylvie Wicki, Rose-MarieWirthner.2. Election de scrutateursLes personnes suivantes acceptent un mandat de scrutateur de séance : Félix Graf, Hans-Werner Gisler, Doris Klingler, Monika Grosmann.Ces scrutateurs sont acceptés à l’unanimité par l’assemblée.3. Approbation de l’ordre du jourLe président ad interim rappelle qu’il est possible d’ôter un point, mais pas d’en ajouter.Il demande si l’assemblée accepte tel quel l’ordre du jour.Norbert Walti prend la parole au nom des 180 signataires des lettres parvenues au comité, parl’intermédiaire du président ad interim, à propos du point 5 de l’ordre du jour: «Vote surl’adhésion à l’association Chemin St Jacques Suisse». Les signataires rappellent que leprésident en fonction lors de l’assemblée générale du 20 mars 2010 a retiré in extremis, sansconsulter l’assemblée générale, ce point de l’ordre du jour avant le vote, afin qu’il puisse êtreréétudié et qu’un nouveau projet soit présenté. Ils demandent donc que, comme le confirme lePV de l’AG de mars, le sujet soit «remis sur le métier», que des réponses claires soient enfinapportées aux questions des membres.Aucune nouvelle proposition n’ayant été faite, aucune réponse n’ayant été donnée, ces 180signataires demandent la suppression du point 5 de l’ordre du jour.Peter Zoller demande s’il est possible de déplacer ce point 5 après l’élection du président, afinque celui-ci puisse être sereinement élu et faire valoir son point de vue après.Otto Dudle répond qu’au contraire, la majorité du comité a voulu que le nouveau présidentconnaisse la décision de l’AG avant son élection. Claire-Marie Nicolet précise la position dela minorité du comité: supprimer le point 5 de l’ordre du jour afin que le nouveau président et2

son comité puissent réfléchir calmement, sans aucun poids imposé, à ce sujet. Cette positionest appuyée par Bernhard Büchler.Une grande majorité s’étant prononcée pour un vote à main levée, on passe au vote.1. Question : êtes-vous pour le maintien du point 5 à l’ordre du jour ?Membres présents : 178 Oui : 116 Non : 53 Abstentions : 2Le point 5 est maintenu à l’ordre du jour.2. Question : désirez-vous déplacer le point 5 après l’élection du président ?Membres présents : 178 Oui : 72 Non : 96 Abstentions : 2L’ordre du jour est donc maintenu tel que proposé.4. Approbation du procès-verbal de l’Assemblée générale du 20 mars 2010Le procès-verbal de l’Assemblée Générale du 20 mars 2010 est accepté à une large majorité(pas d’opposition, 4 abstentions).5. Vote sur l’adhésion à l’association Chemin St Jacques SuisseOtto Dudle précise que le comité demande, pour cet objet, le vote à bulletin secret.René Grand s’inquiète de la formulation du bulletin distribué : en effet, alors que le sondageprévoyait trois réponses (oui, maintenant/ oui, plus tard/ non), le bulletin distribué ne prévoitque oui/non. Que deviendra l’opinion des 31% de membres qui, sensibles aux arguments de laminorité du comité, ont répondu « oui, plus tard » au sondage ? Otto Dudle justifie son choixstrictement binaire oui/non en affirmant qu’une adhésion n’exclut pas une renégociation.Vote sur le mode de scrutin :Membres présents : 178 Pour un vote secret : 153 Contre : 20 Abstentions : 2DiscussionLe président ad interim estime que, les arguments étant connus, présentés sur internet,débattus à l’AG de Morges, ainsi dans que le no 44 d’Ultreia, dans les documents relatifs ausondage, dans l’invitation et l’introduction à l’AG d’aujourd’hui, il n’est nul besoin de lesrappeler. Aux membres de présenter leurs remarques et observations, si possible en 3 minutesou moins.Bernhard Büchler fait remarquer que, pour ce qui est de la longueur des débats, l’assembléegénérale est souveraine. Otto Dudle craint qu’une prolongation pose des problèmes d’horaireaux membres habitant loin. Théo Bächtold précise qu’une motion d’ordre peut être à toutmoment demandée si la discussion se prolonge inutilement.On vote sur une limitation – ou non – de la durée du débat :Membres présents : 178Pour un débat à durée limitée à 1 heure : 95 A durée illimitée : 32 Abstentions : 10A la demande d’un membre, le président ad interim annonce une pause de 10 minutes.A la reprise du débat, Otto Dudle établit une liste des membres désirant s’exprimer.Murielle Favre, ancienne trésorière, responsable de la gestion de la liste des membres,rappelle en français que, souvent, nous avons déploré une trop grande fortune, sans projetspour des investissements intéressants. L’organisation de coordination – elle dit ne pas aimerle mot « faîtier » - permettra de communiquer, de trouver ensemble des projets. En casd’insatisfaction, on peut toujours, ajoute-t-elle, demander le divorce.Werner Osterwalder demande à l’assistance de soumettre la discussion à un ardent désir depaix, comme celui qu’il a trouvé sur ce chemin par lui 23 fois parcouru dans un espritd’ouverture à l’autre, en particulier auprès du curé de Carrion de los Condes, dont les paroles3

ont orienté sa vie. Il demande également à l’assistance de ne pas creuser « un Röstigrabeninutile et douloureux. » La traduction en français est projetée sur écran.Irène Strebel en appelle aussi, dans une lettre bilingue distribuée à l’entrée de la salle, à undébat respectueux de tous, dont la cause pèlerine doit être l’unique objectif: elle craint parailleurs qu’une entrée immédiate, sans que le projet ait été réétudié, devienne source demalentendus.Arabella Dommeyer demande, en français et en allemand, pourquoi aucune réponse n’a étéapportée aux questions des membres posées le 20 mars 2010. Constatant que le PV de l’AGdu 20 mars stipule que le projet doit être «remis sur le métier», elle pose la question : qu’adonc fait le comité?Bernhard Büchler propose d’aborder calmement, en amis, la question de l’adhésion, qui nepeut être décidée que lorsque nous saurons qui nous représentera, qui élira les délégués,quelles seront leurs compétences et leur autonomie, à qui ils rapporteront, pourquoi aucuneélection n’est prévue dans l’ordre du jour de la présente assemblée. Il affirme, comme à l’AGde mars, que toutes ces modalités, indispensables, doivent figurer dans nos statuts, ainsi que lapossibilité d’adhérer à un organisme faîtier, et s’étonne que rien n’ait été entrepris dans cesens. Il recommande donc, en français et en allemand, à l’AG de refuser une adhésionimmédiate pour que le comité puisse, enfin, adapter nos statuts et nous proposer un projet en2011 ou 2012.Franz Fiedler, responsable du gîte de Belorado, répond à Arabella Dommeyer que le sondagede ce printemps a servi de réponse aux questions. Ses propos sont traduits en français parPierre Bonenberger, secrétaire alémanique.Il affirme que la question des délégués n’a pas encore pu être traitée, mais que, en cas de votepositif, les membres du comité joueront le rôle de délégués jusqu’à l’élection de l’AG de2011, qui élira ses délégués à l’association faîtière. Un cahier des charges des délégués seraétabli, et soumis à l’AG de 2011, ainsi qu’un projet d’aménagement de nos statuts.Un avis de droit consulté affirme, dit-il, que les statuts des « Amis de St Jacques »n’empêchent aucunement notre association d’adhérer à un organisame faîtier.Bernard Revaz, d’abord en allemand, exprime son mécontentement en plusieurs points :- Le comité n’a pas rempli son mandat : réétudier les objections présenter un nouveau projet.- Une tentative de chasser deux membres du comité sans soumettre le cas à l’AG a été faite.- Le lieu choisi pour cette assemblée (Pilgerzentrum) n’est ni central, ni neutre. On le diraitchoisi pour dissuader les pèlerins romands de venir.- Une adhésion nous fera irrémédiablement perdre notre statut de seule association suissereconnue par l’autorité compostellane.- Une adhésion permettrait un transfert « légal » de nos ressources vers l’association faîtière,qui a déjà reçu des milliers de francs pour un projet non soumis au comité.Il estime donc que le comité a agi de manière autoritaire et arrogante, et que notre association,de loin la plus grande et la plus ancienne, se fait manipuler et risque gros à une adhésion.Quelques réactions se font connaître. Une personne demande une motion d’ordre : que chacuns’exprime dans sa langue uniquement. Une majorité refuse cette motion. B. Revaz termineson intervention en français. Ses propos sur nos relations avec Compostelle sont réfutés parFranz Fiedler. Jacqueline Bernhard demande aux intervenants de bien vouloir résumer leurpropos.Claire-Marie Nicolet, secrétaire, exprime la position de la minorité du comité : Adrien Grand,libraire, elle-même, ainsi que, pour le rapport de minorité consultable sur internet, HenriJansen et Hermann Heiter. Ses propos sont traduits par Carla Luchessa. La minorité du comité4

adhère pleinement aux arguments généraux de la majorité : collaboration, partage,harmonisation, aide aux pèlerins. C’est le COMMENT qu’elle ne peut accepter et jugedangereux. On peut avoir l’esprit pèlerin et néanmoins exiger cohérence et clarté.a. Argumentaire1. Notre association, 20 fois plus grande que les autres, n’a pu donner son avis sur des statutsqu’un avis de droit a déclarés non conformes au Code Civil, puisque ne prévoyant pas larépartition précise des délégués et donnant une voix aux membres individuels. Ainsi, nos2500 membres sont moins bien représentés (par 4 délégués) que 5 membres individuels !2. Les documents fournis ne sont pas clairs: l’argumentaire de la majorité et les statutsdivergent quant au nombre de délégués par membre et au nom même de l’association faîtière.3. Comment les statuts peuvent-ils prévoir des dons (sponsors) et... ni caisse, ni trésorier ?4. Nos statuts doivent être modifiés pour préciser : qui élit les délégués ? pour quelle durée ?quelle est leur autonomie ? peuvent-ils appartenir au comité ? Par exemple, des milliers defrancs ont été versés à l’association faîtière pour un projet de flyer jamais soumis au comité,ni à l’AG, et pour lequel, en l’absence de plan de financement, on ne sait qui a payé quoi.5. Enfin, la minorité du comité craint une dérive commerciale. Par exemple, la crédentialecréée par l’association faîtière se vend à des prix différents. Par exemple, comment unifierl’offre d’hébergement, sachant qu’une association exige une redevance des hébergeurs pourfigurer sur sa liste ? Par exemple, les sites de certains membres affichent des publicités(voyages à prix réduits, relaxation, etc.). Où s’arrête la spiritualité, où commence le business ?b. Préoccupation pour l’avenirDepuis 2007, notre association accueille toujours moins d’Alémaniques, toujours plus deRomands. Depuis 2009, ¾ des nouveaux membres sont romands. Les pèlerins alémaniques sedirigent plus volontiers vers de petits groupes : il est urgent de créer des groupes régionauxpour redynamiser l’association.c. ConclusionLa minorité du comité recommande de refuser aujourd’hui l’adhésion, puisqu’aucun projetnouveau n’est présenté, que ses questions restent sans réponse, et que le candidat à laprésidence met ses compétences à notre service quelle que soit l’issue du vote. Elle ne peut,en outre, accepter l’argument : « entrons d’abord, modifions ensuite les statuts ». Enfin, elleacceptera l’issue d’un vote démocratique et restera volontiers au service de l’association.François Breitenmoser constate que la « frontière » entre les deux opinions défendues suit àpeu de chose près le « Röstigraben » et qu’une association de pèlerins, largement animée depensée chrétienne, devrait dépasser cette limite dans un intérêt, plus haut, celui des pèlerins.Il rend la minorité du comité responsable de l’élection d’un nouveau président et déplore lemanque de confiance dont elle a fait preuve.Irène Strebel constate que les meilleurs mariages sont ceux qui, mûrement préparés, laissentle moins de place possible au malentendu. Elle est interrompue par plusieurs personnesaffirmant que le temps de discussion est révolu.On passe donc au vote.Question : Approuvez-vous l’adhésion de l’«Association des Amis de St Jacques» àl’association faîtière « Chemin St Jacques Suisse ? »Bulletins distribués/rentrés : 164Oui: 84 Non: 73 Non valables/nuls : 7L’adhésion à « Chemin St Jacques Suisse » est donc acceptée.6. Election d’un nouveau présidentOtto Dudle explique que le comité, depuis la démission, en avril, de Bernard de Senarclens, amultiplié les appels et les approches en vue de trouver un/e candidat/e à la présidence. Uneseule personne s’est mise à disposition, M. Henri Röthlisberger, qui a pu s’informer de5

l’ampleur de la tâche auprès de plusieurs membres du comité avant de relever avec le défiavec courage, engagement et optimisme. Venant de l’extérieur du comité, il porte sur lasituation de l’association un regard neutre.Henri Röthlisberger se présente ensuite lui-même : né à Bâle en 1952, il vit en Suisseromande, actuellement à Gollion (VD). Il est donc bilingue. Marié, il est père de deux grandsfils et, depuis peu, grand-père.Membre de notre association depuis mars 2009, il a parcouru, en deux épisodes, une partie duchemin suisse, dans une perspective spirituelle, avec ses fils, et l’expérience a été pour lui siforte, qu’il a hâte de la poursuivre et qu’il a décidé de mettre ses compétences au service del’association qui l’a accompagné dans ses premiers pas sur le chemin.Professionnellement, il est actuellement professeur d’informatique à la Haute Ecole techniquevaudoise (HEIG-VD) d’Yverdon-les-Bains.Aucun/e autre candidat/e ne s’étant annoncé/e, Henri Röthlisberger est élu à l’unanimité, parune longue acclamation. Il remercie l’assistance de sa confiance.7. Election d’un autre membre du comitéPersonne ne s’étant annoncé pour la vice-présidence et/ou en tant que membre du comité,Otto Dudle lance un appel à l’assistance, sans résultat. Il annonce que le comité fonctionnerajusqu’à l’AG de mars avec une personne en moins, et qu’un membre du comité assumerajusque là la fonction de vice-président. Les candidat(e)s intéressé(e)s peuvent s’annoncer etseront présenté(e)s à l’assemblée générale de Rapperswil.8. DiversOtto Dudle remercie l’assistance d’avoir participé activement à cette assemblée généraleextraordinaire. Il avoue n’avoir que peu dormi la nuit dernière et se déclare satisfait depouvoir quitter le comité avec l’espoir d’un avenir actif dévoué à la cause pèlerine.Franz Fiedler remercie Otto Dudle pour la tenue de cette assemblée particulière, haute enémotions et difficile à gérer. Il lui offre un paquet de « douceurs bâloises » en lui souhaitant lemeilleur pour la suite de son chemin, dans le calme retrouvé, en compagnie de son épouseMarianne, et en précisant qu’on le reverra à l’AG de Rapperswil.Il relève néanmoins que l’avenir de notre revue Ultreïa est compromis par le manque decollaborateurs et fait appel à tous ceux qui seraient à la fois désireux de participer au travailde l’équipe et se sentiraient compétents dans ce domaine.Otto Dudle le remercie, ainsi que le comité, les scrutateurs, tous les pèlerins et... St Jacques,qui a peut-être inspiré l’assemblée. Il souhaite le meilleur au comité, dans un esprit deconfiance réciproque, et clôt la séance vers 16h50 en citant un poème de pèlerin et ensouhaitant à tous : Buen Camino !Claire-Marie Nicolet, secrétaire6