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Juin 2010 - BECI

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enjeux : enseignement à bruxellesEnseignement à BruxellesA quoi sert l’école ?Quid de l’avenir de l’enseignement bruxellois ? Les problèmes des métropoles sont connus : nombreélevé de redoublants, fort décrochage scolaire, trop peu de bilingues, beaucoup d’allophones accusantun retard en langues, concurrence entre les écoles et les réseaux d’enseignement, situation d’exclusionde l’enseignement technique, fort taux de chômage (des jeunes), explosion démographique… La listedes défis à relever ne cesse de s’allonger, et pourtant, point de sens de l’urgence à l’horizon. <strong>BECI</strong> a posé5 questions pertinentes aux quatre excellences en charge de l’enseignement à Bruxelles.4© Imagesource/Reporters, PhotoAlto/Reporters, BSIP/Reportersn° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre


enjeux : enseignement à bruxellesMarie-Dominique Simonet (CDH)Ministre de l’Enseignement obligatoire et de Promotion sociale en Communautéfrançaise.6n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre© Eric Herchaft/Reporters1. Bruxellesconnaît une fortecroissance démographique.Lenord de la capitaledoit répondre àune demande accrueen matièred’enseignement. Il convient donc dese concerter avec les acteurs de terrain– pouvoirs communaux, pouvoirsorganisateurs, directions d’école – etde collaborer avec la Région bruxelloisepour y répondre. L’ouverturede nouvelles écoles, actuellement encours de réflexion, en est un aspect.2. L’apprentissage du NL dans lesécoles bruxelloises est imposé parl’obligation linguistique. C’est le bilinguismenational. Ensuite, le multilinguismefamilial place le françaisen 2è, voire en 3è langue. Dans ce cas,on facilite l’apprentissage du FR comme2è langue : cours d’adaptation àla langue de l’enseignement, classespasserelles axées sur l’apprentissagedu FR, formations spécifiques,programmes LCO (langue et cultured’origine) qui complètent la formationd’enfants issus de l’étranger,hors temps scolaire, etc.3. En renforçant la qualité et l’attractivitéde ces formations. Il est nécessairede promouvoir ces métierset filières : bien orienter les élèves(par ex. dans les « bassins de vie »),équiper les écoles (7 Centres de TechnologieAvancés ouverts à Bruxelles),réduire l’échec et l’abandon scolaire,augmenter les qualifications desjeunes (par ex. via la « certificationpar unités »), faciliter leur insertionsocioprofessionnelle (stages, alternance,connaissance des langues) etl’accès aux études supérieures.Jean-Luc Vanraes (Open Vld)4. Les échanges entre communautéslinguistiques favorisent l’apprentissagedes langues, la rencontre del’autre et l’ouverture à sa richesseculturelle. Depuis 2007-2008, des professeursnéerlandophones de primaireet de secondaire enseignent dansdes écoles et à des élèves francophoneset vice-versa. Tout en respectantle programme pédagogique des écoles,ces échanges profitent aux élèvesgrâce à la formation prodiguée parun native speaker, ainsi qu’aux enseignants,plongés dans un bain linguistiqueet culturel au sein d’une écolevoisine d’une autre communauté.5. Le partenariat : chacun apporteses compétences et son savoir, afin dedévelopper ensemble des projets. Lesconventions sectorielles fixent, parex., les responsabilités et missions dechacun. Un partenariat entre mondepédagogique et tissu professionnellocal émerge aussi dans les « bassinsde vie », pour optimiser l’offre d’enseignement.Ministre Président du Collège de la Commission communautaire flamande (VGC),chargé de l’Enseignement, de la Formation, du Budget et de la Communication.1. Oui, en raisonde l’évolutiondémographique.Si l’on veut offrirà chaque enfantun enseignementde qualitédans l’établissementde son choix, il faudraouvrir d’ici 2015 79 nouvelles écoleset 15 000 nouveaux postes. A courtterme, le manque de place après lapériode d’inscription pourrait êtregéré par des classes conteneurs. Unesolution structurelle, l’ouvertured’établissements, est en discussion.Les réactions de tous les réseaux sontpositives.2. La complexité de la populationbruxelloise (langue parlée à la maisondifférente de celle de l’école)appelle à une approche particulière.Comme « l’ école sociale », qui veuts’intégrer au quartier et à la communauté,et ouvrir chaque enfantaux cultures et aux langues, pouraccroître ses chances.3. Par une orientation plus précoce,dès le secondaire inférieur. Chacunpeut ainsi trouver sa vocation et apprendreun métier qui lui correspond,la meilleure garantie de trouver unemploi durable.4. Le manque de places vécu depart et d’autre crée l’urgence d’unestratégie commune et le besoin d’accordernos efforts pour aligner laqualité d’enseignement. Initiative estprise pour établir un plan global pourtoute la région, en concertation avectoutes les instances concernées, surles questions de la sous capacité, deséchanges entre forces enseignantes,d’une infrastructure unique etc.5. Conclure des accords entre écolestechniques et entreprises, en matièrede bourses d’études et de stages,d’échange de connaissances etde compétences. En priorité adapterl’enseignement au marché du travailet désengorger les métiers saturés,exemple, via la promotion du technique(enseignement secondaire «TSO ») et du professionnel (« BSO »).Cf. la campagne « Sois un héros » portéepar Bob & Bobette mais aussi parTante Sidonie, le relais auprès des parents.www.wordeenheld.be


enjeux : enseignement à bruxellesPascal Smet (sp.a)Ministre Flamand de l’enseignement, de la jeunesse, de l’égalité des chances, et desaffaires Bruxelloises.8n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre© Reporters1. Oui. Et aussi,des écoles NL.Dans des communescomme laPetite Ceinture deBruxelles, Molenbeek,Schaarbeek.Mais en évitantd’abaisser encore le taux d’élèves néerlandophones(parlant NL à la maison),aujourd’hui d’un enfant sur 3. En mêmetemps, nous devons ouvrir des crèchesNL supplémentaires et organiser l’accueilNL en dehors de l’école parce quec’est un fait que la langue principaleest bien le Français.2. Faut-il briguer le multilinguisme ?Dans l’enseignement, il faut essentiellementpartir des intérêts et des capacitésde l’enfant. Sa langue, sa culture linguistiqueà la maison, et la langue deson environnement principal, le Français,jouent un grand rôle. Le plus importantest d’obtenir une qualification.1. La populationscolaire devraitcroître de 40 à45.000 élèvesd’ici 10 ans. Maisles écoles ne suffisentpas auxbesoins. Il fautdévelopper leurscapacités d’accueil et en construirede nouvelles. Nous venons de déciderd’en ouvrir deux dans le Nord deBruxelles. C’est un premier pas. L’éducationrequiert une alliance nationalecar l’enjeu concerne chaque niveau depouvoir, du fédéral aux communes.Il porte sur des briques, sur l’encadrementdes élèves pour éviter des classessurpeuplées ou sans professeur, et surla revalorisation de la fonction enseignante.2. Capitale belge et européenne,Bruxelles est une ville multilingue etmulticulturelle, où près d’un enfantDans l’enseignement NL, les parents issusd’un autre régime linguistique attendentcomme les Néerlandophonesque leurs enfants entrent en contactavec les enfants NL. Nous allons analyserles premiers tests d’enseignementbilingue et les étendre si leur évolutionest positive.3. En introduisant un pilier professionnelau programme du secondaire.Ce qui réduira le nombre d’étudiantsnon qualifiés. La Vlaamse Kwalificatiestructuurest une des grandes nouveautésdans le renforcement des liensentre école et marché du travail. Lesqualifications professionnelles sontémises par les partenaires sociaux etconstituent la ligne directrice du programmetechnique.4. Nous devons trouver des solutionsensemble pour faire face à l’explosiondémographique future, et assurer uneoffre suffisante d’écoles pour tous lesChristos Doulkeridis (Ecolo)sur deux a un parent de nationalitéétrangère. C’est un bel atout, si l’onparvient à valoriser cette diversité. Lesexigences en matière de langues, bienintégrées par l’enseignement, ouvrentdes opportunités d’emploi pour nosjeunes. A Bruxelles et ailleurs. Il y adonc lieu d’enseigner et de motiver àapprendre les langues, à l’école (dansle professionnel aussi) et en dehors.Avec une attention aux enfants qui nemaîtrisent pas la langue de l’enseignement.3. Il est en perpétuel mouvementpour s’adapter aux secteurs d’avenir :nouveaux métiers, nouvelles techniqueset méthodes d’enseignement,nouveaux outils... Auparavant instrumentd’ascension et d’émancipationsociales, il est hélas perçu à présentcomme une filière de relégation. Encharge de ce type d’établissements, jetravaille à la revalorisation des filièresqualifiantes. Exemples : le campus duCERIA comptera bientôt 6 nouveauxenfants à Bruxelles. Nous arrivons à debons accords en matière de contrôlede la scolarité obligatoire et de la préventiondu séchage des cours. Je débatsrégulièrement avec ma CollègueMD. Simonet. Et j’essaie de convaincrele Gouvernement Flamand d’investirdans la qualité de l’apprentissage de lalangue NL au sein de l’enseignementFR.5. L’enseignement doit être à l’écoutede la vie professionnelle, pas seulementpour rebondir sur les besoins dumarché du travail mais aussi partant dela conviction que les enfants et les jeunesapprennent autant hors de l’écoleque sur ses bancs. Les employeurs ontbesoin de collaborateurs témoignantd’une attitude positive et d’un bagagetechnique suffisant. Les écoles ont besoindes entreprises pour soutenir leursélèves dans leur choix professionnelfutur et accompagner leurs premierspas sur le marché du travail.Ministre Président du Collège de la COCOF, en charge de l’Enseignement, du Tourisme etdu Budget.ateliers de cuisine et un centre de technologieavancé se consacre aux métiersde la bouche.4. Les jeunes bruxellois, FR ou NL,vivront les mêmes difficultés en find’études. Je prépare actuellement unplan de coopération entre les deuxcommunautés. Son objet ? Le défi démographiqueet les synergies entreétablissements scolaires bruxelloispour améliorer la connaissance del’autre langue nationale.5. L’accord de majorité souligne lerenforcement du dialogue entre lesmondes de l’enseignement et du travail(cf la plateforme « entreprises-écoles»), essentiel pour aider nos jeunes àtrouver un poste et nos entreprises àtrouver une main d’œuvre qualifiée. Ils’agit par ex. de développer les stages etdes projets comme la « création d’entreprisevirtuelle », pour un meilleurajustement aux réalités professionnelles,et pour une concrétisation du projetd’apprentissage chez les élèves.


" Dans un domaine où le chiffre d’affaires se mesureen mégawatts, nous apprécions d’autant plus toutel’énergie de notre chargé de relation."Frédéric DawansFondateur etadministrateur déléguéde Air EnergyMarc MairesseChargé de relationE.R. : Elodie Dufrane, Fortis Banque s.a., Montagne du Parc 3, 1000 Bruxelles.Luc RegoutFondateur etadministrateur déléguéde Air EnergyPionnière dans la création de parcs éoliens en Belgique,Air Energy peut compter sur BNP Paribas Fortis pourl’aider à limiter ses risques de taux d’intérêt et deprix de l’énergie, et poursuivre ainsi sereinementsa croissance.Vous désirez également limiter les risques au sein devotre entreprise ?Que ce soit pour des questions de prix de matièrespremières, de fluctuations de taux de change oud’intérêt, nous vous conseillons les solutions decouverture de risque répondant au mieux aux besoinsde votre entreprise. Nous vous accompagnons ainsi dansla réalisation de vos projets en Belgique et à l’étranger.N’hésitez pas à en parler à votre chargé de relation, ousurfez sur www.cpb.bnpparibasfortis.be.


enjeuxFrederic ConventUn parent issu du monde professionnelqui a pris l’initiative de commander à laVlerick School une étude de faisabilité surl’ouverture à Bruxelles d’une école primairelibre de 180 élèves (réseau néerlandophone).Elections fédérales<strong>BECI</strong> lance‘Voice of Brussels Business’A quelques jours des élections, <strong>BECI</strong> a choisi d’innoveret a lancé un message fort: Voice of Brussels Business.10n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre1. Oui, la sous capacité de l’enseignement fondamentalNL est prouvée par l’étude du ProfesseurRudi Janssens (VUB 2009). L’ordinateur ne peut résoudreles files d’attente devant les écoles. Ma fillefigure parmi les 162 élèves qui n’ont pu trouver deplace dans le réseau choisi. L’étude que j’ai commandéeà la Vlerick avec d’autres parents montreque l’enseignement NL accuse du retard. Exemple:il y a 5 écoles primaires (basischoolen NL, tousréseaux confondus) à Uccle contre 2 à Ixelles, quicompte le même nombre d’habitants. Et il y a descommunes sans école communale NL.2. Des parlementaires flamands, comme Mr Gatzet Mme Brusseel ont émis de belles propositionsd’immersions multilingues. Est-ce réaliste ? Oui, sion a l’ouverture d’esprit. Les statistiques d’Actirissont parlantes: la plupart des demandeurs d’emploisont unilingues. Offrir une langue supplémentaireaux jeunes pour leur garantir des débouchéset maintenir la valeur ajoutée de Bruxelles mesemble essentiel. Les politiciens sont élus pour résoudreles enjeux du XXIème siècle.3. L’enseignement professionnel me semble biengéré, notamment par la Commission de la CommunautéNL. Comment redorer son image ? En offrantd’abord un niveau de multilinguisme suffisant, dèsle primaire, pour préparer les étudiants au marchéde l’emploi.4. Pour que chaque ministre puisse avoir sonimpact, pourquoi ne pas envisager une certainerégionalisation de la compétence en matière d’enseignement? Les élus de Dinant ou d’Izegem necomprennent pas aussi bien les enjeux de Bruxelles.Raisonnons d’abord dans l’« l’intérêt de l’enfant». L’immersion est une matière complexe, car àqualité comparable, les différences de salaire entreles enseignants FR et NL sont grandes.La distribution des pochettes‘Voice of Brussels Business’En effet, le patronat bruxellois revendique plusieurs priorités et le faitsavoir avec une action citoyenne dans les rues de la capitale. Il est doncimpératif que tous les niveaux de Pouvoirs coopèrent au maintien desatouts de la région centrale du Pays et à la solution des problèmes spécifiquesqui la touchent.Convaincu que les membres <strong>BECI</strong> peuvent être un relais important pourpartager ce message avec nous, <strong>BECI</strong> a également envoyé cette pochette etquelques cartes de l’action à ses membres.Une action citoyennedans les rues de lacapitale.© Fred Guerdin/ReportersAutour de la table de conférence de presse :Jean-Claude Daoust (vice-président de <strong>BECI</strong>),Olivier Willocx (administrateur délégué de<strong>BECI</strong>) et les journalistes de Trends et VRT.5. Ici ce sont plus les niveaux secondaires et supérieursqui sont concernés. Dès le départ, j’encourageà « vacciner » les enfants contre les difficultéslinguistiques et culturelles du monde auquel ils serontconfrontés 20 ans plus tard. Dans une capitaleeuropéenne, qui s’internationalise de plus en plus,le contraire serait une grosse erreur.Propos recueillis par Sylvie CousinEmmanuel van Innis,président de <strong>BECI</strong>,interviewé par TV Brussel.


enjeuxLes répondants à l’étudesouhaiteraient qu’on puisseles soutenir dans leur recherche declients, notamment à l’étranger.12<strong>BECI</strong> InternationalBruxelles Exportet ses clients :grande enquêten° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreAfin de mieux connaître ses clients et ainsi de répondre de manière optimale à leurs attentes,<strong>BECI</strong> a lancé une vaste enquête auprès de ses membres. Une enquête tant qualitative quequantitative. Les résultats seront dévoilés en deux temps. Le premier volet dès aujourd’hui avecles grandes tendances de fond qui se dégagent des résultats. Le second dans le prochain numéroavec les réponses que <strong>BECI</strong> apporte à ses clients. A ne pas manquer !Connaître les attentes et les besoinsde ses clients en matièred’exportation, afin de leurapporter les réponses les plus adéquates,tel est l’objectif que se sontfixés Beci et Bruxelles Export. Pour sefaire, une étude a été réalisée auprèsde plus de 150 entreprises. Découvrezdès à présent le premier volet des résultatsde cette vaste enquête.Tout d’abord, il ressort que les clientssont demandeurs de davantage despécialisation et d’expertise de lapart des professionnels avec lesquelsils sont en contact et ce dans les différentssecteurs professionnels. Cettespécialisation chapeaute deux éléments.Il y a d’abord une attente trèsforte envers les AEC (attachés économiqueset commerciaux). Ensuite, lesclients souhaitent que les réponsesqui leur sont proposées soient adaptéesà leurs besoins ainsi qu’à leurstypes d’activités (secteur, taille d’entreprise,…).EvénementsAutre desiderata : augmenter la présenceaux événements, mais de manièreplus ciblée que cela ne se faitactuellement.Toujours au niveau commercial, lesrépondants à l’étude souhaiteraientqu’on puisse les soutenir dans leurrecherche de clients, notammentà l’étranger. Plus précisément, lesclients estiment que renforcer l’aidesur place est prioritaire.Dans un autre registre, les clients sontdemandeurs de davantage de subsides,afin d’accroître leur visibilité. Etsurtout, ils souhaitent que l’octroi deces subsides soit modernisé.De l’informatisation, les répondantsen souhaitent en réalité à tous les niveaux.Tout le support fourni pourraitde la sorte être modernisé et personnaliséavec en ligne de mire la créationd’une véritable communautésociale et professionnelle. Objectif :améliorer la communication avec lesclients (informations plus précises,


enjeuxcomplètes) et entre les clients (échanged’informations entre entreprisesdu même secteur même s’ils n’exportentpas vers les mêmes pays) Finalement,les clients demandent quel’accompagnement des entreprisespuisse se prolonger dans le temps.La France, terre d’export !Il ressort de l’étude que la France estet reste clairement le pays vers lequella plupart des clients exportent. En effet,73% des répondants déclarent quec’est vers l’Hexagone qu’ils exportentprincipalement. Autre enseignement,la France est également le pays pourlequel le plus de clients estiment yavoir besoin d’un AEC (25%).Derrière la France, ce sont les autrespays voisins qui sont les pays verslesquels les clients du Beci et BruxellesExport exportent le plus.Pourquoi ? Simplement parce que lesclients commencent par les pays quipartagent la même langue ou qui ontune culture proche. Cela leur permeten effet de réduire leurs coûts. « Notresociété ne fait que ses tout premierspas au niveau de l’exportation, avecun essai qui vient de démarrer auMaroc. Ce pays a été sélectionné poursa position géographique (proximitéde l’Europe) et la langue”, expliquel’un des répondants à l’enquête.Des subsides, des subsides !Les subsides de la région et la garantiedes paiements sont les deux besoinsles plus importants qui ressortentparmi les clients en matière de financement.En effet à la question : « Quelssont vos besoins prioritaires en matièrede financement pour vos activitésd’export ? » Les subsides de la régionrecueillent 48% des suffrages et la garantiede paiement en totalise 41%.Logiquement, des subsides de larégion sont surtout un besoin prioritairepour les sociétés unipersonnelles.Les subsides concernent essentiellementla participation à desévénements, comme des foires, dessalons,… en Belgique et à l’étranger.Cette proposition recueille en effet48% des suffrages. Autrement dit, unrépondant sur deux est demandeurde ce type de soutien.Foires commercialesCar les clients du <strong>BECI</strong> et de BruxellesExport sont extrêmement demandeursde pouvoir participer àdes événements, tels que les foirescommerciales. Ils observent un réelavantage à participer à de telles manifestations.Petit bémol néanmoinsissu de l’enquête. Les répondants souhaitentque ces événements soientplus ciblés, afin de ne participer qu’àceux qui correspondent à leur secteurd’activités et éviter ainsi une pertede temps et des frais inutiles.« Il faudrait plus analyser le « return »de certaines opérations, par exemplecela vaut-il la peine de participer à 2ou 3 salons, si peut-être un seul suffit? », s’interroge, par exemple, unrépondant.Derrière la France, ce sont les autres pays voisinsqui sont les pays vers lesquels les clients du Beci etBruxelles Export exportent le plus.Les clients demandent égalementun renforcement de la collaborationavec le Beci et Bruxelles Export. Ilsplaident plus particulièrement pourune collaboration plus structuréeavec des aides logistiques, un soutienfinancier, l’analyse des résultats dansle temps, etc.« Une collaboration bien structuréeoù une aide financière combinéeavec une substantielle aide logistiquepeut mener à des résultats concretset positifs (par exemple salon de NewYork). »Hélène LegrandUne étude pourquoi,comment ?BECi a commandé auprès de la société Ipsosune vaste étude dont les principaux objectifsétaient de- Comprendre les besoins et les attentes desclients de Bruxelles export- Identifier l’opinion des clients concernantles services existants de Beci et Bruxellesexport et d’éventuels nouveaux services- Alimenter la stratégie de développementde Beci et Bruxelles export à long terme- Fournir des éléments chiffrés pour justifierla stratégie de Beci et Bruxelles exportpar rapport aux stakeholdersCette étude a été divisée en deux parties:§ La phase quantitative qui s’est basée surles interviews online de 132 clients deBruxelles export§ Phase qualitative qui s’est basée sur unforum online et des interviews par téléphonede 20 clients de Bruxelles export.Les résultats seront présentés en deux volets. Lepremier dès maintenant, le second dans le courantdu mois de septembre.13n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre


Le bâtiment Solaris a reçu un MIPIM Award <strong>2010</strong>dans la catégorie « Green Building ».changeLes immeublesde bureau se mettentau vert !Réduire la consommation énergétique concernechacun d’entre nous. Les entreprises sont égalementconscientes de l’enjeu de passer au vert. C’est la raisonpour laquelle certaines d’entre elles privilégientla construction de bâtiment respectant l’écologieet l’environnement. Un exemple de best practiceest l’immeuble bruxellois conçu par le bureaud’architecture Assar, Solaris, qui a déjà remporté deuxprix prestigieux dans la catégorie d’éco-bâtiment.14n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreUne maison passive – c’est-àdireun bâtiment économeen énergie – nécessite un systèmed’isolation adéquat entrainantnécessairement un surcoût par rapportà un bâtiment traditionnel. Par lasuite, ce surcoût, estimé par certains à35%, sera compensé par la diminutionsignificative de la facture énergétique.Faut-il pour autant adopter cette nouvelletendance ? Pour un grand nombred’architectes, la réponse est évidente.la catégorie « Green Building ». Il fautsavoir que le MIPIM est le plus grandévénement immobilier du monde quise tient annuellement à Cannes.A titre d’information, Solaris comprend13.706 m 2 de bureaux, 399 m 2 desalles polyvalentes et 728 m 2 de locauxd’archives en sous-sol, 198 emplacementsde parking dont 2 à l’extérieur,46 emplacements pour vélos et 5 pourmotos.preuve d’imagination afin d’aller plusloin ! Ainsi, les panneaux photovoltaïquesplacés sur la façade et la toiturecouvrent 100% de la consommationélectrique. Le jardin s’étalant sur tout lepérimètre du bâtiment compte 50 foragesde puits géothermiques qui utilisentles calories stockées dans le sol.Un système d’échange réalisé par unepompe à chaleur assure le chauffageen hiver et le refroidissement en été, enfonction de la demande.Surfant sur la vague actuelle, maisvisiblement convaincus depuis denombreuses années, les architectesdu bureau Assar ont, eux aussi, décidéde s’inscrire dans la démarche dela construction durable. Leur credo :“le respect de l’environnement etla recherche de l’équilibre entre lescontraintes d’urbanisme, d’architectureet d’énergie.”Une de leurs dernières réalisations estle bâtiment Solaris, un bel exempled’un immeuble respectant l’environnement.Et les efforts déployés afinde tenir compte des contraintes environnementalesne sont pas passésinaperçus : ce bâtiment compte à sonpalmarès deux prix. En juin 2009, ila obtenu le prix belge de l’énergie etde l’environnement dans la catégorieEco-building et cette année, en mars,il a reçu un MIPIM Award <strong>2010</strong> dansQu’est-ce qui justifie cet engouementpour ce type de bâtiment ?C’est certainement parce que Solaris offredes qualités environnementales, enraison non seulement de sa constructionmais aussi des matériaux choisis,de la gestion de l’énergie, de l’eau, desdéchets et de son entretien. En combinantdifférents éléments, l’immeubleaffiche des réductions d’énergie primairesatteignant près de 50% de laconsommation d’un immeuble équivalentconventionnel.Pour répondre aux préoccupations deconsommation énergétique, l’immeublerecourt aux applications largementutilisées comme les luminaires à hautrendement, l’isolation optimale, leschaudières à condensation, la ventilationavec récupération d’énergie, larécupération des eaux fluviales. Cependant,les architectes ont dû faireProjet entièrement tourné vers l’avenir,Solaris se veut précurseur dansun certain nombre de domaines. Il estle premier bâtiment belge à avoir obtenul’attestation VALIDEO, ce systèmebelge de certification en constructiondurable. Un exemple à suivre !Murielle LonaWith the support ofDisclaimerThe sole responsibility for the content of thispresentation lies with the authors. It does notnecessarily reflect the opinion of the EuropeanCommunities. The European Commission isnot responsible for any use that may be madeof the information contained therein.


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changeComment réduirevotre consommationénergétique par unéclairage adéquat ?A l’heure actuelle, les lampesLED ne représentent qu’une faiblepart du marché tantprofessionnel quedes ménages.© AP/ReportersRéduire la consommation énergétique nous intéresse tous en première ligne, non seulementpour des raisons économiques mais également dans le souci de préserver notre environnement.En ce qui concerne l’éclairage d’une maison, il est évident qu’éteindre les lumières dans lespièces non utilisées contribue de manière significative à la réduction énergétique. D’autresvoies sont également possibles et nous les avons explorées. Descriptif des nouvelles tendances.16n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendreartificiel à incandescenceest condamné à disparaître: très énergivore, il n’utilise L’éclairageque 20 % de l’énergie pour produirede la lumière, le reste étant dissipé enchaleur. Alors que les ampoules bassesconsommation ont déjà fait leurapparition dans les habitations, leséclairagistes et les designers étudientde près la lumière à diode électroluminescente(DEL ou LED en anglais).Ce type d’éclairage n’est pas récent ; ils’est fait connaître par les décorationsde Noël et il était également utilisé entant qu’éclairage signalétique. Maisaujourd’hui, ses multiples applicationsse sont étendues à d’autres domaines.Les lampes économiques, deplus en plus présentesAfin de fournir la même quantité de lumièrequ’une ampoule normale, l’ampouleéconomique a besoin de moinsd’énergie. Même si elle est plus chèreà l’achat - environ 7 € pour une lampeéconomique contre environ 1 € pourune ampoule normale - elle est plusavantageuse, avec une durée de vie dixfois supérieure.Selon les estimations de Luminus, siune famille moyenne remplaçait toutesses ampoules classiques par desampoules économiques, cela représenteraitune économie théorique de 800kWh par an. Ce changement correspondraità une réduction d’environ 180€ sur la facture énergétique, sans pourautant faire des concessions au niveaudu confort.La lampe LED, la lumière dufutur ?L’électroluminescence - source de lumièreélectrochimique - est l’émissionde lumière produite lorsqu’un courantcontinu à basse tension traverse un dispositifà semi-conducteurs contenantun cristal. A l’heure actuelle, les lampesLED ne représentent qu’une faiblepart du marché tant professionnel quedes ménages mais dans l’avenir, ellesseront amenées à tenir une place plusimportante.L’évolution extrêmement rapide dela technologie LED ne permet pas deprévoir quelle sera son utilisation dansles prochaines années. Les développementsrécents ayant trait aux diodesélectroluminescentes ont ouvert la porteà de nouvelles possibilités d’éclairageet ils débouchent incontestablementsur l’exploitation de nouveaux marchés.Ainsi, la lampe LED est utiliséepour la mise en valeur architecturale etl’éclairage d’accentuation. Elle descenddans la rue avec une application pourl’éclairage public. Un exemple ? Electrabela eu recours à cette technologiedu futur pour l’éclairage de ses tours derefroidissement à Drogenbos.Le grand avantage de la lampe LEDest certainement qu’elle donne la possibilitéde diriger, avec une extrêmeprécision, le flux lumineux vers les zonesà éclairer. Il en résulte un meilleurrendement de la lumière utilisée : c’estce que les professionnels appellent« éclairer juste ».Un point négatif qui pourrait jouer ensa défaveur est le prix relativementplus élevé par rapport à une lampetraditionnelle. Selon Giovanni VanCauwenberghe, fondateur de la PMEbelge Ledlab : « une lampe LED est 20%plus chère à l’achat mais ce surcoût estlargement compensé par une longévitéplus importante – dix fois supérieure àune lampe normale - et une faible exigenced’entretien, la rendant, en fin decompte, économique. »Murielle LonaWith the support ofDisclaimerThe sole responsibility for the content of thispresentation lies with the authors. It does notnecessarily reflect the opinion of the EuropeanCommunities. The European Commission isnot responsible for any use that may be madeof the information contained therein.


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event<strong>BECI</strong> Executive Interviews18n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreQu’est-ce que peuvent se dire des CEO’sd’entreprises de plus de 100 employésqui se rencontrent ? Vous le saurez enécoutant les Beci Executive interviews,sur www.becitv.be.: des chefs d’entreprise (différents à chaqueédition) invités par Beci se retrouventL’idéedeux fois par mois dans un superbe hôtelbruxellois pour partager le petit-déjeuner. Pendantenviron 30 minutes, chacun est interviewé et filmépar un journaliste. Ces entretiens peuvent ensuiteêtre visionnés sur Beci TV (www.becitv.be) et lusdans Entreprendre.BarbaraStadsbader,directrice générale deSECRETARY PLUSDe nos jours, le travail intérimaires’avère plus que jamais nécessaire.En témoigne Barbara Stadsbader, Directricegénérale de Secretary Plus : “La criseréveille chez les entreprises une envie d’uneplus grande flexibilité, ces dernières voulantpouvoir réagir plus rapidement aux haussesou baisses de volumes. Il est par conséquentlogique que le travail intérimaire ait le venten poupe.”Les chiffres de Secretary Plus en disentd’ailleurs long : “Nous employons quotidiennement700 personnes, dont 520 intérimaires,100 fixes en service et 130 personnesdétachées.” Et la Directrice générale d’enrajouter une couche : “En Belgique, nousvenons de connaître une année exceptionnelle; c’est ce qui ressort des chiffres de Federgon.Alors que le marché des employés aencaissé une chute de 20%, Secretary Plus n’aconnu qu’une diminution de 8% en 2009.”Plus d’infos : www.becitv.beAnne Latour, directrice généraleadjointe de HEYTENSde la sociétéHeytens a été marquéeL’évolutionpar de nombreux rachatsmais aujourd’hui, Anne Latour,Directrice générale adjointepour la Belgique, peut se targuerd’avoir une société rentable: “Ona eu une année record sur 2007,2008 a été assez stable et 2009on a eu une petite régression.”Heytens habille toutes fenêtres, qu’elles soient dans le privéou dans le professionnel. Avec ses 160 magasins en Belgiqueet ses autres sites au Luxembourg, en Suisse et en France,Heytens prend les devants: “Nous développons la franchiseactuellement et nous avons des projets sur la Roumanie ainsique sur l’Espagne.”Quand on lui demande le pourquoi de cette délocalisation,Mme Latour explique: “On est localisé sur la Belgique pourtout ce qui est opérationnel et on a un deuxième siège qui està Lyon ou là tout ce qui est marketing, réapprovisionnementest localisé.”Geoffroy Onclin,directeur commercial de TDSTDS, entreprise spécialiséedans la fabricationde mobilier de bureauxcompte parmi sa clientèle desclients de renommée nationale.De la SNCB en passantpar La Poste, jusqu’à la STIB,tous leurs meubles sont faitsur mesure dans les ateliersà Sclessin.Mais TDS va plus loin, Geoffroy Onclin, Directeur Commercialexplique : « Nous avons trois axes de développement stratégique: L’ergonomie pour nous est un must pour améliorer la performanceet l’efficacité d’une organisation. Deuxièmement, leSmart Office est probablement le futur en termes de gestionénergétique des nouveaux bâtiments dans les espaces de travailprofessionnel. Et dernièrement, dans tout notre processusindustriel, nous revoyons systématiquement toutes les composantesafin de les optimiser au niveau environnemental.Autant dire que la société ne cesse de se réinventer. Raisonpour laquelle « la crise n’a pas été simple. Nous avonsdu nous remettre en question. » C’est bien pour ça que TDStourne autour d’un chiffre d’affaires avoisinant les 25 millionsd’euros ».


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enjeuxinterview Peter De Caluwe, De Munt/La Monnaie« Les entreprises bruxelloises ne prêtent passuffisamment attention à la culture »© Bernd Uhlig« Les producteursd’opéras abordent souventdes thèmes fortementancrés dans l’actualité.Je suis convaincu que lesentrepreneurs peuventen tirer de grandsenseignements. »Actif depuis juillet 2007 en qualité de directeur général du théâtre deLa Monnaie, Peter de Caluwe ne mâche pas ses mots : « Les entreprises,en particulier bruxelloises, ne se laissent pas suffisamment inspirer parce qui se passe dans le secteur de la culture. Et pourtant, nous faisonsde sérieux efforts pour mettre sur pied, avec des budgets limités, unprogramme de qualité qui pourrait servir de source d’inspiration pourles entrepreneurs. Nous ne pouvons pas nous plaindre d’un manqued’intérêt, mais bon nombre d’entrepreneurs continuent de vivre avecla perception que l’opéra est quelque chose de trivial. C’est tout à faitsuranné. Même lorsque nous mettons en scène des opéras traditionnels,nous les parons fréquemment d’habits contemporains. »20n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreFort de ses 438 contrats fixes etde sa soixantaine de freelances,le théâtre de La Monnaie fait figured’employeur non négligeable. Etpourtant, ces dernières années, le nombrede collaborateurs a baissé de 10% enraison des départs naturels. La crise nefait en effet aucune discrimination, pasmême dans le secteur de la culture.Trois sources de financementParvenir à boucler l’enveloppe budgétaireest donc une tâche qui prendautant de temps au directeur généralque d’assurer la programmation artistique.« Nous dépendons de troissources pour notre financement », expliquePeter de Caluwe. « En premierlieu, nous recevons de l’État fédéralune enveloppe annuelle à hauteurd’un petit 33 millions d’euros. Nouspouvons bien entendu aussi comptersur nos propres recettes, dont le boxofficeet les coproductions qui génèrentquelque 10 millions d’euros. Nouspourrions éventuellement accroître cemontant en élargissant notre capacité– nous donnons nos spectacles quasimenttoujours pour une salle de 1.100spectateurs, alors que Paris et Munichqui jouent souvent les mêmes productionsque nous accueillent trois foisplus de spectateurs –, mais cela nécessiteraitun énorme investissement,celui-ci demeurant de toute façonun exercice financier périlleux. Unehausse du prix des billets n’est pasnon plus une option, parce que celleciirait à l’encontre de notre missionde vulgarisation de l’opéra. Attenduque nous avons besoin de 25 millionsd’euros pour le paiement de nos collaborateurset d’environ 6,5 millionsd’euros pour nos frais de fonctionnement,il nous reste très peu pour laprogrammation artistique. Cela représenteen effet une prise de tête permanente.Quoi qu’il en soit, pas questionpour nous de rogner sur le niveau dequalité. C’est la raison pour laquellenous nous efforçons aussi de tirernos rentrées du sponsoring. Et, depuispeu, nous avons de même lancé unprogramme de mécénat, qui nous atout de même rapporté 250.000 eurosdepuis son démarrage. Auparavant,nous ne pouvions pas miser sur cecheval, parce que les dons octroyés pardes particuliers nantis à un organismeculturel n’étaient pas déductiblesfiscalement. »Les sponsors s’efforcent donc, aumoyen d’une étude très professionnelle,de persuader le directeur et sonéquipe de la valeur économique deLa Monnaie. « Nous y intégrons aussitous les commerces des environs, nosfournisseurs ainsi que les centainesd’articles de presse. »Faire preuve de créativité avecles deniersPeter de Caluwe souligne par ailleursque les restrictions budgétaires nousaident en partie à faire preuve decréativité. « Et cela aussi peut constituerun enseignement pour les entrepreneurs», nous confie-t-il en riant,« mais j’estime avant tout que notrecommunication doit continuer à soulignerque, par la nature même desproductions, l’opéra est toujours lié àbon nombre de thématiques d’actualitéomniprésentes dans notre société :la diversité, l’innovation, la communication.En somme, tous des sujets donts’occupent les entreprises. En raisonde notre statut de parastatal fédéral,nous représentons aussi une sorte devitrine du niveau fédéral. Nous prouvonsen fait que la discussion souventacerbe entre la Flandre et la Wallonien’a pas voix au chapitre. Et cela s’appliqueaussi aux entreprises bruxelloises: la collaboration et la créativitévous portent bien plus loin que la petitesseet l’inflexibilité. »Geert DegrandePeter de Caluwe, directeur généralde La Monnaie“De Munt/La Monnaie prouve quela discussion souvent acerbe entrela Flandre et la Wallonie n’a pasvoix au chapitre. Et cela s’appliqueaussi aux entreprises bruxelloises :la collaboration et la créativité vousportent bien plus loin que la petitesseet l’inflexibilité.”


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enjeuxGestion des déchets« Les entreprises ont un rôle d’exemple »22n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreFrançoise Bonnet,de Bruxelles-Environnement,devant la sallebien remplie.Plus de septante représentants d’entreprises prenaient part au petit déjeuner d’information(05/05) que <strong>BECI</strong> consacrait à l’actualité législative et au nouveau plan de gestion des déchetsen Région de Bruxelles-Capitale.© ReportersIntroduite par Pierre Thonon,Directeur Général chez <strong>BECI</strong>,Françoise Bonnet, de Bruxelles-Environnement a évoqué la transpositionet les enjeux de la directive-cadreeuropéenne en droit bruxellois.Francis Radermaker, du Cabinet dela Ministre de l’Environnement, acommenté le nouveau plan Déchetset ses implications pour les déchetsproduits par les entreprises. MarcFoccroulle, Directeur de Cabinet duSecrétaire d’Etat à la Propreté publique,a clôturé cette aperçu législatifpar l’exposé des enjeux de l’instaurationd’une obligation de tri et de justificationde l’évacuation des déchetspour les entreprises.Les participants ont entendu lestémoignages de deux entreprises etd’une hambre de commerce visant àune gestion plus dynamique des déchets.Peter De Beir, Senior SpecialistFacility chez Toyota Motor Europe,a tout d’abord abordé de façon trèsconcrète la gestion des déchets ausein du siège européen du groupe situéà Evere. Ensuite, Nicolas Meylan,Directeur-Général du Radisson BluRoyal Hotel, a témoigné des bénéficesde la mise en place d’une politique degestion des déchets au sein de sonhôtel. Els Heyvaert, Conseillère enEnvironnement à Chambre de Commercede Halle-Vilvorde, a exposéquelques projets améliorant la gestiondes déchets au sein des PME dela province du Brabant-Flamand, etplus particulièrement le projet KMO-KGA proposant une solution auxentreprises pour les petites quantitésde déchets dangereux.Catherine Vanderstichelen, ConseillerCoordinateur Gestion des déchets,a enfin présenté les modalités et lesenjeux de l’appel à projet «BrusselsBrussels Waste NetworkToutes les informations concernant l’appel à projet « BrusselsWaste Network », ainsi que les supports écrits desdifférentes présentations, sont disponibles surwww.beci.be/brusselswastenetworkPlus d’infos: cv@beci.be


enjeuxWaste Network», lancé par <strong>BECI</strong> enpartenariat avec Bruxelles-Environnement.Peter De Beir, Senior SpecialistFacility chez Toyota Motor Europe.Nicolas Meylan, Directeur-Général du Radisson BluRoyal Hotel.Jean-Pierre Hannequart a conclu lesexposés de ce petit-déjeuner d’information,en mettant en avant lesenjeux pour la Région en matière degestion des déchets, et le rôle d’exempledes entreprises en la matière.La traditionnelle question time clôturantcette manifestation fut particulièrementanimé, abordant des questionsdiversifiées, telles les modalitésde mise en œuvre de l’obligation detri, les critères de sélection de l’appelà projet « Brussels Waste Network »et les différents projets en cours dansla Région de Bruxelles-Capitale. Cesquestions, ainsi que l’importanteparticipation des entreprises à cepetit-déjeuner témoignent de l’intérêtet de l’implication croissante desentreprises pour la thématique de lagestion des déchets.Catherine VanderstichelenEls Heyvaert,Conseillère enEnvironnementà Chambre deCommerce deHalle-Vilvorde.Pierre Thonon, DirecteurGénéral chez <strong>BECI</strong>.CatherineVanderstichelen,<strong>BECI</strong> ConseillerCoordinateur Gestiondes déchets.Francis Radermaker, duCabinet de la Ministrede l’Environnement.23n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreMarc Foccroulle, Directeur de Cabinet duSecrétaire d’Etat à la Propreté publique.Jean-Pierre Hannequart,Directeur de Bruxelles-Environnement.


vous bougez !Espace membresVous désirez faire connaître votre activité ? Annoncer un changement stratégique, undéménagement de vos bureaux, des résultats financiers en progrès…? Profitez de la visibilité quivous est offerte dans les pages d’Entreprendre, lu par 21.000 décideurs, en envoyant un communiquéd’une quinzaine de lignes accompagné d’une photo, à rv@beci.beAttention : les textes publicitaires ne sont pas publiés. La rédaction se réserve le droit d’écourter les textes trop longs.Le site de Carcoke était le plus pollué de la Régionde Bruxelles-Capitale.Port de Bruxelles : Fin del’assainissement du sol du site de Carcoke24n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreCharles Jonet, Président du Port deBruxelles, a annoncé la fin de l’assainissementdes sols du site de Carcoke.Ce site de 12 ha, situé à l’entrée norddu port de Bruxelles, à proximité duPont de Buda, était le plus pollué de laRégion de Bruxelles-Capitale.Les quelques 200 000 tonnes (l’équivalentde près de 19 000 camions)de terres polluées ont été excavéeset évacuées par voie d’eau vers uncentre de traitement thermique. Letraitement des eaux souterraines esten phase pilote et se poursuivra pendantplusieurs années, parallèlementà la construction et à l’exploitationdu site. Ces travaux sont effectuéspar l’association momentanée KatoenNatie-Jan De Nul-Envisan, sélectionnéepar le Port dans le cadred’un partenariat public-privé pour laconstruction sur ce site d’un centrelogistique multimodal de 65 000 m 2d’entrepôts. Le coût global de ce projetest estimé à 66 millions d’euros. Ladépollution des sols a coûté 22,5 millionsd’euros.Le coût de l’assainissement des eaux,qui se déroulera de <strong>2010</strong> à 2025, estestimé quant à lui à un peu plus de8 millions d’euros. La construction etl’aménagement du site sera effectuépar le concessionnaire privé, pour uncoût global estimé à un peu plus de 25millions d’euros. Ce nouveau centrelogistique emploiera 400 personnesune fois en activité et un trafic minimumgaranti de 250 000 tonnes parvoie d’eau est inclus dans la concession,soit l’équivalent de près de 24000 camions et une économie de 3600 tonnes de CO2.Port de BruxellesPlace des Armateurs 61000 BruxellesT +32 2 420 67 00 – F +32 421 66 82portdebruxelles@port.irisnet.bewww.portdebruxelles.beEt de six pour PCgenius!Le sixième PCgenius se situeà 87, avenue Louise, Ixelles.PCgenius poursuit sonexpansion en ouvrantun sixième atelier au 87de l’Avenue Louise à Ixelles!Ce nouveau point devente situé à deux pasde la place Stéphanie estouvert depuis janvier<strong>2010</strong>. « Le succès de PCgenius,inégalé à Bruxelles, tient du service impeccable offertà ses clients. PCgenius s’occupe de la réparation, dudépannage et de la maintenance des ordinateurs ainsique des pc portables de toutes marques, au bureau, àdistance et en atelier. PCgenius privilégie la proximitévia sa « hotline professionnels – 02 888 89 65 » à dispositionde entreprises qui souhaitent bénéficier d’uneassistance informatique de qualité. Les avocats, les petitesentreprises, les commerçants du quartier ont enfintrouvé un interlocuteur qualifié pour l’ensemble deleurs besoins informatiques. La présence d’un atelieravenue Louise rend les services de PCgenius encore plusaccessibles et disponibles, et renforcent le concept del’informaticien de proximité.L’offre PCgenius se veut innovante, abordable et sûre.L’idéal pour toute petite entreprise qui souhaite bénéficierd’une infrastructure ultra-performante à des coûtsréduits, simplifier son informatique et prévenir les problèmespour se concentrer sur son métier. »PC geniusAvenue Louise 871050 IxellesT +32 2 888 89 65pros@pcgenius.bewww.pcgenius.be


espace membresXavier Droin nomméDirecteur GénéralAccor HospitalityM.V.P. Belgium, fabricant etdistributeur de Robinetterie IndustrielleEntré chez Accor en 1983, Xavier Droin (49ans) a occupé plusieurs postes de directeurd’hôtel en France et à l’étranger avantd’être nommé Directeur des Opérationspour la Malaisie, l’Indonésie et Singapour.En 1998, il est nommé Directeur des RessourcesHumaines pour l’Asie puis pourla France. Ces quatre dernières années, ila occupé le poste de Directeur des Opérationspour les hôtels Mercure à Paris. A latête des opérations Accor Hospitality enBelgique et au Luxembourg, Xavier Droinentend poursuivre le travail entamé enconfortant la place de leader d’Accor Hospitalitysur les marchés BeLux.Christophe Vanswieten, qui exerce actuellementla fonction de Chief OperatingOfficer Accor Hospitality BeNeLux, Switzerland& Scandinavia, confie la tête desopérations en Belgique et au Luxembourgà Xavier Droin à partir du 17 mai prochain.Accor HospitalityAvenue Hermann Debroux 541160 BruxellesT +32 2 481 69 65 – F +32 2 481 69 48www.accorhotels.comPierre Herinckx, manager de M.V.P.Belgium : « Notre société fait partiedu groupe TERM – CAILHOUX (1957)et présente sur le marché depuis1998. Avec de nombreuses référencesdans les secteurs du gaz, de lachimie et de la pétrochimie, noussommes également actifs dans ledomaine de l’eau, du chauffage etdans les centrales thermiques et nucléaires.Notre gamme très variées’étend à tous les types de robinetsindustriels et d’accessoires, toutesnormes (DIN – ANSI – BS), tous diamètres,basse et haute pression etdisponibles en différentes matièrestant plastiques que métalliques. Nosproduits de qualité sont certifiés CE,ISO 9001 et livrables avec tous lescertificats internationaux. De plus,nous disposons d’un large stock oude matériel livrable à très court délai.Toutes adaptations de motorisationou de transmetteur. Une assistancetechnique performante, desprix compétitifs et attractifs et unconseil avisé. N’attendez plus et rejoignezle groupe de nos nombreuxclients satisfaits ! »La gamme s’étend à tous les types de robinetsindustriels et d’accessoires.M.V.P. Belgium(Masson Valve Processing)Avenue Van Becelaere 24a1170 BruxellesT +32 2 767 00 45 – F +32 2 767 00 41Mvp.herinckx@skynet.be25n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreCoach Consult ajoute des formations de self-coachinget de communication à ses servicesEn période de crise,il est vital d’obtenirle plus grand retoursur investissementpour chaque eurodépensé. C’est pourquoiOlivier Spaens,fondateur de CoachConsult, a décidéd’ajouter aux servicesde coachingexistants, un programmede forma-Olivier Spaens, fondateurde Coach Consult. tions qui vise à enseignerdes outils etstratégies de coaching faciles à mettreen pratique. Vous pourrez ainsi améliorerconsidérablement vos résultatspersonnels et ceux de votre entreprise,sans nécessairement payer lesservices d’un coach particulier. Il ya deux types de formations. D’unepart les formations de self-coachingqui enseignent les techniques pourclarifier vos objectifs, mettre le doigtsur ce qui vous a empêché d’atteindreles résultats espérés jusque-là,être créatif dans l’identification dessolutions possibles et mettre un pland’actions motivant en place. D’autrepart, il y a les formations de techniquesavancées de communication,qui vous permettront d’adapter votrecommunication au profil de votreinterlocuteur. Cela vous permettraentre autres de vraiment motiver voséquipes, d’éviter les conflits et de renforcerles relations avec vos clients.Pour le lancement de ces nouvellesformations, nous vous invitons àparticiper au concours mentionnédans les avantages MtoM qui vouspermettra peut-être de gagner unaccompagnement de coaching et desformations !Avenue Louise 5001050 IxellesT +32 2 643 78 11info@coachconsult.bewww.coachconsult.be


vous bougez !Valérie Claessens, fondatricede Heads&Hands Marketing.Ne vous prenez pas latête, Head&HandsMarketingprend les choses en main26n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreEn Belgique, de plus en plus de femmes font preuve d’unardent désir d’entreprendre et Valérie Claessens en faitpartie. Il y a deux ans déjà elle a créé Head&Hands Marketing,une société spécialisée dans l’outsourcing en marketinget communication. Cette jeune entrepreneur dynamique,qui avait déjà à son actif plus de 12ans d’expérienceen marketing et communication s’était d’abord lancéecomme freelance pour ensuite se lancer un nouveau défien créant Head&Hands Marketing. En pleine évolution, lasociété se positionne aujourd’hui comme un départementextérieur spécialisé en marketing et communication quicompte déjà de nombreux atouts! Valérie Claessens: «J’aitoujours eu envie de créer ma propre société. Ce projets’est aujourd’hui réalisé et j’entends bien le développerdavantage». Head&Hands Marketing offre concrètementde multiples services qui peuvent être divisés en deux pôles:d’une part, «Head» qui représente l’accompagnementstratégique, la réflexion, l’analyse et, d’autre part, «Hands»qui symbolise l’aide opérationnelle, la réalisation, la rédaction/traduction,le suivi day-to-day des projets (brochure,mailing, site internet). Cette jeune entreprise propose sesservices tant aux TPE/ PME, qu’aux grandes entreprises etbien entendu aux entreprises internationales qui souhaitentdévelopper leurs activités en Belgique.Head&Hands Marketing sprlRue Vervloesem 711200 BruxellesM +32 479 45 05 28valerie.claessens@hhmarketing.bewww.hhmarketing.beWASLET IT : réduire vos coûts d’impression jusqu’à 33%« Dans le contexte économique actuel,la mesure et la maîtrise des coûts liésà l’impression sont devenues primordiales.Il ne s’agit pas uniquementdes coûts directs liés au matériel, auxfournitures, aux services et au papier.Il est également question de coûts indirectsinhérents aux appels passésau call center, à l’installation des périphériques,aux serveurs d’impression,aux formations ou aux déchets.La société WASLET IT Services & Solutionspeut vous aider à maîtriser etréduire ces coûts par la mise en placed’outils permettant une meilleurestandardisation, une meilleure budgétisationet des solutions de financementalternatives (leasing) », ditDeborah Blitz, marketing coordinatorde Waslit IT.Les consultants de WASLET IT mènentun audit portant sur l’amortissement,les fournitures, les contrats, lesbesoins des utilisateurs ou les applicationsbureautiques utilisées. Cetteanalyse dresse ensuite une carte précisede votre environnement d’impressionet de copies : un aperçu del’ensemble des appareils en service etde leur utilisation ainsi qu’un aperçudes coûts directs et indirects. « Enfin,le rapport de gestion vous apporte desrecommandations sur la façon dontvous pouvez réduire les coûts par lebiais d’une consolidation et/ou d’unestandardisation de l’ensemble de vospériphériques d’impression. Si voussouhaitez reprendre dès aujourd’huile contrôle de vos coûts, contacteznousrapidement. Les avantages sonttangibles pour le gestionnaire IT, legestionnaire des achats et le gestionnairefinancier. »Une entreprise consacre en moyenne1 à 5% de son chiffre d’affaires à laproduction de documents.Business Unit PrintingAvenue Molière 293-2951050 BruxellesT +32 2 348 61 00F +32 2 347 15 01contact@waslet.bewww.waslet.be


vous bougez !Harry Mariette,directeur commercialchez ToledoTelecom.Concours des Caïus<strong>2010</strong> : Appel auxentreprises28n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreToledoTelecomnomme HarryMariette au postede directeurcommercialToledo Telecom annonce l’entrée en fonction de Harry Marietteen tant que nouveau directeur commercial. Celui-ci seradésormais responsable de l’équipe commerciale et s’orienteravers la vente directe et indirecte des services de Toledo Telecom.Harry Mariette exercera ses fonctions sous la conduitedirecte de Marc Toledo, CEO deToledo Telecom, et fera partie du comité de direction de l’entreprise.Avec la désignation de Harry Mariette, l’opérateurtelecom renforce son équipe en fonction de sonfocus sur l’organisation commerciale.Avant de venir renforcer les troupes au sein de Toledo Telecom,Harry Mariette a travaillé pendant plus de treize ans au seinde l’équipe commerciale de Belgacom, où il a gravi les échelonsde Sales Executive à Sales Director de divers départements. “Jesuis impatient de relever le nouveau défi que me lance ToledoTelecom et suis ravi de me trouver dans un environnementnouveau qui cadre parfaitement avec ma philosophie,” déclareHarry Mariette, Directeur Commercial chez Toledo Telecom.Toledo Telecom compte plus de 30.000 clients et s’adresse tantaux particuliers qu’aux entreprises. En 2009, Toledo Telecoma réalisé un chiffre d’affaires de € 17,5 millions, soit une augmentationannuelle moyenne de 35 % par rapport aux 4 annéesécoulées.Organisé depuis 1989 par Prométhéa asbl, leConcours des Caïus met à l’honneur le mécénatculturel et les entreprises qui se distinguent parleur créativité, leur dynamisme, leur persévéranceet leur contribution au développementculturel et patrimonial en Belgique. En 21 ans, 81entreprises ont été récompensées.Au fil des ans etdes cérémonies, près de 400projets ont été présentés parles entreprises mécènes. LesCaïus sont ainsi devenus lavitrine du mécénat culturelen Belgique.En <strong>2010</strong>, quatre Caïus serontdécernés par le jury, composéde personnalités issuesdes milieux économiqueet culturel, et présidé, cetteannée, par Peter Wilhelm,Administrateur déléguéChantal Pirlot, administrateurdélégué de Prométhéa.de Wilhelm & Co. Lors de la 22e soirée de remisedes prix, qui aura lieu au Palais des Beaux-artsde Charleroi, le 24 novembre <strong>2010</strong>, une PME etune grande entreprise recevront un prix Caïuspour leur action exemplaire en matière de mécénat/sponsoringculturel. Deux autres entreprisesse verront quant à elles décerner un prixCaïus Patrimoine pour leur action menée en faveurdu patrimoine en Wallonie et à Bruxelles.Les inscriptions et les dossiers de candidaturecomplets doivent impérativement parvenir chezProméthéa avant le 30 septembre <strong>2010</strong>. Fondéeen 1985, Prométhéa asbl a pour mission le développementdu mécénat d’entreprise dans ledomaine des Arts et du Patrimoine en Belgique.Règlement et les documents d’inscription :www.promethea.beAvenue Louise 3751050 BruxellesT +32 2 648 08 48F +32 2 646 44 24info@toledo.bewww.toledo.beAvenue Molière 2251050 BruxellesT +32 2 513 78 27info@promethea.bewww.promethea.be


espace membresAdecco désigné Fournisseur officiel du Belgian Olympic Team – Londres 2012Adecco, leader mondial en matière de solutions RH, sera Fournisseurofficiel du Belgian Olympic Team – Londres 2012. Pource faire, l’entreprise a conclu un accord de coopération avecle Comité Olympique et Interfédéral Belge (COIB), qui courtjusqu’en 2012. En tant que Fournisseur officiel du Belgian OlympicTeam, Adecco devient le fournisseur exclusif de services RHdu COIB pendant la période de l’accord. Ce partenariat souligneune fois de plus l’engagement d’Adecco envers les personneset les entreprises actives dans le monde du sport. « Le sportest également synonyme d’opportunités professionnelles,d’emploi et de développement personnel. Dans ces domaines,ce sont à chaque fois les individus qui font la différence. C’estpourquoi, je suis ravi de pouvoir soutenir le COIB dans le cadrede sa mission olympique », explique Mark De Smedt, CountryManager Adecco Belgique & Luxembourg. Avec 600 employéset plus de 120 agences, Adecco Belgique offre une gamme deservices variés. En Belgique, Adecco offre des solutions RH, detravail intérimaire et des services de recrutement & sélection.Adecco Belgique fait partie de Adecco Group, leader mondialen matière de solutions RH, qui est basé à Zurich, Suisse. Plusd’informations surwww.adecco.beNoordkustlaan 71702 Groot-BijgaardenT +32 2 583 91 11 – F +32 2 583 91 12info@adecco.be – www.adecco.beMétaphore, plus qu’un jeu de mots…Pour informer, il faut communiquer...tel est l’objectif principal de l’Agence Métaphore !Créée en décembre 1994, la société peut aujourd’hui se vanter d’avoir de nombreusesréférences dans le secteur des Relations Publiques et des Relations Presse tant au niveauBelux que dans d’autres pays européens. Pour Métaphore, qualité signifie, avant tout,dialogue, suivi personnalisé, originalité, création, réflexion, approche pragmatique,confiance, professionnalisme et souplesse ou rigueur selon les circonstances car le souhaitest de mettre une communication optimale en musique pour offrir une visibilitéparfaitement orchestrée.Pensez à communiquer avec la presse… La société Métaphore prend en charge toutes lesrelations avec la presse et la gestion au quotidien des contacts avec les journalistes et lesdifférents médias.Une gestion des Relations Publiques sur mesure doit créer un capital de sympathie…Notre mission est d’aider les organisations/entreprises à gérer leur réputation et àmieux communiquer avec leurs publics. La réputation de votre entreprise/organisationest un de ses éléments d’actif les plus précieux. L’équipe de Métaphore, grâce à leursManagers (Muriel GILBERT & Boubaker ALMI), peut vous aider à bâtir et à protéger laréputation de votre entreprise, pour lui permette d’atteindre ses objectifs d’affaires.Nous vous aidons à gagner la confiance du public et sa compréhension par la rechercheet l’analyse de ses perceptions par des programmes de positionnement, de préventionet de gestion de crises, et des programmes stratégiques corporate. Aussi, les relationspubliques peuvent intervenir en soutien des relations presse, ou inversement générerdes relations presse.Un dernier mot encore…Plus d’un se posent peut-être la question: pourquoi «Métaphore»?Le mot vient du grec metaphora et signifie «transport». Et, c’est bien ce que nous vousproposons de faire: transporter la communication vers d’autres cieux…Boubaker Almi & Muriel Gilbert, managers de Métaphore.63 avenue de l’Ecuyer1640 Rhode Saint GenèseT +32 2 347 74 52F +32 2 347 74 53info@metaphore.bewww.metaphore.euMicrosoft lance lanouvelle productivité Office<strong>2010</strong> et SharePoint <strong>2010</strong>Microsoft a lancé Microsoft Office <strong>2010</strong>, MicrosoftSharePoint <strong>2010</strong>, Microsoft SQL Server 2008R2, Microsoft Visio <strong>2010</strong> et Microsoft Project <strong>2010</strong>pour les entreprises et ce, dans le monde entier.Plus de 90 millions de sociétés peuvent utiliserdès maintenant cette nouvelle suite de produitset voir comment l’investissement fait dans ce logicielpeut être traduit en une productivité plusperformante et une économie meilleure. « Office<strong>2010</strong> et SharePoint <strong>2010</strong> créent un nouveau standarddans la manière avec laquelle les entreprisesutilisent la technologie dans le monde entierdans le but d’épargner, d’innover et de grandir » adit Phillip Vandervoort, General Manager de MicrosoftBeLux. « Nous lançons la nouvelle générationdes solutions de productivité qui aident lesutilisateurs à fonctionner rapidement et de manièreplus intelligente, de n’importe quel endroit,et sur différents appareils. »Selon l’étude menée par Forrester, basée sur lescritères de coûts des entreprises, des avantages,de flexibilité et des risques de celles-ci, les utilisateurspeuvent attendre un retour sur investissementde 301 % et un effet de remboursement sur7,4 mois. Les utilisateurs travailleraient plus efficacementà concurrence de 50% car Office <strong>2010</strong> sedéploie aussi bien sur leur PC que sur leur smartphone,ou via internet.Corporate VillageDa Vincilaan 31935 ZaventemT +32 2 503 31 13 – F +32 2 704 35 35www.microsoft.be29n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre


vous bougez !30n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre1001 REPèRES : nouvelle expo <strong>2010</strong>-2014Soutenez, vous aussi, ce projet !D’octobre <strong>2010</strong> à mai 2014, le Musée des Enfants en plein cœur de Bruxelles accueillera la toute nouvelle exposition« 1001 Repères ». A travers un parcours bilingue divisé en six chapitres, les enfants, les familles et lesécoles découvriront les repères qui nous font grandir tout au long de notre vie. Ces balises culturelles, familiales,iconographiques ou géographiques nous guident et nous rassurent au quotidien. L’exposition « 1001 Repères »poursuit la ligne philosophique générale du Musée qui prône l’apprentissage en s’amusant et une découvertetactile et interactive. Les animateurs chevronnés du Musée donnent vie aux expositions par l’écoute, l’attentionet la création d’un climat de confiance qui permettent l’expression des émotions.Cette exposition est une création originale entièrement réalisée par l’équipe du Musée des Enfants. Le Muséecollabore pour cela avec de nombreux spécialistes externes dans différentes disciplines : pédopsychiatres, psychologues,artistes, scientifiques. Une dizaine d’ambassadesétrangères représentées à Bruxelles participentégalement à la documentation de l’expositionainsi que le Musée d’Afrique Centrale de Tervuren oule Musée des Enfants National de Corée.Ce parcours à travers les repères dont nous avons toustant besoin ouvrira ses portes au public le samedi 27octobre <strong>2010</strong>. Presse, officiels, sponsors, donateurs etmécènes sont conviés le jeudi 21 octobre au vernissage.Cette exposition restera en place durant 4 ans etbénéficiera d’une large campagne de communication.Outre une opportunité de notoriété et de visibilitéauprès d’un public cible familial et du monde éducatif,le soutien au Musée des Enfants implique des retombéesen termes de communication interne : fêtedu personnel, fête de société, réductions diverses …Le Musée des Enfants propose un partenariat financierpar chapitre avec possibilité d’échelonnementsur 3 ans.« 1001 raisons » et six chapitres pour s’associer au Musée des Enfants:1 Le Labyrinthe, départ du voyage dans l’exposition2 Le Port de Pêche, l’orientation dans l’espace et dans le temps3 Le Tour du Monde, les repères culturels et traditionnels4 Les Cycles de Vie, les repères de la naissance à la mort5 Le Super Marché des Familles, les repères familiaux et éducationnels6 L’Atelier des Artistes, les repères dans la lecture de l’imageProjet d’ores et déjà soutenu par :et vous ? ? ?Intéressé ? Contactez le Musée des Enfants :Le Musée des Enfants ASBLRue du Bourgmestre 151050 IxellesT +32 2 640 01 07 – F +32 2 646 80 07childrenmuseum.brussels@skynet.be – www.museedesenfants.be


Votre entreprise contribue au développementde la culture et du patrimoine ?Werkt uw onderneming mee aan de ontwikkelingvan cultuur en erfgoed?Faites le savoir !Maak het bekend !Inscrivez-vous au / Schrijf U in voorCaïus <strong>2010</strong>Le Concours du Mécénat CulturelDe wedstrijd voor cultuursponsorsPROMÉTHÉA asbl - Tel: 02/513 78 27 - Fax: 02/502 26 57 - e-mail: info@promethea.be! Dossier de participation téléchargeable via www.promethea.beU kan het deelnemingsdossier downloaden via www.promethea.be


Beci de A à ZResponsabilité Sociétale des EntreprisesUn réseau apprenant ?Un réseau apprenant c’estune quinzaine de collègueschefs d’entreprises qui, durantun an, se réunissent 6 à 10fois. Pendant chaque sessionchacun apprend intensivementdes uns et des autres.partenaire dans ce réseau apprenant,qui a une expertise de plusieursannées déjà en matièrede Responsabilité Sociétale desEntreprises.32n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreChaque session est animée par desanimateurs expérimentés et/ou desexperts. Les thèmes sont déterminéspar l’ensemble du groupe. Les valeurscommunes de chaque session sont :vision d’un expert externe, témoignagepratique, workshop riche enenseignement et réseau informel.Le Réseau Apprenant enResponsabilité Sociétale desEntreprises (RSE) est :Ce réseau apprenant partage la vision,la connaissance et l’expérienceen matière de, par exemple :• Analyse de durabilité des activitésde votre entreprise• Gestion du personnel proactive• Innovation produit ou service• Système de management• Politique d’achat• Rapport relatif à la durabilité• Neutralité CO 2• Communication RSEPourquoi participer ?En tant que dirigeant de PME, vousvous interrogez souvent sur votreresponsabilité sociétale. Vous voussentez concernés, ou êtes déjà engagés,mais vous voulez mieux l’appliquerau sein de votre entreprise. Enfait, vous vous posez toute une sériede questions.Quel nouveau potentiel la RSE peutelleapporter à mon entreprise? Commentdois-je répondre aux questionsde mes clients et fournisseurs sur ladurabilité et la plus-value sociétalede mes produits et services ? Commentimpliquer mon personnel etmes clients dans cette démarche?Comment intégrer la RSE dans monentreprise autant dans la stratégieque dans l’opérationnel journalier ?Bref, comment aborder ce sujet et quipeut m’aider ?• Pendant le trajet, vous aurez l’occasiond’appliquer vos connaissancesacquises avec commerésultat la mise en place immédiated’un plan d’action• Vous partagez les exemples, lesexpériences et les conseils pratiquesavec vos collègues• Vous avez la possibilité de bénéficierd’un accompagnementindividuel d’une 1/2 journée• Vous bénéficiez de l’accompagnementde Sustenuto, notrePublic Cible :• Entreprises et organisations detout secteur, quelle que soit leurtaille ; économie régulière ouéconomie sociale• Chefs d’entreprise tournés versl’avenir, qui veulent rester compétitifet apporter leur contributionà une vie saine, meilleure etsolidaire.Où et Quand ?• 7 sessions : 14/9 – 5/10 – 9/11 –7/12 – 11/01/2011 – 15/2/2011 et29/3/2011• Chaque session de 9h à 12h.• Chez BeciIntérêt ?Contactez rapidement Brigitte vander Mensbrugghe – T 02 643 78 30bvdm@beci.beUne organisationavec le soutien financier dedans le cadre du Plan d’action fédéralbelge RSE du 25 octobre 2006


Beci de A à ZSortir plus fort de la crise :Le moment est venu de se préparer pour rebondirLes leçons du changement – les 26, 27 et 28 août <strong>2010</strong>Le monde commence à peine à se relever de la crise économique et financière.Les paradigmes ont changé et des nouvelles pratiques émergent.Ernst & Young a mené une enquête auprès de plusieurs milliers de cadresdirigeants d’entreprises à travers le monde afin de capter la manière dontl’avant-garde réagit à ce nouvel environnement.Nous vous proposons, dans le cadre d’un séminaire original et interactif,d’aborder de manière pratique ces nouvelles thématiques qui ne manquerontpas de toucher toutes les fonctions de votre entreprise et les manièresd’y répondre afin de préserver – voire d’accroître – votre compétitivité.Vous êtes dirigeant d’entreprise, venez tirer parti des expériences desautres.Plus d’infos :contactez Brigitte van der Mensbrugghe – 02 643 78 30 – bvdm@beci.beAlter EgoGagnez 12 ans d’expérienceprofessionnelle en 1 an!Tel est le pari que nous vous promettons degagner si vous participez au cycle Alter EgoSophie Feltrin,pour assistantes de direction. Vous êtes seuleou quasi seule dans votre fonction et voscoach de Alter Ego.responsabilités dans votre entreprise ? Vousavez des collègues dans d’autres entrepriseset elles rencontrent les mêmes problématiquesque vous ? Alors, c’est uniquement ‘ensemble’que vous trouverez plus aisémentdes solutions. C’est pourquoi, nous vous proposonsde rencontrer vos ALTER EGO.Il s’agit d’un cycle de 10 sessions étaléessur une année. Lors de celles-ci, vous aurezl’occasion de partager votre expérience touten bénéficiant d’une dynamique de réseaudurable. Vous affinerez vos connaissancesprofessionnelles par des échanges avec vosALTER EGO! Chaque session est encadréepar un coach professionnel, accompagné parun expert externe. Vos réunions sont programmées le mercredi matin, de 9h à13h chez <strong>BECI</strong>. A l’accueil de chaque session un petit déjeuner vous sera servi.Ensuite vous découvrirez la thématique du jour par un expert, suivie par deséchanges entre ALTER EGO.TransmissionPME ou cessionpartielle ducapitalVous êtes :Propriétaire et gérant d’une PME /TPE établie en région bruxelloise oudans le Brabant, employant de 1 à 10personnes. Vous pensez à :• préparer la transmission de votresociété en vue d’assurer sa continuité• rechercher d’un partenaire actif età même de participer au capital devotre sociétéSans que cela soit limitatif, votre sociétéest active dans des secteurs telque: négoce BtoB, parachèvement dubâtiment, production ou transformationindustrielle, ...Par contre le commerce de détail etl’horeca sont des secteurs d’activitéexclus.Offre:Candidat investisseur / repreneurlicencié en sciences économiques.Agé de 54 ans, il dispose d’une largeexpérience commerciale dans l’industriedes biens de consommationau Benelux. Trilingue (fr, nl, uk), sescompétences portent sur la vente, lemarketing, la coordination d’équipespluridisciplinaires, la gestion d’uncentre de profit. Hors leviers bancaires,il dispose de 50 à 200.000 eurosà investir.Intérêt :Veuillez contacter ow@beci.be enmentionnant la référence de l’offre.Avec votre accord et en toute discrétion,<strong>BECI</strong> communiquera vos coordonnéesau candidat investisseur/ repreneur qui vous contactera. Ils’oblige au strict respect de la confidentialité.33n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendrePlus d’infos : contactez Brigitte van der Mensbrugghebvdm@beci.be – 02 643 78 30


Beci de A à ZInterview Euro TASC ConsultingUne main forte pour aborderles marchés publics européensEuro TASC Consulting se propose d’assister les entreprises dans leur approche des marchéspublics européens et d’établir avec elles la meilleure stratégie pour gagner ces contratsenviables.34n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreUn mythe, l’argent de l’Europe? Il effraie certains, affoled’autres, ravit d’autres encoreet persiste ainsi à paraître souventinaccessible. Pourtant, de par leurseule situation à un jet de pierres desinstitutions européennes, les entreprisesbelges se trouvent en positionde force lorsqu’il s’agit de participeraux appels d’offres des marchés publicseuropéens. D’autant plus queles expertises disponibles dans lepays sont considérables. Reste, cependant,à savoir comment se présenterdevant de tels marchés.«Il faut distinguer deux choses », précised’emblée Benoît Conti, fondateurd’Euro TASC Consulting, spécialiséeen assistance stratégique aux entreprisescandidates aux appels d’offredes Institutions européennes. « D’unepart, les fonds européens, quelquescentaines enveloppes prévues aubudget des institutions européennespour permettre aux entreprisesou associations de se développerdans un domaine précis (environnement,innovation, réseaud’entreprises etc. );d’autre part, lesdépenses desInstitutionseuropéennesdansle cadrede marchés publics pour répondreà leurs propres besoins defonctionnement, et finalement lesprojets financés par les institutionseuropéennes. La première catégoriedonne lieu à des appels à propositionsou projets ; la deuxième, à desappels d’offres menant à des contratssur une demande précise. Dans lesdeux cas, la constitution d’un dossierde soumission exige à la fois rigueuret habileté, sans compter une quantitéde temps considérable, en ce quiconcerne les premières participationsen tout cas.C’est à ce stade qu’Euro TASC Consultingpropose d’intervenir. Fort d’uneexpérience de « Monsieur Europe » ausein d’une importante entreprise decommunication, Benoît Conti a nonseulement le flair pour repérer les offressusceptibles de convenir à telleou telle entreprise cliente, mais égalementl’habitude des exigences desinstitutions européennes en matièrede documentation exigée, couplés àun talent inné de communicateur «marieur » qui lui permet d’imagineret de conclure des partenariats entreentreprises tels que l’Europe les adore.Quand il a créé Euro TASC Counsulting,en 2004, c’était en parfaiteconnaissance de cause.« Outre le niveau non négligeable desbudgets alloués, c’est surtout la stabilitédes contrats qui s’avère confortablepour les entreprises », explique encoreBenoît Conti. En effet, les contratsde ce type représentent souvent desbusiness récurrents, puisque la formulede plus en plus retenue est celledu contrat-cadre de 4 ans, réévaluétous les ans. Par ailleurs, au contrairedes habitudes dans le secteur privé, leprix conclu lors de la signature d’uncontrat avec les institutions européennes– la Commission européenne, leParlement européen, le Conseil del’Europe, une cinquantaine d’agencesspécialisées, … - ne donne jamais lieuà la moindre remise en question aucours de sa durée.Le soutien qu’apporte Euro TASCConsulting aux candidats aux denierseuropéens est multiple et dépenddu degré d’habitude que l’entreprisecliente a de ces marchés publics-là :un service de veille, qui repère les appelsd’offres adaptés aux compétencesde telle ou telle entreprise, l’étude del’adéquation d’une entreprise à unappel d’offres, une assistance pour laconstitution d’un dossier, la traductiondu langage juridique en mots compréhensiblespour tous, et vice versa. Ainsiqu’une main sur l’épaule, quand le besoins’en fait sentir, face à un succès ouun échec. Ce qui est impayable.Carline TaymansDon’t miss businessopportunities for your company!Info sessions on EU fundings &tenders In the field of• Computer software (16/09/<strong>2010</strong>)• Construction (28/09/<strong>2010</strong>)• Water and waste Management (12/10/<strong>2010</strong>)• Security (27/10/<strong>2010</strong>)Practical information:J.-Ph. MergenT 02 210 01 77jpm@beci.be


Un présentoir Bizzbox dans votre entreprise ?Communiquer via le réseau Bizzbox ?02 345 74 55 - info@bizzbox.beInformer. Communiquer.Les entreprises ont enfin leur réseau.Grâce à 200 points de diffusion disséminés dans 390 entreprises à Bruxelles, les présentoirs Bizzboxdiffusent l’information économique et institutionnelle des acteurs bruxellois. Créé en associationavec Beci, le réseau veut renforcer les relations entre institutions de la capitale et promouvoir l’activitééconomique bruxelloise. La rubrique Bizzbox News entend renforcer cet objectif.BIZZBOXVincent Gilleman, pour BizzboxFOCUSATRIUM - OpenSoon vous ouvre les portes de votre commerceDe nombreuses personnes voudraientchanger de vie ou de travail.Lors d’un récent sondage sur Références.be,85,77% des répondants se sontdit tentés par une expérience en tantqu’indépendant. En outre, une enquêteeffectuée en 2007 à Bruxellesrévèle une attente pour plus de projetscommerciaux audacieux, surprenantset davantage en phase avec lecaractère cosmopolite de la capitale.Pour répondre à cette tendance,Atrium a lancé OpenSoon, un appelà projets novateur qui permettrad’ouvrir 60 concepts originaux d’ici2013. En pratique, un jury de professionnelsdu commerce sélectionneles projets pour leur inventivité et laqualité de leur concept. Atrium aidegratuitement les porteurs de projetsà trouver un emplacement idéal pourleur point de vente à Bruxelles, et uneprime de plusieurs milliers d’eurosest octroyée pour l’aménagement dumagasin. Atrium négocie égalementavec les propriétaires une diminutiondu loyer en échange d’une interventiondans la rénovation du local commercial.lité économique bruxelloise bizzbox newsLes ouvertures ont lieu dans les quartiersle long du canal (de Dansaert auxMarolles en passant par Molenbeek)qui présentent des opportunités pourcréer de nouveaux pôles en lien avecdes zones très dynamiques.Dans le cadre de ce projet lancé en décembre2009, 6 commerces ont ouvertou vont ouvrir prochainement.• L’Atelier Marchal, atelier/boutique/showroomde bijoux et sacsdu designer espagnol Josep Garcia,déjà présent à Barcelone etPalma de Majorque ;• le second point de vente d’APDMqui proposera des bagels etautres plaisirs gourmands ;• Master Press, une librairie à dimensionhumaine dans un quartieren manque de commerces deproximité ;• La styliste Malouka, qui créerades tenues maniables et ajustablesdans son atelier boutique ;• DB Création, l’association d’unstyliste de robes de mariées etd’un fleuriste qui ouvriront uncommerce autour du conseil etde l’organisation du mariage ;BON A SAVOIRVoir et Dire Bruxelles :150 découvertes de Bruxelles• Harmonie Ladies Coaching, sallede fitness exclusivement fémininequi ouvrira dans le quartierde la gare de l’ouest.Vous aussi, vous pouvez ouvrir uncommerce avec l’aide d’Atrium etOpenSoon. Rendez-vous sur www.opensoon.be. Les dossiers de candidaturepeuvent être soumis jusqu’enjuin 2013. Le jury se réunit tous lestrois mois pour analyser les candidatures.Le prochain jury aura lieu le 17septembre <strong>2010</strong>.Cette initiative d’Atrium a été renduepossible par les subventions duProgramme OpérationnelFEDER« Objectif 2013 :Investissons ensembledans ledéveloppementurbain ! », co-financépar la Régionde Bruxelles-Capitaleetl’Union européenne.35n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreVoir et DireBruxelles, tableronde d’associationsdetourisme à thèmeréunissantl’ARAU, Arkadia.be,Itinéraires,Le Bus Bavardet Pro Velo, propose des visitesguidées de la capitale. A pied, en bus,ou à vélo, les associations présententle patrimoine historique, architectural,économique, social, folkloriqueet naturel de Bruxelles. Alors, si vousêtes curieux de découvrir l’Art Nouveau,les cités-jardins, les ateliersd’artistes, la bande dessinée, les bièreset brasseries, et autres coins secretsde notre belle ville, demandezle programme et suivez le guide!www.voiretdirebruxelles.be02 563 61 51BIZZBOX Y EST PRESENT!Un présentoir Bizzbox dans votre entreprise?Communiquer via le réseau Bizzbox?02 345 74 55 - info@bizzbox.beInformer. Communiquer.Les entreprises ont enfinleur réseau.


Dossier RHTitres-repas électroniques : un service à la carte ? 37Les outsourcing et les RHne font pas encore bon ménage 40Vous pensiez que les plus de 50 ansn’avaient plus envie de travailler ? 42Licencier ne peut être facile 44Temps de travail :Ne poussez pas le bouchon trop loin 46Les beaux jours de l’Outplacement 48Le véhicule d’entreprise : Toujours numéro 1au hit parade des incentives 50Bien-être au travail : L’absentéisme,la pointe de l’iceberg 52DOSSIER«Tu as reçu tes chèques-repas? » La question fuse leplus souvent aux caissesdes supermarchés du pays. C’est que letitre-repas est devenu, avec le temps,un des avantages extra-légaux les plusappréciés des employés, ouvriers etautres acteurs de la vie économique.Rien que pour la Belgique, ce ne sontpas moins de 250 millions de chèquesrepasqui sont distribués à plus d’unmillion trois cent mille travailleurs. Lesystème était, jusqu’ici, assez simple: sur base de conventions collectivesou de la rémunération du travailleur,celui-ci recevait autant de chèques-repasd’une valeur donnée que de joursprestés durant le mois. Un avantageextra-légal accordé, à l’origine, pourpermettre à chacun de se sustenterpendant son heure de table.Titres-repas électroniques :Un service à la carte ?Les titres-repas, tout le monde connaît ! Ce que l’on sait moins, c’est qu’une petite révolution esten train de se jouer chez les différents acteurs de ce marché. En effet, alors que jusqu’ici, seulela version papier était disponible, celle-ci pourrait se voir remplacée par une carte à puce etdeviendrait de ce fait une monnaie (encore plus) virtuelle.veut simplissime : chaque mois, plutôtque de remettre une enveloppe contenantune vingtaine de chèques-repas,l’employeur chargera la carte de sesemployés, libre à eux ensuite d’utiliserla carte comme ils l’entendent, à l’instardes chèques-repas papier actuels. Rien que pour la Belgique,ce sont 250 millions dechèques-repas qui sontdistribués à plus d’un milliontrois cent mille travailleurs.Les lecteurs de cartes de paiementbiperont donc plus souvent qu’à leurtour aux caisses des supermarchéset certains commerçants, parmi lesquelsde nombreux snacks, devronts’équiper pour permettre la lecture dece nouveau moyen de paiement. Pour37n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreUne nouveauté qui va faire ‘bip’Prévu pour l’automne et fermementdéfendu par le ministre Vincent VanQuickenborne, le chèque-repas électroniquedevrait faire son apparitiondans nos portefeuilles. Le système se© Image Source/Reporters


dossierrhLe titre-repas est devenu, avec le temps, un des avantages extralégauxles plus appréciés des employés, ouvriers et autres acteurs dela vie économique. Rien que pour la Belgique, ce ne sont pas moins de250 millions de chèques-repas qui sont distribués à plus d’un milliontrois cent mille travailleurs.leurs coûts, tant de production que degestion. La quasi-généralisation duGSM leur permettra, en plus, de prévenirles bénéficiaires des titres-repasque certains montants se trouvantsur leur compte arrivent à échéance.38n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendrePrincipal avantagedu système électronique :le risque de perte ou de volest ici fortement réduit.le premier bénéficiaire, le travailleur,quelques jours suffiront à se mettre àce nouveau système, pas plus difficileà utiliser qu’une carte proton.Principal avantage du système : lerisque de perte ou de vol est ici fortementréduit. En outre, le format decarte bancaire du titre-repas électroniqueévite que l’on oublie trop souventce moyen de paiement tantôtsur son bureau, tantôt à la maison.Quant au coût pour le bénéficiaire,il est nul et ne change donc absolumentrien à l’avantage perçu par lepassé.Pour demain ?Tous s’accordent à dire que le titrerepasélectronique ne s’imposera pasde façon unilatérale du jour au lendemain.Pour Vincent Van Quickenborne,ministre de la simplificationadministrative, « c’est le marché quidécidera de la vitesse d’installationdu système » tandis que, chez Sodexo(ndlr : un des deux principaux acteursdans le domaine actuellement), JosTrippaers, membre du comité de direction,rappelle que « au Mexique, ilaura fallu 18 mois pour que la transitionsoit totale ».Il reste néanmoins plusieurs aspectsdu titres-repas électroniques à mettreau point avant que celui-ci ne se retrouvedans la poche des travailleurs.Dans un premier temps, le passageaux titres électroniques ne sera possibleque si la convention de travailqui régit une entreprise a prévu cepossible transfert. Dans un deuxièmetemps, il faudra déterminerles moyens de paiement qui permettrontde bénéficier des montants verséssur les titres-repas électroniques.Effectivement, si l’employeur verse lemontant accordé à ses employés surun compte appartenant à la sociétéémettrice des chèques électroniques,il faut que le bénéficiaire puisse égalementprofiter de ladite somme. Siles possibilités sont aussi nombreusesque variées : de la carte d’identité àla carte bancaire en passant par unecarte spécifique ‘Titres-repas’ ou unSMS, il ne devrait pas y avoir de problèmespour pouvoir dépenser cetavantage extra légal qui, comme pourla version papier, perdra toute valeurtrois mois après son versement. Toujoursest-il que, au mois d’avril dernier,c’est la piste d’une carte spécifique,directement liée à un comptese trouvant chez le prestataire de service,qui devrait permettre d’effectuerses paiements.Les deux principaux acteurs en matièrede titres-repas électroniques,la Sodexo et Accor, ne cachentpas leur joie de voir se dossieraboutir après plus dequatre ans de négociationsintenses. En effet,le titre-repas électroniquedevrait réduirede façon drastiqueLa quasi-généralisation duGSM permettra de prévenirles bénéficiaires des titresrepasque certains montantsse trouvant sur leur comptearrivent à échéance.Un moyen efficace d’éviter que dessommes colossales en soient définitivementperdues.Que des heureux ?Tous, pourtant, ne montrent pas lemême enthousiasme face à ce quel’on nous présente comme une simplificationadministrative de plus. Eneffet, d’une même voix, Fedis, Unizoet UCM tiennent à souligner l’accroissementde coûts qu’engendrera trèscertainement l’apparition des titresrepasélectroniques. D’aucuns n’hésitentpas à parler d’un coût multipliépar six par rapport à la version papierdes chèques-repas. Un coût qui devra,bien évidemment, être répercuté surle coût d’achat par le consommateur.En effet, si, dans un premier temps,versions papier et électroniquedoivent coha-© Image Source/Reporters


Ce ne sont pas moins de 20tonnes de papier qui, chaqueannée, sont utilisées pourfabriquerles chèques-repas.dossier rhLes titres-repas en quelqueschiffres :© Image Source/Reportersbiter, la gestion de ces différents supportsne manquera pas de coûter cheraux employeurs. Les commerçants,eux aussi, devront faire preuve de patienced’une part et accepter de revoirleurs coûts à la hausse. Aujourd’hui,50% des petits commerçants oumembres de l’Horeca ne possèdentpas encore de lecteurs de cartes électroniques.L’investissement est doncde taille.Enfin, les bénéficiaires eux-mêmessont en droit de se poser quelquesquestions quant à l’utilisation de cestitres-repas. Seront-ils toujours acceptésdans la grande distribution ? Commentpourront-ils être dépensés ? Si lepaiement passe par une carte d’identitéou un numéro de GSM, commentpermettre à un membre de sa familled’utiliser les titres-repas pour allerfaire des courses ? Un lot de questionqui souligne les ratés pragmatiquesque peut représenter ce nouveaumode de paiement.Bien évidemment, le chèque-repasélectronique n’a pas que des désavantagespour le consommateur. Ainsi,alors qu’auparavant, il ne pouvaitfractionner la valeur d’un chèque etdevait récupérer en monnaie la différenceentre le prix de son achat etla valeur de son chèque, il sera désormaisen mesure de gérer son comptecomme bon lui semble. De son côté,le commerçant sera sans doute ravide ne pas devoir jouer les banques enétant obligé de conserver chez lui dessommes astronomiques en monnaie.Le trublionFace à ces nombreuses (et légitimesquestions), un nouvel acteur est entrain de faire son apparition sur unFedis, Unizo et UCM tiennent à soulignerl’accroissement de coûts qu’engendrera trèscertainement l’apparition des titres-repas électroniques.Un coût qui devra, bien évidemment, être répercuté surle coût d’achat par le consommateur.marché jusqu’ici entièrement dévoluà Accor et à Sodexo. Avec sa carteE-Kena, la société belge E-VE (pourElectronic Vouchers Emitters) entendvenir titiller les deux multinationalesse partageant actuellement unplantureux gâteau. Moins cher, plusfacile à gérer, la carte titres-repasL A N G U A G E Sélectroniques estampillée E-Kena devraitfaire de nombreux adeptes. Eneffet, si les responsables de sociétésapprécieront la réduction des coûtsadministratifs liés à la gestion del’avantage extra-légal octroyé à leurstravailleurs, les commerçants verront,eux, d’un bon œil, que la commissionperçue ne l’est plus sur basede chacun des paiements effectuésvia un terminal électronique, maisbien sur base d’une somme fixe établiepar contrat.C’est une évidence, le titre-repas électroniquene manquera pas de faireencore parler de lui, d’aucuns, commeà l’Unizo, préconisent sa suppressionpure et simple et son remplacementpar un versement direct surle compte en banque des employéset ouvriers sans que ce montant nepuisse être taxé. En bref, bien des soucisen perspective pour celles et ceuxqui ne souhaitaient parler que de «simplification administrative ».Accent vous offre des solutions B-to-B créatives pour répondre àvos besoins de formation en langues et en communicationUn autre regard grâce à :Nos formateurs passionnés qui, grâce à leur talent d’animateuret à leur expertise, motivent leurs apprenantsLes résultats concrets que nous atteignons en un temps recordgrâce à une approche qui va à l’essentielLe caractère durable de notre apprentissage qui garantitune imprégnation des résultats à long terme• 1.300.000 personnes bénéficient de titres-repasen Belgique.• Le nombre global annuel des titres-repas émisest de 250 millions.• Les titres-repas version papier ont 30 ans.• Le marché représente la coquette somme de 1,5milliards d’euros.• Chaque année, 12 millions d’euros en chèquerepasne sont pas utilisés.• Ce ne sont pas moins de 20 tonnes de papierqui, chaque année, sont utilisées pour fabriquerles chèques-repas.Christophe Vanden BroeckUn autre regard sur vos formations en langues39n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreAvenue de Tervuren 36, 1040 BRUXELLES02/609.50.90 ● www.accentlang.com


dossierrhNouvelle tendanceL’outsourcing et les RHne font pas encore bon ménageÀ chacun son métier, l’adage est connu. Alors, pourquoi les RH font-elles exception à larègle ? Explication, avec Randstad, d’un phénomène qui a du mal à s’imposer : toutes lesraisons de le faire, les a priori, les points d’attention.40n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendrePour suivre les soubresauts del’économie, certaines entreprisesont besoin d’un accèsrapide à des compétences parfoispointues, voire de renforcer massivementet sans attendre leurs effectifspour rebondir sur les opportunitésdu marché. L’outsourcing durecrutement est une solution à cetteproblématique, dont les avantagessont aussi bien la flexibilité, l’expertiseque l’engagement axé sur lesrésultats.Plus de 200 engagementsen 12 moisEn 2006, Siemens devait engagermassivement sur une très courtepériode. « Il leur fallait une équipesur place pour trouver des profilsd’ingénieur. Notre réputation, notrecapacité d’innovation et notre bonscoring sur les prix ont été des critèresde choix », témoigne WalterReynaert, Directeur Recrutement &Sélection et HR Outsourcing chezRandstad : « Siemens se trouvait àl’époque dans une situation délicate: ses activités opérationnelles pénaliséespar le manque de capacité, illui fallait pourvoir très vite de nombreuxpostes. C’est trop souvent unproblème de ce type qui conduit uneentreprise à sous-traiter. »Il y a certes des tâches que l’on netient pas à prendre en charge, commela gestion des salaires, l’entretiendes bâtiments… Par contre, sous-traiterle recrutement du personnel n’esttoujours pas entré dans les mœurs. «C’est un marché jeune chez nous etle concept est peu connu. Outre-Atlantique,on ne se pose pas les mêmesquestions », intervient Luc VanDessel, Senior Project Manager chezRandstad HR Outsourcing.Les avantages de la soustraitance« L’outsourcing ne se limite pas àdétacher un collaborateur auprès duDRH ; nous gérons l’ensemble du projet: de l’approbation du budget relatifà une mission jusqu’à l’introductiondu dossier dans le système depayroll », intervient Luc Van Dessel.« Nos Service Level Agreements sontremis en question à chaque steeringcommittee avec le client », renchéritWalter Reynaert. C’est économiqueà terme, car l’entreprise peut garderune équipe constamment dimensionnéeà ses besoins. L. Van Dessel :« Dans les toutes grandes entreprises,il n’est pas rare de passer de 20à 200 postes en très peu de temps ».Recourir à des organisations RH dela taille de Randstad, réputée dans lasélection et le recrutement, permetde profiter d’économies d’échelle,de ses moyens techniques et de sesexperts dans chaque matière. « C’estd’autant plus apprécié qu’en périodede pénurie de talents, aller dénicherles bons coûte de plus en plus. Imaginonsune PME qui cherche 5 profilspointus sur le marché. Travailler avec5 agences de recrutement spécialiséescoûtera plus cher et demanderadu temps et de l’expérience », préciseLuc Van Dessel.Équipe à deux casquettes« C’est un travail de longue haleine: il s’agit d’étudier les processuset les besoins du client. Dans lemême temps, nous devons gagnersa confiance ; alors, nous procédonspar quick wins », affirme WalterReynaert. Souvent, le service Achatsdemande l’étude et compare les offressur un tableur. « Notre offre surmesure comprend des in et des outscopes qui rendent la comparaisondifficile », illustre Luc Van Dessel.Des conseils ? « Oui, notre équipe adeux casquettes : elle doit s’intégrerchez le client et nous devons aussil’informer des nouveautés, le garderconnecté aux experts en interne.Créer une structure ad hoc est utilepour bien fonctionner », conclutWalter Reynaert.Sylvie CousinLuc Van Dessel, Senior Project Managerchez Randstad HR Outsourcing.


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Pas de prise de tête !« Mon partenaire RH ?Expertise, fiabilité et solutions personnalisées »Jean-Pierre Jaucot, directeur des Quick de Nivelles et WaterlooDeux Quick à gérer cela représente une septantaine de travailleurs, des horaires variables,de nombreux étudiants, différents statuts, le travail du dimanche… En matière de gestion etd’administration du personnel, il y a de quoi faire. Jean-Pierre Jaucot travaille avec le logicield’administration des salaires Link du secrétariat social HDP.« Nous avons installé un système d’enregistrement du temps qui est lié à la pointeuse et au logicielde traitement des salaires Link. Grâce à cela, je gagne au moins un jour par mois. Ce qui me laisseplus de temps pour embaucher, former, évaluer, motiver et diriger ! »Vous aussi, vous êtes à la recherche de simplicité et d’efficacité pour votre administration dupersonnel ? Surfez sur www.hdp-arista.be&personnel


dossierrhComparaison internationaleLicencier ne peut être facileEn matière de droit du licenciement, la Belgique fait figure d’enfant terrible. Focus sur les écartsdu comportement belge, contrastant sur un fond de convergence européenne.44n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreÀl’exception de notre pays,l’Europe témoigne d’unerelative convergence en matièrede protection du travail. C’est cequi ressort de la comparaison internationalepubliée en mars dernier parle cabinet d’avocats d’affaires Laga.« Cette quasi-unanimité est surprenante,nous soupçonnions plus de différences,vu que les matières socialesrelèvent des compétences des États »s’exprime Lieven Monserez, avocat endroit social chez Laga. La raison ? LesÉtats ont adhéré aux normes européenneset les ont implémentées dansleur législation.Le licenciement est présuméabusif, sauf chez nousLa rupture de contrat doit rester unesolution extrême. L’employeur doit,avant de licencier, suivre une stricteprocédure légale. C’est ainsi qu’enFrance, il est tenu d’avertir son collaborateurpar recommandé en notifiantla raison de sa décision. Ensuite, le collaborateurpeut exprimer sa position àce sujet. Aux Pays-Bas, le licenciementdoit faire l’objet d’un permis par uneautorité compétente. En outre, dansla plupart des pays, le licenciementest présumé abusif, à charge de l’employeurde prouver le contraire. S’il n’yréussit pas, l’employeur versera, parexemple, des dommages et intérêts.me les salariés européens, les ouvriersbelges bénéficient de faibles indemnités,soit 56 jours de préavis légal portésà 4 mois maximum (via la CCT 75). Cependant,ils sont protégés contre les licenciementsabusifs : l’employeur doitprouver que le licenciement est lié àl’aptitude de l’ouvrier, à sa conduiteou aux nécessités économiques.Quant à l’employé, s’il ne bénéficiepas de cette mesure, il est protégé parla durée normale de préavis (la plusélevée d’Europe) prohibitive en soi :3 mois minimum pour un CDI + 3 moissupplémentaires par tranche de 5 ansd’ancienneté + des mois complémentairesen application de la grille Claes(pour un revenu supérieur à 30.327 €bruts/an).Rapprochement ?Depuis le 01/12/2009, le Traité de Lisbonnea rendu la Charte des droits fondamentauxde l’UE (Art. 30) contraignantepour tous les États membresLa rupture de contrat doit resterune solution extrême.: un Belge mérite aussi d’être protégécontre un licenciement abusif. LaBelgique devrait dès lors rejoindreles rangs européens : le travailleurdevrait pouvoir être entendu avant larupture et le licenciement devrait êtreprésumé abusif. Le rapprochementdes statuts ouvrier-employé est-il àl’agenda ? « Oui, depuis longtemps.L’étude de Laga pointe l’exception denotre pays, mais le sujet est au cœurdu droit du travail, ce qui expliqueles longs débats entre partenairessociaux », répond Lieven Monserez ducabinet d’avocats d’affaires Laga. Despoints d’attention ? « Nous devrionslégiférer sur une protection avantlicenciement, sans longues formalités.Nos juridictions contrôlent déjà,mais en laissant l’employeur manœuvrer.Cela devrait aller dans ce sens »,conseille l’avocat.Sylvie Cousin© PhotoAlto/Reporters4 mois maximum pour unouvrier, 3 mois minimum pourun employéLa Belgique n’ayant pas adhéré auxnormes européennes, un licenciementpeut être immédiat et unilatéral : il nerequiert aucune procédure préalableet ne doit pas être motivé. Seule règleà suivre : l’indemnité compensatoiresera versée directement en cas depréavis non presté.Notre droit du travail reste aussi leseul à pratiquer des écarts importantsentre employés et ouvriers. Tout com-


130x180_IE_<strong>BECI</strong>_mai10.indd 1 21/05/10 12:15:53Job CenterBruxelles LouiseGalerie de La Porte Louise 2151050 Bruxelles02/513.87.55louise@daoust.bewww.daoust.beinfo@daoust.beContact Center: 070/22.11.40Job CenterBruxelles CentreBoulevard A. Max 1101000 Bruxelles02/218.18.00centre@daoust.beIl y a toujours un Daoust Job Center près de chez vous !N° d’agrément : Bruxelles : B-AA05.034 - Flandre : VG.163.BUOP - Wallonie : W.INT/SO/RS/RE.22Alost, Anvers, Blankenberge, Bruxelles, Charleroi, Courtrai, Eupen, Gand, Gembloux, Hasselt,Huy, Knokke, La Louvière, Liège, Malines, Mons, Namur, Nieuport, Nivelles,Ostende, Sint-Niklaas, Verviers, Wavre


dossierrhTemps de travailNe poussezpas le bouchontrop loinLe temps de prestationsdu personnel de directionest peu contrôlé par l’inspectionsociale. Cela ne signifie pasque l’employeur peut tout sepermettre.46n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreOffrir la flexibilité oui, mais sans exiger une dévotion illimitée et un quota d’heures hors cadrelégal… Lever de rideau sur les zones d’ombre et les réponses de notre législation du travaildu personnel de direction, avec le cabinet d’avocats Lydian.Lydian, grand cabinet d’avocats d’affaires belge, estrégulièrement consulté à l’occasion de conflits, delicenciements, de négociations de contrats du personnelde direction. « Le temps de prestations de cettecatégorie d’employés est peu contrôlé par l’inspectionsociale. Cela ne signifie pas que l’employeur peut tout sepermettre. La matière du temps de travail est complexe etfait appel à plusieurs législations fédérales ou issues descommissions paritaires. Ces dispositions, couplées auxpratiques dans l’entreprise, sont sources d’inspiration lorsde revendications », nous confie Thijs De Wagter, avocat auDépartement Employment, Pension & Benefits de Lydian.Des canevas archaïquesUn Arrêté Royal de 1965 définit les fonctions dirigeanteset les postes de confiance, non soumis aux législations surle temps de travail. Cette liste limitative et obsolète, frappéede jurisprudence, est parfois interprétée au sens strict,hors de la réalité économique ; parfois, une interprétationévolutive est admise. Ceci engendre l’incertitude. Unenouvelle législation serait donc la bienvenue.Des risques bien réelsUne fonction ne figure pas sur la liste de l’Arrêté ? L’employeurdevra payer des heures supplémentaires, aveceffet rétroactif remontant jusqu’au moment où le travailleura été qualifié, à tort, de personnel de direction. Deplus, l’employeur qui laisse ses employés prester au-delàde leur horaire de travail, sans justification légale, risquedes amendes administratives, voire un procès. « Souvenezvous,il y a 10 ans, du procès d’un CEO qui a été condamnépour cette raison », illustre Thijs De Wagter.Cas vécusSi, d’après la loi, le « véritable » personnel de direction nepeut réclamer de repos compensatoire ou de sursalaire,cela ne signifie pas qu’en aucun cas, il ne peut obtenir derémunération pour les heures supplémentaires.Preuve en est, trois cas de figure débouchant sur unecondamnation à payer une rémunération additionnelle.1: Le contrat ou le règlement de travail précise le nombred’heures à prester. Logique alors que le tempspresté au-delà du forfait mensuel engendre unecompensation.2: À maintes reprises dans le passé, l’employeur a payédes heures supplémentaires à son personnel de direction.Pas facile de justifier, dans le même cas defigure, qu’elles ne soient plus payées à l’avenir.3: Un bas salaire ne peut raisonnablement couvrirtoutes les heures, le temps presté au-delà du forfaitmensuel engendrerait donc une compensation. Leprincipe d’équité est appliqué.© PhotoAlto/Reporters


dossier rhComment éviter les rémunérations additionnelles1. Soyez prudent. Attribuer les postes de direction et de confianceavec soin. Car un employé peut remettre son contrat en question: « J’ai telle qualité sur papier, mais pas en pratique. »2. Ne précisez pas dans le contrat du personnel de direction ou lerèglement de travail le nombre d’heures à prester. C’est l’erreurla plus fréquente. Notez plutôt que leur salaire est censé couvrirles heures supplémentaires.3. Le personnel de direction ne doit pas badger. Pour réclamer unsursalaire, il devra prouver les heures prestées. Pas simple si ellesne sont pas enregistrées.4. Évitez les antécédents. Ne faites pas naître un usage selon lequelun sursalaire a été payé dans le passé ou à un autre responsable.Sylvie CousinThijs De Wagter du cabinet d’avocats Lydian :« La matière du temps de travail fait appelà plusieurs législations fédérales. »47Flexibilité des RH. Une organisation fl exiblepour des résultats durables.n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreLe monde a évolué. Une grande flexibilité est indispensable au jourd’aujourd’hui. Une flexibilité de votre politique, de vos processus, devotre personnel et donc également au niveau de votre approche RH.C’est ainsi que votre organisation pourra affronter la mondialisation,la situation économique actuelle, une concurrence croissante et lapression du marché. SD Worx vous offre de l’inspiration et dessolutions RH en vue d’accroître la flexibilité de votre organisation ainsique de renforcer l’engagement de vos collaborateurs. Des solutionsqui exploitent pleinement les dispositifs légaux. À la recherched’inspiration ? Surfez sur www.realisezvosambitions.be pour trouverdes idées efficaces.Réalisez vos ambitionsEt vous, dans quelle mesure êtes-vous flexible ? Visitezle site www.realisezvosambitions.be et faites le test.28939_Entrepr-Dynamiek_180x130.indd 1 19/05/10 15:58


Une initiative de:INTERVIEWS D’EMBAUCHE IMMÉDIATES !Participez au plus important rendez-vous entre employeurs et candidats !Programme des Brussels JoB days <strong>2010</strong>Samedi02 • 10Vendredi19 • 11Vendredi17 • 12Brussels Job Day « Europe »au Berlaymont, rond point Schuman, organisé par la Commission EuropéenneBrussels Job Day« Vente, finance et administration »en partenariat avec GDF Suez, Place du Trône 1, 1000 BruxellesBrussels Job Day« IT, ingénieurs, techniciens & emplois verts »en partenariat avec AGORIAContactez-nous pour plus d’information au 02 346 38 00 ou info@jobdays.euRendez-vous aussi sur www.jobdays.euBilan des 30 éditions des Brussels JoB days ( Oct 2005 - Mai <strong>2010</strong> )Du côté des candidats65 000 candidats ont pris part aux Job Days :• 1 candidat sur 4 est entré dans un processusde sélection suite à l’un des Job Days.• Près de 5000 candidats ont trouvé un emploigrâce aux Job Days !Du côté des employeurs750 entreprises ont participé aux Job Days :• 95 % des entreprises ont re-contacté un ou plusieurscandidats rencontrés lors de l’un des Job Days.90 % des entreprises• estiment que les Job Dayssont une excellente initiative !• 35 % ont entre 18 et 25 ans• 40 % ont entre 26 et 35 ansProfils des candidats• 65 % ont un diplôme universitaire• 68 % sont francophones• 13 % sont néerlandophones• 19 % sont anglophonesAvec la collaboration de:Et le soutien de:


dossierrhLe véhicule d’entrepriseToujours numéro 1 au hit paradedes incentivesPour des raisons historiques et fiscales, la Belgique, comparativement aux autres pays de l’UnionEuropéenne - à l’exception du Royaume-Uni - est caractérisée par une culture de la voiture desociété. Ainsi, sur les quelques 500.0000 nouvelles voitures mise en circulation chaque année, unvéhicule sur deux est acquis par une personne morale. La voiture représente incontestablementun des avantages octroyés à l’employé : sans cette possibilité, celui-ci serait contraint d’utiliserson propre véhicule afin d’effectuer ses déplacements professionnels.50n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreEntre la société désirant acquérirun parc automobile pour sonpersonnel et le constructeurapparaît un intermédiaire : le loueurprofessionnel qui propose une gammede services déterminés contractuellement.Cette politique de gestion duparc automobile (automobile fleet) estorientée vers l’efficacité ; la stratégiedes loueurs se calquant sur la fiscalitéoffre des formules sur mesure.Ces véhicules de société peuvent êtrefinancés de différentes façons: fondspropres, leasing financier, leasingopérationnel. Le leasing opérationnela toujours la côte : il s’agit d’une formulesimple qui est apparentée à unelocation avec le paiement d’une mensualitéfixe couvrant l’ensemble desfrais. Dans le cas d’un leasing financier,l’utilisateur du véhicule a la possibilitéde racheter celui-ci au termedu contrat.Cette politique est-elledifférente en fonction dela taille de la société ?Les véhicules loués au sein des grandessociétés répondent souvent à desnormes hiérarchiques où un budgetou un modèle de voiture est mis à ladisposition de l’employé en fonctionde son statut. Par la suite, il faut gérerce parc : procéder aux entretiens, répareret remplacer en cas d’accident,fournir un véhicule transitoire auxnouveaux employés. Par contre, dansles petites sociétés, la donne est quelquepeu différente. D’une part, les implicationsfinancières sont à prendreen considération : les moyens investisdans les voitures d’entreprise neseront pas alloué à d’autres objectifsqui sont peut-être plus en relationavec le core business de l’entreprise.D’autre part, la gestion et le suivi duparc automobile nécessitent des ressourcesà mobiliser en interne ou àexternaliser, représentant in fine uncoût non négligeable.Quel est l’impact de lamodification de la législation ?Le système de déduction fiscale desvoitures a connu un profond changement: passant d’une imposition baséesur les chevaux fiscaux ou la puissancedu véhicule à une imposition progressivebasée sur les émissions de CO2. Lestaux de déductibilité fiscale ont encoreété revus au 1° janvier <strong>2010</strong>, s’étalantentre 60% et 120% pour les véhiculessans émission de CO2 (les véhicules àmotorisation électrique à 100%). Commela taxation vient greffer leur budget,les sociétés se tournent largementvers les voitures écologiques en adaptantleur « car policy ». Dans ce paysagefiscal, les constructeurs font face à denouveaux défis : proposer des voituressûres, confortables, consommantmoins en investissant dans les nouvellestechnologiques et les énergiesalternatives. Comme le souligne Jean-Marc Ponteville, PR manager chez VWimport : « La stratégie de VW consisteà développer des modèles à la fois plusrespectueux de l’environnement etplus abordable financièrement, plusécologique et plus économique. Ce sontles Eco-Eco Volkswagen apparues sousla dénomination BlueMotion ».© AP/ReportersLa Belgique est caractérisée par uneculture de la voiture de sociétéLe challenge de VW est loin d’être un casisolé car aujourd’hui, tous les constructeurssont confrontés à ce dilemme,dans l’intérêt du consommateur et dela préservation de notre planète.Murielle Lona


LA VIE OFFRE BIEN PLUS QUE DES COLLÈGUES JALOUX. ILY A LE VOISIN CURIEUX, LE BEAU-PÈRE IMPRESSIONNÉ,LA BELLE-MÈRE BOUCHE BÉE ET LE BOULANGER QUI SEDEMANDE DE COMBIEN VOUS AVEZ ÉTÉ AUGMENTÉ.C’EST POURQUOI LA VOLVO V70 EST LE CHOIX QUI S’IMPOSE.VOLVO V70.UN ESPACE ET UN PLAISIR DE CONDUIRE ROYAUX.Volvo. o for lifeVOLVO V70 DRIVe110 ch4,5 L/100 km119 g CO 2/km75 % fi scalement déductibles551 €/moisVOLVO V70 AVEC NOUVEAU 2.0 D163 ch5,5 L/100 km144 g CO 2/km75 % fi scalement déductibles700 €/mois4,5 - 10,2 L/100 KM • 119 - 237 g CO 2/KMVolvo Business Partner, hors TVA. Leasing opérationnel (VBP Standard) pour 48 mois, 120 000 km, avec domiciliation. Il s’agit d’une offre de Volvo Business Partnerréservée aux professionnels. Offre sous réserve d’acceptation du dossier de crédit par Volvo Business Partner et des changements de prix, de tarif, de taxe, de TVA...Donnons priorité à la sécurité. Informations environnementales AR 19/03/2004 : www.volvocars.be. Photo à titre illustratif.WWW.VOLVOCARS.BE


dossierrhBien-être au travail« L’absentéisme ne représente souvent quela pointe de l’iceberg »Un nombre croissant d’entreprises a recours au modèle d’engagement développé par Securex en 2007 etmis en application depuis 2008. « L’utilisation de ce modèle nous permet d’approfondir les causes restrictivesde l’engagement des collaborateurs », nous confie Jan Vandemoortele, business unit director health &safety. « Grâce à ce modèle, nous aidons les entreprises à développer une vision en matière d’engagementet nous mettons au point avec elles les mesures appropriées pour remédier aux problèmes. »52n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreEn sa qualité d’acteur majeur dansle domaine de l’administrationsociale et des services RH, Securexva au-delà des obligations légales. « Nousnous efforçons d’apporter une plus-value», poursuit Jan Vandemoortele. « Lemodèle d’engagement, que nous avonspartiellement développé nous-mêmes,mais pour lequel nous avons puisé notreinspiration aux Pays-Bas, en est un belexemple. »Cinq piliersLe modèle d’engagement analyse les élémentsqui influencent l’engagement descollaborateurs dans les domaines de lasanté et du bien-être. Jan Vandemoortele:« Nous avons réparti ces éléments en 5piliers, à savoir : maladie, santé, sécurité,conditions de travail et aspects psychosociaux.»La subdivision délibérée entre maladieet santé illustre parfaitement toutenotre approche qui entend dépasser lasimple analyse superficielle. « Il est bienévident que les travailleurs ne sont pasdisponibles lorsqu’ils sont malades, maisl’engagement dépend aussi de l’état desanté des personnes », explique Jan Vandemoortele.« Pour bon nombre d’entreprises,cela ne saute pas directement auxyeux qu’elles pourraient éviter beaucoupde problèmes en adoptant une approcheproactive destinée à améliorer la santé etle bien-être de leurs collaborateurs. Uneapproche proactive s’avère demême nécessaire en matièreJan Vandemoortele,director health & safetySecurex“Dans une entreprise de services,il est clairement questiond’absentéisme en progression suite à desaspects d’ordre psychosociaux.”de sécurité (afin de limiter au maximumle risque d’accidents de travail) ainsique de conditions de travail. Un grandnombre d’entreprises n’a, par exemple,toujours pas conscience de l’importancede conditions de travail ergonomiques.Et je ne parle pas seulement de la bonneposition d’un siège ou un bureau pouréviter tout problème de dos, mais aussi deproblème de bruit et de température. Lesaspects psychosociaux tels que le stresset le harcèlement moral, connaissenteux aussi une augmentation continue,notamment dans le secteur des services,soit des causes majeures qui restreignentl’engagement des travailleurs. »Tout commence par une visionLes entreprises, qui recourent à l’aide deSecurex lorsqu’elles constatent qu’ellesne parviennent pas à utiliser de façonmaximale l’engagement de leurs collaborateurs,suivent alors tout un processusafin de déterminer à quel niveau sesituent précisément les causes.« Ces dernières sont souvent bien plusprofondes qu’on ne pourrait le penser àpremière vue », nous confie Jan Vandemoortele.« Lorsque des entreprises ontdes questions relatives à l’engagement,nous réalisons une analyse approfondieafin de cerner le cœur du problème. Pourpouvoir ensuite y remédier, il nous fautégalement connaître la vision de l’entrepriseen question. Et, dans l’écrasante majoritédes cas, force nous est de constaterque celle-ci semble faire défaut. Il sembleraitbien qu’on ne voie souventpas plus loin que le bout de sonnez. Pour certaines entreprises,il n’est question d’un problèmed’engagement que lorsquel’absentéisme des collaborateursatteint un tiers du tempsde travail normal ; d’autressont confrontées à un fort tauxd’absentéisme le lundi. Si elles veulentrésoudre les problèmes, il est important,en première instance, que les entreprisespossèdent une vision propre de l’engagement.À partir de quel moment considèrent-ellesl’absence comme un problème ?Quelle approche spécifique adopteraientellespour y remédier ? Quels sont leursobjectifs ? Nous les aidons à développerune vision, à procéder au relevé de mesureset à rechercher les causes inhérentesaux problèmes, et ensuite à prendre lesbonnes mesures. Pour ce faire, notre approcherepose toujours sur 3 aspects, enl’occurrence : le médical, le technique etle comportement des collaborateurs. Uncollaborateur peut, par exemple, être enparfaite santé et manipuler une machinetout à fait en ordre d’un point de vue technique; et pourtant, certains problèmespeuvent survenir ainsi que des accidents,parce qu’il ne respecte pas les normes desécurité. »En résumé, les raisons du non-engagementde collaborateurs sont souvent bienplus profondes qu’on ne pourrait le penserà première vue. « Et c’est précisémentla raison pour laquelle des mesures appropriéess’avèrent nécessaires. Partant,lorsque des travailleurs sont trop souventabsents pour cause de maladie, descontrôles médicaux systématiques peuventdevenir un instrument permettantde résoudre le problème, mais ce n’estpas non plus nécessairement la panacée.Bien souvent, les entreprises obtiendrontplus de résultats en planifiant des discussionsrelatives à l’absentéisme ou enprévoyant des formations en la matière.Nous nous efforçons, au moyen de notremodèle d’engagement, de leur faire prendreconscience de l’importance d’élargirla perspective avec laquelle nous analysonsles problèmes qui découlent d’unengagement non optimalisé. »Geert Degrande


JWT GroupHEALTH & SAFETYLa bonne santé d’une entreprise,c’est avant tout des employés en pleine santé !En tant que responsable RH, vous êtes parfois démunis face à des employés trop souventabsents ou qui, pour de multiples raisons, ne travaillent pas de façon optimale. Grâce à sonapproche globale, Securex peut améliorer ou restaurer le bien-être de vos collaborateurset augmenter ainsi leur degré d’implication et de satisfaction. Résultat : une entreprise enpleine croissance grâce à des employés motivés !Plus d’infos sur www.securex.beHR SERVICES HEALTH & SAFETY HR INSURANCE HR CONSULTING SOCIAL ADMIN HR RESEARCH


Job alertpowered byComptable débutant (A1) (h/f) ref:6141Evere / FEDERAUTO VZWInternational Consultant/Project Manager (h/f) ref:6024Isnes / OCE SOFTWARE LABORATORIES NAMURCHEF DE PROJET / TECHNICO-COMMERCIAL (h/f) ref:6123Etterbeek / DB MUTE sprlComptable ou aide-comptable (h/f) ref:5743Woluwe-Saint-Lambert / C & GTechniciens (Radars, Navigation, Autom. Syst.) (h/f) ref:6032Steenokkerzeel / BelgocontrolASSISTANT(E) ADMINISTRATIF (FR/ANGL.) (h/f) ref:6019Ixelles / Demey Cado OrientVendeur(se) région de Mons Saint-Guislain (h/f) ref:6143Mons / VeniziSenior MS System Engineer (h/f) ref:6136Anderlecht / Amster saVendeur/euse (h/f) ref:6121Bruxelles-Villes / ets. De witteUn(e) employé(e) administrative polyvalente (h/f) ref:5629Wavre / BoogaertsUn(e) commercial(e) (h/f) ref:6104Ans / Une société d’architectureUn(e) employé(e) administrative polyvalente (h/f) ref:5629Etterbeek / BoogaertsUn(e) Technico-Commercial(e) offset (h/f) ref:5516Berchem-Sainte-Agathe / manufast-abpFreelance Secretary (h/f) ref:5598Bruxelles-Villes S.LECLèRE / MDW & CONSULTANTS ArchitectureRECHERCHE :Un(e) HR Officer Bilingue fr/nl (4/5ème) (h/f) ref:6177CONSEILLER BIZLINE (h/f) ref:5168Un deviseur expérimenté (h/f) ref:6176Bruxelles-Villes / ABE-BAOArchitecte / architecte d’interieur diplomé (h/f) ref:5993Uccle / idéhouse sprlIngénieur Electricien (h/f) ref:6092Tubize / FIB BELGIUM s.a.System engineer (h/f) ref:5990Zaventem / Brain²1Meetings & Events Business Unit Director (h/f) ref:6091Woluwe-Saint-Pierre / MCI BeneluxSupport Informatique aux Utilisateurs (h/f) ref:6085Donstiennes / Quality AssistanceAnalyste Programmeur (h/f) ref:6084Donstiennes / Quality AssistanceDélégué(e) commercial(e) (h/f) ref:5973Le Roeulx / OSIIngénieur Projet concepteur en mécanique (h/f) ref:5322Anderlues / EngiconceptComptable (h/f) ref:5476Auderghem / IL&C san° 3 - mars <strong>2010</strong> - EntrE prE ndrEAide-ménagère pour particulier (h/f) ref:6088Nandrin / SPRL BECLEAN SERVICESCollaborateur administratif bilingue (h/f) ref:6077Forest / iDklicTECHNICO-COMMERCIAUX (h/f) ref:5462Deinze / Nestor Company S.A.MECANICIEN QUALIFIE (h/f) ref:5963Wavre / Gourdin SAVendeur comptoir outillage (h/f) ref:6070Alleur / SA FERNAND GEORGESConseiller commercial (h/f) ref:5435Wavre / Gourdin SADESSINATEUR AUTOCAD (Dessin technique) (h/f) ref:6075Etterbeek / BoogaertsVendeur automobile (h/f) ref:6071Jette / ABA sprlemployé administratif (h/f) ref:5961Forest / SOMET sprlEmployé(e) d’Agence (h/f) ref:5439Auderghem / IL&C saTECHNICIEN (h/f) ref:6073Wavre / BoogaertsDéveloppeurPour lire3Dcestempsoffresréeld’emploi,C++ (h/f) ref:4420surfez surSchaerbeek / de pinxi S.A.www.alterjob.comTECHNICIEN DE MAINTENANCE / APRES-VENTE (h/f) ref:5929Waterloo / DIGITEC SOLUTIONAccount Manager on-trade (région liégeoise) (h/f) ref:5921Liège / CINOCO S.A.


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assemblée généraleAssemblée générale<strong>BECI</strong> - Chambre de Commerce de Bruxelles asblNos membres sont invités à assister à l’Assemblée Générale de <strong>BECI</strong> - Chambre de Commerce de Bruxelles quise tiendra au 500 Avenue Louise (salles de réunion) leOrdre du jour6 octobre <strong>2010</strong> à 16 heures56• Approbation du Procès-verbal de l’Assemblée Générale ordinaire du 15 octobre 2009• Rapport du Conseil d’Administration• Rapport du Commissaire réviseur• Approbation des comptes pour l’exercice 2009-<strong>2010</strong>• Approbation du projet de budget et fixation du montant de la cotisation pour l’exercice <strong>2010</strong>-2011• Décharge aux Administrateurs et Commissaire réviseur• Nomination du Conseil d’Administration• Allocution du Président• Attribution de la Médaille de <strong>BECI</strong>n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreEmmanuel van InnisPrésidentAssemblée générale<strong>BECI</strong> – Union des Entreprises de Bruxelles asblNos membres sont invités à assister à l’Assemblée Générale de <strong>BECI</strong> – Union des Entreprises de Bruxelles quise tiendra au 500 Avenue Louise (salles de réunion) leOrdre du jour6 octobre <strong>2010</strong> à 16 heures 30• Approbation du Procès-verbal de l’Assemblée Générale ordinaire du 15 octobre 2009• Rapport du Conseil d’Administration• Rapport du Commissaire réviseur• Approbation des comptes pour l’exercice 2009-<strong>2010</strong>• Approbation du projet de budget et fixation du montant de la cotisation pour l’exercice <strong>2010</strong>-2011• Décharge aux Administrateurs et Commissaire réviseur• Nominations statutaires• Allocution du PrésidentEmmanuel van InnisPrésident


Vous voulez offrir un avantage à un autre membre de Beci ? L’espace Member to Memberest maintenant à votre disposition dans la revue Entreprendre !MEMBER TO MEMBERPRIVILEGESPRIVILEGESContactez Catherine Mertens au 02 643 78 16Memberto MemberL A N G U A G E SL A N G U A G E SUN AUTRE REGARDUN AUTRE REGARDSUR VOS FORMATIONSSUR VOS FORMATIONSEN LANGUESbusinessEN LANGUESsuccess !GeniOne Brussel Business CenterThe must “in” & “top” for yourGeniOne Une langue vous en un offre, temps recordjusqu’au Une langue et 31 à long en août un terme? temps <strong>2010</strong>, recordOptez pour et une à long immersion terme? Premium!20 Optez heures pour une gratuites*immersion Premium!de •‘co-working’ Rapide: en seulement et 5 jours ‘open répartis• space’ Rapide: façon en fl de exible seulement prestige, 5 jours répartis• Individuelle: de façon fl exible vous bénéfi ciez deau cœur • l’attention Individuelle: de Bruxelles, exclusive vous bénéfi 17 du avenue formateur ciez de Marnix(Métro • Propice l’attention Porte à l’apprentissage: exclusive de Namur), du formateur pendantsoit 176,66 • l’été, Propice dans€ à TTC l’apprentissage: uneoffertsatmosphèreau service pendant détenduedevotre efficacité. l’été, dans une atmosphère détendue*OffreEn plusspécialede nos avantagesmembresde<strong>BECI</strong>,l’étéutilisable(lunchs En plus enet de plusieurse-support nos avantages fois,gratuits de aux+ l’été heures2 heuresd’ouverturesupplémentaires (lunchs et & e-support avant finde suivi gratuits août.après + 2 l’immersion), heuresAccent supplémentaires offre à tous de les suivi membres après l’immersion), de <strong>BECI</strong>une Accent réduction offre à tous supplémentaire les membres de de 100 <strong>BECI</strong> €GeniOneentre une réduction S.A.le 01/07 et supplémentaire le 31/08. de 100 €17entreavenuele 01/07Marnixet le 31/08.1000 BruxellesPour plus d’information,T +32contactez-nous Pour2 893plus98d’information,00au 02 609 50 90laurent.oversteyns@genione.beAvenue contactez-nous de Tervuren au 02 36, 609 1040 50 Bruxelles 90www.genione.bewww.accentlang.com Avenue de Tervuren 36, www.immersion.be1040 Bruxelleswww.accentlang.com www.immersion.beDepuis 1996, notre équipe assureCommuniquez,l’entretien, Depuis 1996, la remise notre négociez, équipe rédigeren service assure enetnéerlandaisl’évolution l’entretien, des la ou remise en anglaisparcs en informatiques service et(Windows, l’évolution Linux, des parcs Mac). informatiquesChez (Windows,« Jusqu’àvous, Linux,135sur simple Mac).€ offertssur nos sessions appel d’été et sanscontrat Chez vous, ! sur simple appel et sanset un suivi de 2 sessionscontrattéléphoniques!gratuitespour 5% les DE membres REMISE <strong>BECI</strong>’(offre 5% valable ENDE<strong>2010</strong>REMISE du 1er juilletau 31 aôut <strong>2010</strong>)SURENNOTRE<strong>2010</strong>TAUXHORAIRESUR NOTREUNIQUEMENTTAUXHORAIREPOUR LESUNIQUEMENTNOUVEAUXCLIENTSPOURMEMBRESLES NOUVEAUXDU <strong>BECI</strong>.CLIENTS MEMBRES DU <strong>BECI</strong>.F9, votre partenaire pour progresserou réactiver vos connaissances »Contactez nous au 02/627.52.52Contact:F9 Languages in Brussels asbl/vzwNicolas Contact: Degouysavenue Louisenicolas@berox.beNicolas 485 Degouys Louizalaan1050 Bruxelles/Brusselwww.berox.benicolas@berox.bewww.f9languages.eu 02 www.berox.be 644 12 5202 644 12 52Vous avez envie d’un momentPuilaetco de détente, Dewaay de organise, beauté le 27 mai Description du service :et de <strong>2010</strong>, Puilaetco réel une plaisir! 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La <strong>BECI</strong> Golf Academys’ouvrira avec un minimum de 6 inscriptions.Contact : Marielle Deskeuvre,SalesManager Golf Château de la TournetteChemin de Baudemont 211400 NivellesT +32 67 894 294marielle.deskeuvre@tournette.comwww.human-essence.comwww.human-essence.comwww.beci.be/mtom - mtom@beci.bewww.beci.be/mtom - mtom@beci.be


eventSPF Finances, année <strong>2010</strong>, une analysede l’intérieur...Sur l’initiative de deux membres de Beci, à savoir, ORBIUS AVOCATS et DATA TRANSLATIONS INTERNATIONAL, lesnombreuses personnes présentes le 2 mars à l’Hôtel Gosset à Grand-Bigard ont été non seulement conviées à unrepas gastronomique et une réception avec networking. Mais, au terme d’une introduction donnée par les deuxorganisateurs à propos de leurs activités respectives, elles ont aussi pu se plonger dans l’analyse pointue, donnée parCarlos Six, administrateur général du SPF Finances, du fonctionnement de son administration et des nombreux défisà relever par le service public.L’allocution de M. Six s’est clôturée par un spectacle étourdissant et sortant de l’ordinaire, au terme duquel lesconvives ont pu poursuivre leurs conversations autour d’un plantureux buffet de desserts.58n° 6 - juin <strong>2010</strong> - EntreprendreJorden Wouters, partenaire chez OrbiusAvocats : comment éviter d’onéreusesprocédures grâce à la médiationM. Carlos Six, administrateur général duSPF FinancesJo Hofmans, CEO Data TranslationsInternationalAprès son analyse appréciée, M. Six a reçu un cadeau fort à propos desmains des organisateurs de cette initiative (de g. à dr. : Carlos Six - JoHofmans - Jean Van den Bergh)Durant la présentation de leurs activités parles organisateurs de cette initiative, il n’y a pasque leur esprit que les convives ont pu nourrirUn final alternatifà un discours lui aussi alternatif


loc-notesFormationsManagement& Resources Humaines• Office <strong>2010</strong>: workshop exceptionnelOrateur: Alex HUARTLe 17 juin <strong>2010</strong> de 12h30 à 17h• Faire Faire Ou Comment réussir ladélégationFormateur: Michel SEIFERTLe 18 juin <strong>2010</strong> de 9h à 17h• Démystifions la franchiseOrateurs : Gilbert Lardinois, Benoît Simpelaere,Dominique ServaisLe mercredi 23 juin <strong>2010</strong> d e14h à 17h30• Nouveau Réseau Apprenant en RSE(Responsabilité Sociétale des Entreprises)À partir de septembre <strong>2010</strong>• Mieux écouter pour mieux managerFormateur : Alexia SubertLes mardis 5 et 12 octobre de 9h à 12h• Gérez vos relations syndicales au quotidienFormateur : Pierre GallouxLes mercredi 6 et 13 octobre <strong>2010</strong> de 9h à17h30• Conduire les entretiens avec ses collaborateursFormateur : Pierre GallouxLe mardi 19 octobre <strong>2010</strong>• Gérez les tensions syndicalesFormateur : Pierre GallouxLe mercredi 17 novembre <strong>2010</strong> de 9h à17h30• Gérez les profils difficilesFormateur : Pierre GallouxLe mardi 23 novembre <strong>2010</strong> de 9 à 17h30Organisation• Gagnez 12 ans d’expérience professionnelleen 1 an : Alter Ego – Assistante dedirectionCoach : Sophie FELTRINA partir du 8 septembre <strong>2010</strong> – de 9h à 13h• Plus de 90 trucs pratiques pour mieuxgérer votre tempsFormateur : Luc TOUBEAULe 8 juillet <strong>2010</strong> de 9 à 17hAutres dates possibles : 23 septembre <strong>2010</strong>– 16 novembre <strong>2010</strong>• Les clés d’une gestion de projet réussieFormateur : Luc ToubeauLe jeudi 14 octobre <strong>2010</strong> de 9h à 17h• Techniques de réunionFormateur : Luc ToubeauLe vendredi 19 novembre <strong>2010</strong> de 9h à12h30Vente et marketing• Boostez vos ventes par le networkingFormateur : Jasmine VlietinckLe jeudi 30 septembre de 9h à 17h• Augmentez votre efficacité au téléphoneFormateur : Bernadette ChardotLes vendredi 1 et 8 octobre <strong>2010</strong> de 9h à12h30• Techniques de venteFormateur : Fabian DelahautLes lundis 11 et 25 octobre de 9h à 17h• Mieux écouter pour mieux vendreFormateur : Alexia SubertLes mardis 23 et 30 novembre <strong>2010</strong> de 9hà 12h• Réussissez vos présentations en publicFormateur : Fabian DelahautLes jeudis 27 janvier et 3 février 2011Infos:Brigitte van der Mensbrugghe02 643 78 30 – bvdm@beci.beSéminairesLégislation sociale• La concurrence déloyale et le contratde travailOrateurs: Fabienne Raepsaet, GaëlleWillems & Jean-Yves Verslype (Claeys &Engels)Le mardi 15 juin <strong>2010</strong> de 14h à 17h• Sécurité sociale internationale: denouvelles règles du jeu en <strong>2010</strong> (pouravocats)Orateur: Bruno DE PAUWLe vendredi 18 juin <strong>2010</strong> de 13h30 à 16h30• Le règlement de travailOrateurs : Damien DELATOUR et OlivierRIJCKAERTLe mardi 28 septembre <strong>2010</strong> de 14h à 17h• Indemnités forfaitaires de frais etautres remboursements de fraisOrateurs : Didier BERCKMANS et FrédéricqJACQUETLe mardi 5 octobre <strong>2010</strong> de 14h à 17hInfos: Frédéric SimonT +32 2 643 78 17 – fs@beci.beLégislation commerciale• La nouvelle loi sur les pratiques dumarchéOrateur : Zoe PlatinckxLe 1er juin <strong>2010</strong> de 18h à 20h• Les recours de l’acheteur insatisfaitOrateur: François GLANSDORFF (JansonBaugniet)Le 8 juin <strong>2010</strong> de 17h00 à 18h30• Le creancier face à l’insolvabilité de sondébiteurOrateur : Cedric ALTERLe 15 juin <strong>2010</strong> de 18h à 20hLégislation fiscale• Actualités fiscalesOrateur : Renaud HENDRICE, Tax DirectorDeloitteLe 25 juin <strong>2010</strong> - de 13h30 à 16h30Mercredis juridiques:Nous répondons à vos questions juridiquestous les premiers mercredis dumois en dehors des heures de bureau àpartir de 17h30Infos: Eric BrabantT 02 643 78 18 eb@beci.beSéances d’infode Beci StartersParticipez gratuitement à nos séancesd’informations• de 10 à 11h30Mercredi 23/06/<strong>2010</strong>• de 14 à 15h30Mercredi 30/06/<strong>2010</strong>Infos : Annick Van De SandeT 02 210 01 71 - avds@beci.beActivités dudépartement international• Cycle de formations “Douanes” : 22 et 25juin <strong>2010</strong>Les Incoterms – le 15 juin <strong>2010</strong>Les valeurs douanières – le 22 juin <strong>2010</strong>L’opérateur économiques agrée – le 25 juin<strong>2010</strong>• Export Day :Comment améliorer la gestion de votrefond de roulement ?le 14 septembre <strong>2010</strong>• Les mesures de lutte contre les infractionsaux droits de propriété intellectuellele 14 juin <strong>2010</strong>• Seminar Business process outsourcing inthe PhilippinesMercredi 30 juin – 10h00 – 12h00• France - Comment gérer et sécuriser lesrelations commerciales avec vos clientsen France.Vendredi 17 septembre – 11h00 – 12h30• Présentation des activités de DLA Piperen AfriqueMercredi 29 septembre – 12h00 – 14h00Réunion du Brussels Infrastructure BusinessClub• Enterprise Europe Brussels participe auxplateformes européennes de partenariatscommerciaux et technologiques :Brokerage event dans le secteur du déchetet de l’environnement – Salon IFAT –Munich15 septembreBrokerage event dans le secteur alimentaire– Salon SIAL – Paris18-21 octobreInfos : FX. FinetInfos : J.-Ph. MergenT 02 210 01 77 - jpm@beci.beEvents16/06/<strong>2010</strong> <strong>BECI</strong> Speed BusinessLunch16/06/<strong>2010</strong> <strong>BECI</strong> after work24/06/<strong>2010</strong> <strong>BECI</strong> Garden PartyInfos :www.beci.be/eventsevents@beci.be59n° 6 - juin <strong>2010</strong> - Entreprendre


FREEphotoexhibition10.06/12.09FACINGBRUSSELSMomenten in een metropoolInstants capitauxphotos i foto’sERic dE mildt, tim diRvEn, nick hannEsjan locus, diEtER tElEmans, loic dElvaulxmaRinE dRicot, PhiliPPE hERBEt, jimmy kEtsWim knaPEn, alain schRoEdERtexts i teksten i textescathERinE vuylstEkEAn initiative ofphoto ©Jan Locus / design: Bllt, BrusselsMet steun vande Vlaamse overheidPaleizenplein I Place des Palais 7, 1000 Brussel I Bruxelles, t +32(0)70-22 04 92, www.belvue.beCommissionCommunautaireFrançaise.comPHOTOGRAPHERSGa er naar toe met de MIVBLa STIB vous y conduit


La prévention et la santéont des effets considérables.Des collaborateurs motivés, par exemple.Le service externe de Mensura. La solution pour plus de sécurité, de bien-être et de prévention en interne.La Loi sur le Bien-être au Travail vous oblige à investirdans la prévention et la santé. Bien sûr, vous pouvez considérercela comme une corvée. Mais vous pouvez aussi yvoir une réelle chance d’améliorer les résultats de votreentreprise. Tout le monde sait que des travailleurs en bonnesanté, dans un environnement de travail sûr et sain,seront automatiquement plus performants. Mensura vousaide à y parvenir avec des médecins et des experts durisque. Avec des solutions qui motivent vos collaborateurset qui ont ainsi un effet positif sur vos bilans. Voilà quidevrait vous motiver à jeter un œil sur notre site web, non?www.mensura.be.

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