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Guide PAI - Portail Territoire

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PARTIE I3. LA STRATÉGIE> LES DISPOSITIFSIl existe plusieurs dispositifs.Au niveau national• des “Espaces Culture Multimédia” (ministère de la Culture et de la Communication),• les “points cyb-espace jeune numérique” (ministère de la Jeunesse et des Sports),• le programme “cyberbases” (Caisse Des Dépôts),• P@t (Points d’accès à la téléformation) (ministère du Travail),Depuis quatre ans, ces dispositifs nationaux s’interpénètrent.Au niveau local• La majorité des régions et de nombreuses collectivités ont mis en place des espacespublics multimédia qui maillent le territoire.Cependant ces nombreux labels nuisent à la lisibilité des <strong>PAI</strong>.NOMECMPoint Cyb/EJNCyberbaseEPNNetpublicQuilabellise ?GestionMinistère de laCultureDirectionRégionale desAffairesCulturellesMinistère de laJeunesse et desSportsDirectionrégionale pourla Jeunesse etles SportsCaisse desdépôts etconsignationsDélégationRégionaleAquitaine FilialeCDC-TICMissioninterministériellepour l’internetet le multimédia(MAPI)MAPIDélégation auxusagesde l’internetDUIPlusd’infoswww.ecm.culture.gouv.frwww.jeunessesports.gouv.frwww.cdc-tic.frwww.accespublic.internet.gouv.frwww.delegation.internet.gouv.frUn EPN ne peut être viable sur un territoire que s’il émane d’un projet mûrement réfléchi,prenant en compte :• le lieu physique où il est implanté,• l’importance de la volonté et du suivi des élus,• l’action des agents municipaux,• mais aussi l’implication des habitants./ 4 /


Pour les handicapés physiques :• hauteur de table réglable pour laisser la place au fauteuil,• un joystick réglable qui remplace la souris dans le cas de difficultés de manipulation,• un logiciel de commande vocale.Pour les handicapés mentaux légers :• un logiciel de commande de l’ordinateur par symboles (il se substitue au clavier etpermet d’accéder de manière simplifiée aux applications que vous souhaitez).> LES CONTENUS PÉDAGOGIQUESLes contenus pédagogiques sont nombreux, variés, et peuvent très bien s’organiseren fonction des différents publics :• journées thématiques (artisans, seniors, juniors, associations…),• ateliers spécifiques (recherche sur Internet, e-administration, création de pagesweb, photo numérique et retouche, bureautique, technique de recherche d’emploi,montage vidéo ou sonore…),• groupes de niveaux sans négliger l’intérêt d’un binôme débutant - confirmé.> LA FORMATION DES ANIMATEURSLes animateurs doivent bénéficier d’une véritable formation pédagogique :• quel comportement adopter face aux différents publics qui fréquenteront les EPN ?• comment gérer un conflit ?• comment aborder une thématique et faire s’y intéresser les gens ?• etc.Leur passion pour les nouvelles technologies et l’informatique doit leur permettre dese spécialiser dans des domaines précis et d’acquérir le statut d’expert : photographienumérique, création de sites Internet, etc.Dans le cas de <strong>PAI</strong> avec un nombre de collaborateurs réduits, une grande polyvalenceleur sera nécessaire.Depuis que les premiers espaces publics d’accès à Internet ont fait leur apparition, onnote que le profil type de l’animateur multimédia n’existe pas. Il correspond auxbesoins spécifiques d’un lieu et d’un public. Ainsi un <strong>PAI</strong> à proximité d’un collège necherchera pas le même animateur qu’un <strong>PAI</strong> proche d’un campus universitaire./ 7 /


PARTIE 2Toutefois, vous pouvez évaluer un animateur potentiel sur les points suivants :Relationnel :• maîtrise des techniques de communication (gestion des conflits, accueil, mise enconfiance…),• capacité à animer un groupe,• sens de l’écoute,• pédagogie.Technique :• maîtrise du HTML,• connaissance des outils de gestion d’un réseau,• maîtrise des outils de création web, graphique, sonore et vidéo,• parfaite connaissance d’Internet,• capacité à analyser une panne logicielle ou matérielle.Gestion :• capacité d’organisation,• gestion d’un lieu d’accueil public,• gestion de projet,• connaissance des processus basiques de gestion.Aspect humain :• capacités créatives (photo, son…),• motivation,• passion des TIC (et envie de communiquer cette passion).L’autoformation, la veille continue et une très bonne connaissance des NTIC sontévidemment des qualités nécessaires, auxquelles doivent s’additionner un réel sensdes relations humaines et une dimension pédagogique importante.> LA COMMUNICATIONFaire connaître le <strong>PAI</strong> est un des enjeux qui attend les initiateurs du projet.Les moyens :• création d’une plaquette Web (format PDF par exemple),• création d’une plaquette papier,• e-mailing,• affichage dans les lieux publics des partenaires,• organisation d’évènements pendant la fête d’Internet,• etc./ 8 /


Les canaux :• les réseaux <strong>PAI</strong> ou assimilés,• les organes de presse du CIDJ (Centre d'Information et de DocumentationJeunesse), CRIJ (Centre Régional d’Information Jeunesse),• la presse locale,• les associations potentiellement impliquées dans ou touchées par les TIC,• mairies, Conseil Général, Maison des associations, MJC…,• votre réseau professionnel.> LA LOCALISATIONL’implantation du lieu revêt énormément d’importance.En milieu rural, le <strong>PAI</strong> s’implique dans une volonté de désenclavement et propose unevéritable notion de service public. Il sera naturellement localisé en “centre-ville”, àproximité de la possibilité d’une connexion Internet et proche du lieu de vie des gens.En milieu urbain, le <strong>PAI</strong> a tendance à être implanté dans des lieux fréquentés commeles MJC, les médiathèques ou les bibliothèques. Toutefois, ces lieux peuvent imposerdes horaires relativement contraignants, notamment le soir et le week-end.> LA LÉGISLATIONLa dénomination EPN est un label attribué aux associations, aux collectivitéslocales ou encore aux établissements publics qui mettent en place une structured’accueil pour former et informer le public sur les nouvelles technologies. Pour plusde détails, consultez la circulaire du 23 Août 2001 relative à la mise en place desespaces publics numériques sur http://accespublics.premier-ministre.gouv.frLes droits et les devoirs des espaces :• respect de la vie privée,• egalité d’accès entre les différents publics (personnes âgées, handicapés…),• notion de conseils sur la bonne utilisation de l’outil informatique (position ergonomique,distance face à l’écran, risques d’épilepsie…).Les droits et les devoirs des publics :• respect des usagers les uns envers les autres,• respect du matériel,• application du droit général relatif à la discrimination (injures, propos racistes,diffamation… sont punies pénalement),• ne pas exposer le <strong>PAI</strong> à des dépenses imprévues (sites Internet payants ousurtaxés…)./ 9 /


PARTIE 2Avez-vous pensé au règlement intérieur?La NétiquetteConcept créé par les pionniers d’’Internet, la Nétiquette édicte des règles de bonneconduite à destination des internautes. Elle est développée autour de 3 axes :• la communication de personne à personne,• la communication de personne à plusieurs,• les services d’information.Basée sur des valeurs “ morales “, de respect des autres utilisateurs et de courtoisie, ellen’a aucune valeur légale. Aujourd’hui, peu d’internautes la connaissent réellementmais d’un ensemble de règles, elle est passée à une véritable pratique.La Nétiquette est devenue une réalité pour une large majorité d’internautes.Pourquoi un règlement intérieur ?La Nétiquette n’ayant aucune valeur légale, mettre en place un règlement intérieurest nécessaire. Ce règlement va permettre au <strong>PAI</strong> de rappeler aux utilisateurs lesobligations légales mais va aussi le prémunir contre les éventuelles infractionscommises par le public.Quelle est la valeur légale d’un règlement intérieur ?Un règlement intérieur possède une valeur légale reconnue à condition qu’il soit votélors d’un conseil d’administration. Il doit ensuite être tenu à disposition de tous.Pour bien informer le public, vous pouvez :• l’afficher à différents endroits,• l’afficher systématiquement sur chaque poste informatique,• le faire signer par chaque nouvel utilisateur qui s’abonne au <strong>PAI</strong>.Quelles sont les infractions possibles ?• la consultation de sites interdits aux mineurs,• le téléchargement illicite (MP3, vidéos, logiciels…),• la récupération de photos ou de textes protégés par un copyright pour uneutilisation commerciale ou publique (exemple : création d’un site Internet),• la copie illicite de CD,• etc.Comment créer son règlement intérieur ?N’hésitez pas à vous inspirer de documents déjà existants, à demander conseil àd’autres <strong>PAI</strong>. Adaptez le ensuite à votre lieu d’accueil si celui-ci comporte des spécificités./ 10 /


2. LES CONTENUS, LES SERVICES, L’OFFRELes espaces multimédias doivent véhiculer auprès des usagers une notion de nouveautéperpétuelle des outils et susciter une curiosité quant à leur utilisation.> L’ACCÈS AUX POSTESUne organisation et un planning doivent être mis en place. Dans un premier temps,on peut imaginer que l’accès aux outils informatiques se fait après une prise derendez-vous. Cela permet de gérer plus facilement les temps d’utilisation d’unordinateur et surtout, de prévoir un accompagnement par un animateur.Une journée peut être divisée de la manière suivante :• le matin, accompagnement de groupes, qu’ils soient composés de scolaires, deseniors ou d’artisans,• l’après-midi, libre consultation et utilisation des machines.Organiser son parc informatique en fonction de différents usages, de différentespratiques aide également à mieux gérer l’accès aux postes. Il est intéressant de pouvoirdédier des postes à certains usages, notamment ceux équipés d’outils spécifiquescomme par exemple un appareil photo numérique pour l’atelier “retouched’image”…Autre possibilité : déterminer des plages horaires en fonction des utilisations, de lanécessité ou non d’un accompagnement, etc.> LES DIFFÉRENTS USAGES PUBLICS :• apprendre les langues,• rechercher un emploi,• s’initier à l’ordinateur et à Internet (animation multimédia pour les tous petits, lespersonnes âgées),• découvrir la culture scientifique et technologique,• utiliser les services administratifs en ligne,• apprendre l’informatique (adaptations techniques pour les personnes handicapées)…/ 11 /


PARTIE 2Soit une typologie d’applications :• sensibilisation et formation aux TIC,• accès aux droits et à l’emploi,• créations culturelles,• valorisation et amélioration des compétences,• renforcement ou accès aux connaissances,• développement de l’implication citoyenne,• délivrance de formations et de brevets : B2i (Brevet Informatique et Internet), C2i(Certificat Informatique et Internet) et PIM (Passeport Internet et Multimedia).Et une typologie d’usages en fonction des publics et de leurs attentes spécifiques :• les scolaires,• les jeunes,• les personnes âgées,• les publics exclus,• les débutants,• etc.Les usages périphériques (chat, jeu en réseau…) ont tendance à pervertir le projetinitial de l’espace public: formation aux usages du net, acquisition de contenus et deconnaissances.> LES AVANTAGES POUR LES ACTEURS PUBLICS• développement local : accès à des services (notamment emploi) et des contenus(amélioration du service public), nouvelles pratiques (notamment culturelles),• renforcement de l’implication citoyenne : démocratisation de l’accès à des servicespublics,• travail coopératif autour de centres d’intérêts partagés, partage de connaissanceset de compétences, mise en place de nouveaux projets,• redynamisation des équipements : mutualisation, nouveaux usages pédagogiques.> LA TARIFICATION : SERVICES PAYANTS OU COTISATIONS ?La tarification par cotisation présente l’avantage de fidéliser le public et de l’inciter àrevenir. Il permet donc de mettre en place une véritable politique de formation àl’informatique, à ses outils et à ses applications.Instaurer des services payants s’avère moins “rentable” pour l’utilisateur mais permetau <strong>PAI</strong> d’élargir son public. Les deux formules peuvent être proposées aux utilisateurs,en fonction de leurs besoins./ 12 /


3. LES ASPECTS TECHNIQUES> LE MATÉRIEL, LE RÉSEAU, LES LOGICIELSÀ l’exception des <strong>PAI</strong> situés en milieu rural, la taille critique se situe à 5 postesconnectés à Internet. La tendance actuelle est au camouflage de l’unité centrale, quilaisse toute la place aux interfaces homme machine : le clavier, la souris et l’écran.En milieu rural, on pourra additionner plusieurs <strong>PAI</strong> (plusieurs lieux) pour arriver à unmaillage critique.L’ADSL permet de connecter très facilement et dans de bonnes conditions techniquesplusieurs ordinateurs en même temps. Reste la question du mode de connexion desordinateurs en réseau. La traditionnelle connexion par câble est la plus économiqueet s’avère tout à fait satisfaisante.Dans l’hypothèse où certains utilisateurs peuvent venir avec un ordinateur portable,une connexion sans fil - WIFI - peut tout à fait se justifier. Elle permet en effet de lesraccorder au réseau de manière transparente et quasi-instantanée. Son surcoûtpar rapport à une connexion par câble réseau est alors compensé par lapossibilité d’augmenter rapidement et gratuitement le nombre d’utilisateurs, dans lamesure où ils amènent un PC portable compatible WIFI.> LA SÉCURITÉInformatiquePremier réflexe à avoir : confier cette mission à un spécialiste des réseaux qui sauravous conseiller efficacement et installer des solutions logicielles qui vous permettrontde confier vos ordinateurs sans crainte d’intrusion externe ou d’attaque de virus…Un firewall (ou pare feu en français)Une politique de sécurité passe tout d’abord par la mise en place d’un firewall.Ce dernier se place en amont de votre réseau, sur votre machine serveur - celle quidistribue l’accès à Internet et fait communiquer les machines entre elles, afin de “filtrer”le passage des données, dans les sens entrant et sortant.Le firewall identifie quelles données peuvent transiter ou au contraire doivent être“bloquées”. C’est une solution particulièrement efficace contre les intrusions desindividus qui veulent visualiser le contenu de vos disques durs. Son installation doitêtre effectuée par un professionnel./ 13 /


PARTIE 2Le firewall peut prendre la forme d’un logiciel (Zone Alarm Pro, Kerio Firewall…) oubien d’un boîtier externe. On l’appelle alors firewall matériel. Ce dernier est pluscoûteux mais plus efficace à condition de pouvoir disposer d’un véritable professionnelpour le configurer.Le firewall peut aussi être utilisé pour contrôler la typologie des sites Internet visités,limiter les téléchargements et l’usage de logiciels d’échanges de fichiers - Peer topeer. C’est une sécurité pour l’animateur qui n’a pas à surveiller en permanencel’usage et les différentes navigations sur Internet.Un antivirusLes virus sont la crainte des internautes. Ils s’infiltrent sur votre PC (PersonalComputer) en se cachant dans des fichiers ou bien en arrivant dans les boîtes mails.Il suffit alors que l’internaute l’active ou le télécharge sur la machine pour que rapidement,il infecte le PC voire la totalité d’un réseau.Pour lutter contre ce phénomène, il existe de nombreux antivirus (Norton Antivirus,Mc Afee antivirus…) sur le marché. Pour qu’ils soient réellement efficaces, ils doiventêtre installés sur chaque machine et surtout, bénéficier des dernières mises à jourdisponibles. En effet, comme de nouveaux virus naissent chaque jour, les sociétésspécialisées les analysent en permanence, trouvent les solutions pour les traiter etmettent ensuite à disposition de leurs clients ces dernières évolutions.Dans l’optique de votre réseau, privilégiez un logiciel qui permette de faire les misesà jour à partir de la machine serveur, cette solution est moins fastidieuse que demettre à jour chaque poste.> LES MISES À JOURSi votre parc informatique fonctionne sous Windows, il est sans cesse mis à jour, cequi comble ainsi les éventuelles failles de sécurité du système et vous protège doncbien des virus. Vous devez cependant télécharger les dernières évolutions sur vosmachines.> DES SAUVEGARDES DE DOCUMENTS PRISES EN CHARGE PAR LE <strong>PAI</strong>Bien souvent, dans le cadre d’un réseau informatique, les virus s’implantent toutsimplement par le biais d’une disquette ou d’une clé USB infectées - carte mémoirequi se branche sur un port USB d’ordinateur. N’autorisez donc pas les usagers à apporterleurs propres moyens de transfert de document.En revanche, pour garder une trace des recherches effectuées ou sauvegarder lesdocuments, privilégiez les imprimantes et le graveur de CD. Vous éliminerez ainsi lamajorité des risques de contamination par un virus extérieur./ 14 /


LES LOGICIELS DE NETTOYAGE DU DISQUEPour éviter la saturation des disques durs et des mémoires, il existe des logiciels quieffacent toute la production du jour. La configuration initiale est récupérée automatiquement.Certains d’entre eux s’activent automatiquement avec le bouton “arrêt”de l’ordinateur. Ainsi tous les matins, le matériel est prêt.> LES RISQUES DE VOLLe matériel doit être sécurisé, attaché aux tables ou à un mur.Même nécessité pour les accessoires.4. LES PARTENARIATSChaque projet voit le jour dans le cadre d’un partenariat de soutiens publics, associatifsou privés sur la base d’une aide financière, matérielle ou d’échanges de compétenceset de connaissances.Ces partenaires multiformes contribuent :• à accroître l’efficacité et la cohérence des interventions sur un territoire donné,• à mobiliser dans un même projet des acteurs de cultures et de statuts différentspour créer un enrichissement mutuel.Ces partenariats instaurent une forme de réseau, participent au développement deséquipements, révèlent leur complémentarité et s’avèrent être des leviers pour desusages transférables à d’autres secteurs privés ou publics.5. LES FINANCEMENTSL’EPN se situe dans le secteur non marchand, d’utilité sociale où la composanted’intégration aux nouvelles technologies doit être considérée comme un servicepublic à part entière, reposant sur un projet territorial. Ceci n’empêche pas de proposerun certain nombre d’activités payantes.La collectivité qui souhaite mettre en place un Point d’Accès à Internet devra toujoursassurer une partie du financement et quasiment tout le fonctionnement. Dans lecadre des directives gouvernementales mais aussi dans le cadre européen, différentsdispositifs ont été mis en place pour apporter aux collectivités le soutien financier/ 15 /


PARTIE 2et/ou logistique dont elles ont besoin.Les aides peuvent être obtenues dans le cadre :• d’un dispositif national public (exemple Cyberbases, cyberposte) ou privé,• d’un dispositif régional ou départemental,• de fondations,• de partenariats.L’accès à ces dispositifs et aux aides financières fait l’objet d’un dossier de financementcomplet et détaillé qui donne lieu à un engagement contractuel.> LES COÛTSDe fonctionnementIls sont extrêmement variables et dépendent de l’importance du <strong>PAI</strong> :• coûts de location de l’espace,• coûts d’achat ou de location des machines,• frais “ généraux “ comme la connexion à Internet, le chauffage, l’électricité etl’entretien…,• rémunérations des animateurs et du responsable de l’espace.MatérielÀ titre d’information, le coût moyen d’un poste informatique équipé en logiciels etrelié à Internet se situe entre 800 et 1 000 euros.LogicielsSi vous utilisez Windows XP :• création de site (Macromédia Dreamweaver par exemple),• retouche d’image (Adobe Photoshop par exemple),• montage vidéo (Adobe Première par exemple),• animation graphique (Macromédia Flash par exemple),• création sonore et musicale (Cubase par exemple),• bureautique (Microsoft Office XP par exemple).Le pack complet coûte environ 2 500 euros. Il n’est pas nécessaire d’équiper chaqueposte de l’intégralité de ces logiciels dans la mesure où vous créerez desespaces thématiques. Mais attention aux nombres de licences achetées ! Vous devez/ 16 /


être en règle.Si vous utilisez Linux et les logiciels libres• création de site (Coffee cup par exemple),• retouche d’image (The Gimp par exemple),• montage vidéo (Cinelerra par exemple),• animation graphique (Batik par exemple),• création sonore et musicale (Audacity par exemple),• bureautique (StarOffice par exemple).Linux et ses logiciels sont majoritairement gratuits. Toutefois, ils nécessitent desanimateurs formés à ce système d’exploitation, capables de former le public sur ceslogiciels moins connus que ceux de Windows. Dans la pratique, les débutants neverront que peu de différences entre les versions Linux et Windows mais les familiersdes PC auront plus de difficultés à s’y habituer. Pourquoi ne pas envisager un parcmixte Linux/ Microsoft, qui incitera à mettre en place des ateliers dédiés à Linux…Connexion InternetUn abonnement mensuel coûte entre 15 et 30 euros pour l’intégralité du réseauRessources humainesDepuis 2002, les emplois jeunes ne peuvent être renouvelés. Ils peuvent être remplacéspar les CIVIS (Contrat d’Insertion dans la Vie Sociale)http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F542.htmlLes animateurs seront payés en fonction de leurs qualifications, de leur temps et deleur charge de travail./ 17 /


PARTIE 3III LES ACTEURS, LES BONNES PRATIQUES1 - EN RHÔNE ALPES> INFOROUTES ARDÈCHELe projetDémarrée en 1995 par le ministre Jacques Dondoux, l’aventure Inforoutes estaujourd’hui pérenne et connaît un véritable succès.Le SIVU (Syndicat Intercommunal à Vocation Unique) est responsable de sa gestion etde sa réussite, notamment à travers une politique de partenariats forte.Le SIVU Inforoutes Ardèche s’est fixé pour but de participer au développement localet à l’aménagement du territoire à travers :• la sensibilisation du public,• l’initiation et la formation des professionnels,• l’équipement des écoles,• la création de lieux d’accès publics à Internet.Des partenariats nombreux et fructueuxL’arrivée du Conseil Général de l’Ardèche et de France Telecom comme partenairesen 1996 va permettre au projet des Inforoutes d’Ardèche d’accélérer ses actions, endonnant un beau coup de pouce à l’équipement de centres de communication.En 1997, la DATAR et l’union européenne via un financement FEDER (FondsEuropéens de Développement Régional) rejoignent les 2 premiers partenaires etpermettent de poursuivre l’expansion des points d’accès à Internet.La coopération entre des <strong>PAI</strong> géographiquement éloignés et la multiplication despartenaires permet de partager des expériences, des points de vue différents, cequi contribue à enrichir la logique de développement des <strong>PAI</strong>. Autre avantage, onmultiplie naturellement les canaux de communication.Un modèle qui fonctionne/ 18 /


PARTIE 3Le SIVU Inforoutes Ardèche prône la mutualisation des besoins à l’échelle d’un département.Les résultats affichés de cette stratégie sont parlants : les 269 communesd’Ardèche, de Drôme et de Loire disposent aujourd’hui d’un point d’accès à Internetpour un coût minimal.Une politique globale de service accompagne la mise à disposition de la connexionInternet et propose des formations au personnel des mairies, une assistancetechnique et même l’installation des logiciels nécessaires à la navigation et aux mails.Les accès publics à Internet sont au nombre de 23 et la logique de mutualisationpermet aux différents animateurs de se réunir régulièrement afin d’échanger idées,pratiques et conseils.De nouveaux points d’accès vont être peu à peu implantés dans les bibliothèques, cequi augmentera le nombre de lieux d’accès publics à Internet d’une centaine.http://www.inforoutes-ardeche.fr/> INTERNET POUR TOUS, VERS UN RÉSEAU LYONNAIS D'ACCÈS PUBLIC À INTERNETPrès de 140 points d'accès publics à Internet existent à Lyon, plus de 300 sur le GrandLyon. Ce réseau de lieux est caractérisé par sa diversité. Le volet "Internet pour tous"du Programme Lyonnais pour la Société de l'Information (PLSI) a pour vocation desoutenir les projets des lieux qui s'adressent prioritairement aux publics exclus de lasociété de l'information.Dans cette perspective, près de 50 projets ont déjà été soutenus et d'autres sonten programmation. Ces projets favorisent l'intégration des TIC dans le domaine del'insertion et de la recherche d'emploi, la culture, la pratique artistique, l'animationculturelle, l'écriture publique, la lutte contre le handicap et l'illettrisme numérique.Si vous avez un projet innovant à proposer, qui favorise l'appropriation des TIC par lepublic, vous pouvez nous contacter à la mission PLSI, 1 rue Edouard Herriot -69 001 Lyon.Téléchargez le guide des lieux d’accès à Internet surhttp://www.lyon.fr/static/vdl/contenu/actualites/guide_acces_Internet. pdf/ 19 /


PARTIE 3> PROJET MÉTRODOCContexteDepuis 1997, la Métro (Communauté d’agglomérations de Grenoble) a encouragé ledéveloppement d'une stratégie de déploiement d’un réseau documentaire surl’ensemble des bibliothèques, services de lecture publique et centres d’archives descommunes de l’agglomération grenobloise.Ce réseau baptisé “Métrodoc“ a des objectifs de trois natures :• inscrire les bibliothèques municipales dans une logique de réseau,• réaliser l’inscription en ligne des catalogues des bibliothèques et développer unelogique d’offre de site,• développer des services afin de simplifier l’accès des utilisateurs aux documents.À ce titre la Métro a mis en place un passeport documentaire d’agglomération(Pass’doc).L'accès à ce réseau est gratuit pour les 27 communes de la Métro (délibération du 31mars 2000) et pour 9 bibliothèques associatives (délibération du 30 novembre 2001).L’animation de ce projet a été assurée par un conservateur des bibliothèques mis àdisposition par l’université Pierre Mendès-France jusqu’en février 2004.Afin de poursuivre le déploiement du réseau Métrodoc, le recours à un animateurpour relancer et développer la dynamique du réseau a été envisagée pour une duréede 3 ans.État des lieux• le réseau Métrodoc est à ce jour composé de 55 bibliothèques municipales(sur les 27 communes de la Métro) et 9 bibliothèques associatives, soit 3 millions devolumes,• mise en place de groupes de travail et de prospective, regroupant des professionnelsdes communes,• un site Internet Métrodoc a été lancé en août 2003. Il permet au grand public debénéficier d’informations pratiques sur les bibliothèques du réseau (emplacement,carte d’accès, horaires, téléphones, prestations offertes, manifestations organisées…)ainsi qu’un moteur de recherche permettant d’interroger en ligne l’ensembledes catalogues des bibliothèques du réseau,• un passeport documentaire d’agglomération (Pass’doc) permet, pour une adhésionunique (8€ - gratuit pour les étudiants), à tous les utilisateurs d’une bibliothèqued’accéder facilement et gratuitement à l’ensemble des documents papier./ 20 /


Perspectives pour 2005/2006Dès l’automne 2004 et pour les 2 prochaines années, la commission développementde la Métro a retenu le programme suivant :• poursuite de la mise en ligne des catalogues des bibliothèques avec la création depasserelles entre les différents outils informatiques dont disposent les communesafin de simplifier l’assemblage desdites données,• évolution de la nature des catalogues en ligne avec la possibilité de savoir sil’ouvrage est disponible à un instant T et de réserver cet ouvrage. Cette optionimplique des évolutions majeures en termes d’informatique et d’équipement desbibliothèques des communes,• l’ouverture du réseau à de nouvelles bibliothèques majoritairement associatives,• la redynamisation de la synergie entre les réseaux Métrodoc et Redoc, notammentsur le Pass’doc,• création d’un Intranet à destination des professionnels,• réflexion sur l’harmonisation des horaires d’ouverture,• évolution des coûts et de la logistique nécessaires à la mise en place d’un service deprêt inter- bibliothèques,• poursuite du travail de coordination mis en œuvre par les différents groupes detravail, notamment sur des thématiques transversales (animation, thématique citéet urbanisme, Urbis…),• diagnostic des besoins de formation, notamment sur les TIC pour les agents desbibliothèques communales.http://metrodoc.la-metro.org/metrodoc/index.htmAUTRES LIENS• Programme lyonnais pour la Société de l'Information : http://www.lyon.fr/vdl/sections/fr/economie/plsi/lieux_dacces_intern/• Réseau des bibliothèques municipales : www.bm-lyon.fr• MJC Monplaisir : www.mjc-monplaisir.asso.fr• Centre Icom : www.handicap-icom.asso.fr• CRIAS : www.crias.asso.fr/ 21 /


PARTIE 32. EN FRANCE ET AILLEURS> LE RÉSEAU CYBER-BASELe réseau Cyber-base regroupe une centaine d’espaces publics multimédia en France.Leur but est d’accueillir un large public, qu’il soit initié ou non aux nouvelles technologieset à Internet, et de l’aider à découvrir ou à approfondir ses connaissances.Les grands atouts de ce dispositif fédérateur résident principalement dans :L’accueilLes animateurs sont accueillants, pédagogues et qualifiés. L’ambiance des espacesd’accès est conviviale, calme et convient à toutes les générations.Les activités proposéesOutre les fonctions d’initiation et d’accompagnement, les cyber-bases laissent la possibilitéaux utilisateurs de naviguer seuls sur Internet ou d’effectuer d’autres activitésen totale autonomie. La notion de choix apparaît comme extrêmement importante.L’accessibilité des espacesÉtudiés pour pouvoir accueillir les personnes handicapées dans les meilleures conditions,les cyber-bases sont bien souvent implantées à côté de lieux de vie (école,domicile, bibliothèque…) et invitent à la découverte de par de larges plages horaires.La qualité des équipementsPC de dernière génération, équipement vidéo, audio et photo de qualité, les atoutsne manquent pas pour attirer le public. Ces équipements permettent de travaillerdans les meilleures conditions possibles, favorisées par des liaisons Internet àhaut débit.http://www.cyber-base.org> LE RÉSEAU CYBER-POSTEIssu d’une décision politique (Lionel Jospin à Hourtin en 1997), le réseau Cyber-Postecorrespond à l’installation de points d’accès à Internet au cœur même des bureauxde Poste. Le fonctionnement est relativement simple : après avoir acheté une carted’accès, l’utilisateur peut se connecter à Internet et dispose gratuitement d’uneadresse email. Les usages sont donc relativement limités : navigation sur Internet etemails.Un conseiller se tient à la disposition du public et peut guider, aider, apprendre à seservir d’un navigateur web et d’un client email.Le réseau Cyber-Poste a donc été développé dans une véritable logique de servicepublic./ 22 /


En pratique, il s’avère que la majorité des utilisateurs connaissent déjà (au moinspartiellement) les usages de l’Internet et prennent en compte les points d’accèscomme du “libre-service”. Une vocation utilitaire donc, qui s’éloigne sensiblement del’orientation “formation” initiale.http://www.cyberposte.com/Parmi les bonnes pratiques on peut citer• cyber centres Nord-Pas de Calais,• cybercommunes Bretagne,• cybercentres Pays de la Loire,• points publics multimédias en Limousin (ACTI),• espaces Régionaux Internet Citoyen (ERIC) de Provence-Alpes-Côte d’Azur.> AUTRES PROGRAMMES RÉGIONAUX• Lieux d’accès publics à Internet en Aquitainehttp://www.accespublic-aquitaine.org• Espaces publics numériques de Basse-Normandie - EPNBNhttp://www.cr-basse-normandie.fr/epnbn• Ardesi : Agence régionale pour le développement de la société de l’informationMidi-Pyrénées http://www.ardesi.asso.fr• Picardie en lignehttp://www.cr-picardie.fr/fr/page.cfm?pageref=environnement~environnement_0• Arantis : le portail Poitou-Charentes pour les TIChttp://www.arantis.com• Cybercaseshttp://www.cybercases.org> AUTRES DÉPARTEMENTS, VILLES, SYNDICATS DE COMMUNES• Internethttp://www.antic-paysbasque.com/home.htm• Points d’accès publics au réseau Internet (PAPI) de Bresthttp://www.mairie-brest.fr/cnt/papi.htm• Cybercentres de Strasbourghttp://www.cybercentre-strasbourg.org/• Cybercantalhttp://www.cybercantal.org/cee15/index.htm• Espaces publics numériques essoniens (EPNE)http://www.essonne.fr/?IDINFO=1430• Côte-d’Or numériquehttp://www.cg21.fr• Ulysse 1 (Corrèze)http://www.cg19.fr/page.php?P=data/fr/actualites/en_direct_du_cg/rendez_vous// 23 /


GLOSSAIREGLOSSAIRE> ADSL : technologie qui permet des transmissions haut débit sur paire téléphoniqueanalogique. Le débit serveur vers le client se fait à plus grande vitesse que latransmission client vers le serveur. L’ADSL utilise la partie de la bande de fréquencequi n’est pas utilisée par la voix.> ANTIVIRUS : programme pour détecter et éradiquer des virus sur les supports destockage, mais aussi pour protéger à titre préventif.> CONFIGURATION : description générale de l'équipement d'un ordinateur avec tousses composants et ses caractéristiques : type de processeur, quantité de mémoirevive disponible, taille de l'écran, cartes d'extension (son, graphiques, etc.) etpériphériques (imprimante, scanner, etc.). Ce terme recouvre aussi le réglage desparamètres en fonction de l'environnement, lors de l'installation d'un disque, d'unsystème d'exploitation, d'un logiciel ou d'un périphérique.> E-ADMINISTRATION : démarche qui consiste à utiliser les TIC pour simplifier etresserrer les relations entre administration et usagers, et moderniser le fonctionnementde l’Etat et des collectivités territoriales. Internet est ainsi appelé à participeractivement à la construction d’une administration de services tournée vers lesbesoins et les attentes des usagers.> E-MAILING : campagne via le courrier électronique. Désigne l’envoi de messages ennombre (comme un mailing postal).> FICHIER : ensemble de données identifiées par un nom, collection d'informationsconsidérée comme une unité de traitement par un ordinateur.> FIREWALL : solution logicielle ou matérielle placée en coupure entre deux ouplusieurs réseaux et qui contrôle et journalise tous les échanges entre ces réseauxpour ne laisser passer que les échanges autorisés par la politique de sécurité de lacollectivité.> HTML (HyperText Markup Language) : langage servant à écrire les pages Web et lesdocuments hypertextes.> JOYSTICK : manette principalement utilisée pour les jeux, pouvant remplacer lasouris de l’ordinateur.> MODEM : modulateur - démodulateur. Appareil qui traduit les données numériquesd’un ordinateur en signaux analogiques et inversement. Toute connexion Internetnécessite l’existence d’un modem.> MP3 (Motion Picture expert group-1 audio layer 3) : format utilisé pour téléchargerde la musique par Internet.> PAGE WEB : fichier HTML identifié par une URL. Une page Web comporte destextes, des images et, éventuellement, des objets multimédias. À chaque adresseWeb correspond une page Web./ 24 /


PEER-TO-PEER (pair à pair) : réseau qui peut relier des millions d’ordinateurs qui sontà la fois "clients" et "serveurs". L’internaute ne télécharge plus ses fichiers (son,image, données, logiciels) sur le serveur d'un site web, mais directement à partird’un espace partagé, sur les disques durs des membres du réseau.> PDF : les documents enregistrés au format PDF peuvent être visualisés dans leurexacte mise en page quel que soit l'ordinateur sur lequel on les consulte. Pour lireles fichiers PDF, il faut télécharger Acrobat Reader (freeware). Pour créer des fichiersPDF, il est nécessaire d'acquérir Adobe Acrobat.> RESEAU : ordinateurs connectés entre eux.> SERVEUR : ordinateur qui dispose d'informations que viendront consulter desordinateurs clients (ex. les providers disposent de serveurs auxquels se connectentles abonnés Internet).> TELECHARGER : transférer un fichier d'un ordinateur à un autre. On distingue le téléchargementen aval (download), c'est-à-dire du serveur réseau à l'ordinateurpersonnel, du téléchargement en amont (upload), c'est-à-dire de l'ordinateurpersonnel au serveur.> TIC : technologies de l’information et de la Communication.> USB (clé) : mémoire non volatile externe comportant une interface USB et ayant lataille et la forme d'une clé. Les clés USB sont utilisées pour effectuer des sauvegardesrapides sur un support facilement transportable dans une poche.> USB (port) : port de communication intégré aux supports (ordinateur, pda, supportsmobiles) permettant de connecter des périphériques USB.> VIRUS : c’est la caractéristique d'un programme capable de se reproduire seul en eninfectant d'autres. Il n'est pas nécessairement malveillant, même si c'est souvent lecas. Comme il n'existe pas d'antidote universel, il faut mettre à jour son antivirusdès qu'un nouveau virus est repéré. A ne pas confondre avec un virus, un logicielde type cheval de Troie s'installe sur une machine sans causer de tort apparent. Ilsert ensuite de relais pour faciliter l'accès depuis l'extérieur : envoi de mots depasse, blocage de la sécurité, etc… À noter que ces logiciels parasites attaquentgénéralement les environnements les plus utilisés. Principale victime, donc, lesenvironnements Microsoft.> WI-FI : cette technologie permet de créer des réseaux locaux sans fil à haut débitpour la desserte interne de bâtiments (par exemple couplé avec un accès ADSL),mais peut également être utilisée en environnement ouvert comme moyen de dessertelocale, avec une portée de plusieurs centaines de mètres./ 25 /


BASE DOCUMENTAIREBASE DOCUMENTAIRE> EN SAVOIR PLUS SUR LES DONNÉES TECHNIQUES• Comment créer un réseau informatiquehttp://www.vulgarisation-informatique.com/creer-reseau-local.php• Un excellent site sur les problématiques de sécurité informatiquehttp://www.secuser.com/• Un article sur l’aménagement des EPN à destination des handicapés http://www.generationcyb.net/article.php3?id_article=239• Un guide sur l’informatique et le handicap, édité par Microsofthttp://www.microsoft.com/france/accessibilite/handicap/default.asp> ANALYSE DES ESPACES MULTIMÉDIA EN AQUITAINEÉtat des lieux d’accès publics à Internet et au multimédia au regard de leur contextegéographique, de leur équipement, de leurs ressources humaines.Mises en œuvre des projets de ces lieux, en termes humains, techniques et organisationnels.Préconisations et questionnements.Médias Cité - 2004<strong>Guide</strong> - 51 pagesTéléchargement (pdf)http://www.medias-cite.org/article.php3?id_article=294> ÉTAT DES LIEUX DES EPN EN MIDI-PYRÉNÉESEtat des lieux quantitatif et exhaustif des Lieux d'Accès Publics à Internet en Midi-Pyrénées et visionqualitative de ces espaces, selon des critères de taille et d'équipement, d'usages, d'accompagnementhumain et de bonnes pratiques nécessaires à l'accomplissement de leur mission de service public.ARDESI - 2004 - Enquête - 45 pageshttp://www.ardesi.fr/admincomplement/documentardesi/repertoire/syntheseEPN_ARDESI-GRE-SOC_2004.pdf> DÉMARCHE QUALITÉ DANS LES LIEUX D'ACCÈS À INTERNETCe dossier est destiné à sensibiliser tout responsable et animateur de lieu d’accès public à Internetsur les enjeux et sur l’utilité d’une Démarche Qualité dans un espace.ARDESI - 2003<strong>Guide</strong> - 25 pageshttp://www.ardesi.fr/admincomplement/documentardesi/repertoire/DemarchQualEPN.pdf> ANIMATION PÉDAGOGIQUE D'UN EPNPrésentation des différentes approches pédagogiques et pistes d’actions permettant d’accéder àune communication ouverte et adaptée au dialogue Animateurs / Usagers d’un Lieu d’Accès Publicà Internet.ARDESI - 2003<strong>Guide</strong> - 25 pageshttp://www.ardesi.fr/admincomplement/documentardesi/repertoire/ARCTIApédagogie26-9-03.pdf/ 26 /


CRÉER ET GÉRER UN ESPACE PUBLIC MULTIMÉDIAÉditions de “la lettre du Cadre Territorial“Par Thierry Buffy, directeur de La Maison des Savoirs de la ville d’Agde, et Gille Février, consultantNTIC - Mars 2002Format papier274 pages60 €> RESPONSABILITÉ JURIDIQUE DES EPNSensibilisation au thème de la responsabilité juridique préventive d’un lieu d’accès public à Internet.ARDESI - 2002 - <strong>Guide</strong>http://www.ardesi.fr/admincomplement/documentardesi/repertoire/epn_droit_240902.pdfLes espaces publics d’accès à InternetÀ partir de nombreux cas et analyses, les auteurs montrent que ces espaces, en plus d’une initiationà Internet et à la bureautique, accompagnent les usagers dans certains de leurs projets. Cetouvrage voudrait favoriser le développement d’un véritable débat entre tous les participants dansle domaine de l’enseignement, de la formation, du développement local pour contribuer à orienterle développement et la permanence de ces espaces publics d’initiation.PUF - 2002Recueil - 256 pages25 euros> FAIRE CONNAÎTRE ET PROMOUVOIR SON EPNCommuniquer sur son Lieu d’Accès Public à Internet est une nécessité pour l’animateur ou le responsablede l’espace.ARDESI - 2002 - <strong>Guide</strong> - 7 pageshttp://www.ardesi.fr/admincomplement/documentardesi/repertoire/atelierEPNcommunication.pdf> GUIDE HANDICAP ET EPN<strong>Guide</strong> sur l'accueil des personnes handicapées dans les lieux publics d'accès à Internet.CréaTIF / CDC - <strong>Guide</strong>43 pages - Téléchargementhttp://www.creatif-public.net/rubrique.php3?id_rubrique=19> ESPACES PUBLICS NUMÉRIQUES ET POLITIQUE DE LA VILLELa première partie présente l'analyse sur les apports des usages publics des TIC et les conditionsfavorisant leur réussite tandis que la seconde partie décrit 11 monographies.Éditeur : Délégation interministérielle à la ville / Observatoire des télécommunications dans la ville- 2001 - Étude et cas pratiques - 124 pageshttp://www.telecomville.org/Admin/common/send_image.php?table_name=pub&field_name=docdl&record_id=50000044&download=1/ 27 /


Conseil régional Rhône-Alpes78, route de Paris - BP 1969751 Charbonnières-les-Bains CedexTéléphone : 04 72 59 40 00Télécopie : 04 72 59 42 18www.rhonealpes.fr

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