1728 ASSËMBUËK MATTONAIA — A» SKASCR SE as MARS $9»QUESTIONSREMISES' Â LA PRESIDENCE DE L'ASSEMBLÉE lATlOÜALl LI 22 MARS- ÍM9Application <strong>de</strong>s articles 94 et 97 âu règlement» ainsi connus:• ilrl. 94 — . » . . » » . » • - » * • • • « .'SïïïR^çïiïJfRjfjffï-ituïïKSjijrngTsrjjsfjji,.,-^,^,a les questions ê&évent être très sommairement rédigées et ne contenir aucune imputation d'ordre personnel à Véo&r& âe itemm&mmèment désignés.. « Art. m. — les questions écrites, sont publiées à <strong>la</strong> mite du compte rendu in extenso; dans te mois qui suit cette publication, îmréponses <strong>de</strong>s ministres doivent é&ûlemefH y être publiées.« Les ministres ont toutefois ta faculté <strong>de</strong> déc<strong>la</strong>re? par écrit que l'Intérêt miblîc leur interdit <strong>de</strong> répondre ou, â titre exceptionnel,qu'ils réclûment un dé<strong>la</strong>i supplémentaire pour rassembler les éléments <strong>de</strong> leur réponse; ce dé<strong>la</strong>i supplémentaire ne peut excé<strong>de</strong>r un mois, sQ T T B S T Ï O H SIMTEftlEtfftO R A L E S0542. — 22 mars 4949. - M. Robert Baltangerexpose à M. le ministre <strong>de</strong> l'intérieur le casd'un commissaire <strong>de</strong> police judiciaire sur quipèse une grave présomption <strong>de</strong> tentative d'assassinat,présomption appuyée sur <strong>de</strong>s preuvestelles que dépositions précises <strong>de</strong>s témoinsprésents. Irais d'hôpital acquittés par lecommissaire toi-même ; et lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'ilconsidère comme normal que ce commissairesoit encore en fonction dans <strong>la</strong> localité où sesont produits les faits incriminés, et se permette<strong>de</strong> eonvocraer sa victime dans son cabinetpour, sens <strong>la</strong> menace, tenter <strong>de</strong> lui faireretirer sa p<strong>la</strong>inte.9543. — 22 mars 1949. — M. Robert Baltangerrappelle à M. le ministre <strong>de</strong> l'intérieur seslettres <strong>de</strong>s 11 et 23 novembre 1948 re<strong>la</strong>tant lescirconstances scandaleuses dans lesquellessoixante Nord-Africains ont été expulsés <strong>de</strong>slocaux qu'ils occupaient au Raincy, et ont vuleur mo<strong>de</strong>ste bien pillé, brûlé, en présencedu maire, <strong>de</strong> l'huissier et du commissaire <strong>de</strong>polie*, 3t lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> : 1° pourquoi cettecrre poàidance est restée sans réponse ;2 quelles mesures ont été prises pour recherchere sanctionner les responsables <strong>de</strong> ces<strong>la</strong>its, et in<strong>de</strong>mniser les victimes.Q T T E S T I O N SÉ C R I T E SPRESIDENCE DU CONSEILPOSTES, TELEGRAPHES ET TELEPHONES9544. — 22 mars Ì9Ì9. — M. Jean-Paul David<strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le secrétaire d'Etat à <strong>la</strong> prési<strong>de</strong>ncedu conseil (postes, télégraphes et téléphones)le montant <strong>de</strong>s recettes provenant <strong>de</strong><strong>la</strong> vente <strong>de</strong>s timbres-poste au cours : a) <strong>de</strong>smois <strong>de</strong> janvier et février 1948; b) <strong>de</strong>s mois<strong>de</strong> janvier et février 1949..«545* — n mars im — ML François <strong>de</strong>Mention expose à fit. le secrétaire d'Etat à <strong>la</strong>prési<strong>de</strong>nce du conseil (postes, télégraphes ettéléphones) les condition dans lesquellessont expédiées <strong>de</strong>ux revues imprimées par<strong>de</strong>ux éditeurs différents» agrafées et rognéespar îe second éditeur, encartées l'une dansl'autre et présentant, dès lors, l'aspect et <strong>la</strong>con texture d'une seule revue ; il lui signaleque l'adînmistration locale <strong>de</strong>s postes, télégrapheset téléphones exige un affranchissementen timbres-pas te correspondant au total<strong>de</strong>s re<strong>de</strong>vances qui seraient dues si chaquerevue était expédiée séparément, sans qu'aucune<strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux revues puisse bénéficier <strong>de</strong>starifs réduits consentis aux éditeurs; et lui<strong>de</strong>man<strong>de</strong> quef est le régime postal qui doitêtre appliqué à l'expédition <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux revues,en lui donnant les précisions suivantes :f®- si l'administration peut s'opposer au postage<strong>de</strong> <strong>de</strong>ux revues encartées comme il estexposé ci-<strong>de</strong>ssus; 2® si tes envois peuventbénéficier <strong>de</strong>s tarifs appliqués aux revues routéesou affranchies en numéraires ou si <strong>la</strong>réduction n>st applicable qu'à une seule <strong>de</strong>s<strong>de</strong>rcx revues, <strong>la</strong> secon<strong>de</strong> <strong>de</strong>mandant un affranchissementen timbres correspondant à sonpoids particulier.AGRICULTURE9546. _ 22 mars 1949. — M. Jacques Bardouxexpose à M. le ministre <strong>de</strong> l'agriculture que<strong>de</strong>puis quelque temps déjà, <strong>la</strong> participation <strong>de</strong>»'Etat aux travaux d'adduction d'eau, ou d'instal<strong>la</strong>tion<strong>de</strong> l'électricité dans les communesrurales est réalisée sous <strong>la</strong> forme d'une garantieaccordée par l'Etat, d'un intérêt <strong>de</strong>4 p. 100, pour les emprunts obligataires émispar les communes intéressées. Or, l'Etat empruntemaintenant à plus <strong>de</strong> 5 p. 100. û<strong>de</strong>vient donc très difficile pour les communesrurales dp trouver <strong>de</strong>s souscripteurs pour <strong>de</strong>sobligations à 4 p. 100. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il nepourrait pas, afin <strong>de</strong> faciliter l'équipement rural,envisager <strong>4e</strong> porter <strong>de</strong> 4 à 5 p. 100 l'intérêtassuré à ces emprunts d'équipement par<strong>la</strong> participation <strong>de</strong> l'Etat.9547. - 22 mars 1949. » M. Jacques Baniotf*rappelle à M. le ministre <strong>de</strong> l'agriculture qmdans un passé récent, l'Etat accordait auxpeUts propriétaires ruraux <strong>de</strong>s subventionspour les ai<strong>de</strong>r à améliorer leurs immeublesruraux; et lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>: 1° à quelle date, etpar quel décret, l'octroi <strong>de</strong> ces subventions aété, sinon supprimé, du moins suspend»;2p s'il n'envisage pas, dans on avenir prochain,<strong>de</strong> rétablir cette participation <strong>de</strong> l'Etatà l'amélioration <strong>de</strong> l'habitat rural.9548. — 22 mars 1949. — M. Jean-Paul Davidsignale à M. le ministre <strong>de</strong> l'agriculture lesdifficultés rencontrées par les ingénieurs <strong>de</strong>sservices d'expérimentation zootech nique et <strong>de</strong>contrôle <strong>de</strong> fabrications appartenant soit à <strong>de</strong>sétablissements fabriquant <strong>de</strong>s aliments composéspour le bétail, soit à l'institut profe».sionnel <strong>de</strong> contrôle et <strong>de</strong> recherches scientifiques<strong>de</strong>s industries <strong>de</strong> l'alimentation animale,pour recevoir <strong>de</strong>s attributions d'essencecorrespondant aux voitures automobiles qu'Unutilisent pour l'exercice dè leur activité, leschambres <strong>de</strong> commerce repoussant les <strong>de</strong>man<strong>de</strong>sd'attributions pour les services dontil s'agit en prétendant qui'ls ressortent <strong>de</strong>sD. S. A. et réciproquement ; et lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>quelles mesures il compte prendre pourmettre fin à cette situation préjudiciable àune industrie déjà gravement touchée par unecrise <strong>de</strong> mévente.ANCIENS COMBATTANTS ET VICTIMESDE LA GUERRE9549. — 22 mars 1949. — M. Maurice Schi*mann attire l'attention <strong>de</strong> le ministre <strong>de</strong>sanciens combattants et victimes <strong>de</strong> <strong>la</strong> guerresur les conséquences imprévues <strong>de</strong>s texteslégis<strong>la</strong>tifs et <strong>de</strong>s instructions ministérielles re<strong>la</strong>tifsaux pensions d'orphelins; lui signaleque <strong>la</strong> loi du 22 août 1946, puis celle du 27 février1948 ont ¿ouvert aux pensionnés le bénéfice<strong>de</strong>s allocations familiales et <strong>de</strong> sa<strong>la</strong>ireunique et du supplément familial; lui faitremarquer qu'ainsi qu'une veuve non remariéeayant à sa charge trois enfants <strong>de</strong> moins<strong>de</strong> quatorze ans perçoit : 1° au titre <strong>de</strong> *
I ASSEMBLEE NATIONALE — 2 e SEANCE DU 22 MARS I0Í9 1729pension principale (taux é& soldat) : 25.200 ;francs; 2° m titre du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> famille (allocationsfamiliales et sa<strong>la</strong>ire unique) — loidu 22 août 1916** 120.000 francs; 3° au titredu supplément familial (art. 15 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du27 lévrier 19481: 19.200 francs; soit au total164.400 francs par an. En vertu <strong>de</strong>s dispositionsdu <strong>de</strong>rnier alinéa <strong>de</strong> l'article 19 <strong>de</strong> <strong>la</strong> 1loi du 31 mars 1019, <strong>la</strong> pension principal-; !allouée à l'ensemble <strong>de</strong>s orphelins mineurs |<strong>de</strong>s militaires décédés n'est assortie <strong>de</strong> majo- !rations qu'à partir du <strong>de</strong>uxième enfant âgé<strong>de</strong> moins <strong>de</strong> diXThuit ans; il en résulte que \les orphelins ne rentrent pas dans <strong>la</strong> caté- :gorie <strong>de</strong>s personnes susceptibles <strong>de</strong> prétendreau sa<strong>la</strong>ire unique et que, d'autre part, étan frécartés du bénéfice <strong>de</strong>s nouvelles disposition?do l'article 15 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 27 février 1918 précitée, ils ne peuvent prétendre davantage au 1supplément familial, C'est ainsi qu'une 1grandi'mère ayant,. comme <strong>la</strong> veuve non remariéecitée * plus haut, trois orphelins d3 'mGins <strong>de</strong> quatorze ans à sa charge ne pourrapercevoir que: 1° au titre "<strong>de</strong> <strong>la</strong> pension principale(taux <strong>de</strong> soldat): 2:5.200 francs; 2° autitre <strong>de</strong>s allocations familiales et pour <strong>de</strong>uxenfants seulement: 72.000 francs, soit autotal: 97 200 francs par an. Ces <strong>de</strong>ux exemples,choisis sur <strong>la</strong> ba«e <strong>de</strong>s allocations familialeset suppléments familiaux afférents à <strong>la</strong> localité<strong>de</strong> Lilie, montrent l'injustice d'une réglementationqui aboutit 5 créer entre <strong>de</strong>ux familles<strong>de</strong> trois orphelins, également mineurs,,et ayant théoriquement les mêmes droits, unsdifférence <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong> 67.200. francs selonqu'ils sont à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> leur mère ou da jleur grand*mère. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, s'il ne luiapiparàit pas opportun <strong>de</strong> prendre <strong>de</strong>s mesuraspour faire cesser cette situation anormale.DEFENSE NATIONALE9550. — 22 mars 1949. — M. Albert Boccagny j<strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationalesi les jeunes gens ayant fait une <strong>de</strong>man<strong>de</strong><strong>de</strong> sursis après le 31 décembre 1918 !peuvent espérer que <strong>la</strong> commission chargée i<strong>de</strong> l'examen <strong>de</strong>s dossiers sera réunie dansune séance exceptionnelle, ou si <strong>la</strong> date du !SI janvier est sans appel.i955t. — 2£ mars 1959. — M. Joseph Denafs<strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> dé ense natio- jnaîe si <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>ire du 11 février 1949, publiée jau Journal officiel du 16 lévrier, re<strong>la</strong>tive auxcongés <strong>de</strong> maternité, est applicable aux formationsféminines <strong>de</strong> l'air.9332. — 22 mars 1949. — M. François <strong>de</strong>Mesttftoit rappelle à M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> défensenationale qu'en exécution <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du14 avril 1924 (art. 31} et du décret d'appliea- !tion du 2 septembre 1924 (art. 29), les ser- |vices effectifs pour <strong>la</strong> retraite se comptent à tpartir <strong>de</strong> seize ans pour les élèves <strong>de</strong>s écoles !militaires préparatoires ; et lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si !ces <strong>de</strong>ux années doivent être comptées à unfonctionnaire, ancien élève d'écoie militairepréparatoire, grand mutilé <strong>de</strong> guerre f!45 p. 100 jd'invalidité) admis à <strong>la</strong> retraite pour ancienneté<strong>de</strong> services et pai anticipation.9553. — 22 mars 1949. — M. Rcbert Hisse<strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M* le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale:1« si les dispositions <strong>de</strong> <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>iredu 4 juin 1948 (Journal officiel du 11 juir1948, page 5639) concernant l'application <strong>de</strong>sdispositions <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi n* 47-168 du 2 septembreâ947 re<strong>la</strong>tive aux conditions <strong>de</strong> dégagement <strong>de</strong>scadres <strong>de</strong>s magistrats fonctionnaires 3t agentscivils et militaires <strong>de</strong> l'Etat sont applicablesaux militaires- non officiers <strong>de</strong>c corns et services;2° si les dégagements volontaires sontprévus parmi le personnel non officier, envertu <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 22 juillet 1948 (Journal officieldu 27 Juillet 1948).EDUCATION NATIONALE3554. — 22 mars .19'A — M. «Jacques Bardouxexposa à M. le ministre <strong>de</strong> l'éducationnationale que, tirant une conclusion excessivegu principe suivant lequel rimmalricu<strong>la</strong>tioi :jet les inscriptions <strong>de</strong>s étudiants sont « personnelles» aux termes <strong>de</strong> l'article 11 dudécret du 21 juillet 1897, re<strong>la</strong>tif au régimesca<strong>la</strong>ire et disciplinaire <strong>de</strong>s établissementsd'enseignement supérieur, certains secrétariatsexigent que les étudiants « comparaissent» en personne, pour se faire inscrire;ceci occasionne <strong>de</strong>s dépenses et frais <strong>de</strong>voyage particulièrement onéreux aujourd'huià ceux qui se trouvent éloignés <strong>de</strong> <strong>la</strong> facultédans <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> d'ouverture du registre: c'estle cas, par exemple, <strong>de</strong>s étudiants en mé<strong>de</strong>cined'une faculté <strong>de</strong> province, qui, pendant<strong>la</strong> pério<strong>de</strong> d'ouverture du registre sont retenusà Paris pour préparer le concours <strong>de</strong>l'externat <strong>de</strong>s hôpitaux. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si,sans déroger à <strong>la</strong> letire ni à l'esprit du décret,qui d'ai'leurs n exige pas <strong>la</strong> comparution<strong>de</strong> l'étudiant, celui-ci ne pourrait pasêtre admis à prendre ses inscriptions par correspondance,en s'eng tgeant par écrit à respecterle règlement, étant donné qu'il n'y arien <strong>de</strong> plus « personnel » qu'une lettre signéepar l'intéressé, suivie <strong>de</strong> l'acquittement<strong>de</strong>s droits, lettre qui resterait annexée au registred'inscriptions en attendant qu'à sonretour l'étudiant régu<strong>la</strong>rise au besoin en signantsur le registre même.9555, — 22 mars 1949. — M. Virgile Bar©!expose h M. le minisire <strong>de</strong> l'éducation nationaleque <strong>la</strong> non-existence d'une université <strong>de</strong>plein exercice à Nice, dont <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion estudiantineest extrêmement nombreuse, cause<strong>de</strong>s difficultés aux familles et entrave le fonctionnementnormal <strong>de</strong>s établissements d'instructionsecondaire; <strong>de</strong>s étudiants désireux<strong>de</strong> poursuivre leurs étu<strong>de</strong>s après leur bacca<strong>la</strong>uréatse sont fait inscrire à <strong>la</strong> fois dans <strong>la</strong>c<strong>la</strong>sse <strong>de</strong> lettres supérieures du lycée <strong>de</strong> Niceet à l'institut juridique <strong>de</strong> Nice; ils ne peuventsuivre l'intégralité <strong>de</strong>s cours, mais unensemble logique pourrait être adopté si uneconception rigi<strong>de</strong> ne mettait les familles dansl'obligation d'opter pour l'une ou l'autre <strong>de</strong>ces formations. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il ne pourraitpas résoudre cette difficulté en permettantaux étudiants intéressés dont les qualitéssont d'ailleurs proc<strong>la</strong>mées par leurs professeurs<strong>de</strong> ne pas suivre l'intégralité ducours <strong>de</strong> <strong>la</strong> c<strong>la</strong>sse <strong>de</strong> lettres supérieures et enprescrivant une adaptation <strong>de</strong> l'horaire <strong>de</strong>l'institut juridique. Cette solution paraît d'autantplus possible qu'un arrangement analogues'est révélé efficace avec l'institut d'étu<strong>de</strong>slittéraires.i9556.. — 22 mars 1949. — M. MauriceDeixonne <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> l'éducationnationale s'il ne croir pas <strong>de</strong>voir prendre<strong>de</strong>s mesures urgentes: 1° pour assurerleur traitement, suspendu <strong>de</strong>puis le 1 er février,aux fonctionnaires <strong>de</strong> <strong>la</strong> direction générale<strong>de</strong> <strong>la</strong> jeunesse et <strong>de</strong>s sports, dégagés <strong>de</strong>scadres, et qui, remis en cours d'année sco<strong>la</strong>ireà <strong>la</strong> disposition <strong>de</strong> leur cadre d'origine,d'où ils étaient détachés, ne peuvent, pour<strong>de</strong>s raisons <strong>de</strong> circonstance dont ils n