Dossier du maître d'ouvrage - Seine aval - SIAAP
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• Olfactomètre, outil mis en placepar le centre technique de l’Observatoirede l’Environnement, pour mesurer les émissionsolfactives à Seine aval> Le rôle du Jury de nezLe jury de nez est composé d’un panel de bénévoles(environ 210 personnes résidant sur les communes limitrophesde la plaine d’Achères) qui sont des volontairesreprésentatifs du public actif environnant.Les membres de ce jury ont été recrutés :- à l’occasion de réunions publiques organisées dansles mairies riveraines ;- à l’occasion de journées portes ouvertes sur le site ;- en répondant à des annonces publiées par le SIAAPdans ses éditions, sur son site internet ou, il y aquelques années, sur le minitel.Les jurys mesurent périodiquement les odeurs suivantun protocole expérimental appelé “test”.Les résultats sont transmis au Centre Technique del’Observatoire de l’environnement créé sur le site,par courrier, numéro vert, fax vert, et e-mails(observatoires@siaap.fr).Les données ainsi collectées sont ensuite traitéesunitairement et statistiquement après intégration dansla base de données. Elles sont mises en corrélationavec les autres mesures recueillies (les conditions dedispersion atmosphérique, les mesures du réseaude suivi de la qualité olfactive de l’air, les inversionsthermiques locales et régionales de température) parl’Observatoire.Les résultats et les interprétations (calcul de l’indice degêne, de l’indice de confort olfactif) sont intégrés dansles rapports mensuels et trimestriels.Les membres du jury bénévoles et experts sont conviésdeux fois par an à participer à une réunion d’informationLes jurys sont répartis en quatre lots, en fonction deleur position géographique. Chacun des lots estamené à réaliser une série de mesures 8 fois parsemaine, toutes les 4 semaines (une campagne demesures par mois), suivant des horaires fixés (cf. grilletest jury de nez ci-contre). Pour transmettre les mesuresolfactométriques, les membres du jury ont à leur dispositiondes grilles de réponses qui ont été établies par lasociété EOG en collaboration avec trois chercheursdu CNRS.au Centre Technique, au cours de laquelle est présentéle bilan des analyses et l’ensemble des travaux présentésau Comité de l’Environnement de Fromainville.50POURQUOI UNE REFONTE ?
Les observations spontanées des riverains■ OBSERVATIONS PAR COMMUNE EN 2006■EVOLUTION DU NOMBRE ANNUEL D’OBSERVATIONS OLFACTIVES800700600742655EragnyConflans-Sainte-Honorine2Herblay315Beauchamp4 3Montigny1250040030020010040832519612213923930343440623322453343169Achères317UPBD72UPEILa Frette121Cormeilles801996 1997 1998 1999 2000Observations olfactives enregistrées200120022003 2004 2005 2006Observations attribuées à l'UPEI*Maisons-Laffitte11 11Sartrouville2Observations attribuées à l'UPBD**Observations non attribuées* Usine de Production des Eaux Irriguées - ** Usine de Production des Boues DéshydratéesObservations attribuées à l'UPEIObservations attribuées à l'UPBDObservations non attribuées618Un messager de l’environnement sur le terrainLe messager de l’environnement (agent du SIAAP ou mandaté par le SIAAP),formé à la détection des odeurs, effectue une tournée quotidienne dans l’usineet son environnement et rend compte de ses observations.Toutes les observations sont enregistrées en base de données. Depuis2005, les observations attribuables à l’unité de traitement des eaux, àl’unité de traitement des boues ou bien à l’usine ont été isolées, afin demieux analyser les différentes observations.Une météo pénalisante sur les premiers mois de l’année 2007Cette dégradation significative s’explique par le manque d’oxygène sur les bassinsd’aération d’Achères III et IV, et l’arrêt prolongé de la désodorisation etdu stripping* au niveau du prétraitement pour cause de maintenance, situationaggravée par une météorologie extrêmement pénalisante au moisd’avril, conjuguant forte chaleur et pluviométrie très faible. La remise enservice de la désodorisation, en mai, a permis de stabiliser l’émission à l’entréede l’usine. En revanche, la problématique de l’aération des bassins reste inquiétantemalgré l’injection directe d’oxygène pur depuis quelques mois en secours.RAPPEL ANNÉE 20062007 (1 er semestre)Nombre d’observations spontanées olfactives 43 176Fréquence de perception des messagers 4,7 % 8,1 %POURQUOI UNE REFONTE ?51
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Les observations spontanées des riverains■ OBSERVATIONS PAR COMMUNE EN 2006■EVOLUTION DU NOMBRE ANNUEL D’OBSERVATIONS OLFACTIVES800700600742655EragnyConflans-Sainte-Honorine2Herblay315Beauchamp4 3Montigny1250040030020010040832519612213923930343440623322453343169Achères317UPBD72UPEILa Frette121Cormeilles801996 1997 1998 1999 2000Observations olfactives enregistrées200120022003 2004 2005 2006Observations attribuées à l'UPEI*Maisons-Laffitte11 11Sartrouville2Observations attribuées à l'UPBD**Observations non attribuées* Usine de Pro<strong>du</strong>ction des Eaux Irriguées - ** Usine de Pro<strong>du</strong>ction des Boues DéshydratéesObservations attribuées à l'UPEIObservations attribuées à l'UPBDObservations non attribuées618Un messager de l’environnement sur le terrainLe messager de l’environnement (agent <strong>du</strong> <strong>SIAAP</strong> ou mandaté par le <strong>SIAAP</strong>),formé à la détection des odeurs, effectue une tournée quotidienne dans l’usineet son environnement et rend compte de ses observations.Toutes les observations sont enregistrées en base de données. Depuis2005, les observations attribuables à l’unité de traitement des eaux, àl’unité de traitement des boues ou bien à l’usine ont été isolées, afin demieux analyser les différentes observations.Une météo pénalisante sur les premiers mois de l’année 2007Cette dégradation significative s’explique par le manque d’oxygène sur les bassinsd’aération d’Achères III et IV, et l’arrêt prolongé de la désodorisation et<strong>du</strong> stripping* au niveau <strong>du</strong> prétraitement pour cause de maintenance, situationaggravée par une météorologie extrêmement pénalisante au moisd’avril, conjuguant forte chaleur et pluviométrie très faible. La remise enservice de la désodorisation, en mai, a permis de stabiliser l’émission à l’entréede l’usine. En revanche, la problématique de l’aération des bassins reste inquiétantemalgré l’injection directe d’oxygène pur depuis quelques mois en secours.RAPPEL ANNÉE 20062007 (1 er semestre)Nombre d’observations spontanées olfactives 43 176Fréquence de perception des messagers 4,7 % 8,1 %POURQUOI UNE REFONTE ?51