Vie pédagogique 132, septembre-octobreENTRE 1996 ET 2004, LE « N » A DISPARU…par Yvon CôtéOn ne saura sans doute jamais quand, exactement,au cours <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> huit ans, c<strong>et</strong>te disparition est survenue.Mais en 1996, « N » s’accolait toujours à « TIC » <strong>et</strong> formait avec lui l’acronyme « NTIC »pour désigner les Nouvelles Technologies <strong>de</strong> l’Information <strong>et</strong> <strong>de</strong> la Communication…En 1996, en eff<strong>et</strong>, on lesappelait encore les « NTIC »;huit ans plus tard, ça fait déjàun certain temps que le qualificatif« nouvelles » est disparu <strong>et</strong> qu’on neparle plus que <strong>de</strong>s « TIC ». Faut-ilpenser pour autant que c<strong>et</strong>te « disparition» signifie une intégrationcomplète, assumée <strong>et</strong> pleinementvécue <strong>du</strong> phénomène? Détromponsnous: pour beaucoup <strong>de</strong> mon<strong>de</strong>encore, ces technologies <strong>de</strong>meurenttrès nouvelles <strong>et</strong> parfois même,intimidantes.La relecture <strong>du</strong> dossier sur les TIC,pardon! sur les NTIC, paru dans lenuméro <strong>de</strong> mars-avril 1996 1 <strong>de</strong> Viepédagogique, nous révèle biend’autres choses encore quand on lam<strong>et</strong> en parallèle avec celle <strong>du</strong> dossiersur… le même suj<strong>et</strong>, qui paraîtdans le présent numéro <strong>de</strong> la revue.Serez-vous pétris d’étonnement enapprenant que le compte ren<strong>du</strong> <strong>de</strong>la table ron<strong>de</strong> qui avait été tenuealors avec <strong>du</strong> personnel enseignantcontient le mot « Intern<strong>et</strong> » exactement…zéro fois?… Mais, encoreEN PARALLÈLECe qu’on disait en 1996 Ce qu’on dit en 2004«Si la tendance se maintient, pourutiliser une expression chère auxmédias, les jeunes baigneront <strong>de</strong> plusen plus dans c<strong>et</strong>te culture. » (RobertDavid 2 )« Les NTIC doivent avoir une placeéquivalente à celle que l’on a donnée,au cours <strong>de</strong>s siècles passés, à la lecture<strong>et</strong> à l’écriture. Tous peuvent <strong>et</strong>doivent y être formés. » (MichelArcou<strong>et</strong> 3 )«De même que l’action <strong>de</strong>s “internautes”a permis <strong>de</strong> promouvoir leconcept d’Intern<strong>et</strong>, <strong>de</strong> même l’action<strong>de</strong>s enseignants peut fournir <strong>de</strong>s modèles,orienter <strong>de</strong>s pratiques. Il fautforger l’outil <strong>et</strong>, dans le contexteactuel, il serait malheureux d’en sousestimerl’eff<strong>et</strong>. » (Robert David 6 )« Enfin, l’utilisation d’instrumentsefficaces contribuerait à la construction<strong>de</strong>s apprentissages. Or les nouvellestechnologies <strong>de</strong> l’information <strong>et</strong><strong>de</strong> la communication peuvent jouer cerôle. D’abord, leur eff<strong>et</strong> sur la motivation<strong>de</strong>s élèves est connu. » (Tableron<strong>de</strong> avec <strong>de</strong>s enseignants, compteren<strong>du</strong> <strong>de</strong> Luce Brossard 8 )« Nous savons désormais que l’intégration<strong>de</strong>s NTIC suppose une bonne dosed’humilité <strong>et</strong> <strong>de</strong> détachement à l’égard<strong>de</strong> son propre rôle comme enseignant<strong>et</strong> nous savons enfin que les NTICappellent un décloisonnement <strong>de</strong>smatières. » (M. Desbiens, D. Drouin <strong>et</strong>C. Roussel 10 )D’INTERNETET DES TICEN GÉNÉRALD’INTERNETEN PÉDAGOGIEDES TICET DE LAMOTIVATIONDES ÉLÈVESSUR LES TICET LESENSEIGNANTSplus surprenant peut-être, combien<strong>de</strong> fois, pensez-vous, ce même motapparaît-il dans le compte ren<strong>du</strong> <strong>du</strong>présent dossier <strong>de</strong> la table ron<strong>de</strong>avec <strong>de</strong>s enseignants…? Dix fois…?Quinze fois ou plus…? Non : troisfois, bien comptées… Pourtant,l’émergence plus que spectaculaire<strong>de</strong> la « Gran<strong>de</strong> Toile », ces <strong>de</strong>rnièresannées, ne fait <strong>de</strong> doute dansl’esprit <strong>de</strong> personne <strong>et</strong> d’ailleurs,dans plusieurs autres articles parusdans le dossier <strong>de</strong> 1996, c<strong>et</strong>tepoussée d’Intern<strong>et</strong> était annoncée.« 99 p. cent <strong>de</strong>s adolescents ont accédé à Intern<strong>et</strong> <strong>du</strong>rant lessix mois précédant l’enquête. » 4« Il n’est pas nécessaire d’avoir tout <strong>de</strong> suite une utilisationdans 100 p. 100 <strong>de</strong>s classes pour que 100 p. 100 <strong>de</strong>s élèvessachent utiliser les TIC pour apprendre. <strong>Dans</strong> la planification<strong>de</strong> l’enseignement, chaque école peut se <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r si àchaque cycle, chacun <strong>de</strong>s élèves sera sollicité, même si celan’est pas possible à chaque année. » 5« Les intervenants à PROTIC étaient non seulement motivéspar les possibilités pédagogiques <strong>de</strong> leur nouvel outil <strong>de</strong> travail,l’ordinateur branché à Intern<strong>et</strong>, mais par l’occasion quileur était fournie <strong>de</strong> faire l’école autrement <strong>et</strong> d’être soutenuspar l’école à c<strong>et</strong> égard. » (Thérèse Laferrière 7 )« La motivation <strong>de</strong>s élèves se tra<strong>du</strong>it par leur engagement dansla tâche ou le proj<strong>et</strong> d’apprentissage <strong>et</strong> <strong>de</strong> nombreuses heuresd’observation passées en classe PROTIC <strong>et</strong> en classe ordinairenous l’ont fait constater à maintes reprises. Cependant lamotivation n’est pas nécessairement constante <strong>et</strong> <strong>de</strong> tousles moments, <strong>et</strong> les élèves <strong>de</strong>meurent <strong>de</strong>s adolescents avectous les intérêts <strong>et</strong> les réactions bien <strong>de</strong> leur âge. » (ThérèseLaferrière 9 )« Sophie Hamel nous rappelle l’importance <strong>de</strong> respecter lesdifférences chez les enseignants, l’importance aussi <strong>du</strong> réseauhumain. Stéphane Côté pense qu’il faut inviter les enseignantsà partager entre eux ce qui se fait. “Regar<strong>de</strong>r ce que tes élèvessont capables <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ire, être spectateur <strong>et</strong> t’émerveiller<strong>de</strong>vant leur travail. Transm<strong>et</strong>tre aux autres enseignants que lesrésultats dépassent <strong>de</strong> beaucoup l’investissement.” » (Tableron<strong>de</strong> avec <strong>de</strong>s enseignants, compte ren<strong>du</strong> <strong>de</strong> Marie-FranceLaberge 11 )Nous vous proposons, dans le tableauci-contre, <strong>de</strong> prendre connaissanced’autres aspects <strong>de</strong>s TIC tels qu’onen parlait en 1996 <strong>et</strong> tels qu’on enparle aujourd’hui, en 2004.Aux collaborateurs <strong>et</strong> collaboratricesqui ont raconté leurs expériencesavec les « NTIC » dans ledossier présenté en 1996 dans Viepédagogique, nous lançons uneinvitation : écrivez-nous pour nousdire quel a été votre cheminement<strong>de</strong>puis lors, où vous en êtes huit ansplus tard, quelles interrogations<strong>de</strong>meurent, <strong>et</strong>c. Votre témoignagesera déposé dans le site Intern<strong>et</strong> <strong>de</strong>Vie pédagogique.Vous aurez vite compris que, si l’espacequi nous était dévolu ici nousl’avait permis, nous aurions pu continuerainsi pendant quelques pages.M. Yvon Côté est chargé <strong>de</strong>dossier à la Direction <strong>de</strong>s ressourcesdidactiques <strong>du</strong> ministère<strong>de</strong> l’É<strong>du</strong>cation <strong>et</strong> membre<strong>du</strong> comité <strong>de</strong> rédaction.1. Vie pédagogique, n o 98, mars-avril 1996,p. 15-38.2. «De quel mon<strong>de</strong> parlons-nous? », dansVie pédagogique, n o 98, mars-avril 1996,p. 18.3. «Risque-t-on <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir analphabète sion ne sait pas utiliser les NTIC? », dansVie pédagogique, n o 98, mars-avril 1996,p. 26.4. Chiffres <strong>de</strong> l’enquête NETados 2004 <strong>du</strong>CEFRIO tels que rapportés par Clau<strong>de</strong>Séguin dans son article intitulé Ce qu’onentend sur les TIC, dans le présentnuméro.5. Enquête NETados 2004 <strong>du</strong> CEFRIO.6. «De quel mon<strong>de</strong> parlons-nous? », dansVie pédagogique, n o 98, mars-avril 1996,p. 19.7. «Dix ans après », dans le présent numéro.8. «Que faut-il faire apprendre aux élèves? »,Vie pédagogique, n o 98, mars-avril 1996,p. 21.9. «Protic, dix ans après », dans le présentnuméro.10.«Enseigner avec les NTIC ou commentune équipe peut s’engager sur la voie <strong>de</strong>l’école <strong>de</strong> <strong>de</strong>main », Vie pédagogique,mars-avril 1996, p. 27.11. « Qu’en pensent les enseignants? », dansle présent numéro.PÉDAGOGIQUE72004<strong>DOSSIER</strong>
DE BEAUX ADOS, PAS FORCÉMENT « TECHNOS »…par Yvon CôtéTABLE RONDE RÉUNISSANT DES ÉLÈVES DU SECONDAIRE« Je voudrais, moi aussi, vous remercier… »<strong>DOSSIER</strong>Nous sommes aux <strong>de</strong>rniersinstants d’une table ron<strong>de</strong>regroupant dix élèves <strong>de</strong><strong>de</strong>ux écoles secondaires, l’écoleMonseigneur-Parent, <strong>de</strong> Saint-Hubert, sur la rive sud <strong>de</strong> Montréal<strong>et</strong> l’école Havre-Jeunesse, <strong>de</strong> Sainte-Julienne, dans Lanaudière. Ils sontvenus échanger avec nous sur laplace qu’occupent les technologies<strong>de</strong> l’information <strong>et</strong> <strong>de</strong> la communication(TIC) dans leur vie. Lesreprésentants <strong>de</strong> Vie pédagogique,déjà impressionnés par la qualité<strong>de</strong> la participation <strong>et</strong> l’engagementque ces grands ados ont démontréstout au long <strong>de</strong> la séance, achèventd’être conquis par l’initiative <strong>de</strong> c<strong>et</strong>teparticipante… De longs cheveuxbruns encadrant un fin visage ovaled’où émerge un sourire espiègle :« … car sans vouloir parlerau nom <strong>du</strong> groupe, je trouveque ç’a été très enrichissantpour moi aussi… c’est uneexpérience précieuse pournous… ».C’est à peu près dans ces mots ques’est achevée c<strong>et</strong>te rencontre. Nousdisons « à peu près », car <strong>de</strong>s difficultéstechniques (fallait bien quecela arrive au moment d’une tableron<strong>de</strong> portant sur les technologies…)ont fait que l’enregistrementsonore <strong>de</strong>s échanges n’a pasété à la hauteur. Ce contr<strong>et</strong>empsnous oblige à vous livrer un compteren<strong>du</strong> qui se limite à l’essentiel <strong>de</strong>sidées <strong>et</strong> <strong>de</strong>s propos recueillis auprès<strong>de</strong> ces jeunes sur chacune <strong>de</strong>squestions qui leur ont été soumises.ILS SONT BEAUX ET BELLES…Qu’ils ou elles s’affichent enProgressive Clothing, en RalphLauren ou autres vêtements à lamo<strong>de</strong>, qu’elles soient « en nombril »ou non, qu’elles portent leur cellulaireà la ceinture ou qu’ils portent<strong>de</strong>s boucles à l’oreille, ils sontbeaux <strong>et</strong> belles à regar<strong>de</strong>r, beaux <strong>et</strong>belles à écouter, beaux <strong>et</strong> bellesà voir aller… Au point que lesa<strong>du</strong>ltes vieillissants que noussommes se surprennent à rêver quela relève saura transformer ce mon<strong>de</strong>pas très joli que nous lui léguons…Ils vous regar<strong>de</strong>nt droit dans lesyeux, atten<strong>de</strong>nt patiemment quevous vous manifestiez <strong>et</strong> lorsquevous le faites, c’est avec attentionqu’ils vous écoutent <strong>et</strong> avec calmequ’ils vous répon<strong>de</strong>nt.Je sais, je sais, les ados d’aujourd’huine correspon<strong>de</strong>nt pas tous àc<strong>et</strong>te <strong>de</strong>scription idyllique… Maisles quatre filles <strong>et</strong> les six gars qui s<strong>et</strong>rouvaient autour <strong>de</strong> la table c<strong>et</strong>tejournée-là nous ont fait vivre <strong>de</strong>uxheures <strong>et</strong> <strong>de</strong>mie <strong>de</strong> ravissement.D’entrée <strong>de</strong> jeu, la responsable <strong>de</strong>Vie pédagogique a évoqué la distanc<strong>et</strong>emporelle séparant ces ados<strong>de</strong>s a<strong>du</strong>ltes aux têtes plus ou moinspoivre <strong>et</strong> sel (<strong>et</strong> parfois mêmeANNIE BLAISblanches…) qui allaient les écouter,en énumérant une série <strong>de</strong> mots quiont pour les jeunes d’aujourd’hui <strong>et</strong>pour ceux d’hier une significationfort différente : câble, cellulaire,programme, virus, surf, <strong>et</strong>c. Autant<strong>de</strong> vocables évoquant, pour les uns,Photo : Denis Garon<strong>de</strong>s réalités bien ancrées dans lemon<strong>de</strong> technologique d’aujourd’hui<strong>et</strong>, pour les autres, <strong>de</strong>s réalités différentes,associées à « leur » temps…Une fois bien posée c<strong>et</strong>te « différenciation» entre eux <strong>et</strong> nous, il leur aété <strong>de</strong>mandé <strong>de</strong> nous dire quelsétaient leurs loisirs préférés <strong>et</strong>quelle place occupait l’ordinateurdans leur vie quotidienne.Pour ce qui est <strong>de</strong>s loisirs, que laplanche à neige, le ski, le bask<strong>et</strong>ball,la bicycl<strong>et</strong>te ou la natationsoient <strong>de</strong>s activités régulières pourplusieurs n’a étonné personne;mais que l’ordi – <strong>et</strong> tout ce qui vientavec – soit, pour les uns, « trèsimportant », mais pour certains,constitue une activité parmid’autres, a constitué la premièresurprise <strong>de</strong> la journée, <strong>du</strong> moinspour certains d’entre nous. Nousnous serions atten<strong>du</strong>s, jeunesseoblige, à ce que nos interlocuteursfassent grand état <strong>de</strong> la nécessité <strong>et</strong><strong>de</strong> l’utilité <strong>de</strong> toute c<strong>et</strong>te quincaillerie.Mais c’est bien posément <strong>et</strong>sans remords aucuns (!…) qu’ilsont, comme ça, déclaré : « La compétitionsportive me laisse peu <strong>de</strong>temps pour ce genre <strong>de</strong> choses…».Ou encore : « Les TIC, c’est uneaffaire d’école, ce n’est pas unoutil quotidien pour moi. »En fait, pour plusieurs <strong>de</strong> ces ados,les TIC, si on y a accès à la maisonou à l’école, c’est tant mieux : çapeut être utile <strong>et</strong> amusant; maisbon, si on ne peut les utiliser parcequ’on n’a pas d’ordi sous la main,c’est « d’valeur », mais ce n’est pasun drame… Et lorsqu’on pianotesur un appareil, c’est souvent pourles usages les plus connus <strong>et</strong> lesplus faciles : un peu <strong>de</strong> traitement<strong>de</strong> texte, un peu <strong>de</strong> recherche dansIntern<strong>et</strong>, une tentative ou <strong>de</strong>ux<strong>de</strong> présentation « PowerPoint » <strong>et</strong>beaucoup <strong>de</strong> clavardage <strong>et</strong> d’écoute<strong>de</strong> musique. On n’a pas l’impression,sauf pour <strong>de</strong>ux ou trois d’entreeux, qu’ils ont une bonne idée <strong>de</strong>l’ampleur que revêt la révolutiontechnologique <strong>et</strong> <strong>de</strong>s immensespossibilités qui en découlent. Nonplus, d’ailleurs, qu’ils entrevoient lerevers <strong>de</strong> la médaille : les pièges <strong>et</strong>EDMOND-CLAUDE GARCIA-PELLETIERdésillusions que ce raz <strong>de</strong> maréepeut charrier avec lui. Loin <strong>de</strong> nousl’idée <strong>de</strong> les en blâmer : comme autemps <strong>de</strong> Gutenberg <strong>et</strong> <strong>de</strong> sonmachin à imprimer, nous sommestoutes <strong>et</strong> tous plus ou moins conscients<strong>de</strong>s bouleversements présents<strong>et</strong> à venir découlant <strong>de</strong> larévolution numérique en cours.Ce qui donne lieu à certains paradoxes.Ainsi, en ce qui concerne lesjeunes, ils sont suffisamment coolpour ne pas s’emballer trop vite <strong>et</strong>se m<strong>et</strong>tre à croire que les TIC vonttout régler, ce qui serait bien sûrune grave illusion, mais par ailleurs,ils n’entrevoient pas très bien toutce que la révolution <strong>de</strong>s TIC esten mesure <strong>de</strong> leur apporter, cequi pourrait aussi se révéler unecarence à la longue. Autrement dit,une partie <strong>de</strong> la réalité semble leuréchapper…Photo : Denis GaronVIE 8 Vie pédagogique 132, septembre-octobre2004
- Page 1 and 2: Numéro 132 Septembre • Octobre 2
- Page 4 and 5: Numéro 132Septembre-octobre 2004Re
- Page 8 and 9: Se doutent-ils, par exemple, quel
- Page 10 and 11: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 12 and 13: aussi chacune un. Le plus l’fun,c
- Page 14 and 15: je m’aperçois que les élèves f
- Page 16 and 17: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 18 and 19: Où sont les maîtres en intégrati
- Page 20 and 21: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 22 and 23: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 24 and 25: Certains prétendent qu’il faut c
- Page 26 and 27: LÀ OÙ TECHNOLOGIE RIME AVECHUMANI
- Page 28 and 29: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 30 and 31: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 32 and 33: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 34 and 35: en Italie; Démocratie et nazismeen
- Page 36 and 37: et sur leurs démarches d’apprent
- Page 38 and 39: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 40 and 41: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 42 and 43: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 44 and 45: puissent amener les élèves à com
- Page 46 and 47: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 48 and 49: Vie pédagogique 132, septembre-oct
- Page 50 and 51: Si la conception de l’article à
- Page 52 and 53: Vie pédagogique 132, septembre-oct