<strong>et</strong> sur leurs démarches d’apprentissageen français <strong>et</strong> en mathématiques.Les six classes correspondaient àtrois contextes différents, soit <strong>de</strong>uxclasses PROTIC, <strong>de</strong>ux classes d’enrichissement<strong>et</strong> <strong>de</strong>ux classes ordinaires.Les perceptions <strong>de</strong>s élèves <strong>de</strong>sclasses PROTIC ont été comparées àcelles <strong>de</strong>s autres classes concernantle français <strong>et</strong> les mathématiques.Les résultats ont indiqué que le climat<strong>de</strong>s classes Protic se distinguait<strong>de</strong> celui <strong>de</strong>s autres classes par lacollaboration <strong>et</strong> l’investigation <strong>et</strong>,dans une moindre mesure, par l’innovation<strong>et</strong> l’indivi<strong>du</strong>alisation. Lesstratégies d’apprentissage différaientprincipalement sur les plans <strong>de</strong>la construction <strong>de</strong> connaissances,<strong>du</strong> traitement en profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>scontenus <strong>et</strong>, dans la classe <strong>de</strong>mathématiques, <strong>de</strong> l’autorégulation.D’autre part, dans les classesProtic, les « buts d’évitement » serévélaient moins importants, tandisque les « buts <strong>de</strong> maîtrise » l’étaientplus dans la classe <strong>de</strong> mathématiques.Les mêmes élèves exprimaientplus <strong>de</strong> satisfaction quant à leursbesoins dans le cas <strong>de</strong>s mathématiques,accordaient plus <strong>de</strong> valeurau français <strong>et</strong> aux mathématiques <strong>et</strong>s’engageaient plus dans la classe <strong>de</strong>français.Photo : Denis GaronConcernant les relations entre lesvariables, l’efficacité personnelle<strong>de</strong>s élèves était liée à la satisfaction<strong>de</strong>s besoins d’appartenance <strong>et</strong> <strong>de</strong>pouvoir <strong>et</strong> à l’adoption <strong>de</strong> buts <strong>de</strong>maîtrise. La valeur accordée auxmatières était rattachée positivementà l’organisation pédagogique<strong>de</strong> la classe, à l’adoption <strong>de</strong> buts <strong>de</strong>maîtrise <strong>et</strong> négativement à l’adoption<strong>de</strong> buts d’évitement. Quantà l’engagement, il était coordonnésignificativement aux stratégiesadoptées par les élèves, dont l’autorégulation<strong>de</strong>s apprentissages.Par ailleurs, la motivation <strong>de</strong>sélèves se tra<strong>du</strong>it en règle généralepar leur engagement dans la tâcheou le proj<strong>et</strong> d’apprentissage : <strong>de</strong>nombreuses heures d’observationspassées en classe PROTIC <strong>et</strong> enclasse ordinaire nous l’ont fait constaterà maintes reprises. Cependant,la motivation n’est pas nécessairementconstante ni <strong>de</strong> tous lesmoments, <strong>et</strong> les élèves <strong>de</strong>meurent<strong>de</strong>s adolescents avec tous lescentres d’intérêt <strong>et</strong> les réactionsbien <strong>de</strong> leur âge.La place faite à l’activité cognitiveest l’obj<strong>et</strong> actuellement d’investigationsdiverses. Ainsi, les stagiairesen enseignement s’interrogent surleur rôle (gui<strong>de</strong>, médiateur) enclasse PROTIC, <strong>et</strong> leur base <strong>de</strong> données,« Knowledge Forum », ne cesse<strong>de</strong> croître en c<strong>et</strong>te matière. La directriceadjointe <strong>de</strong> même que lesenseignantes <strong>et</strong> les enseignantsréfléchissent ensemble au sein <strong>de</strong>leur communauté professionnelled’apprentissage aux meilleures conditionsà installer <strong>et</strong> à maintenir. Deson côté, une enseignante chercheà optimiser la communication pédagogiquedans une classe en réseau,<strong>et</strong> nombreux sont ses textes réflexifsà c<strong>et</strong> égard. À les analyser, on constateque le rôle <strong>de</strong> l’enseignant tientà la formulation d’intentions pédagogiquesqui tiennent compte <strong>de</strong>sobjectifs <strong>du</strong> programme scolaire,<strong>de</strong> l’intentionnalité <strong>de</strong> l’élève, <strong>de</strong>l’équipe <strong>de</strong> travail ou <strong>de</strong> la communautéd’apprentissage. Ce rôle tientégalement à la lecture que l’enseignantfait <strong>de</strong> l’état d’avancement <strong>de</strong>l’élève ou <strong>de</strong>s élèves, à la mise enplace <strong>de</strong>s conditions d’apprentissage<strong>et</strong> d’élaboration <strong>de</strong> connaissances, ycompris les leçons, les rencontresd’orientation, <strong>de</strong> coordination <strong>et</strong>d’évaluation <strong>du</strong> travail indivi<strong>du</strong>el, <strong>de</strong>groupe ou <strong>de</strong> la communauté d’apprentissage.L’accompagnement <strong>de</strong>sélèves dans leur cheminement d’apprentissages’exprime par une communicationqui leur donne accèsaux informations pertinentes ou auxidées <strong>de</strong> leurs camara<strong>de</strong>s. Les notions<strong>et</strong> les concepts explorés par lesélèves perm<strong>et</strong>tent <strong>de</strong> nommer avecjustesse ce qu’ils investiguent, toutcomme ces faits <strong>et</strong> interprétationsseront repris dans le but <strong>de</strong> poursuivrela construction <strong>du</strong> sens.D’autres enseignants ont exploré,au cours <strong>de</strong> la présente année, lespossibilités <strong>de</strong> simulations dans ledomaine <strong>de</strong>s mathématiques <strong>et</strong> <strong>de</strong>la science <strong>et</strong> l’un d’entre eux amême guidé <strong>de</strong>s élèves particulièrementmotivés <strong>et</strong> habiles dans leurparticipation à une communauté <strong>de</strong>pratique qui se consacre à la conception<strong>et</strong> à l’expérimentation <strong>et</strong>dont le noyau principal est constituéd’ex-stagiaires PROTIC (CoPains).Bref, le potentiel <strong>de</strong> l’ordinateur enréseau pour motiver le travail <strong>de</strong>sélèves est là. Cependant, la classe enréseau exige plus que <strong>de</strong>s ordinateursbranchés. L’équipe d’intervention<strong>et</strong> <strong>de</strong> recherche PROTIC s’occupedonc à comprendre les conditionspédagogiques <strong>et</strong> organisationnellesqui doivent régner pour assurer laréussite <strong>de</strong>s élèves.M me Thérèse Laferrière estprofesseure au Départementd’étu<strong>de</strong>s sur l’enseignement <strong>et</strong>l’apprentissage <strong>de</strong> la Faculté<strong>de</strong>s sciences <strong>de</strong> l’é<strong>du</strong>cation <strong>de</strong>l’Université Laval.Vie pédagogique 132, septembre-octobre2004Références bibliographiquesAPPLE CLASSROOMS OF TOMORROW [ACOT].Changing the Conversation about Teaching,Learning, and Technology : A report on tenyears of ACOT research, Cupertino, CA,Apple Computer, 1995.BEREITER, C. <strong>et</strong> M. SCARDAMALIA.« Intentional Learning as a Goal ofInstruction », dans L. B. Resnick (Ed.),Knowing, Learning, and Instruction :Essays in Honor of Robert Glaser, Hillsdale,NJ, Lawrence Erlbaum Associates, 1989,p. 361-392.COGNITION AND TECHNOLOGY GROUP ATVANDERBILT. « Designing Environments toReveal, Support, and Expand our Children’sPotentials », dans S. Soraci & W. J. McIlvane(Eds.), Perspectives on FundamentalProcesses in Intellectual Functioning : vol. 1—A survey of research approaches, Stamford,CT : Ablex, 1998, p. 313-350.MEANS, B. <strong>et</strong> K. OLSON. Technology’s Rolein E<strong>du</strong>cation Reform : Findings from anational study of innovating schools.Washington, DC, U.S. Department ofE<strong>du</strong>cation, Office of E<strong>du</strong>cational Researchand Improvement, 1995.ROY, PEA, « Learning and Teaching withE<strong>du</strong>cational Technologies », dans H.J.Walberg & G.D. Haertel (eds.), E<strong>du</strong>cationalPsychology : Effective Practices and Policies,Berkeley, CA, McCutchan Publishers, 1996.SHEINGOLD, K. <strong>et</strong> M. HADLEY. AccomplishedTeachers : Integrating Computers intoClassroom Practice, New York, Bank Stre<strong>et</strong>College of E<strong>du</strong>cation, Center for Technologyin E<strong>du</strong>cation,1990.1. Financement obtenu <strong>du</strong> Fonds FCAR(1998-2001) <strong>et</strong> <strong>du</strong> Réseau <strong>de</strong>s centres d’excellenceen téléapprentissage (1995-2002),Programme <strong>de</strong>s centres d’excellence,Conseil <strong>de</strong> recherches en sciences humaines,Ottawa.2. Voir le document collectif Gestion <strong>de</strong> laclasse, communauté d’apprentissage(2001) : [www.tact.fse.ulaval.ca/tact2/ress2.html].3. LEGAULT, F. <strong>et</strong> T. LAFERRIÈRE. Impactd’une pédagogie <strong>de</strong> proj<strong>et</strong> assistée parl’ordinateur en réseau sur les croyancesmotivationnelles <strong>et</strong> l’engagement autravail <strong>de</strong>s élèves <strong>du</strong> secondaire. Étu<strong>de</strong>présentée sur concours au Colloque <strong>du</strong>Programme pancanadien <strong>de</strong> rechercheen é<strong>du</strong>cation 2001 (PPRE) « La technologie<strong>de</strong> l’information <strong>et</strong> l’apprentissage »,2002, [cmec.ca/stats/pcera/RSEvents02/FLegault_OFR.pdf].<strong>DOSSIER</strong>PÉDAGOGIQUE 41
RENCONTRE AVEC QUELQUES ARTISANSpar Clau<strong>de</strong> Beauchesne<strong>DOSSIER</strong>Après quelques années d’existence<strong>et</strong> <strong>de</strong>vant la réputation<strong>du</strong> Programme <strong>de</strong> formationintégrant les nouvelles approchespédagogiques <strong>et</strong> les technologies<strong>de</strong> l’information <strong>et</strong> <strong>de</strong>s communications,dit « PROTIC », la revueVie pédagogique ne pouvait résisterà la tentation <strong>de</strong> mieux circonscrireles conditions qui ont permis laréussite <strong>et</strong> la persistance <strong>du</strong> programmeen question.C’est donc dans c<strong>et</strong>te intentionque je me suis ren<strong>du</strong> à l’école LesCompagnons-<strong>de</strong>-Cartier (Commissionscolaire <strong>de</strong>s Découvreurs) poury rencontrer quelques-uns <strong>de</strong>s enseignants<strong>de</strong> PROTIC.Je n’avais jusque-là que peu enten<strong>du</strong>parler <strong>du</strong> programme <strong>et</strong>, commemonsieur ou madame Tout-lemon<strong>de</strong>,j’avais surtout r<strong>et</strong>enu quechacun <strong>de</strong>s élèves <strong>de</strong> PROTIC étaitéquipé d’un ordinateur portable<strong>et</strong> branché sur Intern<strong>et</strong>. En consultantle site <strong>du</strong> programme[www.protic.n<strong>et</strong>] en vue <strong>de</strong> ma rencontreavec la responsable <strong>et</strong>quelques enseignants, j’ai tout <strong>de</strong>suite découvert que l’intégration<strong>de</strong>s TIC à l’apprentissage, bienqu’elle soit un élément fondamental<strong>du</strong> programme, n’était pas – loin <strong>de</strong>là – le seul aspect qui caractérisaitce programme. Les TIC semblaientplutôt constituer un catalyseur perm<strong>et</strong>tantd’appliquer <strong>de</strong>s stratégiespédagogiques variées <strong>et</strong> <strong>de</strong> voirémerger une communauté d’apprentissage.À QUOI TIENT LA MOTIVATIONDES ÉLÈVES?Comparativement à d’autres programmes<strong>du</strong> secondaire qui se distinguentpar un curriculum enrichiou par la pratique intensive d’unediscipline artistique ou sportive,PROTIC est axé sur une philosophieé<strong>du</strong>cative – un credo, diront certainsspécialistes – dont les grands principesétaient déjà énoncés par leConseil supérieur <strong>de</strong> l’é<strong>du</strong>cation dansson rapport annuel <strong>de</strong> 1969-1970,intitulé L’activité é<strong>du</strong>cative, soit lareconnaissance <strong>de</strong> l’élève commeagent premier <strong>de</strong> ses apprentissages,auprès <strong>de</strong> qui l’enseignantjoue un rôle d’accompagnateur.Ainsi, l’élève s’engagera activementdans sa formation dans la mesureoù il sera placé dans <strong>de</strong>s « situationsd’apprentissage signifiantes <strong>et</strong>variées qui représentent pour lui<strong>de</strong>s défis <strong>et</strong> l’incitent à utiliser sesstratégies cognitives <strong>et</strong> métacognitivespour construire ses savoirs <strong>et</strong>développer sa personnalité » (Cadre<strong>de</strong> référence <strong>de</strong> PROTIC 1997).Les élèves inscrits à PROTIC ne sontpas nécessairement tous parmi lesplus « performants » – certains, parexemple, peuvent éprouver <strong>de</strong>s difficultésconcernant le français oules mathématiques –, mais ils nesont pas non plus caractérisés par<strong>de</strong>s difficultés à fonctionner dansune classe ordinaire. À noter que78 p. 100 <strong>de</strong>s élèves sont <strong>de</strong> sexemasculin. Cependant, ils « <strong>de</strong>meurent<strong>de</strong>s adolescents… » (entendre,« parfois indisciplinés ») : les enseignantsconsidèrent néanmoins queleurs élèves sont généralement plusmotivés, voire beaucoup plus queceux <strong>de</strong> l’enseignement ordinaire.Cela se manifeste par le temps supplémentaireconsacré à la réalisationd’un proj<strong>et</strong>, la qualité <strong>de</strong>stravaux ou <strong>de</strong>s présentations (souventsupérieure à toutes les exigencesque l’on pourrait avoirà leur endroit), la disponibilité àaccompagner – sous supervision <strong>de</strong>l’enseignant – d’autres élèves quiéprouvent <strong>de</strong>s difficultés dans unematière ou l’autre… Le fait <strong>de</strong>travailler à <strong>de</strong>s proj<strong>et</strong>s personnelsperm<strong>et</strong> à <strong>de</strong>s élèves, peut-être plusfaibles dans certaines matières scolaires,<strong>de</strong> démontrer <strong>de</strong>s aptitu<strong>de</strong>sparticulières qu’ils n’auraient pum<strong>et</strong>tre en valeur dans un autrecadre d’apprentissage. Plusieursélèves développent ainsi leurs aptitu<strong>de</strong>sd’entrepreneur, <strong>de</strong> créateur,<strong>de</strong> lea<strong>de</strong>r, <strong>de</strong> critique, <strong>et</strong>c.PROTIC se caractérise donc toutautant par la pédagogie par proj<strong>et</strong>s,l’interdisciplinarité, l’apprentissagecoopératif, le titulariat, le tutorat,le développement <strong>de</strong>s compétencestransversales… que par l’ordinateurportable <strong>et</strong> l’utilisation d’Intern<strong>et</strong>.D’ailleurs, les TIC n’y font pasl’obj<strong>et</strong> d’un enseignement disciplinaire,mais sont plutôt intégréesaux disciplines <strong>et</strong> aux proj<strong>et</strong>s multidisciplinairesréalisés par lesélèves. Plus exactement, ceux-ci nesont pas amenés à se « spécialiser »dans les TIC mais à « développer uneculture technologique », laquelle estpartout présente. Le curriculum est,à peu <strong>de</strong> chose près, le mêmequ’à l’enseignement ordinaire : tousles élèves sont cependant inscritsen anglais, langue d’enseignement(même s’ils suivent l’enseignementen français); le fait que les enseignants<strong>du</strong> programme assument aumoins <strong>de</strong>ux disciplines dans unemême classe offre la possibilité<strong>de</strong> mo<strong>du</strong>ler les heures consacrées àchacune <strong>de</strong>s matières, sans compterque c<strong>et</strong>te organisation perm<strong>et</strong> auxenseignants <strong>de</strong> mieux connaîtrechacun <strong>de</strong>s élèves <strong>et</strong> <strong>de</strong> répondreaux besoins particuliers.L’ENGAGEMENTDES ENSEIGNANTSLe discours pédagogique <strong>de</strong>s enseignantsm’a gran<strong>de</strong>ment rappelécelui que j’avais enten<strong>du</strong> lors <strong>de</strong>mes visites dans quelques écolesalternatives <strong>de</strong> Montréal, au milieu<strong>de</strong>s années 90. PROTIC rappelleégalement la « voie technologique »<strong>de</strong>stinée à certains élèves <strong>du</strong> secondaire.Et mes interrogations étaientquelquefois les mêmes que cellesqui me venaient en tête à l’époque.«Avec la pédagogie par proj<strong>et</strong>s <strong>et</strong>l’intégration <strong>de</strong>s matières, notamment,n’y a-t-il pas risque <strong>de</strong> laisseréchapper <strong>de</strong>s connaissances essentielles?» Réponse : Il est souventétonnant <strong>de</strong> constater le nombre <strong>de</strong>« savoirs déclaratifs » (dates, noms<strong>de</strong> lieux <strong>et</strong> <strong>de</strong> personnages, événements,<strong>et</strong>c.) que les élèves vontchercher à partir d’une vaste questioncomme la suivante : « Qu’est-cequi a provoqué la chute <strong>de</strong> l’Empireromain? » ou à quel point ils peuventabondamment documenter le dossier<strong>du</strong> problème <strong>de</strong> l’eau enCalifornie. « Les élèves qui travaillentprincipalement à l’ordinateurseront-ils techniquement prêts à« subir » les examens <strong>du</strong> ministère<strong>de</strong> l’É<strong>du</strong>cation pour ce qui est <strong>du</strong>français, <strong>de</strong> l’histoire ou <strong>de</strong> la géographie?» Réponse : Les enseignantstiennent compte <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te réalité <strong>et</strong>veillent à ce que les élèves puissentquand même possé<strong>de</strong>r les exigences<strong>de</strong> base pour répondre àleurs besoins… Bref, les enseignantsmanifestent un enthousiasmepeu commun, qui va bien au-<strong>de</strong>là<strong>de</strong> l’utilisation <strong>de</strong>s TIC. De plus, tantsur le plan intellectuel <strong>et</strong> cognitifque sur le plan social <strong>et</strong> affectif, lesobjectifs poursuivis au sein <strong>de</strong> PRO-TIC sont sensiblement les mêmesque ceux <strong>de</strong> la réforme qui débuterabientôt au secondaire.N’y aurait-il pas moyen <strong>de</strong> m<strong>et</strong>tre enœuvre les mêmes stratégies pédagogiquessans utiliser l’ordinateurbranché sur Intern<strong>et</strong>? Théoriquement,peut-être. Cependant, selonles enseignants rencontrés, les TICreprésentent l’outil par excellencepour m<strong>et</strong>tre en œuvre les approchespédagogiques mo<strong>de</strong>rnes.VIE 42 Vie pédagogique 132, septembre-octobre2004Photo : Denis Garon
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