Vie pédagogique 132, septembre-octobre2004d’un cent canadien ou que, inversement,un dollar canadien vaut plus<strong>de</strong> 450 pesos chiliens, les élèvesétaient un peu déboussolés. Ceuxqui ne connaissaient que la monnaiecanadienne ne pouvaient s’imaginer<strong>de</strong>s valeurs si différentes dansd’autres systèmes monétaires. Cesont les élèves d’origine chilienneou sud-américaine qui ont purépondre à leurs questions :•«Il y a <strong>de</strong>s pièces <strong>de</strong> 100 pesos aulieu d’avoir <strong>de</strong>s pièces <strong>de</strong> 1 cent <strong>et</strong>il existe <strong>de</strong>s bill<strong>et</strong>s <strong>de</strong> 10 000 pesosau lieu <strong>de</strong>s bill<strong>et</strong>s <strong>de</strong> 20 dollars. »•«Un paqu<strong>et</strong> <strong>de</strong> gomme à mâchercoûte 200 pesos. C’est beaucoup<strong>de</strong> pesos, mais ça vaut à peu près50 cents. <strong>Dans</strong> le fond, c’est moinscher là-bas. »•«Avec 1 million <strong>de</strong> dollars, tut’achètes une super belle maison,alors qu’avec 1 million <strong>de</strong> pesostu t’achètes un super bon ordinateur.»Les discussions ont été très intéressantes,notamment lorsque lesélèves se sont mis à comparer lavaleur <strong>de</strong> certains obj<strong>et</strong>s d’un paysà l’autre, par exemple, celle <strong>du</strong>paqu<strong>et</strong> <strong>de</strong> gomme à mâcher, maisaussi dans le cas <strong>de</strong>s vêtements,<strong>de</strong> la nourriture, <strong>de</strong>s disques compacts,<strong>du</strong> bill<strong>et</strong> d’entrée au cinéma,<strong>et</strong>c.En plus <strong>de</strong>s notions mathématiques(inverses multiplicatifs) <strong>et</strong> socioéconomiques,c<strong>et</strong>te activité a amené lesélèves à parler <strong>de</strong> macroéconomie.En eff<strong>et</strong>, la ressource principaleutilisée pour c<strong>et</strong>te partie <strong>de</strong> l’activitéétait le site <strong>de</strong> la Banque <strong>du</strong>Canada. Grâce à c<strong>et</strong>te source, lesélèves avaient accès à une informationtrès actuelle <strong>et</strong> ils étaient mêmeen mesure <strong>de</strong> saisir la dynamiquerelative aux fluctuations <strong>de</strong>s valeursmonétaires. Ayant remarqué que lestaux <strong>de</strong> change variaient d’unejournée à l’autre, les élèves se sontquestionnés sur les raisons <strong>et</strong> lesconséquences <strong>de</strong> tels changements.Bien sûr, les enseignants ont reprisleur rôle <strong>de</strong> référence pour parler<strong>de</strong>s causes <strong>de</strong> la variation quotidienne<strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> change, maisc’est le témoignage d’un élèvearrivé d’Argentine qui en montraitle mieux quelques conséquencespossibles sur la vie <strong>de</strong> jeunes <strong>de</strong>leur âge. Ainsi, grâce à l’expérienced’un <strong>de</strong> leurs camara<strong>de</strong>s, les élèvesse sont interrogés sur les facteursqui peuvent amener <strong>de</strong>s familles àimmigrer au Québec.<strong>Dans</strong> la troisième <strong>et</strong> <strong>de</strong>rnière étape<strong>de</strong> l’activité, les élèves <strong>de</strong>vaientd’abord r<strong>et</strong>rouver l’origine <strong>de</strong> septobj<strong>et</strong>s ach<strong>et</strong>és par un globe-trotterayant parcouru le mon<strong>de</strong>, avantd’en déterminer la valeur en dollarscanadiens. Ici, les élèves développaientune habil<strong>et</strong>é à multiplier <strong>de</strong>snombres décimaux entre eux.Comme aux autres étapes, mais ici<strong>de</strong> façon plus marquée, ce sont lesconnaissances <strong>de</strong>s élèves sur <strong>de</strong>scultures autres que la leur qui ontété valorisées. Par exemple, bienqu’il n’y ait eu aucun élève d’originebrésilienne dans les groupes, unemajeure partie d’entre eux a pudéterminer sans difficulté la provenance<strong>du</strong> chandail <strong>de</strong> soccer jaune<strong>et</strong> vert <strong>de</strong> l’équipe nationale <strong>du</strong>Brésil.Bref, l’activité Les monnaies <strong>du</strong>mon<strong>de</strong>, d’abord centrée autourd’apprentissages concernant lesmathématiques, par son contexteinternational <strong>et</strong> grâce à <strong>de</strong> l’informationsur d’autres pays obtenuepar les TIC, a aussi permis à tous lesélèves <strong>de</strong> première secondaire <strong>de</strong>l’école Père-Marqu<strong>et</strong>te <strong>de</strong> vivre unebelle expérience d’é<strong>du</strong>cation interculturelle.LES TIC ET LA VALORISATIONDU BAGAGE CULTURELPour l’activité Les monnaies <strong>du</strong>mon<strong>de</strong>, les TIC ont été utiliséescomme moyens <strong>de</strong> trouver <strong>et</strong> <strong>de</strong>présenter une information actuelle,venant <strong>de</strong> plusieurs sources différentes.Les compétences transversalesrelatives à l’utilisation <strong>de</strong>navigateurs, <strong>de</strong> moteurs <strong>de</strong> recherche<strong>et</strong> <strong>de</strong> cédéroms ont donné auxélèves une gran<strong>de</strong> autonomie dansleur quête <strong>de</strong> renseignements surles différents pays. Plusieurs ontmême réutilisé <strong>de</strong>s sources d’informationdécouvertes dans leur cours<strong>de</strong> géographie.Le contexte d’exploration internationaleest, bien enten<strong>du</strong>, plus quepropice à l’éveil d’un intérêt <strong>de</strong>sélèves pour le bagage culturel fortdiversifié <strong>de</strong> certains <strong>de</strong> leurs camara<strong>de</strong>s.Cependant, l’utilisation autonome<strong>de</strong>s TIC a fait que les élèvesont pu prendre un rôle très actifdans la recherche d’information surles autres pays. Ainsi, les élèves nese faisaient pas simplement raconterune histoire sur un autre pays,mais ils participaient à la construction<strong>de</strong>s connaissances <strong>du</strong> groupe.Par exemple, c’est un élève d’originenon pas chinoise mais québécoisequi a expliqué à son groupepourquoi la ville <strong>de</strong> Beijing s’appelaitaussi Pékin.L’utilisation <strong>de</strong>s TIC a aussi permisune plus gran<strong>de</strong> exploration <strong>de</strong>spays par la quantité d’images misesà la disposition <strong>de</strong> tous, notammentdans Intern<strong>et</strong>, sur les drapeaux, lasituation géographique, les pièces<strong>de</strong> monnaie, les villes <strong>et</strong> les paysages<strong>de</strong> chacun. <strong>Dans</strong> la <strong>de</strong>rnièrepartie <strong>de</strong> l’activité, <strong>de</strong>s élèves ontmême déniché une vidéo qui leur apermis <strong>de</strong> reconnaître le son d’un<strong>de</strong>s obj<strong>et</strong>s ach<strong>et</strong>és par le glob<strong>et</strong>rotter: le stealdrum.L’utilisation <strong>de</strong>s TIC a donc pouravantage, en milieu multi<strong>et</strong>hnique,<strong>de</strong> donner accès à un vaste répertoired’informations écrites, visuelles<strong>et</strong> même auditives sur les paysd’origine <strong>de</strong>s élèves.LE RAPPORT AU SAVOIRLa démocratisation <strong>de</strong> l’accès à l’informationengendrée par les TIC aun impact direct sur le rapportqu’entr<strong>et</strong>iennent les élèves, maisaussi les enseignants, avec les connaissancesabordées en classe.L’une <strong>de</strong>s répercussions est d’abordle développement d’une approchecritique dans la recherche <strong>de</strong>sources d’information. En eff<strong>et</strong>,lorsqu’une requête pro<strong>du</strong>it jusqu’àun million <strong>de</strong> résultats sur unmoteur <strong>de</strong> recherche, c’est seulementen rem<strong>et</strong>tant en question lapertinence <strong>de</strong> chacun qu’un élèveréussira à déterminer le site quiconvient le mieux à ses besoins.De même, la possibilité <strong>de</strong> trouversur Intern<strong>et</strong> <strong>de</strong>s informations contradictoiresest plus élevée que dans<strong>de</strong>s livres. Avant l’avènement d’Intern<strong>et</strong>,la fiabilité d’un documentutilisé en milieu scolaire était rarementmise en doute. Maintenant,l’accès à un nombre incalculable <strong>de</strong>sites par les élèves fait qu’il est difficilepour les enseignants <strong>de</strong> trierl’information avant que les élèves yaient recours. Ce rôle est transféréaux élèves eux-mêmes, qui doiventdorénavant s’interroger sur la crédibilité<strong>de</strong>s sites qu’ils consultent,surtout lorsque <strong>de</strong>ux sites présentent<strong>de</strong>s informations contradictoires.<strong>DOSSIER</strong>PÉDAGOGIQUE 35
<strong>DOSSIER</strong>Par ailleurs, les TIC <strong>et</strong> l’é<strong>du</strong>cationinterculturelle ont ceci d’intéressantqu’ils peuvent changer le rapportau savoir entre l’enseignant <strong>et</strong> sesélèves. Ainsi, en raison d’une utilisationplus fréquente <strong>de</strong>s TIC surcertains suj<strong>et</strong>s, il n’est pas rare <strong>de</strong>voir un élève possé<strong>de</strong>r plus <strong>de</strong> connaissancesen la matière que sonprofesseur. Il en va souvent <strong>de</strong>même lorsqu’on abor<strong>de</strong> <strong>de</strong>s questionsrelatives à <strong>de</strong>s pays, culturesou communautés différentes.Reconnaître ces connaissances <strong>et</strong>même donner à un élève le rôle <strong>de</strong>référence, habituellement réservé àl’enseignant, est un facteur importantd’intégration pour n’importequel élève, quelle que soit son origine.Reconnu pour ses compétencesparticulières sur un suj<strong>et</strong>, il <strong>de</strong>vientcelui qui peut répondre aux questions<strong>de</strong> ses camara<strong>de</strong>s <strong>et</strong> même àcelles <strong>de</strong> son enseignant.Chez les élèves issus d’une immigrationrécente, c<strong>et</strong>te reconnaissance<strong>de</strong>vient particulièrement intéressanteparce qu’elle perm<strong>et</strong> une valorisation<strong>de</strong> leur culture, leur indiquantque celle-ci a une place dans lasociété québécoise. C<strong>et</strong>te reconnaissancesymbolise aussi pour cesélèves la réciprocité <strong>de</strong> l’intérêtentre la culture d’accueil <strong>et</strong> la leur.<strong>Dans</strong> le cas <strong>de</strong>s élèves qui ontparticipé à l’activité Les Monnaies<strong>du</strong> Mon<strong>de</strong>, on a pu observer, d’unepart, le développement d’une curiosité<strong>de</strong>s élèves envers leurs camara<strong>de</strong>sd’une culture différente <strong>et</strong>,d’autre part, une diminution <strong>de</strong> lagêne qu’éprouvent certains élèves àparler <strong>de</strong> leurs origines <strong>et</strong> <strong>de</strong> leurbagage culturel. En intégrant àd’autres activités subséquentes <strong>de</strong>séléments relatifs à la diversité, il aété possible <strong>de</strong> maintenir les acquisdéveloppés ici <strong>et</strong> même d’abor<strong>de</strong>rd’autres aspects <strong>de</strong> l’é<strong>du</strong>cationinterculturelle.LES TIC ET LADIVERSIFICATION DESCONTEXTES D’APPRENTISSAGEL’activité Les monnaies <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>était basée sur l’emploi <strong>de</strong>s TICcomme outils d’apprentissage <strong>et</strong>présentait l’avantage principal <strong>de</strong>situer <strong>de</strong>s thèmes mathématiquesdans un contexte réel <strong>et</strong> international.C<strong>et</strong>te mise en situation avaitnon seulement un intérêt didactique,mais elle perm<strong>et</strong>tait aussi <strong>de</strong>valoriser la diversité culturelle.C’est donc surtout par une diversification<strong>de</strong>s contextes d’apprentissage,ici à l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong>s TIC, qu’il aété possible d’abor<strong>de</strong>r un aspect <strong>de</strong>l’é<strong>du</strong>cation interculturelle.Il va sans dire que Les Monnaies <strong>du</strong>Mon<strong>de</strong> est un exemple ponctueld’intégration <strong>de</strong> l’é<strong>du</strong>cation interculturelledans une activité pédagogique.Susciter une ouverture à ladifférence chez les élèves <strong>et</strong> favoriserl’harmonie dans la diversitésont <strong>de</strong>s préoccupations qui nécessitentune approche plus large,globalement intégrée aux activitésd’apprentissage <strong>et</strong> à la vie scolaire.L’avantage qu’offrent les TIC dansune telle approche globale d’é<strong>du</strong>cationinterculturelle, c’est que parles sites Intern<strong>et</strong>, les vidéos, la musique<strong>et</strong> les images, il est possibled’intégrer l’exploration culturelleaux activités d’apprentissage quotidiennes.M. Réginald Fleury est enseignantà l’école secondairePère-Marqu<strong>et</strong>te, <strong>de</strong> la Commissionscolaire <strong>de</strong> Montréal.1. Voir le site suivant : www.csdm.qc.ca/p_marqu<strong>et</strong>te_s/Proj<strong>et</strong>s/math116/Activités%20Math-Info.htm.2. [http://www.fi.uu.nl/wisweb/welcome_en.html]DES CLASSES OUVERTESSUR LE MONDE, AU COLLÈGEDE L’ASSOMPTIONpar Guy LusignanBBeaucoup d’enseignants ontcommencé à exploiter lestechnologies <strong>de</strong> l’information<strong>et</strong> <strong>de</strong> la communication (TIC)en classe. Depuis quelques années<strong>et</strong> dans plusieurs matières, c<strong>et</strong>tecompétence transversale a <strong>de</strong>sracines bien implantées. Vie pédagogiquea rencontré une équiped’enseignantes <strong>et</strong> d’enseignants <strong>du</strong>Collège <strong>de</strong> l’Assomption 1 qui exploiteles TIC principalement dans l’enseignement<strong>de</strong>s sciences humaines 2 .En vue d’en savoir plus sur leurspratiques, différentes questions ontété abordées, par exemple, les raisonsqui ont motivé l’exploitation<strong>de</strong>s TIC, les principaux eff<strong>et</strong>s surl’enseignement <strong>et</strong> l’apprentissage, lesuivi <strong>de</strong>s élèves, la perception <strong>de</strong>senseignants <strong>et</strong> celle <strong>de</strong>s élèves <strong>de</strong>même que les difficultés éprouvées.UNE RÉFLEXION À LA BASEDU CHANGEMENTPour Norbert Viau, enseignant d’histoire<strong>et</strong> <strong>de</strong> géographie <strong>de</strong> cinquièmesecondaire, après un peu plus <strong>de</strong>vingt ans d’expérience, le passage<strong>de</strong> l’enseignement traditionnel àl’exploitation <strong>de</strong>s TIC est la conséquenced’une réflexion sur sonenseignement. Une réflexion qui estalimentée par <strong>de</strong>s lectures sur l’enseignementstratégique <strong>et</strong> <strong>de</strong>s ouvrages<strong>de</strong> Philippe Meirieu ainsi que parl’observation attentive <strong>de</strong>s comportementsd’apprentissage <strong>de</strong>s élèves.C<strong>et</strong>te réflexion l’a con<strong>du</strong>it, il y a environhuit ans, à se poser la questionsuivante : « Mes élèves réussissent,mais apprennent-ils vraiment? »C’est en voulant répondre à c<strong>et</strong>tequestion que Norbert Viau a étéamené à revoir ses pratiques d’enseignementqui étaient appréciées<strong>de</strong>s élèves <strong>et</strong> efficaces dans la mesureoù ces <strong>de</strong>rniers réussissaient trèsbien.Un changement s’imposait, certes,mais pas n’importe lequel. Le dispositifque Norbert Viau veut m<strong>et</strong>treen place doit faire <strong>de</strong> la classe unlieu d’apprentissage plutôt qu’unlieu d’enseignement. Le dispositifdoit perm<strong>et</strong>tre à l’élève d’avoir entout temps à sa disposition les informationsnécessaires à la réalisation<strong>de</strong> ses travaux. Il doit favoriser lacollaboration entre les élèves parun aménagement matériel approprié<strong>de</strong> la classe qui facilite l<strong>et</strong>ravail en équipe <strong>et</strong> développerleur sens <strong>de</strong>s responsabilités. Enfin,il est important que les changementsapportés puissent perm<strong>et</strong>treà l’enseignant d’ai<strong>de</strong>r l’élève quandcelui-ci en a besoin <strong>et</strong> d’assurer unmeilleur suivi <strong>de</strong> son apprentissage.Parallèlement à sa réflexion <strong>et</strong> unpeu <strong>de</strong> manière fortuite, NorbertViau découvre un outil très efficacepour accé<strong>de</strong>r à <strong>de</strong>s informationsnombreuses <strong>et</strong> actuelles <strong>et</strong> soutenirl’apprentissage dans le domaine <strong>de</strong>ssciences humaines : Intern<strong>et</strong>. Enexplorant le Web, il se rend alorscompte que <strong>de</strong>s enseignants seservent <strong>de</strong>s TIC en classe <strong>et</strong> qu’ilexiste <strong>de</strong>s programmes ayant pourobj<strong>et</strong> <strong>de</strong> développer leur utilisation,comme le programme Rescol.Il y a donc environ cinq ans, NorbertViau <strong>et</strong> son collègue FernandLaberge, enseignant d’histoire <strong>de</strong>quatrième secondaire, conçoiventun proj<strong>et</strong> pour exploiter les TIC enclasse. Ils le présentent à la direction,laquelle accepte d’y donnersuite. Dès l’année suivante, <strong>de</strong>uxsalles sont équipées chacune d’unedouzaine d’ordinateurs reliés enréseau <strong>et</strong> branchés à Intern<strong>et</strong> pour« qu’il y ait une intégration constante<strong>de</strong>s TIC », précise NorbertViau.L’expérience est positive <strong>et</strong> a uneff<strong>et</strong> d’entraînement auprès d’autresenseignants qui déci<strong>de</strong>nt alors <strong>de</strong> selancer dans une entreprise semblable.Ainsi, Louise Proulx s’estengagée dans l’aventure il y a troisVIE 36 Vie pédagogique 132, septembre-octobre2004
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