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Novembre 20<strong>09</strong> • n° 9Magazine de BeciBrussels Enterprises Commerce & IndustryDOSSIER BRUSSELS,FROM BORING TO DARING :Où est Bruxellesdans le débatdu city marketing ?BRUNO DE LILLE,SECRÉTAIRED’ETAT BRUXELLOIS:« La chargeadministrative doitdiminuer de 25% »Interview de Fabrice Wuyts,CEO de Proximedia« L’Entreprise de l’Année 20<strong>09</strong> »


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editoEmmanuel van Innis,Président de BeciLa Mobilité, enjeu métro(politain) ?Un rapport, établi par plusieurs auteurs se revendiquantdu soutien d’un ensemble d’associationsactives en matière de mobilité, circule actuellementpour prôner « la réouverture du débat sur la visionde la mobilité et du système des transports à Bruxelles ».Ce rapport stigmatise la « Métrovision » de la STIB et luioppose une « Cityvision » que ses auteurs estiment porteused’une « politique véritablement régionale », reposantsur la participation des communes et répondantaux aspirations de la population bruxelloise qui souhaiteavant tout raccourcir le temps « porte à porte » des déplacementsen transports publics.Selon ces auteurs, la politique actuelle de la STIB, fondéesur le développement du métro complété par des « lignesde rabattement », aurait pour résultat de multiplier les« ruptures de charge » entre les lignes, sans améliorer lesconditions de déplacement à Bruxelles. Cette situationexpliquerait, toujours selon ces auteurs, le peu de succèsdes transports publics dans la Région. Elle constituerait« un geste d’impuissance » de la STIB ne pouvant assurerla régularité de ses lignes de surface, et « une opérationde lobbying intense » pour remettre à l’ordre du jour, l’extensiondu métro, mode de transport au coût exorbitant,mais répondant « à la satisfaction de certains ingénieursmaisonfrustrés de n’avoir pu réaliser de grands travauxsouterrains depuis la création de la région » (sic) !Dire que ce rapport nous paraît totalement inappropriéconstitue un euphémisme ! D’abord parce qu’il procèded’une vision étriquée de la mobilité, centrée sur la dimensionpurement locale de Bruxelles, et bien éloignée de laréalité (et de notre vision) « métropolitaine » de la Régionqui fait de celle-ci un levier de développement social etéconomique pour le pays et ses trois Régions.La politique de mobilité doit nécessairement procéder dece contexte élargi, et permettre l’optimisation des déplacementsau sein de cet espace économique bruxellois quidépasse très largement le contour des 19 communes de laRégion. Les défis de la mobilités ne sont en effet pas lesmêmes lorsque l’on s’adresse à 135 communes, 3 millionsd’habitants, 1,4 millions d’emplois et 543 000 élèves.Le métro apparaît dans cet ensemble, avec le RER dontnous soulignons l’urgence de façon récurrente, commele maillon essentiel d’un réseau de mobilité qui doit êtreperformant et cohérent avec l’ensemble des infrastructuresde déplacement des trois régions.Ce rapport repose par ailleurs sur un ensemble de contrevérités,et méconnaît ostensiblement la plupart des indicateursrécemment publiés en matière de mobilité. Suivantces derniers, le métro, qui constitue un peu plus de5% des lignes de transport en commun, représente prèsde 50% du volume clientèle. Ce taux est de 26% pour lestrams, et de 26% pour les bus.L’affirmation du « manque de succès » du réseau de transporten commun méconnaît également les statistiquesde fréquentations publiées chaque années par la STIB.L’accroissement du nombre de voyageurs est de plus de3% en 2008 (par rapport à 2007), cet accroissement étantde 6% pour le métro. Il est de 40% pour les dix dernièresannées.Quant au coût du métro, il faut noter qu’en termes d’exploitation,il est de 10% inférieur au bus, et de 38% inférieurau tram. Les investissements, certes élevés en termesd’infrastructures, comportent cependant un effetmultiplicateur fort important en termes d’offre de transport.Pour le bouclage de la petite ceinture du métro, 3%d’investissements supplémentaires ont apporté 36% deplaces supplémentaires.Enfin, il se confirme que le métro est l’un des seuls modesde transports en commun (avec le RER) susceptibles de rallierles automobilistes. Les statistiques récentes publiéespar l’administration montrent en effet que, contre lesidées généralement reçues, le volume du trafic automobiles’est réduit de 4% entre 2003 et 2008. La coïncidenceavec les chiffres de l’accroissement de la fréquentation dumétro est à cet égard éclairante et encourageante.La poursuite du développement du métro constitue pourle fonctionnement de l’espace économique bruxellois(BMR) un impératif.À la question de savoir si <strong>BECI</strong> peut souscrire à l’analysedu rapport, la réponse est bien entendu non. Mille foisnon ! 1N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


sommaire NOVEMBRE <strong>09</strong>BRUSSELS ENTERPRISES COMMERCE& INDUSTRY1 Edito4 InterviewFabrice Wuyts, CEO de Proximedia8 EnjeuxAdapter la mobilité au 21 e siècle14 Beci Talk ShowQuo Vadis, Brucsellae ?16 EnjeuxLa reduction des charges administratives18 Espace Membres23 <strong>BECI</strong> et La Maison d’Anne Frank28 <strong>BECI</strong> Energy Breakfast36 <strong>BECI</strong> Assemblée général58 Bloc-notes60 Demandes d’admission - Index pub<strong>Entreprendre</strong> est le mensuel de Beci(Chambre de Commerce & Uniondes Entreprises de Bruxelles)Editeur responsableOlivier Willocx ow@beci.beAvenue Louise 500 • 1050 Bruxellest +32 2 648 50 02 • f +32 2 640 93 28www.beci.beRédactionResponsable : Roel Veyt rv@beci.beCollaborateurs : Luc Rivet • Vincent Delannoy• Hélène Legrand • Michael Grosjean• Sylvie Cousin • Carline Taymans • Jean Blavier• Olivier Duquesne • Geert Degrande• Jacqueline Remits • Guy Bernard • Johan DillenProduction & AbonnementsDesign : MegalunatriumviraatGraphisme – Impression: DB PrintTraduction: Pascale SwaelensPhotos de couverture : © Jan Van de Vel/ReportersL’ENTREPRISE AU QUOTIDIEN26 Boîte à outils31 BizzBox33 <strong>BECI</strong>, un soutien à l’entreprise de A à ZTous droits réservés – Reproductions interdites sans autorisationécrite de l’éditeurAbonnementsPrix : 80 € pour 10 numéros + Who’s who Beci.Infos : da@beci.be • t 02 643 78 34Partenaires structurels de BeciDOSSIERBruxelles, from Boring to Daring39 City Marketing : Bruxelles comme marque44 Le nouveau Square Brussels Meeting Centreest arrivé !49 Thoughtprovocing ideas pour Bruxelles :osons sortir des sentiers battus56 Probo, robot et câlin à la foisPUBLICITÉ<strong>Entreprendre</strong>/Dynamiek est lu chaque moispar plus de 21.000 décideurs.Tirage moyen par numéro : 13.130 ex.Infos et réservations :Geneviève N. Juste • T 02 537 60 31F 02 534 86 22 • genevieve.n@skynet.beVéronique Legein •T 02 763 18 19F 02 772 54 22 • vl@beci.beNOS PROCHAINS DOSSIERS<strong>Entreprendre</strong> – DynamiekJanvier 2010• Véhicules utilitaires• Stock & ArchivageDate limite : le 15 décembre 20<strong>09</strong>Février 2010• Immobilier & Batiment• Assurances & BanquesDate limite : le 15 janvier 2010


www.volkswagen.beLe nouveau Transporter.Une nouvelle vision des moteurs économiques.Le nouveau Transporter ne fonctionne pas encore à l’énergie solaire. Mais les ingénieursde Volkswagen ont mis toute leur énergie pour développer une palette de nouveaux moteurs2.0 l TDI à rampe commune, particulièrement silencieux et économes. Cela répond à la volontéde Volkswagen d’être plus écologique, ces moteurs permettant une diminution moyenne de laconsommation de carburant ainsi que des rejets de CO 2d’environ 10%. Ainsi, le Transporterdéveloppe plus d’énergie tout en consommant moins. Ajoutez à cela l’ESP de série sur tousles modèles, et vous irez travailler avec encore plus d’énergie.Le nouveau Transporter. Ne craint aucune comparaison.OFFRE DE LANCEMENTDécouvrez-la chezvotre concessionnaireVolkswagen Utilitaires.CommercialVehiclesInformations environnementales (AR 19/03/2004) : www.volkswagen.be


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enjeux« Nous prospectons de nouveaux marchés en France,aux Pays-Bas… mais aussi aux USA. »6N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREses PME, qui comptent parmi notreclientèle, se rendent à présent comptequ’il leur est possible d’enregistrer lesmeilleurs résultats en ligne en ne dépensantqu’un budget limité. Plutôtque de payer d’onéreuses publicitésdans des toutes-boîtes ou aux Pagesd’Or, ils optent à présent totalementpour l’Internet. Proximedia et Be Uples aident dans cette démarche aumoyen de services SEM (Search EngineMarketing) tels que Google AdWords,le couponing, le bannering… Un marchandde vélos offre en ligne des bonsde réduction de 200 euros pour sestout nouveaux vélos électriques quicoûtent 800 euros et il peut d’embléevoir combien de nouveaux clients passentcommande en utilisant ce bon. »Le rapport du jury de “L’Entreprisede l’Année” encense également lemodèle commercial de Proximedia.Expliquez-nous son caractèreunique ?FABRICE WUYTS: « Notre modèlecommercial n’est pas différent de celuiadopté par des entreprises telles queRank Xerox ou Belgacom. Nous proposonsun abonnement à notre clientèle.Nous n’offrons pas à notre clientèle un« miracle one-shot », mais nous nousengageons dans un partenariat à longterme. Pendant tout ce temps, le clienta la possibilité de continuer à bricolerson site Web ou alors, il peut faire appelà Proximedia pour mettre son site Webà jour. Cela ne coûte rien de plus, toutest compris dans le contrat. Nous proposonsde même régulièrement à nosclients un restyling de leur site Web,afin que celui-ci demeure à la page. »Et pourtant, certaines critiquesfusent parfois à propos deProximedia…FABRICE WUYTS: « Bah, la plupartdu temps, ces critiques émanent desgrandes agences Web qui travaillentpour les grandes entreprises internationales.Et pourtant, il s’agit d’untout autre marché. Vous n’allez toutde même pas non plus comparer Delhaizeou Carrefour au petit épicier duquartier ? Les grands acteurs ne se préoccupentpas vraiment du boulangerou du boucher du coin qui se trouventaussi sur Internet. Après tout, nousévoluons au sein d’un marché libre : sitous nos critiques sont aussi bon marchéque nous, c’est tant mieux. Dansce cas, ils nous rafleront notre clientèle,pas vrai ? Je relève cependant undegré de satisfaction très élevé parminotre clientèle au cours de ces 11 années: 65% de nos nouveaux clientsrenouvellent leur contrat et plus de90% de nos clients fixes restent fidèlesà Proximedia. Ils nous comparentà IKEA ? Qu’ils le fassent donc ! IKEAessuie lui aussi fréquemment des critiques,mais ils ont compris mieuxque personne les besoins des clients.Ils fournissent du beau mobilier abordablefinancièrement, qui s’avère souventplus solide que du design biencher. »Comment percevez-vous l’actuelclimat entre les entreprises àBruxelles et en Belgique ?FABRICE WUYTS: « Proximedia s’accrocheà son identité bruxelloise. LaBrussels Metropolitan Region (BMR)a de grands atouts à faire valoir, àcommencer par sa renommée en tantque capitale européenne. Proximediaest de même active sur l’ensembledu territoire belge, tant à Liège qu’àGand et Anvers. Nous continuons àinvestir dans notre pays : chaque nouvelleéquipe de tournage de Bezoomnous coûte facilement 15.000 eurosen matériel et ce sont à présent plusde 20 équipes qui évoluent en Belgique.Parallèlement, Proximedia lorgneaussi au-delà des frontières belges.Nous entendons poursuivre notredéveloppement, nous prospectonsde nouveaux marchés en France, auxPays-Bas… mais aussi aux USA. Depuisaoût 20<strong>09</strong>, Bezoom compte une premièreéquipe de 7 personnes basée àWashington DC. Nous avons décrochéles 20 premiers contrats. Aux USA,Bruxelles est d’ailleurs plus connueque la Belgique. »Qu’en est-il de la War on Talent ;est-ce que Proximedia en souffrebeaucoup ?FABRICE WUYTS: « Nous n’éprouvonspour l’heure pas de gros problèmes,mais même en cette période de crise,les webdesigners créatifs ne se bousculentpas au portillon. Il y a certesquelques bonnes formations, mais iln’empêche que l’enseignement suittoujours la tendance du marché dutravail, alors qu’il devrait justementavoir un rôle de pionnier et encouragerla créativité économique. Lesconnaissances linguistiques constituentaussi parfois un problème : nousrecherchons ainsi de toute urgence unPHP developer. À l’heure actuelle, il ya pléthore de candidats francophonesdans la région liégeoise, alors qu’ilnous est difficile de trouver un profilnéerlandophone à Bruxelles. Il en vade même pour de bons comptables,alors que ce n’est pas réellement d’embléeune profession engorgée. »Pour conclure, que va faireProximedia en 2010 ?FABRICE WUYTS: « Nous avons lancétellement de nouveaux produits en20<strong>09</strong> que nous voulons consolider en2010 (rires). À l’heure actuelle, Be Up,forte d’une équipe commerciale composéede 10 personnes, conclut chaquemois plus de 120 nouveaux contrats.Nous voulons un seul site Internet surlequel tous nos clients peuvent proposerleurs promotions et les gérer euxmêmes.Pour sa part, Be Up entendaussi s’implanter aux Pays-Bas. Toutcomme Bezoom devra encore asseoirsa présence aux USA. Les premierscontrats ont été signés, mais ce n’estque dans quelques mois que nous verronssi nous y enregistrons de bonsrésultats. » Roel Veyt© Jan Van de Vel/Reporters


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enjeuxAdapter la mobilité au 21 e siècle8N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREToutes les routes mènent à … Bruxelles. À l’instar du réseau ferroviaire, le réseau routier belgeest une véritable toile, dont le centre est Bruxelles. L’économie dans cet échangeur européenenglobe Bruxelles et quasiment l’ensemble du Brabant wallon et du Brabant flamand ; elle estmétropolitaine et son interdépendance est grande. La pression est forte sur la mobilité, cettedernière menaçant le développement de l’ensemble de la zone. Les défis à relever sont significatifset ne rien faire n’est assurément pas une option.Voka-Halle-Vilvoorde et <strong>BECI</strong>réfléchissent ensemble à dessolutions, dans le cadre de laBrussels Metropolitan Region (BMR).Au sein de cette « région économique»,les entreprises tant de Bruxellesque de Flandre demandent aux pouvoirspublics de placer la mobilité entête des priorités pour l’ensemble decette zone métropolitaine. Nous demandonsune approche holistique,avec l’adaptation du Ring 0 commepièce maîtresse.1Le Ring :goulet d’étranglementde la Belgiquea) Cette région est particulièrementsujette à la congestionEn raison de sa forte concentrationd’opportunités d’emplois tant dans lesecteur public que privé, cette régionattire une masse de navetteurs, dontla majorité utilise sa voiture. Le traficinternational de poids lourds de et versle port d’Anvers transite fréquemmentpar le ring de Bruxelles, tout comme lesnavetteurs et camions se rendant à cetautre pôle économique qu’est le BrusselsAirport à Zaventem, l’un des cylindresdu moteur de l’économie belge : lazone BMR. Les transports en communou les liaisons routières alternativespermettraient donc une meilleure distributionrégionale et urbaine du traficainsi qu’un désenclavement plus efficacede l’aéroport.Le trafic de type loisirs s’ajoute lui ausside plus en plus aux navetteurs et poidslourds : les hyper populaires magasinsIkea et Décathlon sont certes nécessairespour l’emploi et l’économie, maisceux-ci ont toujours la fâcheuse tendancede s’implanter à proximité during saturé. Le mariage entre mobilitéet urbanisme est un sujet quasimentjamais abordé. Les sites en questionne proposent souvent pas d’itinérairesalternatifs et pas suffisamment d’alternativesde qualité à la voiture, etce, sans travaux au réseau ferroviaireen périphérie ou sans liaisons tangentiellespar tramway autour du ring. Lesliaisons transversales font défaut dansles réseaux ferroviaire et routier – sansparler du chainon manquant au sudestet sud-ouest.b) L’infrastructure n’est pas adaptéeau 21 e siècleLes liaisons tangentielles avec lestransports en commun sont quasiinexistantes. La seule possibilité pourun habitant de Halle de se rendre à sontravail à Diegem, c’est de prendre lering avec sa voiture et de subir les embouteillages.Le ring a été construit dans les années1970. Depuis lors, le trafic a doublé toutcomme l’activité économique. Le ringest à présent obsolète, insuffisant etdangereux, avec ses nombreuses entréeset sorties, sans distinction entre letrafic de transit et celui de destination,ni sans gestion dynamique du trafic.Pas étonnant donc que sur les 25 pointsnoirs du trafic en Flandre, 12 se situentsur le Ring. Vu que 7 autres “pointsnoirs” sont localisés dans le Brabantflamand, nous pouvons sans problèmeaffirmer qu’en démêlant le nœud de lamobilité dans la zone BMR, nous résolvons80% des principaux problèmes demobilité en Flandre et à Bruxelles.c) Nous payons tous le prixd’une diminution de notreprospérité et notre bonheurPROSPÉRITÉQuelque 110 km journaliers de files (enmoyenne) en Belgique engendrent,rien qu’en heures de pointe, un préjudiceéconomique s’élevant à un demimilliardd’euros par an. Pour la zoneentourant Bruxelles, le ring et tous lesitinéraires de délestage aux alentours,cela représente une somme avoisinantles 207 millions d’euros par an, soitl’équivalent de 4.500 emplois ou de laconstruction de 4 km de métro.© Roger Job/ReportersLes entreprises demandent aux pouvoirs publics de placer la mobilité en têtedes priorités pour la Brussels Metropolitan Region.


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enjeux10N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRELa fluidité sur le ring est cruciale pourl’emploi dans l’ensemble de la zonemétropolitaine. D’autres pays consententde lourds investissements dansune infrastructure routière performantedans l’optique de soutenir leur économieet d’être compétitifs par rapportà d’autres villes européennes : aprèstout, les routes constituent toujours lesartères de l’économie. La préservationdes emplois et la création de nouveauxsont vitales pour l’État-providence etl’absence d’une bonne mobilité le meten péril.BIEN-ÊTREC’est en région bruxelloise que l’augmentationdu trafic, d’ici à 2020, sera laplus forte (+26% si l’infrastructure demeureinchangée). Tout ce trafic additionnelse retrouvera sur les itinérairesde délestage dans le centre des villes etdes villages, soit une véritable atteinteà la qualité de vie.Le trafic de délestage visant à éviter lesembouteillages a fortement augmenté.Une personne qui doit se rendre envoiture d’Anderlecht à Schaerbeek neprendra pas le ring, attendu qu’elle iraplus vite en passant par le centre deBruxelles. Chaque heure passée dansles files sur l’autoroute correspond à 4heures de files sur les axes secondaires.Cela représente une véritable atteinteà la qualité de vie tant dans la ville quedans sa périphérie, en raison de tout letrafic transitant par le centre des villageset par certains quartiers, où il n’estpas à sa place.L’environnement paie lui aussi unlourd tribut à tout ce trafic à l’arrêt surle ring. Un camion bloqué dans les filesrejette le double de particules fines etd’azote que lorsqu’il circule à vitesseconstante. Quant aux efforts déployéspar les constructeurs pour améliorerle volet écologique de leurs véhicules,ils sont réduits à néant par les démarrageset freinages incessants dans lesembouteillages.Chaque minute passée dans les files estune minute perdue avec sa famille ouses amis. Les embouteillages ont desrépercussions sur le bien-être de la population.1/3 des travailleurs avouentcommencer leur journée de travail demauvaise humeur. Quelque chose doitse passer, mais il n’est pas réaliste d’envisagerun déménagement massif dela population vers les centres urbains.La Belgique, ce n’est pas la Birmanie.2 Les solutions passentuniquement par unecoopération et uneapproche holistiquea) Coopération interrégionaleNe rien faire n’est assurément pas uneoption. La coopération n’est certes pasfacile, mais elle est nécessaire. Le dossierdu Ring constitue une opportunitérêvée de réaliser avec succès un projetde grande envergure qui permettra àtoutes les Régions de faire un pas enavant en adaptant la mobilité aux défisdu 21e siècle : en d’autres termes, le mariageperformant de plusieurs modesde transport.À l’instar du dossier relatif à l’aéroport(normes de bruit, désenclavement),aucune des Régions n’échappe à unecoopération concernant le dossier during entourant Bruxelles. L’adaptationdudit ring constitue un avantage pourles trois Régions. Dans le cas contraire,cela risque de sérieusement hypothéquerles développements futurs sur leplateau du Heysel, Schaerbeek-Formation,Malines ou tout autre site bruxellois,flamand et wallon. Seule uneadaptation du ring de Bruxelles garantiral’accessibilité à ces projets.En outre, une adaptation du ring permettrade réduire le trafic de délestagedans les deux Régions, ce qui sera toutbénéfice pour la qualité de vie. Quantaux émissions de particules fines,d’azote et de CO2, elles diminuerontelles aussi, lorsque le trafic sera redevenufluide plutôt que de stagner. Lesintérêts sont donc communs et le seulobjectif à envisager, c’est une situationwin-win.La mobilité constitue le motif par excellencesous-tendant la coopération.Les organisations patronales applaudirontdes deux mains tout effort entreprisdans ce sens, ce qu’elles font déjàd’ailleurs depuis pas mal de temps. Lesaccords de coopération sont absolumentvitaux. Pour arriver à une situationde « win-win » il faut analyser lamobilité dans son entièreté, incluantBruxelles, et les Brabant Wallon etFlamand, et comprendre comment lesactions prises dans une région bénéficierontaux autres. Le Ring est une infrastructureimparfaite avec plusieurspoints noirs au Nord tout comme auSud, avec l’absence de clôture au Sud,le carrefour Léonard ou encore les embouteillagesen permanence sur l’E411à la sortie à hauteur d’Overijse ; améliorerla mobilité dans le BMR dans sonentièreté exige une coopération et unecoordination commune.b) Approche intégrée pour atteindrele transfert modalNous ne demandons pas que soit simplementélargi le ring. L’adaptationdu ring doit s’accompagner d’un effortmûrement réfléchi en matière detransports en commun, de gestion dutrafic, de télétravail, d’horaires flexibles,de pistes cyclables, de carpooling,mais aussi d’harmonisation en termesd’aménagement du territoire. En ce qui concerne l’aéroport, les organisationspatronales demandentque les pouvoirs publics se rallientexplicitement au scénario de croissancede la zone FLAP (croissanceininterrompue sans surcharge) etqu’ils veillent à la mise en œuvreintégrale et à temps des mesuresSTART planifiées en matière de mobilité(Pégase, RER, Diabolo, tunnelSchumann-Josaphat, désenclavementMeise-Westrode, R0-Zone Zaventem,R0-Nord, désenclavementroutier au Nord de l’aéroport) ainsique d’aménagement du territoireautour de l’aéroport. Une zone internationaletelle que la zone BMRsans aéroport international florissant,c’est un peu comme Anverssans port. De Lijn et la STIB retirent déjà lesbénéfices concrets d’une coopérationde ce genre en poursuivant letram prévu entre l’OTAN et le centre-villejusqu’à Diegem et l’aéroport.Voilà qui pourrait devenir undossier emblématique d’un problèmepressant : il n’existe actuellementaucune liaison directe entrel’aéroport international, le quartiergénéral du monde et la ville. Il n’y a


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enjeux© Roger Job/ReportersLes embouteillages ont des répercussionssur le bien-être de la population.1/3 des travailleurs avouent commencerleur journée de travail de mauvaise humeur.12N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREpas d’autre solution que d’aborderce problème ensemble. Nous espéronsque la STIB et De Lijn parviendrontrapidement à concrétiserleurs intérêts communs. Le Diabolo représente une solutionalternative prometteuse pourdésenclaver l’aéroport. Il faudradès lors que les passagers puissentd’ores et déjà procéder au checkinde leur vol dans les gares. Cefaisant, nous serons en mesure deréduire drastiquement le nombrede voitures en circulation et partantd’améliorer considérablementle confort du voyageur. Il s’agit làd’un quick win qui permet de limiterconcrètement les déplacementsen voiture vers Zaventem. Le télétravail à domicile, les horairesflexibles et la promotion desvéhicules électriques sont d’autresquick wins qui peuvent eux aussiapporter leur petite pierre à l’édifice.Le vélo peut, quant à lui, jouerun rôle, assurément à Bruxelles. Si10 à 15% des Bruxellois enfourchentleur bicyclette, la ville redeviendraplus respirable et plus accessible àtous. Au niveau interrégional aussi,des pistes cyclables rapides, tantradiales que tangentielles, doiventfaire leur apparition. Il y a lieu d’investir dans desliaisons tangentielles en transportspublics entre les centres d’habitationet de travail dans la périphérieà proximité du ring. Lorsque suffisammentde liaisons transversalesse seront ajoutées à la toile, cela setraduira par d’appréciables gainsde temps pour les navetteurs et lesentreprises : cela sera tout bénéficepour les personnes se trouvanten zone métropolitaine. La vision2020 exposée par De Lijn y contribue,attendu que ce projet accordeune grande attention à ces liaisonstangentielles en prévoyant mêmeà cet égard un système light-rail. Le projet de De Lijn complète le réseauRER qui se traîne depuis desannées déjà et dont la réalisationne sera effective que dans 7 à 8 ans.Même si la réalisation du réseau RERest prioritaire, elle ne cesse d’êtrerenvoyée aux calendes grecques. Ilfaut une meilleure communication àpropos des projets et de l’état d’avancementdu réseau RER; il convientpar ailleurs d’analyser les adaptationsrequises par certaines évolutions.Ces lignes doivent être dotéesde parkings de transit : la populationdoit pouvoir s’y rendre en voiture,garer son véhicule et prendre le trainpour se rendre en ville. Et pourtant,on continue de se perdre en conjecturessur ce grand projet. Toute adaptation du ring doit permettreune gestion dynamique dutrafic destinée non seulement à prévenirles usagers de la route en casd’embouteillages, à les informer surles itinéraires alternatifs ou à dévierle trafic, mais aussi à permettre deslimitations temporaires de la vitesseou des dispositifs de régulation desaccès. Tant Bruxelles que le Brabantwallon et le Brabant flamand doiventêtre impliqués dans l’analysed’un système de gestion du trafic.Seul, ce dernier ne constitue pas ensoi la panacée, mais il parviendranéanmoins à prévenir ou soulagerun certain nombre de problèmes.c) Adaptation du R0 comme piècemaîtresseLa réalisation de l’ensemble de toutesces pistes, sans procéder à une adaptationdu ring, ne suffit toutefois paspour avoir un impact significatif surles files structurelles. La capacité du ring de Bruxelles doitêtre accrue de manière substantielleen réduisant la quantité de véhiculesen entrée et sortie à vitesse élevée aumoyen d’une répartition intelligentedu trafic de transit et de destinationsur des voies parallèles. Une voie parallèledestinée au trafic de transitpermet de résoudre le problème detout ce trafic passant par Bruxelles,alors qu’il ne devrait pas s’y trouver.Un dispositif de ce type permet descinder le trafic de transit de celuide destination, ce qui se traduit parun meilleur écoulement des flux decirculation tangentiels. Il y a lieu d’adapter l’ensemble de lapartie Nord du R0, depuis sa jonctionavec la E40 à Grand-Bigard jusqu’àcelle avec la E40 à Woluwe-Saint-Étienne. À l’heure actuelle, la kennisgevingsnota(NDT : rapport denotification) du plan flamand MERest prête uniquement pour la zoneZaventem. Le Vak 1 (depuis l’échangeuravec la E40 jusqu’à celui avec laA12) et le Vak 2 (depuis l’échangeurde la A12 avec la E19) doivent euxaussi être pris en considération dansune image intégrée, ce qui n’excluttoutefois pas la réalisation préalablede la zone Zaventem.La solution permettant de résoudre lesproblèmes d’embouteillages doit passerpar une approche holistique nécessitantimpérativement une coopérationinterrégionale. Chacun des maillons decette approche s’avère important pourune solution intégrale, avec l’adaptationdu ring de Bruxelles en tant quepièce maîtresse et condition sine quanon pour la prospérité économique denotre région. Tom SmeetsConseiller <strong>BECI</strong>Centre de ConnaissancesTine TytgatExperte Défense des intérêts,VOKA Halle-Vilvoorde


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event“Quo Vadis, Brucsellae?”, le thèmedu <strong>BECI</strong> Talk Show 20<strong>09</strong>.14N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE« Dommage que Bruxelles soit retombée de la quatrièmeà la cinquième place dans le classementCushman & Wakefield des villes les plus attractivesd’Europe. C’est principalement dû au manquede promotion et de city marketing. En tant que capitalede l’Europe, nous devons caresser l’ambitionde monter sur le podium : la troisième place estun minimum. Si nous réalisons les ambitions dela Brussels Metropolitan Region, nous y parviendronscertainement. »Emmanuel van Innis, président de <strong>BECI</strong>« Bruxelles cache bien ses charmes, mais offre une réelle qualitéde vie. Cette ville a l’esprit ouvert et du professionnalismeà revendre. Les Bruxellois ont un savoir-vivre immense, sansl’arrogance dont les Parisiens se rendent souvent coupablessans s’en rendre compte. »Berthold Franke, Goethe Institut<strong>BECI</strong> TALK SHOW 20<strong>09</strong>« La BMR a besoin dusoutien de l’État fédéral ! »De nombreux visages connus, un enthousiasmecontagieux sur le podiumet une bonne ambiance dans la salle : le<strong>BECI</strong> Talk Show du mois d’octobre a étéune grande réussite. Et le message desmondes politique et de l’entreprise a étésingulièrement unanime : la Brussels MetropolitanRegion doit recevoir le soutienqu’elle mérite.« J’ai travaillé pendant dix ans pour Electrabel en Thaïlande. L’Asie : voilà le véritable nouveau monde, où tout évolue trèsrapidement. Je n’en croyais pas mes yeux lorsque je suis revenu en Belgique ! C’est le pays de l’immobilisme, où faire desaffaires devient de plus en plus contraignant en raison de la structure complexe et des lois compliquées. »Marc Josz, ElectrabelPhilippe Close (PS), Bruno De Lille (Groen !) Rudi Thomaes (FEB). Ministre Benoît Cerexhe et Veronica Manfrediet Olivier Willocx (<strong>BECI</strong>).(Commission européenne).


« Aujourd’hui, j’entends et j’observe des centainesde bonnes idées et de plans, mais surtout beaucoupde désordre. Bruxelles doit très rapidement mieuxs’organiser. La Brussels Metropolitan Region méritele même statut que le Plan Marshall en Wallonie etque Vlaanderen In Actie (VIA) dans le nord du pays.Mais la BMR a aujourd’hui besoin d’un soutien politique,aussi de la part de l’État fédéral. »eventRudi Thomaes, FEB« Ce n’est peut-être pas toujours notre cas, mais les expatriésconsidèrent Bruxelles comme une ville bon marché. Maiselle doit être plus attractive. L’espace public doit être mieuxorganisé, les transports en commun doivent être plus efficaceset le trafic automobile doit diminuer de 20 %. »Brigitte Grouwels, ministre de la Région de Bruxelles-Capitale« J’ose le dire : nous avons assez d’argent à Bruxelles, maisnous ne le dépensons pas assez intelligemment. Alors quejustement, Bruxelles se vend mieux à l’étranger que la Belgique.»Une bonneambiancependantle walkingdinner.Baudouin Gillis, Carlson Wagonlit Belgium15« Bruxelles a toujours eu beaucoup de chance. Nous avonshérité de l’Union européenne sur un coup de chance, et del’OTAN parce que De Gaulle était en désaccord avec les Américains.Mais nous sommes trop complexés : cela doit cesser. »Philippe Close, échevin du TourismeN° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREIl faut aussi oser rétablir certaines véritéspour démontrer la valeur ajoutéede Bruxelles pour tous : je ne cite que 3éléments :Christos Doulkeridis (Ecolo)et chef Pierre Wynants(Comme chez Soi).Bruxelles produit 20% du PIB pour10% de la population.Bruxelles s’autofinance à 50% alorsque la Flandre et la Wallonie ne lefont qu’aux alentours de 20%, le soldeprovenant des dotations fédérales.Photos : © Fred Guerdin/ReportersLe revenu par habitant est le plus basà Bruxelles, alors qu’il est le plus élevéen Brabant wallon et en Brabant flamand…grâce à ceux qui travaillent àBruxelles, mais paient leurs impôtsen Wallonie et en Flandre.Emmanuel van Innis, président de <strong>BECI</strong>Emmanuel van Innis (<strong>BECI</strong>),journaliste Jean Blavieret Karel Lowette (<strong>BECI</strong>).


enjeuxBruno De Lille, secrétaired’Etat de la simplificationadministrative.LE PLAN DE BATAILLE POUR 2012DU GOUVERNEMENT BRUXELLOIS EST PRÊT« La charge administrativedoit diminuer de 25 % »16© Fred Guerdin/ReportersLes tracasseries administratives doivent diminuer de25 % d’ici 2012 ; c’est l’objectif ambitieux que s’est fixé laRégion de Bruxelles-Capitale, sous la pression de l’UE. Leplan de bataille du nouveau secrétaire d’Etat Bruno DeLille (Groen!) est déjà prêt. « Ce n’est pas trop tôt », commenteOlivier Willocx (<strong>BECI</strong>). « La simplification administrativeest un moyen important pour relancer l’économieeuropéenne. »N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREBruno De Lille, secrétaire d’Etatchargé de la Simplificationadministrative, a présentéson plan pour Bruxelles dans les locauxde <strong>BECI</strong>. « Ce n’est pas par hasard», explique De Lille. « <strong>BECI</strong> joueun rôle prépondérant depuis longtemps.Moins de tracasseries administrativesest synonyme de plus detransparence pour les entreprisesbruxelloises. Elles économisent ainsiénormément de temps et d’argent. »Motivation des fonctionnairesSelon Bruno De Lille, les fonctionnairessont eux aussi demandeurs.« L’administration en a égalementassez de cette paperasserie souventinutile. Elle a un impact négatif sur lamotivation au travail. Ce plan est égalementpositif pour l’image des fonctionnaires,car il faut bien admettreque celle-ci pourrait être meilleure.L’administration aura plus de tempspour s’occuper de choses utiles. Et, àterme, ces mesures feront égalementéconomiser de l’argent à l’administration.»Le secrétaire d’Etat donne l’exempled’un entrepreneur qui souhaite lancerune nouvelle implantation dansla zone du canal. « Actuellement, pourle permis de construire, le permisd’environnement, la prime à l’investissement,la prime à la formation etque sais-je encore, il doit rassemblerà chaque fois les mêmes données, etsouvent les envoyer par recommandé.Cela demande énormément de tempset d’argent », concède Bruno De Lille.Test KafkaPour cela, le Gouvernement bruxelloisa prévu toute une série de mesuresdestinées à réduire de 25 % la chargeadministrative. « Les différentes administrationspourront s’échangerdes données électroniques via Digiflow.Il y aura également un test Kafka.Celui-ci évalue chaque nouvelleloi ou réglementation en termes decharge administrative pour le citoyenou l’entrepreneur. Les procédures difficilesà comprendre sont souventsource d’énervement. »Là où c’est possible, Bruno De Lille souhaiteégalement en finir avec les courriersrecommandés : « On peut faireplus simple avec des accusés de réceptionélectroniques. Nous allons travaillerà la fois sur la signature électroniqueet des formulaires simplifiés. »Sous pression de l’UEUn plan ambitieux, mais le tempspresse, prévient Olivier Willocx, administrateurdélégué de <strong>BECI</strong> : « L’UEpousse tous les Etats membres à allégerla charge administrative de 25 %d’ici 2012. La Belgique est d’ailleursle seul pays qui doit encore atteindrecet objectif. L’organisation d’employeursbruxelloise <strong>BECI</strong> réclamedepuis quelques années déjà unplan d’action concret. Nous allonsmême plus loin avec Digichambers.Cette société exportatrice a besoinde certificats d’origine. Jusqu’il y apeu, cet entrepreneur devait affronterle dense trafic bruxellois pourintroduire sa demande et revenirune deuxième fois pour récupérerle document tamponné. L’empreinteécologique de ces trajets est ridiculementgrande. Nous évitons cesdéplacements absurdes grâce à Digichambers,qui délivre les certificatsd’origine par voie électronique. Avecce nouveau plan du gouvernement,nous faisons un pas de plus sur lechemin de la simplification administrative.Aujourd’hui, nous avonsréellement le sentiment que la Régionde Bruxelles-Capitale a entendule monde de l’entreprise. » Roel Veyt


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vous bougez !Espace membresVous désirez faire connaître votre activité ? Annoncer un changement stratégique, undéménagement de vos bureaux, des résultats financiers en progrès…? Profitez de la visibilité quivous est offerte dans les pages d’<strong>Entreprendre</strong>, lu par 21.000 décideurs, en envoyant un communiquéd’une quinzaine de lignes accompagné d’une photo, à rv@beci.beAttention : les textes publicitaires ne sont pas publiés. La rédaction se réserve le droit d’écourter les textes trop longs.18N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREMake-A-Wish réalise en Belgique le rêved’enfants gravement malades.Sodexo etMake-A-Wishunissent leursforcesÀ l’approche de la Saint-Nicolas etdes fêtes de fin d’année, Sodexo avoulu soutenir Make-A-Wish, l’associationqui réalise en Belgique lerêve d’enfants gravement malades.Tous les bénéficiaires de CadeauPass, le chèque cadeau de Sodexoet l’objet de prédilection des employeurspour récompenser leurscollaborateurs, pourront en fairedon à l’association Make-A-Wish.En cette période de fin d’année, cesont plus de 450.000 collaborateurs qui recevront de leur entreprise desCadeau Pass de Sodexo. S’ils souhaitent soutenir l’association , il leur suffirade retourner à Make-A-Wish un ou plusieurs de leurs Cadeau Pass deSodexo dans l’enveloppe pré-timbrée qu’ils auront reçues avec leurs chèquescadeaux. Cette action se poursuivra jusqu’au 30 janvier 2010. « Lapériode des fêtes est toujours un moment plus chargé en émotions pourles enfants malades et leur famille. C’est à ce moment-là aussi que notreaction est importante. Pouvoir compter sur l’appui d’un parrain tel que Sodexo,est pour nous d’une très grande aide », souligne Dolores Van Haelende Make-A-Wish. D-Ploy présenteHuPoMaxD-Ploy, partenaire stratégiqueen capital humain, présenteaujourd’hui son outild’analyse de capital humainen entreprise : HuPoMax.HuPoMax, ou encore HumanPotential Maximizers’inspire de techniques d’interview,d’exercices d’assesment,de la PNL, de différentesméthodologies d’analysede personnalités ainsi qued’outils utilisés en étude demarché qualitative.Vanessa Didden,managing directorchez D-Ploy.HuPoMax permet aux entreprises demieux connaître leurs collaborateurs etleur mode de fonctionnement, mais surtoutde prendre conscience du capital humainprésent au sein de l’entreprise. En d’autrestermes, HuPoMax permet entre autresl’identification des potentiels non-utilisés,des éléments perturbateurs et des moteursde motivation. Et en pointant les possibilitésd’augmentation de l’épanouissementpersonnel, HuPoMax pointe, tout simplement,les possibilités d’augmentation de laproductivité de l’entreprise. Les résultatssont en effet transformés en plan d’actionsconcret pour atteindre cette augmentationde rentabilité qui permet toujours une optimalisationréussie du capital humain. Rue Charles Lemaire 11160 BruxellesT +32 2 547 55 11F +32 2 547 55 12mkt@sodexo-pass.bewww.sodexo.beD-Ploy sprlChaussée de Waterloo 8041180 BruxellesT +32 2 375 15 55F +32 473 19 90 81www.d-ploy.bevanessa.didden@d-ploy.be


espace membresDevauxConsult offre un directeur financier « à la carte »Les PME n’ont pas toujoursbesoin d’un directeurfinancier à tempsplein. Elles disposentLouis Devaux habituellement d’unservice comptable etadministratif qui assure un bon suivi desécritures. Il tient à l’œil les échéances deTVA, gère le portefeuille de factures et decréances et suit la trésorerie. Dans unepériode où il faut trouver des économies,l’engagement d’un directeur financierà durée indéterminée se justifie parfoisplus difficilement. Toutefois, lorsque seprésente un projet un peu complexe, telun nouvel investissement nécessitant lerecours à un financement externe, le dirigeantde la PME ne dispose pas toujoursdu temps ou du savoir-faire nécessairespour élaborer un business plan pluriannueldémontrant la création du cashflowqui assurera le service de la dette. Ilfaudra aussi argumenter de façon pointueafin de convaincre les bailleurs defonds potentiels du bien-fondé du projet.En l’absence d’un soutien spécialisé, lanégociation peut être plus difficile et l’accordde financement risque de tarder.Une solution dans ce cas revient à recourir,pour une période limitée, aux servicesd’un ancien banquier qui a pratiquépendant toute sa vie la négociation definancements et qui peut discuter d’égalà égal avec les banques. L’avantage decette formule est d’utiliser une expériencespécialisée uniquement au momentoù celle-ci est nécessaire. L’entreprisen’augmente pas ses charges salarialesrécurrentes mais capte 100% d’un savoirfairepour assurer le bouclage financierde son projet. Enfin, dans la mesure oùl’intervention de ce spécialiste présenteun caractère exceptionnel, son coût peut,dans certains cas, être réduit grâce à dessubsides publics. La PME fait ainsi uneutilisation « just-in-time » d’un talent. DevauxConsult SPRLBoulevard Saint-Michel 821040 BruxellesT +32 2 733 22 74F +32 485 67 03 25devaux@devauxconsult.bewww.devauxconsult.beLes Mains Qui Ecoutentlance des nouveauxproduitsLes Mains Qui Ecoutent est fier de ces 8 premiersmois d’existence, en plus de ses massages thaïs ,aux huiles essentielles et réflexologie plantairepropose différentes gammes de produits respectantpeau et environnement, ce sont les produitsArganis et Argapur, Huile d’argan cosmétiquenaturelle certifié « Ecocert » et notifiée par lacommunauté française, les Produits « Miraclesde la Mer Morte » venant directement de Jordanie: Boue et sel Ces sels de bain naturels contiennentune concentration unique de plus de 40minéraux dont la peau peut ainsi bénéficier,notamment : du potassium, du magnésium, ducalcium, du bromure et des sulfates de sodium.Ces minéraux améliorent le flux de nutrimentsvitaux à travers la membrane des cellules, augmententla vitalité des cellules, apaise les muscles,procure de l’énergie pour le transport actifdes cellules et rééquilibre les minéraux qu’ellescontiennent. En enfin les Produits Cellande :produits d’entretien composés d’huiles végétaleset huiles essentielles sans phosphate, sanscolorant sans azurant optique sans, NDTA ; avecune volonté de respect de l’environnement puisqueles flacons ne sont plus jetables mais rechargeables.Les Mains Qui EcoutentAvenue Rogier 4031030 SchaerbeekT +32 477 76 64 54www.lesmainsquiecoutent.beLa Régie du Travail Pénitentiaire,un réseau de 33 ateliersLe Service Central de la Régie duTravail Pénitentiaire (SCRTP) est unservice public à gestion autonomequi s’occupe de la mise au travaildes détenus. Beaucoup d’entreprisesignorent que chaque établissementpénitentiaire dispose d’ateliersindustriels. Ces espaces detravail sont principalement destinésà la mise à disposition de maind’œuvre aux entreprises désireusesd’effectuer certains travaux de manièreponctuelle ou plus régulièreen-dehors de leurs propres installations.La nature des travaux est trèsvariée : emballage, pliage, montage,découpe, collage, mise souspli, conditionnement, manutention,sous-traitances industriellesdiverses, façonnage, assemblage,cartonnage, encartage, montagesélectriques, encodage de données,scanning de documents, triage, etc.Il existe également des ateliers dédicacésà un type bien précis d’activitéindustrielle, comme menuiserie,forge, couture, imprimerie etexploitation agricole.La finalité de la mise au travail desdétenus est d’ordre social. L’objectifpremier est la réinsertion dans lavie extérieure future. En outre, ledétenu gagne de l’argent. Cela luipermet de réparer son préjudicepar le biais de l’indemnisation deses victimes (justice réparatrice),ainsi que de faire de menus achatsà la cantine de la prison. Enfin, letravail dans les ateliers contribue àce que l’ambiance au sein de la prisonsoit plus sereine.Les activités sont encadrées par dupersonnel technique qualifié, expérimentéet à l’écoute des besoins duclient. La main d’œuvre disponibleest nombreuse et rapidement mobilisable(possibilité de répondre àdes demandes urgentes dans desdélais courts) : « Nous disposonsd’un réseau de 33 ateliers répartisdans toute la Belgique. Nous pouvonsmobiliser et coordonner sansdélai plusieurs d’entre eux si nécessaire.Nos devis sont gratuits etnous pratiquons des tarifs concurrentiels.» Régie du Travail PénitentiaireRue Berkendael 421190 BruxellesT +32 473 81 13 91F +32 472 23 72 33www.rtp-rga.be19N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


vous bougez !20N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRERandstad s’abreuveà la source des meilleurscuisiniersLa crise économique a engendré le chômage. Mais pour ceuxet celles qui sont au travail, les temps sont particulièrementstressants. On leur demande plus qu’en temps normal pourmoins de résultat. Afin de faire renaître la passion au travailet d’améliorer l’esprit d’équipe auprès de ses collaborateurs,Randstad lance un programme interne baptisé «Vamos». L’objectifest d’être fin prêt pour quand l’économie reprendra. Leprogramme se compose d’initiatives variées comprenant desdébats et des activités organisés pour l’ensemble des collaborateursdu groupe. Le coup d’envoi de la campagne pour lesmanagers a été donné mardi 13/10 à l’occasion d’une tableronde réunissant le gratin des cuisiniers belges parmi lesquelsPeter Goossens (Hof van Cleve), Bart De Pooter (Pastorale) etYves Mattagne (Sea Grill). Les trois cuisiniers de renom sontvenus parler de leur métier, leur passion, et leurs recettes personnellespour améliorer l’esprit d’équipe.Les managers de Randstad et les grands cuisiniers ont des défisen commun. Dans un contexte de crise, il est important de resterau top et à la hauteur de ses ambitions. L’important est degarder une longueur d’avance. Comment innover? Commentgérer les formalités administratives et légales? Comment assumerson rôle de leader? Comment être performant, obtenirdes résultats et quand même rester créatif? Comment motiverles équipes en ces temps incertains? Comment reconnaît-onles gens qui ont la passion du travail bien fait? Comment fairepour rester en bonne santé tout en faisant un job stressant?Comment gérer le changement? L’enthousiasme des grandscuisiniers est contagieux, c’est ce que l’on a pu constater pendantet après le débat. On voudrait bien remettre le couvert. Yves Mattagne,Sea Grill.Peter Goossens,Hof Van Cleve.Bart De Pooter,Pastorale.Randstad Group BelgiumBDC Esplanade du Heysel b.711020 BrusselT +32 2 474 60 00F +32 2 229 14 <strong>09</strong>info@randstad.bewww.randstad.beL’Immeuble Sirius, développé par Banimmo.Jones Lang LaSalleépaule un nouvel acteursur le marché bruxelloisUn nouvel acteur sur le marché de l’investissementimmobilier belge guidé par Jones Lang LaSalle : Signainvestit 70 millions d’euros à Bruxelles. Il s’agit du premierinvestissement réalisé dans la capitale belge parun fonds fermé allemand. Cette opération représente latransaction la plus importante de l’année. Signa a acheté100 % des actions de l’entreprise propriétaire d’unimmeuble de bureaux au développeur Banimmo et ce,pour une valeur de 70 millions d’euros.Signa a acquis ces actions par le biais d’un fonds ferméallemand. Il s’agit de la plus importante transactionconcernant un immeuble de bureaux cette année, àBruxelles et même à l’échelle nationale, mais égalementdu plus gros contrat, toutes catégories d’actifs immobiliersconfondues. Dans le cadre de cette opération, Signaa bénéficié des conseils exclusifs de Jones Lang LaSalleCapital Markets, tandis que Loyens & Loeff s’est occupédes aspects légaux et fiscaux.Cette grande première en Belgique, à savoir un investissementde cette ampleur réalisé par un fonds ferméallemand, sera probablement suivie par d’autres initiativesdu genre, prises par des investisseurs privés allemandsen quête d’opportunités d’investissement deleurs réserves de liquidités, par le biais de placementsprivés. En dehors de l’Allemagne, les fonds fermés allemandscherchent à investir à Londres, à Paris et auxEtats-Unis, où les prix ont considérablement chuté depuisla mi-2007, ainsi qu’aux Pays-Bas et en Autriche(Vienne), qui représentent leurs marchés historiques.Bruxelles fait désormais également partie de leursmarchés cibles. Dans la conjoncture actuelle, les investisseursfont preuve de peu d’appétit pour le risque etcherchent des rendements sécurisés à long terme. Or,l’immeuble Sirius répond parfaitement à ces critères.Comptant 29.500 m 2 aménageables en bureaux, il a faitl’objet d’un contrat de leasing de 15 ans à l’opérateur téléphoniqueMobistar. L’immeuble satisfait à l’ensembledes normes légales les plus exigeantes en termes d’efficacitéénergétique. Situé à deux pas du quartier généralde l’OTAN, le projet a été développé par Banimmo etsera achevé pour fin octobre 20<strong>09</strong>. Jones Lang LaSalleRue Montoyer 10/11000 BruxellesT +32 2 550 25 25 – F +32 2 550 26 26bel@joneslanglasalle.be – www.joneslanglasalle.be© Banimmo


La RSE sousun autreangle100 entrepreneurs en action© Reporters/Didier BauweraertsRéseaux d’apprentissage Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)dans les PME et Chambres de Commerce belgesLe jeudi 10 décembre à 16hchez le Groupe Colruyt – Chaussée d’Enghien 249 – 1500 HalRencontrez 100 entreprises qui, soutenues par leur Chambre de Commerce,s’investissent activement dans l’intégration de la RSE au sein de leur entreprise.Programme16.00 - 16.30 Inscription et accueil16.30 - 16.40 Mot de bienvenue16.40 - 17.00 Le Groupe Colruyt, une entreprise durable17.00 - 17.20 La RSE, Chambres de Commerce et réseaux d’apprentissage :le projet Quadrant17.20 - 18.10 Jeu: les 360° de la RSE18.10 - 18.20 Témoignages de participants Quadrant18.20 - 18.35 Discours de clôture par le Secrétaire d’Etat à l’Intégrationsociale et à la Lutte contre la pauvreté, Philippe Courard (à conrmer)18.35 - 18.50 Remise des diplômes18.50 - 19.00 Mot de clôture19.00 - 20.30 Walking dinnerLa participation est gratuite mais le nombre de places est limité.Inscription jusqu’au 30 <strong>novembre</strong> (events@cci.be) - fax: 02/2<strong>09</strong> 05 68.Le réseau d’apprentissage Quadrant est organisé pour la deuxième année consécutive par lesChambres de Commerce belges avec le soutien nancier dedans le cadre du Plan d’action fédéral belge RSEdu 25 octobre 2006Avec les remerciements au Groupe Colruyt


vous bougez !Just in Time Management Groupinvite les chefs d’entreprise22N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREWBM dispose d’une banquede plus de 9.000 iCEO.L’Executive InterimManagement avec WBM:81 langues, 168 pays et 9127personnalités !Depuis plus de deux ans, WBM SPRL, dont les origines remontentà la création de Future-Based Consultancy à Denver(USA) en 1989, représente CEO Europe fondé en 2001, un teammultinational de « chasseurs de têtes ». Avec assurance, maisplus particulièrement au niveau international parce que laconcurrence y a pris des proportions critiques, la solution durecrutement d’ « executives ad interim » de haut niveau etde compétences pluridisciplinaires fait une percée rapide.Pour anticiper les attentes des entreprises avec lesquellesnous sommes en contacts réguliers, WBM dispose d’une banquede plus de 9.000 iCEO, c’est-à-dire des profils de cadresdirigeants certifiés, en constante évolution dans le mondeentier et, bien sûr, en Belgique où l’on sait qu’il ne faut passe contenter d’attendre la reprise annoncée : « Pratiquement,chez nous, pour pouvoir s’engager valablement un iCEO type,parle 81 langues, réside dans 168 pays, a 9127 personnalités,couvre 27 secteurs et 9 fonctions. » Au-delà de la direction adintérim connue, près d’un millier de nos iCEO sont aussi desinvestisseurs potentiels (entre 100.000 et 1.000.000 d’euros),tandis que plusieurs centaines d’autres peuvent vous assistertrès ponctuellement (voire de manière récurrente) lorsde vos conseils d’administration, pour le lancement d’uneunité de recherche et développement, la participation à uneassemblée générale et dans bien d’autres cas puisque lescompétences que nous rassemblons sont multiples. L’ « antenne» Belux est pilotée par Daniel C. Renson. Après de trèsnombreuses années de réalisations auprès de sociétés établiesaux USA, en Europe, Asie et M-O, sa longue expériencepratique accumulée facilite le contact avec les entreprises intéresséesainsi que la recherche du profil défini ensemble. Daniel C. RensonWBM - World Bureau of MarketingChaussée de Wavre 3521040 BruxellesT +32 2 230 95 90 – F +32 2 230 13 28danielcr@ceo-europe.com – www.fbc-e.comJust in Time Management Group invite les chefs d’entreprise à assisterà ses petits-déjeuners conférences au Cercle de Lorraine.Programme de Conférences :25 november 20<strong>09</strong> : « Quels tableaux de bordsimples, synthétiques et opérationnels pourla gestion anticipative de votre entreprise ? »Pour près de la moitié des entreprises actuellementen difficulté, une série de problèmesfondamentaux préexistaient déjà avant lacrise financière. Environ un tiers de ces entreprisesn’ont pas de tableaux de bord. Unautre tiers en dispose mais n’a pas pue nPhilippe Vercruysse,Partner JiTMMartine Constant Consulting Groupdéveloppe un Baromètre Qualité pourla Banque Populaire du MarocLa Banque Populaire du Maroc a choisi une entreprise belge pour mettreen place son Baromètre Qualité. La collaboration porte sur deux annéeset représente plus de 13 000 enquêtes à réaliser par Martine ConstantConsulting Group. Objectif : accroître la qualité de l’accueil prodiguédans chacune des 800 agences que compte la Banque Populaire du Maroc.Avec plus de 7 600 collaborateurs et 3 millions de clients, la BanquePopulaire est la plus importante du Maroc. « L’objectif final est de mettreen place un Baromètre Qualité, qui sera actualisé tous les trois mois »,souligne Martine Constant.Martine Constant & Partners a éfé fondée à Liège en 1995 par MartineConstant. La société dispose de trois centres de production, à Liège,Bruxelles et Anvers, et compte 32 collaborateurs et un « pool » de 150 Mysteryshoppers qui réalisent des visites et des audits de qualité d’accueil.Les activités sont réalisées par 3 sociétés : MCP Télémarketing, spécialiséedans le télémarketing relationnel, tant en B2B qu’en B2C, MCP Quality,spécialisée dans l’audit de la qualité d’accueil et de services (10.000audits par an), et MCP Consulting (Martine Constant Consulting Group),qui assure l’activité de consultance en marketing direct, d’audit, d’étudede marché et de formation. MCP est présente dans près de 50 pays grâceà son réseau de partenaires et à son adhésion à la MSPA (Mystery ShoppersProviders Association). Martine Constant & PartnersAvenue Louise 5001050 BruxellesT +32 4 229 37 07 – F +32 4 229 37 08mcpl@martineconstant.comwww.martineconstant.comtirer les conclusions nécessaires pour anticiperou résoudre les problèmes existants. Infos et Inscriptions :www.just-in-time-management.com (rubrique « News »)ou Carol Ingebos au 0473 11 62 92En collaboration avec <strong>BECI</strong>. Gratuit pour les chefs d’entrepriseJust in Time Management GroupAvenue Louise 149/241050 BruxellesT + 32 2 290 53 07 – F + 32 2 535 76 34www.just-in-time-management.com


histoireLA MAISON D’ANNE FRANK DEMANDEDE L’AIDE AUX MEMBRES DE <strong>BECI</strong>Qui connaît l’entreprisebruxelloise « La Synthèse,usine de produits chimiques » ?La Maison d’Anne Frank (Anne Frank Stichting) àAmsterdam s’attelle pour l’heure à une enquêtehistorique qui passe également en revue les sociétés dupère d’Anne, Otto Frank. Et il semblerait à l’heure actuelleque, parmi toutes ces sociétés, La Synthèse aurait eu desracines bruxelloises.AnneAFrank, c’est cette petite fille juive qui, durant la Deuxième Guerremondiale (de 1942 à 1944), a vécu dans la clandestinité avec sa familledans l’Annexe (Achterhuis) à Amsterdam. Durant toute cette période,Anne y a tenu un journal intime. Leur clandestinité ayant été dénoncée, la familleFrank est arrêtée le 4 août 1944 par les nazis. Anne Frank ne survivra pasà sa déportation dans les camps allemands d’Auschwitz et de Bergen-Belzen.Après la guerre, son journal intime a été publié sous le titre de “Het Achterhuis”,ouvrage qui a été traduit en de nombreuses langues et s’est vendu à desmillions d’exemplaires.Les chercheurs de la Maison d’Anne Frank savent que le père Otto Frank avaitcréé, fin 1940, une société portant l’appellation de La Synthèse. “Il subsiste unen-tête de lettre (voir photo) qui pourrait laisser croire qu’elle faisait partie del’entreprise bruxelloise La Synthèse, usine de produits chimiques, sise “Rue del’Agrafe 70, Bruxelles”. Cela daterait de 1940 approximativement”, nous confiele chercheur Gertjan Broek. Roel VeytFICHUSFICHIERS ?23N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREL’en-tête dont laMaison d’AnneFrank est enpossession.Pouvez-vous nous aider ?Pourriez-vous aider la Maison d’Anne Frank àrécolter plus d’informations sur cette sociétéou pourriez-vous lui renseigner une personneà même de le faire ? Dans l’affirmative,veuillez prendre contact avec :Archiving SolutionsYour information is nowhere saferM. Gertjan BroekAnne Frank StichtingWestermarkt 10Postbus 7301000 AS AmsterdamT +31 20 5567 100g.broek@annefrank.nlwww.annefrank.orgAnne Frank.© AP/Reporterssécurisation absoluede vos back-upsappelez dès maintenant le 078 15 31 61ou consultez notre site www.merak.eu


vous bougez !Van Os-Sonneveltlance une nouvelle action d’épargneLaurence Bovyest appeléeà présider la SNCB.24N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREVan Os-Sonnevelt lance une nouvelle action d’épargne amusante grâce à laquelle lesclients pourront choisir des cadeaux dans une boutique regorgeant de gadgets excentriques‘blanc-bleu-belges’. Cette fois, le premier prix est un week-end de détente à Barcelone,comprenant une visite à elBulli. Les clients delongue de date connaissent bien le fonctionnementdes actions d’épargne de Van Os-Sonnevelt: par tranchede location de mobilier, chaque client reçoit unefriandise à savourer immédiatement et accompagnéde points épargne. Ces points à collectionner sont àcoller sur une carte d’épargne. Une carte complétéepermet de choisir un ou plusieurs cadeaux. Et pasn’importe quels cadeaux, mais toutes sortes de gadgetset autres articles amusants axés sur le thème desbovidés. « Nous sommes quelque peu tributaires denotre réputation », explique Gerard van Os, directeurde la société. « Lors d’actions similaire en 1994 et 2000,nous avons rassemblé les objets les plus excentriquesdepuis la boisson Red Bull, à l’époque fraîchementlancée sur le marché, jusqu’à un club de vacances allinau Koweït. Cette fois encore, nous avons dénichéquelques exclusivités. Nous proposons par exempleun week-end dans une ferme incluant une session decommunication avec les vaches par le biais de caresses,le tout encadré par un(e) thérapeute du stress. Etle fin du fin: un week-end VIP à Barcelone, proposant,entre autres, une visite au restaurant elBulli, propriétéde Ferran Adrià. » Van Os-SonneveltIndustrieparkWeverstraat 121840 LonderzeelT +32 52 30 36 36F +32 52 30 36 38info@vanos.be – www.vanos.bePortde Bruxelles :Laurence Bovy remetson mandatde PrésidenteLaurence Bovy a annoncé qu’elle remet sonmandat de Présidente du Port de Bruxellesà la disposition du Gouvernement bruxellois.Laurence Bovy est en effet appelée àprésider la SNCB, une fonction qu’elle nesouhaite pas cumuler avec la Présidencedu Port de Bruxelles. Elle reste disponible,si le Gouvernement le souhaite, pourassurer la présidence du Port jusqu’à ceque son successeur soit désigné. LaurenceBovy a été nommée Présidente du Port deBruxelles en avril 2007. Port de BruxellesPlace des Armateurs 61000 BruxellesT +32 2 420 67 00F +32 2 420 69 74portdebruxelles@port.irisnet.bewww.portdebruxelles.be© Reporters/Jan Van de Vel« Notre réussite, c’est laréussite de nos élèves »,confie Charles Eon,fondateur d’Admitis.Admitis, spécialiste du cours particulierà domicile, a pour mission d’aiderles élèves du primaire et du secondaireà réaliser leur potentiel et à préparerleur avenir. Trop souvent, les élèvessont livrés à eux-mêmes et doivent sedébrouiller seuls pour atteindre leursobjectifs. À l’école, le professeur doitAdmitis lance son nouveau site Internets’occuper de toute une classe : malgréla qualité de son travail, il lui estdifficile de suivre individuellementchaque élève. A la maison, les parentsn’ont pas toujours le temps ou lesconnaissances nécessaires pour aiderefficacement leur enfant. Admitis proposeune solution simple et efficacede cours particuliers. Un enseignanthautement qualifié se déplace au domicilede l’élève et l’aide à surmonterses difficultés. La démarche est trèssimple : une connexion sur le nouveausite Internet : www.admitis.comDès lors, vous pouvez rentrer encontact avec l’un de leurs conseillersqui établit un diagnostic pédagogiquedans le but de concevoir un programmeadapté aux besoins de l’enfant.Admitis sélectionne les meilleurs enseignantset se charge des démarchesadministratives et de toute l’organisationdes cours selon les préférencesdes parents (lieu, horaires, matières…).L’espace personnel du site web offreensuite une gestion simplifiée descours : suivi des progrès de l’enfant,consultation de la date des prochainscours… « Notre réussite, c’est la réussitede nos élèves. » confie Charles Eon,fondateur d’Admitis. AdmitisChaussée de Waterloo 3911050 BruxellesT +32 78 15 55 00www.admitis.com


espace membresCalao Consultvous aideà obtenir voscrédits bancairesLe récent rapport duGroupe de travail «Crédits aux Entreprises» piloté par la BanqueNationale ainsi que ledernier baromètre duCeFiP le confirment : lacrise financière a rendules banques beaucoupplus frileuses enmatière de crédits auxMichel Gullentops, PME. L’exigence desgérant de Caleo Consult. banques en terme degaranties mais égalementd’informations s’est sensiblementaccrue depuis plusieurs mois.Nombreux sont les chefs d’entreprisesqui se retrouvent démunis faceà cette nouvelle donne. Il est crucialdésormais de disposer d’un dossierfinancier solide et bien documentépour convaincre son banquier. CalaoConsult est un cabinet conseils engestion administrative et financière,spécialisé dans la préparation desdossiers financiers. Calao Consultaide les patrons de PME à établir undiagnostic global (opérationnel et financier)de leur entreprise et à définirleurs besoins de financement. CalaoConsult a aidé nombre d’entreprisesà maintenir et même augmenterleurs crédits. Pour mieux répondre àla demande de nos nombreux clientset informer les chefs d’entreprises del’ensemble de nos prestations, nousavons lancé notre tout nouveau siteweb : www.calaoconsult.be Rue Gatti de Gamond 26 bte 131180 BruxellesT +32 2 378 10 33F +32 2 378 46 33info@calaoconsult.bewww.calaoconsult.beWizYou accompagneles entreprises en évolutionLes entreprises subissent des perturbations très dures et doiventréagir vite. Un accompagnement externalisé et personnalisé estune solution efficace. WIZYOU représente une opportunité. Pourles décideurs, encadrement rime avec prudence : budget selon disponibilitésimmédiates et engagement pour une période limitée.WIZYOU offre une flexibilité attrayante pour les PME.La dimension humaine n’est plus un complément éventuel à la réflexion.Elle est intégrée à l’analyse des affaires pour aboutir à uneperformance globale. Diagnostic économique allié au Coachingdes acteurs de l’entreprise, WIZYOU innove !Opérer un repositionnement stratégique, équilibrer les financescourt et long terme, rationaliser les procédures internes, élaborerune vision partagée et responsabilisante, augmenter l’efficacitédes réunions décisionnelles… Vos sujets d’action ne manquent pas.Nouveau Business plan, redéfinir les priorités, gérer la crise desliquidités ou encore passer à la vitesse supérieure… des solutionsopérationnelles supposent une mise en œuvre rapide. WIZYOUva plus loin que le conseil. Vous restez en permanence le maîtred’ouvrage, décidez de la durée de la mission et connaissez exactementvotre coût à l’avance. WIZYOU c’est un programme que l’entreprisemaîtrise. WizYouRue Emile Claus 41000 Bruxellesinfo@wizyou.comwww.wizyou.comOnet Belgium annonce des mesurescontre la grippe A H1N1Le monde est durement touché par levirus de la “grippe porcine“ A H1N1.Dans notre pays, des dizaines de personnesont été contaminées et au travail,on se prépare aux conséquencesde cette pandémie. Une des mesuresde prévention recommandée est d’intensifierle nettoyage des surfaces accessiblesà un public élargi. Onet Belgiumpropose les mesures suivantes :1. Se laver et desinfecter les mains defacon reguliere et approfondie.2. Se secher les mains avec des essuiemainsen papiers jetables : N’utilisezpas de ‘sèche-mains électriques’.Leur emploi fait augmenter le nombrede bactéries avec une moyennede 186% sur le bout des doigts et de230% sur la paume des mains. Lesessuie-mains réutilisables sont égalementà éviter. Un séchage efficacedes mains élimine 42% de bactériesen plus que lors d’un lavage desmains sans essuyage correct.3. Nettoyer régulièrement les poignéesde portes, les robinets et lesclaviers d’ordinateurs : Le virus peutêtre transmis par des mains contaminéesqui entrent en contact avecdes téléphones et des claviers de PC,mais aussi avec des robinets et despoignées de portes. Plus infos :Daniel Antoinedirecteur agence Bruxelles+32 474 97 96 47.Jean-Louis Baltus,direction consultance :+32 473 64 32 44Anne Guillaume,direction coaching :+32 499 94 04 80Onet BelgiumPark HillMommaertslaan 18 A1831 DiegemT +32 2 423 04 50F +32 2 423 04 60www.groupeonet.com25N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


oîte à outilsPREMIÈRE VAGUE D’ENREGISTREMENT EN 2010REACH : une révolution industrielleau pas de courseEn 2010, la première vague d’enregistrement des substances chimiques devra être terminée le30 <strong>novembre</strong> au plus tard. Cette première vague concerne les substances dont le tonnage estsupérieur à mille tonnes par an et par entreprise ainsi que les substances dites CMR (cancérigènes,mutagènes et reprotoxiques). Les deux autres vagues auront lieu en 2013, pour les substances entre100 et 1000 tonnes, et en 2018 pour toutes les substances dont le tonnage est compris entre une et100 tonnes par an et par entreprise.© Photo Science Library/Reporters26N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRELe règlement REACH ouvre deuxnouvelles frontières. En premierlieu, il oblige des entreprisesconcurrentes sur le marché à collaborerau sein de forums, dits SIEF, pourprésenter un dossier commun à l’approbationde l’Agence européenne desproduits chimiques (ECHA) à Helsinki.Naturellement les règles de concurrencecontinuent de s’appliquer et lacoopération ne peut concerner que laconstitution du dossier en excluanttoute information à caractère commercial.Inversion de la preuveEn outre le règlement REACH inversela charge de la preuve. Dans la grandeaffaire de l’amiante, les victimesse sont longtemps battues pour queleurs droits soient reconnus. SousREACH, il n’appartient plus à la victimeprésumée d’une substance toxiquede prouver qu’elle est en fait laLa première vague d’enregistrementdes substances chimiques devra êtreterminée en 2010.victime, c’est à l’industriel de prouverque son produit est non toxique. Cetteinversion de la preuve est le socle durèglement REACH et met en lumièrel’amplitude du changement. Les entreprisesdoivent donc s’assurer qu’ellesrépondent à toutes les contraintesréglementaires et en premier lieu aurespect du calendrier imposé.Il ne reste qu’une petite année avantles vraies échéances. La fracture estpourtant grande entre le volume despré-enregistrements effectués fin2008 (150.000 substances pré-enregistréespar 65.000 entreprises) et lerelativement petit nombre de forumsmis actuellement sur les rails de 2010,soit 1.900 à la fin octobre. Cette fractureinterpelle à la fois le régulateur etl’industrie. Une raison de cette faiblemontée en régime est le manque decandidats «lead registrant» pourtantnécessaires à la constitution du dossiercommun. Il faut savoir que la constitutiond’un dossier d’enregistrementpeut prendre de quelques semainesà plusieurs mois, selon la complexitédu dossier et les études toxicologiquesnécessaires à sa confection.«Cherche lead registrantdésespérément»«Cherche lead registrant désespérément»n’est pas encore d’actualitémais le temps presse. Les entreprisesdoivent rapidement amorcer laconstitution de leurs dossiers (unforum par substance), quitte à prendrele leadership de leur forum si personnene se présente. Attendre qued’autres prennent l’initiative serait laplus mauvaise des stratégies. REACHa créé un vaste échiquier sur lequel sepositionnent les leaders du marché. Lagarantie de la continuité de sa présencesur le marché pour une entreprisene sera obtenue que par un enregistrementréussi. Quand une substancechimique est stratégique pour une entreprise,seule une approche volontaristeest possible.Les PME sont souvent peuéquipéesLes PME sont souvent peu équipéespour affronter seules le parcoursd’obstacles qu’est un enregistrementREACH. Les ressources humaines sontlimitées et les exigences de REACHune charge additionnelle malvenuedans une économie chahutée commeaujourd’hui. Certes les PME peuvents’adosser à leurs fédérations - beaucoupl’ont fait - et dans certains casobtenir l’aide d’agences gouvernementales.Elles peuvent aussi faireappel à des prestataires de servicesspécialisés. Quoi qu’elles fassent, laresponsabilité ultime de l’enregistrementreste la leur. D’où l’importancepour le management de ne plus tergiverser.Les observateurs craignent eneffet des embouteillages dans la ruéevers l’enregistrement 2010. André ClodongREACH est le cœur de métier de la société deconseil EcoMundo. Basée en France, EcoMundoa depuis l’été 20<strong>09</strong> une présence à Bruxellesvia Beci avec qui elle a un partenariat couvrantl’impact du règlement REACH sur l’industrie.Le représentant est André Clodong.T +32 2 563 68 58Email: aclodong@ecomundo.eu


INTERVIEWS D’EMBAUCHE IMMÉDIATES !www.jobdays.euUne initiative deVendredi 11 décembreJOB DAY INFORMATICIENS,INGÉNIEURS ET TECHNICIENSavecet Espace spécial Développeurs !organisé avecetA l’ Rue Royale 150,1000 BruxellesProchains Job Days :Vendredi 12 mars 2010JOB DAY Meeting IndustryMétiers du tourisme, de la restauration,de l’hôtellerie, de l’événementiel, de lacommunication, des taxis, des foires etsalons…Vendredi 20 mars 2010JOB DAY Airport RegionDes entreprises dans et autour del’aéroport, situées à Bruxelles etenvirons de Zaventem, à la recherchede tous types de profils…Evaluation des employeurs et profil des candidats des éditionsprécédentes disponibles sur le site www.jobdays.euStand et Catering à partir de 500€ en fonction du nombrede salariés de votre entreprise.Réservez rapidement via info@jobdays.eu !Avec la collaboration deMedia partners


event<strong>BECI</strong> ENERGY BREAKFASTDes primesrégionalesbienvenues28Bruxelles Environnement propose unaccompagnement aux entreprisesdésireuses d’améliorer l’efficacitéde leur bâtiment en termesde consommation d’énergie,notamment pour les aider às’y retrouver dans le dédaledes primes. Ouf !N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRELes entrepreneurs bruxelloisqui souhaitent virer au vert,en raison de principes morauxet civiques largement partagés, sontnombreux. Ils savent qu’actuellement,des solutions technologiquesfiables existent, à portée de la main.L’avantage en termes de rentabilitééconomique de leur investissement,à long terme, ne leur échappe pas.Et ils savent aussi, le plus souvent,que l’investissement à prévoir n’estplus exorbitant, d’une part, et qu’ilpeut être réduit, d’autre part, grâceà l’intervention des autorités. Cequ’ils ignorent souvent, en revanche,c’est la marche à suivre pourobtenir ces aides ou la proportiondans laquelle la facture finale seraallégée.Evelyne Huytebroeck, ministre de l’Energie lors de <strong>BECI</strong> Energy Breakfast.innombrables solutions techniquesou de financement. C’est en toutcas ce qu’ont rappelé Grégoire Clerfayt,directeur de cabinet adjoint dela ministre Evelyne Huytebroeck(Ecolo), et Horia Bali, facilitateurtertiaire au sein de Bruxelles Environnement,aux dirigeants d’entrepriserassemblés lors de <strong>BECI</strong> Energybreakfast (07/10).« Toute personne qui s’occupe d’unbâtiment tertiaire ou industrielconsommant de l’énergie peut nouscontacter par téléphone, courriel, faxou visite en nos locaux, pour obtenirnon seulement des informations généralessur les primes énergie ou lestechnologies disponibles, mais aussiune assistance technologique, uneanalyse critiques des études de fai-Bruxelles environnement veille,pourtant, et se tient à la dispositionde quiconque souhaiterait unrenseignement, un conseil, voire unaudit ou encore un guide parmi lesPierre Thonon, administrateurdirecteur général de <strong>BECI</strong>.Christophe Barbieux, BruxellesEnvironnement (IBGE).Bruno Vander Maelen,technical services managerde Electrabel.


eventsabilité ou une relecture critique descahiers des charges », a insisté HoriaBali, avant de revenir en détail surles différentes primes énergie régionalesen vigueur actuellement.De A à ECes dernières concernent tous lesaménagements concédés à un bâtimentpour le rendre plus économe enénergie et ce, à tous les stades de leurréalisation, de la conception à la miseen marche. La série de primes A interviennentau stade préalable au débutdes travaux : pour l’audit énergétique,les études de faisabilité d’installationsde techniques « non-classiques», la conception énergétique àl’aide de simulations, et l’installationd’un système d’enregistrement desflux énergétiques. Elles s’élèvent à lamoitié de l’investissement consentipar l’entreprise ou l’organisation quiexploite les lieux.La série de primes B concerne les installationsproprement dites, à l’exceptiondes systèmes de chauffage(concernés par la série de primes C).Elles représentent une participationde 20 à 35 euros par m 2 , selon le typed’isolant utilisé, aux coûts de travauxd’isolation (toiture, murs extérieurs,par l’intérieur ou l’extérieur, sols etfenêtre, conduites d’eau chaude) ouà l’installation d’une toiture verte,extensive ou intensive, à concurrencede 50% de la facture totale, voire encoreà la pose de protections solairesextérieures ou d’un système deventilation ou de refroidissement.Une prime (la B10a), non cumulableavec les primes « isolation et ventilation», s’adresse même à ceux quirendent leur bâtiment, neuf ou plusancien, « passif », c’est-à-dire à basseconsommation d’énergie. Cette qualités’atteste sur base de critères strictsétablis par la Région.Temps bien investiLes autres primes accordées par laRégion concernent les améliorationsde systèmes de chauffage (pour unmontant de 30 à 40% de celui de lafacture) ou les installations permettantde produire de l’énergie à partirde sources renouvelables (pour 40%du prix total de l’installation). Lesprimes E s’appliquent aux optimisationsde l’efficacité énergétique desbâtiments. Enfin, la primes G1 se réfèreaux actions des fédérations professionnellesen faveur de l’efficacitéénergétique (100% du projet subsidié),tandis que la G2 récompense le choix<strong>BECI</strong> Energy BreakfastRendez-vous en février et avril 2010 pour les prochainsevents autour de l’énergie.Consultez notre agenda pour connaître les datesexactes : www.beci.be/agendaPour tout contact :Brigitte van der Mensbrugghe – bvdm@beci.beCet Energy Breakfast et les prochains sont organisésdans le cadre du projetWith the support ofDisclaimerThe sole responsibility for the content of this presentation lies withthe authors. It does not necessarily reflect the opinion of the EuropeanCommunities. The European Commission is not responsible forany use that may be made of the information contained therein.d’un fournisseur local (0,025euros/kWhé pendant 15 ans).Heureusement que Bruxelles environnementguide les intéressés dansce dédale de bonus ! Ainsi que dansles processus à suivre pour les obtenir.Dans tous les cas, en effet, la demandes’accompagne d’un formulairedûment et précisément rempli. Cetravail demande deux heures environ.Un investissement en temps detaille, certes, mais vite rentabilisé. Carline Taymans29N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREPhotos : © Dany Gys/ReportersLes entrepreneurs bruxelloisqui souhaitent virer au vert,étaient nombreux lors du <strong>BECI</strong>Energy Breakfast.


oîte à outilsLes recours de l’acheteur insatisfait30N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREAu départ d’un exemple très simple, on peut aisément comprendre la différence entre lestrois situations les plus fréquemment rencontrées par l’acheteur insatisfait :1 J’achète une camionnette quia des dimensions bien précises.On me livre une camionnetted’un autre modèle, qui ad’autres dimensions. Il y a nonconformitépar rapport à la commande,et donc manquement àl’obligation de délivrance.2 J’achète une camionnette, onme la livre et je l’utilise. Desproblèmes apparaissent, qui révèlentl’existence d’une fissuredans le moteur. Il y a matière àgarantie des vices cachés.3 Un exemple un peu macabre,mais tiré d’une affaire réelle :je suis entrepreneur de pompesfunèbres et j’achète un break àusage de corbillard. On me livrele véhicule que j’ai commandé,mais il apparaît que, par sesdimensions, il ne peut servir àcet usage. J’ai donc commis uneerreur, qui peut conduire à lanullité de la vente pour vice duconsentement.La difficulté que rencontre l’acheteurinsatisfait ne tient donc pas à la pauvretédes recours qui s’offrent à lui.Au contraire, il y en a presque trop !Parfois même ils se chevauchent, secumulent. Ainsi, dans l’exemple ducorbillard, l’acheteur du break pouvaitnon seulement demander la nullité dela vente pour erreur (pour autant quecelle-ci soit jugée excusable), mais ilaurait pu aussi faire jouer la garantiedes vices cachés « fonctionnels », c’està-diredes vices qui n’affectent pasla chose elle-même mais seulementl’usage que l’acheteur veut en faire,au su du vendeur. Cette multitudede recours entraîne sans doute pourl’acheteur une difficulté à choisir,mais elle est aussi pour lui une aubainepuisqu’elle lui permet de choisirle recours le plus approprié ou celuiqui lui procurera le meilleur résultat.Ainsi la nullité pour erreur sera moinsintéressante pour lui que la garantiedes vices cachés, qui lui permettrad’obtenir plus facilement des dommageset intérêts, si du moins le vendeurest un professionnel. Mais la garantiedes vices cachés doit être soulevée « àbref délai », alors que l’action en nullitépeut l’être pendant dix ans !Il y a donc – lorsque le choix entre plusieursrecours existe – plusieurs paramètresà prendre en considérationpour exercer tel recours plutôt quetel autre, ou pour présenter l’un enordre principal et l’autre en ordre subsidiaire: il faut prendre en considérationles conditions de preuve à fournir,qui ne sont pas les mêmes dans tousles cas ; les conditions de délai, biensûr ; l’anéantissement de la vente ouau contraire son exécution forcée ; lesconséquences, en particulier financières,du recours choisi, etc. : autant dequestions à examiner cas par cas.Que faire avec un véhicule qui par ses dimensionsne peut servir à votre usage ?N’oublions pas non plus que la qualitéde l’acheteur et celle du vendeursont loin d’être indifférentes. Ainsi,lorsqu’un vendeur professionnel vendun bien à un consommateur profane,la possibilité qu’a celui-ci d’invoquerun manquement à l’obligation de délivranceest, depuis quelques années,infiniment plus large qu’auparavant.La matière est donc non seulementcomplexe, mais également évolutiveaussi bien dans la loi que dans la jurisprudence.J’espère néanmoins,par le bref aperçuqui précède, avoir pudégager quelques lignesclaires. François GlansdorffAvocat associéJanson Baugniet© Reporters


Un présentoir Bizzbox dans votre entreprise ?Communiquer via le réseau Bizzbox ?02 345 74 55 - info@bizzbox.beINFORMER. COMMUNIQUER.Les entreprises ont enfin leur réseau.l’actualité économique bruxelloise bizzbox newsGrâce à 200 points de diffusion disséminés dans 390 entreprises à Bruxelles, les présentoirs Bizzboxdiffusent l’information économique et institutionnelle des acteurs bruxellois. Créé en associationavec Beci, le réseau veut renforcer les relations entre institutions de la capitale et promouvoir l’activitééconomique bruxelloise. La rubrique Bizzbox News entend renforcer cet objectif.BIZZBOXFOCUS – Incitants financiers :Bruxelles Export muscle vos exportationsLes entrepreneurs bruxellois sont encore plus nombreux à solliciter les aides financièresde Bruxelles Export. La crise renforcerait-elle leur volonté d’expansion vers l’étranger ?Les incitants financiersles plus prisésLes entreprises bruxelloises s’engagentde plus en plus dans la prospectionde marchés en croissance horsde l’Union européenne. Leur participationrégulière aux foires et salonsspécialisés atteste que ceux-ci restentun lieu idéal pour nouer des relationsd’affaires et conclure des contrats.Les exportateurs accroissent aussileurs efforts pour réussir leur communicationà l’étranger : le succès del’aide octroyée pour la réalisation dedépliants, catalogues, sites Internetou CD-ROM le démontre. En bref, l’organisationde voyages de prospectionet la participation aux foires et salonsde renommée mondiale représentent,avec la réalisation de supportspromotionnels, 94 % des demandesde subsides !Tout aussi essentielsMoins sollicités, les incitants pour seformer à l’export ou recourir à unexpert en commerce extérieur sontpourtant fort utiles aux jeunes entreprises.L’exportation est un métier quinécessite une stratégie commerciale,une connaissance des législationsétrangères, des habitudes de consommation,des façons particulières detraiter les affaires… Certaines sociétésreçoivent aussi des subsides deBruxelles Export pour participer à desappels d’offres qui ciblent des marchéshors UE.Les plus récentsDepuis 2007, deux autres incitantscomplètent la panoplie d’aides. L’un,assez pointu, vise la formation techniqueà Bruxelles de clients potentielsprovenant de pays hors UE. Cette formationest le plus souvent liée à l’utilisationd’équipements spécifiques.Le second encourage l’ouverture debureaux collectifs de représentationhors de l’Union européenne. Une mesureinnovante par son ambition deréaliser des économies d’échelle enregroupant des PME qui prospectentainsi plus facilement et à meilleurcompte les marchés visés.Simplification et accélérationde la demandeManque de temps et lourdeur desprocédures ont souvent freiné lespatrons dans leurs démarches d’obtentionde subsides. Bruxelles Exportl’a compris et propose en ligne unformulaire unique de demande pourtous les incitants financiers sur www.bruxelles-export.be, « aides financières».De même, Bruxelles Export vousaidera aussi à élaborer vos demandesvia le 02 800 40 00 ou infos@brusselsexport.irisnet.be.Bon à savoirCOURS DE LANGUE - F9 Languages in BrusselsF9 Languages in Brussels, précédemment Fondation 9 asbl, propose des cours de langue(individuels ou de groupes, intensifs ou à la carte, en entreprise ou en ses locaux) destinésaux particuliers et aux entreprises.Fondée en 1989 sous l’égide de l’Université Libre de Bruxelles, de <strong>BECI</strong> et de la Ville deBruxelles, l’école est devenue ce mois d’avril F9 Languages in Brussels. Nouveau nom,nouvelle dynamique, évolution de son image, c’est aujourd’hui une toute nouvelle équipe qui porte ces changements.Les différentes formules de cours et la qualité des professeurs ‘native speaker’, couvrant toutes les langues européenneset plus, ont déjà convaincu plus de 100 000 personnes !31N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREBIZZBOX y est présent !Infos :Chérine KAYNAK02/627.52.52Info@f9languages.euwww.f9languages.eu


oîte à outils<strong>BECI</strong> ET WOMAN’S ACADEMY LANCENT DES ATELIERSUNIQUEMENT POUR LES FEMMES« 70% des formations sont suivies par les hommes ! »La plupart des business trainings proposés sur le marché sont donnés par des hommes et lesfemmes participantes sont souvent une minorité. L’Institut de l’égalité Femmes-Hommes estimeque les formations offertes par les entreprises sont suivies à 70% par les hommes ! Les horaires, lesméthodes d’apprentissage et la manière d’aborder les sujets sont souvent basés sur des habitudesmasculines. Il faut aussi que les femmes se donnent « la permission » de quitter leur travail pour seformer sans oublier qu’elles doivent aussi « oser » demander à leur entreprise la possibilité d’y aller.pourquoi <strong>BECI</strong> organisera les 19 <strong>novembre</strong> et 3 décembreprochains deux ateliers de formation dans le cadre deC’estsa Woman’s Academy en collaboration avec JUMP « EmpoweringWomen, Advancing the Economy ». Ces ateliers, animéspar des femmes expertes et spécialement conçus pour les femmes,aborderont deux sujets qui les touchent plus particulièrement.32N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREComedienneGeneviève Smal.« La Stratégie de l’audace »par Geneviève SmalDe la prospection à la fidélisation, de la recherche d’idéesneuves à l’entreprenariat et à l’utilisation de nouveauxmodes de communication, on sait tous que l’audace va donnerde nouvelles solutions vivifiantes, mener l’entreprise versle haut et la fera se distinguer. On sait souvent moins comments’y prendre. Trouver de nouvelles solutions, prendre desdécisions novatrices ne sont plus des envies mais sont devenusde réels besoins.En quelques heures, venez découvrir de nouvelles façonsde créer. Il existe de multiples possibilités de faire preuved’audace. Grâce à quelques ficelles inédites et originales etquelques techniques puissantes, vous allez apprendre à quitterle confort des situations connues pour vous plonger dansl’inconnu de la réussite.« Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le. L’audace adu génie, du pouvoir, de la magie » GoetheGeneviève Smal est comédienne. Plus de quinzeans d’expérience dans la formation en communicationverbale et relationnelle lui confèrentune grande expérience des formules et potionsmagiques. Diplômée en Communication, enManagement et Conseil en entreprise, GenevièveSmal met son Premier Prix de Conservatoire enArts de la Parole au service de ceux et celles quiveulent aller plus loin19/11/<strong>09</strong> : « La Stratégie de l’audace » par Geneviève Smalde 17h30 à 19h30 - Prix : 65 € tvacLieu : <strong>BECI</strong> – avenue Louise, 500 à 1050 BruxellesPour en savoir plus et pour vous inscrire :info@womansacademy.be« Techniques de gestion dutemps pour femmes actives »par Monique ChaludeLes rôles traditionnels des hommes et des femmes ont évolué.Chacun(e) souhaite concilier vie professionnelle et vie privée.Comment s’y prendre ? Cette formation accompagne les participantesdans leur démarche personnelle pour une meilleurevision des différentes options possibles.L’atelier vous aidera à répondre aux questions suivantes :cultivez-vous le mythe de la Superwoman qui excelle danstous les domaines et tous les rôles ? Sur vos 24h, commentstructurez-vous votre temps quotidien ? A quels types detemps accordez-vous la priorité ? Temps professionnel, tempsfamilial, temps personnel, temps bénévole, temps associatif?Passez-vous d’une culpabilité à une autre ? Vous découvrirezensuite des techniques et des méthodes de gestion du tempset comment les mettre en place.Monique Chalude est Partner et ManagementConsultant (MC2-MoniqueChalude Consultants). Spécialisée dansle domaine du travail des femmes et deleur carrière, elle mène des activités derecherche, de formation, de consultanceet de coaching de femmes dirigeantes.Monique Chalude, management consultant.03/12/19 : « Techniques de gestion du temps pour femmesactives » par Monique Chaludede 13h30 à 17h00 - Prix : 150 € htvaLieu : <strong>BECI</strong> – avenue Louise, 500 à 1050 BruxellesPour en savoir plus et pour vous inscrire :info@womansacademy.be


eci, un soutien à l’entreprise de a à zVéronique Buelens, responsable du Guichet d’Entreprise <strong>BECI</strong>En direct du Guichet d’EntreprisePourquoi des entrepreneurs se butent encore à des difficultésadministratives ? Exemple de dysfonctionnementet réponse pour y remédier.Un spécialiste en audiovisuelveut créer sa société. Il revientde chez le notaire. Il apayé ses frais de constitution, le greffea ouvert son numéro d’entreprise. Notreclient arrive au guichet de la <strong>BECI</strong>qui est contraint de lui annoncer lamauvaise nouvelle : il lui manque uneattestation de gestion.Hélas, il ne s’agit pas d’un cas isolé.La raison de ce bug dans le parcoursdu combatif entrepreneur ? On tendà une simplification administrative,mais il reste trop d’intervenants, laprocédure actuelle n’est pas clairepour tous. En résumé, une meilleurecommunication s’impose.Tout savoir sur le diplômede gestionPour démarrer son affaire, le futurentrepreneur doit prouver qu’il peutla gérer. À priori, en fournissant uneattestation de gestion. En pratique,les diplômes d’humanités secondairessupérieures de l’enseignement généralou technique, délivrés avant 2000,donnent d’office accès à la gestion. Lecas échéant, une 1ère expérience d’indépendantou de dirigeant salarié faitaussi l’affaire. Après 2000, les programmesscolaires prévoient ces coursen option et ceux-ci requièrent unexamen supplémentaire. « Il faudraitêtre plus clair. Le niveau de l’enseignementlatin grec ou latin math devraitsuffire. Mais l’étudiant mal informéqui ne prend pas l’option, risque d’êtrebloqué », prévient Véronique Buelens,Responsable du Guichet d’Entreprise<strong>BECI</strong>. Des alternatives ? Impliquer unmembre de la famille (au 2nd rang),passer au jury central ou suivre descours en Gestion (3 mois).La Banque CarrefourUn dossier en ordre est essentiel pourdémarrer son activité comme pourla poursuivre. La Banque Carrefour,grande base de données de toutes lesentreprises, est à jour et entend bien lerester. En opérant des contrôles à distance: « L’entreprise a–t-elle bien uncaractère commercial, son gérant a-tilbien le diplôme de gestion requis ? »,illustre Mme Buelens. Sylvie CousinUne question ?Contactez le Guichetd’Entreprise !Guichet d’Entreprise <strong>BECI</strong>Véronique BuelensT +32 2 643 78 <strong>09</strong>vb@beci.bewww.beci.be/guichet33N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRENOUVEAU !<strong>BECI</strong> Executive MeetingVisiter des entreprises d’exception dans un cadre d’exception entre chefs d’entreprises, telleest la vocation des Beci Executive Meetings !Cinq fois par an, le CEO d’une société de plus de 100 employésrecevra les patrons de PME de minimum 20 travailleurs.Ce nouveau projet a pour vocation de mettre enrelation des chefs d’entreprises.Cette année, vous aurez l’occasion de découvrir les rotativesdu Groupe Rossel, le Palais des Congrès de Bruxelles rebaptiséSquare Brussels Meeting Centre, les nouveaux bureauxde Microsoft, Viage et enfin le Musée de l’IT chez Unisys.Le premier rendez-vous se tiendra dans le magnifiquecentre de congrès Square Brussels Meeting Centre ce jeudi3 décembre.Pour plus d’information,visitez notre site www.beci.be/executivemeetingsou contacter directement Ikram Ouadrassi au 02 643 78 05Nos sponsors :


eci, un soutien à l’entreprise de a à zCENTRE POUR ENTREPRISES EN DIFFICULTÉCela arrive aux meilleures© PhotoAlto/Reporters34N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREN’importe quelle entreprise peut connaître un jour ou l’autre desdifficultés. Prises à temps, elles peuvent n’être que passagères.Aujourd’hui, <strong>BECI</strong> voudrait encore agir plus tôt et aller plus loin.Pour aider les entreprises dansleurs moments de crise, internesou externes, <strong>BECI</strong> a créé, ily a 5 ans, le Centre pour Entreprisesen difficulté (CEd), financé par la Régionde Bruxelles Capitale.Diagnostiquer, informer,aiguillerL’équipe d’Oliver Kahn, Responsabledu CEd, réunit des compétencesjuridiques, financières et générales.Grâce à une approche méthodique etéprouvée, elle peut poser d’emblée un1er diagnostic et qualifier la situation.Puis en fonction de celle-ci, délivrerl’info légale dont doit disposer le chefd’entreprise. « C’est lui qui reste maîtrede ses choix, nous sommes là pourl’encourager à aller plus loin, à accepterla visite d’un conseiller externe,par ex. », explique Olivier Kahn.Pro DeoLe CEd aiguille le chef d’entreprise,selon le problème détecté. Et il n’estpas toujours d’ordre financier. C’estainsi que <strong>BECI</strong> a conclu un partenariatavec le Barreau de Bruxelles pourproposer aux entreprises en difficultéun Pro Deo juridique. Pour son ProDeo comptable, <strong>BECI</strong> collabore avec 5associations professionnelles.Osez consulter« Avec la crise, nous recevons deplus en plus de dossiers et nous remarquonsque la qualité des cas quinous sont soumis est elle aussi enhausse », dévoile Olivier Kahn. Personnen’échappe à des difficultés deparcours.Prévenir plutôt que guérir« Je pressens un problème avec monassocié. J’attends, je ne sais commentréagir … » Mais pourquoi attendre ?Les effets en chaîne suivront… « 60%nous consultent au stade trop avancéde l’endettement bancaire, fiscal etsocial », témoigne O. Kahn. Plus tôt onconsulte, plus l’entreprise a des chan-Plus tôt onconsulte, plusl’entreprise ades chances dese redresser.ces de se redresser. « Nos statistiquesle prouvent, nous aurionspu sauver beaucoup de dossiers, s’ilsavaient été soumis plus tôt », motiveO. Kahn : « Notre objectif après 5 ansn’est plus de faire du volume mais deconsulter plus en amont, nous avonsplus de marge de manœuvre. » Sylvie CousinCentre pour Entreprises en difficulté- <strong>BECI</strong>Avenue Louise 500- 1050 Bruxelleswww.ced-com.bePour nous contacter :Cindy TORINOConseillère - JuridiqueT +32 2 643 78 48 – ct@beci.beFabienne MALAISEConseillère - FinancierT +32 2 643 78 07 – fm@beci.beVotreclientèleest unepiècemaîtressede votrebusiness.WORKSHOP :La raison économique vous incite àtraiter tous vos clients indifféremment? Ou le client fidèle méritepour vous un traitement à la hauteur deson attachement à votre entreprise ?Pensez-vous revêtir aux yeux de votreclient fidèle la même importance que vousne lui accordez ?Si votre client vous choisit, est-ce dû au hasardou est-ce parce qu’il vous a en tête ?Comment, en pratique, être à tout momentdans son esprit et le jour où il aura besoinde vos services ?© PhotoAlto/Reporters10 ACTIONS POUR FIDÉLISER SA CLIENTÈLEÊtre absent, c’est céder la place au concurrent1 journée & 10 actions pour fidéliser votre clientèle. Un workshoppragmatique et utile, à appliquer dès votre retour.Votre clientèle est une pièce maîtressede votre business. Une fois acquise, enfait dès la première commande, il vousfaut créer les conditions pour préserveret développer la relation. Celle-ci devraitvous apporter chiffre et marge aumoins 5 années.La gomme du temps passe 4 fois paran. L’échéance critique est donc le trimestre…Alors, quelles sont les actionsconcrètes que vous pouvez entreprendretous les 4 mois dans votre entreprise? Le workshop « 10 actions pour fidéliser sa clientèle» du 11 décembre est animé par PatrickStenpien. L’orateur, roué aux techniques de formation-actionet ayant une pratique commercialeavérée, viendra expliciter ses 10 conseilsd’action. Chacun des dix principes sera illustréconcrètement et commenté en groupe (une dizainede chefs d’entreprise, vos alter ego…) etchaque participant repartira avec une check-listà mettre en pratique dans son entreprise.Vendredi le 11 décembre de 9 à 17 heures, <strong>BECI</strong>,Avenue Louise 500, 1050 Bruxelles.Infos et inscription : Alexandra ChenT +32 2 643 78 13achen@beci.be ou www.beci.be/events


oîte à outilsRichard Roose,directeur Brandin Progress.STARTER DU MOIS« J’ai grandi avec la volontéde créer ma propre société »Quel est votre parcours ?En commençant ma carrière professionnellechez Master Foods, j’aiparfait ma formation universitaireen suivant des cours de managementà Solvay en cours du soir. Mon pèreayant exercé une profession libérale,j’ai grandi avec la volonté de créer mapropre société. Avec ce but en tête,il me semblait important d’acquérirde l’expérience dans des secteursdifférents. Durant 15 ans, j’ai donctravaillé pour diverses organisations,dans des marchés et des secteurs variés.J’ai travaillé pour Mars Alimentaire,Taxipost, la pme bruxelloisePierre Marcolini ou encore Lacoste.Dans ces sociétés, je suis intervenudans le développement commercialet marketing au niveau national ouinternational, et le repositionnementstratégique des organisations.Pourquoi l’idée d’entreprendre ?Depuis avril 2008, avec mon associéespécialisée dans le marketing,nous avons créé la structure Brand InProgress, spécialisée dans le conseilen développement stratégique demarques, la gestion d’équipes et ledéveloppement des départementscommerciaux et marketing. Notreapproche globalisée est basée sur la« Brand Attraction ». Notre but est demaximiser la « Brand Attraction » entravaillant sur les deux pôles qui ladéfinissent c’est-à-dire la «Brand Perception» et la « Brand Experience ».Comment se porte votremarché ?Nous avons constaté au cours du premiersemestre 20<strong>09</strong> une baisse desdemandes de missions, à la suite desévénements économiques de la fin2008. En revanche, depuis le mois dejuin la tendance s’est inversée. Dansla conjoncture actuelle, il est doncplus important que jamais d’êtreréactif. Nous recevons de nombreusesdemandes de sociétés étrangèrespour les conseiller dans leur implantationsur notre marché.Quelles qualités faut-ilavoir pour être un bon chefd’entreprise ?Il faut avoir une vision stratégiqueà long terme et surtout « garder lecap ». Connaître et prendre en compteses points faibles et ses points fortsest également une nécessité. Il noussemble primordial de se tenir à sesvaleurs et à son plan de développement.Etre persévérant, endurant,savoir gérer son temps et bien s’entourersont des qualités obligatoirespour monter sa propre structure.Comment voyez-vousla Belgique en termesd’entreprenariat ?A notre niveau, la création d’entreprisesne bénéficie que de très peu desubsides, ou d’aides pour le recrutementde collaborateurs, ni d’actionssuffisante en formation continue.Ceci est préjudiciable au développementéconomique et à la création dePME, contrairement à la France quiencourage activement la créationd’entreprises dans le secteur du service.Quelles difficultés avez-vousrencontrées lors de la créationde votre structure ?<strong>BECI</strong> et principalement Madame Zaccagnininous ont aidé avec efficacitéà accomplir les formalités de créationde notre structure. Sans eux lesdémarches auraient été longues etcomplexes.Quels conseils donneriez-vousaux personnes qui hésiteraientà se lancer dans la créationd’entreprise ?Il est fondamental d’avoir une trèsbonne connaissance de son marchéet d’en avoir fait une analyse poussée.Le « business plan » est une étapequ’il ne faut pas négliger et mériteque l’on y passe le temps nécessaire.Ce dernier doit être développé à longterme et revu constamment en fonctionde la fluctuation du marché.La règle de base est d’avoir une trésoreriesolide et de bien mesurer son« return on investment ».Recommanderiez-vousl’accompagnement desconseillers de <strong>BECI</strong> starters ?Très certainement, l’expertise de la<strong>BECI</strong> est unique et « multi-marchés ».Ce service nous donne de nombreusesinformations et nous permet aussid’échanger des « best practices » avecd’autres membres et nous proposeun suivi tout au long de notre développement.Propos recuellis par Mirella ZaccagniniCarte d’identité :Nom : Richard RooseDiplômes :Licencié en SciencesEconomiques de l’ULBEnseigne : Brand In ProgressDate de création : avril 2008Adresse :Avenue Louis Lepoutre 87,1050 Bruxelles35N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


eventAssemblée Générale <strong>BECI</strong> 20<strong>09</strong>© Dany Gys/Reporters36N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREComposition du Conseild’Administration de <strong>BECI</strong>Chambre de Commerce deBruxelles pour l’exercice 20<strong>09</strong>-2010Nomination par l’Assemblée Généraledu 15 octobre 20<strong>09</strong>Alain BERLINBLAUJean-Paul BISSENPatrick BONTINCKPatrick BRAUNSAlexandre CLEVENThierry CONRADSXavier DAMSTERJean-Claude DAOUSTThéo DE BEIRMichel DE BIÈVREEtienne DEFRAIGNEDenis DEFORGEAlain FLAUSCHEvelyn GESSLERBaudouin GILLISMichel GOVAERTSBernard GUSTINIsabelle HAMBURGERPaul HEGGEJacques INDEKEUJean-Pierre JAUCOTLiliane KNOPESPierre KONINGSSophie LECLERCQDominique LEROYPhilippe LHOMMEKarel LOWETTEPierre MARCOLINIIne MARÏENJean-Luc MASSCHELEINLouis-Philippe ORBANJean PUTMANSAlain RADELETFrédéric ROUVEZBaudouin RUQUOISChristian SANDERSGeert STREULENSSerge STROINOVSKYPierre THONONSam VAN DE KERCKHOFJudith VAN GELUWEEmmanuel VAN INNISJean-ClaudeVANDENBOSCHBaudouin VELGEGuido VISSERSHerman VYVERMANOlivier WILLOCXPhilippe ZONEJose ZURSTRASSENDiane ZYGASPrésident <strong>BECI</strong>Emannuel VAN INNISVice-présidentsAlexandre CLEVENJean-Claude DAOUSTKarel LOWETTEAdministrateurdéléguéOlivier WILLOCXAdministrateurdirecteur généralPierre THONONSecrétaire généralJoëlle EVENEPOELComposition du Conseil d’Administration de <strong>BECI</strong>Union des Entreprises de Bruxelles pour l’exercice20<strong>09</strong>-2010Nomination par l’Assemblée Générale du 15 octobre 20<strong>09</strong>Guy-Marc BAUDEBrigitte BOONEYves BOSTEELSAndré BOUFFIOUXStephan BROECKXBernard BROZEBart BRUSSELAERSAlexandre CLEVENBruno COLMANTBernard COLSMichel CROISÉJean-Claude DAOUSTAnya DE BIEMichel DE BIÈVREJean-AntoineDE MUYLDERJean-ClaudeDEBUSSCHEJean-Jacques DELENSLuc DEMEZMarcDESCHEEMAECKERFrançois DESCLÉEDE MAREDSOUSClaude DESSEILLEAlain DEVOSEtienne DEWULFMichel EECKHOUTEric EVRARDAlain FLAUSCHChristian FRANZENYvan HUYGHEBAERTEvelyn GESSLERLuc GEUTENPhilippe GILLIONBaudouin GILLISMichel GOVAERTSBernard GUSTINPaul HATRYLuc HUJOELOlivier JORISVéronique JOSEPHMarc JOSZPierre KONINGSPhilippe LACROIXJean LAMPEPaul LENAERTSDominique LEROYLaurent LEVAUXAndré LOUWAYEKarel LOWETTEDidier MALHERBEDominique MICHELChris MORISPhilippe NEYTOlivier NIFLERemo PELLICHEROGaëtan PIRETJean-Luc QUOISTIAUXAlain RADELETPierre ROBAPaul SOETEStéphan SONNEVILLEEugène TEYSENPierre THONONJoris TIEBOUTEmmanuel VAN INNISThierry VAN KANChris VANDERROOSTRaymond VAXELAIREBaudouin VELGEChristianVELTEN-JAMESONFrançis VERHEUGHEPhilippe VINCKEJean-Mary VIVIERHerman VYVERMANPatrick WATERKEYNPatrick WIELEMANSThierry WILLEMARCKOlivier WILLOCXDiane ZYGASAdministrateurdélégué honoraireChristian FRANZENPast-présidentshonorairesClaude DESSEILLERaymond VAXELAIREFrancis VERHEUGHE1 e Vice-présidenthonoraireYvan HUYGHEBAERTAdministrateurhonorairePaul HATRYTrésorier honorairePhilippe BIARTLesparticipantsà l’AssembléeGénéraledevantl’immeublede <strong>BECI</strong>, àl’AvenueLouise 500.


eventBeci remercie ses membres les plus fidèles avec une médailleTraditionnellement lors de son Assemblée Générale, Beci met sous les feux de la rampe ses membresles plus fidèles. Les dirigeants des entreprises qui sont membres de Beci depuis 25, 40, 50 ou 75ans, ont reçu une médaille et un diplôme des mains du Président de Beci, Emmanuel van Innis. Voustrouverez ci-dessous la liste des entreprises récompensées :25 ans :AbatanAmwayAlain-Georges De KeghelGATD(médaille à titre posthume)O SérieuxRoy ProductsRTBFSitaSomanyTraneJoris Tiebout de Abatan (25 ans).40 ans :ComorgaFontecPascal Guillaume de Dalkia (40 ans).50 ans :International Trade of MetalsLe Palais du VinSchaeffler BelgiumTobescoRoland Cracco de Interparking (50 ans).75 ans :EssilorSociété Belge EtamPierre Roba de Marcq & Roba (75 ans).37N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREMarc Robin de MeadWestvaco Europe (40 ans).Denis Delforge de Foire Internationalede Bruxelles (50 ans).100 ans :Richard DiffusionGeorges Richard de Richard Diffusion (100 ans).Ludo Stockmans de Adesco (40 ans).Photos : © Dany Gys/Reporters


Une placeroyalepour vosévénements.BIP For RentVos réunions,réceptions,conférences de presseou séminairesdans un cadrehistorique de prestige.BIP ExpoBienvenue à“Experience Brussels!”La Région s’exposede façon ludique etinteractive.BIP - Bruxelles Info PlaceContact et réservationTel: 02 563 61 87bipforrent@bip.irisnet.beBIP - Rue Royale 2 -41000 Bruxelleswww.biponline.be


Bruxelles,from boring to daringCity Marketing : Bruxelles comme marque 39Le nouveau Square Brussels Meeting Centreest arrivé ! 44Thoughtprovocing ideas pour Bruxelles :osons sortir des sentiers battus 49Probo, robot et câlin à la fois 56© Roger Job/ReportersDOSSIER« Que dit l’Atomiumsur la Bruxelles contemporaine ? »CITY MARKETINGBruxelles comme marqueOù est Bruxellesdans le débat du citymarketing ?Lond-ON, I AMsterdam, cOPENhagen, Be Berlin, Mad about Madrid... Les capitaleseuropéennes se volent l’une l’autre la vedette à coups de slogans branchés, tous plusingénieux les uns que les autres. La raison ? Attirer les touristes et autres visiteurs endétournant leur regard des autres capitales. En somme, les « racoleurs de clients »de la Rue des Bouchers, mais à l’échelon européen. Venez surtout chez nous ! Et Bruxellesdans tout ce débat ? Cela reste au point mort pour l’instant.39N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRELe « City Marketing », voilà bienun terme seriné à présent parchaque décideur politique. Àl’heure actuelle, la moindre ville afficheson propre slogan. Et c’est précisémentlà que le bât blesse, estimeDick de Jong, du bureau néerlandaisBrandaris Placemarketing, spécialisédans la promotion des villes,emplacements et domaines. Dick deJong a encadré bon nombre de villes,dont Utrecht et Leeuwarden, dansleur City Marketing, mais il est lepremier à tempérer l’actuelle ‘battleof the cities’. « Les villes invoquentfréquemment la concurrence entreelles, voire la concurrence mondialepour justifier leur pratique du CityMarketing”, poursuit-il. Toutefois,si tout le monde se met à utiliser unmême slogan, une ville n’est plus enmesure de se démarquer par rapportaux autres, argumente Dick de Jong.Qui plus est, elle risquerait dans lafoulée de perdre de vue sa tâche principale,à savoir : être au service de seshabitants. »Nombre de slogansLe fait que Bruxelles ne produise pasen quatrième vitesse un slogan branchén’est peut-être pas une mauvaisechose en soi, affirme Dick de Jong. Cedernier souligne qu’un slogan et unlogo ne constituent qu’une partie, certesla plus visible, du City Marketing.« Le City Marketing rime aussi avecla nécessité d’une analyse interne de« À ma connaissance,un logo seul n’aencore jamais eud’impact pour uneville. »


dossierBruxelles, from boring to daring© Roger Job/Reporters40N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE« Idéalement, Bruxelles peut utiliserl’argent généré par sa connexion avecl’Europe pour améliorer la ville. »l’état des lieux de la ville, un processustrès coûteux en temps. Il faut eneffet au préalable analyser le nombred’habitants, de visiteurs et d’entreprisesque compte la ville, ainsi que leurdegré de satisfaction. Quels sont, seloneux, les aspects lacunaires ? Est-ilagréable de vivre et de travailler danscette ville ? Le City Marketing est unprocessus qui prend du temps et pourlequel vous avez besoin de donnéeschiffrées », affirme Dick de Jong. « Cependant,cet examen montre égalementque la majorité de la croissanceen termes d’habitants et d’emploisdans une ville est attribuable à larégion dans laquelle elle se trouve,plutôt qu’à l’extérieur. À ma connaissance,un logo seul n’a encore jamaiseu d’impact pour une ville. »« Le message que vous voulez véhiculerdoit se développer de l’intérieur »,explique Dick de Jong. « Et pour yarriver, vous devez connaître les desideratade vos 3 principaux groupescibles, en l’occurrence : les visiteurs,les habitants et les entreprises. Deuxquestions clés s’imposent : quelle estvotre position sur le marché et quelleposition cherchez-vous à atteindre ?Certaines villes – et Bruges en est unbon exemple – aiment se servir de leurhistoire pour se forger une image demarque ; d’autres prennent un risqueet optent sciemment pour une rupturestylistique avec leur passé. Eindhovenest un bon cas d’étude en la matière.La présence de Philips s’est traduitepar l’apparition dans la ville de plusd’entreprises de R&D et de technologieainsi que d’une université technique.Et Eindhoven a précisément choisi demettre cet aspect en exergue en adoptantle slogan ‘leading in technology’.Cela comporte certes un risque, car ceslogan ne s’applique pas à chacun desgroupes cibles. Et pourtant, grâce à cemessage, Eindhoven parvient à se démarquerdes autres villes. »Village européenDick de Jong est d’avis que Bruxellesa néanmoins pas mal d’atouts à fairevaloir. « Bruxelles est connue commemarque. À cet égard, je pense d’embléeà sa connexion avec l’Europe, à son histoireet sa culture ainsi qu’à Bruxellesen tant que capitale des Belges et lieude résidence du Roi. » Bruxelles se vendau travers du slogan ‘Bruxelles, monvillage européen’, soit un slogan pasmauvais de prime abord, estime Dickde Jong. « La pire chose que Bruxellespourrait faire serait d’adopter rapidementun cri de ralliement du style‘I love Brussels’. Bruxelles, ce n’est pasNew York. On retrouve tout autantcette connexion au village à Amsterdam,Bruxelles n’étant en sommepas réellement une métropole. Amsterdamet Bruxelles sont toutes deuxde grandes villes, mais d’une taillelimitée. C’est pour cela qu’il est si importantque les habitants s’y sententvraiment bien. »Les actions menées par Bruxelles nesont pas mal ciblées, nous confie Dickde Jong, mais ce dernier entrevoit encoredes domaines dans lesquels laville a des progrès à réaliser. « La villede Bruxelles a-t-elle en fait une bonneidée de l’orientation qu’elle veutprendre ? L’Atomium est certes un belendroit, mais qu’est-ce que cela m’apportede me trouver devant lui ? Bond’accord, il se réfère à l’Exposition Universellede 1958, mais que me dit l’Atomiumsur la Bruxelles contemporaine? » Dick de Jong est d’avis que le lienplus qu’évident avec l’Europe constituesurtout une bénédiction pour Bruxelles.« Même s’il représente aussi l’imageque les étrangers se font de Bruxelles.Bruxelles, ce n’est pas uniquementune bureaucratie, mais aussi une villedans laquelle vivent, travaillent et sortentdes tas de gens. La ville doit bienentendu veiller à la fois à remplir safonction européenne et à rencontrerles souhaits de ses habitants. Idéalement,Bruxelles peut utiliser l’argent« La pire chose que Bruxelles pourraitfaire serait d’adopter rapidement un cride ralliement du style ‘I love Brussels’.Bruxelles, ce n’est pas New York. Bruxellesn’est en somme pas réellement unemétropole. C’est pour cela qu’il est siimportant que les habitants s’y sententvraiment bien. »


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dossierBruxelles, from boring to daring42N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREgénéré par sa connexion avec l’Europepour améliorer la ville. Cela aussi, c’estune preuve de bon City Marketing : lefait que l’image donnée au visiteurcorresponde avec la réalité en développantla ville. » Et c’est précisémentsur ce point que Bruxelles essuie pasmal de critiques de ses visiteurs. Laville ne laisse pas toujours une bonnepremière impression aux visiteurs.« Force est aussi de constater queBruxelles doit affronter une rudeconcurrence au sein de notre paysmême », ajoute Dick de Jong. « Anvers,Gand et Bruges font, pour l’heure,pleinement usage du City Marketingpour se profiler. Tant Gand que Bruges« Une visionde l’avenirde Bruxelles,clairement étayéepar des donnéeschiffrées, constituele fil conducteurdu développementde la ville. »« En posant un regard externe sur Bruxelles, on voit une ville, véritablecreuset de deux cultures différentes, un vrai point de rencontre. »jouent à fond la carte de leur passéhistorique, tandis qu’Anvers a, quantà elle, recours à un logo remarquable.À cet égard, il me faut bien remarquerque le ‘A’ d’Anvers me parle, alors queje ne connais pas le logo de Bruxelles.Cela dénote, à mes yeux, plus un manquede promotion qu’un éventuel problèmelié au logo utilisé par Bruxelles», explique Dick de Jong.Comment ressortir les atouts ?Ce dernier estime encore que Bruxellesmanque de cohérence dans le visagequ’elle affiche au monde extérieur.« Les atouts de Bruxelles devraientressortir plus clairement. Qu’est-cequi rend en fait Bruxelles unique enson genre ? En posant un regard externesur Bruxelles, on voit une ville,véritable creuset de deux culturesdifférentes, un vrai point de rencontre.Il s’agit là d’une situation uniquedont Bruxelles pourrait plus avantageusementtirer parti. » Bruxellesdoit apprendre à mieux déterminerpour elle-même ce qu’elle veut représenter,plaide Dick de Jong. « Pour cefaire, la ville doit au préalable prendreconseil auprès de ses habitants,entreprises et visiteurs. Sont-ils satisfaitset que veulent-ils ? Qu’est-ce quimanque encore à la ville ? Où doit sesituer le cœur de la marque Bruxelles? Le marketing qui en découle doitconditionner le City Marketing de laville de Bruxelles. Une vision de l’avenirde Bruxelles, clairement étayéepar des données chiffrées, constituedès lors le fil conducteur du développementde la ville. » Johan Dillen© Jan Van de Vel/ReportersThe Brussels Convention Bureaucheck our request for proposal: www.brusselsinternational.be


[ Partena - association sans but lucratif | Secrétariat Social agréé d’Employeurs par AM du 03.03.1949 sous le n° 300 | Siège social: Rue des Chartreux 45, 1000 Bruxelles | tva BE 04<strong>09</strong>.536.968 ]Les heuressupplémentairesrestent une sourced’incompréhension.Bénédicte VerduynConseillère juridique Partena HRLa moitié des travailleurs belges preste régulièrement des heures supplémentaires. Vos travailleurs sont-ilségalement amenés à effectuer des heures supplémentaires ? Comment optimaliser le temps de travail ?Est-ce que les horaires de travail peuvent fluctuer en fonction de l’activité et des besoins de l’entreprise ?Êtes-vous prêt à répondre aux questions de l’inspection sociale si cette dernière contrôle votre système d’horairesflottants ? A qui incombe la charge de la preuve dans les discussions sur les heures supplémentaires ?Jusqu’à quel point vos horaires de travail dans votre entreprise sont-ils flexibles ?Venez suivre notre formation du 24 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> à Bruxelles et apprenez les ficelles du sujet. Le tempsplein, le temps partiel, les horaires flexibles, le travail en équipes de même que la grande et la petite flexibilité: tous ces régimes de temps de travail ne vous seront plus inconnus. A l’aide d’exercices pratiques, vousmaîtriserez les modes de calcul spécifique du sursalaire et du repos compensatoire.Inscrivez-voussur http://payroll.partena.be/formations.html


dossierBruxelles, from boring to daringÀ nouveau, Bruxelles a un palais des congrèsdigne de ce nom.44N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREOBJECTIF :250 000 VISITEURS ET 12 MILLIONS € PAR ANLe nouveau Square Brussels MeetingCentre est arrivé !Voici le nouveau lieu de rencontre de la capitale de l’Europe. Différents artistes se sontréunis mélangeant avec talent différents styles d’architecture passant du classique auxannées ’50 pour finir par du contemporain décalé. Aujourd’hui, Square réunit des salles deconférence ainsi que des espaces de détente. Square se présente comme le point de ralliementdes congressistes belges ou étrangers, et des promeneurs…© B. StruelensBruxelles a désormais à nouveauun palais des congrès dignede ce nom, et même plus.Square prétend devenir le lieu de rêvepour des fêtes qui s’inscriront dansles mémoires, l’espace propice auxdéfilés de mode et avant-premièresstylées, le dernier coin pour flâner enterrasse… En bref, une plateforme quise prête à tout.un enfant prodige revenu dans sondécor d’époque. Vous voulez le nomdes responsables ? Le bureau bruxelloisA.2R.C en a refait l’architecture.C’est le portugais Juan Trindade quia créé son ambiance toute particulière.Quant à la magie de son éclairagedont le bleu accentue le rythmede la structure en verre, elle sort del’imagination de l’Atelier de GuillaumeJéol. La déco des restaurants a étéconcoctée par le belge Ame Quinze.Enfin, c’est Andy Altman (Why NotAssociates) qui a « commis » sa nouvelleidentité graphique. Sylvie CousinUne colonne de verre surgie en pleinquartier du Mont des Arts, quelle pertinence! Mais où est donc passé notrepalais des congrès de l’expo de 1958 ?Une véritable mutation s’est produiteet a fait de l’ancien palais des congrèsun meeting center accueillant, telSquare Brussels Meeting Center est un espacede 55 000 m 2 avec une capacité de 250 000visiteurs et un objectif de 12 millions € par an.


BOSTON CONSULTING GROUP - BOULEVARD DE L’IMPÉRATRICE 13, 1000 BRUXELLES - PHOTO: MARC DETIFFE - COPYWRITER: VINCENT LENS - GRAPHIC DESIGN: SDESIGNglobalGive space a new dimensiondesign and realization of workspacesRecherche et étude de site, création des espaces, gestion de qui vous concernent et, au final, vous remettre les clés de locauxprojet, acquisition de mobilier, organisation de déménagements,les mieux profilés pour votre développement. Avec pour feuille… Du bureau au logement, de l’hôtel au commerce, de route toujours le même credo: la qualité, la rigueur financière etGlobal se fond dans votre univers pour mieux saisir les enjeux le souci d’accompagner, de rassurer et d’étonner le client.WWW.GLOBAL-DPM.BE / ALAIN LE GRELLE +32 475 27 64 16 / STEVEN VALKENIERS +32 475 83 06 23


dossierBruxelles, from boring to daringInauguré le 20/<strong>09</strong>/20<strong>09</strong> à 20h<strong>09</strong> précisesSquare Brussels Meeting Center abénéficié d’une inauguration très VIP.En 2004, le gouvernement fédéral décide de faire du Palais des Congrès une sociétéanonyme. Six mois après, la SA propose son plan d’affaires et les fonds pourla rénovation sont libérés. Pari tenu : le monumental chantier de 500 jours et de200 ouvriers se termine à l’heure et dans le respect du budget, soit 70 millionsd’euros. Le palais ouvre ses portes le 21/<strong>09</strong>/20<strong>09</strong> et 4 jours plus tard, accueilledéjà les 400 membres avertis de l’Union Belge des Annonceurs. « Le carnet decommandes à ce jour s’aligne sur le plan déposé pour 2010-2011 », affirme Jean-Eudes Rabut, Directeur Général chez GL Events, l’exploitant des lieux : « Squareatteindra sa maturité d’exploitation fin 2013-2014, car les grandes conventions secommercialisent trois ans à l’avance. » GL Events, une référence sur le marché del’évènement, gère une trentaine de centres de congrès de par le monde.46N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREDans les mains d’un professionnel du tourismed’affaire« Nous mettons toutes les chances de notre côté en nous appuyant sur la capacitécommerciale de GL Events qui offre à Square le rayonnement internationalqui lui revient », confie Marc Van den Broeke, de la SA Palais des Congrès.La prospection a bien sûr été entamée avant l’ouverture, elle se faisait sur plan.Pour cela, il faut construire la confiance. Par exemple, pour attirer un congrèsdans une ville comme Bruxelles qui n’avait plus la capacité d’accueillir 2000personnes.« En tant que gestionnaire des palais des congrès de Lyon, Barcelone, Nice, Budapest…,nous faisons tourner les grandes conventions. Le client nous connaît: en gardant son chef de projet quelle que soit la destination, nous le convainquonsplus facilement d’en essayer une autre », ajoute encore Mr Rabut.Marc Van den Broeke, CEO de la SA Palais des Congrès.© B. StruelensLe bureau bruxellois A.2R.C arefait l’architecture de Square.© B. StruelensDestination Bruxelles ?Oui, avec un bon « City Marketing »Le marché devient de plus en plus concurrentiel aujourd’hui. Tout commeBruxelles, de nombreuses villes s’offrent un nouveau palais des congrès. Squareest un très bon outil, le fruit d’une rénovation réussie qui a pu tirer partide l’existant, stratégiquement situé dans le cœur historique et économique dela ville, près de la Grand Place, du Sablon, des musées et des boutiques… Et àproximité des grands axes de transport (TGV, ligne vers l’aéroport, transportsen commun…).Jean-Eudes Rabut ( GL Events) : « Chaque ville a ses atouts, sa spécificité : Barceloneest plus orientée entreprise, moins institutionnelle. Nice est plus axéesur le médical. Bruxelles doit s’attaquer à son marketing à présent. C’est unevraie destination : son potentiel culturel est énorme, peu de capitales ont pu seconstruire un centre de congrès si bien situé. » C’est en additionnant toutes lescompétences des acteurs du tourisme culturel et d’affaires qu’« Onlyon », enFrance, est devenu un bon produit de destination sur le marché. Pouvons-nousbriguer la même chose ici ? « Nous avons une vie associative et culturelle trèsintense. Notre richesse vient précisément de la diversité de nos cultures. Pourtravailler de concert, il nous faut poursuivre le même objectif. Or les différentesinstitutions du pays veulent toutes attirer les visiteurs ici », répond Marc vanDen Broeke (Square).


dossier Bruxelles, from boring to daring© B. StruelensSquare c’est belgeSquare, ce n’est pas qu’un palais des congrès.« Nous avons voulu en faire un lieu de rencontreaccueillant et ouvert, pas uniquement professionnel,mais à la mesure de chacun. Il illustre bien labonhomie belge, son ambiance chaleureuse, sajovialité. Les peintures murales, restaurées avecpatience par Lies de Maeyer et Isabelle Vranckx,sont bien sûr signées par de grands maîtres belges,Delvaux, Magritte, van Lint... Et du restaurantde Square, qui veille à intégrer la cuisine internationaledans un design culinaire d’ici, sortira bientôtune exclusivité bien belge aussi inédite que…la frite à la truffe !Une ambiance toute particulière.47350 euro par jourUn visiteur étranger représente un pouvoir d’achat de 350 euros par jour. C’est toute l’économie locale qui profitede la réouverture du palais. Les retombées économiques directes et indirectes (hôtels, restaurants, boutiques, divertissement…)sont estimées à quelque 60 millions d’euros par an, pour ainsi dire le coût de l’investissement.N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREDes espaces superéquipésSquare dispose d’un hall multifonctionnelde 4000 m2 avec quatre nouveauxauditoriums de 1200, 500, 300et 150 places, et 20 salles de réunion.Les espaces sont équipés de systèmesde vote et de traduction simultanés.La brasserie Kwint offre l’exclusivitéde sa terrasse en plein parc. LePanoramic Hall, au design minimaliste,propose une splendide vuesur Bruxelles. Le parking sous lebâtiment peut accueillir 600 véhicules.Et s’il fait beau ? Ses escaliersextérieurs forment un auditoriumnaturel idéal pour des shows enplein air.Square dispose de quatreauditoriums.© B. Struelens


ProfilBelpower, l’ami pionnierJeune fournisseur d’électricité verte à 100%, Belpower jouit en réalité d’une position d’expert,parce que pionnier, dans le secteur des énergies alternatives. Une belle histoire, soutenue parun idéal humaniste.Belpower, pionnier dansle secteur des énergiesalternatives. La réalisation d’études techniques,de faisabilité et de rentabilité, avec,à la clé, la vente et l’installationde systèmes photovoltaïques « clésur porte ». Belpower se charge del’accompagnement administratif –souvent fastidieux – de ses clients,adapte ses solutions aux surfaces etbudgets disponibles, et met un pointd’honneur à retirer une productionmaximale par rapport à la capacité.L’entreprise s’engage en outreà racheter à bon prix les certificatsverts des clients qui produisent leurpropre énergie grâce aux panneauxphotovoltaïques.Moteur désigné de la croissance dugroupe logistique bruxellois Reibel depuis2002, la société Belpower a pris sonindépendance au début de cette année,grâce à l’expertise et la confiance accumuléesau fil des ans ainsi qu’à sa présencede plus en plus marquée dans laplupart des créneaux qui constituent lepôle photovoltaïque (production, installationset conseils pour entrepriseset particuliers, fourniture) qu’elle a, dureste, contribué à créer.Tout a commencé à la demande d’unclient. L’une des organisations humanitairesinternationales pour lesquellesReibel organise des aménagementset transports d’équipements jusqu’endes régions isolées souhaitait, en effet,disposer de sources d’énergie fiablespour faire fonctionner son matériel decommunication là où l’électricité traditionnelleétait inaccessible. La réflexiona abouti à une conclusion évidente :« Ils ont du soleil et du vent ! » L’idéeétait lancée, il « suffisait » de l’exploiter.« Nous avons exploré le marché, raconteNathalie Geschier, l’une des têtespensantes de la société, et constaté bienvite que les énergies renouvelables seraientvite incontournables et qu’ilétait temps d’y penser.»Sept ans plus tard, Belpower est devenueune référence en matière de productionet d’exploitation d’énergie alternative.Une fois relevé le défi lancé par l’organisationhumanitaire, la volonté de jouerun rôle actif dans le passage, à l’échelleglobale, de l’énergie grise à l’énergieverte, a gagné l’entreprise entière. Pendantles premières années, l’équiperenforcée de Belpower s’est concentréesur la diffusion d’informations vers legrand public (par exemple, grâce à unstand à Batibouw) ou vers les autorités.Ensuite, l’idée de la commercialisationde cette expertise nouvelle s’est imposée,en dépit du niveau élevé d’investissementexigé, notamment en termes deformation de personnel, puisqu’à l’époque,ces technologies existaient à peineet qu’aucun ingénieur n’avait bénéficiéde cours en la matière.Belpower a graduellement articulé sesactivités autour de trois pôles : La production d’énergie solaire photovoltaïquepour compte propre. Unecentrale d’une puissance initiale de10,5 mégawatts est en constructionen Italie méridionale, au cœur desPouilles. Une fois achevée, cette stationalimentera une grande partiedes besoins de Belpower. La fourniture d’une électricité d’originegarantie 100% « verte » (solaire,mais aussi éolienne ou hydraulique)aux ménages, entreprises et collectivités.Partie de rien, dès 2007 pourla Région Wallonne et Bruxelles-Capitale,et depuis 2008 en Flandres,Belpower jouit d’une réputationqui s’étend par « bouche-à-oreille »,sous les recommandations favorablesd’organismes de défense desconsommateurs et autres lobbiesd’obédience écologiste.Le développement commercial de cesactivités reste, en interne, soutenu parun profond souci humaniste : rendreaccessible au plus grand nombre uneénergie fiable et respectueuse de laplanète, tant par son faible niveau depollution que par sa vertu renouvelable.Lancée dans la cour des grands, Belpower,ni apeurée, ni gonflée d’orgueil,y prend une place de premier choix :celle de ceux qui sont sollicités pourla qualité de leur expertise et imbibésd’un idéal qui résiste à toute épreuve.Avenue de Vilvorde 2001000 BruxellesT +32 2 421 99 43F +32 2 421 99 12www.belpower.be


dossier Bruxelles, from boring to daringTHOUGHTPROVOCING IDEAS POUR BRUXELLESOsons sortir des sentiersbattusLes réformateurs sont rarement des esprits conservateurs. Bien au contraire : ceux-ciréveillent Monsieur Tout-le-Monde en proposant des idées auxquelles le commundes mortels ne prête aucune attention. Quelques idées et propositions qui peuvent donnerun souffle nouveau à Bruxelles.La ferme à la villeLes villes ne peuventexister sans nourriture.On trouve de toutdans les villes, depuisla bouteille de lait classiquejusqu’à la bièreexotique à la banane.Tout y est proprementrangé dans les rayonsdes supermarchés, àportée de main, à unpoint tel que nousnous aliénons de plusen plus de notre nourriture.D’où vient-elle ?Comment arrive-t-elledans nos assiettes ? Ilfut une époque où leMarché aux poissonsétait véritablement un marché aux poissons. Et, pour denombreuses villes, l’abattoir n’est bien souvent plus qu’unnom de rue.Hungry CityAfin de contrer cette aliénation, plusieurs organisationsmettent sur pied dans les villes – et Bruxelles a égalementeu son tour – de véritables ‘événements à la ferme’, durantlesquels c’est l’ensemble de l’étable qui déménage en villepour une journée ; tout le monde peut donc regarder, entendre,sentir et goûter les différents produits de la ferme.Cette action vise essentiellement les enfants en âge scolaire.Et si nous ramenions vraiment la ferme à la ville ? Ilfaut rendre la chaîne alimentaire de nouveau visible dansla ville, argumente l’architecte britannique Carolyn Steeldans son livre intitulé ‘Hungry City’. La nourriture constitueune pierre angulaire de la vie urbaine et nous devonscontinuer à comprendre d’où elle vient.Aux Pays-Bas, The WhyFactory, un grouped’experts se penchantsur l’avenir des villes,a formulé une propositionde perle architecturale,pour ne pas direporcherie, qui pourraits’intégrer dans lazone industrielle de LaHaye. Il s’agit là d’unprojet certes un peu effrayant,mais qui offrenéanmoins des opportunités,explique TheWhy Factory. Imaginezque ce bâtiment produisede l’énergie pourles quartiers environnants,soit accessible aux habitants et qu’y soit implantéeune boucherie vendant chaque jour de la viande fraîche.Cela permettrait assurément de créer un endroit adaptépour la production alimentaire en ville.La nourriture constitue une pierre angulaire de la vie urbaine.Growing CityPour sa part, l’ex-professionnel américain de basket-ball,Will Allen, voyait une autre possibilité. Il a ainsi lancéGrowing Power, sa propre entreprise agricole dans unquartier reculé de Milwaukee. Celle-ci a pris de l’ampleurau fil des années, si bien qu’Allen emploie actuellement 40personnes, tout en pouvant compter sur l’aide de 2.000 volontairesdes environs. Au cours d’une interview, Allen adéclaré qu’il ambitionnait de transformer Growing Poweren “bâtiment de 5 étages à même de produire sa propreélectricité et d’accueillir des visiteurs qui pourront voir etapprendre comment cela fonctionne, afin qu’ils puissentréintégrer la nourriture saine dans leurs communautés.”49N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE


dossierBruxelles, from boring to daring50N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREUn mur végétal de Patrick Blanc, dans le 21 stCentury Museum in Kanazawa (Japon).La toiture verte est suffisamment connue, mais il ne fautpas nécessairement un toit pour reverduriser la ville. Lebotaniste français Patrick Blanc a puisé l’inspiration deson ‘mur végétal’ dans la nature présente dans les forêtstropicales. Celui-ci a en effet eu le regard particulièrementattiré par les nombreuses plantes poussant avec exubérancesur les rochers et arbres peu ensoleillés et éclairés,et ce, sans avoir besoin de beaucoup de substrat. Blanc yMurs et toitures vertsa entrevu une application en milieu urbain. Il a ainsi développédes murs végétaux, soit une construction agraféecontre un mur et sur laquelle s’accrochent les plantes. Unsystème d’irrigation intégré à la construction supportantles plantes permet de nourrir les végétaux.En somme, un système relativement simple pour briserle visage urbain traditionnel fait de verre et de béton. Et,à l’instar d’une toiture verte, le mur végétalisé joue luiaussi un rôle en termes d’isolation. Il offre des avantagesà la fois thermiques et acoustiques. Mais ce n’est pas tout,nous confie Christophe Spehar, responsable en Belgiquede la réalisation des travaux de Patrick Blanc en Belgiqueet dans le nord de la France. “Les plantes absorbent lesparticules polluantes, tout en étant capables d’assainir lespoussières et les métaux lourds. Grâce au principe de photosynthèse,elles transforment aussi le CO2 en oxygène”,poursuit-il. Si vous voulez admirer un exemple renomméde mur végétalisé de Patrick Blanc, rendez-vous au Parlementde Bruxelles-Capitale qui compte quelque 400 mde mur vert, soit un total de 12.500 plantes.Le mélange de plantes fait l’objet d’une analyse et d’uneamélioration permanentes. On s’efforce de même, aumoyen de tests, de vérifier si, par exemple, les eaux uséespeuvent être utilisées pour nourrir les plantes.We love solutionsDaoust près de chez vousAlost, Anvers, Blankenberge, Bruxelles, Charleroi, Courtrai, Eupen, Gand,Gembloux, Huy, Knokke, La Louvière, Liège, Malines, Mons, Namur,Nieuport, Nivelles, Ostende, St-Niklaas, Verviers, WavreGalerie de la Porte Louise 203/51050 BruxellesTél: 02/513.14.14 - Fax: 02/513.06.50E-mail: info@daoust.beContact Center: 070/22.11.40www.daoust.beN° d’agrément : Bruxelles : B-AA05.034 - Flandre : VG.163.BUOP - Wallonie : W.INT/SO/RS/RE.22


En Belgique, 93% des emballages ménagerssont recyclés.Merci à tous pour ce coin de ciel bleu.La Belgique est le champion du monde du recyclage: 678.896 tonnes d’emballages ménagers recyclées en 2008,soit 850.000 tonnes d’émissions de CO 2 évitées. Et tout cela grâce à qui ? Aux milliers d’entreprises qui contribuentfinancièrement à Fost Plus, à tous les acteurs qui sont impliqués et aux citoyens qui participent au tri et au recyclage.Merci à chacun pour sa contribution à un meilleur environnement. Plus d’info: www.fostplus.be.Ensemble > Trions bien > Recyclons mieux


dossierBruxelles, from boring to daringDès que ‘Bruxelles lesBains’ rentre aux vestiaires,la zone du canal n’est plusprécisément l’endroit le plusapprécié des Bruxellois.Le canal :utilisation accrue des voies d’eau© Dany Gys/Reporters52N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREBruxelles entretient une relation double avec l’eau. LaSenne est encore à peine visible dans toute la ville, alorsque le canal est, quant à lui, partout actuellement, maisPUBLICITÉLe coup de pouce,c’est nous.L’entreprise,c’est vous.RESEAU DES CENTRES D’ENTREPRISESDE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE+32 2 422 50 43 - info@reseauCE.bewww.reseauCE.besans s’imposer. Bruxelles possède bel et bien des voiesd’eau, mais celles-ci n’exercent pas le même pouvoir de séductionque la Seine à Paris ou encore la Tamise à Londres.Bruxelles semble depuis lors prête pour une romance avecses cours d’eau. L’ère des voûtements qu’a connus la Senne(fin du 19 e siècle, début du 20 e siècle) est définitivement révolue.Ainsi actuellement, des voix s’élèvent de plus enplus fréquemment pour qu’on redévoile la Senne.Le concours européen d’architecture Flow, une initiativede Beci, l’Urban Land Institute (Belgique) et Joël Claisse Architecturesse déroule actuellement dans la zone du canal.Celui-ci a pour objectif de développer un nouveau projetportant un regard progressiste sur le canal et sa place dansla ville. Ce concours s’impose, d’une part, par nécessité : lesponts sont trop bas pour les navires modernes, les éclusestrop anciennes et trop lentes. D’autre part, cette nécessitéconstitue aussi une opportunité pour le canal de se forgerune place nouvelle dans le paysage urbain. En effet, dèsque ‘Bruxelles les Bains’ rentre aux vestiaires, la zone ducanal n’est plus précisément l’endroit le plus apprécié desBruxellois.Flow attend des participants qu’ils soumettent une visionnovatrice à l’extrême de la zone du canal ; ce concourss’adresse aux étudiants en architecture, mais aussi auxfuturs ingénieurs, architectes paysagistes, sociologues, urbanisteset artistes. Une partie du message tourne autourde la vie et des emplois avec, pour tâche spécifique, deréunir des partenaires privés et publics. Au moyen de ceconcours, les responsables de cette initiative espèrent voirse développer de nouveaux modes de vie et modèles organisationnelspour la zone du canal. Depuis lors, les inscriptionssont clôturées pour Flow et un jury est en train d’examinerles différentes propositions soumises. Les résultatsseront connus en décembre. Johan Dillen


© Eric Herschaft/Reporters


ProfilGuy Van De Velde,Associé, Expert-comptableEntrevue avec Guy Van De Velde,Deloitte AccountancyUn comptable doit-ilse montrer plus créatifen période de criseéconomique ?DELOITTEACCOUNTANCY en estconvaincu et montre lavoie à suivre !Les PME et sociétés internationales clientes de DeloitteAccountancy ont besoin de solutions pragmatiques quiont fait leurs preuves, explique Guy Van De Velde, associéau sein de Deloitte. Ces solutions vont bien plus loin quel’accomplissement pur et simple des obligations comptableset fiscales statutaires comme la tenue et la clôturede la comptabilité, et la rédaction du bilan ou de la déclarationfiscale ou de TVA. Les conditions économiquesdifficiles que nous connaissons nous ont incités à meneravec nos clients une réflexion sur la mesure dans laquellenous devrions rendre notre support comptable innovant.Le bureau comptable de Deloitte, établi à Diegem et comptantquelque 150 experts-comptables, est l’illustration dufait que l’innovation en comptabilité est la clé du succèsà long terme.Quels changements ou innovations avez-vousapporté dans le cadre de vos activités?Nous essayons d’adopter une approche “différente” pour laclôture de la comptabilité, les rapports afférents aux comptesannuels statutaires et les déclarations fiscales. Par approche« différente », nous entendons surtout plus efficaceet plus rapide, explique Guy Van De Velde. La procédurede clôture doit être abrégée afin d’en réduire le coût et dedisposer plus rapidement de chiffres corrects et d’informationsde gestion. Dans la conjoncture actuelle, un chefd’entreprise a besoin de signaux lui indiquant avec exactitudes’il est sur la bonne voie, s’il doit revoir sa position ouchanger d’orientation. Ainsi, nous procédons à un « quickscan » des processus comptables et financiers de l’entreprise.Cela permet de mettre en évidence les points faibleséventuels de l’entreprise. Sur cette base, nos experts-comptablespeuvent ensuite proposer des améliorations. L’innovationest généralement une question d’audace, en l’occurrencele fait d’oser abandonner ou remanier les procéduresde clôture existantes. Avant toute chose, innovation rimeavec automatisation. On est parfois bien surpris de découvrirle nombre d’opérations ou de traitements qui sont encoreexécutés manuellement de nos jours (parfois mêmeen double)… Quant à l’établissement de rapports, il devraitquasiment se résumer à une simple pression sur un bouton.Vous n’imaginez pas combien de fonctions performantesincluses dans des progiciels comptables sont insuffisammentexploitées, voir totalement inutilisées, d’une part enraison d’une méconnaissance des produits disponibles surle marché et de leur application, et d’autre part à cause dela peur du «changement» éprouvée par les utilisateurs. Or,innover consiste précisément à oser le changement ….


ProfilLe “quick scan” se limite-t-il toujours au processuscomptable?Le “quick scan” peut aller bien au-delà du seul processuscomptable. C’est un outil idéal pour l’identification des risqueset des points d’amélioration d’une entreprise. A ce titre,il permet au chef d’entreprise de se faire, dans un délai relativementcourt et pour un coût limité, une meilleure idéedes possibilités de son organisation et des risques auxquelselle est peut-être exposée. Ce contrôle s’efforce d’apporterune réponse à des questions telles que: pourquoi mon administrationet ma comptabilité sont-elles aussi coûteuses ?Pourquoi faut-il parfois attendre si longtemps pour disposerde chiffres? Pourquoi la structure des coûts s’est-ellealourdie au cours des dernières années? A quoi sont dues lestensions en matière de liquidités? Le stock et/ou les clientsabsorbent-ils trop de moyens financiers? Ai-je la certitudeque le chiffre d’affaires est totalement facturé et que tousles produits ont bien été comptabilisés? Ai-je une vision suffisantede la rentabilité des différents départements, produits,services, sites, … ? Ai-je une connaissance suffisantedes facteurs susceptibles d’améliorer, voire de maximaliser,la rentabilité et la valeur de mon entreprise? Mes risquessont-ils tous connus et assurés?Comment la situation de trésorerie est-ellecontrôlée en cette période de crise économique?simulations intéressantes en fonction d’une donnée de lastructure des frais fixes ou de la marge de contribution.Guy Van De Velde conclut en précisant que d’autres idées etoutils innovants sont en phase d’élaboration et seront prochainementmis en service. En tant que société comptable,nous tenons en effet à apporter une réponse aux besoinsémergents et en constante évolution de nos clients, dontles demandes vont bien au-delà de la mise en conformitéde leur comptabilité et de leur fiscalité avec la législation envigueur. Cela tombe d’ailleurs sous le sens. Qui plus est, leclient nous demande d’accomplir ces missions de la façonla plus efficace possible. C’est ainsi qu’en cas d’ouverture oude reprise d’un nouveau dossier, nous effectuons toujoursune analyse succincte de l’organisation comptable de notreclient (personnes, logiciels, moyens, compétences, processus,…)et vérifions ainsi la possibilité d’adopter une approche“différente” pour certaines activités. Nous cherchonssans cesse à nous améliorer et tenons à ce que nos clients ensoient les premiers bénéficiaires.Quelles “solutions” pouvez-vous proposer?Avec notre équipe de 150 experts-comptables, nous sommesen mesure à la fois d’aider nos clients à accomplir leursobligations comptables et fiscales annuelles récurrentes etde leur offrir un support comptable à (plus) long terme (àtemps plein ou à temps partiel).Le savoir-faire acquis par nos experts-comptables au fil denombreuses années d’expérience nous a permis de développerdes outils capables de professionnaliser la gestion financièredes entreprises. Sur ce plan également, nous nousefforçons, en notre qualité d’organisation d’expertise comptable,de faire preuve de sens de l’innovation et de proposerà nos clients des solutions qui leur apportent une réellevaleur ajoutée, souligne Guy Van De Velde. En cette périodede récession économique, il convient d’assurer un suivi trèsrigoureux des besoins en fonds de roulement et de l’évolutionde l’état des liquidités. Nous avons élaboré à cet effetun outil – baptisé “planificateur de caisse” – qui automatiseet professionnalise ce processus de suivi. Les clients qui utilisentcet outil bénéficient de tout le support nécessaire de lapart de nos experts-comptables les plus expérimentés, dontla mission tient plutôt de la consultance financière.Permettez-vous aussi à vos clients de se compareravec leurs concurrents?En effet. Nous avons également développé un outil d’analysede la concurrence qui remporte un franc succès auprèsde bon nombre de clients, poursuit Guy Van De Velde. Cetteanalyse comparative de la concurrence permet de comparer5 états financiers d’entreprises concurrentes sur une périodede 5 ans, et ce, sur la base de quelques 80 ratios financierset éléments extraits du bilan et du compte de résultats.Cet outil, ou plutôt un cadran de positionnement, permet desituer son entreprise par rapport à une entreprise concurrentedéployant ses activités dans le même secteur. Enfin,nous avons développé un outil dont la vocation est d’aiderles entreprises à analyser le break-even et à effectuer desDeloitte Accounting& Compliance SolutionsBerkenlaan 8a1831 DiegemTél.: (02) 800 25 00http://www.deloitte.beGuy Van De Velde0497/51.53.80


dossierBruxelles, from boring to daringPROBO, MADE IN BRUSSELSRobot et câlin à la foisProbo, le 1er robot câlin, est né. Projet éléphantesque sorti tout droit de la tête d’unvisionnaire éclairé et devenu réalité dans une Europe prônant en 20<strong>09</strong> la créativité. Focussur une initiative où robotique et psychologie se rencontrent.56N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREProbo est un pachyderme toutdoux. Pourtant, il est composéde moteurs, de senseurs, de caméras,d’écouteurs, de haut-parleurs,et il a un écran tactile sur l’abdomen.Probo est venu sur terre en avril 20<strong>09</strong>pour chouchouter les enfants pendantleur séjour à l’hôpital.Du concret dans la recherche enBelgique20<strong>09</strong> est l’année de la créativité, laprésidence européenne encouragel’innovation. La Région de Bruxelles-Capitale a financé le projet, dirigé parle Professeur dr.Ir. Dirk Lefeber et sonéquipe de la Robotics & MultibodyResearch de la VUB. Probo prouveque la recherche peut aboutir : c’estun éléphant vert bien tangible et auxyeux craquants. Et c’est un robot derniercri, qui pleure, rit, et console.Apprendre les émotionsLa Robot Assisted Therapy a fait sespreuves. L’enfant découvre les émotions: lorsqu’il touche Probo avecdouceur, l’animal lui répond en sourcillant,il est content. On le surprend ?II agite sa trompe. Mais il préfère lescâlins, et le montre. « Oui, je suis undoux rêveur, et si la VUB l’a enfanté,l’ULB pourrait le faire grandir avecde l’intelligence artificielle », avanceIvan Hermans, père de Probo et d’AntyFoundation, dont la mission estd’améliorer le bien-être des enfantsà l’hôpital. « Face à d’autres projetsTIC à l’hôpital, Probo a l’avantage dela proximité : c’est une peluche dela taille de l’enfant, celui-ci pourraplonger dans ce monde magique,et en oublier où il est », estime EmmanuelleVanbesien, coordinatriced’Hospichild, un réseau d’acteurs pédiatriquesà Bruxelles. « Par ailleurs,on sait que l’assistance accompagnéepar un animal aide la guérison despetits. Et en plus, avec Probo, pas desouci d’hygiène donc », appuie-t-elle.Émotions vectoriséesProbo est aussi un pari gagné sur lacompatibilité entre émotion et technologie.« La peluche est truffée decapteurs, ce qui donne cet air de mouvementsnaturels très réussi », témoigneMme Vanbesien. Pour amener desexpressions sur son visage, les chercheursparamétrisent les émotions.Mais Probo a plus d’une fonctionnalitédans ses tripes. Conçu par un fande l’entertainment à la Walt Disney,il explique l’endoscopie en imageset dans les mots de l’enfant. SelonMr. Hermans : « Non, il ne remplacerapas le parent et je n’ai jamais trouvéun robot humain ! Mais il éveille l’enfantà la technologie. » Probo a été testéet approuvé par Corentin, un jeunemalade.Bientôt en missionAnty Foundation distribuera fin20<strong>09</strong> aux jeunes patients des hôpitauxbruxellois des petits robots enpeluche. Des expérimentations sontprogrammées début 2010, hôpitalpar hôpital. « Pour fêter la présidenceeuropéenne de l’année de la créativité,j’espère en convaincre 5 en 6 moiset atteindre ainsi 50 enfants », nousconfie l’initiateur.Appel à la Génération<strong>Entreprendre</strong>« Avec un rêve, un esprit ouvert etune équipe, vous pouvez tout entreprendre», encourage Ivan Hermans.« Qu’y a-t-il de plus merveilleux quele sourire d’un enfant ? » C’est aprèsun grave accident de la route et lorsquequ’une petite Saskia l’a prié de luiprésenter Michael Jackson, qu’Hermanss’est lancé. « Je me sentais appelé,je devais créer ma fondation »,conclut-il, une lueur dans les yeux. Plus infos : http://probo.vub.ac.be/Sylvie Cousin© Paul BolsiusLe lancementdu projet Probo, avecles ministres Cerexheet Vanhengel.


Bfm Today.Le premier journal multimédiade l’infoLe Bfm nouveau est arrivé. Il prend la forme de l’avenir, celle d’un journal multimédia autitre de Bfm Today. Un quotidien gratuit et interactif, déposé chaque jour dans votremailbox. Vous y trouverez toute l’info économique, politique, sociale et culturelle, àtravers des rubriques connues et plein de nouveautés en lettres, en sons et en images.Le discours, lui, ne change pas, le ton reste celui que vous avez toujours apprécié.Découvrez vite Bfm Today en consultant www.bfmtoday.be


BLOC-NOTES58FormationsManagementet ressources humaines• Gérez les profils difficilesFormateur : Pierre GALLOUXLe 19 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 9h à 17h30• Les entretiens avec les collaborateursFormateur : Pierre GALLOUXLe 26 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 9h à 17h30• Windows 7 : workshop exceptionnelFormateur : Alex HUARTLe lundi 30 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 12h30à 17h• Réussissez vos présentations enpublicFormateur : Fabian DELAHAUTJeudis 3 & 10 décembre 20<strong>09</strong> de 9h à17h30• La Stratégie de l’audace (Woman’sAcademy)Formatrice : Geneviève SMALLe jeudi 19 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 17h30 à19h30• Actualités en matière de pensions etprépensionsOrateurs : Herman van HOOGEN-BEMT et Sophie STENUICKLe lundi 23 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 14h à17h30• Les pouvoirs de l’inspection socialeet leurs répercussions en droit pénalsocialOrateurs : Jean-Claude HEIRMAN etFrançois LAGASSELe mardi 24 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 14h à 17h• Le contrôle de la consommationd’alcool et de drogues au travail :de nouvelles obligations pour lesemployeurs ?Orateur : Jean-Philippe CORDIERLe mardi 1 décembre 20<strong>09</strong> de 14h à 17h• Les salary split : conséquences endroit du travail et en droit de la sécuritésocialeOrateurs : Filip TILLEMAN et KevinDELLA SELVALe vendredi 4 décembre 20<strong>09</strong> de 14hà 17hSéances d’infode Beci StartersMercredis 25/11, 9/12, 23/12 de 10 à 11h30Mercredis 18/11, 2/12, 16/12, 30/12 de 14à 15h30Infos :Annick Van De Sandet 02 210 01 71avds@beci.beActivités du départementinternational• 19/11/<strong>09</strong> - 20/11/<strong>09</strong>Brokerage Event B2B health sectorMEDICA, Düsseldorf, Germany• 19/11/<strong>09</strong>Business Club Bruxelles-Hongrie –ICT Day• 20/11/<strong>09</strong>Training on EU Funding SchemesN° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDRE• Techniques de gestion du temps pourfemmes actives (Woman’s Academy)Formatrice : Monique CHALUDELe jeudi 3 décembre 20<strong>09</strong> de 13h30 à17hVente, Marketinget communication• 10 actions concrètes pour fidéliservos clientsFormateur : Frédéric PARISSIERLe 11 décembre 20<strong>09</strong> de 9h à 17hLangues• NOUVEAU Tables de conversation enfrançais, néerlandais et anglais30 séances de 2h (de 12h à 14h)Près de chez vousInfos :Frédéric Simont +32 2 643 78 17fs@beci.beFiscalité• Remboursement TVA étrangèreOrateurs : Benoît VANDERSTICHELENet Emmanuel RIVERALe mercredi 25 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 9hà 12h• Package TVA : Nouvelles règles delocalisation des prestations de servicesEmmanuel RIVERA et Fabrice COLLALe jeudi 10 décembre 20<strong>09</strong> de 14h à 17hDroit commercial• 22/11/<strong>09</strong>Economic mission to Morocco• 01/12/<strong>09</strong>Seminar – Doing business with Brazil• 11/12/<strong>09</strong>Training on EU Funding Schemes• 15/12/<strong>09</strong>Export Day – Boîte à outils à l’exportinfos : ns@beci.beInfos :Jean-Philippe Mergent 02 210 01 77jpm@beci.beEvents23/11/20<strong>09</strong> Business MeetingPhilippe Muyters02/12/20<strong>09</strong> <strong>BECI</strong> SpeedBusiness Lunch02/<strong>09</strong>/20<strong>09</strong> <strong>BECI</strong> Zinner<strong>09</strong>/12/20<strong>09</strong> <strong>BECI</strong> StartersNight15/12/20<strong>09</strong> Brussels meetsEuropeThomas LeysenInfosBrigitte van der Mensbrugghet 02 643 78 30bvdm@beci.beSéminairesLégislation sociale• « Business Ethics » : faire face auxfraudes dans l’entrepriseOrateurs : Marie EVRARD, Olivier RIJC-KAERT et Emmanuel ROGER-FRANCELe mardi 17 <strong>novembre</strong> 20<strong>09</strong> de 14h à17h• La récupération des créances commercialesau sein de l’Union EuropéenneOrateurs : Thierry LAGNEAUX et DidierBRACKELe 8 décembre 20<strong>09</strong> de 14h à 17hMercredis juridiques : nousrépondons à vos questionsjuridiques tous les premiersmercredis du mois en dehors desheures de bureau à partir de 17h30InfosEric Brabantt 02 643 78 18eb@beci.beInfos :www.beci.be/eventsevents@beci.be


From 7 to 9 January 2010, the EuropeanFederaon of Associaons of ProfessionalConference Organisers – EFAPCO- will hold its 4th Congress in the brandnew SQUARE. The central theme“Sustainability and Compeveness inthe Meengs Industry” comes preciselywithin the remit of the EuropeanUnion’s DG Enterprise and Industry. Awide range of topics will be tackled byan impressive line-up of keynotespeakers who will prompt smulanginteracve debates with delegatesincluding some foremost industrypersonalies.MEETING TOPICSMeengs in 2020Opportunies emerging from a crisis environmentMAJOR SPONSORSVAT in Europe for meengs prescriptorsSustainability : How to implement it in your meengsGeneraon Y: future leaders, future clientsTechnology and new social media: who is in the driving seat?Standardisaon in the Meengs Industryofficial carrierHow to combine compeveness and sustainabilityLet’s meet in Brussels!All informaon on the congress is availablefrom the congress website atwww.efapco2010.euSPONSORS & CONTRIBUTORS


DEMANDES D’ADMISSION À <strong>BECI</strong>PAR PRESENTATION AU CONSEIL D’ADMINISTRATION *60N° 9 - NOVEMBRE 20<strong>09</strong> - ENTREPRENDREAcademix SPRL, Rue Charles Demeer 5 -1020 Bruxelles del. : Prioul JulienAuriga International SA, Avenue VictorHugo 32 - 1420 Braine-l’Alleud CODENACE : 46450 - Commerce de gros deparfumerie et de produits de beauté del. :Marchal AlfredBosch PPE, Rue Gosuin 20 - 4520 WanzeCODE NACE : 6311001 - Le traitementen continu ou non de données à l’aide,soit du programme du clien del. : BoschMichelBrussels City Copy SPRL, Boulevard duJardin Botanique 37 - 1000 BruxellesCODE NACE : 47620 - Commerce dedétail de journaux et de papeterie enmagasin spécialisé del. : Waldeyer PierreDarimex SPRL, Rue Franklin 14 - 1000Bruxelles CODE NACE : 46190 - Intermédiairesdu commerce en produits diversdel. : Dahdouh RahmaDTI-Multimedia SPRL, Rue des TroisTilleuls 91 - 1170 Bruxelles CODE NACE :62<strong>09</strong>0 - Autres activités informatiquesdel. : Ruffo de Bonneval FrancescoDykmans PPE, Roca 102 y Malecon - 9000Guayaquil – Equateur del. : DykmansFrancisGilgamesh Services Limited SPRL, ruedu Métal 39 - 1060 Bruxelles del. : PiresAndré AdelinoIris TC - Centre de référence transport &logistique ASBL, Digue du Canal 10 - 1070Bruxelles CODE NACE : 85592 - Formationprofessionnelle del. : Delen Jean-ClaudeJC Fiévez & Associés SCS, Avenue MarcelDevienne 13 - 1200 Bruxelles CODENACE : 7021001 - Les conseils et l’assistanceopérationnelle aux entreprisesdans les domaines de relations publiquesdel. : Fiévez Jean-ClaudeJoint Power SPRL, Chaussée d’Alsemberg571 - 1180 Bruxelles CODE NACE :62020 - Conseil informatique, 7430001 -Services de traduction et interprètes del. :Caraiannis Marie-HélèneM de Sabrina SPRL, Avenue Louise335 - 1050 Bruxelles CODE NACE : 74101- Création de modèles pour les bienspersonnels et domestiques del. : PatrisStéphaneMyrto SPRL, Avenue Isidore Gérard 29- 1160 Bruxelles CODE NACE : 74300 - Traductionet interprétation del. : LanoizeletFrançoisePliner & Partners SA, Avenue Louise 500 -1050 Bruxelles CODE NACE : 68311 - Intermédiationen achat, vente et location debiens immobiliers pour compte de tiersdel. : Pliner BorisProfondo Brussels SPRL, Rue Royale 181 -1210 Bruxelles CODE NACE : 7021001 - Lesconseils et l’assistance opérationnelleaux entreprises dans les domaines desrelations publiques del. : Noten FrankResearch Solution SPRL, Rue Souveraine96 - 1050 Bruxelles CODE NACE : 73200 -Études de marché et sondages d’opiniondel. : Parys GenevièveService Consult SPRL, Avenue du Congo2 - 1050 Bruxelles CODE NACE : 73110 -Activités des agences de publicité del. :Zalijn ChristineSociété Civile d’Avocats , AvenueLouise 500 - 1050 Bruxelles CODENACE : 6910101 - Cabinets d’avocats etconseillers juridiques del. : MarechalMatthieuUnion des Pharmaciens de la Région deBruxelles-Capitale (UPB-AVB) , Boulevardd’Anvers 34 - 1000 Bruxelles CODE NACE :94120 - Activités des organisations professionnellesdel. : Vanwindekens EricWélinger Francis-PP PPE, 5 B Rue du Taillis- 1325 Chaumont-Gistoux CODE NACE :69202 - Activités des comptables et descomptables-fiscalistes del. : WélingerFrancisWindeo SA, rue Victor Allard 88 - 1180Bruxelles CODE NACE : 70220 - Conseilpour les affaires et autres conseils degestion del. : Pequignot LoïcWorld Natural Care (WNC) SPRL, Rue desGaulois 7B - 7822 Ghislenghien CODENACE : 10890 - Fabrication d’autresproduits alimentaires n.c.a., 2042002 - Lafabrication de produits de beauté ou demaquillage del. : Idelsen StanYour Event Solution SPRL, Rue de la Madeleine67 - 7500 Tournai CODE NACE :59201 - Production d’enregistrementssonores ; 93299 - Autres activités récréativeset de loisirs n.c.a. del. : Dupire Xavier* Ceux de nos membres qui auraientdes doutes quant à la parfaite honorabilitédes candidats présentéssont instamment priés de nous enavertir d’urgence, en nous communiquanttous renseignementssusceptibles de nous éclairer. Laprésente liste a simplement pourbut de signaler à nos adhérents lescandidatures des nouveaux membres.Elle ne préjuge en rien quant àl’admission, celle-ci n’étant acquisequ’après approbation par le Conseild’Administration de Beci. Les candidatsseront avisés individuellementde l’admission.Vous avez quelque chose à vendre ?Vous recherchez un nouveau collaborateur?Vous souhaitez entrer en contact avecde nouveaux partenaires ?Cette rubrique est pour vous…Pour le prix de 5 euro (HTVA)/la ligne,vous avez la possibilité d’insérer votreannonce.En outre, une réduction de 10% sera accordéeaux membres de <strong>BECI</strong>.Intéressé ?Contactez pour tout renseignementRoel VeytT 02 643 68 53 – rv@beci.beOffres et demandesRecherche partenaire investisseurpour le développementd’une activité de e-commerce.Commerce de vente en ligne demodèles réduits de collectionwww.43r.com créé en 2003.Pour tout renseignement,contacter Ricardo Thys au02/6736073 ou office@43r.comRicardo ThysMiniboutik 43RAvenue des Meuniers 1171160 BruxellesT +32 2 673 60 73office@43r.comIndexVous trouverez ci-après la listedes annonceurs que nous tenonsà remercier pour leur soutien :• ACTIRIS• BFM• BIP – BRUSSELS INFOPLACE• BITC• BROTHER• BRUSSELS AIRLINES• DAOUST INTERIM• DELOITTE• D’IETEREN• EFAPCO• ELECTRABEL GDFSUEZ• ESSENT• FOSTPLUS• GLOBAL• MERAK• MICROSOFT• MINISTÈRE DELA RÉGION DEBRUXELLES-CAPITALE– ADMINISTRATIONDE L’ECONOMIE• PARC DESEXPOSITIONS DEBRUXELLES• PARTENA• QUADRANT• RANDSTAD• REIBEL• S.D.R.B.• VAL-I-PAC


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