Le "bien vieillir" péageois - Ville de Bourg de Péage

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12.07.2015 Views

ZOOMLa GoubetièreFauchage tardifen travauxDepuis fin août, la Ville a entreprisd’importants travaux sur le réseaud'eaux pluviales au quartier de laGoubetière afin de résoudre les problèmesd’inondation lors d’intempéries.Un redimensionnementdu réseau d’eaux pluvialespour éviter les inondationsJusqu’à présent, le quartier dit de la Goubetièrerencontrait régulièrement des problèmes d’inondationdus aux eaux de ruissellement lors de fortesintempéries. Une situation difficile pour seshabitants à laquelle la Ville a décidé d’apporterune solution. Après la réalisation de différentesétudes, une réponse technique a pu être trouvéeet les travaux entrepris. Objectif : reprendre lesystème de collecte des eaux pluviales pourfaciliter leur évacuation dans le Charlieu.Objectif n°1 Densifier et redimensionnerle réseau d’eaux pluviales existant et cepour permettre une évacuation à la fois maximaleet fluide de ces eaux. Outre ces deuxactions, il a également fallu procéder au remplacementdu collecteur final qui acheminetoutes les eaux pluviales du quartier, depuisla rue Madame de Sévigné jusqu’au Charlieu,en aval du pont de l’avenue Verbania.D’un diamètre initial de 200 mm, ce tuyau estdésormais calibré à 800 mm, augmentant ainsi ledébit d’écoulement des eaux de pluie dans leruisseau.Objectif n°2 Mettre en œuvre unesolution technique pour temporiser l’écoulementdes eaux pluviales et éviter la saturationdu réseau pendant les intempéries.Pour ce faire, un bassin de rétention couvert aété créé, le long de la rue Henri Julien. D’unecapacité de 180 m 3 , ce réservoir a pour rôlede recueillir et de stocker une partie des eauxpluviales du quartier. L’eau ainsi retenue dansle bassin s’infiltrera progressivement dans lesol, alors que seul l’excédent sera évacué parle réseau.Après les phases d’études, les travaux ontdébuté fin août, pour une fin prévisionnelle duchantier annoncée fin octobre. Rappelons quece projet à reçu l’aval de la Police de l’eau.TRIBUNE LIBRETrous et bosses,routes et trottoirsL’entretien de notre réseau routier communal,principal ou secondaire, représente unbudget important. Il nécessiterait souventdes investissements conséquents. Maisn’est-ce pas essentiel ?Il n’est pas rare d’être contraint d’éviter lestrous et les bosses, parfois de véritables nidsde poules représentant un réel danger. Etbien des trottoirs sont un véritable calvaire,notamment pour les personnes à mobilitéréduite. Quant aux virages à élargir, ou auxaxes à redimensionner, ils sont nombreux àne plus répondre aux normes de sécuritéqu’exigent la population et la circulationd’aujourd’hui. Voilà des chantiers utiles etmême prioritaires à envisager. Pour cela, ilfaut refondre le budget municipal, pourmieux utiliser l’argent des contribuables.Joël Cheval, Conseiller Régional,Gilles Vicat, Conseiller MunicipalGroupe Front NationalPermanence sur rendez-vous : 04 75 05 31 77Solidarité contreindividualismeDans certains quartiers, durant l’été, les ruesont été rénovées, améliorant ainsi les déplacements,ce qui était nécessaire bien sûr,pour les piétons, les poussettes, obligeantdu même coup les voitures à rouler, enprincipe, à plus faible allure, en rétrécissantquelque peu les voies.Les services de la Ville devront veiller à ce quedeux voitures garées de part et d’autre dela chaussée à la même hauteur ne rendenttoute circulation dans la rue difficile et dangereuse.À l’heure où l’on demande de la solidaritécontre l’individualisme, on constate tropsouvent que chacun ne fait que ce qui l’arrangeet se moque bien de l’ensemble desusagers.Gisèle Telmon et Christian NavarroConseillers municipaux UMP10

PÉAGEOIS À L'AFFICHEUn savoir-faire" étaincelant "Au cœur de notre zone d’activités se niche, depuis 1973, uneentreprise ayant un savoir-faire unique en France. Le Potierd’Étain est en effet l’ultime fabricant français d’objets enétain moulé. À la tête de l’entreprise qui emploie dix personnes,Patrick Brassac, 5 e génération de potier d'étain, perpétueavec passion le métier familial.Tous les ans, une trentaine de nouveaux articles viennentenrichir un catalogue qui compte plus de 600 références.Des vases aux coupes à fruits, en passant par les luminaires,les articles pour la table ou le vin, etc., l’entreprise produitune gamme d’objets des plus diversifiée. “Toute notrefabrication est réalisée à Bourg de Péage, de la conception à l’objet fini ! ” aime à rappelerPatrick Brassac.En 2010, le Potier d’Étain a d’ailleurs obtenu le label “Entreprise du Patrimoine Vivant”visant à soutenir les entreprises “ayant un savoir-faire rare ou ancestral, reposant sur lamaîtrise de techniques traditionnelles ou de haute technicité”.“ So british * ”Il a 16 ans et vient d’entrer en Terminale scientifique. Rien d’exceptionnelà cela, sauf qu’Hugo Bouvarel a été admis au Lycéefrançais de Londres, un établissement d’exception qui peut sevanter d’un taux de réussite au bac approchant les 100% !Pour y être admis, Hugo a dû affronter une âpre sélection. “ Nousétions 120 sur toute la France à présenter un dossier pour Londreset seuls 12 ont été retenus. J’ai eu une chance inouïe d’en fairepartie”, nous confie notre lycéen.À Londres, Hugo suit le même programme que dans un lycée classique,à la différence que certains cours sont dispensés en anglais.Pas de quoi intimider cet excellent élève qui était déjà en sectioneuropéenne au lycée Triboulet.Toutes nos félicitations Hugo et comme on dit outre-Manche :“Goodluck** ”!* Tellement anglais ** Bonne chance !Pour admirer ces créations,rendez-vous surwww.lepotierdetain.comou directement au magasin(ZA - 135, allée de Savoie)Au pays du sleil levantPaul Brunat est incontestablement un Péageois qui gagne à être connu.Né en 1840, il est le fils de François Brunat, industriel de la soie également mairede la Cité (1852-1856). En 1866, Paul, alors « inspecteur des soies », est envoyé àYokohama (Japon) par une maison de commerce lyonnaise. Quatre ans plus tard,le service des Finances du Japon lui confie la mission de construire une filaturemoderne. Paul fait ensuite venir de France des ingénieurs, des techniciens, desouvrières ainsi que des métiers à tisser.Installée à Tomioka (près de Tokyo), cette filature a conservé intactes ses traditions et les traces deson histoire. Avec son usine de filage, ses deux entrepôts de cocons, sa résidence et son mémorial,elle est aujourd’hui candidate pour être inscrite au patrimoine industriel et mondial de l’UNESCO.En 2009, l’Ambassadeur du Japon en France rappelait toute l’importance qu’a jouée cePéageois dans le développement industriel nippon : « Sans l’aide de la France et de Paul Brunat, lamodernisation du Japon aurait sûrement été très différente. »Plus d’infos : www2.city.tomioka.lg.jp/worldheritage/fr/index.htmlÉléments transmis par Jean-Pierre Devoize (Sauvegarde du Patrimoine romanais-péageois)11

PÉAGEOIS À L'AFFICHEUn savoir-faire" étaincelant "Au cœur <strong>de</strong> notre zone d’activités se niche, <strong>de</strong>puis 1973, uneentreprise ayant un savoir-faire unique en France. <strong>Le</strong> Potierd’Étain est en effet l’ultime fabricant français d’objets enétain moulé. À la tête <strong>de</strong> l’entreprise qui emploie dix personnes,Patrick Brassac, 5 e génération <strong>de</strong> potier d'étain, perpétueavec passion le métier familial.Tous les ans, une trentaine <strong>de</strong> nouveaux articles viennentenrichir un catalogue qui compte plus <strong>de</strong> 600 références.Des vases aux coupes à fruits, en passant par les luminaires,les articles pour la table ou le vin, etc., l’entreprise produitune gamme d’objets <strong>de</strong>s plus diversifiée. “Toute notrefabrication est réalisée à <strong>Bourg</strong> <strong>de</strong> Péage, <strong>de</strong> la conception à l’objet fini ! ” aime à rappelerPatrick Brassac.En 2010, le Potier d’Étain a d’ailleurs obtenu le label “Entreprise du Patrimoine Vivant”visant à soutenir les entreprises “ayant un savoir-faire rare ou ancestral, reposant sur lamaîtrise <strong>de</strong> techniques traditionnelles ou <strong>de</strong> haute technicité”.“ So british * ”Il a 16 ans et vient d’entrer en Terminale scientifique. Rien d’exceptionnelà cela, sauf qu’Hugo Bouvarel a été admis au Lycéefrançais <strong>de</strong> Londres, un établissement d’exception qui peut sevanter d’un taux <strong>de</strong> réussite au bac approchant les 100% !Pour y être admis, Hugo a dû affronter une âpre sélection. “ Nousétions 120 sur toute la France à présenter un dossier pour Londreset seuls 12 ont été retenus. J’ai eu une chance inouïe d’en fairepartie”, nous confie notre lycéen.À Londres, Hugo suit le même programme que dans un lycée classique,à la différence que certains cours sont dispensés en anglais.Pas <strong>de</strong> quoi intimi<strong>de</strong>r cet excellent élève qui était déjà en sectioneuropéenne au lycée Triboulet.Toutes nos félicitations Hugo et comme on dit outre-Manche :“Goodluck** ”!* Tellement anglais ** Bonne chance !Pour admirer ces créations,ren<strong>de</strong>z-vous surwww.lepotier<strong>de</strong>tain.comou directement au magasin(ZA - 135, allée <strong>de</strong> Savoie)Au pays du sleil levantPaul Brunat est incontestablement un Péageois qui gagne à être connu.Né en 1840, il est le fils <strong>de</strong> François Brunat, industriel <strong>de</strong> la soie également maire<strong>de</strong> la Cité (1852-1856). En 1866, Paul, alors « inspecteur <strong>de</strong>s soies », est envoyé àYokohama (Japon) par une maison <strong>de</strong> commerce lyonnaise. Quatre ans plus tard,le service <strong>de</strong>s Finances du Japon lui confie la mission <strong>de</strong> construire une filaturemo<strong>de</strong>rne. Paul fait ensuite venir <strong>de</strong> France <strong>de</strong>s ingénieurs, <strong>de</strong>s techniciens, <strong>de</strong>souvrières ainsi que <strong>de</strong>s métiers à tisser.Installée à Tomioka (près <strong>de</strong> Tokyo), cette filature a conservé intactes ses traditions et les traces <strong>de</strong>son histoire. Avec son usine <strong>de</strong> filage, ses <strong>de</strong>ux entrepôts <strong>de</strong> cocons, sa rési<strong>de</strong>nce et son mémorial,elle est aujourd’hui candidate pour être inscrite au patrimoine industriel et mondial <strong>de</strong> l’UNESCO.En 2009, l’Ambassa<strong>de</strong>ur du Japon en France rappelait toute l’importance qu’a jouée cePéageois dans le développement industriel nippon : « Sans l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> la France et <strong>de</strong> Paul Brunat, lamo<strong>de</strong>rnisation du Japon aurait sûrement été très différente. »Plus d’infos : www2.city.tomioka.lg.jp/worldheritage/fr/in<strong>de</strong>x.htmlÉléments transmis par Jean-Pierre Devoize (Sauvegar<strong>de</strong> du Patrimoine romanais-péageois)11

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