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Contrat type de collaboration salariée à durée indéterminée entre ...

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180, boulevard Haussmann75389 PARIS CEDEX 08NE PAS OUBLIER LA DECLARATION PREALABLE A L’EMBAUCHE AUPRES DEL’URSSAF (article L.1221-10 du co<strong>de</strong> du travail)CONTRAT TYPE DE COLLABORATION SALARIEE A DUREE INDETERMINEETemps pleinAdopté par le Conseil national réuni en Session, le jeudi 23 octobre 2008-MAJ aout 2011- MAJ mars 2013établi conformément à l’article 91 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (article R.4127-91 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santépublique)ENTRE UNE SOCIETE D’EXERCICE ET MEDECIN SALARIEEntre :La Société (SCP ou SEL) ……… ayant son siège social à ……, inscrite au Tableau duConseil départemental <strong>de</strong> ……….. <strong>de</strong> l’Ordre <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins sous le numéro……………….,inscrite au RCS <strong>de</strong> …….. sous le numéro…….., n° URSSAF ………, représentée par ledocteur………, gérantMentionner ici la qualification et le secteur conventionnel <strong>de</strong> chaque associé <strong>de</strong> lasociété auprès duquel le mé<strong>de</strong>cin salarié sera amené à collaborer.Employeur,Et,Le Docteur …………….. (nom, prénoms)né le………… à ………….., <strong>de</strong> nationalité………, résidant …………, n° sécurité sociale,qualifié en…………. , inscrit au Tableau du Conseil départemental <strong>de</strong> ……. <strong>de</strong> l’Ordre <strong>de</strong>smé<strong>de</strong>cins, sous le numéro……………Salarié,Il est convenu ce qui suit :1– NATURE DU CONTRATLe présent contrat constitue un contrat <strong>de</strong> travail qui relève <strong>de</strong>s dispositions du droitcommun en la matière et notamment du Co<strong>de</strong> du travail.Les relations <strong>entre</strong> les <strong>de</strong>ux parties sont également soumises au co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologiemédicale et notamment aux principes <strong>de</strong> confraternité et <strong>de</strong> libre choix <strong>de</strong>s patients.2 – INDEPENDANCE PROFESSIONNELLELe Docteur ..…(salarié) exerce l’ensemble <strong>de</strong> ses missions en toute indépendanceprofessionnelle conformément à l’article 95 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (articleR.4127-95 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique) 1 , dans le respect <strong>de</strong>s dispositions1 Aux termes <strong>de</strong> l’article 95 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (article R.4127-95 du Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santéCNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008-aout 2011- mars 2013


Key IndicatorsworstbestGDP per capita, PPP (constant 2000 international $)...... 22,109 7.47Life expectancy at birth (years).............................................. 79 7.09Literacy rate (% of people age 15+)...................................... 77 4.73Human <strong>de</strong>velopment in<strong>de</strong>x (out of 177)................................. 49 6.44Rule of law (out of 208) ........................................................ 70 6.17Voice and accountability (out of 208)................................... 165 2.83Digital opportunity in<strong>de</strong>x (out of 180)..................................... 36 6.88Internet users (% of population).......................................... 31.1 5.980 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10Source (by indicator): World Bank 2004, 2006a, 2006b; UNDP 2006; World Bank 2006c, 2006c; ITU 2006, 2005mosques and monitors sermons for politicalcommentary. 5Internet in the United Arab EmiratesThe UAE is among the most highly Internetconnectedcountries in the Middle East. The UAEYearbook for 2007 states that there are morethan 578,000 Internet subscribers in the country. 6September 2006 figures on Internet penetrationplace the number of Internet users at 1.40 million,or 35 percent of the population, 7 though Etisalat(Emirates Telecommunications Corporation)—thenation’s primary service provi<strong>de</strong>r—estimates thatmore than 51 percent of the country is online. 8Since 1976, nearly all telephone and Internetservice in the UAE has been furnished by thegovernment-owned Etisalat—either throughdirect sale of subscriptions to customers orthrough commercial resale of Etisalat servicesvia provi<strong>de</strong>rs such as Dubai Internet City(DIC) telecom. With the release of the GeneralPolicy for the Telecommunication Sector (GTP)in 2006, 9 the UAE government moved to liberalizethe telecommunications market, thoughit remains to be seen how competition willaffect Etisalat’s monopoly on telecom operations.The UAE Telecommunications RegulatoryAuthority (TRA) granted a twenty-year licenseto the Emirates Integrated TelecommunicationsCompany (EITC)—more wi<strong>de</strong>ly known un<strong>de</strong>r itstra<strong>de</strong>d name “du”—to offer fixed-line, mobile,and Internet services. Prior to liberalization, duserved the Dubai free zone and a few affiliatedresi<strong>de</strong>ntial complexes, providing unfetteredInternet access in those areas, but acquisitionsand partnerships with other telecom companieshave expan<strong>de</strong>d du’s capabilities and customerbase. du now aims to capture 30 percent of theUAE telecom market within three years. 10Legal and regulatory frameworksControls on Internet content in the UAE, actualizedthrough filtering and other forms of enforcement,are geared toward safeguarding political,moral, and religious values. According to Etisalat,there is some evi<strong>de</strong>nce that these controls enjoypopular support. A 2002 survey found that 60percent of Etisalat subscribers surveyed favoredretaining the ISP’s automatic filtering system, with51 percent saying that it protected family membersfrom objectionable content. In 2004, theUAE cited the survey as indicating that the roleof filtering “in protecting users from offensive2


3activité sur le lieu ou les lieux suivants 3 :……………..……………..dans le respect <strong>de</strong>s dispositions <strong>de</strong> l’article 85 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (articleR.4127-85 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique).Le Docteur ………………….(salarié) effectue en outre les visites à domicile qui serai<strong>entre</strong>ndues nécessaires compte tenu <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong> santé du patient.1 – Clause <strong>de</strong> rémunération « classique »7 – REMUNERATION ET TEMPS DE TRAVAIL 4La durée du travail du Docteur……………(salarié) est conforme à la durée légaledu travail dans le cadre d’un temps plein.La rémunération mensuelle brute du Docteur …………. (salarié) est fixée à lasomme <strong>de</strong> ……………………….. Elle sera payée sur 12 mois.2 – Clause <strong>de</strong> rémunération en forfait mensuel heures :Le Docteur……………(salarié), perçoit une rémunération mensuelle <strong>de</strong> [ tenircompte <strong>de</strong>s majorations pour heures supplémentaires si l’horaire mensuel auquelelle correspond dépasse 151,67 heures]………….€ 5 ., laquelle rémunère x heuresdans le mois.Cette rémunération correspond à un salaire horaire <strong>de</strong> ………………..heures parmois. Elle inclut les majorations pour heures supplémentaires.A titre d’information, les horaires sont actuellement <strong>de</strong> ………….par semaine (ou mois)repartis <strong>de</strong> la manière suivante : (à préciser). Ces précisions n’ont qu’une valeurindicative. Les horaires <strong>de</strong> travail du Docteur ……..(salarié) et leur aménagementpeuvent être modifiés en fonction <strong>de</strong>s impératifs du cabinet.Toute modification <strong>de</strong>s horaires est notifiée au Dr …. (salarié) sept jours au moinsavant la date à laquelle cette modification doit prendre effet.8 – EXERCICE ET MOYENS DE TRAVAILConformément à l’article 71 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie (article R.4127-71 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> lasanté publique), la société………….(employeur) met à la disposition <strong>de</strong> son salarié,au(x) lieu(x) <strong>de</strong> son exercice professionnel, une installation adéquate et les moyensnécessaires compte tenu <strong>de</strong> la nature <strong>de</strong>s actes qu’il pratique ou <strong>de</strong> la population qu’ilprend en charge.3 Dans la mesure où cet exercice est subordonné à l’accord d’un tiers (associés <strong>de</strong> l’employeur, clinique…)celui-ci doit être mentionné et annexé au présent contrat.4 Aux termes <strong>de</strong> l’article 97 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (article R.4127-97 du Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santépublique), un mé<strong>de</strong>cin salarié ne peut, en aucun cas, accepter une rémunération fondée sur <strong>de</strong>s normes<strong>de</strong> productivité, <strong>de</strong> ren<strong>de</strong>ment horaire ou tout autre disposition qui aurait pour conséquence unelimitation ou un abandon <strong>de</strong> son indépendance ou une atteinte à la qualité <strong>de</strong>s soins.5 Une rémunération forfaitaire incluant les heures supplémentaires ne doit pas léser la salarié et élu<strong>de</strong>r laréglementation relative au temps <strong>de</strong> travail.Ces clauses doivent donc être rédigées en distinguant le salaire <strong>de</strong> base brut et le salaire mensuel,correspondant à l’horaire hebdomadaire habituel. La somme indiquée doit être au mois égale au salairehoraire <strong>de</strong> base multiplié par les coefficients correspondants aux heures supplémentaires comprisesdans l’horaire.CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013


4Elle s’engage à consulter le Dr ….. (salarié) à l’occasion <strong>de</strong>s investissements techniquesqui seront rendus nécessaires pour son exercice.La société………. (employeur) s’engage à informer l’ensemble <strong>de</strong> sa patientèle <strong>de</strong>l’intégration au sein du cabinet du Docteur ……., en qualité <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cin salarié.9 – ASTREINTES A DOMICILELe Docteur ……………..(salarié) peut être d’astreinte, à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’employeur, sil’organisation du travail au cabinet le nécessite, aux jours et heures que celui-ci fixe.L’astreinte est le fait pour le salarié <strong>de</strong> rester à son domicile pour pouvoir répondre auxappels téléphoniques <strong>de</strong>s mala<strong>de</strong>s et assurer les urgences dans ce cadre.L’in<strong>de</strong>mnité d’astreinte due au salarié est <strong>de</strong> x……. du salaire horaire (elle ne doit pasêtre inférieure à 30% du salaire horaire).Lorsque le salarié est obligé <strong>de</strong> se déplacer pour un travail effectif au cours <strong>de</strong>l’astreinte, les honoraires sont perçus conformément à l’article 11.Le Docteur ….. (salarié) bénéficie d’une rémunération correspondant au double <strong>de</strong> sonsalaire horaire proportionnellement à la durée du déplacement, y compris le trajet. Letemps maximal <strong>de</strong> cette astreinte ne peut excé<strong>de</strong>r une semaine sur quatre, sauf accordécrit <strong>entre</strong> les parties.Le Docteur ……………..(salarié) est informé du jour ou <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> d’astreinte aumoins quatre semaines à l’avance.10 – ORGANISATION DE LA PERMANENCE DES SOINSLe Docteur ……………..(salarié), peut être amené à assurer <strong>de</strong>s gar<strong>de</strong>s dans le cadre <strong>de</strong>l’organisation <strong>de</strong> la permanence <strong>de</strong>s soins.Ce temps <strong>de</strong> gar<strong>de</strong> considéré comme du temps <strong>de</strong> travail effectif est soit inclus dans letemps <strong>de</strong> travail, soit rémunéré en heures supplémentaires. Les honoraires sont perçusconformément à l’article 11.Ces gar<strong>de</strong>s seront effectuées soit au cabinet soit dans tout autre local (y compris ledomicile du mé<strong>de</strong>cin), en fonction <strong>de</strong> l’organisation locale <strong>de</strong> la permanence <strong>de</strong>s soins.11 - HONORAIRESLe ou les Docteur(s) ……………..(associé(s)), lorsque sa ou leur situationconventionnelle lui ou leur permet <strong>de</strong> fixer librement ses ou leurs honoraires,détermine(nt) les fourchettes d’honoraires applicables aux patients, avec tact etmesure, en tenant compte <strong>de</strong> la réglementation en vigueur, <strong>de</strong>s actes dispensés ou<strong>de</strong>s circonstances particulières dans les conditions prévues par l’article 53 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong>déontologie (article R.4127-53 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique).CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013


5Le Docteur ……………..(salarié), peut adapter les honoraires <strong>de</strong>mandés au patient,conformément aux règles déontologiques sus-évoquées. Il en informe alors sonemployeur.Les honoraires encaissés par le Docteur ……………..(salarié), doivent être déposés surle compte <strong>de</strong> la société ………………….(employeur), en particulier les chèques doiventêtre rédigés à l’ordre <strong>de</strong> la société ……………..(employeur).Le Docteur ……………..(salarié) signe personnellement les feuilles <strong>de</strong> sécurité sociale,d’organismes d’assurance maladie complémentaire, ainsi que tous documentsnécessaires à la prise en charge <strong>de</strong>s actes qu’il réalise auprès <strong>de</strong>s patients.12 – CONGES PAYESLe Docteur ……………..(salarié) bénéficie d’un droit à congés payés tel que prévu par laloi soit : 2,5 jours ouvrables par mois <strong>de</strong> travail, c’est à dire 30 jours ouvrables <strong>de</strong>repos par année complète <strong>de</strong> travail (pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> référence 1 er juin <strong>de</strong> l’annéeprécé<strong>de</strong>nte et 31 mai <strong>de</strong> l’année en cours).La date <strong>de</strong> ses congés est déterminée par accord <strong>entre</strong> <strong>de</strong> la société………………(employeur) et le Docteur ……………..(salarié) et au moins <strong>de</strong>ux mois àl’avance <strong>de</strong> telle façon que la continuité <strong>de</strong>s soins soit assurée.Dans le cas où le contrat <strong>de</strong> travail n’aurait pas commencé le premier jour <strong>de</strong> lapério<strong>de</strong> <strong>de</strong> référence, le Docteur ……………..(salarié) bénéficie <strong>de</strong> congés au prorata <strong>de</strong>sa présence au cours <strong>de</strong> cette même pério<strong>de</strong>.13 – DEVELOPPEMENT PERSONNEL CONTINULa société …… (employeur) s’engage à donner au Docteur …. (salarié) toutes facilitéspour participer à <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong>stinées à lui permettre <strong>de</strong> tenir à jour, d’étendre et <strong>de</strong>communiquer ses connaissances.Aux termes <strong>de</strong> l’article L. 4133-1 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique, le Docteur … (salarié)est tenu à une obligation <strong>de</strong> développement personnel continu (DPC).L'évaluation <strong>de</strong>s pratiques professionnelles, qui est obligatoire pour tout mé<strong>de</strong>cin, faitpartie intégrante, avec le perfectionnement <strong>de</strong>s connaissances, du développementpersonnel continu.Le Docteur … exprime librement ses choix sur les formations nécessaires à sonexercice professionnel.Les parties conviennent que, dès lors :- que le Docteur … précise l’organisme <strong>de</strong> formation, nécessairement enregistré,qui dispense l’action <strong>de</strong> formation visée,- que l’action visée conforme à l’orientation nationale ou régionale du DPC estenregistrée et évaluée favorablement par la CSI,les actions <strong>de</strong> formation professionnelle sont prises en charge par l’employeur.CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013


6Ces actions sont financées dans le cadre <strong>de</strong>s dispositions prévues aux articles L. 6331-2 6 et L. 6331-9 7 du co<strong>de</strong> du travail, conformément aux dispositions <strong>de</strong> l’article L. 4133-6 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique.Les parties au présent contrat s’enten<strong>de</strong>nt sur l’époque et la durée <strong>de</strong>s absencesconsacrées à leur formation.14 – SECRET PROFESSIONNELLe Docteur ……………..(salarié) est tenu au secret professionnel prévu par l’article 226-13 du co<strong>de</strong> pénal et les articles 4, 73 et 95 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (articlesR.4127-4, R.4127-73 et R.4127-95 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique).L’employeur s’engage à prendre toutes dispositions utiles pour que le secretprofessionnel soit respecté dans les locaux qu’il met à la disposition du Docteur……………..(salarié) notamment en ce qui concerne le courrier, les modalités <strong>de</strong>conservation <strong>de</strong>s dossiers médicaux, quel qu’en le support (notamment numérisé) etl’isolement acoustique <strong>de</strong>s locaux où sont examinés les patients.Il met à la disposition <strong>de</strong> son salarié les moyens nécessaires à préserver la sécurité <strong>de</strong>sinformations et notamment empêcher qu’elles soient communiquées à <strong>de</strong>s tiers nonautorisés, déformées ou endommagées.L’employeur veille à ce que le personnel du cabinet soit instruit <strong>de</strong> ses obligations enmatière <strong>de</strong> secret professionnel et s’y conforme.15 – DOSSIER MEDICAL 8Lorsqu’ils assurent personnellement la prise en charge du patient et dans le cadre <strong>de</strong> lacontinuité et <strong>de</strong> la coordination <strong>de</strong>s soins, le Docteur …. (salarié) et le ou lesDocteurs(s) …. mé<strong>de</strong>cins(s) associé(s) auprès duquel / <strong>de</strong>squels il collabore ont accèsau dossier médical du patient, sauf opposition expresse <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier.La Société ……………..(employeur), s’engage à fournir au salarié tous les moyensnécessaires à la conservation du dossier médical.Elle s’engage par ailleurs, à mettre en œuvre les moyens garantissant la confi<strong>de</strong>ntialitédu dossier médical ainsi que les moyens permettant au mé<strong>de</strong>cin qui suit le patient, ouà un autre intervenant en cas d’urgence, d’y accé<strong>de</strong>r.En cas <strong>de</strong> rupture du contrat <strong>de</strong> travail, le Docteur ……………..(salarié) s’engage àfournir à l’employeur tous les éléments permettant au(x) mé<strong>de</strong>cin(s) auprès duquel /<strong>de</strong>squels il a exercé d’accé<strong>de</strong>r aux dossiers médicaux du cabinet (clés, co<strong>de</strong> d’accèsetc.).La Société ………………(employeur) s’engage, pour sa part, chaque fois qu’un patientaura fait le choix exprès <strong>de</strong> poursuivre ses soins avec le Docteur ….. (salarié) àtransférer à ce <strong>de</strong>rnier son dossier médical afin <strong>de</strong> permettre le respect du libre choixdu mé<strong>de</strong>cin par le patient.6 Article L6331-2 pour les cabinets <strong>de</strong> – <strong>de</strong> 10 salariés7 Article L 6331-9 pour les cabinet <strong>de</strong> + <strong>de</strong> 10 salariés8 Aux termes <strong>de</strong> l’article 96 du Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> déontologie médicale (article R.4127-96 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santépublique), les dossiers médicaux sont conservés sous la responsabilité du mé<strong>de</strong>cin qui les a établis.CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013


8Pendant toute la durée <strong>de</strong> l’interdiction, il est versé au Docteur ……………..(salarié) unesomme égale à X% 11 <strong>de</strong> sa rémunération mensuelle moyenne <strong>de</strong>s douze <strong>de</strong>rniersmois <strong>de</strong> présence dans l’<strong>entre</strong>prise.La société ……………..(employeur), se réserve toutefois la faculté <strong>de</strong> libérer le salarié <strong>de</strong>l’interdiction <strong>de</strong> concurrence. Dans ce cas, l’employeur s’engage à prévenir le salariépar écrit dans les 30 jours qui suivent la notification <strong>de</strong> la rupture du contrat <strong>de</strong> travail.18 – UTILISATION DU VEHICULE PERSONNEL DU SALARIEA DES FINS PROFESSIONNELLES 12 (facultative)Le Docteur …………….(salarié) s’engage à souscrire à ses frais pour le véhiculepersonnel qu’il est tenu d’utiliser pour l’exercice <strong>de</strong> ses fonctions, une policed’assurance garantissant expressément et en totalité la responsabilité civile dans lecadre d’un usage professionnel. Le salarié doit en justifier auprès <strong>de</strong> son employeur àchaque échéance contractuelle.La police doit en outre mentionner l’engagement pris par la compagnie d’assurance <strong>de</strong>prévenir la société …………(employeur) en cas <strong>de</strong> diminution <strong>de</strong> garantie ou <strong>de</strong>résiliation du contrat pour quelque cause que ce soit.En cas d’acci<strong>de</strong>nt, le Docteur ………………(salarié) est tenu <strong>de</strong> prévenir dans un délaimaximum <strong>de</strong> 48 heures, par lettre recommandée avec accusé <strong>de</strong> réception, la sociétéainsi que les compagnies d’assurance.Pour rembourser le Docteur ………………(salarié) <strong>de</strong>s frais occasionnés par l’utilisation<strong>de</strong> son véhicule personnel pour ses déplacements professionnels, la société…………(employeur), s’engage à lui verser, pour chaque kilomètre parcouru dans cesconditions, <strong>de</strong>s in<strong>de</strong>mnités kilométriques d’un montant égal au barème <strong>de</strong>l’administration fiscale.Le règlement <strong>de</strong> ces in<strong>de</strong>mnités a lieu en même temps que la rémunération mensuellesur la seule présentation par le Docteur ………………(salarié) d’un état justificatif faisantressortir les déplacements effectués.19 – RETRAITE COMPLEMENTAIRELe Docteur ……………..(salarié) doit être inscrit, par son employeur, à une caisse <strong>de</strong>scadres.20 – MALADIE11 La contrepartie financière dérisoire équivaut à une absence <strong>de</strong> contrepartie financière. La clause estalors illicite et peut être annulée sur ce seul motif. La contrepartie pécuniaire est généralement calculéesur la base <strong>de</strong> la rémunération brute <strong>de</strong>s trois ou douze <strong>de</strong>rniers mois, son montant correspond le plussouvent à une fraction <strong>de</strong> salaire (1/3, la moitié ou les 2/3). Ainsi a-t-il été jugé dérisoire une in<strong>de</strong>mniténe s’élevant qu’à 2,4 mois <strong>de</strong> salaire pour une durée <strong>de</strong> non concurrence <strong>de</strong> 24 mois, eu égard auximportantes restrictions auxquelles étaient soumis le salarié, disproportionnées par rapport à l’in<strong>de</strong>mnitémensuelle qui <strong>de</strong>vait en être la contrepartie.12 Le document proposé se limité à l’hypothèse où le salarié utilise sa voiture personnelle. D’autreshypothèses peuvent être contractuellement mises en place : 1- mise à la disposition par l’employeurd’un véhicule <strong>de</strong> fonction à usage strictement professionnel, 2- mise à la disposition par l’employeurd’un véhicule <strong>de</strong> fonction à usage mixte. Dans ces cas, il convient d’adapter cette clause et <strong>de</strong> prendreune assurance correspondant au mo<strong>de</strong> d’utilisation du véhicule.CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013


91 - Après quatre mois d’ancienneté dans l’<strong>entre</strong>prise et :- à condition d’avoir justifié dans les 48 heures <strong>de</strong> cette incapacité- à condition d’être pris en charge par la sécurité sociale,Le Docteur ……………..(salarié), bénéficiera à compter du premier jour d’absence, sicelle-ci est consécutive à un acci<strong>de</strong>nt du travail ou à une maladie professionnelle (àl’exclusion <strong>de</strong>s acci<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> trajets) et à compter du 4 ème jour d’absence en cas <strong>de</strong>maladie, <strong>de</strong> 100% <strong>de</strong> la rémunération nette qu’il aurait gagnée, s’il avait continué àtravailler, tant que la sécurité sociale versera <strong>de</strong>s in<strong>de</strong>mnités journalières et sousdéduction <strong>de</strong> ces in<strong>de</strong>mnités..2 – Le salarié bénéficie obligatoirement comme tout le personnel du cabinet médical,d’un régime <strong>de</strong> prévoyance complémentaire assurant les versement <strong>de</strong>s in<strong>de</strong>mnitésjournalières complétant celles <strong>de</strong> la sécurité sociale dans les conditions fixées auparagraphe 1 précédant.Les cotisations seront prises en charge à concurrence <strong>de</strong> 40% par le salarié et 60% parl’employeur y compris sur la part correspondant à la mensualisation.21.1 - MATERNITELa salariée enceinte a le droit <strong>de</strong> suspendre son contrat <strong>de</strong> travail pendant une duréequi commence six semaines avant la date présumée <strong>de</strong> l’accouchement, et se terminedix semaines après la date <strong>de</strong> celui-ci, ou en cas <strong>de</strong> naissances multiples ou à partir dutroisième enfant conformément aux durées prévues aux articles L.1225-18 et L.1225-19 du co<strong>de</strong> du travail.A l’expiration du congé maternité, toute mère comptant au moins un an <strong>de</strong> présenceau jour <strong>de</strong> la naissance et désirant se consacrer à son enfant a droit, sur sa <strong>de</strong>man<strong>de</strong>écrite, à un congé non rémunéré <strong>de</strong> six mois maximum pendant lequel elle conserveson poste <strong>de</strong> plein droit. Passé ce délai <strong>de</strong> six mois, elle bénéficie d’une priorité <strong>de</strong>réembauche.Le bénéfice <strong>de</strong> cet article nécessite que l’intéressée en fasse la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> au minimumun mois avant la date prévue <strong>de</strong> sa reprise.21.2 - CONGE PATERNITEAprès la naissance <strong>de</strong> son enfant et dans un délai <strong>de</strong> quatre mois suivant la naissance<strong>de</strong> l’enfant, le père salarié bénéficie d’un congé <strong>de</strong> paternité <strong>de</strong> onze jours consécutifsou <strong>de</strong> dix-huit jours consécutifs en cas <strong>de</strong> naissances multiples. 1322 – OBLIGATION D’ASSURANCELa société ……………..(employeur) est tenu <strong>de</strong> souscrire, à ses frais, une assurance<strong>de</strong>stinée à garantir la responsabilité civile susceptible d’être engagée en raison <strong>de</strong>s13 Ce congé peut-être reporté au <strong>de</strong>là <strong>de</strong> quatre mois dans l’un <strong>de</strong>s cas suivants : 1- l’hospitalisation <strong>de</strong>l’enfant : le congé est pris dans les quatre mois qui suivent la fin <strong>de</strong> l’hospitalisation. 2 – Le décès <strong>de</strong> lamère : dans les quatre mois, après un congé <strong>de</strong> dix semaines au plus qui suivent la naissance <strong>de</strong>l’enfant.CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013


10dommages subis par <strong>de</strong>s tiers et résultant d’atteintes à la personne, survenant dans lecadre <strong>de</strong> l’activité exercée par le Docteur …………..(salarié) pour le compte <strong>de</strong> sonemployeur.Le Docteur ……………..(salarié) s’assure, à ses frais, en ce qui concerne saresponsabilité civile, pour les actes accomplis en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s limites <strong>de</strong> la mission qui luia été impartie au titre du présent contrat.Les parties contractantes doivent se justifier mutuellement au moins une fois par an durespect <strong>de</strong> cette obligation.23 – LITIGESTous litiges ou différends relatifs notamment à la conclusion, l’interprétation,l’exécution, ou la rupture du présent contrat sont soumis avant tout recours au Conseildépartemental <strong>de</strong> l’Ordre <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins, en application <strong>de</strong> l’article 56 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong>déontologie médicale (article R.4127-56 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique).24 – RUPTUREA l’issue <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> d’essai, il pourra être mis fin au présent contrat dans lesconditions fixées à cet effet par la loi, sous réserve <strong>de</strong> respecter, sauf cas <strong>de</strong> fautegrave ou lour<strong>de</strong>, un délai <strong>de</strong> préavis fixé à trois mois, sans préjudice <strong>de</strong>s dispositions<strong>de</strong> l’article 5.25 – COMMUNICATION DU CONTRATConformément aux dispositions <strong>de</strong> l’article L.4113-9 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong> la santé publique, cecontrat <strong>de</strong> travail est communiqué par chacune <strong>de</strong>s parties au Conseil départementaldont elle relève.Fait à ………le …………….En trois exemplaires dont un remis au salariéL’employeurLe salarié(faire précé<strong>de</strong>r la signature <strong>de</strong> la mention « lu et approuvé »)CNOM – CDI temps plein – société d’exercice / mé<strong>de</strong>cin salarié – octobre 2008 – MAJ 2013

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