BUDGET PRIMITIF - Ville de Paris
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Mission 3 : Accompagner le temps de la perte d'autonomie despersonnes âgées (suite)Ind. 6Délai médian entre le dépôt d'une demande d'aidesociale légale (Aide sociale à l'hébergement, Aideménagèrelégale) et la notification de la décisionValeur 2010 Valeur 2011NDASH : 36 joursAML : 13 joursTotal (T4) :29 joursCible 2012ajustéeCommentaires : Les délais d'instruction incluent les négociations avec les obligés alimentaires, souvent longues.Objectif 4 Accroître l'efficience des services de gestionInd. 7Ind.8Montant des recettes des recours sur successionset des obligés alimentaires sur le secteur PersonnesÂgées (hors contributions des usagers et horsrecettes de compensation de l'État)Nombre de bénéficiaires payés de l'APA à domicileet en établissement au 31 décembre(droits ouverts et pourcentage d'évolution)22 135 606 € 20 144 000 € 23 000 000 €NDDom. : 15 595Etab. : 10 238Ensemble :25 833(décembre)Participer à la prévention et promouvoir laMission 4 Valeur 2010 Valeur 2011santé des parisiensObjectif 1 Assurer le suivi médical et social des élèves parisiensInd. 1Taux de bilans de santé obligatoires "6ème année"réalisés dans les classes d'âge concernéesNDCible 2012ajustéeEstimation2012ASH : 39 joursAML : 18 joursTotal (9 m.) :35 jours16 700 000(au 15/10)Dom. : 15 267Etab. : 10 281Ensemble :25 548(moy. 9 mois)Estimation2012Cible 201323 000 000 €Cible 201380% 93,83% 90% 94% 90%Plan d'actionMaintenir le niveau de compétence des gestionnaires. Réduire ledélai de traitement des dossiers en regroupant l'instruction desrecours sur patrimoine dans un seul service.Commentaires : Évolution : Le montant des recettes est tributaire de l'importance des successions traitées (entre 18 et 26 M€ selon les années pour les successions, qui représentent 87% des recettes). 23 M€correspond au montant moyen des recettes entre 2007 et 2011.Améliorer les délais de traitement des demandes.Commentaires : Hors CASVP. Évolution : Le démarrage du nouvel outil informatique Salsa n'est pas sans influence sur l'évolution du nombre de bénéficiaires, dont le renouvellement est rapide. Les données issues dunouveau système informatique Salsa sont en cours de fiabilisation.Plan d'actionMieux répartir les tâches afférentes aux PPS et PAI avec lesservices de l'Éducation Nationale afin d'alléger le travail administratifdes médecins scolaires.Commentaires : Par année scolaire (2012 = dernier semestre 2011/1er sem. 2012). La Ville de Paris a fait le choix d'offrir un service de santé scolaire dans le 1er degré et y consacre des moyens humains significatifs.Évolution : Le taux constaté est élevé (près de 94% en 2011 et 2012), malgré l'augmentation importante du nombre d'enfants présentant une pathologie chronique nécessitant la délivrance de médicaments à l'école ou unprotocole d'urgence, ainsi que des enfants en situation de handicap, qui constituent une part croissante de l'activité des médecins référents. En 2010, ce taux avait baissé en raison de la forte mobilisation des médecinsdu service dans la campagne de vaccination contre la grippe H1N1.Suivi plan d'action : Le groupe de travail sur les pratiques professionnelles est en place. Le travail réalisé avec l'académie sur les pathologies chroniques (PAI) a permis de mieux répartir la part de travail administratifentre médecin scolaire et directeur d'école.Ind. 2Coût annuel par enfant d'un suivi en centred'adaptation psychopédagogique (CAPP)1 665 € 1 632 € 1 670 € 1 670 €1 700 €à 1 750 €Maintenir les moyens alloués aux CAPP, y compris ceux de l'État,afin de maintenir leur niveau d'activité.Commentaires : Par année scolaire (2012 = dernier semestre 2011/1er semestre 2012), hors CAPP déficient auditif.Sous la tutelle conjointe du département et de l'académie de Paris, les dix CAPP généralistes sont des structures de prévention qui apportent aide, soutien et accompagnement aux enfants et adolescents en difficulté,scolarisés dans les établissements parisiens. Ils contribuent à un suivi personnalisé selon une approche pluridisciplinaire, en lien étroit avec les familles et les établissements scolaires.Évolution : Les dépenses de personnel représentent plus de 88% du coût de fonctionnement en 2011. 2 914 enfants suivis en 2012, 2 900 en 2011, 2 775 en 2010. Les moyens de l'État ont été maintenus.Suivi plan d'action : Renégociation de la convention avec l'Éducation Nationale à prévoir en 2013, avec pour objectif le maintien des postes de l'État.105
Mission 4 : Participer à la prévention et promouvoir la santé desValeur 2010 Valeur 2011parisiens (suite)Objectif 2 Participer à la prévention des grandes pathologies et à la lutte contre les ISTInd. 3Nombre d'enquêtes réalisées autour de cas detuberculose/Nombre d'enquête demandées (cas detuberculose parisiens)Cible 2012ajustée106Estimation2012Cible 201395% 93% 95% 93% 95%Plan d'action- Effectuer systématiquement les enquêtes à l'hôpital lorsque les casindex sont encore hospitalisés.- Continuer à travailler étroitement avec les services déclarants afinde réduire les délais entre le diagnostic et le signalement.Commentaires : La mise en place en 2002 de la cellule tuberculose suite au pic épidémiologique enregistré cette année-là (54,1/100 000) a permis de coordonner un dispositif reposant sur le dépistage et la prise encharge précoce par les enquêtes, ainsi que sur le dépistage radiologique itinérant dans les foyers de populations migrantes et précaires (SDF). L'incidence de la tuberculose à Paris continue de décroître en 2011 avec19,6 nouveaux cas pour 100 000 habitants (22,7 en 2010). Les enquêtes sont réalisées à l'hôpital, au CMS ou par téléphone lorsque le cas n'était pas à l'hôpital.Évolution : 331 enquêtes réalisées en 2011 sur 355 demandées (428 pour 451 en 2010). Les enquêtes non réalisées sont dues à l'injoignabilité ou au refus des patients, ou à des sorties d'hôpital avant réception de lademande d'enquête (voire des fugues). Compte tenu des effectifs concernés, de faibles variations de l'indicateur ne sont pas significatives.Suivi plan d'action : Participation de la cellule au comité de pilotage régional pour fluidifier les relations avec les partenaires hospitaliers et les sensibiliser aux enquêtes afin qu'ils préparent l'arrivée des infirmièresenquêtrices avec les patients hospitalisés.Ind. 4 Coût moyen d'une vaccination 70,9 € 54 € 60 € 60 € 60 €- Développer l'activité en convoquant systématiquement les Parisienspour les rappels.- Sensibiliser les infirmières scolaires afin qu'elles relaient lemessage auprès des jeunes, sensibiliser les médecins de santé autravail pour améliorer la couverture vaccinale chez les agentsparisiens.Commentaires : Le coût moyen d'une vaccination correspond aux charges de personnel + budget de fonctionnement / le nombre d'actes vaccinations (hors tests tuberculiniques). Les tests tuberculiniques, dont lenombre a chuté suite aux recommandations de l'autorité sanitaire (-50% de 2008 à 2010), ne sont pas comptabilisés avec les actes vaccinaux.Évolution : Léger recul de l'activité en 2012 (environ -2%), en raison de la vacance d'un poste de médecin et d'un congé de maternité. En 2011, 71 945 actes vaccinaux avaient été réalisés contre 54 970 en 2010 (cetteforte augmentation de l'activité induit la diminution du coût par vaccination en 2011). Elle s'explique par un retour au fonctionnement "normal" du niveau d'activité du service de vaccination après l'épisode de la grippe A,par le renforcement de l'offre de consultation, par le développement de la vaccination contre le méningocoque de type C (+6 106 vaccins par rapport à 2010) et par le contexte épidémiologique autour de la rougeole (+ 4308 vaccins par rapport à 2010).Ind. 5Ind. 6Taux d'évolution du nombre de consultationsdépistages HIV en CDAGTaux de réponses aux dépistages de l'ADECA(Tx INSEE)-11,9 %(47 760)Colorectal :14 % (32 807)Sein : 28,5%(39 493)0,7 %(48 115)Colorectal :23% (43 263)Sein : 24,7%(40 360)+3,5 %(48 500)Colorectal :25%Sein : 30%-11,6 %(42 525)Colorectal :23% (43 200)Sein : 24,7%(40 300)=(48 500)Colorectal :25%Sein : 30%- Établir un partenariat avec les comités pour l'accueil etl'accompagnement à la réduction des risques des usagers de drogue(CARRUD). Ouvrir une nouvelle antenne CDAG rue Cavé.- Poursuivre les campagnes de communication incitant au dépistage.Commentaires : Évolution : Recul de l'activité de dépistage en 2012 consécutive à des problèmes d'effectifs : vacance de 1,2 ETP de médecin au Figuier, congé maladie de 6 mois à Belleville. L'orientation vers undépistage plus ciblé en direction des populations à risque ainsi que l'extension des dépistages à d'autres pathologies associées (IST et hépatites) s'efforce d'associer la pertinence des dépistages réalisés à une offre deconsultations en cohérence avec les attentes des patients. Pour mémoire, l'activité 2010 avait été impactée par la mobilisation du personnel médical autour de la grippe H1n1 (réquisition du personnel médical), unproblème d'effectif médical sur un centre et la fermeture du centre Ridder pour travaux.Suivi plan d'action : Conventions avec les CARRUD des associations Gaia et Ego. Antenne CDAG ouverte au pôle santé goutte d'Or en juin 2010. 5 actions délocalisées réalisées ou en cours depuis nov. 2010(populations asiatiques des 3e, 13e et 20e ardts).- Poursuivre la communication autour du dépistage du cancercolorectal.- Mener des actions territorialement ciblées de sensibilisation audépistage du cancer du sein auprès des femmes.Commentaires : Paris présente un taux de réponse au dépistage organisé inférieur à la moyenne nationale. Toutefois, pour le dépistage du cancer du sein, compte tenu de l'implication des professionnels de santé dansle cadre du dépistage individuel, le taux de couverture de la population cible est de 70%.Évolution : Les actions menées dans les 18e et 19e ardts devraient permettre une augmentation du taux de réponse. Pour le cancer colorectal, ce taux ne devrait pas augmenter en 2012 et début 2013 car un nouveautest de dépistage plus sensible doit se substituer à l'hémocult et de nombreux médecins conseillent à leurs patients d'attendre ce nouveau test pour faire le dépistage.Suivi plan d'action : Manifestations organisées dans différents arrondissements parisiens lors des mois de promotion des dépistages : "Octobre rose" pour le cancer du sein, "Flandre rose" dans le 19e ardt, "Belles,belles en rose" dans les 10e et 20e ardts, "Mars bleu" pour le cancer colorectal. Action pilote dans le quartier Flandre (20% d'augmentation de la participation sur le 4ème trimestre 2010). Travail de sensibilisation desstructures locales (Centres sociaux...) en lien avec les Ateliers Santé Ville.
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Mission 3 : Accompagner le temps <strong>de</strong> la perte d'autonomie <strong>de</strong>spersonnes âgées (suite)Ind. 6Délai médian entre le dépôt d'une <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d'ai<strong>de</strong>sociale légale (Ai<strong>de</strong> sociale à l'hébergement, Ai<strong>de</strong>ménagèrelégale) et la notification <strong>de</strong> la décisionValeur 2010 Valeur 2011NDASH : 36 joursAML : 13 joursTotal (T4) :29 joursCible 2012ajustéeCommentaires : Les délais d'instruction incluent les négociations avec les obligés alimentaires, souvent longues.Objectif 4 Accroître l'efficience <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> gestionInd. 7Ind.8Montant <strong>de</strong>s recettes <strong>de</strong>s recours sur successionset <strong>de</strong>s obligés alimentaires sur le secteur PersonnesÂgées (hors contributions <strong>de</strong>s usagers et horsrecettes <strong>de</strong> compensation <strong>de</strong> l'État)Nombre <strong>de</strong> bénéficiaires payés <strong>de</strong> l'APA à domicileet en établissement au 31 décembre(droits ouverts et pourcentage d'évolution)22 135 606 € 20 144 000 € 23 000 000 €NDDom. : 15 595Etab. : 10 238Ensemble :25 833(décembre)Participer à la prévention et promouvoir laMission 4 Valeur 2010 Valeur 2011santé <strong>de</strong>s parisiensObjectif 1 Assurer le suivi médical et social <strong>de</strong>s élèves parisiensInd. 1Taux <strong>de</strong> bilans <strong>de</strong> santé obligatoires "6ème année"réalisés dans les classes d'âge concernéesNDCible 2012ajustéeEstimation2012ASH : 39 joursAML : 18 joursTotal (9 m.) :35 jours16 700 000(au 15/10)Dom. : 15 267Etab. : 10 281Ensemble :25 548(moy. 9 mois)Estimation2012Cible 201323 000 000 €Cible 201380% 93,83% 90% 94% 90%Plan d'actionMaintenir le niveau <strong>de</strong> compétence <strong>de</strong>s gestionnaires. Réduire ledélai <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong>s dossiers en regroupant l'instruction <strong>de</strong>srecours sur patrimoine dans un seul service.Commentaires : Évolution : Le montant <strong>de</strong>s recettes est tributaire <strong>de</strong> l'importance <strong>de</strong>s successions traitées (entre 18 et 26 M€ selon les années pour les successions, qui représentent 87% <strong>de</strong>s recettes). 23 M€correspond au montant moyen <strong>de</strong>s recettes entre 2007 et 2011.Améliorer les délais <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong>s <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s.Commentaires : Hors CASVP. Évolution : Le démarrage du nouvel outil informatique Salsa n'est pas sans influence sur l'évolution du nombre <strong>de</strong> bénéficiaires, dont le renouvellement est rapi<strong>de</strong>. Les données issues dunouveau système informatique Salsa sont en cours <strong>de</strong> fiabilisation.Plan d'actionMieux répartir les tâches afférentes aux PPS et PAI avec lesservices <strong>de</strong> l'Éducation Nationale afin d'alléger le travail administratif<strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins scolaires.Commentaires : Par année scolaire (2012 = <strong>de</strong>rnier semestre 2011/1er sem. 2012). La <strong>Ville</strong> <strong>de</strong> <strong>Paris</strong> a fait le choix d'offrir un service <strong>de</strong> santé scolaire dans le 1er <strong>de</strong>gré et y consacre <strong>de</strong>s moyens humains significatifs.Évolution : Le taux constaté est élevé (près <strong>de</strong> 94% en 2011 et 2012), malgré l'augmentation importante du nombre d'enfants présentant une pathologie chronique nécessitant la délivrance <strong>de</strong> médicaments à l'école ou unprotocole d'urgence, ainsi que <strong>de</strong>s enfants en situation <strong>de</strong> handicap, qui constituent une part croissante <strong>de</strong> l'activité <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins référents. En 2010, ce taux avait baissé en raison <strong>de</strong> la forte mobilisation <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cinsdu service dans la campagne <strong>de</strong> vaccination contre la grippe H1N1.Suivi plan d'action : Le groupe <strong>de</strong> travail sur les pratiques professionnelles est en place. Le travail réalisé avec l'académie sur les pathologies chroniques (PAI) a permis <strong>de</strong> mieux répartir la part <strong>de</strong> travail administratifentre mé<strong>de</strong>cin scolaire et directeur d'école.Ind. 2Coût annuel par enfant d'un suivi en centred'adaptation psychopédagogique (CAPP)1 665 € 1 632 € 1 670 € 1 670 €1 700 €à 1 750 €Maintenir les moyens alloués aux CAPP, y compris ceux <strong>de</strong> l'État,afin <strong>de</strong> maintenir leur niveau d'activité.Commentaires : Par année scolaire (2012 = <strong>de</strong>rnier semestre 2011/1er semestre 2012), hors CAPP déficient auditif.Sous la tutelle conjointe du département et <strong>de</strong> l'académie <strong>de</strong> <strong>Paris</strong>, les dix CAPP généralistes sont <strong>de</strong>s structures <strong>de</strong> prévention qui apportent ai<strong>de</strong>, soutien et accompagnement aux enfants et adolescents en difficulté,scolarisés dans les établissements parisiens. Ils contribuent à un suivi personnalisé selon une approche pluridisciplinaire, en lien étroit avec les familles et les établissements scolaires.Évolution : Les dépenses <strong>de</strong> personnel représentent plus <strong>de</strong> 88% du coût <strong>de</strong> fonctionnement en 2011. 2 914 enfants suivis en 2012, 2 900 en 2011, 2 775 en 2010. Les moyens <strong>de</strong> l'État ont été maintenus.Suivi plan d'action : Renégociation <strong>de</strong> la convention avec l'Éducation Nationale à prévoir en 2013, avec pour objectif le maintien <strong>de</strong>s postes <strong>de</strong> l'État.105