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JOURNAL OFFICIEL - Débats parlementaires de la 4e République

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apprécier l'importance <strong>de</strong> l'effort fiscal <strong>de</strong>mandé à cette catégorie<strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins. Un argument supplémentaire est donné par <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>iren» 1177 SS du 4 juillet 1951, émanant <strong>de</strong> <strong>la</strong> direction générale<strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale (3® bureau) et qui admet que les rémunérations<strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins <strong>de</strong>s hôpitaux publics ou privés ont ce caractère d'unsa<strong>la</strong>ire et que, <strong>de</strong> ce <strong>la</strong>it, lesdits mé<strong>de</strong>cins doivent être affiliés à<strong>la</strong> sécurité sociale. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il compte remédier à cettesituation.1918. — 21 décembre 1951. — M. Jacques Vend roux <strong>de</strong>man<strong>de</strong> àM. le ministre <strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques quelles sontles dispositions existantes qui permettent aux étudiants <strong>de</strong> bénéficierd'une réduction du prix <strong>de</strong>s p<strong>la</strong>ces sur les parcours <strong>de</strong> <strong>la</strong>Société nationale <strong>de</strong>s Chemins <strong>de</strong> fer français.1941. — 22 décembre 1951. — M. <strong>de</strong> La Noe attire l'attention <strong>de</strong>M. le secrétaire d'Etat aux finances et aux affaires économiquessur les dispositions <strong>de</strong> l'arrêté n° 21933 du 17 octobre 1951 fixantle prix du sucre et prévoyant l'obligation pour les négociants <strong>de</strong>déc<strong>la</strong>rer tous stocks <strong>de</strong> sucre supérieur à 100 kg et <strong>de</strong> reverserultérieurement à une caisse <strong>de</strong> péréquation une somme qui représenteraitia différence existant entre <strong>la</strong> valeur <strong>de</strong> leurs stocks auf'rix fixé par ledit arrêté et leur valeur au prix <strong>de</strong> <strong>la</strong> campagneprécé<strong>de</strong>nte. Or, l'arrêté n» 21335 fixant le prix <strong>de</strong> <strong>la</strong> campagne1950-1951, en baisse sur le prix antérieur, stipu<strong>la</strong>it que les négociantsétaient tenus <strong>de</strong> déc<strong>la</strong>rer leurs stocks en magasin supérieursà 2.000 kg en vue d'obtenir <strong>de</strong> <strong>la</strong> caisse <strong>de</strong> péréquationle versement d'une somme qui représenterait <strong>la</strong> différence existantentre <strong>la</strong> valeur <strong>de</strong> leurs stocks au prix fixé par ledit arrêté etleur valeur au prix pratiqué antérieurement. 11 lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> : 1° commentexpliquer que l'importance <strong>de</strong>s stocks ,a déc<strong>la</strong>rer eoit fixéeô 100 kg ou à 2.000 kg, selon que <strong>la</strong> caisse <strong>de</strong> péréquation doivepercevoir ou reverser <strong>la</strong> différence existant entre les valeurs <strong>de</strong>sstocks avant ou après fixation du nouveau prix; 2° comment expliquer,par ailleurs, que le prix à <strong>la</strong> consommation fixé le 17 octobre1951 soit applicable pendant un an, alors que l'augmentation duprix <strong>de</strong> l'essence a, quelques jours après, majoré sensiblement le.prix <strong>de</strong> revient du sucre dont les frais <strong>de</strong> transport se trouvent,selon l'opinion <strong>de</strong>s négociants, augmentés <strong>de</strong> ce fait d'au moins10 p. 100.1955. — 22 décembre 1951. — M. Defferre, comme suite à <strong>la</strong> ré*jponse faite le 3.juillet 1951 à <strong>la</strong> question écrite n° 18605 et qui précise:« 4» les percepteurs nommés au titre <strong>de</strong>s emplois réservés possè<strong>de</strong>ntles mêmes possibilités normales d'avancement que leurs collèguesprovenant du recrutement civil », <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>sfinances et <strong>de</strong>s affaires économiques comment il peut admettre,étant donné cette position inattaquable <strong>de</strong> principe: 1» que les percepteursissus <strong>de</strong>s emplois réservés se trouvent rattrapés par <strong>de</strong>scollègues d'autres origines nommés dix ans après eux; 2° que <strong>la</strong> réparationqu'il juge lui-même indispensable n'ait pas encore été accordéeaux intéressés malgré leurs droits évi<strong>de</strong>nts, les réc<strong>la</strong>mationssyndicales qui ne cessent <strong>de</strong> s'amplifier <strong>de</strong>puis quatre ans et les travauxdécisifs <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission « co<strong>la</strong>s <strong>de</strong>s Francs » dont les travauxsont cependant terminés <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> six mois; 3° que leprojet <strong>de</strong> décret <strong>de</strong>vant pallier, au moins en partie, cette incohérencereconnue <strong>de</strong> l'administration elle-même, dans un rapportministériel, n'ait pas encore été soumis à sa signature.2001. — 27 décembre 1951. — M. Draveny rappelle à M. le ministre<strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaiies économiques que, dans sa réponse du9 novembre 1951 à sa question écrite n» 434, il est indiqué: Tous lespercepteurs <strong>de</strong> 4 e c<strong>la</strong>sse, quel que soit le titre auquel ils avaientobtenu leur nomination, qui se trouvaient dans les cadres aumoment <strong>de</strong> <strong>la</strong> mise en application du décret du 9 juin 1939, ontfiguré sur le tableau d'avancement applicable à l'année 1939 pour lepremier échelon <strong>de</strong> <strong>la</strong> 3 e c<strong>la</strong>sse; et lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> ce qu'il faut entendrepar n se trouvant dans les cadres », attendu que les stagiairesqui ont bénéficié <strong>de</strong> cette mesure n ont été nommés que le 30 juin1939, donc après le décret du 9 juin 1939, quoique en vertu du décretdu 7 juin 1939 et que si l'on donne à ce qui précè<strong>de</strong> un sens plus<strong>la</strong>rge, il y avait lieu d'en faire bénéficier ceux qui se trouvaientdans les cadres en <strong>la</strong> même qualité <strong>de</strong> commis (que ceux précitésreçus au concours <strong>de</strong> stagiaires du 9 décembre 1937) et qui pouvaientêtre nommés percepteurs da 4 e c<strong>la</strong>sse au titre <strong>de</strong>s emploisréservés; leur affectation à un poste comptable serait intervenue(cooTime elle l'a été d'ailleurs) dans les mêmes conditions que pourles stagiaires, le 21 août 1939.2002. — 27 décembre 1951. — M. Draveny, se référant à <strong>la</strong> réponsedonnée le 9 novembre 195i à sa question écrite n° 434, expose àM. le ministre <strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques que : seuls<strong>de</strong>s stagiaires issus d'un concours antérieur <strong>de</strong> ceux ayant éténommés <strong>de</strong> 4« c<strong>la</strong>sse le 30 juin 1939 et inscrits au tableau d'avancementpour le premier échelon <strong>de</strong> <strong>la</strong> 3 e c<strong>la</strong>sse ont bénéficié <strong>de</strong> cettemesure; mesure obligatoire si l'on vou<strong>la</strong>it conserver leur ancienneté;et iui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> lui donner les précisions <strong>de</strong>mandées dans saquestion écrite précitée telle qu'elle est posée, en mois et enjours; ou, le cas échéant, motiver par <strong>de</strong>s textes légaux el applicablesà tous les comptables quelle que soit leur origine, <strong>la</strong>différence <strong>de</strong> traitement dans l'avancement et ce pouT les agentsci-après, notamment ou moment <strong>de</strong> <strong>la</strong> nomination au premier échelon<strong>de</strong> <strong>la</strong> 2 e c<strong>la</strong>sse.Nommé percepteur <strong>de</strong> 4° c<strong>la</strong>ssepar arrêté duRappel <strong>de</strong>s services militaires(obligatoires)Ancienneté dans <strong>la</strong> 4 e c<strong>la</strong>sse<strong>de</strong> percepteurPercepteur <strong>de</strong> 2 e c<strong>la</strong>sse,1« échelon duEn <strong>de</strong>ux ans et <strong>de</strong>mi, B a rattrapéles 3 ans <strong>de</strong> servicesmilitaires <strong>de</strong> A.21 août 1939.3 ans.21 août 1936.l« r avril 1945.30 juin 1S39.Pas <strong>de</strong> servicesà rappeler.30 juin 1939,1 er juin 1945,1980. — 26 décembre 1951. —. M. Fourvel <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques <strong>de</strong> lui faire connaître lesformalités que doit accomplir un citoyen français, résidant enFrance, pour obtenir le rapatriement <strong>de</strong>s fonds virés à son comptele 7 juin 1949, dans une banque hol<strong>la</strong>ndaise.Percepteur <strong>de</strong> 2® c<strong>la</strong>sse,2 e échelonPercepteur <strong>de</strong> l re c<strong>la</strong>sse,1 er échelon1 er avril 1945.1 er janvier 1949.1 er juin 1945.;l or mai 1949.1981, — 26 décembre 1951. — Mme <strong>de</strong> Lipkowski expose à M. leministre <strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques que l'arrêtéd'application <strong>de</strong> décret n» 51-808 du 26 juin 1951 fixant le régimed'occupation <strong>de</strong> logements par les personnels civils <strong>de</strong>s établissementspublics nationaux dans <strong>de</strong>s immeubles appartenant à cesétablissements ou détenus par eux à un titre quelconque, n'a pas,à oe jour, été pris. Elle lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> quels oibstacles peuvent s'oppoeerà sa rédaction.2860. — 27 décembre 1951. — M. Draveny, se référanUà <strong>la</strong> réponsedonnée le 9 novembre 1951 à sa question écrite n» 433, <strong>de</strong>man<strong>de</strong> àM. le ministre <strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques: 1° si lestravaux visés au paragraphe 3 <strong>de</strong> <strong>la</strong> réponse du 5 juillet 1951 à <strong>la</strong>question écrite n° 2823 (Conseil <strong>de</strong> <strong>la</strong> RépubliqueJ peuvent êtremis, non seulement à <strong>la</strong> disposition <strong>de</strong> <strong>la</strong> nouvelle commission ansein <strong>de</strong> <strong>la</strong>quelle n'a siégé aucun comptable issu <strong>de</strong>s emplois réservéset nommé après le décret du 9 juin 1939, mais également A <strong>la</strong>disposition: a) d'un lésé, b) <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>de</strong>s finances <strong>de</strong>l'Assemblée nationale, c) d'un avocat au conseil d'Etat, d) d'un maître<strong>de</strong> requêtes au conseil d'Etat; 2° s'il n'estime pas qu'il serait,le cas échéant, très indiqué, pour liqui<strong>de</strong>r une situation préjudiciableà <strong>de</strong> nombreux comptables qu'il <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, conjointement avecles lésés qui pourraient présenter un pourvoi à <strong>la</strong> haute assembléed'instruire ces recours d'urgence <strong>de</strong> telle sorte que les retraitables,sous quelques mois, ne forment un pourvoi en vain.Percepteur <strong>de</strong> l r6 c<strong>la</strong>sse,2 e échelonAttend.1 er juillet 1949.2003. — 27 décembre 1951. — M. Durbet expose à M. le ministre<strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques que l'in<strong>de</strong>mnité kilométriquepayée aux fonctionnaires utilisant leur voilure personnellepour les besoins <strong>de</strong> leur service est régie par l'article 30 du décretn" 45-2248 du 4 octobre 1945, modifié, et qu'elle n'a pas été revalorisée<strong>de</strong>puis le l« avril 1949, alors que les frais couverts par cette in<strong>de</strong>mnitése sont considérablement accrus <strong>de</strong>puis cette date. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s'il est dans ses intentions <strong>de</strong> revaloriser cette in<strong>de</strong>mnité et à quelledate et à quel taux pourrait intervenir cet indispensable ajustement.2017. — 28 décembre 1951. — M. Francis Caillet <strong>de</strong>man<strong>de</strong> àM. le ministre <strong>de</strong>s finances et <strong>de</strong>s affaires économiques si dans unesociété à forme <strong>de</strong> société à responsabilité limitée dont <strong>la</strong> majorité<strong>de</strong>s parts sociales est répartie entra les associés apparentés (filiationdirecte), les émoluments perçus par <strong>de</strong>s associés col<strong>la</strong>borateursdoivent fiscalement être considérés comme « prélèvements »ou comme « sa<strong>la</strong>ires » :1° Dans le cas d'un associé gérant minoritaire;2° Dans le cas d'un simple associé.

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