11.07.2015 Views

Hiver 2011 - CSSS de Bordeaux-Cartierville - Saint-Laurent

Hiver 2011 - CSSS de Bordeaux-Cartierville - Saint-Laurent

Hiver 2011 - CSSS de Bordeaux-Cartierville - Saint-Laurent

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

L’interface ⏐ Page 4Qu’en pensele DG?Les infirmièrespraticiennes spécialiséesDaniel Corbeil, directeur généralEn entrevue avec Denise Gagnon, conseillère aux communications, le directeur généralcommente la création <strong>de</strong> 118 postes d’infirmières praticiennes spécialisées à MontréalCOMMENT ACCUEILLEZ-VOUS LA NOUVELLE À L’EFFETQUE 118 POSTES D’INFIRMIÈRES PRATICIENNESSPÉCIALISÉES (IPS) SERONT CRÉÉS À MONTRÉAL?C’est une excellente nouvelle pour le réseau <strong>de</strong> la santémontréalais, d’autant plus qu’en raison du vieillissement<strong>de</strong>s effectifs médicaux, il y a un manque flagrantd’omnipraticiens à Montréal. Notons par ailleurs quele Québec marque un certain retard par rapport àl’intégration <strong>de</strong>s IPS dans les équipes interdisciplinaires,comparativement à l’Ontario. Cependant, en Ontarioles IPS sont affectées plus particulièrement en régionséloignées, tandis qu’au Québec, elles seront répartieséquitablement entre les régions.Au Québec, il a été décidé <strong>de</strong> prioriser les services<strong>de</strong> 1 re retrouveront dans les <strong>CSSS</strong> dans les programmessuivants : soutien à domicile, services courants,programmes où l’on traite et prend en charge <strong>de</strong>sclientèles vulnérables, sans mé<strong>de</strong>cin <strong>de</strong> famille ou lesclientèles aux prises avec une maladie chronique. Tandisles groupes <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong> famille (GMF), unités <strong>de</strong>mé<strong>de</strong>cine familiale (UMF), cliniques-réseau, cliniquesréseauintégrées ou cliniques médicales privées. Afind’assurer le succès du déploiement <strong>de</strong> ces 118 IPS,l’Agence <strong>de</strong> la Santé et <strong>de</strong>s Services sociaux <strong>de</strong> Montréala mis sur pied un comité régional d’implantation.COMMENT EXPLIQUEZ-VOUS QUE LE COMITÉRÉGIONAL D’IMPLANTATION AIT PRIORISÉ NOTRE <strong>CSSS</strong>COMME MILIEU D’ACCUEIL D’UNE IPS CETTE ANNÉE?Notre <strong>CSSS</strong> est en effet l’un <strong>de</strong>s quatre centres qui aété i<strong>de</strong>ntifié comme un milieu prêt à accueillir uneIPS cette année. Cette <strong>de</strong>rnière serait jumelée à uneautre IPS qui elle, serait affectée à la clinique-réseauintégrée (CRI) Le Plein Ciel. En effet, on recomman<strong>de</strong>l’embauche minimale <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux IPS sur un territoiredonné afin <strong>de</strong> favoriser les échanges professionnels,leur permettant ainsi <strong>de</strong> mieux définir et assumer leurnouveau rôle. Notre <strong>CSSS</strong>, et ce, grâce à la présenced’une unité <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine familiale, est un milieupropice à l’enseignement, puisqu’il forme déjà <strong>de</strong>smé<strong>de</strong>cins rési<strong>de</strong>nts. Notre organisation médicalebien structurée au GMF-UMF du CLSC <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong> nous rend donc plus attrayant et apte à biensupporter l’intégration d’une IPS au sein <strong>de</strong> l’équipeinterdisciplinaire.QUELLE EST VOTRE VISION FUTURE DE LA PLACE DESIPS DANS NOTRE ORGANISATION?Non seulement nous espérons vivement que nousréussirons à recruter plus d’une IPS cette année poursoutenir l’organisation <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> 1 re ligne, maisnous sommes convaincus qu’il <strong>de</strong>vrait y en avoirégalement au niveau <strong>de</strong> l’hébergement. Nous pensonsque c’est non seulement nécessaire, mais essentiel etrequis, et nous défendrons cette position le momentvenu. Un projet expérimental <strong>de</strong>vrait débuter dansla prochaine année et nous nous sommes portésvolontaires.Nous comptons également stimuler l’intérêt <strong>de</strong>membres <strong>de</strong> notre personnel à choisir cette intéressantealternative <strong>de</strong> développement <strong>de</strong> carrière, et nousréfléchirons à <strong>de</strong>s moyens concrets pour les supporterdans cette avenue


L’interface ⏐ Page 7Pour ce faire, l’aménagement <strong>de</strong> temps <strong>de</strong> travail flexible doit<strong>de</strong>meurer une responsabilité partagée entre la personne salariée et sonsupérieur immédiat. Avant <strong>de</strong> faire sa <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, la personne salariéedoit évaluer l’impact que l’aménagement <strong>de</strong> travail pourrait avoir (enlien avec les trois aspects précisés précé<strong>de</strong>mment) afin d’en discuteravec son supérieur immédiat. La personne salariée et son supérieurimmédiat doivent donc collaborer afin <strong>de</strong> trouver, s’il y a lieu, le typed’aménagement acceptable qui permettra d’atteindre l’équilibretravail-vie personnelle désiré par la personne salariée et encouragé parl’organisation. Il s’agit donc d’un échange axé sur le consensus et nonsur le compromis.Afin <strong>de</strong> mener à bien ces nouvelles pratiques, l’ensemble <strong>de</strong>sgestionnaires responsables d’une équipe ont participé, à la fin <strong>de</strong>humaines et du développement organisationnel sur l’application <strong>de</strong> lapolitique et sur la notion <strong>de</strong> responsabilité partagée d’une <strong>de</strong>man<strong>de</strong>d’aménagement <strong>de</strong> temps <strong>de</strong> travail.En conclusion, il faut retenir que le <strong>CSSS</strong> <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong>–<strong>Saint</strong>-<strong>Laurent</strong> poursuit ses engagements découlant du Chantier RH et nousespérons que ces nouvelles orientations permettront <strong>de</strong> poursuivre nosefforts d’amélioration <strong>de</strong> la qualité <strong>de</strong> vie au travailLe DG entournéePar Louise Mercier, adjointe au directeur général etresponsable <strong>de</strong>s communicationsComme il le fait à chaque année, le directeur généraldu <strong>CSSS</strong>, Daniel Corbeil, a entrepris en janvier unetournée <strong>de</strong>s installations pour informer et discuteravec les employés <strong>de</strong>s dossiers <strong>de</strong> l’heure.fut l’occasion <strong>de</strong> tracer un bilan du Chantier RH, <strong>de</strong>présenter les projets <strong>de</strong> construction sur chacune <strong>de</strong>sinstallations et <strong>de</strong> faire le point sur notre situationfinancière.Daniel Corbeil en a également profité pour fairela promotion du spectacle organisé au profit <strong>de</strong> laFondation Gracia en faisant un tirage <strong>de</strong> six paires <strong>de</strong>billets pour le spectacle d’André-Philippe-Gagnon quiaura lieu le 6 avril


L’interface ⏐Une journéedans la vie<strong>de</strong> ...Sylvie CharleboisPar Julie Langevin, agente d’informationSYLVIE CHARLEBOIS, AUXILIAIRE FAMILIALE ETSOCIALELorsque Sylvie parle <strong>de</strong> son travail, on sentimmédiatement la passion qui l’habite. Elle aime lesgens, développer une relation <strong>de</strong> confiance et fairela différence dans le quotidien <strong>de</strong> ses clients.DES SOINS ET SERVICES ADAPTÉSL’auxiliaire familiale et sociale visite à domicileles clients et les tâches quotidiennes varient enfonction <strong>de</strong>s besoins spécifiques <strong>de</strong> chacun.Elle peut ainsi voir à l’hygiène (bain, toilette)<strong>de</strong> la personne, s’assurer que l’environnementphysique est sécuritaire ou encore ai<strong>de</strong>r à lapréparation <strong>de</strong>s repas. De plus, l’auxiliaire ayantsuivi la formation d’actes délégués peut effectuercertains soins <strong>de</strong> l’acte spécifique (documentrédigé par une infirmière renfermant les soins etmédicament administré au client). Par exemple,elle peut appliquer une crème prescrite ou encoreassurer la prise <strong>de</strong> médicament, « seulement s’ila été préalablement préparé en dosette par uneinfirmière » précise Sylvie.L’auxiliaire se déplace également afin d’offrir durépit aux aidants naturels. D’une durée d’environ<strong>de</strong> trois ou quatre heures, ce répit permet à l’aidantnaturel <strong>de</strong> quitter la maison pour faire les courses,se changer les idées ou encore pour se reposer.Pendant ce temps, l’auxiliaire crée une interactionavec le client. Procurer certains soins, faire unepromena<strong>de</strong>, jaser en prenant un café sont <strong>de</strong>sexemples d’activités qui permettent à la personne<strong>de</strong> se changer les idées et <strong>de</strong> se sentir moins seule.Pour grand nombre d’entre eux, l’auxiliaire familialeet sociale <strong>de</strong>vient <strong>de</strong> la visite attendue, un momentprécieux d’échange.UN LIEN DE CONFIANCE À ÉTABLIRForte <strong>de</strong> ses dix ans d’expérience dans ce domaine,Sylvie possè<strong>de</strong> la confiance et l’assurancenécessaires pour faire face aux craintes <strong>de</strong>s familleset <strong>de</strong>s aidants naturels. « Ce n’est pas toujours facile<strong>de</strong> prendre sa place, car la famille ou l’aidant naturelessaie parfois <strong>de</strong> tout contrôler » affirme Sylvie. « Ilfaut alors prendre le temps <strong>de</strong> les rassurer et <strong>de</strong> leurmontrer que nous savons ce que nous faisons, quenous sommes là pour les ai<strong>de</strong>r ».De plus, les auxiliaires familiales et sociales fontface au caractère multiethnique <strong>de</strong> la population<strong>de</strong> notre territoire. « Je voyage sans voyager, c’esttrès intéressant d’apprendre <strong>de</strong> nouvelles cultures! »confie Sylvie. Toutefois, l’ouverture d’esprit et lerespect sont <strong>de</strong>ux qualités essentielles, car lesinterventions doivent s’arrimer avec la culture duclient.« Pour faire ce travail, il faut aimer les gens, avoir unebonne écoute et être discret quant aux confi<strong>de</strong>ncesreçues ». Pour Sylvie, le plus important dans sontravail, c’est d’apporter du bien-être, <strong>de</strong> la douceuret du soutien moral et psychologique au client. Ils’agit donc d’un véritable travail <strong>de</strong> cœur


Lucienne Gélinas Renaud, cliente du programme <strong>de</strong> soutienà domicile et Sylvie Charlebois, auxiliaire familiale et socialeL’interface ⏐ Page 11


L’interface ⏐LaSI-RSIPAPar Lucie Blain, directrice <strong>de</strong>s services auxpersonnes en perte d’autonomieUn projet d’envergure amorcé cette année asollicité l’implication <strong>de</strong> plusieurs directionsau <strong>CSSS</strong> : le déploiement <strong>de</strong> la solutioninformatique du réseau <strong>de</strong> services intégréspour les personnes âgées (SI-RSIPA).Ménouar BendaliDiane Courchesneune structure <strong>de</strong> projet locale sous la responsabilité <strong>de</strong> la Direction <strong>de</strong>s services aux personnes en perte d’autonomie(DSPPA). Diane Courchesne, chargée <strong>de</strong> projet, a eu à relever un défi <strong>de</strong> taille : celui <strong>de</strong> déployer l’outil informatisé dansinformationnelles et co-chargé <strong>de</strong> projet, a assuré la bonne marche <strong>de</strong>s travaux pour le volet informatique.HISTORIQUE DU PROJETConformément aux orientations ministérielles etrégionales, les <strong>CSSS</strong> <strong>de</strong> Montréal se sont engagés à mettreen place les composantes d’un réseau <strong>de</strong> services intégréspour les personnes âgées. Une <strong>de</strong> ces composantesconsiste à déployer un outil informatique permettant auxprofessionnels œuvrant auprès <strong>de</strong>s personnes âgées <strong>de</strong>compléter en version électronique <strong>de</strong>s outils cliniquesdéjà utilisés (l’outil <strong>de</strong> repérage <strong>de</strong> perte d’autonomie« Prisma 7 », l’outil d’évaluation multiclientèle (OÉMC) etun système <strong>de</strong> classification <strong>de</strong>s besoins selon <strong>de</strong>s profilstypes d’autonomie fonctionnelle (Iso-SMAF)).RAISONS D’ÊTRE DU LOGICIELLa première phase du projet vise à déployer la solutioninformatique (SI-RSIPA) en mo<strong>de</strong> intra-établissement auxintervenants impliqués dans le repérage, l’évaluation <strong>de</strong>sbesoins <strong>de</strong>s personnes âgées (clientèle visée par le projet).Il permet l’accès à l’écran aux données cliniques et faciliteainsi l’échange d’information et les décisions relatives auxservices à rendre à la clientèle.Tous les professionnels du programme du soutienà domicile et <strong>de</strong>s ressources non institutionnelles(ressources intermédiaires (RI) et unité transitoire <strong>de</strong>récupération fonctionnelle (UTRF)) ont été formés surles outils cliniques précités et, par la suite, sur l’outilinformatique.L’achat d’ordinateurs portables permet aux intervenants<strong>de</strong> compléter les outils cliniques à domicile ou dansla ressource non institutionnelle et <strong>de</strong> poursuivre leurrédaction au bureau, sur leur ordinateur fixe. Ainsi, unmé<strong>de</strong>cin ou un intervenant d’un centre <strong>de</strong> jour du <strong>CSSS</strong>peut avoir accès rapi<strong>de</strong>ment à l’évaluation <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong>la clientèle et au profil Iso-SMAF en mo<strong>de</strong> lecture en touttemps.AVANTAGES POUR LA CLIENTÈLE Diminution <strong>de</strong> la nécessité <strong>de</strong> répéter lesinformations, et ce, à chaque étape du processus <strong>de</strong>saisie <strong>de</strong>s données et à chaque nouvel intervenant. Meilleure continuité <strong>de</strong>s soins et services par unpartage <strong>de</strong> l’information plus efficace.AVANTAGES POUR LES INTERVENANTS Réduction <strong>de</strong>s opérations. Diminution du temps <strong>de</strong> saisie <strong>de</strong>s informations. Amélioration <strong>de</strong> la circulation <strong>de</strong>s informations entreles intervenants du <strong>CSSS</strong>. Diminution <strong>de</strong>s délais d’intervention par unecirculation plus rapi<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’information entre lesdifférents acteurs.AVANTAGES POUR LE RÉSEAU Disponibilité <strong>de</strong> données pour soutenir laplanification <strong>de</strong>s services au plan local, régional etprovincial. Intégration prévue dans le DCI (dossier cliniqueinformatisé).


L’interface ⏐ Page 13ÉTAPES FRANCHIESAu 31 décembre 2010, 99 utilisateurs <strong>de</strong>s programmes ciblés au <strong>CSSS</strong> ontété formés à la solution informatique RSIPA incluant <strong>de</strong>s gestionnaires,<strong>de</strong>s professionnels, du personnel <strong>de</strong> soutien, du personnel du Serviceaccueil /archives. À ce jour, plus <strong>de</strong> 150 usagers ont eu une évaluationOEMC complétée dans le logiciel. Nous sommes à renforcer l’utilisation <strong>de</strong>sordinateurs portables au domicile <strong>de</strong>s usagers.ÉTAPES À VENIR• Planification du déploiement dans les autres secteurs du <strong>CSSS</strong>; hôpital<strong>de</strong> jour, hébergement, services posthospitaliers <strong>de</strong> réadaptationRemerciementsJe tiens à remercier et à soulignerl’engagement et la compétence<strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux chargés <strong>de</strong> projet DianeCourchesne et Ménouar Bendaliainsi que la précieuse collaborationdu Service accueil/archives .Le travail d’équipe et <strong>de</strong>collaboration <strong>de</strong>s différentesdirections impliquées ont fait lesuccès <strong>de</strong> ce projet.Sur le vif!Françoise Cottrez, travailleuse sociale du programme <strong>de</strong> soutien à domicile« La SI-RSIPA au quotidien élimine <strong>de</strong>s formulaires papiers à remplir à la main.Il est plus rapi<strong>de</strong> avec le temps <strong>de</strong> remplir les données <strong>de</strong> façon informatique.Lors <strong>de</strong>s réévaluations, il y a un avantage marquant au niveau <strong>de</strong> la révision <strong>de</strong>sdonnées qui sont déjà présentes et quel'on peut modifier d'un « clic ». C'est unefaçon conviviale et rapi<strong>de</strong> d'envoyer notreévaluation par courriel à un partenaire duréseau, principalement en ce qui a trait aux<strong>de</strong>man<strong>de</strong>s d'hébergement. C'est en utilisantles outils informatiques que nous pouvonsles améliorer. »Françoise CottrezSuzie Bilo<strong>de</strong>au, ergothérapeute du programme <strong>de</strong> soutien à domicile« Ce que j’aime avec le système informatisé RSIPA, c’est la rapidité <strong>de</strong> consultationen raison <strong>de</strong> la clarté <strong>de</strong>s informations. Également, comme le système exige que l’onSuzie Bilo<strong>de</strong>auentre toutes les informations, le dossier est toujours complet, ce qui n’est pas toujoursle cas avec un dossier papier. Parce qu’on leur explique les avantages du dossierinformatisé, les clients que nous visitons sont très collaborateurs quand vient le temps <strong>de</strong> vali<strong>de</strong>r les informations contenuesau dossier. Je complète toujours le dossier directement sur mon portable avec le client à domicile. La seule information queje finalise en revenant au bureau c’est la partie touchant la synthèse <strong>de</strong> mon évaluation professionnelle suite à ma visite.Pour moi, la SI-RSIPA c’est un plus dans l’organisation <strong>de</strong> mon travail. »Diane Courchesne, coordonnatrice à l’intégration <strong>de</strong>s services« L’implantation <strong>de</strong> la SI-RSIPA a été dès le départ un défi intéressant. Défi, tout particulièrement en raison <strong>de</strong>s délais quinous étaient impartis. Il a fallu valser à trois et se revirer sur un dix sous, car le projet touchait également la Direction <strong>de</strong>sressources informationnelles et la Direction <strong>de</strong>s services professionnels et diagnostiques. Comme gestionnaire, c’est unprojet qui m’a beaucoup touchée, puisque j’ai eu une réponse et un engagement extraordinaires autant <strong>de</strong> la part <strong>de</strong> mescollègues que <strong>de</strong>s intervenants qui se sont impliqués avec moi. Nous avons atteint les objectifs recherchés et même un peuplus, et ce, dans les délais exigés; alors je peux dire fièrement, mission accomplie! »


L’interface ⏐ Page 14Les suites du Chantierun premierbilan positifPar Denise Gagnon, conseillère aux communications, en collaboration avec Jean-Philippe Ferland,directeur <strong>de</strong>s ressources humaines et du développement organisationnelDans le cadre du Chantier RH, l’organisation s’estengagée à prendre <strong>de</strong>s mesures afin d’être reconnuecomme un employeur <strong>de</strong> choix. Pour ce faire, neufengagements ont été i<strong>de</strong>ntifiés. La tournée duDG tenue en janvier <strong>de</strong>rnier aura été une occasionprivilégiée <strong>de</strong> faire le point sur l’avancement <strong>de</strong> cesengagements.RAPPEL DES NEUFENGAGEMENTSRAPPEL DES ENJEUX LIÉS AUCHANTIER RHPénurie <strong>de</strong> main-d’œuvre grandissante.Préoccupation <strong>de</strong> l’organisation quant auximpacts négatifs sur l’accessibilité et la qualité<strong>de</strong>s soins et <strong>de</strong>s services à la population.Démarche proactive entreprise par la Directiongénérale pour être reconnu comme employeur<strong>de</strong> choix.1. Améliorer le processus <strong>de</strong> recrutement. qui intègrent notre organisation, un nouveausecteur d’activité ou un nouveau service.3. Faciliter la conciliation travail et vie personnelle.4. Développer le personnel en fonction <strong>de</strong>sbesoins organisationnels, professionnels etindividuels.5. Reconnaître la valeur <strong>de</strong>s personnes, la qualitéet leur contribution dans le travail ainsi que lesrésultats obtenus par l’entremise <strong>de</strong> moyensvariés.6. Réviser l’organisation du travail pour optimiserl’efficacité et l’efficience <strong>de</strong>s employés etaméliorer l’accessibilité aux services.7. Définir notre image d’employeur.8. Améliorer la qualité <strong>de</strong> vie au travail. changement.On remarque que la presque totalité <strong>de</strong>splusieurs, sont déjà réalisés. Certes, il reste encoredu travail à faire, mais nous pouvons être satisfaits<strong>de</strong> la progression <strong>de</strong>s travaux. Ces engagementsfont suite à une démarche <strong>de</strong> consultation auprès<strong>de</strong> l’ensemble du personnel sur les quatre axestravail, développement <strong>de</strong>s compétences etreconnaissance.LES PRINCIPAUX ENGAGEMENTSÀ SURVEILLER EN <strong>2011</strong> Poursuivre la réalisation <strong>de</strong>s programmesd’accueil et d’intégration dans les différentesdirections. Appliquer la politique conciliation travail - viepersonnelle dans l’ensemble <strong>de</strong> l’organisation. Revoir l’organisation du travail afin <strong>de</strong> mieuxavoir recours au personnel en place. Élaborer et diffuser le plan <strong>de</strong> développement et<strong>de</strong> maintien <strong>de</strong>s compétences pour les annéesLes travaux du Chantier RH ont permis d’i<strong>de</strong>ntifierdifférentes pistes qui ai<strong>de</strong>nt le <strong>CSSS</strong> à recruterdavantage et qui incitent les nouveaux employés àpoursuivre leur carrière chez nous.Ce qu’il est important <strong>de</strong> retenirÊtre reconnu comme un employeur <strong>de</strong> choix a étéi<strong>de</strong>ntifié comme une priorité <strong>de</strong> l’organisation, c’estl’affaire <strong>de</strong> tous! Comme l’a mentionné le directeur<strong>de</strong>s ressources humaines et du développementorganisationnel lors <strong>de</strong> la tournée du directeurgénéral : « Soyons fiers <strong>de</strong> ce que nous avons accomplicollectivement jusqu’à présent. Vouloir <strong>de</strong>venirun employeur <strong>de</strong> choix, c‘est d’avoir le courage <strong>de</strong>s’avouer que tout n’est pas parfait, mais c’est surtout <strong>de</strong>viser à le <strong>de</strong>venir »


L’interface ⏐ Page 15Une offre <strong>de</strong> service amélioréepour les personnesdiabétiquesEn entrevue avec Denise Gagnon, conseillère aux communications, Christiane Bergeroncoordonnatrice et nutritionniste du Centre d’enseignement sur le diabète, décritsommairement cette offre <strong>de</strong> serviceterritoire peut compter sur un nouveau centred’enseignement sur le diabète, situé au CLSC <strong>de</strong><strong>Saint</strong>-<strong>Laurent</strong>. Un effet positif concret lié à la décision<strong>de</strong> la région <strong>de</strong> Montréal <strong>de</strong> prioriser la gestion <strong>de</strong>smaladies chroniques.QU’EST-CE QU’UN CENTRE D’ENSEIGNEMENTSUR LE DIABÈTE?Dans un centre d’enseignement sur le diabète, unepersonne diabétique du territoire ou référée parun mé<strong>de</strong>cin du territoire, a droit à un programmestructuré qui lui donne accès à une équipe <strong>de</strong>professionnels <strong>de</strong> la santé. L’équipe <strong>de</strong> notre <strong>CSSS</strong>est composée d’une coordonnatrice nutritionniste,d’une infirmière et d’une kinésiologue qui travaillent<strong>de</strong> concert avec le mé<strong>de</strong>cin traitant. Le programmedans lequel la personne s’engage dure <strong>de</strong>ux ans. Il lui permet <strong>de</strong> mieux comprendre samaladie, mais surtout il vise à lui enseigner <strong>de</strong> meilleures habitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> vie en vue <strong>de</strong> retar<strong>de</strong>rl’évolution du diabète. Le contrôle du poids, combiné à une activité physique régulière et àQuelques donnéesintéressantes Estimation <strong>de</strong> 7 500personnes diabétiques surle territoire, 50 % <strong>de</strong> cespersonnes sont connueset reçoivent <strong>de</strong>s servicesmédicaux. Taux <strong>de</strong> prévalence dudiabète pour les personnesâgées <strong>de</strong> 20 ans et plus: 8 %. Taux <strong>de</strong> prévalence dudiabète pour les personnesâgées <strong>de</strong> 65 ans et plus :18.9 %.e Notre <strong>CSSS</strong> est au 2 rang<strong>de</strong>s <strong>CSSS</strong> <strong>de</strong> Montréalpour le nombre <strong>de</strong>personnes diabétiquesâgées <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 65 ans.L’ÉQUIPEVotre nutritionniste : ChristianeBergeronVotre infirmière : Michelle Brissette(au début du programme lesinfirmières étaient Gina Colucci etMarie-Josée Dionne)Votre kinésiologue : Cindy KwanPour en savoir plusLe centre d’enseignement sur lediabète est situé au CLSC <strong>de</strong> <strong>Saint</strong>-<strong>Laurent</strong>. Pour comman<strong>de</strong>r <strong>de</strong>sformulaires <strong>de</strong> référence médicaleou pour toute information sur leprogramme, composezÀ QUELLE CLIENTÈLE CE SERVICE S’ADRESSE-T-IL?Ce service s’adresse principalement aux personnes ayant soit une glycémiemarginale, une intolérance au glucose, soit un diabète diagnostiquétraité par l’alimentation ou par médication orale, avec une hémoglobineglyquée (test sanguin réflétant la moyenne du taux <strong>de</strong> sucre <strong>de</strong>s 3 <strong>de</strong>rniersmois) égale ou inférieure à 8. Sa valeur normale étant entre 4 et 6.UNE PARTICULARITÉ TERRITORIALECe type <strong>de</strong> service est basé sur une approche populationnelle. On sait quesur notre territoire on a un taux élevé <strong>de</strong> diabétiques, notamment parceque l’on a une importante communauté pluriethnique dont plusieurs ontdavantage <strong>de</strong> prédisposition à développer le diabète.QUE COMPREND LE PROGRAMME?Le programme comprend six rencontres individuelles avec la nutritionniste,trois cours <strong>de</strong> groupe offerts <strong>de</strong> jour ou <strong>de</strong> soir avec la nutritionniste,l’infirmière et la kinésiologue, le pharmacien au besoin, en anglais ou enfrançais. Une rencontre avec l’infirmière au départ puis un suivi médical parson mé<strong>de</strong>cin traitant


L’interface ⏐ Page 16Le partenariaten action!Par Manon Boily, organisatrice communautaire<strong>Cartierville</strong> fait connaissance » organisé par le ConseilLocal <strong>de</strong>s Intervenants Communautaires (CLIC) <strong>de</strong>Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong>. L’objectif<strong>de</strong> ce moment privilégiéétait <strong>de</strong> permettre à tous lesintervenants du quartier, qu’ilssoient enseignants, agentsd’accueil ou <strong>de</strong> développement,intervenants communautaires,conseillers, professionnels <strong>de</strong>la santé et <strong>de</strong>s services sociauxou autres, <strong>de</strong> mieux connaîtreles divers services offerts auxcitoyens sur notre territoirepar les nombreuses organisations. Mieux se connaîtred’optimiser la référence entre les organisations et <strong>de</strong> faire<strong>de</strong> notre quartier un lieu d’accueil chaleureux et efficacepour tous les citoyens dans le besoin.La soirée a permis à 137 personnes <strong>de</strong> 37 organisationsdifférentes <strong>de</strong> vivre une première expérience <strong>de</strong> «speeddating» professionnel dans laquelle les intervenants,placés <strong>de</strong>ux par <strong>de</strong>ux, ont quatre minutes biencomptées pour faire plus ample connaissance et ainsibriser la glace pour poursuivre la conversation <strong>de</strong> façonplus informelle durant le repas ainsi que l’occasion <strong>de</strong><strong>de</strong>s organismes communautaires et <strong>de</strong>s établissements<strong>de</strong>sservant la population <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong>. Unesoirée riche en découvertesou redécouvertes, <strong>de</strong> prise <strong>de</strong>conscience et <strong>de</strong> contact pourétablir <strong>de</strong> nouveaux partenariats.Le comité organisateur <strong>de</strong>l’événement « Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong> fait connaissance »remercie le personnel du <strong>CSSS</strong>pour sa contribution au succès<strong>de</strong> ce premier événement dugenreCOMITÉ ORGANISATEURDjamila Benab<strong>de</strong>lka<strong>de</strong>r, conseillère en partenariat àImmigration Québec, Nord <strong>de</strong> MontréalManon Boily, organisatrice communautaire au <strong>CSSS</strong> <strong>de</strong>Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong>–<strong>Saint</strong>-<strong>Laurent</strong>Valérie Michaud, coordonnatrice du projet Un milieuouvert sur ses écolesValérie Savard, adjointe à la direction au CarrefourJeunesse-Emploi ABCNathalie Fortin, coordonnatrice du CLIC <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux-<strong>Cartierville</strong>


L’interface ⏐ Page 17ChroniqueDroits au butPar France Desroches, commissaire locale auxplaintes et à la qualité <strong>de</strong>s servicesINFORMER LES USAGERS SUR LEURS DROITS : TOUT UN DÉFI !« Je ne savais même pas que j’avais ce droit! »La Loi sur les services <strong>de</strong> santé et les services sociaux prévoit plusieurs droits aux usagers.France DesrochesComment s’assure-t-on que l’usager est dans un premier temps informé qu’il a <strong>de</strong>sdroits en matière <strong>de</strong> santé, droits qu’il peut revendiquer? Ce sujet revient régulièrementsur la table en raison du mandat du commissaire aux plaintes et <strong>de</strong>s comités <strong>de</strong>s usagers <strong>de</strong> faire la promotion <strong>de</strong>s droitset <strong>de</strong> renseigner les usagers sur leurs droits.Ce sujet est assez important pour avoir récemment faitl’objet d’un avis du Commissaire à la santé et au bienêtredu Québec. Cet organisme qui a « pour missiond’apporter un éclairage pertinent au débat public età la prise <strong>de</strong> décision gouvernementale dans le but <strong>de</strong>contribuer à l’amélioration <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong> santé et <strong>de</strong> bien-être<strong>de</strong>s Québécoises et <strong>de</strong>s Québécois » a, en effet, mené unevaste consultation auprès <strong>de</strong>s citoyens et <strong>de</strong>s acteurs liésau domaine <strong>de</strong> la santé relativement à l’information surles droits.Ces constats, conclusions et recommandations ont« Informer <strong>de</strong>s droits et sensibiliser aux responsabilités enmatière <strong>de</strong> santé » .La concertation entre les divers acteurs du secteur <strong>de</strong>la santé tout comme la participation citoyenne auxinstances publiques comme à un niveau plus individuelse dégagent comme étant <strong>de</strong>s principes fondamentauxau cœur <strong>de</strong> l’activité d’information et <strong>de</strong> sensibilisationaux droits.Ce rapport permet <strong>de</strong> mettre en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong>s élémentsqui nuisent à l’actualisation et à l’application <strong>de</strong>s droits.Entre autres obstacles, mentionnons :1. les interprétations diverses données aux droits par la complexité <strong>de</strong> l’organisation du système <strong>de</strong>santé surtout pour les groupes et les personnes3. la notion d’accompagnement <strong>de</strong> l’usager qui estperçue comme un irritant.Un point important a retenu l’attention, soit le besoind’adapter la prestation <strong>de</strong>s soins et services aux réalités<strong>de</strong>s individus plutôt que cette adaptation ne repose quesur l’usager.Le commissaire à la santé a émis neuf recommandationsréparties dans quatre champs d’actions, et ce, afin queles activités d’information et <strong>de</strong> sensibilisation puissentporter fruits et permettre aux usagers d’actualiser leursdroits lors <strong>de</strong> la prestation <strong>de</strong> services.1234Mettre en oeuvre <strong>de</strong>s pratiques efficacesd’information et <strong>de</strong> sensibilisationSoit adapter l’information aux besoins <strong>de</strong>s usagerscar elle <strong>de</strong>meure souvent inadéquate, tant pour cequi est <strong>de</strong> la forme que du contenu.Optimiser certaines pratiques et structuresexistantes pour permettre une meilleureactualisation <strong>de</strong>s droits et <strong>de</strong>s responsabilités ensantéEntre autres, améliorer les structures en place ausein <strong>de</strong>s établissements, notamment au niveau durégime d’examen afin <strong>de</strong> modifier la perception <strong>de</strong>la plainte et l’utiliser comme outil d’amélioration.Valoriser certaines ressources dans leur travaild’information et d’accompagnementSoutenir les intervenants et les gestionnairesafin <strong>de</strong> favoriser <strong>de</strong>s pratiques quis’inscrivent dans une culture <strong>de</strong>s droits et <strong>de</strong>sresponsabilitésCe rapport est précieux, et ses recommandations unlevier important pour planifier nos activités futures<strong>de</strong> promotion <strong>de</strong>s droits. Nous vous en avons donnéun trop bref aperçu, nous vous invitons à le consulteren ligne au www.csbe.gouv.qc.ca dans la sectionpublications


L’interface ⏐ Page 18De nouveauxbacs bleus<strong>de</strong> recyclage!Par Denise Gagnon, conseillère aux communications, en collaborationavec Michel Prairie, chef <strong>de</strong> secteur salubrité/sécurité/stationnementUne excellente nouvelle pour notre <strong>CSSS</strong> qui a prisÉcomunicipalité IGA nous a octroyé une subvention(plastique – verre –métal).Notre <strong>CSSS</strong> génère <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s quantités <strong>de</strong> matièresrésiduelles dont une majorité est valorisable. Notremétal. Les bacs seront installés sous peu dans <strong>de</strong>semplacements visibles sur la majorité <strong>de</strong> nos sites.Merci au Fonds Écomunicipalité-IGA qui nous ai<strong>de</strong> àfranchir un pas <strong>de</strong> plus au plan du développementdurableBilan <strong>de</strong> lacampagne <strong>de</strong>vaccinationantigrippale : unrésultat acceptable!Par Denise Gagnon, conseillère aux communicationsLa campagne <strong>de</strong> vaccination antigrippale, tant àl’interne qu’à l’externe, n’a pas donné d’aussi bonsrésultats que celle contre la pandémie <strong>de</strong> grippemême convenables, si l’on tient compte du fait quenos données sont partielles, dans la mesure où lepersonnel et les usagers souvent se font vaccinerauprès <strong>de</strong> leur mé<strong>de</strong>cin <strong>de</strong> famille ou du CLSC <strong>de</strong> leurterritoire <strong>de</strong> rési<strong>de</strong>nceEN CHIFFRESClientèles externes : domicile (SAD)Coup <strong>de</strong> cœur…Acceptation d’un projet <strong>de</strong> recherche surles maladies chroniquesPar Denise Gagnon, conseillère auxcommunicationsDans le cadre du programme <strong>de</strong> subventions <strong>de</strong> recherche en partenariat avec le MSSS et la compagnie PfizerCanada Inc., un projet ayant pour titre Mise en œuvre d’un réseau intégré <strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong> gestion du risquecardiométabolique en première ligne à Montréal a été accepté par le conseil d’administration du Fonds <strong>de</strong> larecherche en santé du Québec (FRSQ). Six <strong>CSSS</strong> <strong>de</strong> la région <strong>de</strong> Montréal sont impliqués, dont le nôtre, ainsi quela Direction <strong>de</strong> santé publique et la Direction <strong>de</strong>s affaires médicales et universitaires <strong>de</strong> l’Agence. La <strong>de</strong>man<strong>de</strong><strong>de</strong> subvention a été jugée exemplaire à plusieurs égards et <strong>de</strong> calibre international. Nous avons mis en place unsur la problématique <strong>de</strong> l’hypertension. Une excellente nouvelle pour la population <strong>de</strong> notre territoire


L’interface ⏐Geneviève Hotte, prési<strong>de</strong>nte du conseil d’administration, Daniel Corbeil, directeur général, Pierre Prud’homme, responsable ducomité solidarité-partage <strong>de</strong> la communauté Les Oblates franciscaines <strong>de</strong> <strong>Saint</strong>-Joseph et les récipiendairesLes bourses Marie-Anne-LavalléePar Lise Lamontagne, coordonnatrice par intérim <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong>recherche et <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong>s connaissancesLe 1 er e remise <strong>de</strong>scommunauté Les Oblates franciscaines <strong>de</strong> <strong>Saint</strong>-Joseph et la Fondation Gracia soutiennent l’accèsà <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s universitaires pour les employés du<strong>CSSS</strong> et favorisent la réalisation <strong>de</strong> projets d’étu<strong>de</strong>ssupérieures au sein du <strong>CSSS</strong>. Nous tenons à lesremercier chaleureusement <strong>de</strong> leur appui.54 à <strong>de</strong>s employés du <strong>CSSS</strong>Outre la pertinence <strong>de</strong> leurs étu<strong>de</strong>s pour le <strong>CSSS</strong>,le comité d’évaluation a souligné leur gran<strong>de</strong>détermination et le haut niveau d’engagement <strong>de</strong> cespersonnes au sein <strong>de</strong> l’établissement. Les membresdu comité tenaient donc à les encourager dans lapoursuite <strong>de</strong> leur projet d’étu<strong>de</strong>s.Un <strong>de</strong>rnier mot pour remercier les membres ducomité d’évaluation qui ont étudié avec rigueurl’ensemble <strong>de</strong>s dossiers présentésQUI SONT LES RÉCIPIENDAIRES 2010-<strong>2011</strong>?Tanya AriasInfirmière scolaire à l’Écolesecondaire <strong>Saint</strong>-<strong>Laurent</strong>Mau<strong>de</strong> Boisvert-FrigonTravailleuse socialeCaroline ChantalInfirmière clinicienne soinsà domicileMarie LahayeConseillère cadreLorie Lord-FontaineConseillère ensoutien technique etdéveloppement <strong>de</strong>scompétencesNadia MaddalenaConseillère cadreSamia TohméConseillère cadreGisèle WassuInfirmière chef d’unitéCertificat d’étu<strong>de</strong>s individualiséesavec concentration santé mentaleDiplôme d’étu<strong>de</strong>s supérieuresspécialisées (DESS) en planificationterritoriale et développement localBaccalauréat en sciences infirmièresDiplôme d’étu<strong>de</strong>s supérieuresspécialisées (DESS) en prévention etcontrôle <strong>de</strong>s infectionsMicroprogramme en développement<strong>de</strong>s pratiques infirmièresMicroprogramme en développement<strong>de</strong>s pratiques infirmièresMaîtrise en sciences infirmièresMaîtrise en sciences infirmièresLauralie RichardCandidate au doctorat en sciences infirmièresEt félicitations à nos boursières!


514 331-4094André-Philippe GagnonBillets35 $, 50 $, 70 $, 100 $En vente présentementen spectacle à la salle André-MathieuSpectacle-bénéficeau profit <strong>de</strong> lawww.fondationgracia.comLe mercredi 6 avril <strong>2011</strong> à 20 h

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!