Avec la disparition du général Bigeard la F.N.C.V. perd le ... - fncv.com

La FNCV vous informe (suite)NOS NOUVEAUX PRÉSIDENTS DÉPARTEMENTAUX EN 2010SEINE-ET-MARNE :Lors de leur congrès départementaldu 13 mars 2010, les membres de lasection de Seine-et-Marne ont élu unnouveau président départemental, en lapersonne du colonel Jean-Pierre LAR-REUR. Il succède ainsi à Jacques FER-COQ, qui avait bien voulu accepter laprésidence par intérim après le décès duregretté Jacques SCHALLER en janvier2009. Jean-Pierre LARREUR est unancien d’AFN.HAUTE-GARONNE - SUD :Notre vice-président national, Jean-Claude ADRIAN, a été élu président dela section FNCV de Haute-Garonne Sud(31-00), lors de la réunion de bureauorganisée le 17 mars dernier. Jean SEIL-HAN, auquel il succède, a été nomméprésident honoraire de la section enremerciement des nombreux servicesqu’il a rendus.GIRONDE :Samedi 20 mars 2010, les adhérentsde la FNCV de Gironde se sont réunis enassemblée générale à Saint-Médarden-Jalles.C’est à cette occasion queGeorges CIPREO, président départementaldepuis 2004, a exposé les raisons pourlesquelles il ne souhaitait pas se représenter.Marcel MAUDUIT, ancien d’AFN,déjà actif au sein de la section puisquetrésorier de celle-ci, élu par l’ensembledes membres présents, devient ainsi lenouveau président départemental.ARDÈCHE :Lors de la réu nion des responsables dela section de l’Ardèche des CombattantsVolon taires, convoqués le 17 avril 2010, enprésence de Jean-Baptiste SCELLES,vice-président national représentant lebureau fédéral, et de trois autresmembres de la section de la Drôme,Maurice LESIEUR, ancien d’Indochine,de Corée et d’AFN, a accepté la présidencedépartementale, tout en précisantque son état de santé ne lui permettraitmalheureusement pas d’assurer cettefonction bien longtemps. Cette électionsurvient après que le président RogerMEJEAN ait été contraint de démissionner,également pour des raisons desanté.ISÈRE :Gabriel CHANRON, adhérent de puis1986 à la FNCV, secrétaire-trésorierdépartemental de l’Isère, ancien d’Indochine,a été élu président départementalle 22 avril dernier, lors de l’assembléegénérale de la section. Il succède àElisabeth BRUN qui avait accepté cettelourde responsabilité par intérim, aprèsle décès soudain du regretté pré sidentGeorges DURAND, survenu le 12 juillet2009.LOT-ET-GARONNE :Suite au décès de Maurice TURLAN enmars 2010, les mem bres de la sectionFNCV du Lot-et-Ga ronne, réunis en as -semblée générale ex tra ordinaire le sa medi27 avril 2010, ont élu un nouveau présidentdé partemental, en la personne de RolandDAYNAC, ancien d’AFN.VOSGES :Le même jour, à l’opposé de laFrance, au cours de leur assemblée gé -nérale, les mem bres de la section FNCVdes Vosges ont entériné la décision priselors de la réunion du conseil d’administrationdu 10 septembre 2009, nommantofficiellement le lieutenant-colonel (er)Marc MARTINEZ, nouveau présidentdépartemental. Ancien d’AFN, il succèdeà René CHARRIER, qui a demandé àêtre relevé de ses fonctions pour raisonde santé.HAUTE-MARNE :Paul ZAHND, président départementalde la FNCV de Haute-Marne depuisde très longues années, n’a pas souhaitése représenter lors de l’assembléegénérale de la section, le 2 mai 2010,ceci pour raison de santé. Après appel àcandidature, Jacques MONGINOT aaccepté le poste de « président de transition» afin de ne pas laisser la sectionsans responsable.***Bienvenue aux nouveaux présidentsdépartementaux qui ont bien vouluassumer cette lourde charge et un grandmerci à leurs prédécesseurs pour lesservices qu’ils ont rendu à la FNCV.Nous n’oublions pas les trois présidentsqui nous ont malheureusement quittésaprès une longue et douloureusemaladie.RÉFLEXIONSDe ma jeunesse à aujourd’hui…Comment avons-nous pu survivre ? Notre jeunesse, les autres, ils ne pourront pas comprendre. L’enfance dansles années cinquante et plus. En regardant en arrière, c’est un miracle que l’on ait réussi à subsister. Nous nouspromenions en auto, sans ceinture de sécurité ni airbags pour nous protéger. Lorsque nous partions à bicyclette,nous n’avions pas de casque de sécurité. On buvait de l’eau au tuyau d’arrosage ! Horreur !Notre liberté était totale. Imaginez donc cela, pas de téléphone portable ! Personne ne pouvait nous joindre dela journée : c’est inouï. On se battait entre nous, on avait des bleus. Ce n’était pas un drame… Et lorsque nousétions punis, nous n’allions pas faire brûler une voiture ou deux. On mangeait des gâteaux, du pain et du beurre etnous n’étions pas obèses. Il faut dire que nous jouions toujours à l’extérieur. On buvait souvent à quatre ou cinqau goulot de la même bouteille, et jamais de décès à cause de cela.Certains écoliers n’accusaient pas les professeurs, en cas de redoublement, ils baissaient les oreilles,s’exécutaient.Nos actions étaient les nôtres, l’idée de se faire protéger par nos parents si nous commettions une infractionétait impensable. Nos parents étaient du côté de l’autorité : c’est t’y pas effarant ?Le plus important c’est que l’on a appris à vivre avec cela. Cette génération a produit les meilleurs preneurs derisques, et je reconnais que nous avons eu de la chance de grandir avant que les avocats et les gouvernements nese mettent à règlementer nos vies pour notre bien.Lu dans le bulletin d’information de notre section de Charente-Maritime (17-00)Le vice-président départemental, Léon VIGE14