12There is a clear need for further capacity building andknowledge sharing throughout AMARC network onlobbying and alerts, as well as an ameliorated coordinationfor advocacy at the International TelecommunicationsUnion (ITU), UNESCO and other internationalForum.Advocacy activities were conducted in 2008, particularlyin relationship to UNESCO for the 3rd MayInternational for the freedom of expression in Maputo,where the declaration explicitly recognised the role ofCommunity radio in Congo. AMARC has continuedwith an active participation in the Building CommunicationsOpportunities, BCO participating in the Londonevaluation meeting in March and at the Johannesburgmeeting in December. AMARC organised aknowledge sharing seminar in Kathmandu, Nepal inJuly to reflect on how to increase the social impact ofcommunity radio.MilestonesThe presentation of the Principles for a democratic legislationfor Community Media was a key milestonein 2008. This principles were endorsed by many organisationsin <strong>La</strong>tin America, and by the Inter AmericanCommission of Human Rights. They were alsodiscussed and widely distributed through the AMARCnetwork.AMARC renewed its world MoU with Food and AgriculturalOrganisation. It established a Global agreementwith IPS, besi<strong>des</strong> reinforcing itsrole as a recognisedINGO in ECOSOC.Radio ADA, Ghana (Photographie AMARC)community radio. AMARC made the presentation onthe seminar for follow-up on the lines of action of theWSIS. AMARC presence in relationship to ITU hasincreased. We have reinforced our relations with theECOSOC and maintained the relationship with Unitednations Council on the Status of Women.The Principles for a democratic legislation for CommunityMedia, proposed by the legislation programme ofAMARC LAC, was a step forward. It was recognisedby the Inter-American commission of human rights. Itwas widely distributed and there were debates at theInternational conference in Bogota and at a seminarheld in August in Accra in conjunction with OM7.AMARC has reinforced its links with Civil Society Organisationssuch as the World Social Forum InternationalCouncil. It organised with FAO and other stakeholdersa meeting on how to increase effectiveness ofThere is need for further knowledge exchange betweenCommunity Radio Stakeholders, between regions onhow to best confront advocacy issues combining localand global strategies to promote communicationrights.One key challenge for AMARC is to reinforce its effectivenessby being present in a larger number of internationaland regional Forums. It also needs to reinforcethe expertise of its members in key issues particularlywhen it comes to the challenges of the transition todigital radio, solidarity alerts, policy research and tofacilitate knowledge sharing through the network.In 2009 AMARC will concentrate in reinforcing themonitoring of community radio situation and communicationrights as well as reinforcing collaboration withcivil society and multilateral partners at the local andglobal levels.AMARC 2008 ANNUAL REPORT
L. n° 2011-884, 27 juill. 2011, relative <strong>aux</strong> collectivitésterritoriales de Guyane et de Martinique, JO 28 juill.,p. 12821L. org. n° 2011-883, 27 juill. 2011, relative <strong>aux</strong> collectivitésrégies par l’article 73 de la Constitution, JO 28 juill., p. 12818D. n° 2011-898, 28 juill. 2011, relatif <strong>aux</strong> dispositionsd’application en Nouvelle-Calédonie et en Polynésiefrançaise de la loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative<strong>aux</strong> droits et à la protection <strong>des</strong> personnes faisant l’objetde soins psychiatriques et <strong>aux</strong> modalités de leur prise encharge, JO 29 juill., p. 12946VEILLE JURIDIQUE<strong>La</strong> présente loi fixe les règles d’organisation et defonctionnement <strong>des</strong> collectivités territoriales de Guyane et deMartinique (dispositions générales, organes, régime juridique<strong>des</strong> actes pris par les autorités représentantes <strong>des</strong> deuxcollectivités, relations entre ces dernières et l’État, attributions<strong>des</strong> collectivités de Guyane et de Martinique, compétences <strong>des</strong>assemblées et de leurs présidents, compétences du conseiléconomique, social, environnemental, de la culture et del’éducation, interventions et ai<strong>des</strong>, gestions <strong>des</strong> services publics,fi nances et autres organismes <strong>des</strong> collectivités territoriales deGuyane et de Martinique).Ce texte complète la septième partie du CGCT, telle qu’ellerésulte de la loi n° 2011-884 du 27 juillet 2011 relative <strong>aux</strong>collectivités territoriales de Guyane et de Martinique, par unlivre III portant dispositions communes dans lequel figurentles dispositions relatives <strong>aux</strong> conditions d’application <strong>aux</strong>collectivités territoriales de Guyane et de Martinique <strong>des</strong>deuxième et troisième alinéas de l’article 73 de la Constitution.Le présent décret remplace la section 1 du chapitre IV du titre IVdu livre VIII de la troisième partie du Code de la santé publiquepar de nouvelles dispositions relatives à la procédure de soinspsychiatriques.ACTUALITÉS VEILLEL. org. n° 2011-918, 1 er août 2011, relative aufonctionnement <strong>des</strong> institutions de la Polynésie française,JO 3 août, p. 13225 et p. 13322 (rectificatif)D. n° 2011-944, 10 août 2011, relatif <strong>aux</strong> indemnitésallouées <strong>aux</strong> personnels civils de recrutement local duministère de la défense en Polynésie française en casde rupture agréée de leur contrat de travail, JO 12 août,p. 13825D. n° 2011-959, 10 août 2011, relatif <strong>aux</strong> modalités derépartition et de gestion de la dotation territoriale pourl’investissement <strong>des</strong> communes de la Polynésie française,JO 12 août, p. 13888Sont ici modifiées bon nombre de dispositions issues de laloi organique n° 2004-192 du 27 février 2004 portant statutd’autonomie de la Polynésie française, relatives d’une partà l’élection <strong>des</strong> représentants à l’assemblée de la Polynésiefrançaise (nombre de sections au sein de la circonscriptionélectorale unique de la Polynésie française, nombre de siègesattribués pour chaque section, modalités de scrutin et derépartition <strong>des</strong> sièges), d’autre part à l’organisation et aufonctionnement <strong>des</strong> institutions de cette dernière (créationpossible d’autorités administratives indépendantes <strong>aux</strong> fins derégulation du secteur économique, faculté pour le président dela Polynésie française de demander à l’État de prendre l’initiativede négociations avec l’Union européenne en vue d’obtenir <strong>des</strong>mesures spécifiques, utiles au développement de la collectivité,adoption par l’assemblée d’un schéma d’aménagement généralfi xant les orientations fondamentales à moyen terme en matièrede développement durable, de mise en valeur du territoire et deprotection de l’environnement, missions diagnostic et de suivifi nanciers par le comité <strong>des</strong> fi nances locales, consultation possiblede celui-ci sur tout projet de « loi du pays », de délibération oud’acte réglementaire présentant <strong>des</strong> conséquences financièrespour les communes ou groupements de communes, suspensionde sa qualité d’ordonnateur jusqu’au quitus du président de laPolynésie française déclaré comptable de fait par un jugementdéfinitif du juge <strong>des</strong> comptes, gouvernement composé de septà dix ministres, impossibilité pour le président d’exercer plus dedeux mandats de cinq ans consécutifs, nombre maximal <strong>des</strong>collaborateurs de président, du vice-président et <strong>des</strong> ministres,caractère exclusif de toute autres rémunérations publiquesversées au président et <strong>aux</strong> ministres, modalités de délégationde signature <strong>des</strong> actes relatifs <strong>aux</strong> affaires <strong>des</strong> services placéssous l’autorité du président ou <strong>des</strong> ministres, actes devant êtretransmis au haut-commissaire par le directeur d’un établissementpublic de la Polynésie française, dispositions particulières<strong>applicables</strong> <strong>aux</strong> lois du pays relatives <strong>aux</strong> impôts et taxes).Ce texte fixe les conditions dans lesquelles les personnels civilsde recrutement local régis par la loi n° 86-845 du 17 juillet 1986qui exercent leur activité dans les établissements du ministèrede la Défense en Polynésie française, peuvent bénéficier decertaines indemnités en cas de rupture agréée de leur contratde travail, dans le cadre de la réorganisation <strong>des</strong> forces arméesen Polynésie française. Sur ce point, il est à noter égalementl’arrêté du 10 août 2011 pris en application de l’article 8 duprésent décret relatif <strong>aux</strong> indemnités allouées <strong>aux</strong> personnelscivils de recrutement local du ministère de la Défense enPolynésie française en cas de rupture agréée de leur contrat detravail (JO 12 août, p. 13830).Ce décret modifie les dispositions de l’article R. 2573-43 duCGCT et introduit les articles R. 2573-58-1 et R. 2573-58-2.N° 71 • SEPTEMBRE 2011 • REVUE LAMY DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES 13