serait pas possible <strong>de</strong> faire bénéficier les fabricants <strong>de</strong> caisses d'uneai<strong>de</strong> à l'exportation, qui leur permettrait, «mon <strong>de</strong> reconquérir leursituation privilégiée,' du moins <strong>de</strong> lutter à armes égales avec iesfabricants étrangers.13514. — 36 août 1951. — M. <strong>de</strong> Léotard <strong>de</strong>man<strong>de</strong> a M. le ministre<strong>de</strong>s UtiancM, <strong>de</strong>s affaires économiques et du pian, quels sont tespostes <strong>de</strong> représentant <strong>de</strong> l'Etat actuellement encore détenus par<strong>de</strong>s ministres en exercice (août 1951) et s'il est r.oimal que semb<strong>la</strong>blescumuls <strong>de</strong> responsabilités et <strong>de</strong> rémunérations puissentexister.13515. — 26 août 1954. — M. Pierre Métayer attire rallenlion <strong>de</strong>M. te ministre <strong>de</strong>s finances, <strong>de</strong>s affaires économiques et du piansur les répercussions que peut avoir, pour certaines communes, iamise en vigueur au 1 er juillet <strong>de</strong>rnier du nouveau régime iisc.i<strong>la</strong>pplicable aux entrepreneurs <strong>de</strong> travaux immobiliers. Dans une"ville qui, en 1951, voit se réaliser sur son territoire d'importantsprogrammes <strong>de</strong> construction <strong>de</strong> logements et <strong>de</strong> constructions sco<strong>la</strong>ires,les prévisions budgétaires tenaient compte du payement <strong>de</strong> <strong>la</strong>taxe locale par les entrepreneurs, lesquels avaient" consenti àouvrir sur p<strong>la</strong>ce un bureau, lorsqu'il ne s'agissait pas <strong>de</strong> travauxpublics, afin <strong>de</strong> <strong>la</strong> faire bénéficier <strong>de</strong> cette taxe. Les versementsconstaté; jusqu'à juin permettaient do vérifier l'exactitu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s prévisions,mais '<strong>la</strong> mise en vigueur du nouveau régime et <strong>la</strong> perte <strong>de</strong>recettes provisoire, atteignant plusieurs millions, qui en sera Piconséquence, risquent <strong>de</strong> créer <strong>de</strong>s difficultés <strong>de</strong> trésorerie, d'autantplus que les communes tout au moins en Seine-et-Oise, n'ont pasencore perçu à ce jour l'attribution leur revenant, au titre <strong>de</strong> lyw,6ur le fonds <strong>de</strong> péréquation <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe locale. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>:1» comment sera compensée cette perte <strong>de</strong> recettes, ainsi que lestipule l'article 21 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 10 avril 1954; 2° quand sera effectivementversée cette compensation, le décret prévu par te texteprécité n'étant, à <strong>la</strong> connaissance du <strong>de</strong>man<strong>de</strong>ur, pas encore paru;3° Dans le cas particulier cité plus haut, à quel service <strong>de</strong>s contributionsindirectes (bureau <strong>de</strong>sservant <strong>la</strong> ville intéressée, ou bureaudu siège <strong>de</strong> l'entreprise) <strong>de</strong>vra Être adressée <strong>la</strong> déc<strong>la</strong>ration prévuepar l'alinéa 3 <strong>de</strong> l'article 4 du déc-et n° 51-687 du 26 juin 1951, arinque fa perte <strong>de</strong> recettes eoit ibien reconnue à <strong>la</strong> commune qui percevaiteffectivement <strong>la</strong> taxe.13516. — 26 août 1951. — M. Marcel Noël expose a M. le ministre<strong>de</strong>s finances, <strong>de</strong>s affaires économiques et du p<strong>la</strong>n que les modalités<strong>de</strong> prise en compte du temps passé comme détaché en usine,ont fait l'objet d'une loi du 17 août 1915. Toutefois, <strong>de</strong>s difficultésd'interprétation peuvent se présenter en ce qui concerne les militairesp<strong>la</strong>cés dans <strong>la</strong> réserve. Pans ces conditions, il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>comment sont décomptés pour <strong>la</strong> pension, tant en ce qui concerne<strong>la</strong> constitution du droit que <strong>la</strong> liquidation, les services militaires,tes campagnes simples... d'un fonctionnaire titu<strong>la</strong>risé en 1921 dontl'état signalé tique et <strong>de</strong>s services militaires porte les mentionssuivantes: « incorporé au 138» régiment d'infanterie à compter du1 er octobre 1912, arrivé au corps le 2 octobre 1912, c<strong>la</strong>ssé servicesauxiliaires le 2 novembre 1914, détaché en usine, article 6, <strong>de</strong>•Montluçon à compter du 2 novembre 1915, rayé du contrôle leditjour, démobilisé le 11 août 1919 »... « intérieur sous les ordres dugénéral commandant, <strong>de</strong> <strong>la</strong> région, campagnes simples du 2 août 1914au l w octobre 1915 ». Par ailleurs <strong>la</strong> mention suivante est porté àl'encre rouge: « p<strong>la</strong>cé dans <strong>la</strong> réserve le 1 er octobre 1911; le tempspassé détaché en usine après <strong>la</strong> date <strong>de</strong> passage dans <strong>la</strong> réservene compte ni comme service ni comme campagne (art. 6 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loid'i 1 7août 1915) ». 11 y a lieu <strong>de</strong> préciser qïie l'intéressé assureavoir pendant cette pério<strong>de</strong> exclusivement perçu <strong>la</strong> sol<strong>de</strong> militaire.INDUSTRIE ET COMMERCE13317. — 2G août 1954. — M. Cassagne <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> l'industrie et du commerce: 1° si un fonds <strong>de</strong> commeice donnéen location-gérance aux conditions du décret du 30 septembre 1953peut, sous réserve <strong>de</strong> l'accord du propriétaire du fonds, être l'objetd'une sous-location-gérance par le iocataire gérant principal, ce <strong>de</strong>rniersatisfaisant aux conditions <strong>de</strong> l'article 4 dudit décret; 2° si unepersonne physique ayant été pendant plus <strong>de</strong> sept années associégérantd'une société en nom collectif peut donner en locationgéranceun fonds <strong>de</strong> commerce lui appartenant personnellement etdu ressort <strong>de</strong> l'activité commerciale <strong>de</strong> <strong>la</strong> société en nom collectif;S® si une personne ayant recueilli un fonds <strong>de</strong> commerce dans unesuccession ouverte avant <strong>la</strong> parution du décret du 30 septembre 4953,n'ayant jamais exploité personnellement ce fonds mais l'ayant,jusqu'à présent, donne en location-gérance, peut se prévaloir <strong>de</strong>l'article 6 dudit décret, si son auteur avait eu pendant plus <strong>de</strong> septannées une activité commerciale ou professionnelle du ressort duditfonds.13518. — 26 août 1951. — M. Guy Desson <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> l'industrie et du commerce: 1° quelle suite <strong>la</strong> direction générale<strong>de</strong> <strong>la</strong> R. T. F. a donnée au vote du Parlement concernant <strong>la</strong> diminutiondu nombre dos journalistes « pigistes permanents »; 2° s'ilpeut lui affirmer qu'aucun esprit partisan n'a présidé à l'établissement<strong>de</strong> <strong>la</strong> liste <strong>de</strong>s licenciés; 3° s'il est exact que l'administration<strong>la</strong>it application à ces journalistes licenciés <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi n° 46-195 du15 février 1946 pour ie payement <strong>de</strong>s in<strong>de</strong>mnités <strong>de</strong> licenciement,ce qui paraît être en contradiction avec l'avis du conseil d'Etat endate du 12 septembre 1950 qui spécifie que les journalistes employéspar <strong>la</strong> R. T. F. sont ressortissants <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>de</strong>s litiges viséeà l'article 29 du litre II du livre I« du co<strong>de</strong> du travail; 4° s'il compte(tonner <strong>de</strong>s instructions au directeur général <strong>de</strong> <strong>la</strong> radioditïusimitclcviîionfrançaise pour que les in<strong>de</strong>mnités <strong>de</strong> licencieinriH duessoient mandatées en une seule fois.13519. — 26 août 1951. — M. Joseph Dumas expose à M. le ministre<strong>de</strong> l'industrie et du commerce que d'après les informations qui luiont été fournies par les représentants <strong>de</strong> l'industrie <strong>de</strong>s peintures,vernis, encres d'imprimerie et produits assimilés, une mesure dolibération <strong>de</strong>s échanges \isant les produits <strong>de</strong> ces industries, nonassorties <strong>de</strong> dispositions compensatrices, ferait encourir aux industriesen cause <strong>de</strong>s risques très graves en raison du coût (levé <strong>de</strong>smatières premières auxquelles "elles doivent faire appel. 11 lui<strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il ne lui semble pas opportun <strong>de</strong> prendre dès maintenant<strong>de</strong>s mesures appropriées pour ramener le cours <strong>de</strong> ces matièrespremières au niveau <strong>de</strong>s cours étrangers.13520. — 26 août 1951. — M. Regaudie <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> l'industrie et du commsrce quelles sont: les conditions d'importation<strong>de</strong>s automobiles étrangères <strong>de</strong>stinées à <strong>la</strong> vente en France;2» les mesures <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> prises en faveur <strong>de</strong> l'industrie française<strong>de</strong> l'automobile <strong>de</strong>vant <strong>la</strong> concurrence étrangère et si, du fait<strong>de</strong> <strong>la</strong> concurrence étrangère, il n'y a pas, d'ores et déjà, une diminution<strong>de</strong> l'activité <strong>de</strong> certaines firmes automobiles françaises.13521. — 2.6 août 1951. — M. Regaudie <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> l'industrie et du commerce quelles mesures il compte prendrel'égard <strong>de</strong> <strong>la</strong> Société Lavalette dont l'Etat possè<strong>de</strong> <strong>la</strong> majorité <strong>de</strong>sactions; ce qu'il entend faire <strong>de</strong>sdiles actions et, au cas où unecession en serait effectuée,• quelles précautions seront prises pourassurer à nos industries nationales <strong>la</strong> fourniture <strong>de</strong>s appareils construitspar <strong>la</strong> société Lavalette.INTERIEUR13522. — 26 août 195i. — M. Jean-Paul David <strong>de</strong>man<strong>de</strong> i M. iaministre <strong>de</strong> l'intérieur A quelle date il sera procédé à <strong>la</strong> répartition<strong>de</strong>s crédits prévus au chapitre 65-52 et ayant trait à l'équipement <strong>de</strong>scollecLivités pour l'habitat urbain.13523. — 26 août 195i. — M. <strong>de</strong> Eénouville <strong>de</strong>mar.<strong>de</strong> A M. <strong>la</strong>ministre <strong>de</strong> l'intérieur: 1° s'il est exact qu'à <strong>la</strong> fin du mois <strong>de</strong>juillet <strong>de</strong>rnier, une vingtaine <strong>de</strong> communistes français, employésdans les services du secrétariat <strong>de</strong> <strong>la</strong> fédération syndicale mondialeà Vienne et dont les passeports étaient arrivés à expiration se sontprésentés à l'ambassa<strong>de</strong> <strong>de</strong> France; 2° s'il est exact que cesemployés d'un organisme privé aient pénétré en Autriche, il y a<strong>de</strong> ce<strong>la</strong> trois ans, sans visa aulrichien, avec un <strong>la</strong>issez-passer soViétiquedélivré à Prague, et qu'ils nient refusé <strong>de</strong> se déc<strong>la</strong>rer a <strong>la</strong>police autrichienne comme <strong>de</strong> se faire immatriculer au consu<strong>la</strong>t doFrance et <strong>de</strong> se présenter à <strong>la</strong> gendarmerie française pour régu<strong>la</strong>riserleur situation militaire ainsi que <strong>la</strong> loi l'exige; 3° s'il estexact que ces vingt communistes qui n'étaient en règle ni avec <strong>la</strong>légisation française, ni avec <strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tion autrichienne, ont uçu<strong>de</strong> nouveaux passeports va<strong>la</strong>bles trois ans.13524. — 26 août 1951 — M. Maurellet expose à M. le ministre<strong>de</strong> l'iniérieur qu'une sténodactylographe, actuellement en fonctiondans une commune et ayant plirs <strong>de</strong> trois ans d'ancienneté dans legra<strong>de</strong>, s'est présentée au concours ouvert
13526. — 26 août 1954. — M. Gernez <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong><strong>la</strong> justice si un ancien avoué, âgé <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 60 ans, remplissantles conditions <strong>de</strong> durée d'exercice d'avoué et <strong>de</strong> capacité, peutencore poser sa candidature aux Jonctions <strong>de</strong> juge <strong>de</strong> paix. Saqualité d'ancien combattant <strong>de</strong> <strong>la</strong> guerre 1914-1918 avec citation etune blessure ne peut-elte lui valoir une exception dans le cas oùl'âge limite normal serait <strong>de</strong> 60 ans ?13534. — 26 août 1954. — M. Frédéric-Dupont expose à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale les raisons pour lesquellesles retraités <strong>de</strong>s assurances sociales nés avant le 1 er avril1886, régis par le décret du 28 octobre 1935, sont tnès défavoriséspar rapport aux retraités nés après le 15 avril 1686 et qui ayantfait les mêmes versements en nombre et en valeur touchent uneretraite <strong>de</strong> 40 p. 100 supérieure, il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> les dispositions qu'ilcompte prendre pour réparer cette injustice.POSTES, TELEGRAPHES ET TELEPHONES13527. — 2G août 1954. — M. Dorey <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le secrétaired'Etat aux postes, télégraphes et téléphones: 1° en combien <strong>de</strong>paliers s'est effectuée <strong>la</strong> transformation <strong>de</strong> i'auxiliariat dans sondépartement, en application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 3 avril 1950 ; 2» quels ontété fes décrets successifs pris en vue <strong>de</strong> mettre fin à I'auxiliariat;3» quel était, avant <strong>la</strong> parution <strong>de</strong> ces décrets, le nombre d'auxiliairesdu service général, <strong>de</strong> <strong>la</strong> distribution, <strong>de</strong>s services techniques;pour ces mômes catégories quel était le nombre d'auxiliairesnon titu<strong>la</strong>risés après l'application <strong>de</strong> ces décrets ; 5° ces décretsont-ils eu pour souci, dans leur portée, <strong>de</strong> donner à tous lesauxiliaires <strong>la</strong> possibilité d'accé<strong>de</strong>r au cadre normal <strong>de</strong> titu<strong>la</strong>ire;6° si ces décrets ont été pris dans cette intention, n'y a-t-il paslieu <strong>de</strong> s'étonner qu'un crible sévère ait fonctionné pour les agentsdu cadre complémentaire du service général âgés <strong>de</strong> p'us <strong>de</strong> cinquanteans, candidats par liste d'aptitu<strong>de</strong>; 7° pour celte catégorie<strong>de</strong> candidats quels ont été les critères retenus pour éliminer <strong>de</strong>sagents ayant donné toute <strong>la</strong> preuve <strong>de</strong> leur dévouement pendantplus <strong>de</strong> vingt ans; 8» pour les agents titu<strong>la</strong>risables par listes d'aptitu<strong>de</strong>s,combien y eut-il successivement <strong>de</strong> candidatures et combienlurent retenues; 9° ee qu'il compte faire pour donner à ces agentsune chance égale k celle <strong>de</strong> leurs plus jeunes collègues; 10° undépart pour <strong>la</strong> retraite d'un agent noté pendant 25 ans au choixne constitue-t-il pas une raison suffisante pour retenir par prioritéun candidat sur une liste d'aptitu<strong>de</strong>, comme ce<strong>la</strong> parait fogique,ies intéressés n'étant nullement responsables du retard apporté dans<strong>la</strong> parution <strong>de</strong>s décrets d'application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 3 avril 19507SANTE PUBLIQUE ET POPULATION13518. — 26 août 1954. — M. Jean Cayeux rappelle à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion que <strong>la</strong> loi n» 54-592 du11 juin 1954 accordant une allocation mensuelle aux bénéficiaires<strong>de</strong> l'assistance médicale gratuite a prévu, aux termes dë l'un <strong>de</strong>ees articles que le règlement d'administration publique qui doit enpermettre l'application sera obligatoirement publié dans le mois <strong>de</strong><strong>la</strong> promulgation. Il constate qu'a ce jour ce décret n'a pas encoreété publié et lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> les mesures qu'il compte prendre pourque <strong>la</strong> loi soit effectivement respectée.13528. — 26 août 1954. — M. Marcel Noël <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion si une commission départementalepeut considérer comme personnes tenues d'assister un•vieil<strong>la</strong>rd en (hospice: ses neveux, nièces, sœurs et petits-fils. Dansl'affirmative en vertu <strong>de</strong> quel texte.TRAVAIL ET SECURITE SOCIALE13530. — 26 août 1954. — M. Arbeltîer <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre dutravail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale eu vertu <strong>de</strong> quels textes l'inspectiondu travail <strong>de</strong> Seine-et-Marne peut obliger les vanniers — artisans ouindustriels <strong>de</strong> <strong>la</strong> vallée du Pelit-Morin — relevant <strong>de</strong> <strong>la</strong> mutualitéagricole, à s'inscrire à un service interprofessionnel <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine dutravail.13531. — 26 août 1954. — M. Barthélémy <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministredu travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale si un ouvrier, membie un comitéd'entreprise et délégué du personnel d'une usine, père <strong>de</strong> six enfants,en congé <strong>de</strong> longue'ma<strong>la</strong>die <strong>de</strong> durée indéterminée, peut êlre licenciépour cette <strong>de</strong>rnière raison par seule décision <strong>de</strong> l'employeur.13532. — 26 août 1954. — M. Pierre Besseî signale à M. le ministre