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Le Petit Livre: Un extrait de Aimer ce qui est - The Work of Byron Katie

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poprawiona Toporowi<strong>ce</strong> ul. śródlana III-etap Zuzia (C) DataComp 1994-2007(lic. 2604)strona nr: 2Podstawa nakładu, opis pozycji, wyliczenie ilości robót Ilość Krot. Jedn.3.2 KNNR 6/1302-0300Czyszczenie przepustów o średnicy 0,4 m, grubość namułu w cm do 50 % jegośrednicyprzepusty ubustronne nazjazdach 5*6,0+5*8,0 = 70,070,0 70,0 m3.3 KNNR 1/206/1 (1)Roboty ziemne koparkami podsiębiernymi z transportem urobku sam. samowył.do 1·km, w ziemi uprzednio zmagazynowanej w hałdach, koparka 0,15·m3,grunt kategorii I-III, uwaga: z utylizacjąodwóz ziemi z rowów 390,0*(0,8*2+0,5) * 0,20 = 163,8163,8 163,8 m33.4 KNNR 1/0208-0200Dopłata za kaŜdy rozpoczęty 1 km odległość transportu gruntu kat. I-IVponad 1 km samochodami samowyładowczymi do 5 t, przy przewozie po drogacho nawierzchni utwardzonej 163,8 m3Remont nawierzchni jezdni drogi powiatowej 4757 S


La joie et l’humour <strong>de</strong> <strong>Katie</strong> mettent rapi<strong>de</strong>ment les gens à l’aise, et les pr<strong>of</strong>on<strong>de</strong>scompréhensions et découvertes que les participants vivent rapi<strong>de</strong>ment, ren<strong>de</strong>nt<strong>ce</strong>s évènements captivants (<strong>de</strong>s mouchoirs en papier sont à portée <strong>de</strong> main).Depuis 1998, <strong>Katie</strong> dirige l’Ecole pour <strong>Le</strong> Travail, un programme <strong>de</strong> neuf jours,proposé quatre fois par an. L’Ecole pour <strong>Le</strong> Travail permet <strong>de</strong> vali<strong>de</strong>r la formationcontinue (aux États-<strong>Un</strong>is) et <strong>de</strong> nombreux psychologues et psychothérapeut<strong>est</strong>émoignent que <strong>Le</strong> Travail occupe la pla<strong>ce</strong> la plus importante <strong>de</strong> leur pratiqueactuelle. <strong>Katie</strong> organise aussi chaque année un Nettoyage Mental du Nouvel An –un programme <strong>de</strong> quatre jours continus <strong>de</strong> qu<strong>est</strong>ionnement <strong>qui</strong> se déroule findé<strong>ce</strong>mbre dans le sud <strong>de</strong> la Californie – et propose parfois <strong>de</strong>s ateliers <strong>de</strong> weekend.Des enregistrements audio et vidéo <strong>de</strong> <strong>Katie</strong> facilitant <strong>Le</strong> Travail sur unevariété <strong>de</strong> thèmes différents (le sexe, l’argent, le corps, l’éducation parentale) sontdisponibles (en anglais) lors <strong>de</strong>s évènements et sur son site, www.thework.com.En 2002, le premier livre <strong>de</strong> <strong>Katie</strong> a été publié, <strong>Aimer</strong> <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> : Vers la fin <strong>de</strong> lasouffran<strong>ce</strong> (traduction française, Ariane Editions, 2003), écrit avec son mari,l’écrivain <strong>de</strong> distinction Stephen Mitchell. Ce fut un b<strong>est</strong>-seller aux Etats-<strong>Un</strong>is et ila déjà été traduit en 22 langues. J’ai besoin que tu m’aimes : Est-<strong>ce</strong> vrai ? (GuyTrédaniel Editeur, 2005), écrit avec Michael Katz, Inv<strong>est</strong>iguez vos pensées, changez lemon<strong>de</strong> (Guy Trédaniel Editeur, 2009) et Mille noms pour la joie : Vivre enharmonie avec les choses telles qu’elles sont (A Thousand Names for Joy : Living inHarmony with the Way Things Are), écrit avec Stephen Mitchell, ont aussi été <strong>de</strong>sb<strong>est</strong>-sellers. <strong>Le</strong> <strong>de</strong>rnier livre <strong>de</strong> <strong>Katie</strong>, Qui seriez-vous sans votre histoire? (WhoWould You Be Without Your Story?) a été publié en octobre 2008. (Ces <strong>de</strong>ux<strong>de</strong>rniers livres ne sont pas encore traduits en français).Bienvenue au Travail.3


Depuis le commen<strong>ce</strong>ment <strong>de</strong>s temps, les gens ont essayé <strong>de</strong> changer le mon<strong>de</strong><strong>de</strong> façon à être heureux. Cela n’a jamais marché, par<strong>ce</strong> que le problème <strong>est</strong> pris àl’envers. Ce que <strong>Le</strong> Travail nous donne, c’<strong>est</strong> une façon <strong>de</strong> modifier le projecteur –le mental – plutôt que <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> projeté. C’<strong>est</strong> comme lorsqu’il y a une poussièresur la lentille d’un projecteur. Nous pensons qu’il y a un défaut sur l’écran, etnous essayons <strong>de</strong> changer telle ou telle personne, <strong>qui</strong>conque semblant avoir <strong>ce</strong>défaut. Mais il <strong>est</strong> futile d’essayer <strong>de</strong> changer les images projetées. <strong>Un</strong>e fois quenous comprenons où se trouve la poussière, nous pouvons nettoyer la lentille ellemême.C’<strong>est</strong> la fin <strong>de</strong> la souffran<strong>ce</strong> et le début d’un peu <strong>de</strong> joie au paradis.Comment écrire sur la Feuille <strong>de</strong> TravailJe vous invite à être critique, dur, enfantin et mes<strong>qui</strong>n. Écrivez avec la spontanéitéd’un enfant <strong>qui</strong> <strong>est</strong> triste, fâché, confus ou effrayé. N’essayez pas d’être sage,spirituel, ou gentil. C’<strong>est</strong> le moment d’être totalement honnête et sans <strong>ce</strong>nsurecon<strong>ce</strong>rnant <strong>ce</strong> que vous ressentez. Permettez à vos sentiments <strong>de</strong> s’exprimer, sansaucune crainte <strong>de</strong>s conséquen<strong>ce</strong>s ou sans aucune mena<strong>ce</strong> <strong>de</strong> punition.Sur la page suivante, vous trouverez un exemple <strong>de</strong> Feuille <strong>de</strong> Travail Jugez-Votre-Voisin complétée. J’ai écrit au sujet <strong>de</strong> mon <strong>de</strong>uxième mari, Paul, dans <strong>ce</strong>texemple (inséré ici avec sa permission); c’<strong>est</strong> le genre <strong>de</strong> pensées que j’avaisl’habitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> croire avant que ma vie ne change. Tout en lisant, vous êtes invités àrempla<strong>ce</strong>r le nom <strong>de</strong> Paul par un nom approprié dans votre vie.1. Qui vous irrite, vous perturbe, vous attriste ou vous déçoit et pourquoi ?Qu’<strong>est</strong>-<strong>ce</strong> que vous n’aimez pas à leur sujet ?Je suis fâchée contre Paul par<strong>ce</strong> qu'il ne m'écoute pas. Je suis fâchée contre Paulpar<strong>ce</strong> qu'il ne m'apprécie pas. Je n'aime pas Paul par<strong>ce</strong> qu'il contredit tout <strong>ce</strong> que jedis.2. Comment voulez-vous qu’il/elle change ? Que voulez-vous qu’il/elle fasse?Je veux que Paul me donne toute son attention. Je veux que Paul m'aimetotalement. Je veux que Paul soit d'accord avec moi. Je veux que Paul fasse plusd'exerci<strong>ce</strong>.3. Que <strong>de</strong>vrait ou ne <strong>de</strong>vrait-il/elle pas faire, être, penser ou ressentir ? Quelconseil pourriez-vous <strong>of</strong>frir ?Paul ne <strong>de</strong>vrait pas tant regar<strong>de</strong>r la télévision. Paul <strong>de</strong>vrait arrêter <strong>de</strong> fumer.Paul <strong>de</strong>vrait me dire qu'il m'aime. Il <strong>de</strong>vrait toujours faire attention à moi.4. Avez-vous besoin <strong>de</strong> quoi que <strong>ce</strong> soit <strong>de</strong> sa part ? Que doit-il/elle faire pourvous permettre d’être heureux ?7


J'ai besoin que Paul m'écoute. J'ai besoin que Paul arrête <strong>de</strong> me mentir. J'aibesoin que Paul partage ses sentiments et soit émotionnellement disponible. J'aibesoin que Paul soit doux, gentil et patient.5. Que pensez-vous <strong>de</strong> lui/elle ? Faites une liste. (Souvenez-vous d’êtremes<strong>qui</strong>n et critique.)Paul <strong>est</strong> malhonnête. Paul <strong>est</strong> insouciant. Paul <strong>est</strong> enfantin. Il pense ne pasavoir à suivre les règles. Paul n’<strong>est</strong> pas attentionné et n’<strong>est</strong> pas disponible. Paul <strong>est</strong>irresponsable.6. Qu’<strong>est</strong>-<strong>ce</strong> que vous ne voulez plus jamais éprouver avec <strong>ce</strong>tte personne?Je ne veux plus jamais vivre avec Paul s'il ne change pas. Je ne veux plus jamaisme disputer avec Paul. Je ne veux plus jamais que Paul me mente à nouveau.<strong>Le</strong> qu<strong>est</strong>ionnement : les quatre qu<strong>est</strong>ions et le retournement1. Est-<strong>ce</strong> que c’<strong>est</strong> vrai ?2. Pouvez-vous absolument savoir que c’<strong>est</strong> vrai ?3. Comment réagissez-vous, que se passe-t-il, quand vous croyez <strong>ce</strong>ttepensée ?4. Qui seriez-vous sans la pensée ?EtRetournez l’affirmation et trouvez trois exemples authentiques, précis, <strong>de</strong>la façon dont le retournement <strong>est</strong> vrai dans votre vie.Maintenant, en utilisant les quatre qu<strong>est</strong>ions, examinons une partie <strong>de</strong> la premièreaffirmation du numéro 1 <strong>de</strong> l’exemple : Paul ne m’écoute pas. Tout en lisant, pensezà une personne à <strong>qui</strong> vous n’avez encore pas totalement pardonné.1. Est-<strong>ce</strong> que c’<strong>est</strong> vrai ?Posez-vous la qu<strong>est</strong>ion à vous-même : « Est-<strong>ce</strong> que c’<strong>est</strong> vrai que Paul ne m’écoutepas ? » Soyez calme. Si vous voulez vraiment connaître la vérité, la réponse vavenir à la rencontre <strong>de</strong> la qu<strong>est</strong>ion. Laissez le mental poser la qu<strong>est</strong>ion et atten<strong>de</strong>zque la réponse surgisse.2. Pouvez-vous absolument savoir que c’<strong>est</strong> vrai ?Prenez <strong>ce</strong>tte qu<strong>est</strong>ion en considération : « Puis-je absolument savoir que c’<strong>est</strong> vraique Paul ne m’écoute pas ? Puis-je jamais vraiment savoir si quelqu’un écoute oupas ? M’arrive-t-il parfois d’écouter alors que je n’en donne pas l’impression ? »3. Comment réagissez-vous, que se passe-t-il, quand vous croyez <strong>ce</strong>tte pensée ?Comment réagissez-vous quand vous croyez que Paul ne vous écoute pas ?Comment le traitez-vous ? Faites une liste. Par exemple : « Je lui fais la tête. Je8


l’interromps. Je le punis en ne faisant pas attention à lui. Je commen<strong>ce</strong> à parlerplus vite et plus fort et j’essaye <strong>de</strong> le for<strong>ce</strong>r à écouter. » Continuez à faire votreliste tout en explorant en vous et regar<strong>de</strong>z comment vous vous traitez vous-mêmedans <strong>ce</strong>tte situation comment <strong>ce</strong>la vous fait ressentir. « Je me ferme. Je m’isole. Jemange et je dors trop, et je regar<strong>de</strong> la télévision pendant <strong>de</strong>s jours. Je me sensdéprimée et seule. » Remarquez tous les effets liés au fait <strong>de</strong> croire <strong>ce</strong>tte penséePaul ne m’écoute pas.4. Qui seriez-vous sans la pensée ?Maintenant, considérez <strong>qui</strong> vous seriez sans la pensée Paul ne m’écoute pas. Quiseriez-vous si vous n’étiez même plus capable <strong>de</strong> penser <strong>ce</strong>tte pensée ? Fermez lesyeux et imaginez Paul ne vous écoutant pas. Imaginez que vous n’avez pas lapensée que Paul ne vous écoute pas (ou qu’il <strong>de</strong>vrait même vous écouter). Prenezvotre temps. Remarquez <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> vous <strong>est</strong> révélé. Que voyez-vous ? Que ressentezvous?Retournez la pensée. L’affirmation initiale, Paul ne m’écoute pas, lorsqu’elle <strong>est</strong>retournée, peut <strong>de</strong>venir : « Je n’écoute pas Paul. » Est-<strong>ce</strong> aussi vrai ou plus vraipour vous ? Ecoutez-vous Paul lorsque vous pensez qu’il ne vous écoute pas ?Trouvez trois exemples authentiques, précis, où <strong>ce</strong>la <strong>est</strong> vrai dans votre vie. <strong>Un</strong>autre retournement <strong>est</strong> : « Je ne m’écoute pas moi-même. » <strong>Un</strong> troisième : « Paulm’écoute. » Pour chaque retournement que vous découvrez, trouvez troisexemples authentiques, précis, où <strong>ce</strong> retournement <strong>est</strong> vrai dans votre vie.Après la séan<strong>ce</strong> <strong>de</strong>s retournements, vous continuerez le qu<strong>est</strong>ionnement classiqueavec l’affirmation suivante écrite en numéro 1 sur la Feuille <strong>de</strong> Travail – Paul nem’apprécie pas – et ainsi <strong>de</strong> suite avec chaque affirmation <strong>de</strong> la Feuille <strong>de</strong> Travail.9


1. Est-<strong>ce</strong> que c’<strong>est</strong> vrai ?La réalité, pour moi, <strong>est</strong> <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> vrai. La vérité, c’<strong>est</strong> tout <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> <strong>de</strong>vant vous,tout <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> vraiment en train d’arriver. Que vous aimiez <strong>ce</strong>la ou pas, il pleutmaintenant. « Il ne <strong>de</strong>vrait pas pleuvoir » n’<strong>est</strong> qu’une pensée. Dans la réalité, iln’y a rien <strong>de</strong> tel que « <strong>de</strong>vrait » ou « ne <strong>de</strong>vrait pas ». Ce ne sont que <strong>de</strong>s penséesque nous plaquons sur la réalité. Sans les « <strong>de</strong>vrait » ou « ne <strong>de</strong>vrait pas » nouspouvons voir la réalité telle qu’elle <strong>est</strong>, et <strong>ce</strong>la nous laisse libres d’agireffica<strong>ce</strong>ment, clairement et avec intelligen<strong>ce</strong>.Lorsque vous posez la première qu<strong>est</strong>ion, prenez votre temps. Avec <strong>Le</strong> Travailil s’agit <strong>de</strong> découvrir <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> vrai au plus pr<strong>of</strong>ond <strong>de</strong> vous. Vous écoutez vosréponses maintenant, pas <strong>ce</strong>lles <strong>de</strong>s autres, ni <strong>ce</strong> qu’on vous a appris. Cela peutêtre très déstabilisant, car vous entrez dans l’inconnu. Tandis que vous continuezà plonger plus pr<strong>of</strong>ondément, laissez la vérité en vous remonter et rencontrer laqu<strong>est</strong>ion. Soyez doux avec vous-même lorsque vous vous abandonnez auqu<strong>est</strong>ionnement. Laissez-vous complètement prendre par <strong>ce</strong>tte expérien<strong>ce</strong>.2. Pouvez-vous absolument savoir que c’<strong>est</strong> vrai ?Si la réponse à la qu<strong>est</strong>ion 1 <strong>est</strong> oui, <strong>de</strong>man<strong>de</strong>z-vous, « puis-je absolument savoirque c’<strong>est</strong> vrai ? » Dans <strong>de</strong> nombreux cas, l’affirmation semble vraie. Bien sûrqu’elle le semble. Vos con<strong>ce</strong>pts sont basés sur une vie entière <strong>de</strong> croyan<strong>ce</strong>s nonremises en qu<strong>est</strong>ion.Après que je me sois éveillée à la réalité en 1986, je remarquais souventcomment les gens, dans les conversations, les médias et les livres affirmaient <strong>de</strong>schoses comme « Il n’y a pas assez <strong>de</strong> compréhension dans le mon<strong>de</strong> », « Il y a trop<strong>de</strong> violen<strong>ce</strong> », « Nous <strong>de</strong>vrions nous aimer les uns les autres d’avantage. »C’étaient <strong>de</strong>s histoires auxquelles j’avais l’habitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> croire autrefois, moi aussi.Elles semblaient tout à fait bienveillantes, mais en les entendant, je remarquaisque d’y croire générait du stress et causait <strong>de</strong>s sensations pénibles en moi.Par exemple, lorsque j’entendais l’histoire « <strong>Le</strong>s gens <strong>de</strong>vraient être pluscompatissants. » la qu<strong>est</strong>ion surgissait en moi « Puis-je absolument savoir quec’<strong>est</strong> vrai ? Puis-je vraiment savoir pour moi, en moi, que les gens <strong>de</strong>vraient êtreplus compatissants ? Même si le mon<strong>de</strong> entier me le dit, <strong>est</strong>-<strong>ce</strong> en effet vrai ? » Etlà, à mon grand étonnement, lorsque j’écoutais en moi, je vis que le mon<strong>de</strong> était <strong>ce</strong>qu’il était – rien <strong>de</strong> plus, rien <strong>de</strong> moins. En <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> con<strong>ce</strong>rne la réalité, il n’y a pas<strong>de</strong> « <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>de</strong>vrait être ». Il y a seulement « <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> », tel que c’<strong>est</strong>, justemaintenant. La vérité précè<strong>de</strong> toute histoire. Et toute histoire, avant d’être remiseen qu<strong>est</strong>ion, nous empêche <strong>de</strong> voir <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> vrai.Désormais, je pouvais enfin <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r au sujet <strong>de</strong> n’importe quelle histoirein<strong>qui</strong>étante: « Puis-je absolument savoir que c’<strong>est</strong> vrai ? » Et la réponse comme laqu<strong>est</strong>ion était une expérien<strong>ce</strong> : Non. Je r<strong>est</strong>ais ancrée dans <strong>ce</strong>tte réponse – solitaire,paisible, libre.Comment « non » pouvait-il être la bonne réponse ? Tous les gens que jeconnaissais et tous les livres disaient que la réponse <strong>de</strong>vait être « oui ». Mais je11


parvins à voir que la vérité <strong>est</strong> elle-même et ne peut être dictée par personne. Enprésen<strong>ce</strong> <strong>de</strong> <strong>ce</strong> « non » intérieur, je parvins à voir que le mon<strong>de</strong> <strong>est</strong> toujours telqu’il doit être, que je m’y oppose ou non. Et je parvins à accueillir la réalité <strong>de</strong> toutmon cœur. J’aime le mon<strong>de</strong>, sans aucune condition.Si votre réponse <strong>est</strong> toujours « oui », bien. Si vous pensez que vous pouvezabsolument savoir que c’<strong>est</strong> vrai, c’<strong>est</strong> toujours très bien <strong>de</strong> passer à la qu<strong>est</strong>ion 3.3. Comment réagissez-vous, que se passe-t-il, quand vous croyez <strong>ce</strong>tte pensée ?Avec <strong>ce</strong>tte qu<strong>est</strong>ion, nous commençons à remarquer la relation intérieure <strong>de</strong> causeà effet. Vous pouvez voir que lorsque vous croyez <strong>ce</strong>tte pensée, il y a unesensation <strong>de</strong> mal-être, une perturbation, <strong>qui</strong> peut s’étendre <strong>de</strong> la gêne modéré à lapeur ou à la panique.Après que les quatre qu<strong>est</strong>ions m’aient trouvée, je remarquais <strong>de</strong>s penséescomme « les gens <strong>de</strong>vraient être plus compatissants » et je voyais que <strong>ce</strong>lagénérait une sensation <strong>de</strong> mal-être. Je remarquais qu’avant <strong>ce</strong>tte pensée, il y avaitla paix. Mon mental était tran<strong>qui</strong>lle et serein. C’<strong>est</strong> <strong>ce</strong> que je suis sans monhistoire. Puis, dans le calme <strong>de</strong> la conscien<strong>ce</strong>, je commençais à remarquer lessentiments provenant du fait <strong>de</strong> croire la pensée ou <strong>de</strong> m’y attacher. Et dans lecalme, je pouvais voir que si je croyais <strong>ce</strong>tte pensée, le résultat serait un sentiment<strong>de</strong> mal-être et <strong>de</strong> tristesse. Quand je me <strong>de</strong>mandais « Comment <strong>est</strong>-<strong>ce</strong> que jeréagis quand je crois la pensée que les gens <strong>de</strong>vraient être plus compatissants ? »j’ai vu que non seulement j’avais un sentiment <strong>de</strong> mal-être (<strong>ce</strong>la était évi<strong>de</strong>nt),mais je réagissais aussi avec <strong>de</strong>s images mentales pour prouver que la pensée étaitvraie. Je m’envolais dans un mon<strong>de</strong> <strong>qui</strong> n’existait pas. Je réagissais en vivant dansun corps tendu, voyant tout d’un regard apeuré, telle une somnambule,quelqu’un dans un cauchemar interminable. <strong>Le</strong> remè<strong>de</strong> était simplement <strong>de</strong>remettre en qu<strong>est</strong>ion ma pensée.J’aime beaucoup la qu<strong>est</strong>ion 3. <strong>Un</strong>e fois que vous y répon<strong>de</strong>z pour vousmême,une fois que vous voyez la relation <strong>de</strong> cause à effet d’une pensée, toutevotre souffran<strong>ce</strong> commen<strong>ce</strong> à se dénouer.4. Qui seriez-vous sans la pensée ?Cette qu<strong>est</strong>ion <strong>est</strong> très puissante. Imaginez-vous en présen<strong>ce</strong> <strong>de</strong> la personne ausujet <strong>de</strong> laquelle vous avez écrit, alors qu’elle fait <strong>ce</strong> que vous pensez qu’elle ne<strong>de</strong>vrait pas faire. Maintenant, pendant une à <strong>de</strong>ux minutes, fermez les yeux, etimaginez <strong>qui</strong> vous seriez si vous ne pouviez pas avoir <strong>ce</strong>tte pensée. Commentvotre vie serait-elle différente dans la même situation sans <strong>ce</strong>tte pensée ? Gar<strong>de</strong>zles yeux fermés et regar<strong>de</strong>z-la sans votre histoire. Que voyez-vous ? Queressentez-vous à son sujet, sans l’histoire? Que préférez-vous, avec ou sans votrehistoire ? Qu’<strong>est</strong>-<strong>ce</strong> <strong>qui</strong> semble plus bienveillant ? Qu’<strong>est</strong>-<strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> le pluspaisible ?Pour <strong>de</strong> nombreuses personnes, la vie sans leur histoire <strong>est</strong> littéralementinimaginable. Ils n’ont pas <strong>de</strong> référen<strong>ce</strong> pour <strong>ce</strong>la. Ainsi « Je ne sais pas » <strong>est</strong> une12


souffran<strong>ce</strong> et le mal-être sont l’appel au qu<strong>est</strong>ionnement, vous pouvez en faitcommen<strong>ce</strong>r à vous réjouir <strong>de</strong> <strong>ce</strong>s sentiments pénibles. Vous pouvez même lesaccueillir comme <strong>de</strong>s amis <strong>qui</strong> viennent vous montrer <strong>ce</strong> que vous n’avez pasencore qu<strong>est</strong>ionné assez pr<strong>of</strong>ondément. Il n’<strong>est</strong> plus né<strong>ce</strong>ssaire d’attendre que lesgens ou les situations changent pour vous permettre <strong>de</strong> vivre en paix et dansl’harmonie. <strong>Le</strong> Travail <strong>est</strong> le chemin direct pour orch<strong>est</strong>rer votre propre bonheur.14


Qu<strong>est</strong>ions et réponsesQ J’ai du mal à écrire sur les autres. Puis-je écrire à mon sujet ?R Si vous voulez vous connaître vous-même, je suggère que vous écriviez au sujet<strong>de</strong> quelqu’un d’autre. Commen<strong>ce</strong>z en dirigeant <strong>Le</strong> Travail à l’extérieur, et vousparviendrez à voir que chaque chose à l’extérieur <strong>de</strong> vous <strong>est</strong> le reflet direct <strong>de</strong>vos pensées. Tout <strong>est</strong> à votre sujet. La plupart d’entre nous avons dirigé noscritiques et jugements sur nous-mêmes pendant <strong>de</strong>s années, et <strong>ce</strong>la n’a jamais rienrésolu. Juger quelqu’un d’autre, qu<strong>est</strong>ionner et retourner les jugements, <strong>est</strong> lechemin rapi<strong>de</strong> vers la compréhension et la réalisation <strong>de</strong> soi.Q Comment pouvez-vous dire que la réalité <strong>est</strong> bonne ? Qu’en <strong>est</strong>-il <strong>de</strong> la guerre, du viol,<strong>de</strong> la pauvreté, <strong>de</strong> la violen<strong>ce</strong> et <strong>de</strong>s abus sur les enfants ? <strong>Le</strong>s approuvez-vous ?R Comment pourrais-je les approuver ? Je remarque simplement que lorsque jecrois que <strong>ce</strong>la ne <strong>de</strong>vrait pas exister alors que <strong>ce</strong>la existe, je souffre. Puis-jesimplement mettre fin à la guerre en moi ? Puis-je arrêter <strong>de</strong> me violer, moi et lesautres, avec mes pensées et actions abusives ? Si non, je continue en moiexactement <strong>ce</strong> que je veux arrêter dans le mon<strong>de</strong>. Je commen<strong>ce</strong> par mettre fin àma propre souffran<strong>ce</strong>, ma propre guerre. C’<strong>est</strong> le travail <strong>de</strong> toute une vie.Q Donc, <strong>ce</strong> que vous dites, c’<strong>est</strong> que je <strong>de</strong>vrais ac<strong>ce</strong>pter la réalité telle qu’elle <strong>est</strong> et ne pasla cont<strong>est</strong>er ? C’<strong>est</strong> bien <strong>ce</strong>la ?R <strong>Le</strong> Travail ne dit à personne <strong>ce</strong> qu’il doit ou ne doit pas faire. Nous <strong>de</strong>mandonssimplement, « Quel <strong>est</strong> l’effet <strong>de</strong> cont<strong>est</strong>er la réalité ? Qu’<strong>est</strong>-<strong>ce</strong> que l’on ressent ? »<strong>Le</strong> Travail explore la relation <strong>de</strong> cause à effet lorsque l’on s’attache à une penséedouloureuse, et par <strong>ce</strong>tte recherche nous trouvons notre liberté. Se diresimplement que nous ne <strong>de</strong>vrions pas cont<strong>est</strong>er la réalité ne fait que rajouter unehistoire, une philosophie ou une religion <strong>de</strong> plus. Cela n’a jamais marché.Q <strong>Aimer</strong> <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> semble vouloir dire ne rien vouloir. N’<strong>est</strong>-il pas plus intéressant <strong>de</strong>vouloir les choses ?R Mon expérien<strong>ce</strong> <strong>est</strong> que je veux toujours quelque chose : <strong>ce</strong> que je veux, c’<strong>est</strong> <strong>ce</strong>que j’ai. Ce n’<strong>est</strong> pas seulement intéressant, c’<strong>est</strong> merveilleux! Lorsque je veux <strong>ce</strong>que j’ai, pensées et actions ne sont pas séparées. Elles ne font qu’un, sans conflit.Si jamais vous pensez qu’il manque quelque chose, écrivez vos pensées, etqu<strong>est</strong>ionnez-les. J’ai compris que la vie n’<strong>est</strong> jamais en défaut et n’a pas besoind’un futur. Tout <strong>ce</strong> dont j’ai besoin m’<strong>est</strong> fourni et je n’ai rien à faire pour <strong>ce</strong>la. Iln’y a rien <strong>de</strong> plus passionnant que d’aimer <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong>.Q Et si je n’ai pas <strong>de</strong> problème avec les gens ? Puis-je écrire au sujet <strong>de</strong> choses, telles quemon corps ?R Oui. Faites <strong>Le</strong> Travail sur n’importe quel sujet stressant. Lorsque vous<strong>de</strong>viendrez familier avec les quatre qu<strong>est</strong>ions et le retournement, vous pourrezchoisir <strong>de</strong>s sujets tels que le corps, la maladie, la carrière, ou même Dieu. Essayezd’utiliser le terme « mes pensées » à la pla<strong>ce</strong> du sujet lorsque vous faites leretournement.15


Citations <strong>de</strong> <strong>Katie</strong>Lorsque vous cont<strong>est</strong>ez la réalité, vous per<strong>de</strong>z – mais seulement à <strong>ce</strong>nt pour <strong>ce</strong>nt.<strong>Le</strong>s personnalités n’aiment pas – elles veulent quelque chose.Si j’avais une prière, <strong>ce</strong> serait : « Dieu libère-moi du désir d’amour, d’approbationet d’appréciation. Amen. »Ne préten<strong>de</strong>z pas être au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> votre évolution.<strong>Un</strong> mental non remis en qu<strong>est</strong>ion <strong>est</strong> la seule souffran<strong>ce</strong>.Soit vous croyez vos pensées, soit vous les qu<strong>est</strong>ionnez. Il n’y a pas d’autre choix.Personne ne peut me faire mal —c’<strong>est</strong> mon rôle.La pire chose <strong>qui</strong> puisse jamais arriver <strong>est</strong> une pensée non remise en qu<strong>est</strong>ion.<strong>Le</strong> mental sain ne souffre pas, jamais.Si je pense que vous êtes mon problème, je suis fou.Je ne lâche pas mes con<strong>ce</strong>pts – je les qu<strong>est</strong>ionne. Ensuite <strong>ce</strong> sont eux <strong>qui</strong> melâchent.Vous vous égarez complètement <strong>de</strong> la réalité lorsque vous croyez qu’il y a uneraison légitime <strong>de</strong> souffrir.La réalité <strong>est</strong> toujours plus bienveillante que l’histoire que nous nous racontons àson sujet.Je suis tout à fait sûre que tous les gens m’aiment. C’<strong>est</strong> seulement que je nem’attends pas à <strong>ce</strong> qu’ils s’en soient déjà rendu compte.Il n’y a pas <strong>de</strong> problèmes physiques – seulement <strong>de</strong>s problèmes mentaux.Pour moi, la réalité <strong>est</strong> Dieu, par<strong>ce</strong> qu’elle règne.Lorsque je suis parfaitement claire, <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong> <strong>est</strong> <strong>ce</strong> que je veux.Se disputer avec la réalité, c’<strong>est</strong> comme vouloir apprendre à aboyer à un chat –c’<strong>est</strong> futile.Comment puis-je savoir que je n’ai pas besoin <strong>de</strong> <strong>ce</strong> que je veux ? Je ne l’ai pas.<strong>Le</strong> pardon c’<strong>est</strong> réaliser que <strong>ce</strong> que nous pensions être arrivé, ne l’<strong>est</strong> pas.17


Tout arrive pour moi, non à moi.La gratitu<strong>de</strong> <strong>est</strong> <strong>ce</strong> que nous sommes sans histoire.18


Commentaires sur <strong>Aimer</strong> <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong>« Grand Dieu ! D’où vient <strong>Byron</strong> <strong>Katie</strong> ? Son Travail <strong>est</strong> étonnement effica<strong>ce</strong> – unantidote simple et direct à la souffran<strong>ce</strong> que nous nous infligeons inutilement ànous-mêmes. Elle ne <strong>de</strong>man<strong>de</strong> pas <strong>de</strong> croire à quoi que <strong>ce</strong> soit, mais nous fournitun moyen incroyablement effica<strong>ce</strong> <strong>de</strong> diminuer la trame <strong>de</strong>s illusions danslesquelles nous sommes pris. »- David Chadwick, auteur <strong>de</strong> <strong>Le</strong> concombre tordu : une biographie dumaître <strong>de</strong> Zen Shunryu Suzuki (Crooked Cucumber)« Imaginez que vous puissiez trouver un moyen simple <strong>de</strong> consentir à votre viejoyeusement, d’arrêter <strong>de</strong> cont<strong>est</strong>er la réalité et <strong>de</strong> parvenir à la sérénité au milieudu chaos. C’<strong>est</strong> <strong>ce</strong> qu’<strong>of</strong>fre <strong>Aimer</strong> <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong>. Ce n’<strong>est</strong> pas moins qu’une façonrévolutionnaire <strong>de</strong> vivre votre vie. La qu<strong>est</strong>ion <strong>est</strong> : Sommes-nous assezcourageux pour l’ac<strong>ce</strong>pter ?- Erica Jong, auteur <strong>de</strong> <strong>Le</strong> complexe d’Icare« Si je pouvais <strong>of</strong>frir un livre à chaque être humain sur la terre, <strong>ce</strong> serait <strong>ce</strong>lui-là. Jesuis pasteur et je donnerais <strong>ce</strong> livre avant la Bible elle-même. C’<strong>est</strong> littéralement laclé pour mettre fin à la souffran<strong>ce</strong>. L’information qu’il contient peut rempla<strong>ce</strong>rtous les livres <strong>de</strong> développement personnel. Il a un grand pouvoir <strong>de</strong>transformation personnelle !- J.B., Nemacolin, PA (sur Amazon.com)« J’ai 52 ans et je ne suis pas quelqu’un <strong>qui</strong> cherche à améliorer ses relations avecles personnes d’autres ra<strong>ce</strong>s, ou <strong>qui</strong> cherche à comprendre pourquoi sa femme luiétait infidèle. Je suis invali<strong>de</strong> <strong>de</strong> guerre, et il y a plus <strong>de</strong> trente ans j’ai étédiagnostiqué comme ‘schizophrène paranoï<strong>de</strong>’.Il y a quelques semaines, mon ami Fred <strong>est</strong> passé. Il m’apporta un livreappelé <strong>Aimer</strong> <strong>ce</strong> <strong>qui</strong> <strong>est</strong>. « Essaye <strong>ce</strong>la » me dit-il. J’ai fait <strong>ce</strong>tte démarche, tandis queFred me facilitait. « Qui serais-tu sans <strong>ce</strong>tte pensée ? » Je m’immergeais dans <strong>ce</strong>que <strong>ce</strong> serait sans <strong>ce</strong>tte pensée, je serais quelqu’un <strong>qui</strong> apprécie simplement mesrelations avec les autres, partageant <strong>de</strong>s idées, passant un moment. Je me sentis…libre.En vingt minutes, <strong>de</strong>s années d’irritabilité, <strong>de</strong> colère et <strong>de</strong> confusion… s’ensont allées.Autrefois j’ai participé à <strong>de</strong>s groupes <strong>de</strong> soutien con<strong>ce</strong>rnant le viol lors <strong>de</strong> lacréation <strong>de</strong>s premiers Centres pour Vétérans et j’y ai vu <strong>de</strong>s Vétérans se battrecontre les horreurs <strong>qui</strong> ont si dramatiquement changé leur vie. Aujourd’hui,j’aurais aimé que quelqu’un se soit assis là comme mon copain Fred, avec <strong>Aimer</strong> <strong>ce</strong><strong>qui</strong> <strong>est</strong> et un mor<strong>ce</strong>au <strong>de</strong> papier avec les quatre qu<strong>est</strong>ions imprimées <strong>de</strong>ssus. Quialors aurait pu être aidé ? Je peux seulement me le <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r. Trente ans plustard, je sais que <strong>ce</strong>la m’a aidé. Je n’ai qu’une chose à dire aux autres Vétérans à <strong>ce</strong>sujet : « Vous <strong>qui</strong> vous êtes battus pour la liberté, c’<strong>est</strong> votre tour d’être libres.Faites <strong>Le</strong> Travail. »- J.M.L., Reno, NV19


L’Ecole pour <strong>Le</strong> Travail (en anglais)C’<strong>est</strong> l’aventure intérieure ultime. Contrairement à toutes les autres écoles <strong>de</strong> laterre, <strong>ce</strong>lle-ci n’<strong>est</strong> pas faite pour apprendre, mais pour désapprendre. Vouspasserez neuf jours à vous défaire <strong>de</strong>s histoires fondées sur la peur auxquellesvous vous êtes inno<strong>ce</strong>mment agrippés toute votre vie. <strong>Le</strong> programme <strong>de</strong> l’Ecole<strong>est</strong> vivant et évolutif, s’adaptant aux besoins <strong>de</strong>s participants et basé surl’expérien<strong>ce</strong> <strong>de</strong>s étudiants précé<strong>de</strong>nts. Chaque exerci<strong>ce</strong> <strong>est</strong> animé par <strong>Katie</strong> ellemêmeet il <strong>est</strong> adapté pour répondre aux besoins <strong>de</strong>s participants – <strong>de</strong>ux Ecoles nesont jamais i<strong>de</strong>ntiques. Et après neuf jours passés avec <strong>Katie</strong>, vous ne serez plus lapersonne que vous étiez. « Quand les quatre qu<strong>est</strong>ions sont vivantes en vous, » dit<strong>Katie</strong>, « votre esprit <strong>de</strong>vient clair, et du coup le mon<strong>de</strong> que vous projetez <strong>de</strong>vientclair. C’<strong>est</strong> plus radical encore que <strong>ce</strong> que l’on peut imaginer. »<strong>Le</strong>s Ateliers <strong>de</strong> Week-end (en anglais)<strong>Le</strong>s ateliers <strong>de</strong> week-end sont une occasion <strong>de</strong> faire l’expérien<strong>ce</strong> du pouvoir <strong>de</strong>l’Ecole en <strong>de</strong>ux jours. <strong>Katie</strong> gui<strong>de</strong> les participants à travers quelques-uns <strong>de</strong>sexerci<strong>ce</strong>s les plus puissants, conçus pour refléter l’évolution qu’elle a vécue aprèsson éveil à la réalité. En travaillant sur <strong>de</strong>s problèmes comme le genre, l’imagecorporelle, les addictions, l’argent et les relations, vous découvrirez une pr<strong>of</strong>on<strong>de</strong>qualité <strong>de</strong> liberté. Ces ateliers ont été qualifiés <strong>de</strong> « extraordinaires »,« révélateurs », et <strong>de</strong> « week-end le plus puissant <strong>de</strong> ma vie ».La Boutique du Travail<strong>Un</strong>e façon ac<strong>ce</strong>ssible et agréable d’appr<strong>of</strong>ondir la compréhension du Travailconsiste à écouter <strong>Katie</strong> lorsqu’elle facilite d’autres personnes. Sa fluidité, soné<strong>qui</strong>libre entre fermeté et compassion, son sens <strong>de</strong> l’humour si particulier, nousassurent <strong>de</strong> passer un bon moment et d’avoir <strong>de</strong> puissantes révélations. LaBoutique propose <strong>de</strong>s enregistrements et vidéos <strong>de</strong> <strong>Katie</strong> facilitant <strong>de</strong> façonexperte <strong>de</strong>s personnes <strong>de</strong> l’assistan<strong>ce</strong> sur <strong>de</strong>s sujets comme le sexe, l’argent, lesparents, les relations, le travail et bien d’autres.<strong>Le</strong> Travail sur Internet<strong>Katie</strong> et <strong>Le</strong> Travail sont toujours ac<strong>ce</strong>ssibles sur www.thework.com etwww.thework.com/français. Lorsque vous visitez le site Internet, vous pouvez :regar<strong>de</strong>r les vidéos <strong>de</strong> <strong>Katie</strong> facilitant <strong>Le</strong> Travail ; consulter le calendrier <strong>de</strong>sévènements avec <strong>Katie</strong> ; vous inscrire à la prochaine Ecole pour <strong>Le</strong> Travail <strong>de</strong> neufjours ; trouver les instructions pour appeler le servi<strong>ce</strong> gratuit Faire <strong>Le</strong> Travail« Soutien téléphonique » ; vous informer sur l’Institut pour <strong>Le</strong> Travail <strong>de</strong> <strong>Byron</strong><strong>Katie</strong> ; télécharger les Feuilles <strong>de</strong> Travail; écouter <strong>de</strong>s enregistrementsd’interviews radio ; vous inscrire à la newsletter BKI ; et faire <strong>de</strong>s achats sur la20


outique en ligne. <strong>Un</strong>e richesse d’information et <strong>de</strong> ressour<strong>ce</strong>s sur <strong>Katie</strong> et <strong>Le</strong>Travail <strong>est</strong> disponible sur www.thework.com et www.thework.com/français.Pour les diplômés <strong>de</strong> l’Ecole : l’Institut pour <strong>Le</strong> TravailRejoignez l’Institut pour <strong>Le</strong> Travail <strong>de</strong> <strong>Byron</strong> <strong>Katie</strong> et continuez à appr<strong>of</strong>ondirvotre expérien<strong>ce</strong> du Travail. L’Institut propose le seul programme <strong>of</strong>ficiel <strong>de</strong><strong>ce</strong>rtification <strong>de</strong> facilitateurs pour <strong>Le</strong> Travail <strong>de</strong> <strong>Byron</strong> <strong>Katie</strong> et donne ainsi auxparticipants <strong>de</strong> l’Ecole une possibilité <strong>de</strong> r<strong>est</strong>er immergés dans <strong>Le</strong> Travail grâ<strong>ce</strong> àla communauté du Travail. Que vous choisissiez ou non <strong>de</strong> vous inscrire auprogramme <strong>de</strong> <strong>ce</strong>rtification, les forums <strong>de</strong> la communauté du Travail sont unpoint <strong>de</strong> rencontre passionnant et interactif, où les membres venant du mon<strong>de</strong>entier se connectent pour échanger sur <strong>de</strong>s sujets appropriés et apprendre les uns<strong>de</strong>s autres au sujet du Travail. Là il vous <strong>est</strong> possible <strong>de</strong> lire et d’échanger sur lesujet du « thème du mois » <strong>de</strong> <strong>Katie</strong>, et vous pouvez discuter sur <strong>de</strong>s sujets telsque les relations, l’éducation, les addictions, et tout <strong>ce</strong> que vous souhaitez abor<strong>de</strong>rd’autre sur les forums. Vous avez la possibilité <strong>de</strong> pratiquer <strong>Le</strong> Travail chaquejour dans le « round robin », avec un nouveau partenaire chaque mois (<strong>de</strong>sparticipants en français sont parfois disponibles). Allez sur www.institute forthework.com (en anglais).La Maison du Retournement pour <strong>Le</strong> TravailLa Maison du Retournement <strong>est</strong> un programme rési<strong>de</strong>ntiel <strong>de</strong> 28 jours <strong>qui</strong> permet<strong>de</strong> faire fa<strong>ce</strong> à l’addiction ultime, la seule addiction : l’addiction du mental auxpensées non remises en qu<strong>est</strong>ion, responsables <strong>de</strong> toute la souffran<strong>ce</strong> et <strong>de</strong> laviolen<strong>ce</strong> interne dans le mon<strong>de</strong>. Il <strong>est</strong> <strong>ce</strong>ntré sur <strong>Le</strong> Travail <strong>de</strong> <strong>Byron</strong> <strong>Katie</strong>, unedémarche particulièrement simple et puissante que <strong>de</strong>s millions <strong>de</strong> personnes –dépendants, vétérans, prisonniers, étudiants, femmes au foyer, dirigeants,politiciens, pr<strong>of</strong>essionnels <strong>de</strong> la santé mentale, personnes ayant tout un parcours<strong>de</strong> vie – ont utilisé pour surmonter <strong>de</strong>s comportements auto<strong>de</strong>structeurssoli<strong>de</strong>ment ancrés. La Maison du Retournement <strong>est</strong> le seul établissement reconnupar <strong>Byron</strong> <strong>Katie</strong> pour utiliser <strong>Le</strong> Travail dans un programme <strong>de</strong> réhabilitationémotionnelle et <strong>de</strong> dépendan<strong>ce</strong>s. Dans un endroit sécurisant, <strong>qui</strong> apporte dusoutien et soucieux <strong>de</strong> l’environnement, <strong>Byron</strong> <strong>Katie</strong> et son é<strong>qui</strong>pe <strong>de</strong> facilitateurs<strong>ce</strong>rtifiés vous gui<strong>de</strong>nt à travers un programme <strong>qui</strong> <strong>est</strong> spécialement conçu pourretourner radicalement votre vie.<strong>Le</strong>s quatre qu<strong>est</strong>ionsVoici <strong>de</strong> nouveau les quatre qu<strong>est</strong>ions. Certaines personnes les impriment sur unecarte et les gar<strong>de</strong>nt à portée <strong>de</strong> main.21


1. Est-<strong>ce</strong> que c’<strong>est</strong> vrai ?2. Pouvez-vous absolument savoir que c’<strong>est</strong> vrai ?3. Comment réagissez-vous, que se passe-t-il, quand vous croyez <strong>ce</strong>ttepensée ?4. Qui seriez-vous sans la pensée ?Retournez l’affirmation, et trouvez trois exemples authentiques, précis, <strong>de</strong> lafaçon dont <strong>ce</strong>la <strong>est</strong> vrai dans votre vie.22

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