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CHIREC, asbl

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LE SERVICE DES SOINS INTENSIFSDE L’HÔPITAL DE BRAINE-L’ALLEUD-WATERLOOLE <strong>CHIREC</strong>L’hôpital de Braine-l’Alleud-Waterloo offre depuis plus de 30 ansdes soins de qualité aux habitants de la région.Depuis le mois de juillet 2000, nous faisons partie du CentreHospitalier Interrégional Edith Cavell (<strong>CHIREC</strong>), au même titre quela Clinique du Parc Léopold, la Clinique Edith Cavell et la Cliniquede la Basilique. L’ensemble compte actuellement plus de 800 lits.L’institution possède de nombreuses consultations, unhôpital de jour, des services généraux ainsi que des servicesspécialisés comme ceux des urgences et des soins intensifs.NOTRE UNITE DE SOINS INTENSIFSL’Unité de soins intensifs accueille des patients qui, pour diversesraisons, doivent bénéficier d’une surveillance étroite et des soinscontinus, 24h sur 24. Nous disposons de matériel hautementtechnologique et d’un personnel médical et soignant spécialisé.Chaque année, l’unité de soins intensifs de l’Hôpital de Brainel’Alleud-Waterlooaccueille 750 patients : certains après uneopération, d’autres à cause d’une maladie ou d’un accident.Il ne s’agit donc pas d’un événement exceptionnel.De nombreuses admissions sont justifiées par un souci préventifplutôt que par l’existence d’un danger immédiat pour la vie.La décision d’admettre un patient dans notre unité ne doit pas êtredramatisée.Dans ce contexte, nous prenons en charge despersonnes concernées par toutes les disciplines médicales.3


PRESENTATION DE L’EQUIPE1. Cadre médical :Chef de service :Médecins intensivistes :Dr Hervé LignianDr Philippe El HaddadDr Julian MuguerzaDr Marie Vanhove2. Cadre Infirmier :Chef d’unité :Equipe d’infirmier(e)s :Mme Christine Leclercqdes infirmier(e)s gradué(e)sspécialisé(e)s en soins intensifset aide médicale urgente3. Cadre administratif :Les secrétaires qui sont affectées au service.4


Si vous désirez recevoir des nouvelles de votre proche au moment desvisites, l’équipe infirmière vous donne toutes les explications souhaitées.Si vous souhaitez rencontrer le médecin, adressez-vous àl’infirmier(e) qui peut vous fixer un rendez-vous avec elle/lui.Souvent, le contact est immédiat.Merci de tenir compte du fait qu’à certaines heures (visites du soir etweek-end) ce n’est pas toujours un médecin attaché au service quiassure la permanence.Celui-ci dispose de toutes les informations nécessaires pour assurerefficacement la continuité des soins, pas nécessairement pour vousdonner des détails sur l’avenir proche (examens planifiés sortie).L’équipe se tient aussi à votre disposition pour l’obtention de diversdocuments : certificats, attestations…« Dois-je apporter des effets personnels au membre de ma famillehospitalisé ?»Voici les effets personnels à prévoir pour le séjour aux soins intensifs :• Savon• Shampooing• Rasoir, mousse à raser ou rasoir électrique• Eau de Cologne• (Miroir)• Peigne et/ou brosse à cheveux• Brosse à dents et dentifrice• Pantoufles et peignoirNous vous prions de bien vouloir reprendre régulièrement le linge souillé9


LES APPAREILS QUE L’ON RENCONTREAUX SOINS INTENSIFSEn fonction de la situation, votre proche peut être entouré de diversappareils auxquels il est relié par des tuyaux et des câbles.Cet équipement nécessaire à la surveillance et au traitement desmalades est souvent impressionnant.Soyez assurés que leur utilisation est toujours la plus brève possible.Voici une explication pour chacun d’entre eux.Le moniteur cardiaque, ou «monitoring» :Il s’agit d’un écran ressemblant à celui d’unordinateur qui se trouve au-dessus du patient.Tous les malades qui séjournent aux soinsintensifs y sont reliés grâce à des câbles et desélectrodes (pastilles blanches collées sur lapoitrine).Le moniteur enregistre de façon continue lerythme et les battements du cœur (ECG), latension artérielle (TA) et d’autres paramètrescomme le taux d’oxygène dans le sang(saturation).Le masque à oxygèneCe masque peut être appliqué sur le visage du patient. Une sonde peutaussi être placée dans son nez. Ces dispositifs donnent de l’oxygène aumalade et ne l’empêchent pas de parler normalement.Les pompes et les pousse-seringues électriquesIls servent à contrôler de manière précisel’administration de liquides : les perfusions, lesmédicaments intraveineux et l’alimentation. Lespompes contrôlent la quantité et la vitesse desperfusions.10


Le respirateurIl s’agit d’un appareil qui envoie de l’air enrichi d’oxygène dans lespoumons du patient.Ceci peut se faire par l’intermédiaire d’untube ou d’un masque qui doit alors êtrefermement appliqué sur le visage pouréviter au maximum les fuites. De ce fait,ce type de masque n’est pas toujours trèsconfortable, mais il permet parfoisd’éviter l’intubation.Celle-ci consiste à introduire un tubedirectement dans les voies respiratoires(trachée).Dans ce cas, n’essayez pas de faire parler le patient : le tube passeentre les cordes vocales et il est physiquement impossible de produireun son. Une telle tentative ne peut que produire douleur, anxiété oumême agitation qu’il convient évidemment d’éviter.Le plus souvent, l’assistance respiratoire et surtout la présence d’un tubenécessitent l’administration d’une sédation suffisante (médicamentscalmants). Ceci a pour effet d’altérer l’état de conscience de façon variableselon les cas, mais peut aller jusqu’au «coma artificiel».La sonde gastriqueCe tuyau est introduit dans l’estomac via le nez et permet, soitd’aspirer le continu de l’estomac, soit d’administrer une alimentationliquide.La sonde vésicale ou urinaireC’est un tuyau souple introduit dans la vessie et relié à un sac. Cedispositif permet de récolter les urines et d’en mesurer la quantité.Paradoxalement, la présence de la sonde peut provoquer desenvies d’uriner alors que la vessie est en permanence vide.11


Un capteurC’est un petit manchon en caoutchouc placé sur un doigt qui permetd’évaluer à travers la peau la quantité d’oxygène présente dans le sang.AutresD’autres drains permettent d’évacuer de l’air, du sang, ou d’autres liquides.Les alarmesLe moniteur, le respirateur et les pompes sont tous munis d’alarmestrès sensibles qui s’activent régulièrement. Elles sont destinées àsignaler toute anomalie chez les malades, ainsi qu’à donner desinformations sur les équipements eux-mêmes (fin d’une perfusion etc…).Par sécurité, les réglages sont faits pour ne manquer aucunevéritable alarme, ce qui implique qu’il y en ait beaucoup de fausses!!! Par exemple, un simple mouvement, peut parfois provoquer unealarme. Dès que celle-ci se déclenche, elle est aussitôt analysée par lepersonnel soignant qui prend des mesures appropriées.Ne vous inquiétez pas si vous entendez les différentes alarmessonner : cela ne signifie pas quevotre proche est moins bien !Vous pouvez faire entière confiance àl’équipe.Le personnel soignant se tient à votredisposition pour tout renseignementcomplémentaire au sujet de l’appareillage.12


AUTRES PARTICULARITES DES SOINS INTENSIFSL’environnement des soins intensifs est très stressant pour le patient :angoisse liée à la maladie, douleur, bruit de l’équipement électrique,alarmes qui se déclenchent à toute heure du jour et de la nuit.Certains malades sont reliés à des appareils qui les empêchentde bouger ou de parler sans qu’ils comprennent pourquoi.D’autre part, les patients reçoiventde nombreux médicaments commeanti-douleurs, calmants, ou légersanesthésiques pour améliorerleur confort et les aider à supportercette situation difficile.Tout cela va peut-être provoquerdiverses réactions chez votreproche : agressivité, agitation, pertes demémoire, rejet de sa famille, angoisse,désorientation, confusion,…Ne soyez pas inquiets, ces réactions sont transitoires et nedoivent pas vous empêcher de lui rendre visite et de vous enapprocher : votre présence pourra l’apaiser, le rassurer.Perte de mémoireA cause des médicaments qu’ils reçoivent,certains malades ont des pertes de mémoire.Il se peut qu’ils ne se souviennent pas desexplications que nous leur donnons, des soinsprodigués ou même des visites reçues.Ils peuvent alors vous expliquer en toutebonne foi qu’ils n’ont pas vu de médecin oud’infirmière, qu’on ne s’est pas occupé d’eux.Soyez certains que nous répondonsà toutes leurs demandes, même s’ilsne s’en souviennent pas toujours…13


AUTRES PARTICULARITES DES SOINS INTENSIFSDès que l’état du patient s’améliore suffisamment pour ne plusnécessiter des soins intensifs, son transfert est organisé vers unautre service d’hospitalisation ou parfois directement vers le domicile.Dans la plupart des cas, vous êtes prévenus du départ devotre proche, mais il se peut que parfois le transfert versun autre service s’organise plus rapidement que prévu enraison d’admissions urgentes de malades dans un état critique.Vous trouvez des informations plus détaillées sur lesdifférents types de chambres dans le livret d’accueil de l’hôpital.Nous espérons que le séjour de votre proche se déroulera de la meilleuremanière possible et nous lui souhaitons un prompt rétablissement.Nous restons à votre disposition pour de plus amples informations.L’équipe des soins intensifs14


NOTES15


Clinique, Ziekenhuis, Clinic PARC LEOPOLD<strong>CHIREC</strong>, <strong>asbl</strong>Centre Hospitalier Interrégional Edith CavellClinique, Ziekenhuis, Clinic EDITH CAVELLrue Edith Cavell, straat, street, 32BE - 1180 Bruxelles - Brussel - Brussels +32 2 340 40 40Clinique, Ziekenhuis, Clinic PARC LEOPOLD / PARK LEOPOLDrue Froissart, straat, street, 38BE - 1040 Bruxelles - Brussel - Brussels +32 2 287 51 11Clinique, Ziekenhuis, Clinic BASILIQUE / BASILIEKrue Pangaert, straat, street, 37-47BE - 1083 Bruxelles - Brussel - Brussels +32 2 422 42 42Hôpital, Ziekenhuis, Hospital BRAINE L’ALLEUD-WATERLOOrue Wayez, straat, street, 35BE - 1420 Braine-l’Alleud +32 2 389 02 11Centre Médical, Medisch Centrum, Medical Centre EUROPE LAMBERMONTrue des Pensées, straat, street, 1-5BE - 1030 Bruxelles - Brussel - Brussels +32 2 240 60 6016

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