Bonne année 2005 - fncv.com

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Séminaire des présidents 2004 (suite)liste et les adresses des volontaires desmissions extérieures afin de pouvoir lescontacter pour leur faire connaître laFNCV et les inviter à rejoindre la grandefamille des volontaires.Ma proposition demande du tempset de la persévérance. Nous avonscertainement parmi nous des personnesqui pourraient nous ouvrir certainesportes pour gagner du temps.Mon temps de parole est certainementpassé. Il n’est pas évident d’êtrebref, surtout devant la menace de notresurvie qui dépend de l’engagementimpérieux de chacun de nous sur lerecrutement. Notre héritage en dépend ! »Le président national : « En ce quiconcerne le devoir de mémoire, vousavez malheureusement de la matièredans votre département et je crois quevous êtes très moteur dans cette activité.La préservation de la mémoire et l’approchedes enfants est excellente.Félicitations pour votre nomination à laprésidence de la section, cela ne peutque vous donner une plus-value pourtoutes les actions entreprises. Quant àl’approche des futurs combattantsvolontaires, c’est un sujet d’étude quisera à développer lorsque nous auronsobtenu satisfaction concernant l’attributionde la CCV aux combattants desmissions extérieures. »6000 OISELe président national, JacquesGAGNIARD, également président decette section, indique qu’il a les mêmessoucis que partout ailleurs.« Ce qui nous préoccupe et que l’oncultive, c’est la représentation de notresection auprès du monde combattant etdes institutionnels. Les combattantsvolontaires sont très implantés et parfois,on me dit avec un sourire complice« vous avez fait un hold-up sur le mondecombattant »… C’est en fait le contraire.Ce sont les présidents de quelques unesdes associations départementales qui,s’étant découverts titulaires de la CCV,ont rejoint nos rangs. Néanmoins, il y aencore beaucoup d’anciens combattants,titulaires de la CCV, inscrits dansd’autres associations, qui hésitent àadhérer à la FNCV du fait qu’il leur faudraitpayer une nouvelle cotisation.Encore un sujet à étudier de plus près. »6200 PAS-DE-CALAISLe président ADELINE ne peut êtreparmi nous aujourd’hui du fait de lamauvaise santé de son épouse depuisson retour du voyage en Pologne organisépar la section. C’est donc NorbertBOULANGER, secrétaire départemental,qui le représente.« C’est la première fois que j’assisteau séminaire et je n’en connaissais pasle déroulement. Je n’ai rien préparé et leprésident ADELINE m’a dit : « Tu es ungrand garçon maintenant, tu n’aurasqu’à te débrouiller ! ». Je vais cependantessayer de vous faire un petit compterendu de nos activités pour l’annéeécoulée.Notre section compte 68 adhérents àjour de cotisation et nos effectifs sontdonc maintenus.Nous avons été présents avec notreporte-drapeau à toutes les manifestationspatriotiques. En septembre dernier,nous avons passé, cette année encore,une agréable semaine ici même etdans la région avec les compagnonsde la section. Nous avons organisé encommun, avec deux associations d’ancienscombattants amies, un voyage enPologne où nous avons reçu un accueilque je qualifierais de plus que chaleureuxpar nos amis polonais. J’ai étéétonné de retrouver en Pologne descombattants volontaires qui sont restésFrançais de cœur et je recommande àceux qui en ont la possibilité de faire levoyage.Je terminerai en vous disant que jesuis très honoré d’avoir pu faire partiedes vôtres aujourd’hui et en vous remerciantde l’attention que vous avez bienvoulu m’accorder. »Le secrétaire général rappelle qu’il aexisté une section FNCV de combattantsvolontaires en Pologne et que le plusgros réseau des Forces FrançaisesCombattantes, le réseau F2, était d’originepolonaise. Par ailleurs, les polonaisont constitué un nombre significatif debataillons, notamment dans le Nord,le Pas-de-Calais et dans toutes lesrégions minières, et leur contribution auxcombats de la Libération a été trèsimportante..Le président national : « Je crois quela Pologne est le pays étranger qui afourni le plus de combattants volontaires,aussi bien pour la première quepour la seconde guerre mondiale. Beaucoupd’hommes en âge d’être mobiliséssont arrivés en France après la premièreguerre mondiale comme main-d’œuvredans les mines et sur les terres agricoles.Lors de la mobilisation, ils se sont portésvolontaires et ont d’abord été refusés dufait qu’ils n’étaient pas Français. Ils ontdû repartir chez eux attendre les instructionspour pouvoir de nouveau se portervolontaires. Les commandements polonaiset français ont alors pris la décisionde former deux divisions polonaises dèsseptembre 1939. Certains se sont mêmeengagés dans la Légion étrangère.»6300 PUY-DE-DÔMEJean BULTEY intervient pour laseconde année en sa qualité de présidentdépartemental du Puy-de-Dôme. Ils’est fait particulièrement connaître aucongrès national de la FédérationMaginot qu’il a été chargé d’organiser àVichy en septembre 2003.« Je voudrais d’abord, noblesse oblige,remercier Marie-Ange pour tout cequelle fait pour nous, compte tenu desdifficultés qu’elle a rencontrées cetteannée, remercier également tous ceuxqui travaillent pour nous au bureaufédéral.Je vois que nous sommes tous unpeu négatifs, il faut le reconnaître, danstout ce qui a été dit depuis ce matin. Ilne faut pas en rester là et changer unpeu d’optique afin que nous devenionspositifs.Quand on passe après autant deprésidents, il est difficile de ne pas serépéter. Il faut que nous puissions nousregrouper, construire quelque chose desolide. En attendant que la CCV soitdécernée aux missions extérieures, cequi va être un plus pour notre Fédération,il nous faut siéger dans toutes lesinstances départementales, entretenird’étroites relations avec les actuellesunités professionnelles et leur fairedécouvrir la FNCV.En ce qui concerne les activités denotre section sur l’année 2004, j’ai eucomme vous beaucoup de difficultés.Mon prédécesseur, Jean-Louis RADJE-NOVIC, a eu de gros soucis de santé etGuy SAINCTAVIT, trésorier départemental,vient également de démissionnerpour les mêmes raisons… Notre portedrapeaufait 30 à 35 sorties par an etnous organisons, avec les associationsamies, un voyage annuel qui nouspermet de maintenir des liens étroits…Du sang nouveau il en faut, c’est unequestion de survie. Il faut sortir, payer desa personne, se faire connaître et nousmontrer partout. »Le président national : « Il est évidentqu’il faut être positif. On a plutôt tendancedans ce séminaire à faire des constatset un état des lieux, mais la conclusionn’est pas forcément négative. Aucontraire, on ne reste pas l’arme au piedà dire « ça ne va pas ! » et nous nousefforçons de trouver ensemble des solutionsd’avenir. »(suite page 15)14

Séminaire des présidents 2004 (suite)6400 PYRENEES-ATLANTIQUESNous accueillons Paul LARTIGUE quinous adresse les meilleures et pluscordiales amitiés des membres de lasection des Pyrénées-Atlantiques.« Je suis président départementaldepuis bientôt dix-huit mois. L’an passé,le séminaire fut pour moi une épreuveremplie d’émotion, de rencontrer cebeau monde combattant volontaire detoute la France. Vous devez savoir,mieux que quiconque, ce que c’estd’avoir la charge et le devoir de dirigerune section.L’année dernière, je vous ai renducompte que ma section était constituéede 28 adhérents. J’ai fait la promesseque je ferai tout mon possible pourremonter la section mise en sommeil,sauvée de justesse de la dissolution parmon intervention.J’ai repris contact avec les ancienscombattants, été à leur écoute lors desrassemblements et fait passer notremessage aux jeunes générations dufeu… Bien des fois, j’ai été mal reçu, malcompris ou méprisé, mais c’était mal meconnaître. Il en aurait fallu beaucoupplus pour me décourager, sans parlerdes tracas financiers. Au contraire, celame motivait davantage, d’autant que j’aireçu le soutien inconditionnel de notretrésorier, Max FLANQUART, et pu bénéficierde tous ses bons conseils.… Aujourd’hui, la section est forte de115 adhérents, sans compter les dossiersd’admission en cours d’étude.C’est un renouveau très important dansla vie de la section. Ceci réjouit tout lemonde.… Je pense avoir tenu le pari que jem’étais fixé, à savoir redonner une belleimage de la FNCV dans mon département…»Le président national : « C’est un travailextraordinaire que vous avez entrepris,avec un succès que vous ne devezqu’à vous. Félicitations.»6600 PYRÉNÉES-ORIENTALESJean-Claude RICHET prend la parole.«A 63 ans, j’ai pris la présidence de lasection des Pyrénées-Orientales, suite audécès de mon prédécesseur. La sectionne comprenait plus que 17 adhérents. Ace jour, nous sommes 49 et nous comptonsencore augmenter nos effectifs.Pour ce faire, nous faisons paraître desarticles dans la presse départementale,nous participons au forum des associations,assistons à toutes les manifestationspatriotiques, et sommes présents àl’UDAC et au comité d’entente desanciens combattants.Repas de clôture avec trois anciens présidents : Pierre DE LA HOUSSAYE et Madame,François GOETZ, Daniel TOLDO(photo LEVALLEUR)Je tiens à remercier publiquementmon porte-drapeau qui me suit partout,lors des cérémonies officielles ou demes visites aux malades…Bref, notre moral est au beau fixe. »Le président national : « Prendre desresponsabilités dans diverses commissionslocales a dû effectivement vousaider dans le recrutement. En ce quiconcerne les subventions que pourraientaccorder les mairies, il m’arrive d’utiliserl’argument de dire au maire que s’il estsatisfait de trouver des anciens combattantsau monument aux Morts, il doitsavoir que les présidents ont des portedrapeauqui prennent de l’âge, qu’ il fautles transporter et souvent les nourrir…Cela ne coûte pas très cher, mais c’esttoujours de l’argent que l’on n’a pas pourl’action sociale ou autre chose. Merci devotre bon cœur, monsieur le maire !!! »6700 HAUT-RHINAprès une pause d’un quart d’heure,le président délégué national JacquesPOTASCHMANN prend la casquette deprésident départemental. Il se dit heureuxd’être parmi nous et nous apportele salut fraternel des combattants volontairesde la section du Bas-Rhin.« Notre effectif est en légère augmentationpar rapport à l’année dernière,puisque nous sommes actuellement84 adhérents. Nous déplorons un décèset une démission. Le recrutement restedonc très difficile.Nos activités sont les mêmes que lesvôtres. Nous assistons aux différentescérémonies patriotiques se déroulantprincipalement au chef-lieu du département.Lors de notre assemblée générale,le 17 avril dernier à Hoenheim, nousavons eu la joie d’avoir parmi nousle nouveau président fédéral, et nouslui sommes reconnaissants d’avoirbien voulu faire le déplacement à cetteoccasion.Comme chaque année, le challengeFNCV du Bas-Rhin a été mis en compétitionle 1 er mai lors d’un tournoi de footballdes jeunes. Le 23 octobre prochainnous organisons une sortie récréative aumusic-hall Royal Palace à Kirwiller avecla participation d’une cinquantaine depersonnes, conjoints compris. »6900 RHÔNELe président département et administrateurnational, Lucien THIBAUT, estinvité à la tribune.« Les mêmes problèmes que lesvôtres se posent dans ma section :recrutement, perte d’effectif…On s’était fixé cette année, avec leconseil d’administration, deux objectifs :- Le devoir de mémoire, puisque l’oncommémorait le 60 ème anniversaire de lafin de la guerre 1939-1945. Nous avonsorganisé un voyage à Arromanches àl’occasion des cérémonies officielles etvous avez pu en lire le compte-rendudans le précédent journal. Par ailleurs,nous avons honoré nos grands anciensen nous rendant à Verdun. Ces voyagesont été particulièrement appréciés etcela tisse des liens entre nos membrespuisque ces quelques jours passésensemble sont vécus au même rythmeet sont un peu différents du cadre denos permanences mensuelles.(suite page 16)15

Séminaire des présidents 2004 (suite)liste et les adresses des volontaires desmissions extérieures afin de pouvoir lescontacter pour leur faire connaître laFNCV et les inviter à rejoindre la grandefamille des volontaires.Ma proposition demande du tempset de la persévérance. Nous avonscertainement parmi nous des personnesqui pourraient nous ouvrir certainesportes pour gagner du temps.Mon temps de parole est certainementpassé. Il n’est pas évident d’êtrebref, surtout devant la menace de notresurvie qui dépend de l’engagementimpérieux de chacun de nous sur lerecrutement. Notre héritage en dépend ! »Le président national : « En ce quiconcerne le devoir de mémoire, vousavez malheureusement de la matièredans votre département et je crois quevous êtes très moteur dans cette activité.La préservation de la mémoire et l’approchedes enfants est excellente.Félicitations pour votre nomination à laprésidence de la section, cela ne peutque vous donner une plus-value pourtoutes les actions entreprises. Quant àl’approche des futurs <strong>com</strong>battantsvolontaires, c’est un sujet d’étude quisera à développer lorsque nous auronsobtenu satisfaction concernant l’attributionde la CCV aux <strong>com</strong>battants desmissions extérieures. »6000 OISELe président national, JacquesGAGNIARD, également président decette section, indique qu’il a les mêmessoucis que partout ailleurs.« Ce qui nous préoccupe et que l’oncultive, c’est la représentation de notresection auprès du monde <strong>com</strong>battant etdes institutionnels. Les <strong>com</strong>battantsvolontaires sont très implantés et parfois,on me dit avec un sourire <strong>com</strong>plice« vous avez fait un hold-up sur le monde<strong>com</strong>battant »… C’est en fait le contraire.Ce sont les présidents de quelques unesdes associations départementales qui,s’étant découverts titulaires de la CCV,ont rejoint nos rangs. Néanmoins, il y aencore beaucoup d’anciens <strong>com</strong>battants,titulaires de la CCV, inscrits dansd’autres associations, qui hésitent àadhérer à la FNCV du fait qu’il leur faudraitpayer une nouvelle cotisation.Encore un sujet à étudier de plus près. »6200 PAS-DE-CALAISLe président ADELINE ne peut êtreparmi nous aujourd’hui du fait de lamauvaise santé de son épouse depuisson retour du voyage en Pologne organisépar la section. C’est donc NorbertBOULANGER, secrétaire départemental,qui le représente.« C’est la première fois que j’assisteau séminaire et je n’en connaissais pasle déroulement. Je n’ai rien préparé et leprésident ADELINE m’a dit : « Tu es ungrand garçon maintenant, tu n’aurasqu’à te débrouiller ! ». Je vais cependantessayer de vous faire un petit <strong>com</strong>pterendu de nos activités pour l’<strong>année</strong>écoulée.Notre section <strong>com</strong>pte 68 adhérents àjour de cotisation et nos effectifs sontdonc maintenus.Nous avons été présents avec notreporte-drapeau à toutes les manifestationspatriotiques. En septembre dernier,nous avons passé, cette <strong>année</strong> encore,une agréable semaine ici même etdans la région avec les <strong>com</strong>pagnonsde la section. Nous avons organisé en<strong>com</strong>mun, avec deux associations d’anciens<strong>com</strong>battants amies, un voyage enPologne où nous avons reçu un accueilque je qualifierais de plus que chaleureuxpar nos amis polonais. J’ai étéétonné de retrouver en Pologne des<strong>com</strong>battants volontaires qui sont restésFrançais de cœur et je re<strong>com</strong>mande àceux qui en ont la possibilité de faire levoyage.Je terminerai en vous disant que jesuis très honoré d’avoir pu faire partiedes vôtres aujourd’hui et en vous remerciantde l’attention que vous avez bienvoulu m’accorder. »Le secrétaire général rappelle qu’il aexisté une section FNCV de <strong>com</strong>battantsvolontaires en Pologne et que le plusgros réseau des Forces FrançaisesCombattantes, le réseau F2, était d’originepolonaise. Par ailleurs, les polonaisont constitué un nombre significatif debataillons, notamment dans le Nord,le Pas-de-Calais et dans toutes lesrégions minières, et leur contribution aux<strong>com</strong>bats de la Libération a été trèsimportante..Le président national : « Je crois quela Pologne est le pays étranger qui afourni le plus de <strong>com</strong>battants volontaires,aussi bien pour la première quepour la seconde guerre mondiale. Beaucoupd’hommes en âge d’être mobiliséssont arrivés en France après la premièreguerre mondiale <strong>com</strong>me main-d’œuvredans les mines et sur les terres agricoles.Lors de la mobilisation, ils se sont portésvolontaires et ont d’abord été refusés dufait qu’ils n’étaient pas Français. Ils ontdû repartir chez eux attendre les instructionspour pouvoir de nouveau se portervolontaires. Les <strong>com</strong>mandements polonaiset français ont alors pris la décisionde former deux divisions polonaises dèsseptembre 1939. Certains se sont mêmeengagés dans la Légion étrangère.»6300 PUY-DE-DÔMEJean BULTEY intervient pour laseconde <strong>année</strong> en sa qualité de présidentdépartemental du Puy-de-Dôme. Ils’est fait particulièrement connaître aucongrès national de la FédérationMaginot qu’il a été chargé d’organiser àVichy en septembre 2003.« Je voudrais d’abord, noblesse oblige,remercier Marie-Ange pour tout cequelle fait pour nous, <strong>com</strong>pte tenu desdifficultés qu’elle a rencontrées cette<strong>année</strong>, remercier également tous ceuxqui travaillent pour nous au bureaufédéral.Je vois que nous sommes tous unpeu négatifs, il faut le reconnaître, danstout ce qui a été dit depuis ce matin. Ilne faut pas en rester là et changer unpeu d’optique afin que nous devenionspositifs.Quand on passe après autant deprésidents, il est difficile de ne pas serépéter. Il faut que nous puissions nousregrouper, construire quelque chose desolide. En attendant que la CCV soitdécernée aux missions extérieures, cequi va être un plus pour notre Fédération,il nous faut siéger dans toutes lesinstances départementales, entretenird’étroites relations avec les actuellesunités professionnelles et leur fairedécouvrir la FNCV.En ce qui concerne les activités denotre section sur l’<strong>année</strong> 2004, j’ai eu<strong>com</strong>me vous beaucoup de difficultés.Mon prédécesseur, Jean-Louis RADJE-NOVIC, a eu de gros soucis de santé etGuy SAINCTAVIT, trésorier départemental,vient également de démissionnerpour les mêmes raisons… Notre portedrapeaufait 30 à 35 sorties par an etnous organisons, avec les associationsamies, un voyage annuel qui nouspermet de maintenir des liens étroits…Du sang nouveau il en faut, c’est unequestion de survie. Il faut sortir, payer desa personne, se faire connaître et nousmontrer partout. »Le président national : « Il est évidentqu’il faut être positif. On a plutôt tendancedans ce séminaire à faire des constatset un état des lieux, mais la conclusionn’est pas forcément négative. Aucontraire, on ne reste pas l’arme au piedà dire « ça ne va pas ! » et nous nousefforçons de trouver ensemble des solutionsd’avenir. »(suite page 15)14

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