PREDD-Basse_Normandie 10 11 2009 - Biomasse Normandie

Déchets dangereuxhors déchets d'activité de soinDe la même façon, en l’absence d’informations supplémentaires, les flux de déchets importés enrégion ont été considérés comme stables 10 .Signalons par ailleurs que certains projets sont en cours de réflexion ou d’examen par l’inspection desinstallations classées à l’échelle de la région à la date de publication du document et notamment :- l’extension d’une activité de traitement d’accumulateurs existante, pour une capacité envisagéede 50 000 tonnes annuelles, soit 20 000 tonnes supplémentaires (en cours d’instruction),- le développement d’une unité de valorisation de déchets de bois traités ou non, pour unecapacité annuelle de 30 000 t (arrêté préfectoral du 8 octobre 2008),- la diversification des flux entrants sur une unité de co-incinération, en vue de recourir à desdéchets liquides huileux.Ces nouveaux projets étant en cours d’étude ou d’instruction lors de la réalisation des travaux derévision du PREDD, la Commission consultative a décidé de ne pas les intégrer à l’analyseprospective.10 Pour le stockage : pas d’information disponible sur l’évolution des flux importés provenant majoritairement del’installation SEDIBEX (mâchefers et REFIOM). Pour les déchets valorisés dans l’installation de GDE,l’hypothèse est cohérente, l’activité de cette installation correspondant actuellement à la capacité maximaleautorisée. L’application du principe de proximité privilégie en outre l’accueil des déchets bas-normands.Plan Régional d’Elimination des Déchets Dangereuxp.51