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La Terre Creuse.pdf - Accueil

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<strong>La</strong> <strong>Terre</strong> creuse 5Cependant un représentant haut placé de l'Air Force déclarait dans le même temps que les objets volantsnon identifiés étaient des véhicules interplanétaires.Dans le numéro de janvier-février 1963 de UFO Investigator publié par Keyhoe, un article se réfère àune déclaration faite par un membre du Congrès, John E. Moss, président de la sous-commission del'Information. Cette déclaration avait été publiée par le Washington World.Que disait Moss ? Que ces contrôles sévères avaient pour but une plus grande manipulation del'information au niveau du Département de la Défense. Que les fonctionnaires de l'Information étaient, en réalité,relégués au rang de poupées de ventriloque. Que le public n'avait pas à faire valoir son droit de connaître lavérité.Moss a raconté à la Commission nationale d'investigations des phénomènes aériens que son propre comitéétait autorisé à examiner certains cas d'espèce, mais qu'il n'était pas habilité pour enquêter sur l'ensemble desfaits relevant de la censure officielle.Le major Keyhoe, il faut le souligner, a toujours cru fermement à la réalité des soucoupes volantes, et celabien avant le premier article qu'il ait publié sur la question, et qui date de janvier 1950.On a dit que le CIA jouait un rôle dans cette comédie qui pourrait s'appeler : « Le secret des UFOs. » Unepreuve supplémentaire en est fournie dans un paragraphe du livre de Léonard H. Stringfield : Inside SaucerPost 3-0 Blue.Dans son livre, p. 42, Stringfield, un chercheur UFO bien connu de Cincinnati, évoque un certain Mr. A.D., appartenant à une agence importante de Washington. Ce Mr. A. D. aurait dit qu'il avait en main une affairerelevant de la Cour fédérale. Mais comme sur simple injonction on pouvait empêcher n'importe qui detémoigner devant la cour, car le problème des UFOs exigeait un maximum de sécurité, l'avocat de Mr. A. D. luiavait suggéré de laisser tomber l'affaire.Conclusion : les dossiers de l'Air Force sur les soucoupes volantes sont conservés sous clé... pour leur plusgrande sécurité !Plusieurs années après la publication de son livre, Stringfield révéla que le Mr. A. D. auquel il avait faitallusion n'était autre que Allen Dulles, ex-directeur du CIA. Cela illustre bien le sérieux intérêt que porte le CIAau problème des UFOs.Il fut un temps où, avec beaucoup d'autres, je croyais que c'était l'Air Force qui faisait le black-out dans cedomaine. Ce n'est plus ma conviction. Une des raisons qui m'ont fait changer d'avis trouve sa source dans unentretien que j'eus avec Wilbert B. Smith environ deux ans avant sa mort. Au cours de cette conversation, jedemandai à Mr. Smith si c'était l'Armée de l'Air, ou un autre ministère, qui gardait secrètes les informationsUFO. Mr. Smith me répondit que ce n'était pas l'Armée de l'Air, mais « un petit groupe haut placé augouvernement ». Comme je lui demandais des précisions, Mr Smith refusa d'identifier ce groupe et changea trèsvite de conversation.<strong>La</strong> publication du livre Le Gouvernement invisible, en mai 1964, fournit enfin une clé apparente à cemystère. Il était dit dans ce livre que le Groupe spécial avait été créé du temps d'Eisenhower sous le chiffresecret 54/12. Il était connu dans le petit cercle d'intimes de l'Administration d'Eisenhower sous ce nom : «Groupe 54/12 »... Pendant une période de dix ans il a été le centre caché et puissant du Gouvernementinvisible... Et il a fonctionnédans un climat de mystère tel qu'on n'en avait jamais connu de pareil dans aucune autre branche dugouvernement américain... Les hommes du CIA ont généralement le Groupe spécial à l'esprit quand ils insistentsur le fait que leurs services n'ont jamais fait de politique, mais ont seulement obéi à des ordres venus de plushaut.

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