<strong>La</strong> <strong>Terre</strong> creuse 18Les observations ci-dessus - qui font état d'une forte concentration de soucoupes volantes dans larégion arctique - correspondent à de semblables observations faites par Bender et Jarrold dans l'Antarctique.Certains experts pensent d'ailleurs que l'Antarctique sert de base d'atterrissage aux UFOs. Quoiqu'il en soit, suivant la théorie développée dans le présent ouvrage, une chose est sûre : c'est par lesouvertures polaires qu'on peut avoir accès au Monde intérieur de la <strong>Terre</strong>, c'est donc par là que passent lessoucoupes volantes qui sont les super-engins aériens de ce monde. Aimé Michel, dans sa théorie de la «ligne droite », prouve que les soucoupes volantes ont presque toutes le même type de vol, suivant unedirection nord-sud. Ce qui confirmerait encore, s'il en était besoin, leur origine polaire.En février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà dupôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de « l'Oasis de Bunger ».Le capitaine David Bunger était aux commandes d'un des six grands appareils de transport utilisés parla Marine américaine pour « l'Opération High-jump » (1946-1947). Il avait quitté la base de Shackleton,près de la Côte de la Reine Marie, dans la <strong>Terre</strong> de Wilkes, et il volait vers l'intérieur du continentantarctique, lorsque, à environ 6 kilomètres du littoral, il aperçut une région sans glace, avec des lacs.Ces lacs étaient de différentes couleurs. Cela allait du rouge sombre au bleu profond, en passant parle vert. Ils avaient tous plus de 4 kilomètres de longueur. L'eau était plus chaude que dans l'océan. Bungerput le vérifier en posant son hydravion sur l'un de ces lacs. <strong>La</strong> grève était en pente douce.L'oasis représentait grossièrement un carré. Au-delà, c'était une étendue sans fin de neige éternelle etde glace. Deux des côtés de l'oasis se dressaient à près de trente mètres de hauteur et étaient constitués degrands murs de glace. Les deux autres côtés étaient moins abrupts.<strong>La</strong> présence d'une telle oasis en plein Antarctique semblerait indiquer dans cet endroit précis desconditions de températures plus clémentes. Tel qu'il en existerait si l'oasis se trouvait justement dans ladépression polaire sud ! On peut difficilement expliquer autrement les choses. Dire que cela résulte d'uneactivité volcanique souterraine n'est pas une réponse satisfaisante. Ce territoire sans glace représente unesurface d'environ 600 kilomètres carrés, étendue trop importante pour être affectée par une source de chaleurvolcanique. Les courants de vent chaud en provenance de l'intérieur de la <strong>Terre</strong> sont une meilleureexplication.Ainsi, Byrd dans l'Arctique et Bunger dans l'Antarctique ont découvert à peu près à la même époquedes régions bénéficiant d'une température presque chaude. Mais ils n'ont pas été les seuls.Il y a quelque temps, un journal de Toronto, le Globe and Mail, publiait une photo d'une valléeverdoyante, prise par un aviateur dans la région arctique. Evidemment, l'aviateur avait pris le cliché en volet n'avait pas cherché à atterrir. C'était une belle vallée avec des collines vertes, appartenant certainement àce même territoire que Byrd avait visité au-delà du pôle. Cette photo fut publiée en 1960.
<strong>La</strong> <strong>Terre</strong> creuse 19Récit d'un voyage à l'intérieur de la <strong>Terre</strong>.Autre confirmation de la découverte de l'amiral les relations d'individus affirmant qu'ils étaient entrésdans la dépression polaire nord (comme beaucoup d'explorateurs de l'Arctique le firent sans le savoir) etavaient atteint le Monde souterrain dans l'intérieur creux de la <strong>Terre</strong>.Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté qu'un de ses patients, un homme d'origine nordique,lui avait fait le récit suivant« J'habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage enbateau et d'aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour unmois et primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d'une voile, mais aussi d'un bon moteur.« Au bout d'un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrangepays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n'arrivions pas àdormir.(Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés dans les régions polaires ont fait de semblablesobservations sur ces hausses de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds.- L'AUTEUR.)« Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleinemer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océansemblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes dans cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt entrain de naviguer dans un vaste canon qui conduisait au centre du globe. Nous n'étions pas au bout de nossurprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de la <strong>Terre</strong>!« L'océan qui nous avait transportés au creux de la <strong>Terre</strong> se rétrécissait, devenait graduellement unfleuve. Et ce fleuve, comme nous l'apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d'un bout à l'autre,de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu'à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud.« Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre etd'eau, exactement comme la surface externe. Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s'y développaitabondamment.« Au fur et à mesure que nous avancions, nous découvrions un paysage fantastique. Fantastique parceque chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres... et aussi les êtres humains.Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes, et c'était des GÉANTS.« Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface,mais de taille plus grande. Ils utilisaient un mode de transport électrique, une sorte de monorail qui suivait lebord du fleuve d'une ville à l'autre.« Certains d'entre eux aperçurent notre bateau sur le fleuve et furent très étonnés. Ils nous accueillirentamicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre.«J'étais complètement désemparé en voyant la taille énorme de tous les objets. <strong>La</strong> table était colossale.On me donna une assiette immense, et la portion qu'elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière!Le géant m'offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu'une pêche. Le goût enétait délicieux. A l'intérieur de la <strong>Terre</strong>, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil.Rien de comparable avec ceux de "l'extérieur".« Nous demeurâmes chez les géants pendant une année, goûtant leur compagnie autant qu'ils appréciaientla nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étrangesqu'inhabituelles, toujours étonnés par l'ampleur des connaissances scientifiques dont faisaient preuve ces gens.