Saison 2007-2008 - Alliage Théâtre

Saison 2007-2008 - Alliage Théâtre Saison 2007-2008 - Alliage Théâtre

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<strong>Alliage</strong> comme Alliance ?Alliance entre personnes pour œuvrer en commun…<strong>Alliage</strong> surtout au sens originel du terme : mélange de corpsdonnant naissance à un corps nouveau.Les fondateurs du projet (José Renault, Thierry Robert, CatherineKrajewski, Laurent Ledermann) ont uni leurs désirsde théâtre pour faire exister le corps nouveau, originalet singulier d'une troupe.Le champ artistique, balayé par la compagnie implantée à Reims,prend en compte le théâtre occidental dans son entier,du répertoire au contemporain.Au fil des années, les œuvres du répertoire de la compagniese font écho, résonnent entre elles. Le choix des œuvresà découvrir et à monter est aussi bien sûr sous le signede l’alliage !L’alliage c’est aussi et surtout une certaine relation au public,une relation d’élection mutuelle patiemment construite au fildes années. Nous souhaitons inviter le regardantà se pencher vers nous, à faire acte de présence au sein du lieuthéâtral, ce lieu où la parole retrouve son espace.


Les spectacles en tournéeà partir de <strong>2007</strong> ...Territoire de l’Amourd’après Cité Rouge de Christiane Ben Barek et Anne CoudinLa nouvelle et sublime histoire de Roméo et JuliettePierre GopeArlequin serviteur de deux maîtresCarlo Goldoniadaptation Pascal AdamMa familleCarlos Liscanotraduction Françoise ThanasL’Amour des motsLouis CalaferteLa mort d’AugusteRomain WeingartenL’oiseau vertBenno BessonLes lésions dangereusesd’après des textes de Boris VianDes Oubliettes dans sa têted'après Histoires de Jacques Prévert


CréationTerritoire de l’amourd’après Cité Rougede Christiane Ben Barek, Anne Coudin, Selim Billan,Roberto Dulac, Soumarou Gory, Camel Tkhissimise en scèneJosé RenaultLumièresThierry RobertCostumes, maquillagesNathalie CharbautRégie plateauPhilippe Coutinavec : Ramatoulaye Camara,Salim Guermat,Catherine Lafont,Vincent ParrotNous avons sillonné mon immeuble, d’ étage en étage. En commençant par le dernier,le huitième. Nous avons exploré cette tour aux trésors. Le trésor de la vie des gens.Pays par pays, famille par famille, personne par personne, nous avons voyagé,nous avons recueilli la parole, les mots chaleureux ou douloureux. Nous avons partagédes moments longs ou courts, tous enfermés dans le magnétophone d’Anne. Commeun héritage qu’on léguera à tous les habitants. C’est l’héritage de la diversité françaisequi se cherche elle-même. Elle se cherche, se perd, se réjouit, perd pied, rebroussechemin, regarde le passé, revient au présent et attend de voir quelles seront les couleursque prendra son avenir.Christiane Ben BarekSujet ô combien délicat que celui de la ville et du rapport intime et passionnel de chacunde ses habitants avec ce territoire bien souvent (re) fondateur d’une identité. Les villesse renouvellent, se transforment, à grands coups de bulldozer, d’implosion,de reconstruction ! Et les citadins ?Voilà ici l’occasion de redonner au lieu, théâtre, sa fonction d’agora.production <strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong>,Espace Simone Signoret,scène conventionnée de Vitry-le-François.CréationDu 13 au 17 février <strong>2007</strong>, Espace Simone Signoret,Vitry-le-François (51)


CréationLa nouvelle et sublime histoirede Roméo et Juliettede Pierre Goped’après William ShakespeareMise en scèneJosé RenaultLumièresLaurent Lange et Thierry RobertCostumesNathalie CharbautRégie plateauPhilippe CoutinAvec : Ramatoulaye Camara,Catherine Krajewski,Henri Payet,Mathieu Washoima,Musique/chantEdouVoilà dix-huit mois que nous rêvons avec Pierre Gope de cette version de Roméo et Juliette …et avec Pierre s’attaquer à Shakespeare est une aventure palpitante pour un metteuren scène. Vous allez retrouver les figures emblématiques de la pièce mais Gope changeles codes de références et joue de la farce avec délectation. Car il s’agit bien d’une farcehumainement politique et désespérément drôle. Avec pour les acteurs des changementsde personnages où les sexes et les couleurs de peau subliment le caractère épiquede la fable. Pierre Gope ne pouvait inventer cette version de Roméo et Juliette sans jouerdes pirouettes scéniques dont il a le secret. Et pour répondre à l’écriture de Pierre,des acteurs des îles de Maré et de Lifou, des villes d’Arles et du Mans via Madagascaret de Conakry en Guinée, viendront pour vous jouer cette fabuleuse histoirede Roméo et Juliette.José RenaultCréationDu 17 au 20 avril <strong>2007</strong>, Centre Tjibaou, Nouméadu 23 au 30 avril <strong>2007</strong>, Tournée Grande Terre, NouvelleCalédonie3, 4, 5 mai <strong>2007</strong>, <strong>Théâtre</strong> de la Madeleine, Troyes (10)10 mai <strong>2007</strong>, Salle Aragon, Saint-Dizier (52)11, 12 mai <strong>2007</strong>, <strong>Théâtre</strong> de l’Albatros, Reims (51)Deux grandes familles dans le pays de la Kanaky, dite la Calédonie française,s’entredéchirent depuis 153 ans.Roméo, fils du vieux montagnard indépendantiste, tombe éperdument amoureux de Juliette,fille du vieux Do Kamo, propriétaire kanak des montagnes de minerais.Leur amour est une arme de combat…production <strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong>,Centre Culturel Tjibaou Nouméa, Nouvelle-Calédonie,<strong>Théâtre</strong> de la Madeleine, scène conventionnée de Troyes.Si la vie des innocents est submergée par l’angoisse d’une blessure aussi profonde quele vieux monde, il nous appartient de leur trouver des ailes, les plus légères pour voler…Pierre GopePierre Gope est né le 31 janvier 1966 en Nouvelle-Calédonie, à Maré, l’une des îlesde l’archipel des Loyauté, dans l’un des clans de la tribu du Pénélo.Le théâtre de Pierre Gope est un théâtre de prise de conscience, qui conjugue le mytheà l’actualité immédiate. Le courage de Pierre Gope est d’engager la discussion parle théâtre, pour nous rendre plus humains et éviter le pire.En 2001, Pierre Gope participe à la résidence d'écriture « D'un océan à l'autre »à la Chartreuse - Villeneuve - lès - Avignon, puis en 2006 il est invité par la ComédieFrançaise dans le cadre des lectures et rencontres de la Semaine de l’Océanie.Pierre Gope


Carlo GoldoniAdaptation Pascal AdamArlequin serviteurde deux maîtresL’Amour des motsLouis CalaferteMise en scèneMise en scèneJosé RenaultJosé RenaultScénographieRenaud de FontainieuLumières Thierry RobertSon François De BortoliCostumes, maquillagesNathalie CharbautRégie plateauPhilippe CoutinAvec, Catherine Krajewski,Catherine Lafont,Dominique Ferrier,Jean-Michel Guérin,Vincent Parrot,Henri Payet,Michel Thomas“ Arlequin serviteur de deux maîtres ” est d’évidenceune très grande comédie ; tout suscite le rire,cruellement, on rit des travers misérables du petitmonde humain, on rit d’Arlequin, car même si il travaillebeaucoup, qu’il ait un patron, ou deux, il n’en demeurepas moins qu’il a toujours aussi faim : il se démènedavantage, et n’en déjeune que moins.Par bonheur, la comédie parle aussi de l’amour,mais, fait étrange, elle semble surtout dire que l’amour,en somme, c’est de la comédie.Silvio et Clarice, les jeunes amoureux, s’aimentpeut-être vraiment, mais ils sont impuissants :leur sort n’est pas entre leurs mains, mais danscelles de leurs pères…ScénographieRenaud de FontainieuLumières Thierry RobertCostumesNathalie CharbautRégie plateauPhilippe CoutinAvec Jean-Michel Guérinet Mélanie FayeCoproduction<strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong> /Espace Simone Signoretscène conventionnéede Vitry-le-François.“ Les mots sont comme des ballons, il y ena de toutes les couleurs, des bleus, des verts,des jaunes, des rouges...Il nous suffitde jongler avec, de les mélanger, de lesadditionner, de les diviser, de les tronçonner,de les soustraire ou de les mettre tous dansle même sac pour devenir très rapidement desvirtuoses du vocabulaire, des vocabuliers, desvulcanologues, des volubilis, que sais-jeencore!... Car l’étude n’est pas forcément unechose austère et rébarbative…”Production<strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong> /Espace Simone Signoretscène conventionnéede Vitry-le-François.En partenariatavec le <strong>Théâtre</strong>Le Trait d’Unionde Neufchâteau.Tout, autour d’eux, n’est que mensonges, intrigues,travestissements, arrangements, imitations…Arlequin – Je n’ai vraiment pas de pot, moi ! Ca fait deux heuresque midi a sonné et aucun de mes deux patrons n’est encore venudéjeuner. Ils vont finir par arriver en même temps et je serai bienembarrassé : je n’arriverai pas à les servir tous les deux à la foiset le pot aux roses sera découvert.Entre FlorindoFlorindo – Eh bien, tu l’as retrouvé, ton Pasquale?Arlequin – Nous étions d’accord que j’irais le chercher aprèsdéjeuner, monsieur.Florindo – Je dois sortir pour une affaire urgente.Je déjeunerai si je rentre assez tôt, et sinon, je dînerai ce soir.Toi, si tu veux, tu peux aller manger.Arlequin – Je n’en demande pas plus. Si c’est comme ça,prenez votre temps : c’est vous le patron.Florindo – Tiens, cette enveloppe me gêne, mets-la dans mavalise. Voilà la clé.TABLEAU 2 – SCÈNE 29Auteur aux talents multiples, Louis Calaferte pèse, travaillechaque mot dans une langue à la vivacité tranchante.A la fois acide, poétique et mystique, sa force multipleet complexe ne peut que passionner ou déranger.Dans l’Amour des mots, écrit en 1977, “ les mots trouventun autre sens, ce qui n'empêche pas les deux protagonistesde se comprendre, et, ce qui n’empêche pas le spectateurde suivre parfaitement ce qui se joue ”. Proche des universde Beckett et de Ionesco, Calerferte fonde son univers théâtralsur “ le sur sens, l'absurde, appuyés par un humour dontl'éventail va de la farce à l'ironie grinçante. ”


Carlos LiscanoMa familleLa mort d’AugusteRomain Weingartentraduction Françoise ThanasMise en scène José RenaultLumières Thierry RobertCostumes, maquillagesNathalie CharbautRégie plateau Philippe CoutinAvec Catherine Krajewski,Catherine Lafont,Vincent Parrot,Henri PayetProduction <strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong> /Espace Simone Signoretscène conventionnée deVitry-le-François.Paradoxe surprenant que cette pièce intitulée “ Ma Famille ”,d’un humour féroce et d’une tendresse étonnante.C’est une oeuvre dramatique hors du commun.Impossible de calquer nos schémas traditionnels pourapprécier ce texte de Liscano. La fluidité de l’écritureet de la démonstration est sans appel. La pièce nousquestionne sur la place de l’enfant et de l’être âgé dansnos sociètés avec une surprenante douceur qui questionned’autant plus.Liscano ne donne pas de réponse. Il nous interroge au coind’une phrase, d’un rebondissement dramatique, d’une petiteanecdote. Grâce à son humour dévastateur qui évitel’absurde avec subtilité, les quatre acteurs de cette farcehors norme nous impliquent dans une fable décapante.Surtout, ne pas raconter l’histoire. Dire simplement quec’est un texte important dans l’écriture théâtralecontemporaine. C’est une oeuvre à croquer à pleinedents pour le coeur et l’esprit.Spectacle adapté d’un texte de Romain Weingarten,La Mort d’Auguste est une pièce “ s’adressant à l’enfancede chacun ” qui met en scène un trio clownesque :Yaourt l’homme le plus bête du monde, Loyal d’Arsonvaldella Pizza, le directeur d’un cirque qui s’est mis en têtede le rendre plus intelligent et enfin Zita, la femme de Loyaldont Yaourt tombe éperdument amoureux.De plus en plus tendus, les rapports entre ces troispersonnages vont aboutir à une poursuite rythméepar des gags, des chutes et des acrobaties en tout genre.La vie sous l’oeil de Romain Weingarten ressembleà un grand spectacle où le plaisir du jeu est offertaux comédiens. Son univers est surréaliste.On pense aux rêves de Lewis Carroll.Mise en scène Vincent ParrotScénographieRenaud de FontainieuLumières Thierry RobertSon Lionel BorelCostumes, maquillagesNathalie CharbautAvec Françoise Jimenez,Catherine Lafont,Henri PayetProduction <strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong>Espace Simone Signoret,scène conventionnéede Vitry-le-François.RécitActeur trois – Pour consoler ma sœur, on lui disait de regarder notre réunionfamiliale. On avait presque tous été vendus plusieurs fois, à commencer parmon père, et finalement on avait réussi dans la vie et on maintenait le contactavec la famille.Acteur deux – Ma sœur pleurait. Et que non, que non jamais elle ne pourraitvivre sans ses trois enfants.Acteur un – (dans le rôle du Père s’adressant à la Fille) Ne sois pas sotte.Tu sais quoi ? La première chose que je fais quand j’aurai l’entreprise c’estde te racheter tes enfants et comme ça tu arrêtes de nous embêter.RécitActeur trois – La fête dura toute la nuit. Au lever du jour on s’est dit adieuau milieu des larmes et des embrassades. Ce fut une de ces rencontres quiremplissent le cœur.Acteur deux – Quelques semaines plus tard ma mère m’appelle. Son frigidairel’avait lâchée, une fois de plus. Elle avait besoin de trois mille cinq cents pesospour en acheter un autre. Est-ce que je pouvais l’aider ?ReprésentationActeur un – (dans le rôle du Fils, parlant au téléphone) Non, maman,d’où je sortirais autant d’argent ?Actrice – (dans le rôle de la Mère, parlant au téléphone) Bon. Mais je ne peuxpas vivre sans frigo, qu’est-ce que ja vais faire ? Personne ne veut m’aider…Acteur un – (au téléphone) Je vais y réfléchir, maman. Mais de toute manièreje ne vais pas pouvoir trouver trois mille cinq cents pesos.Actrice – (au téléphone) Tu ne pourrais pas revendre ton père ?ACTE 1Loyal. Seigneur ! ...Par le présent certificat, nousdécernons au ci-devant Auguste Chipette, dit Yaourt,sans profession, le titre et la médaille y jointe d’Hommele plus bête du Monde. Signé : le Président de laRépublique. Eh ben ! ...Et pourtant, c’est un homme...il en a, du moins, presque, la forme ! Fantastique !Fantastique ! Mesdames, mesdemoiselles, messieurs,pour la première fois au monde dans un cirque,en exclusivité mondiale, l’homme le plus bête dumonde ! Observez, mesdames et messieurs commela bêtise se peint sur son visage avec les plus riantescouleurs ! Ah oui monsieur Yaourt vous pouvez être fier,vous avez bien mérité cette médaille !ACTE 1


Benno Bessond’après l’œuvre de Carlo GozziL’oiseau vertLes petitesformesMise en scèneJosé RenaultScénographieRenaud de FontainieuLumières Thierry RobertSon François De BortoliCostumes, maquillagesNathalie CharbautRégie plateauPhilippe CoutinAvec Catherine Krajewski,Catherine Lafont,Laurent Nouzille,Vincent ParrotHenri Payet,Fany RogerTartaglia– Ne pince pas ce nerf, Pantalon, turéveilles ma douleur.Non, jamais, jamais on ne diraque j’ai cessé de pleurer maregrettée Ninette.Sans elle, je suis seul au monde,personne ne m’aime.Pantalon – La voilà ! Elle ouvreson guichet.Un vrai soleil. Allons, regardez-moice beau morceau, majesté.Smeraldina – (à Barbarina).Le roi sur son balcon ! VenezBarbarina, rentrons.Barbarina – C’est ça le roi? Et alors?Je ne suis pas sensée l’avoir vu.De toute façon, l’ancestral appareilde la royauté n’est pas pourm’impressionner.Tartaglia – (l’œil à sa longue vue).Pantalon, Pantalon, le beau visage !Les belles mains !Mon cœur s’illumine, ma tristesses’envole.ACTE III – SCÈNE 3Titre étrange et mystérieux que cet “ Oiseau vert ” adapté par Benno Bessond’après l’œuvre de Carlo Gozzi. Titre qui sonne comme une pièce pour enfants.Mais s’il est vrai que la féerie ponctue l’intrigue, la langue et les ressortsthéâtraux, il n’empêche que la fable renvoie à nos vicissitudes d’adulte.Et quand le roi Tartaglia profère que personne ne l’aime, c’est biend’amour et de légitimité dont il est question.L’Oiseau vert va – comme l’Ariel de Shakespeare – provoquer les personnagesde cette comédie, en créant ces rencontres inattendues, inespéréesou redoutées qui modifient à jamais le cour d’une existence.Les jumeaux Renzo et Barbarina, en quête de leur identité vont vivre desscènes plus truculentes les unes que les autres. Poésie, ironie et affabulationsont les maîtres mots de Gozzi. Entre les statues qui marchent, la pommecantatrice et l’eau philharmonique, vous découvrirez un monde oùl’énigmatique Calmon paraît et disparaît au milieu des “ tremblementsde terre, éclairs, prodiges et obscurité…”Des Oubliettes dans sa têted'après Histoires de Jacques Prévertproduction<strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong>en partenariat avec la Ville de ChaumontMise en scèneJosé Renaultavec : Catherine Krajewski,Catherine Lafont, Henri Payet .Les textes de Prévert sont des scénarii à jouer avec la simplicité du mot offert, du geste esquissé ; les thèmesprivilégiés de l’auteur sont au rendez-vous : l’enfance, les animaux, le verbe aimer et la liberté, Paris et la Seine,la religion et la guerre, la fête, le peuple …Une ballade en sous-bois servie par trois comédiens qui jouent ou fredonnent Prévert comme une histoire !En 2000, <strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong> créait Des oubliettes dans sa tête d'après Histoires de Jacques Prévert, petite forme pour troiscomédiens. Les lésions dangereuses s’inscrivent dans la même veine, celle d’une forme légère s’adaptant aussi bien auplateau du théâtre qu'en extérieur : appartement, bibliothèque, école.... Ces deux spectacles interprétés par trois comédiensd’<strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong> offrent une complicité partagée avec les publics, un voyage poétique dans l’universdes poètes, une ballade d’une précieuse humanité. A découvrir en famille.Les lésions dangereusesd’après les textes de Boris VianProduction<strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong>.En partenariat avecLe Pré des arts de Valbonne,Le service culturel de la Ville de Saint-Raphaël,et La Direction de l’Education Nationale de Monaco.Mise en scèneJosé Renaultavec : Catherine Krajewski,Catherine Lafont, Henri Payet .Ce que nous ressentons tous, heure par heure, sans être toujours à même de l’exprimer au moment où ça nous feraittant de bien, Boris Vian possédait le privilège de pouvoir le dire aisément, parfois avec génie, toujours avec forceet originalité...


Territoire de l’Amour3000 € HT++ 7 personnespetit et moyen plateaudurée : 1H05La nouvelle et sublime histoirede Roméo et Juliette3500 € HT++ 8 personnesmoyen et grand plateau / version itinérantedurée : 1H30Arlequin serviteur de deux maîtres5000 € HT++ 11 personnesgrand plateaudurée : 1h20Ma famille3000 € HT++ 7 personnespetit et moyen plateaudurée : 1h00L’Amour des mots2100 € HT++ 5 personnespetit et moyen plateaudurée : 1h00La mort d’Auguste2100 € HT ++ 5 personnespetit et moyen plateaudurée : 1h10L’oiseau vert4700 € ++ 10 personnesmoyen et grand plateaudurée : 1h40Les lésions dangereuses1250 € HT+++ 3 pers version plateau1250 € HT +++3 pers / 2 représentations scolairesdans la même journée sur le même lieu.Durée : 1H00Des Oubliettes dans sa tête1250 € HT+++ 3 pers version plateau1250 € HT +++3 pers / 2 représentations scolairesdans la même journée sur le même lieu.Durée : 45 min


<strong>Alliage</strong> théâtre245 bis avenue de LaonB.P. 14 51871 Reims cedex 3Administration Laurence LevasseurTél. / fax : 03 26 09 57 77cie.alliagetheatre@free.frDiffusion et productionIsabelle Gastigar 06 08 34 15 67nengone@wanadoo.frUn dossier concernant chaque spectacleest disponible sur simple demandeLa Compagnie <strong>Alliage</strong> <strong>Théâtre</strong> est conventionnéeavec le Ministère de la Culture - DRAC Champagne-Ardenne,la ville de Reims,et subventionnée par la Région Champagne-Ardenneet le Conseil Général de la Marne.Avec le soutien de Furies-Châlons-en-champagneConception graphique : Thérèse TroikaCrédits photographiques : Alain Hatat, Martial Dosdane

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