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Objectifs de la e-formation - CFPB

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Ordre du jour► <strong>Objectifs</strong> et démarche <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong>► La e-<strong>formation</strong> en quelques chiffres► <strong>Objectifs</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>► Thèmes et cibles <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>► Modalités pédagogiques et techniques► C<strong>la</strong>ssification <strong>de</strong>s modalités <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>► Modalités d’évaluation <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>► Modalités <strong>de</strong> conception et attentes► Accompagnement <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>► Réactions <strong>de</strong>s acteurs


<strong>Objectifs</strong> et démarche <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong>►►►►Objectif : Etablir une cartographie <strong>de</strong>s usages <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> au sein d’un échantillond’établissements, en analysant, pour chaque établissement rencontré• L’historique• Les usages aujourd’hui• Les tendances et projets d’avenirUne étu<strong>de</strong> basée sur 16 entretiens rassemb<strong>la</strong>nt 26 interlocuteurs…• Responsables <strong>formation</strong> et/ou e-<strong>formation</strong>, au niveau Groupe, national ou régional• Responsables <strong>de</strong> projets transverses… représentant un échantillon d’établissements bancaires• Banque <strong>de</strong> France• BNP Paribas• Banque Fédérale <strong>de</strong>s Banques Popu<strong>la</strong>ires• Banque Popu<strong>la</strong>ire du Nord• BRED• Caisse Nationale <strong>de</strong>s Caisses d’Epargne• Caisse d’Epargne Côte d’Azur• Caisse <strong>de</strong>s Dépôts• Crédit Agricole Centre Est• Crédit Agricole SA• HSBC• ING Direct• La Banque Postale• LCL• Natixis• Société GénéraleUn gui<strong>de</strong> d’entretien commun, permettant <strong>de</strong> comparer les établissements►Un engagement <strong>de</strong> confi<strong>de</strong>ntialité


La e-<strong>formation</strong> en quelques chiffres►Deux types <strong>de</strong> courbes d’évolution, en fonction du niveau <strong>de</strong> maturité <strong>de</strong> l’établissementau regard <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>• Etablissement 1 : démarrage précoce (avant 2000), forte croissance puis atteinte d’un palier300025002000150010005000Evolution du nombre <strong>de</strong> personnes formées en e-<strong>formation</strong>12000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 20082nb <strong>de</strong> pers formées en e-<strong>formation</strong>nb total <strong>de</strong> personnesformées1• Montée en puissance progressive liée àune communication systématique dudépartement <strong>formation</strong> à chaque présentielet à une intégration <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> danschaque parcours métier2• Maintien d’un niveau stable <strong>de</strong> e-<strong>formation</strong>– Parcours métiers– Réglementaire– Lancements <strong>de</strong> produits•Etablissement 2 : démarrage plus lent,forte croissance non encore achevéeà partir <strong>de</strong> 2005•Périmètre <strong>de</strong> l’établissement encroissance•Changement <strong>de</strong> p<strong>la</strong>te-forme•Accès progressif sur le poste<strong>de</strong> travail•Campagnes « réglementaire »60 00050 00040 00030 00020 00010 0000Nombre <strong>de</strong> personnes formées en e-<strong>formation</strong>2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009


1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006<strong>Objectifs</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>1. Economies2. Esprit d’innovation3. Formation continueen libre service4.Campagnes en tempsréduit, à gran<strong>de</strong> échelleTraçabilité faceà l’obligation légaleHomogénéitédu message5. Complémentaritéavec le présentiel6. Adéquation optimale <strong>de</strong><strong>la</strong> <strong>formation</strong> au besoinHistorique1. Au départ, un objectif principal d’économies sur lescoûts <strong>de</strong> <strong>formation</strong> (dép<strong>la</strong>cement, hébergement, animation)2. Quelques « pionniers » : attrait <strong>de</strong> <strong>la</strong> nouveauté etmo<strong>de</strong>rnisation <strong>de</strong> l’image <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong>3. Un mythe : <strong>la</strong>isser à l’apprenant l’initiative <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong>, sur son « temps libre »4. Une phase d’explosion portée par les obligationsréglementaires• La e-<strong>formation</strong> est une réponse particulièrementadaptée aux déploiements à gran<strong>de</strong> échellePoints <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nceTendance d’évolution5. Généralisation du mix <strong>formation</strong> (sauf réglementaire)• Focalisation <strong>de</strong>s sessions en présentiel sur les misesen situation, en déléguant à <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> l’acquisitionou <strong>la</strong> mise à jour <strong>de</strong> connaissances en préparation ouen approfondissement du présentiel6. Tendance à cibler davantage les modules sur <strong>de</strong>spopu<strong>la</strong>tions et au moment opportun• Diagnostic amont (ex : <strong>la</strong>ngues, bureautique)• Cib<strong>la</strong>ge <strong>de</strong>s modules par popu<strong>la</strong>tion• Formations « juste à temps », en temps utile• Ne pas affecter trop d’objectifs à <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>, au risque <strong>de</strong> décevoir l’ensemble <strong>de</strong>s acteurs : apprenants, management,service <strong>formation</strong>…• Choisir <strong>la</strong> modalité e-<strong>formation</strong> pour l’acquisition / <strong>la</strong> mise à jour <strong>de</strong> connaissances « théoriques », à gran<strong>de</strong> échelle• Etre conscient que les ressources en libre service sont peu utilisées : il il faut fixer <strong>de</strong>s règles, encadrer l’apprenant


1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006Thèmes et cibles <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>1Langues etbureautiqueFondamentauxbancaires2Réglementaire etconformitéOutils et processusProduits banque etassurance3. Comportementcommercial / managérial4. Thèmes « historiques »ciblés par popu<strong>la</strong>tionHistorique1. Premières expériences visant <strong>de</strong>ux types <strong>de</strong> publics :• Soit un public <strong>la</strong>rge, en libre accès• Soit <strong>de</strong>s publics « pilotes » : apprentis préparant unexamen professionnel, sites expérimentaux…2. Des expériences plus « industrielles » visantprincipalement les commerciaux, plus rarement lesback-officesPoints <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nceTendance d’évolution3. Introduction <strong>de</strong> e-<strong>formation</strong>s comportementales• Commerciaux : simu<strong>la</strong>tion <strong>de</strong> situations quotidiennes(entretiens <strong>de</strong> vente, entretiens difficiles…)• Management : entretiens annuels, droit du travail, droitdu « harcèlement » moral…4. Meilleur cib<strong>la</strong>ge <strong>de</strong>s e-<strong>formation</strong>s « historiques »• Introduction <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> <strong>de</strong> manière ciblée dans<strong>de</strong>s parcours par métier pour les nouveaux entrants etles prises <strong>de</strong> poste• Encadrement <strong>de</strong>s progrès sur le terrain• L’efficacité <strong>de</strong>s e-<strong>formation</strong>s dépend notamment d’un cib<strong>la</strong>ge amont sélectif en fonction d’un besoin opérationnel• Une très forte proportion <strong>de</strong> e-learning réglementaire peut nuire à <strong>la</strong> perception <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> par les apprenants


Modalités pédagogiques et techniques <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006Modalitéspédagogiques1. Pages écran,texte2. Multimédia,interactivité, quizzSimu<strong>la</strong>tions,scénarisation, convivialitéSupporttechnologique1. CD-Rom 2. P<strong>la</strong>te-formesMigration <strong>de</strong>s p<strong>la</strong>teformessur internetHistorique1. Premiers modules texte ou « powerpoint animé » :• Les possibilités pédagogiques étaient limitées mais cesmodules ont permis <strong>de</strong> sensibiliser certains acteurs à<strong>de</strong>s atouts <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> tels que l’homogénéité <strong>de</strong>smessages2. L’arrivée <strong>de</strong>s postes <strong>de</strong> travail Multimédia permet <strong>de</strong>nouvelles modalités plus interactives,• Interactivité principalement à base <strong>de</strong> quizz• Simu<strong>la</strong>tion du poste <strong>de</strong> travail pour les <strong>formation</strong>soutils• Animation 2D (<strong>de</strong>ssins animés)Tendance d’évolution• E<strong>la</strong>rgissement du nombre <strong>de</strong>s modules,• Des modules <strong>de</strong> 30 à 60 mn, décomposés en séquencesplus courtes (5 à 30 mn) et focalisées• Généralisation souhaitée du son et d’animations vidéo et3D (casques)• Scénarisation <strong>de</strong> plus en plus évoluée (serious games,agence virtuelle, simu<strong>la</strong>tions d’entretiens)• Systématisation <strong>de</strong>s quizz• Suivi et pilotage <strong>de</strong>s résultatsPoints <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nce• Privilégier l’interactivité et l’alternance <strong>de</strong>s modalités pédagogiques pour « maintenir le rythme » et <strong>la</strong> motivation <strong>de</strong>l’apprenant• Etre attentif au graphisme, au caractère ludique du scénario, à l’ergonomie et à <strong>la</strong> facilité <strong>de</strong> navigation• Dans les réseaux géographiquement éc<strong>la</strong>tés, <strong>de</strong>s temps <strong>de</strong> réponse importants sur les modules peuvent être dus à <strong>de</strong>sban<strong>de</strong>s passantes insuffisantes ou à une priorisation <strong>de</strong>s flux informatiques. Ces lenteurs peuvent constituer <strong>de</strong>s freinsimportants à l’adhésion <strong>de</strong>s apprenants à <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> et à l’efficacité pédagogique


C<strong>la</strong>ssification <strong>de</strong>s modalités <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> (1/3)1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006Lieu <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong>Historique• Au départ, <strong>formation</strong> sur un poste dédié (postemultimédia) ou dans un centre <strong>de</strong> ressources• Peu à peu, <strong>formation</strong> sur le poste <strong>de</strong> travail <strong>de</strong>l’apprenant et <strong>de</strong> plus en plus rarement dans uncentre <strong>de</strong> ressourcesTendance d’évolution• Généralisation <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong> sur le poste <strong>de</strong>travail professionnel, mais en permettant àl’apprenant <strong>de</strong> s’isoler (casque, chevalet…)• Au cas par cas, e-<strong>formation</strong> via internet <strong>de</strong>puis ledomicile <strong>de</strong> l’apprenant ou sur d’autres outils(assistant personnel, téléphone…)Temps <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong>Historique• Pendant le temps <strong>de</strong> travail et sur <strong>de</strong>s créneauxhoraires p<strong>la</strong>nifiés : mise à disposition <strong>de</strong> postesen centre <strong>de</strong> ressources ou <strong>de</strong> postes dédiés• P<strong>la</strong>nification <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong> par le managerTendance d’évolution• Pendant le temps <strong>de</strong> travail• Formations dans le cadre du DIF : parfois horstemps <strong>de</strong> travail• Deux modalités d’organisation• A <strong>la</strong> main du col<strong>la</strong>borateur• P<strong>la</strong>nification par <strong>la</strong> direction <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong>• Accompagnement synchrone• Optimisation <strong>de</strong>s ressources informatiques


C<strong>la</strong>ssification <strong>de</strong>s modalités <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> (2/3)1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006Formationsynchrone /asynchroneHistorique• Asynchrone • AsynchroneTendance d’évolution• Réflexions sur <strong>la</strong> c<strong>la</strong>sse virtuelle et surl’accompagnement synchrone individuelFormationindividuelle/ collectiveHistorique• Formations individuelles en centre <strong>de</strong>ressources ou sur poste dédié• Quelques expériences précoces <strong>de</strong> stages enligneTendance d’évolution• Formations individuelles sur le lieu <strong>de</strong> travail <strong>de</strong>l’apprenant pour minimiser les dép<strong>la</strong>cements etréduire les temps <strong>de</strong> déploiement• Réflexions sur les c<strong>la</strong>sses virtuelles et le travailcol<strong>la</strong>boratifMixdistanciel /présentielHistoriqueTendance d’évolution• Mix distanciel / présentiel • Accès à <strong>la</strong> <strong>formation</strong> présentielle conditionné à<strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong>s modules d’e-<strong>formation</strong> voire àl’atteinte d’un score minimum• Pour une majorité d’entreprises, l’efficacité <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong> passe notamment par le mixdistanciel/présentiel


C<strong>la</strong>ssification <strong>de</strong>s modalités <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> (3/3)1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006Constats• Il Il est difficile <strong>de</strong> noter une véritable évolution ou tendance sur cette dimension.Ouverture /fermeture• Certaines entreprises font le choix <strong>de</strong> l’ouverture dans une logique <strong>de</strong> <strong>formation</strong> « juste à temps » : lecol<strong>la</strong>borateur doit pouvoir trouver quand il il le souhaite une réponse à ses questions au travers <strong>de</strong>modules hébergés sur une p<strong>la</strong>te-forme.• Pour d’autres établissements, <strong>la</strong> logique <strong>de</strong> fermeture s’inscrit dans <strong>la</strong> réalisation obligatoire <strong>de</strong>smodules d’e-<strong>formation</strong> avant le suivi <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong> présentielle. Dans cette logique, <strong>la</strong> fermeture <strong>de</strong>smodules permet <strong>de</strong> p<strong>la</strong>nifier les sessions <strong>de</strong> présentiel avec fiabilité.• Les <strong>formation</strong>s sur le réglementaire sont ouvertes mais doivent être réalisées dans une pério<strong>de</strong> limitée.Flexible /non flexibleHistorique• Au départ, on observait un équilibre entreles <strong>formation</strong>s flexibles ou non flexibles• Une volonté <strong>de</strong> systématiser <strong>la</strong> flexibilitéTendance d’évolution• Retour en arrière observé <strong>de</strong>s établissementsqui ont mis en œuvre <strong>de</strong>s parcours flexibles• Les parcours sont ciblés par popu<strong>la</strong>tion, mais nesont plus « individualisés » du fait <strong>de</strong> difficultéspratiques <strong>de</strong> mise en œuvre• L’ordre <strong>de</strong> suivi <strong>de</strong>s modules est imposé


1998 - 2000 2003-2005Depuis 2006Modalités d’évaluation <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>1. Pas ou peud’évaluation2. Évaluation à chaud3. Évaluation à froid4. Projets d’évaluerle ROIHistorique1. À l’origine, l’absence d’une p<strong>la</strong>te-forme <strong>de</strong> <strong>formation</strong> et<strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong>s modules à partir d’un Cd-Romrendaient difficile l’évaluation systématique <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong>.• Toutefois, l’évaluation <strong>de</strong>s modules <strong>de</strong> e-<strong>formation</strong>pouvait être intégrée à l’évaluation globale <strong>de</strong>sparcours comportant <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>2. Dans quelques cas, <strong>la</strong> mise en p<strong>la</strong>ce <strong>de</strong>s p<strong>la</strong>te-formes apermis l’intégration <strong>de</strong> questionnaires d’évaluation à <strong>la</strong>fin <strong>de</strong>s parcours en e-<strong>formation</strong>Tendance d’évolution3. Depuis quelques années, l’évaluation à froid sedéveloppe• Il Il s’agit <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r à l’apprenant <strong>de</strong> répondre à unquestionnaire quelques semaines après <strong>la</strong> réalisation<strong>de</strong>s modules.• Cette évaluation différée permet au col<strong>la</strong>borateur <strong>de</strong>se prononcer sur l’application opérationnelle <strong>de</strong>sconnaissances acquises dans les modules.4. Réflexions en cours sur <strong>la</strong> mesure <strong>de</strong> l’efficacité <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong>• Il Il semble logique que <strong>la</strong> tendance qui consiste àmesurer le ROI <strong>de</strong> chaque investissement s’éten<strong>de</strong>aux actions <strong>de</strong> <strong>formation</strong> même si les exemples<strong>de</strong>meurent rares.Points <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nce• L’évaluation d’une e-<strong>formation</strong> ne se limite pas aux remontées <strong>de</strong>s apprenants, elle se fon<strong>de</strong> également sur d’autresin<strong>formation</strong>s remontées par <strong>la</strong> p<strong>la</strong>te-forme telles que le taux <strong>de</strong> réussite, le taux <strong>de</strong> suivi <strong>de</strong>s modules et le temps passé sur <strong>la</strong><strong>formation</strong>.


Modalités d’évaluation <strong>de</strong>s apprenants1998 - 2000 2003-2005Depuis 20061. Autoévaluation2. Évaluation à base<strong>de</strong> quizz3. Scoreminimum4. Evaluation « àfroid » <strong>de</strong>sapprenants5. Introduction<strong>de</strong> casHistorique1. Les quizz permettaient une auto-évaluation <strong>de</strong>l’apprenant, sans remontée <strong>de</strong>s résultats2. L’hébergement <strong>de</strong>s modules <strong>de</strong> <strong>formation</strong> sur <strong>de</strong>s p<strong>la</strong>teformesa permis <strong>la</strong> remontée <strong>de</strong>s scores <strong>de</strong> quizzréalisés par l’apprenant• La présence <strong>de</strong> quizz est presque systématique. On apu noter <strong>de</strong>s évolutions importantes dans <strong>la</strong> forme <strong>de</strong>squizz afin <strong>de</strong> casser <strong>la</strong> monotonie <strong>de</strong>s QCM.Tendance d’évolution3. La e-<strong>formation</strong>, sésame <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong> présentielle• Afin <strong>de</strong> renforcer l’efficacité pédagogique <strong>de</strong>s<strong>formation</strong>s présentielles, <strong>de</strong> plus en plus d’entreprisesconditionnent l’accès à <strong>la</strong> <strong>formation</strong> en salle àl’obtention d’un score minimum aux quizz <strong>de</strong>s modulesd’e-<strong>formation</strong>.• Ces quizz permettent le plus souvent <strong>de</strong> vali<strong>de</strong>rl’acquisition <strong>de</strong>s fondamentaux d’un outil ou d’unemétho<strong>de</strong> et <strong>de</strong> gagner du temps avec le formateur pourse concentrer sur <strong>de</strong>s éléments à forte valeur ajoutée.4. Développement <strong>de</strong> l’évaluation « à froid » <strong>de</strong>s apprenants• Mesure « qualitative » <strong>de</strong>s compétences acquises parles managers (Exemple : carnet <strong>de</strong> bord rempli par lesmanagers pour les nouveaux entrants)5. Aller plus loin en évaluant les acquis à travers <strong>de</strong>s casPoints <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nce• Il Il convient d’être vigi<strong>la</strong>nt quant à l’utilisation <strong>de</strong>s évaluations issues <strong>de</strong>s modules d’e-<strong>formation</strong>. La plupart <strong>de</strong>s entreprises nedonnent pas accès à ces scores au manager <strong>de</strong> l’apprenant. En revanche ces données peuvent être utilisées pourconditionner l’accès à une <strong>formation</strong> présentielle.• La mise en p<strong>la</strong>ce d’un score minimum à un module peut constituer un réel atout dans le cadre <strong>de</strong> <strong>formation</strong>s réglementairesvisant à sécuriser l’acquisition <strong>de</strong>s connaissances par les col<strong>la</strong>borateurs


1998 - 2000 Depuis 2000Depuis 20061. En interne(.ppt animé)2. Externalisationpartielle ou totale3. Réinternalisation <strong>de</strong><strong>la</strong> conception4. Recherche <strong>de</strong><strong>formation</strong>s catalogueou mutualiséesModalités <strong>de</strong> conception5. Professionnalisation<strong>de</strong> <strong>la</strong> contribution <strong>de</strong>sopérationnelsHistorique1. Les premières expériences « d’e-<strong>formation</strong> » sur mesureassociaient souvent les opérationnels, mais <strong>de</strong> manièrepeu structurée• Le « powerpoint animé » ne nécessitait pas le recoursà <strong>de</strong>s prestataires spécialisés2. La plupart <strong>de</strong>s entreprises fait appel à <strong>de</strong>s prestatairespour tout ou partie <strong>de</strong> <strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong>s modules• La sous-traitance est quasiment systématique pour ledéveloppement <strong>de</strong>s modules• En ce qui concerne le contenu et l’ingénieriepédagogique, certains établissements optent pour uneconception en interne afin <strong>de</strong> disposer <strong>de</strong> modulespleinement adaptésTendance d’évolution3. Réinternalisation partielle <strong>de</strong> <strong>la</strong> conception :• une offre perçue comme insuffisamment pertinente <strong>de</strong><strong>la</strong> part <strong>de</strong>s prestataires sur le contenu voire sur lestechnologies• une professionnalisation <strong>de</strong>s équipes internes4. Recherche <strong>de</strong> modules sur étagère ou participation à <strong>la</strong>conception <strong>de</strong> produits mutualisés5. Quelques établissements ont professionnalisé <strong>la</strong>conception <strong>de</strong> modules d’e-<strong>formation</strong> en associantétroitement <strong>de</strong>s opérationnels (rapid learning)• Cette association peut se traduire par l’i<strong>de</strong>ntification dubesoin <strong>de</strong> <strong>formation</strong> par les opérationnels et/ou parl’association <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>rniers à <strong>la</strong> conceptionpédagogique (contenu)Points <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nce• Les établissements constatent un manque <strong>de</strong> valeur ajoutée <strong>de</strong>s prestataires. Ils atten<strong>de</strong>nt :• Une capacité à proposer <strong>de</strong>s solutions technologiques cohérentes avec les systèmes <strong>de</strong>s banques• Une meilleure connaissance <strong>de</strong>s métiers• Une meilleure connaissance <strong>de</strong>s approches pédagogiques


Accompagnement <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>Depuis 19981. Sponsorship dutop management3. Rôle déterminant du service Formation2. Trop d’attentes surle rôle <strong>de</strong>s managersDepuis 20064. Développement durôle <strong>de</strong> tuteur5. Retour <strong>de</strong>smanagers dans un rôledifférentHistorique1. La condition sine qua non <strong>de</strong> <strong>la</strong> réussite du <strong>la</strong>ncement :bénéficier du soutien d’un membre clé du Comité <strong>de</strong>Direction (DG, Directeur Commercial…)2. Des attentes ambitieuses vis-à-vis <strong>de</strong>s managers…souvent déçues :• Faible niveau d’accompagnement pédagogique• Limitation <strong>de</strong> leur rôle à l’organisation pratique <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>formation</strong> (p<strong>la</strong>nning, mise à disposition du poste <strong>de</strong>travail…)3. Un lea<strong>de</strong>rship fort du service <strong>formation</strong>• communication et marketing du projet, support auxutilisateurs, re<strong>la</strong>nces, pilotage <strong>de</strong>s projets, charte etrègles du jeu (p<strong>la</strong>nnings grisés…)…Points <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nceTendance d’évolution3. Des services <strong>formation</strong> toujours très impliqués• Des pratiques encore très hétérogènes concernant lesre<strong>la</strong>nces, l’évaluation et le suivi statistique• Une meilleure prise en compte <strong>de</strong>s difficultéstechniques4. Des tuteurs <strong>de</strong> différentes natures• Re<strong>la</strong>is du service <strong>formation</strong> en local (indispensablespour les c<strong>la</strong>sses virtuelles)• Collègues plus expérimentés voire seniors5. Une implication <strong>de</strong>s managers à nouveau sollicitée, pouraccompagner l’apprenant et suivre ses progrès• Un rôle c<strong>la</strong>rifié et <strong>de</strong>s outils associés• Une évaluation <strong>de</strong>s acquis <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>formation</strong> en situationprofessionnelle• … mais l’implication <strong>de</strong>s managers <strong>de</strong>meure difficile• L’accompagnement est un facteur clé <strong>de</strong> succès : communication amont, soutien technique et pédagogique, re<strong>la</strong>nce, suivi<strong>de</strong>s résultats à chaud et à froid (manager)• Le « contrat » tripartite permet à chacun d’être au c<strong>la</strong>ir sur son rôle, et d’imputer <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> (PIF)• La charte rassure les partenaires sociaux et l’ensemble <strong>de</strong>s sa<strong>la</strong>riés


Réactions <strong>de</strong>s acteurs face à <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>1998 - 2000 2004-2005Depuis 2006ApprenantsManagersPartenairessociauxActeursFormation1. RéticencesAttentisme2. Apprentissage,curiositéRéactions mitigées3. Vigi<strong>la</strong>nce <strong>de</strong>s partenaires sociauxVision positive : rythme d’apprentissage choisiVision progressivement positive, lorsque les managersexpérimentent eux-mêmes <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>Forte implication du service <strong>formation</strong> central, quelques réticences <strong>de</strong>s formateurs sur le terrainHistorique1. Au départ, <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> doit convaincre• Réticences fortes, besoin <strong>de</strong> convaincre et <strong>de</strong> rassurer• Difficultés techniques et organisationnelles• Managers plutôt passifs2. Au fil <strong>de</strong>s expériences, les apprenants découvrent lesatouts <strong>de</strong> <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>• Ceux qui étaient hésitants se <strong>la</strong>issent convaincre• … à commencer par les jeunes générations3. Des partenaires sociaux bienveil<strong>la</strong>nts mais vigi<strong>la</strong>nts (pasd’évolution notable)Tendance d’évolution• Un niveau d’exigence <strong>de</strong> plus en plus élevé <strong>de</strong>sapprenants, en lien avec• les évolutions technologiques : internet, jeux vidéos• l’arrivée <strong>de</strong>s nouvelles générations• Une perception qui évolue peu à peu, dès lors que lescol<strong>la</strong>borateurs et les managers découvrent <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong>• Trois facteurs clés <strong>de</strong> succès• La qualité <strong>de</strong>s modules (fond, forme)• Le sérieux du suivi (tuteurs, managers)• L’instal<strong>la</strong>tion d’une « culture e-<strong>formation</strong> »Points <strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nce• Les partenaires sociaux sont particulièrement vigi<strong>la</strong>nts sur le sujet du temps <strong>de</strong> travail (accès à <strong>la</strong> e-<strong>formation</strong> <strong>de</strong> chez soi) et<strong>de</strong> l’accès <strong>de</strong>s managers aux résultats <strong>de</strong>s quizz


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