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38Au total, en 2002, Saint-Gobain a dépensé 212 millions d’eurospour l’amélioration de ses performances et la prévention de sesrisques en matière d’environnement, soit une augmentation de20% en deux ans. Le pôle Verre représente plus de 60% de cettesomme, en raison de sa taille et de la politique active qu’il mènepour diminuer l’impact environnemental des fours verriers.Les dotations et provisions pour risques environnementaux s’élèvent,en 2002, à 4,8 millions d’euros, dont près de la moitié autitre du pôle Verre qui utilise le plus de procédés à haute températureet regroupe sept des huit sites du Groupe classés « Seveso »en raison de stockages dangereux (voir page 40).2. LA SANTÉ ET LA SÉCURITÉA. AGIR SUR LES CAUSESC’est en agissant sur les causes potentielles d’accidents et demaladies professionnelles que le Groupe progresse. De plus en plus,l’action préventive est privilégiée et les filiales sont incitées à s’interrogersur les risques encourus par leurs opérateurs et à agir dèsles « presqu’accidents ».Les efforts portent en priorité sur l’évaluation et la maîtrise desrisques au poste de travail, sur la généralisation du port des équipementsde protection individuelle et sur une meilleure sensibilisationet une formation approfondie des salariés5. La communication et la formationPour améliorer les résultats en matière d’environnement, d’hygièneet de sécurité, les sociétés du Groupe cherchent également à agir surla culture de leurs salariés. Les responsables de la filière sont chargésde veiller à ce que l’ensemble du personnel concerné par les questionsd’EHS bénéficie des formations nécessaires à la protection desa santé et de sa sécurité, et à la prise en compte de l’environnement.Le portail EHS de l’intranet du Groupe est un lieu d’informationset d’échanges pour la filière, mais aussi pour tout salarié qui s’intéresseà cette question. Il est notamment utilisé en cas d’accidentgrave pour éviter, grâce à des retours d’expérience rapides, le renouvellementde situations dangereuses.6. L’intégration de la sous-traitanceLes exigences du Groupe en matière de sécurité et d’hygiène industrielles’appliquent également aux entreprises extérieures qui interviennentdans les établissements de Saint-Gobain, et le reportinginclut les accidents qui les concernent.De plus, la Compagnie a élaboré une plaquette spécifique intitulée« Recommandations concernant la sécurité et l’hygiène du personneldes entreprises extérieures ». Ce document récapitulenotamment les responsabilités et obligations de l’entreprise utilisatrice(société du Groupe) et les obligations de l’entreprise extérieureintervenante.B. HYGIÈNE INDUSTRIELLE DES SALARIÉS :DES RÉPONSES SPÉCIFIQUES• Maladies musculo-squelettiquesL’essentiel des problèmes connus de santé au travail viennent demaladies musculo-squelettiques ou de maux de dos liés à la manutentiond’objets pondéreux et au travail physique inhérents aux différentsmétiers du Groupe. L’automatisation des usines a progressivement réduitle nombre de salariés affectés par ce type de troubles. De plus, dansplusieurs branches, des études d’ergonomie ont permis l’aménagementdes postes de travail qui ont le plus de contraintes « physiques ».• Les poussières et les fibresDans les usines où existe un risque d’inhalation de poussières oude fibres telles que silice ou bois, des mesures régulièrement effectuéespermettent de s’assurer que les normes légales sont respectées.Dans la grande majorité des cas, les niveaux d’empoussièrementsont très inférieurs aux valeurs limites admissibles.Au sein des usines Lapeyre par exemple, les poussières de boisont été significativement réduites grâce au réaménagement deplusieurs sites, afin d’aller en deçà de la limite réglementaire de5mg/m 3 : il n’y a plus désormais qu’environ 15% du personnelconcerné qui soit exposé à un empoussièrement supérieur à lavaleur recommandée (1mg/m 3 ) au niveau national. Ces personnessont soumises au port des équipements individuels de protection.• Les produits dangereuxLes usines Lapeyre ont mis en place une procédure d’agrémentpour les produits destinés à la préservation et à la finition du bois,ce qui a aboutit à la substitution de certains produits dangereuxpar d’autres produits, qui présentent moins de risques pour ceux quiles manipulent. Plusieurs personnes dans chaque établissement ontégalement été formées sur les risques chimiques.
SAINT-GOBAIN RAPPORT SUR L’EXERCICE 200239Par ailleurs, dans les usines des Abrasifs, par exemple, une étude esten cours pour analyser tous les produits qui entrent dans chaqueétablissement et leur devenir au cours du procédé de fabrication.Cette évaluation permettra de décider s’il y a lieu de modifier certainsproduits ou de mettre en place des protections complémentairespour les opérateurs.Les autres risques auxquels sont confrontés les salariés sont trèsvariables d’une Branche à l’autre, et les démarches d’hygiène industrielleadaptées aux spécificités de chacune.C. SÉCURITÉ : AMÉLIORATION CONTINUEDES PERFORMANCES (22)Des progrès considérables ont été réalisés depuis que le Groupe développeune politique globale dans ce domaine et se sont poursuivis en2002. Sur les dix dernières années, le taux de fréquence d’accidentsavec arrêt (TF1) des établissements industriels a été divisé par plusde trois, passant de 32,5 en 1992 à 10,2 en 2002 et leur taux degravité (TG) a été divisé par plus de deux, passant de 0,77 à 0,36.Cette évolution globale satisfaisante reflète toutefois des situationscontrastées selon les pays et les activités. Saint-Gobain déplore notammentcinq accidents mortels survenus dans l’année 2002 (quatre salariéset un sous-traitant). Ces accidents font l’objet d’une informationimmédiate de la direction EHS du Groupe et donnent lieu à une analyseapprofondie afin que tous les établissements soient en mesured’exploiter sans délais les retours d’expérience qui en découlent.L’Asie-Pacifique, l’Amérique du Nord et le Brésil atteignent les meilleurstaux de fréquence. La performance de ce dernier pays a cependantété ternie par deux accidents mortels en 2002, ce qui a mis en évidencela nécessité de développer un programme d’actions ciblé surle comportement des individus. Parmi les évolutions les plus remarquablesde l’année, l’Inde et les Pays Nordiques (Scandinavie et PaysBaltes) ont amélioré très significativement leur TF1 en 2002 : il estpassé de 24 en 2001, à 10,8 en 2002 pour l’Inde, et de 19,2 à 10,2pour les Pays Nordiques. L’engagement fort du Groupe dans ces deuxrégions, relayé par des actions décisives des délégations et des sociétéselles-mêmes, comme des audits systématiques en Inde, expliqueen grande partie cette amélioration. La Pologne poursuit égalementsa progression commencée en 2001.Les résultats de la France, qui s’étaient largement dégradés depuis1998, se sont améliorés en 2002. Le TF1 de l’Hexagone est passéde 23,9 en 2001 à 19,9 et son taux de gravité de 1,06 à 0,94. Lesmesures prises, qui comprenaient notamment une série d’auditssystématiques vont donc se poursuivre en 2003, avec l’objectif derattraper la moyenne du Groupe au plus tôt.En revanche, l’Italie, qui avait amélioré ses résultats en 2001, voitson TF1 augmenter sensiblement en 2002, malgré des actions régulièreset suivies. La Délégation Mexique, Colombie, Venezuela, dontle taux de fréquence se dégrade de deux points, travaille sur desmesures ciblées.Les principales causes d’accidents restent les déplacements de personnessur les sites et tous les risques liés à la manutention (leschocs, les mauvaises manœuvres qui provoquent des blessures auxmains, à la tête, aux pieds…) pour lesquels des programmes spécifiquessont lancés.Evolution du taux de fréquence d’accidents avec arrêt (TF1)et du Taux de Gravité (TG) du Groupe 1992-2002Etablissements Industriels, à structure bruteLa Branche Distribution Bâtiment, comptabilisée à part pour des raisonspropres à son activité, affiche des performances moins bonnesque le reste du Groupe, avec un TF1 à 15,7 et un TG à 0,47. Celas’explique d’abord par la mise en œuvre plus tardive de la politiquede sécurité dans les sociétés de cette Branche qui sont récemmententrées dans le Groupe (1996 pour Point.P et Lapeyre, 2000pour Jewson et Graham et Raab Karcher). De plus, les opérationsde manutention spécifiques au métier de la Distribution Bâtimentaccroissent les risques d’accidents. La Branche Vitrage affiche égalementun TF1 plus élevé que le reste du Groupe, à cause notammentdes opérations de manutention et de découpe du verreréalisées dans les filiales de son activité Bâtiment. La réalisation d’actionsciblées (généralisation du port des équipements individuelsde protection, meilleur marquage au sol pour faciliter les cheminementsur les sites…) se poursuit dans ces deux branches qui sonttrès mobilisées sur ce sujet.(22) L’ensemble des chiffres concernant la sécurité porte sur environ 85% de l’effectiftotal du Groupe.
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SAINT-GOBAIN RAPPORT SUR L’EXERCICE <strong>2002</strong>39Par ailleurs, dans les usines des Abrasifs, par exemple, une étude est<strong>en</strong> cours pour analyser tous les produits qui <strong>en</strong>tr<strong>en</strong>t dans chaqueétablissem<strong>en</strong>t et leur dev<strong>en</strong>ir au cours du procédé de fabrication.Cette évaluation permettra de décider s’il y a lieu de modifier certainsproduits ou de mettre <strong>en</strong> place des protections complém<strong>en</strong>tairespour les opérateurs.Les autres risques auxquels sont confrontés les salariés sont trèsvariables d’une Branche à l’autre, et les démarches d’hygiène industrielleadaptées aux spécificités de chacune.C. SÉCURITÉ : AMÉLIORATION CONTINUEDES PERFORMANCES (22)Des progrès considérables ont été réalisés depuis que le Groupe développeune politique globale dans ce domaine et se sont poursuivis <strong>en</strong><strong>2002</strong>. Sur les dix dernières années, le taux de fréqu<strong>en</strong>ce d’accid<strong>en</strong>tsavec arrêt (TF1) des établissem<strong>en</strong>ts industriels a été divisé par plusde trois, passant de 32,5 <strong>en</strong> 1992 à 10,2 <strong>en</strong> <strong>2002</strong> et leur taux degravité (TG) a été divisé par plus de deux, passant de 0,77 à 0,36.Cette évolution globale satisfaisante reflète toutefois des situationscontrastées selon les pays et les activités. Saint-Gobain déplore notamm<strong>en</strong>tcinq accid<strong>en</strong>ts mortels surv<strong>en</strong>us dans l’année <strong>2002</strong> (quatre salariéset un sous-traitant). Ces accid<strong>en</strong>ts font l’objet d’une informationimmédiate de la direction EHS du Groupe et donn<strong>en</strong>t lieu à une analyseapprofondie afin que tous les établissem<strong>en</strong>ts soi<strong>en</strong>t <strong>en</strong> mesured’exploiter sans délais les retours d’expéri<strong>en</strong>ce qui <strong>en</strong> découl<strong>en</strong>t.L’Asie-Pacifique, l’Amérique du Nord et le Brésil atteign<strong>en</strong>t les meilleurstaux de fréqu<strong>en</strong>ce. La performance de ce dernier pays a cep<strong>en</strong>dantété ternie par deux accid<strong>en</strong>ts mortels <strong>en</strong> <strong>2002</strong>, ce qui a mis <strong>en</strong> évid<strong>en</strong>cela nécessité de développer un programme d’actions ciblé surle comportem<strong>en</strong>t des individus. Parmi les évolutions les plus remarquablesde l’année, l’Inde et les Pays Nordiques (Scandinavie et PaysBaltes) ont amélioré très significativem<strong>en</strong>t leur TF1 <strong>en</strong> <strong>2002</strong> : il estpassé de 24 <strong>en</strong> 2001, à 10,8 <strong>en</strong> <strong>2002</strong> pour l’Inde, et de 19,2 à 10,2pour les Pays Nordiques. L’<strong>en</strong>gagem<strong>en</strong>t fort du Groupe dans ces deuxrégions, relayé par des actions décisives des délégations et des sociétéselles-mêmes, comme des audits systématiques <strong>en</strong> Inde, explique<strong>en</strong> grande partie cette amélioration. La Pologne poursuit égalem<strong>en</strong>tsa progression comm<strong>en</strong>cée <strong>en</strong> 2001.Les résultats de la France, qui s’étai<strong>en</strong>t largem<strong>en</strong>t dégradés depuis1998, se sont améliorés <strong>en</strong> <strong>2002</strong>. Le TF1 de l’Hexagone est passéde 23,9 <strong>en</strong> 2001 à 19,9 et son taux de gravité de 1,06 à 0,94. Lesmesures prises, qui compr<strong>en</strong>ai<strong>en</strong>t notamm<strong>en</strong>t une série d’auditssystématiques vont donc se poursuivre <strong>en</strong> 2003, avec l’objectif derattraper la moy<strong>en</strong>ne du Groupe au plus tôt.En revanche, l’Italie, qui avait amélioré ses résultats <strong>en</strong> 2001, voitson TF1 augm<strong>en</strong>ter s<strong>en</strong>siblem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> <strong>2002</strong>, malgré des actions régulièreset suivies. La Délégation Mexique, Colombie, V<strong>en</strong>ezuela, dontle taux de fréqu<strong>en</strong>ce se dégrade de deux points, travaille sur desmesures ciblées.Les principales causes d’accid<strong>en</strong>ts rest<strong>en</strong>t les déplacem<strong>en</strong>ts de personnessur les sites et tous les risques liés à la manut<strong>en</strong>tion (leschocs, les mauvaises manœuvres qui provoqu<strong>en</strong>t des blessures auxmains, à la tête, aux pieds…) pour lesquels des programmes spécifiquessont lancés.Evolution du taux de fréqu<strong>en</strong>ce d’accid<strong>en</strong>ts avec arrêt (TF1)et du Taux de Gravité (TG) du Groupe 1992-<strong>2002</strong>Etablissem<strong>en</strong>ts Industriels, à structure bruteLa Branche Distribution Bâtim<strong>en</strong>t, comptabilisée à part pour des raisonspropres à son activité, affiche des performances moins bonnesque le reste du Groupe, avec un TF1 à 15,7 et un TG à 0,47. Celas’explique d’abord par la mise <strong>en</strong> œuvre plus tardive de la politiquede sécurité dans les sociétés de cette Branche qui sont récemm<strong>en</strong>t<strong>en</strong>trées dans le Groupe (1996 pour Point.P et Lapeyre, 2000pour Jewson et Graham et Raab Karcher). De plus, les opérationsde manut<strong>en</strong>tion spécifiques au métier de la Distribution Bâtim<strong>en</strong>taccroiss<strong>en</strong>t les risques d’accid<strong>en</strong>ts. La Branche Vitrage affiche égalem<strong>en</strong>tun TF1 plus élevé que le reste du Groupe, à cause notamm<strong>en</strong>tdes opérations de manut<strong>en</strong>tion et de découpe du verreréalisées dans les filiales de son activité Bâtim<strong>en</strong>t. La réalisation d’actionsciblées (généralisation du port des équipem<strong>en</strong>ts individuelsde protection, meilleur marquage au sol pour faciliter les cheminem<strong>en</strong>tsur les sites…) se poursuit dans ces deux branches qui sonttrès mobilisées sur ce sujet.(22) L’<strong>en</strong>semble des chiffres concernant la sécurité porte sur <strong>en</strong>viron 85% de l’effectiftotal du Groupe.