10.07.2015 Views

Rapport annuel 2009 - Institut Louis Malardé

Rapport annuel 2009 - Institut Louis Malardé

Rapport annuel 2009 - Institut Louis Malardé

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

Hervé BOSSIN, chargé de recherche, responsable lab. Jérôme MARIE, ingénieur de recherche Charles JEANNIN, chargé de mission (CDD) Eliane CHANG, secrétaire, gestionnaite Marc FAARUIA, technicien de laboratoire Tuterarii PAOAAFAITE, technicien de laboratoire (CDD) Michel GERMAIN, aide-technicien Albert TETUANUI, aide-technicien Henri FROGIER, agent de laboratoire Fleury TAVAE, manœuvre Michel CHEONG SANG, agent de terrain Limb HAPAIRAI, doctorantCollaborateurs de l’université du Kentucky Bethany PEEL, post-doctorante (progr. NIH) Linda O’CONNOR, post-doctorante (progr. NIH) Eric CHAMBERS, post-doctorant (progr. BMGF) David MERCER, post-doctorant (progr. BMGF) Stephen DOBSON, porteur des projets NIH etBMGFDépenses <strong>2009</strong>Financement extérieurBudget ILMTotal(F.CFP)(F.CFP)(F.CFP)Investissement 265 000 5 556 297 5 821 297Fonctionnement 11 051 341 3 666 082 14 717 423Missions, congrès, formations 1 350 637 0 1 350 637Allocations de thèse 2 340 000 0 2 340 000Rémunération CVD 0 0 0Masse salariale 5 368 970 53 001 030 58 370 000Total 20 375 948 61 768 163 82 144 111Hors charges communesVers une lutte anti-vectorielle efficace et durable pour prévenir la transmission de maladies infectieuses telles que ladengue et la filariose lymphatique en Polynésie française et dans le Pacifique Sud.Filariose lymphatiqueLa filariose est une maladie parasitaire due principalement à la filaire Wuchereria bancrofti dont la transmissions’opère par les moustiques des genres Culex, Aedes, Anopheles et Mansonia. Grâce au traitement à ladiéthylcarbamazine (DEC ou Notézine®), délivrée seule ou en association avec d’autres médicaments, depuis 1949, laréduction des formes graves (hydrocèles ou éléphantiasis) a été considérable. Ce traitement permet un contrôle de lamorbidité mais non de l’infection. En Polynésie française (PF), le principal vecteur est l’Aedes polynesiensis,particulièrement compétent pour la transmission de la filariose. L’étude de prévalence réalisée en 2008 par ladirection de la santé et l’ILM a montré qu’en moyenne 11,3% de la population étudiée présentait une antigenémie positivepar ICT et 11,3% d’entre eux étaient porteurs de microfilaires. Aucune des strates étudiées ne présentait uneprévalence proche de 1%, le seuil d’élimination de la filariose défini par l’OMS. Malgré huit années de distributionthérapeutique communautaire, l’endémie filarienne reste donc un problème de santé publique en raison du risque deré-émergence lorsque surveillance et prise en charge se relâchent.30

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!